Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Alaïs Antonius

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Le coin du chalant / Re : Chalant : Alaïs Antonius
« le: mardi 19 juin 2018, 10:47:44 »
Bonjour à tous !

Une nouvelle mise à jour de chalant a été libérée. N'ayez crainte de la consulter, elle vous dira tout ce que vous voulez savoir à mon sujet !

Grosses bises ! ♥

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RP lancé avec Antares/Pleione Lilianstar

Lien : [IFF] Tournage pédagogique [Alaïs] - [Antares/Pleione Lilianstar]

Personnages concernés : Tina Harkein & Charlotte Ralemac

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Tina Harkein avait débuté l'année en fanfare en projetant à sa classe l'un de ses propres films pornographiques où elle était encore uniquement actrice et soumise, ce qui avait immédiatement enflammé l'auditoire de ses élèves à tendance dominatrice. Elle avait par la suite fait redescendre la pression en prouvant qu'elle connaissait aussi assez bien les principales ficelles de la domination elle-même et qu'elle n'était actuellement pas intéressée d'être à la botte de ses élèves.

- Un jour peut-être, j'ai des périodes soumises parfois. Libre à vous d'en prendre avantage à ce moment-là, avait-elle dit à sa classe.

Tina n'était pas prof principale, elle n'avait pas un pourcentage de présence suffisant pour cela, mais elle enseignait surtout la théorie et un peu de pratique sur le plaisir saphique. Elle prenait souvent les classes de rattrapage pour revoir les bases des autres matières, du coup Tina restait très généraliste. Ça lui convenait bien. Tina avait une énorme maîtrise des bases, cela lui facilitait beaucoup les pratiques dites "avancées". Mais elle n'avait pas la prétention de se prétendre particulièrement douée sur les aspects les plus complexes des relations sexuelles. C'était une chose qu'elle avait parfois pratiqué, mais toujours à doses homéopathiques.

Dernièrement, la direction lui avait demandé si elle pouvait proposer une activité pratique pour les élèves. La première chose qui lui était venue à l'esprit avait été acceptée avec un entrain qui l'avait un peu surprise, mais qui ne l'avait pas démontée pour autant. Beaucoup de choses lui semblaient parfois bizarre dans cette école.

C'est ainsi qu'un matin elle s'était assise sur le coin de son bureau et qu'avant de commencer le cours elle avait fait son annonce.

- Je vous rappelle que prochainement la direction a demandé que vous rendiez des travaux pratiques, ils peuvent être très divers depuis un show devant la directrice en passant par des podcast ou tout autre matériel pratique. C'est pour cette raison que je propose aux éventuelles intéressée de venir me voir pour éventuellement tourner un court-métrage pornographique en studio. Nous aurons une vraie équipe de tournage avec nous et du matériel professionnel à disposition. La seule contrainte c'est qu'il faut tourner avec moi dans le second rôle, annonça l'enseignante avec un sourire.

Elle laissa sa classe décanter son annonce jusqu'à la fin du cours avant d'annoncer avant la cloche :

- Je serais dans la salle de réunion numéro 3 ce vendredi après les cours pour faire passer les entretiens de celles qui seront intéressées. Vous pouvez venir sans rendez-vous, la seule règle est d'attendre que le témoin à l'entrée soit vert pour venir.S'il est rouge, c'est que je suis déjà en entretiens avec une autre personne.

Tina avait continué à passer le mot toute la semaine et finalement, vendredi elle prit ses quartier dans la salle de réunion en question avec un laptop et une petite caméra sur trépied reliée à ce dernier pour filmer l'entretiens.

Plus qu'à attendre les intéressées... Songea la réalisatrice.

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Je comprends, c'est vrai que si tu ne viens plus très souvent, ça ne vaut pas forcément la peine.

Mieux vaut ne pas trop se forcer pour que ça reste un plaisir et que ça ne devienne pas une obligation, non ?

