Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Alaïs Antonius

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
Prélude / Re : Ayako Nisawa [Keiralidée]
« le: vendredi 21 septembre 2018, 11:14:51 »
C'est normal qu'elle ait "que" 15 ans ?

Bienvenue sinon.

2
One Shot / Re : La maman de ma meilleure amie [Alaïs] - [Magdalena Takao]
« le: mercredi 25 juillet 2018, 10:02:16 »
Je subis en silence les premiers assaut de madame Ayane, paralysée par la surprise de la découverte que la mère de ma meilleure a mie a décidé de se faire plaisir avec moi sans même m'en touche un mot. Moi qui lui faisait confiance aveuglément, un peu comme une seconde mère, cet abus me sidère à un point que je n'imaginais pas possible.

Elle me déculotte sans la moindre scrupule, et continue de frotter son sexe contre le miens, me faisant durcir bien malgré moi, je dois déployer des efforts immenses pour me retenir de gémir parce que c'est agréable malgré tout.

Mais je sens malgré tout la panique me saisir quand je la sens prendre mon sexe en main et que je sens ses lèvres intimes s'écarter sur mon gland. Mais elle s'arrête juste au moment de le rentrer vraiment. Je sens un moment d'hésitation et je me demande si elle ne vient pas juste de réaliser qu'elle n'est pas dans un fantasme et qu'elle s'apprête à me violer.

Si elle se retire maintenant, je veux bien encore lui pardonner. Même si maintenant je vais avoir toutes les peines du monde à m'endormir avec la trique comme...

à ma grande surprise, elle semble finalement décider de s'empaler sur moi et je sens son sexe dégoulinant commencer à glisser autour du miens.

Cette fois, mon sang ne fait qu'un tour et j'ouvre les yeux immédiatement. Profitant de la surprise, je saisis l'un de spoignets de Madame Ayane et me sert de mes cours de judos pour lui faire une clé de bras et la plaquer contre le lit. Mon action entraîne bien sûr la sortie de mon sexe du sien, mais cette fois je suis énervée.

- Madame Ayane ! Vous n'avez pas honte ! M'exclame-je la colère présente dans la voix. Mes parents vous ont fait confiance et moi aussi, et c'est comme ça que vous... Que vous... Me traitez ?

Je suis de très mauvaise humeur, mais en même temps je suis aussi assez gravement excitée. Madame Ayane, même plaquée contre mon lit reste une femme super sexy et de sentir sa peau contre moi ne m'aide pas à me concentrer.

Mais j'ai besoin d'une réponse, alors j'attends en la maintenant, la figure un peu plaquée contre les draps, mais elle peut respirer et parler.

3
Le vicomte regarda le terranide. Il vit dans ses yeux la lueur indiquant qu'il n'était toujours pas brisé.

Le vieile homme resta perplexe de longues minutes en observant Mystère.Constatant que le félidé avait décidément un caractère ceint si robustement au corps, il comprit que s'il insistait pour l'en détacher, il faudrait l'amener si proche des portes de la mort que les chances de survie à un tel traitement n'apportaient aucune garantie fiable de pouvoir ensuite exploiter à nouveau sa propriété.

Heureusement, le vicomte était de bonne humeur. Il ne voyait pas l'intérêt d'aller si loin. Mais s'il n'avait pas obtenu le résultat recherché, il estimait du coup que le terranide devait malgré tout être repris en main.

Très bien, tu as gagné la première manche petit. Mais voyons comment tu te comportes à la deuxième.

- Admettons... Murmura le vicomte en se détachant du terranide pour tirer sur sa pipe. Gardes, détachez-le. Lavez-le et séchez-le. Puis mettez-lui une muselière, un collier, une laisse et un bandeau d'aveuglement. Ensuite, amenez-le moi. Et assurez-vous qu'il reste bien à quatre pattes. Après tout, les animaux "libres" ne marchent pas sur deux pattes et n'ont pas besoin d'habits... Commenta le vicomte en sortant.

