Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Joana Zinaïda

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Centre-ville de Seikusu / Re : La main dans le sac [PV Masaru]
« le: jeudi 09 juillet 2015, 18:05:50 »
Maintenant qu'elle pouvait parler distinctement, Jo était totalement perdue. C'était incompréhensible, d'ailleurs, elle n'arrivait pas à comprendre. Elle aurait juste voulut disparaître à l'instant, ne plus exister, et elle avait soudain l'impression qu'elle nourrissait cette envie depuis bien plus longtemps qu'elle ne le croyait.

Mais pour l'instant elle ne pouvait pas. Elle regarda encore Masaru, et il lui sembla que c'était la seule chose réelle qui l'obligeait à ne pas recommencer à sombrer. Elle aurait volontiers rendu ce qu'elle avait dans le ventre si seulement il n'avait pas été là, mais cru bon de se retenir. Elle agrippa avec encore plus de force le haut de l'autre, serrant les dents comme un petit enfant pour éviter de pleurer encore.

Elle sentait qu'il voulait la rassurer, mais il ne comprenait pas, comment pouvait-il comprendre ? Elle aurait aimé qu'il la déteste à ce moment là, qu'il lui dise qu'elle avait le droit de se détester et qu'elle le méritait. Elle aurait voulut qu'il lui dise qu'elle n'avait aucune raison de vivre, vraiment aucune, alors à quoi bon continuer ? Mais pourtant il était là, sérieux, essayant vainement de comprendre mais elle ne voulant pas le lui céder. Elle était trop en colère contre elle-même.

Alors soudain elle lâcha prise. Elle était fatiguée de luter, fatiguer de ses émotions qui allaient et venaient en elle, alors elle se laissa envahir doucement par une tristesse invincible, et une étrange acceptation. Juste le temps de souffler. Mais elle avait toujours mal.

Elle chercha le regard de Masaru. Pourquoi lui parlait-elle de ça, maintenant ? Puis elle hocha la tête, lentement, le regard toujours triste, malgré sa comparaison douteuse. Elle était loin d'être une héroïne, se dit-elle sans s'en rendre compte.

-J'ai...

Elle descendit le regarde sur ses mains, absente, presque mélancolique. Puis elle lâcha le tee-shirt de Masaru pour les poser sur ses genoux. Elle sentait toujours la douleur et les questions. Mais peut-être ne lui appartenaient-ils plus.

-Je peux me transformer. Ou des parties de mon corps. En animal. Mais dit comme ça...

Elle soupira, cherchant ses mots. Ce n'était pas comme cela qu'elle le ressentait. Une fois qu'il saurait vraiment, qu'il comprendrait, il ne pourrait que la détester. Alors elle s'enfuirait, parce qu'elle n'avait besoin de l'attention de personne, pas même du dégoût ou de la condescendance. Il allait certainement la regarder de travers, la juger, comme le font les humains ; elle ne lui en voudrait pas.

-Mais c'est pas exact, vraiment. Je me sens plus moi-même quand je ne suis pas sous cette forme. Les animaux ont pas besoin de ressentir tout ça, eux. Ils sont libres.

Elle leva un regard vidé vers Masaru. Oui, elle aurait aimé être totalement comme eux. Ça lui aurait permis de se cacher totalement, de disparaître définitivement pour une vie plus simple.

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Blabla / Re : Trombinoscope
« le: mercredi 08 juillet 2015, 21:32:21 »
J'aurai dis qu'il te ressemblait Kon, sans la barbe D:
Sinon uaip, je poste sans avoir posté ma tronche à moi. Mais je suis quelque part par là ... Le point rouge. Ouaais y'en a un wallaah
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Edit: sans la barbe, et sans les cheveux longs, et avec des lunettes... Nah en fait t'as raison.
disparaît

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Perso j'ai utilisé un bout des ailes de l'autre image ^^
Mais vas-y bien entendu ! J'aimerai beaucoup voir le rendu avec des brushes aussi

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Masaru > terriblement désolée xD C'est le problème des forums, si tu commences à te fier aux avatars... :')