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Personnages prédéfinis / Re : [LIBRE] La petite amie coquine et libertine
« le: vendredi 15 juin 2018, 13:33:54 »
Je confirme, c'était une panne temporaire. Ou une maintenance du site. Au choix.

Les images sont intéressantes, même si, et c'est un avis qui m'est personnel, je trouve qu'elle ne fait pas très coquine. Le premier mot qui me vient en regardant les images est plus le mot "complexée". Mais comme dit, c'est un avis personnel et je ne veux pas juger tes goûts.

Ce serait pour un RP en particulier que tu cherches cette petit amie ou c'est dans le cadre d'un projet plus vaste ?

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Ce personnage a l'air super intéressant en tout cas, dommage que les liens vers les images soient inaccessibles pour le moment.

Il a trouvé preneur/se ?

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Le vicomte observa le terranide et après l'affirmation qui lui fut faite, le coin de sa bouche eut un tressaillement qui finalement se mua en un demi-sourire d'amusement cruel.

- Tes yeux sont plus expressifs que tu ne le crois petite créature... Je dois admettre qu'après ce que tu as subis, très rares sont les personnes qui ont encore ce regard... Commenta le vicomte en tirant une nouvelle bouffée. C'était bien tenté, un beau mensonge. Mais un mensonge quand même... Termina le vicomte en perdant son sourire.

Il fit un signe de la main et deux hommes approchèrent du terranide par son angle mort. L'un d'eux appliqua brusquement un tissus sur le visage du terranide, le tenant fortement pour maintenir également la tête de la personne. L'autre saisit un arrosoirs et commença à verser de l'eau sur le tissus poreux, aspergeant copieusement le visage du terranide, lui donnant surtout une sensation très proche de la noyade sans pour autant la risquer réellement.

- Tu es intéressant malgré tout. Je vais me pencher sur ton cas... Personnellement... Commenta le vicomte avant de quitter la salle, laissant son esclave subir son supplice de la noyade pour les prochaines heures.

Le capitaine l'attendait à l'entrée de la salle.

- N'est-ce pas un peu beaucoup pour une simple tentative d'évasion ? Demanda ce dernier mal à l'aise.

- Les punitions servent à faire comprendre des choses à ceux qui les subissent, commenta le vicomte en sortant. Celui-ci n'a pas encore compris ce que j'attendais de lui... Commenta le vicomte en sortant.


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One Shot / Re : Par les chemins de l'aventure [Alaïs] - [Lamnard]
« le: mercredi 13 juin 2018, 15:00:15 »
Spoiler: Questions (cliquer pour montrer/cacher)

Avec un simple regard circulaire sur la salle, le marin put remarquer la présence d'au moins cinq serviteurs, ce nombre comprenant la serveuse fille de l'étranger encapuchonné venu la récupérer, mais de contremaître, il ne semble y avoir que l'aubergiste, et encore semble-t-il n'y prêter que quelques coups d’œils inattentifs. L'aubergiste semble vouloir rester derrière son bar, discutant et jouant aux dés avec quelques habitués. Il y a cependant un gardien qui semble être une robuste créature à l'entrée de l'établissement, servant sans doute de videur et probablement aussi de brute à tout faire.

Le gardien est une montagne de muscle qui a l'air de cogner aussi fort qu'il semble stupide, ses petits yeux profondément enfoncés sous arcades sourcilières respirent une satisfaction cruelle et servile, les gens l'évitent car il a la réputation de briser des mâchoire parfois trop facilement. Il porte à la ceinture de son pagne une grosse hache à double tranchants maniable à une seule main, le manche étant trop court pour être pratique à deux, mais ormis cela et ses bottes, il semble ne porter aucun autre vêtement, sauf si l'on compte le collier de dents autour de son cou.

Le videur se tient à côté de la porte principale, entrée par excellence du débit de boisson. Une porte se trouve derrière le bar, juste à la droite du patron de l'endroit et les serviteurs y plongent souvent craintivement pour en ressortir avec de nouvelles bouteilles, de nouveau tonnelets ou autres chopines auparavant vides et ressorties remplies. Une cave a vin est bien plus facile à alimenter au moyen d'une porte extérieur, mais rien ne permet de prouver l'existence d'un tel accès sans au préalable la chercher de l'extérieur ou de l'intérieur.