Les gardes haussèrent les épaules, délièrent le terranide et firent comme on leur avait dit, le plongeant presque de forces dans une baignoire d'eau savonneuse et le firent frotter par une autre esclave avant de le faire sécher et de le munir du collier, du bandeau, de la laisse et de la muselière.

Peu après il était conduite à quatre pattes dans les couloirs du manoir. Mytère ainsi paré était aveugle et muet, mais pas sourd. Aussi entendit-il quand on poussa la porte.



Cela faisait plusieurs mois que je n'avais pas vu mon gand-père. Toujours aussi grand, aussi sex, l'air aussi sévère que d'ordinaire, même si un peu comme d'habitude il me sourit en m'acceuillant et me demande si j'ai fait bon voyage.

- Les routes sont un peu cahoteuses comme d'habitude grand-papa. Mais ça me fait plaisir d'être ici.

Sur ce point-là je suis assez honnête. La semaine dernière a été extrêmement lourde en devoirs et examens que j'ai déjà fait l'années d'avant.

Si seulement mon école n'avait pas brûlé... Songe-je en soupirant.

- Tu sembles en forme grand-papa. Tu tes portes bien ?

- Parfaitement, répond mon grand-père. Notre coeur nous rend plutôt résistant aux maladies, tu le sais bien.

J'hoche la tête à sa réponse quand la porte s'ouvre, la vision d'un terranide nu et baillonée me fais lâcher un léger hoquet de surprise.

- Grand-père, qu'est-ce que ça veut dire ? M'exclame-je embarassée.

- Hmm ? Ho, ce n'est qu'un esclave qui a fait une tentative d'évasion. Je lui rappelle le prix de la liberté.

- Le prix de la liberté ? Grand-père... Commence-je avant de m'interrompre quand il lève sa main.

- Je connais bien ton point de vue sur le sujet Alaïs, tu me l'as martelé au moins dix fois, si ce n'est plus. Mais le fait est que je ne peux pas laisser une faute impunie.

Mon visage se ferme et je croise les bras sous ma poitrine. Je suis au moins aussi butée que mon grand-père quand il s'agit de nos opinions respectifs.

- Et tu penses qu'en le promenant nu au bout d'une laisse tu va lui donner envie de ne pas recommencer ? Demande-jed'un voix grinçante.

- En l'humiliant publiquement, je veux qu'il comprenne qu'il a intérêt à obéir s'il ne veut pas que je recommence, me corrige-t-il d'une voix ferme. Un jour tu devras toi aussi passer par là pour te rendre compte que l'humiliation est parfois bien plus porteuse de fruits que la violence ou la douleur.

- Je ne crois sincèrement pas que je m'y adonnerait un jour... Commente-je.

Malheureusement mon commentaire à l'air de vexer mon grand-père. Décidément ces vacances commencent bien.

- Crois-tu... Dans ce cas, je vais l'assigner à ton service.

- Pardon ? J'ai dû mal entendre ! m'exclame-je surprise.

- Tu as très bien entendu. À partir de maintenant il est en charge de toutes les tâches pour ton confort et ton bien-être. Et si tu tentes de le faire chômer, je lui ferais décoller la peau du dos à coups de fouets. Et, bien entendu, il n'a le droit de retirer ni sa muselière, ni sa laisse, ni son bandeau. De toute façon il n'a besoin ni de sa gueule ni de ses yeux pour te servir. Et si ça se passe mal, je pourrais tout-à-fait envisager de rendre sa cécité permanente s'il n'y prend pas garde...

Je pâlis un peu en regardant mon grand-père. J'oublie trop souvent qu'il peut être aussi implacable que les pierres quand il s'y met.

- Tu dois être fatiguée, prends-donc congé pour déballer tes affaires et te reposer... Continue mon grand-père, me faisant ainsi comprendre que je suis congédiée.

- Bien, je vous revois à souper, semble-t-il ? commente-je aigrement en me levant pour prendre mon sac.

- En effet. Et Alaïs ? Depuis quand une grande dame porte-t-elle elle-même son sac ?

Mon grand-père ayant visiblement décidé de m'énerver, je fini par poser le sac sur le dos de la pauvre créature et prend sèchement la laisse au garde avant de le tirer doucement dans mon sens.