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Hm, jpeux pas t'aider là :x
J'ai pas vraiment d'autre images "dans le style", vu que c'est un avatarc'est forcément plus petit, donc j'ai pris les gradation de l'image que tu avais proposée.
Après si tu me dis pas... x)

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N'est-ce pas?
en sachant que je suis en réalité brune et coupe garconne... HM

Voilà donc :

Sans égalisation des couleurs

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Avec

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Et avec le cadre

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Dis-moi tout ♥

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Je veux bien m'en charger, je vais voir ce que je peux faire !
Mais je pense que je modifierai un peu l'ambiance générale (au niveau des couleurs) pour unifier, j'en ferai certainement une sans et une avec, tu me diras ta préférance ^^

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Centre-ville de Seikusu / Re : La main dans le sac [PV Masaru]
« le: mardi 07 juillet 2015, 10:50:05 »
Elle entendit Masaru s'approcher, sentit le canapé contre lequel elle était assise se plier sous son poids. Elle ne pouvait pas arrêter ses pleurs, mais ils ne la délivraient pas pour autant. Elle continua encore lorsqu'elle sentit la jambe de Masaru contre le sienne, ses bras l'entourant gentiment, réconfortants. Elle colla sa tête contre son torse, ses cheveux étalés sur son visage comme pour la cacher. Ses mains s’agrippèrent au tee-shirt de l'autre, et elle continua, continua.

Il fallut quelque temps pour qu'elle se reprenne peu à  peu, que ses pleurs s'étouffent dans sa gorge et que ses yeux bouffis arrêtent de ruisseler. Elle n'en pouvait plus, elle était fatiguée mais encore nerveuse, comme si cela ne lui avait pas suffit. Elle se décolla un peu de Masaru, ses mains toujours perdues dans ses tissus. Que lui dire maintenant ? Elle n'avait pas envie de parler, mais elle ne pouvait pas ne pas s'excuser, rester là sans rien faire avec ce qu'elle portait dans son cœur. Elle ne savait pas qui il était vraiment, mais elle savait qui il était pour elle : un soutien indispensable. Mais avait-elle le droit de l'estimer comme ça ?

Elle plongea encore son front contre lui, ne supportant pas de le regarder dans les yeux. Elle laissa ses paroles filer, sans chercher à les retenir ; elle ne fuirait pas cette fois-ci. Ses mots étaient audibles mais étouffés et sourds.

-J'aurai pu agir, Masaru, j'aurai pu. Ca aurait du être à moi d'aller et de les assommer, les empoisonner, les empêcher de faire ca... C'était pas à toi. Je suis désolée de...

Ses mots se perdirent encore, puis elle releva le visage vers lui, peur de voir dans ces yeux quelque chose qui la détruirait encore plus.

-Je... Elle soupira, déchirée entre l'envie de lui faire comprendre pourquoi, qu'il sache ce qu'elle aurait pu faire et qu'elle n'avait pas fait, il la comprenne ou la déteste mais qu'il arrête de la regarder avec compassion alors qu'elle n'en voulait pas. Je peux faire des choses que les gens... normaux, peuvent pas faire. J'aurai pu les sauver alors que personne d'autre en avait le pouvoir alors... Pourquoi ? Je suis restée là alo...

Elle sentit de la colère monter en elle, de la colère contre elle-même ; parce qu'il ne pouvait pas comprendre, comment le pourrait-il ? Et pourquoi ne pouvait-elle pas garder cela pour elle-même ? Elle n'allait récolter que de la haine, du mépris, ou bien il allait la prendre pour une folle. Et si c'était le cas peut-être pourrait-elle s'estimer satisfaite et partir d'ici, se transformer pour de bon et ne plus exister. A quoi  bon tout ceci ? Ses sentiments et ses buts semblaient se mêler en elle, incapable de les distinguer.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Le message de l'ingratitude
« le: dimanche 05 juillet 2015, 12:02:35 »
Uaaais comment on doit prendre ça :O ?
Bon sinon j'avoue que je te connais vraiment pas, mais c'est tout de même triste.
Alors je te souhaite bon parcours/continuation/vie/futur tout ça, et à bientôt peut-être ♥

C'était un message inutile :c j'assume.