La salle principale dispose d'un escalier menant à une mezzanine qui laisse voir trois portes. Un observateur attentifs aura déjà remarqué que plusieurs fois des hommes se sont entretenus avec le patron et, qu'après avoir échangé quelques monnaies trébuchante, l'un ou l'autre des serviteurs a accompagné l'homme en question vers l'une des chambre pour y disparaître vingt bonnes minutes et redescendre en se rhabillant tous deux, le serviteur désigné ayant souvent le regard encore plus éteint qu'avant après un passage par les chambres en question. Mais ormis cet étage, aucun autre ne semble disponible depuis la salle principale.

Le nombre de clients est bien plus difficile à estimer, la salle est bien plus bondée qu'elle ne le devrait et le fait est que plusieurs des clients sont de petite taille et ne se voient guère au milieu de la foule. À vue de nez, la salle doit être prévue pour accueillir une quarantaine de personnes, mais le nombre actuel d'occupants doit être bien plus proche des soixante, peut-être même plus. Cependant, ormis une douzaine d'habitués, probablement des locaux à leur dégaine, le reste de la clientèle semble loin d'être fort avinée, ce qui vu la qualité des boissons servies se comprends aisément. Une bonne moité de la clientèle semble avoir à peine touché à sa commande malgré les heures que dure la pluie, l'ayant probablement prise parce que c'est le strict minimum pour être autorisé à entrer.

En-dehors des habitués, l’essentiel sont comme le marin, des voyageurs de passage surpris par la pluie, ayant cherché refuge au dernier moment dans le premier estaminet proche. Une grosse majorité sont armés, et sur cette majorité, un bon tiers a l'air passablement dangereux avec ses armes. Mais aucun ne semble disposé à rentrer dans le tas de son voisin à l'heure actuelle. Il règne un fond de frustration dans l'air d'être ainsi forcés à l'immobilisme, mais pour le moment la clientèle le prend plutôt sportivement, sans faire trop de vagues. Les plus aptes à apporter quelque distraction pour le moment dans l'auberge sont sans doute les natifs qui ont déjà bien entamé leurs chopines, pour les rares qui en sont encore à la première, mais il ne s'agit là que de pêcheurs et de dockers qui tous se tairons probablement au premier grondement du videur.

Mais il y a plus d'un moyen de soustraire quelqu'un à l'attention du reste de la clientèle, et cela le marin le sait bien.

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]
« le: mercredi 13 juin 2018, 14:31:06 »
Il a très bien compris où je voulais en venir. Décidément plus je le pratique, plus je l'apprécie ce Marc. Il rentre dans mon jeu si naturellement que c'en est presque à croire que ça fait des années qu'on joue ensemble alors que ça ne fait même pas dix jours qu'on se connaît et à peine quelques heures qu'on a commencé à vraiment jouer ensemble. Mais la confiance s'est vite installée et je trouve ça génial de voir comme tout est fluide avec lui.

Je soupire et gémit entre ses mains alors que je sens son sexe devenir dur comme de la roche sous mes doigts. Je sens son plaisir monter et je sens le miens en train de bouillir dans mon ventre. Il me susurre des choses perverses à l'oreille et ça me fait sourire en sentant mon excitation monter une nouvelle fois à son paroxysme.

Je pousse profond râle de plaisir en sentant ma jouissance remonter de mon ventre à ma tête en enflammant toute ma colonne vertébrale au passage. Je tremble, agitée des soubresauts et spasmes typiques de mon plaisir qui explose dans toutes les fibres de mon corps.

C'est dans ce genre d'instant que je me rappelle pourquoi j'adore me faire plaisir normalement. Mais là c'est complètement différent parce que je ne suis plus seule et mon plaisir n'est plus de mon ressort.