- Allez toi, suis-m...

Je réalise que c'est très idiot de ma part parce qu'il ne voit rien.

- Heu... suis la direction où je tire la laisse, réessai-je gentiment avant de commencer à le faire.

J'essaie de le guider ainsi jusqu'à ma chambre le plus doucement que je le peux avant de le faire entrer et de le débarasser de mon sac.

- Désolé de comment mon grand-père te traite... Dis-je avant de revoir la muselière et de comprendre qu'il ne pourra pas me répondre.

Sans vraiment d'autres idées, je tente de lui caresser la tête.

- Je suis désolée... Je te promet de ne pas te traiter mal...

4
One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]
« le: mardi 24 juillet 2018, 14:37:30 »
Je réalise à ce moment que j'ai beaucoup de chance car Marc est vraiment très compatissant. Mais d'un autre côté, je me dis aussi que ne pas faire le show du soir ne va pas être possible. Nous avons monté cette opération pour essayer d'attirer un maximum de public et annuler une date à moins d'un heure du début, de mon avis, ça ne se fait pas.

Pourtant, je pense qu'il va falloir que je me force un peu. Déclare-je convaincue.

Je savoure un peu son contacte, mais lève un regard décidé vers lui.

- Je ne te force pas, mais je me suis engagée pour deux shows préparatoirs avant le grand soir. Ce n'est pas un petit saignement qui va me faire me défiler. Mais il va falloir que je change mon fusil d'épaule rapidement.

Je le serre contre moi, glissant mes mains contre ses flancs pour l'entourer de mes bras.

- Je vais faire le show, mais pour éviter de dégouter le publique, je ne pourrais rien faire incluant un quelconque plaisir vaginal. J'ai mis un tampon pour éviter que ça coule, mais il faut que je garde ma culotte devant ma minette pour que ça ne se voie pas. Avec ton aide, j'ai bien une idée, mais il faut que je sache maintenant si tu es avec moi.

5
Tina n'était pas vraiment une camérawoman accomplie, elle avait des notions de cadrage, mais pas grand-chose de plus. Cependant, elle put saisir l'essentiel de la scène. Elle avait été agréablement surprise que la jeune fille soit aussi à l'aise devant une caméra.

Elle l'entendit soupirer et la laissa se toucher jusqu'au moment où un petit jet de cyprine termina sur l'objectif de sa caméra. La scène avait duré à peine quelques minutes, mais l'enseignante se rendit compte qu'elle était elle-même bien excitée quand elle se releva.

Ah non ! Ce n'est pas le moment ! Songea-t-elle contrariée, même si elle n'était pas si surprise que cela.

Cette jeune charlotte était vraiment un futur talent en bouton. Mais une domina pouvait aussi poser des problèmes sachant qu'elle se trouvait face à une ancienne soumise. D'un autre côté, Tina ne pouvait nier qu'elle était ésormais bien excitée et qu'elle se ferait bien un petit plaisir...

Un truc qui dure pas long, juste pour me soulager et je fais passer ça pour une partie de l'entretiens...

Mais là, comme ça, en plaisir saphique, rien ne lui venait à l'esprit qui ne prenne pas très long à part demander à la jeune charlotte de lui brouter la chatte. Ou alors faire un "petit" coup de ciseaux, mais Tina se connaissait, elle était longue à jouir dans cette position. Et ça, elle le devait à des années d'entraînement pour se retenir au grés d'un producteur.

Mais l'école était spéciale et Tina se souvint qu'il y avait ici un économat disposant de certains articles hors norme, même pour une école basée sur le sexe. Don nottament un article qui lui faisait de l'oeil depuis un certain temps et qu'elle mourrait d'envie d'essayer.

- Humm... Je suis assez satisfaite oui, mais sauriez-vous vous plier aux demandes d'une réalisatrice mademoiselle charlotte ? Demanda l'enseignante. Après tout, vous êtes une domina très douée, mais dans un film, il y a une autorité au-dessus de vous, cela risque-t-il de vous déranger ?

Elle écouta la réponse avec attention, malgré qu'elle sente une grande chaleur dans son entrejambe qui menaçait de la submerger à tout moment.