40
Vous nous quittez déjà ? / Re : I'll be back... [SOON]
« le: dimanche 05 juillet 2015, 11:59:40 »
Trop de rapidité :')
Uais ça allait :)

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Vous nous quittez déjà ? / Re : I'll be back... [SOON]
« le: dimanche 05 juillet 2015, 11:55:20 »
JE DOUUUBLE OMG
Bon juste pour dire que je suis de retour, bien plus tôt que prévu. Et comme je me faisais chier dans le train et que j'avais mon pc, ben j'ai eu le temps d'écrire quelques joyeux rps ♥ ... !
Et j'ai chaud, à nouveau. Vive Marseille et ses environs ♥

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Centre-ville de Seikusu / Re : La main dans le sac [PV Masaru]
« le: dimanche 05 juillet 2015, 11:48:06 »
Il y avait quelque chose qui semblait la ronger de l'intérieur, qui lui faisait mal. Elle n'arrivait pas à comprendre ce sentiment là, n'essayait même pas, à vrai dire. Elle n'aimait pas analyser, ce n'était pas son domaine.

Pourtant, peut-être était-ce cette question qui soufflait dans son esprit, doucereuse : « comment lui, un simple humain, avait-il bien pu faire ce qu'elle n'avait pas même réussi à imaginer ? Pourquoi un être moins muni qu'elle, plus normal, était arrivé à agir alors qu'elle restait bouche bée, paralysée, sans même penser à utiliser le seul don qu'elle possédait ? »

C'était comme si la réalité de l'action, éclairée par le temps qui était passé, lui revenait en pleine face. Comme si sa vue avait été brouillée, amorphe, et que c'était seulement maintenant qu'elle se rendait compte. Qu'elle se rendait compte qu'elle aurait pu agir. A toutes les possibilités qui s'étaient offertes à elle, et pas aux autres ; elle songea qu'elle aurait pu facilement se transformer et tuer ces trois hommes, ou même seulement les blesser gravement. Elle aurait pu le faire. Dès le moment où elle les avait vus. Et les trois otages ne serait pas morts. Ils auraient retrouvé leur famille, leur vie quotidienne, leurs joies. Alors n'était-ce pas à elle qu'ils devaient maintenant en vouloir ? Si ils avaient eut cette possibilité, eux, l'auraient-ils saisie ?

D'autres questions venaient à elle sans qu'elle ne puisse les empêcher, essayant sans y parvenir de prêter l'oreille à la réponse de Masaru. Une réponse, vicieuse, vint à elle. Je ne l'ai pas fais pour ne pas me dévoiler. Je voulais garder ma liberté, qu'on ne me pose pas de questions, et j'ai eu trop peur de ça, trop peur de perdre cette liberté, que j'ai préféré rester inactive. Et je savais que si ils allaient pour me tuer, je pourrai partir, juste au dernier moment. J'ai préféré ne rien risquer et ils sont morts.

Cette pensée la dégoûta, lui remuant le ventre et se carrant dans ses poumons, l'étouffant presque. Maintenant à quoi bon ? A quoi bon cette liberté qu'elle avait préservé si c'était pour vivre en se posant éternellement cette question : et si ?

-Je...

Elle n'y tenait plus, elle ne voulait plus y tenir. Elle ne savait pas pourquoi ici, maintenant, elle se fichait que quelqu'un soit là et puisse lire ses affreuses questions sur son visage. La honte et le regrets semblaient l'assaillir d'un coup, énormes, l'emplissant d'un désespoir terrible qui l'étranglait. Ses mots se perdirent dans un cri étouffé, et elle prit la tête entre ses mains, se prenant à pleurer. D'abord ses sanglots se firent étouffés, sourd, puis elle leur laissa libre court, se maudissant par toutes les insultes russes qu'elle connaissait. Elle voulait s'excuser, s'excuser auprès de ces morts, s'excuser auprès des familles, s'excuser auprès de Masaru qu'elle ne connaissait à peine et à qui elle aurait pu épargner ça. Alors oui, elle s'excusa, confuse, tremblant sous les pleurs qui déferlaient sur elle.