Je jouis fortement, un orgasme puissant qui à nouveau semble aspirer toutes mes forces. Mais en même temps j'ai la satisfaction de sentir le membre masculin de marc se contracter et éjecter sa semence contre la paroi de la douche. Cette substance épaisse, mais d'une couleur si pure et son goût salé qui ne cesse maintenant de me trotter en tête.

Mais il faut bien dire ce qu'il faut dire : Je n'ai plus de forces.

Je relâche lentement le chibre de Marc, le caressant encore un peu, mais plus doucement.

- Pfou... Je n'en peux plus... Deux fois en une soirée c'est très proche de mon record personnel... Dis-je avec un sourire à Marc. J'imagine que tu connais mieux, mais personnellement je ne suis pas toujours très endurante. Et en deux orgasme, souvent je suis vidée après. C'est très rares les fois où je me suis lancée dans un troisième...

Je me tourne pour l'embrasser doucement, devenant plus caressante pendant que je cherche à récupérer mon souffle. Puis je finis par séparer mes lèvres des siennes.

- Merci... C'était très intéressant... Et très bon aussi mine de rien... Lui dis-je avec un sourire.

Je fini par reprendre ma boule à mousser et je me redonne un petit coup avant de bien rincer et de sortir de la touche les jambes encore un peu tremblantes. Je prend un linge pour m'essuyer, me tournant vers Marc.

- Je t'attends au lit, OK ? Mais pour dormir cette fois, précise-je en me doutant qu'il serait probablement prêt à me ressauter dessus.

Pour moi, l'étape suivante va surtout être de découvrir si j'arrive à dormir avec quelqu'un dans le même lit que moi. Et ça, malgré mon sourire, je sens que ce n'est pas gagné. Pourtant ça devrait être naturel il me semble, mais allez savoir pourquoi, j'ai le trac en grimpant me glisser sous les couvertures.

Est-ce que je devrais m'habiller ? Songe-je juste après.

J'ai toujours porté un pyjama ou au moins un débardeur léger et une culotte pour aller dormir. Mais bon, pour une première impression je ne voulais pas faire gamine. J'ai bien une ou deux nuisettes dans mon sac, mais elles tiennent plus de la lingerie affriolante que du vêtement de nuit.

Bon, les draps sont doux, je peux essayer de dormir toute nue aussi... Songe-je en me disant aussi, et surtout, que ça m'évite de devoir sortir du lit pour me rhabiller.

Je relève donc la couette par-dessus-moi et attends le retour de mon collègue de la salle de bain.

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Je ne peux m'empêcher d’ouvrir de grands yeux en entendant la réponse de Maud. Je connais un peu les principes de la chevalerie à l'occidentale qui sont quand même assez différents de ceux du bushido. Mais même comme ça, son interprétation de "noblesse oblige" me semble un peu poussée à l'extrême. Quand à sa version de l'honneur de sa famille, je trouvais mon grand-père vieux jeu et conservateur, mais je me rend compte qu'en fait il doit être assez soft pour son genre. Vu la description qu'elle fait d'elle-même en cas d'échec, je n'ose pas trop imaginer les conditions dans lesquelles elle a du grandir pour avoir une opinion si tranchée sur le sujet.

Cependant, je comprends vite que cette Maud doit être le genre de forte tête qui ne veut aller que dans le sens qui lui plaît et que la contrarier est sans doute la dernière chose à faire dans ma situation.

Le dernier point de ses affirmation par contre réveille à nouveau ma curiosité.

- Immortelle ? Comment vous faites ça ? C'est une protection magique ? C'est de naissance ? Demande-je.

Effectivement, si elle est immortelle ça doit expliquer beaucoup de choses à son sujet... Pour autant qu'elle le soit vraiment, car elle m'a quand même l'air un peu vantarde aussi...

- Mais même sans être immortelle, vous êtes déjà une incroyable combattante, pas un seul de ces malfrats n'a pu poser un doigt sur vous. En étant si douée, votre immortalité ne doit pas vous servir souvent, si ?