- Vraiment ? Le fait est que j'ai tout ce qu'il me faut pour l'entretiens, mais je pense que mon équipe aurait besoin d'encore un petit bout de vidéo vous concernant... Et comme je suis la réalisatrice, je pense que nous aurions besoin d'un accessoire spécial pour le réaliser...

La prof lui laissa un peu de temps pour digérer l'information et répondit à la question qui vint naturellement derrière.

- Je pense que l'accessoire qu'il nous faut, c'est une bite... Entendons-nous bien, pas un gode-ceinture ou un accessoire en silicone pour simuler une pénétration. Je sais que l'école propose des objet permettant à une femme de se doter d'un sexe masculin et je pense que nous devrions filmer une petit scène où vous vous faite prendre, histoire de bien démontrer que vous êtes prêtes à suivre des instructions impérvues...

Depuis le temps que je rêve de me taper une élève avec une vraie bite... Faites qu'elle dise oui !

6
Tina écouta la réponse avec un intérêt marqué. Pour un plateau de tournage ce pouvoir pouvait être extrêmement intéressant. Elle frisonna et émis un petit gémissement surprise quand Charlotte lui donna une démonstration rapide.

- Hou ! Tressailla l'enseignante en se sentant rougir un peu. Oui, j'ai bien senti...

La liste des expériences de la jeune fille était également plutôt longue et intéressante, de quoi motiver l'imagination de réalisatrice de Tina et lui faire penser qu'elle avait trouvé la candidate idéale pour son petit tournage. Il ne lui restait que peu de points à vérifier.

- Je constate que vous semblez faite pour faire partie d'un studio de pornographie. Vos capacités seraient extrêmement valuables. Savez-vous que sur une vidéo de trente minutes sur le web nous avons parfois jusqu'à une semaine de tournage ? Vous savez, souvent les acteurs et les actrices ont besoin de longues pauses car, quand vous passez plus de quinze minutes à vous faire fourrer par un sexe d'acteur pronographique, il est en règle générale très dur de ne pas jouir très vite. Et si l'on a le malheur de faire sa vidéo à la lumière du soleil, pour éviter les faux raccords au montage on est parfois obligés de suspendre le tournage jusqu'au lendemain même heure. Tandis que si vous pouvez contrôler le plaisir des acteurs et des actrices, ça pourrait permettre des tournages avec des pauses plus brèves.

Tina ne précisa pas que le facteur de fatigue physique était important aussi, tout simplement parce que le principal facteur imposant les pauses était surtout l'excitation des acteurs.

- Sans vous mentir, vous seriez sans doute une plus-value très appréciable à un studio proffesionnel. Mais revenons à votre entretiens si vous le voulez bien.

Tina se leva pour décrocher la caméra de son support et la prendre en main.

- Maintenant que nous avons contrôlé vos connaissance et votre capacité à rester nue devant une caméra, je suis navrée de vous infliger cela, mais auriez-vous l'extrême gentillesse de bien vouloir vous masturber un peu ? Demanda la prof sans rougir un seul instant.Nhésitez pas à me considérer comme faisant partie du mobilier, je dois simplement vérifier si vous êtes capable d'être excitée et de rester naturel devant une caméra.

ce disant Tina vint se positionner devant la jeune fille et se mjit à genoux pour la filmer en contre-plongé afin d'avoir à la fois sa vulve, sa figure et sa poitrine à l'image. L'Objectif était quand même de voir si la domina savait se conformer à des demandes spécifiques n'émanant pas d'elle et aussi si elle pouvait malgré tout prendre du plaisir devant un objectif.

- C'est votre première fois devant une caméra ? Demanda Tina plus par curiosité qu'autre chose.

7
Je dois avouer que la remarque sur la salle de bain me fait immédiatement penser que la guerrière en face de moi doit être du genre assez pourrie-gâtée quand elle n'est pas sur un champ de bataille. La suite ne fait que me le confirmer et je dois bien me retenir de lui faire signaler que je ne suis pas handicapée au point de ne pas pouvoir me laver toute seule.