Elle avait l'impression que le monde entier portait un regard noir, dégoûté, sur elle. Tous sauf ces hommes encagoulés, qui la remerciait silencieusement par un sourire au lèvres.

Elle avait délaissé le verre vide sur la table basse.

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Lorsque la succube se retira, Jo poussa un lourd soupire, un grand sourire aux lèvres. Elle ne savait pas si c'était moral ou non, si Will' aurait aurait cautionné ou pas ou bien encore si elle mettait d'une manière son avenir en jeu en couchant avec ces deux êtres magiques. Tout ce qu'elle savait concrètement, maintenant et tout de suite, c'était qu'elle aimait ça et que sa mère aurait été très curieuse. Cette pensée la fit sourire mais elle rejeta tout ceci hors de son esprit, décidant de profiter et de s'encrer bien plus dans l'instant présent qu'elle ne l'avait fait depuis quelques semaines.

- Ça va, je ne suis pas trop grosse ?

Jo eut un rire, amusée, alors qu'elle se redressait pour ramener ses jambes fuselées vers son torse. Aux dires de la mère-démone, Joana répondit, enjouée :

-Malheureusement je manque toujours de sommeil...

Apparemment, le traitement de la métamorphe n'avait pas laissé la jeune fille de marbre, même si elle n'avait rien dit. Pourtant elle était là, son regard chargé de désir, sa mère à ses côtés. La rousse qui s'était posé la question sur une possible interdiction incestueuse chez les succubes oublia cette pensée qui était encrée en elle : après tout, pour des démones du sexe, peut-être n'y avait-il rien de plus naturel.

Jo s'avança lentement, sensuelle et joueuse comme dans ses meilleurs jours, le sourire aux lèvres.

-Avec plaisir !

Après la vague de plaisir qu'elle venait de vivre, son corps était agréablement chaud, comme apaisé, mais toujours plein de désir. Elle parvint enfin à la hauteur de la petite succube, les yeux un peu dans le vague, un sourire absent aux lèvres tandis que sa mère promenait un doigt à l'entrée de son antre. Jo s'approcha encore, puis, accompagné d'un petit gloussement joueur, elle attrapa les lèvres de la démone entre les siennes. Cette fois-ci ce fut elle qui contrôla le baiser, et elle était en terrain connu. Enchantée, elle goûta d'abord ses lèvres avant de promener sa langue dans sa cavité, alors qu'elle soupirait sous les attouchements de sa mère. Puis Jo quitta à regret sa bouche dans un soupire, redescendant peu à peu, à la fois sensuelle et charmante. Les longues boucles de ses cheveux semblaient tomber en même temps qu'elle descendait sur son corps, passant au creux de son cou en lui arrachant un gloussement satisfaisant, chaud. Soufflant par endroits, pour lui arracher quelques autres soupires, Jo parvint bientôt à son torse, sa poitrine, et emprisonna amoureusement un téton entre ses douces lèvres. Ses gestes doux, surs, démontraient une certaine expérience et un apprentissage, voulant avant tout chercher le plaisir de la succube.

L'esprit occupée par les seins de la petite succube, elle attendait de voir ce que leur aînée réservait à sa fille et à la suite de cette nuit qui s'avérait plus chaude que Jo ne l'avait espéré.

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L'Art / Re : Quelques écrits...
« le: samedi 04 juillet 2015, 23:00:24 »
Je passe par là pour dire que j'ai beaucoup aimé !
Il n'y a pas que l'amour qui pourrait t'inspirer, oublie pas ;)
En tous cas hate de voir d'autres de tes écris ♥

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Vous nous quittez déjà ? / Re : I'll be back... [SOON]
« le: vendredi 03 juillet 2015, 22:00:43 »
Thaaanks ♥

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