Flattons un peu et voyons où ça nous mène...

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One Shot / Re : Par les chemins de l'aventure [Alaïs] - [Lamnard]
« le: mardi 12 juin 2018, 17:12:57 »
Les deux formes encapuchonnées se tournèrent pour regarder le marin, la tête du terranide à la voix sifflante semblant osciller doucement.

- C'est un peu trop facile... Commenta alors une voix sourde mais grondante sortant de la capuche du deuxième terranide. Tu sors de nulle part, tu nous démasque, et après tu propose de nous aider ? Ça me semble un peu gros...

- Il est sssinsssère, le coupa doucement la voix sifflante. Je le sssens... Ssson coeur ne ment pas...

Le second terranide sembla tourner son museau vers son compagnons avant de pousser un grondement ressemblant à un soupir de dédain.

- Très bien... Je me fie à toi. Mais au moindre faux-pas, je dévore l'humain...

Le terranide reptile sembla hocher la tête avant de se tourner vers le marin.

- Tout est déjà prêt de notre côté, mais nous n'avions pas prévu la pluie... Sss... Sssela complique notre plan. Sssans le bateau nous ne pouvons pas rentrer chez mon asssosssié... Et sssans elle, ssse ssserait déjà réglé...

Le père de la serveuse poussa un nouveau grondement sourd en voyant un humain aviné porter la main au postérieur de sa progéniture.

- Et je crains que sssi l'on agit pas vite, mon asssosssié ne finissse par perdre passsienssse... Il faudrait trouver un moyen de mettre sssa progéniture à l’abri avant qu'il ne perde le contrôle de ssses nerfs...

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- Tout dépend des ambitions que vous évoquerez, répond mon grand-père d'un ton neutre.

Je reconnais bien là mon aïeul. Il déteste précipiter les choses. Il aime à répéter que son âge lui a appris la patience. Par contre la marquise, elle, ne voile pas vraiment ses mots ou ses propositions. Juste assez pour qu'on ne puisse pas l'accuser directement, mais pas de manière à en compliquer la compréhension. Je suis plutôt surprise qu'elle attaque aussi directement avec ce genre de propos relativement osés. Parler d'un roi dans une contrée qui n'en a plus depuis des décennies et d'un genre un peu provoquant à mon avis.

- Quand vous parlez de stabilité, je pourrais comprendre cela de la part d'un dirigeant ayant la trentaine bien pesée ou encore la quarantaine. Mais à un âge avancé, s'il y a bien une chose qui a tendance à vaciller, c'est la santé. De là à parler de stabilité, il se trouve un léger écart... Commente-t-il avec un sourire plutôt poli.

Je me méfie toujours un peu des sourires de grand-papa, je ne sais jamais s'ils signifient qu'il est vraiment aimable ou s'il s’apprête au contraire à démanteler l'argumentaire de son interlocuteur. Même si dans le cas présent, je devrais plutôt parler d'une interlocutrice.

Pour le coup, je pense qu'il chercher plutôt à dresser une estimation de la marquise. C'est en tout cas ce que je ferais. Vu qu'elle semble ne pas avoir peur de se dévoiler. Elle a l'air d'ailleurs d'avoir été généreusement dotée par la nature.

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Les gardes reprirent leurs rondes monotones pendant quelques temps avant de remarquer un comportement bruquement changé de la part du prisonnier pendu la tête en bas. Alors qu'il s'était contenté de pendouiller sans réagir, celui-ci commença à remuer de manière frénétiques, poussant des sons inarticulés étouffés par le bâillon.

- Qu'est-ce qui lui prend tout à coup ? Demanda un nouveau garde à son compère.

- Aucune idée. En même temps, comment tu veux que je le sache ? Je suis pas toubib, répondit son interlocuteur.

- Hé mais, il est en train de se pisser dessus ! Prévint soudain le premier en faisant quelques prudents pas en arrière, imité par son collègue.

- C'est quoi son délire à celui-là ? Répéta le second garde.