Cependant elle ne me fait pas de scène à propos de ma demande, se contentant juste de me dire que ça a l'air triste chez moi, ce qui m'agace quand même un peu. Mais comme elle met pieds à terre pour m'aider à descendre, je me retiens de lui faire le commentaire. La partie qui me choque quand même le plus c'est qu'elle a l'air sérieuse quand elle me dit ça.

Elle m'informe qu'elle va rester en arrière pour vérifier les voyeurs. Je me fais la réflexion un peu tard qu'elle n'a pas tord et que j'aurais dû y penser avant. J'hoche la tête à son propos.

- Merci Maud, c'est gentil...

Mais la suite me fait lever haut des sourcils assez surpris. Que je ne fasse pas seulement me frotter les bras, que je profite de l'eau.

Heuuu... Je dois le prendre comment ?

Je pensais faire simplement une petite toilette rapide, mais vu comme Maud a l'air d'insister, je commence à avoir quelques doutes à propos de son histoire de voyeurs. Je commence même à me demander si le voyeur ne serait pas plutôt une voyeuse.

Je dois me faire des idées... Du moins, on va dire que si elle veut mater, je ne saisis pas bien l'intérêt dans notre situation actuelle...

Pourtant je me rends au bord de l'eau et trempe un pied dans l'onde claire et pure de la rivière. Elle est froide, pas trop mais bien plus que je ne l'aurais voulu.

Ben si elle veut se rincer l’œil, avec ça elle va être servie ! Je vais avoir les tétons qui vont durcir vite avec de l'eau si froide sur la poitrine.

Pourtant, je finis par faire passer ma chemise de nuit par-dessus ma tête, me retrouvant immédiatement en culotte. Et comme je ne tiens pas à devoir tout faire sécher, je la retire également pour la poser sur les pierres. Ma robe de chambre finit à la rivière et pendant que je me passe sous l'eau en frissonnant et soupirant à cause du froid, j'essaie aussi de la nettoyer un peu. Déjà que je me trimballe en chemise de nuit,je souhaiterais juste que ce ne soit pas une chemise tachée de sang et de vomi.

Les taches sont encore récente alors le simple fait de les mouiller en dégage rapidement la majeure partie, mais je suis quand même obligée de me mettre à genoux, dos à la paladine, pour frotter et tendre le tissu pour chasser les impuretés. Il me faut quelques minutes pour obtenir un résultat à peine satisfaisant, mais au moins le fait de bouger dans l'eau m'a permis de m'acclimater un peu à la température. Je sens mes seins pointer un peu durement, mais autrement tout est en ordre.

Je profite d'une zone de la rivière qui est assez calme pour me servir du reflet et regarder un peu derrière moi. Le moins que je puisse dire, c'est que ma "protectrice" a l'air à mille lieue de surveiller les autres voyeurs, elle a plutôt l'air de se rincer l’œil comme une sacrée gourmande.

Ou une gourmande sacrée, ça fonctionne aussi... Songe-je en m'étonnant presque que ça ne me dérange pas tant que ça.

Bon, si, ça me dérange un peu qu'on me matte au bain sans m'avoir demandé avant. Et ma vie privée, bordel !

Mais à côté de ça, vu ce que j'ai déjà fait devant une webcam et le fait qu'il y avait des centaines de spectateurs sur lesquels je n'avais aucun contrôle qui me regardaient, je me rends compte qu'en fait ce n'est pas si différent. Même si regarder une fille se laver n'a rien de très intéressant à mes yeux.

Peut-être qu'elle vient d'un de ces société tellement ancrées dans le moyen-âge que le simple fait de voir le dos ou les jambes d'une fille est déjà un acte érotique en soit... Me demande-je en préférant garder le silence pour le moment.

Mais comme elle m'a sauvée d'un kidnapping et d'un rapport anal non-désiré, je me dis que si elle souhaite me mater au bain, au final c'est un bien petit prix pour mon sauvetage.

N'ayant pas d'autres idées je prend de l'eau avec les mains et m'asperge copieusement, puis commence à me frotter un peu avant de tilter sur sa phrase.