- C'est une expérience de mort imminente, répondit passablement agacée la voix du vicomte depuis le dos des gardes.

Ceux-ci firent volte-face avec une expression surprise, aucun des deux n'avait entendu le vieux seigneur venir. Celui-ci fixait le prisonnier qui s'agita encore un bref moment avant de s'immobiliser, se relâchant.

- Dépêchez-vous de le décrocher, sinon il risque vraiment de mourir... Ordonna le vicomte. Descendez-le à la salle d'interrogatoire et sanglez-le au chevalet.

Les deux gardes hochèrent la tête pendant que le vicomte se tournait pour partir. Il croisa le capitaine l'air assez mécontent qui remontait l'escalier menant à la potence.

- Un incident capitaine ? Demanda le vieux seigneur.

- Je crains de m'être trouvé trop proche de sous l'esclave au moment de son décès... Gronda le capitaine en désignant son casque et ses épaulières humides.

- Oh, il n'est pas mort, même si ce n'est certainement pas passé loin... Commenta le vicomte en sortant sa pipe. Même si les terranides sont plus résistant que les humains la tête laissée en bas, il finissent de toute manière par en souffrir. Au final, le cerveau en manque de stimuli externes fini par accorder trop d'importance aux messages internes et à les surestimer, provoquant délire, paranoïa et panique en phase terminale du processus. S'il était réellement décédé, vous auriez eu d'autres soucis que quelques gouttes sur le casque car les sphincters se seraient également relâchés.

Le capitaine ne dit rien mais s'écarta en voyant les soldat redescendre le pendu inerte.

Le vieux seigneur regarda passer ce train en bourrant le fourneau de sa pipe avant de la porter à sa bouche et de reprendre sa marche.

- J'imagine qu'il reprendra le travail sitôt qu'il sera soigné ? Demanda le capitaine.

- Tout dépend, pensez-vous qu'il soit obéissant désormais ?

- Il a été suffisamment punis pour une tentative ratée je trouve, il n'a même pas atteint le mur d'enceinte.

- Vous n'avez pas répondu à ma question, remarqua le vicomte. Peut-être devrais-je m'intéresser aux pichets de vos gardes qui semblent faire bien plus que le litre d'eau réglementaire qu'il aurait dû avoir dans le ventre ?

- Il a eu plus ? S'étonna le capitaine.

- Je n'ai jamais vu quelqu'un avec le ventre aussi gonflé pour un seul litre. Trouvez-moi le responsable, capitaine. Je lui ferais passer le goût de l'exagération.



Après que le barbier-chirurgien soit passé pour contrôler l'état du terranide, celui-ci fut une nouvelle fois sanglé, mais cette fois allongé sur le dos, bras et jambes écartés en croix sur un chevalet. Son bâillon et son bandeau lui furent retirés et on l'aspergea d'eau glacée pour le réveiller et chasser en partie les odeurs d'urine dont il s'était copieusement aspergé.

- Toujours rien à dire pour ta défense ? Demanda le vicomte debout au pied du chevalet, fixant l'esclave dans les yeux comme s'il cherchait à les sonder, le fourneau de sa pipe rougeoyant éclairant son visage par-dessous.

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- Il s'agite le bougre ! S'exclama l'un des deux gardes.

- Il a compris ce qui l'attendais, on peut pas lui en vouloir, commenta l'autre soldat.

- Les ordres sont les ordres, repris le premier en attrapant la queue touffue du terranide.

Le garde tira dessus pour tenter de la faire bouger, mais force du désespoir ou autre, le terranide bougea tout entier plutôt que juste son appendice caudal ne vienne. Un silence surpris s'installa suivit de peu par un quinte de rire du second garde.

- Faut le maintenir avant de tirer, je te rappelle qu'il est suspendu !

- Viens me donner un coup de main au lieu de rire ! s'exclama l'autre en s'y mettant à deux main et en collant sa botte contre le dos du pendu pour essayer de retirer sa queue touffue de l'entrée de son fondement.

Comme il peinait, le deuxième vint l'aide et ensembles ils tirèrent sur la queue de Mystère jusqu'à finalement la dégager en arrière.

- Tiens-le bien !

- Tu parles que je vais le tenir, s'il continue comme ça je m'y suspend ! on verra s'il continue de faire le mariole ! S'exclama le deuxième garde d'une voix congestionnée par l'effort.

Le deuxième garde fit bouger des objets qui tintèrent, puis finalement le terranide put sentir un embout froid et métallique qui chercha à se frayer un chemin à travers son anus. Le garde pesta en y parvenant pas immédiatement.

- Par la malepeste ! Il serre les fesses plus fort qu'une prêtresse que le diable tenterait de chevaucher !

- Et il s'agite ! Grogna le deuxième garde chez qui la voix commençait à gronder de colère.

Par une sorte de coup de chance, le tarranide à force de faire l'anguille sentit un choc mou à l'arrière de son crâne, puis la pression se relâcha d'un coup sur sa queue alors que le garde énervé poussait un cri suraigu.

- Gapard ?!?

- Mes couilles... Il m'a fracassé les couilles... Commenta le blessés d'une voix étranglée.

Un silence se mit en place pendant quelques secondes.

- Ok, tu le prends comme ça mon gaillard... Commenta la garde indemne.

On entendit des bruits de mouvements, il n'était pas compliqué de comprendre que le soldat en bon état aidait l'autre à rentrer. Mais peu après, d'autres bruits de botte se firent entendre, et nombreux cette fois.

Quatre solides paires de bras entourèrent le terranide, le maintenant comme dans un étaux et quatre mains saisirent sa queue pour la tirer douloureusement fort vers le bas, comme si l'on tentait de la lui arracher.

Finalement, une pointe métallique se fraya un chemin à travers l'anus, suivit de peu par le cône de l’entonnoir qui, plus huilé, facilita la fin du transfert.

- Très bien, on le tiens. Maintenant tu peux y aller avec ton pichet.

- Qui a parlé de pichet ? Demanda sombrement la voix du deuxième garde de tout-à-l'heure. Poussez-vous.

- Hé, ça fait pas un peu beaucoup ? Demanda une autre voix surprise.

- L'avais qu'à se tenir tranquille... Répliqua l'intéressé.

Le terranide sentit le liquide froid lui envahir les entrailles sans pouvoir y faire quoi que ce soit. "Comble du bonheur", l’entonnoir versait droit sur la paroi derrière laquelle se trouvait la prostate du pendu. Mais très vite celui-ci compris que ça n'avait rien à voir avec le pichet qu'on lui versait dans l'anus. Au bruit il compris que c'était carrément le contenu du seau que le garde lui renversait dans le fondement. Et il continua, et continua, le ventre du terranide gonflant à cause de cela car aucun corps n'est prévu pour être remplis dans ce sens-là.

- Hé ! Ho ! Ça commence à faire beaucoup là ! Commença à s'exclamer un autre garde.

- M'en cogne ! Répondit le verseur en continuant son office.

- Bon ça suffit maintenant ! S'exclama une autre voix plus grave. Si son ventre éclate, le vicomte aura ta peau !

Avec un grommellement, le garde se stoppa enfin et l’entonnoir fut ressorti de son logement anal qui peinait à contenir tout ce qui y avait été inséré.

Les gardes relâchèrent ensuite le terranide plein comme une outre qui ballota d'avant en arrière suspendu à sa potence et alourdi de plusieurs bon litres d'eau.

Il n'y avait plus qu'à espérer que le vicomte ne remarquerais pas ce détail ou qu'il n'en aurais rien à faire. Cependant l'homme n'était pas connu pour ignorer quand on désobéissait à ses ordres.

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Archives publiques / Re : Foire aux questions[NEW]
« le: lundi 04 juin 2018, 16:53:23 »
Ah ? J'ignorais que la prostitution était interdite en France. Chez moi c'est autorisé.

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