" Prend ton temps. Ne te presse pas, et surtout, ne fait pas genre, tu frottes tes bras, et c’est tout ok ! Profite de l’eau ! "

Aaaah... Ok, en fait elle veut carrément un show !

Maintenant que je commence à comprendre, je commence aussi à me demander si elle m'a cernée au premier regard ou si c'est juste un hasard. Mais au final ce n'est pas si important. Dans le premier cas je suis grillée de toute façon, dans le second cas, si je ne lui donne pas ce qu'elle demande et qu'elle se fâche je vais l'avoir dans l'os. La seule solution dans les deux cas c'est de lui donner ce qu'elle demande.

Je recommence à me frotter avec de l'eau, mais mine de rien je change doucement de manière de faire. Je me mets à tortiller un peu des hanches avec mes mouvements de bras. Puis j'exagère un peu les mouvements quand je passe avec mes mains sur mes flancs. Prenant mon temps, je continue en me déhanchant un peu trop en passant les mains sur mon ventre, puis je fais exprès de me mettre "par hasard" un peu de flanc pour qu'elle me voie me frotter les seins à l'eau. Je garde les yeux à moitié fermés et pousse de légers soupirs en passant mes doigts sur mes tétons dressés de longues secondes comme si je savourais cet acte érotique.

Finalement je plonge avec mes mains pour me passer la vulve à l'eau et pousse de petits soupirs un peu exagérés pendant que je mes mains glissent entre mes cuisses. Je continue à me caresser longuement avant de finalement m'arrêter quand je sens que malgré tout un peu de rouge me monte aux joues. J'ai déjà fait durer bien des minutes supplémentaires ce qui aurais dû être un simple rinçage, j'espère que mon publique est satisfait. Je rouvre un peu les yeux en me tournant pour sortir de l'eau, espérant que la paladine ne va pas se méprendre sur le spectacle que je viens de donner.

8
One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]
« le: lundi 25 juin 2018, 11:00:11 »
Après avoir rangé nous nous sommes séparés sur une dernière bise. Honnêtement ce n'est pas désagréable du tout de faire des shows à deux. Ça me donnerait même presque envie d'en faire un métier... Mais d'un autre côté, je sens que si je devais en vivre, je perdrais la moitié, si ce n'est le trois-quart, du plaisir autour de cette activité.

N'empêche, j'ai déjà hâte qu'on soit vendredi prochain !

Je découvre vite que Marc ne fait rien pour m'aider à patienter. Bien au contraire, il se comporte comme un toutou en chaleur et m'envoie image salace sur image salace de lui. Et comme une idiote, je finis par entrer dans son jeu, commençant même à emmener certains de mes sextoys à l'école pour me faire des petits plaisirs-surprise dans les toilettes ou les douches pour lui en envoyer des clichés.

Déjà dès mercredi c'est une vraie torture de ne rien pouvoir m'enfiler et j'ai bien l'impression que je commence à avoir des crampes vaginales de ses photos tant que je me contracte sur un membre qui n'est pas là !

C'en est au point où vendredi je me fais porter pâle, et je suis si excitée qu'au final je passe une bonne partie de la matinée à me faire vibrer le clito pour avoir presque trois orgasmes sur la journée.

Le revers de la médaille, c'est que je sens en arrivant à l'hôtel ce soir-là que je suis un peu à plat. Dans le sens où je le retrouve dans l'hôtel et qu'on monte à la chambre, mais que je n'ai plus très envie de grand-chose.

Merde... Je me suis trop fait jouir et maintenant j'en ai plus envie... Songe-je en essayant de ne pas laisser voir à Marc que je suis préoccupée.

Je n'ai jamais tenté de faire un show en ayant envie de rien. En règle générale, j'ai toujours allumé ma caméra quand j'étais déjà extrêmement excitée et à la limite de jouir toute seule. C'est maintenant que je sens que j'aurais plutôt dû aller au bahut, au lieu de rester chez moi à me contenter. Au moins à l'école, je n'aurais pas pu me jeter sur un vibro comme je le souhaitais.

Nous re-déballons la matériel et comme il est encore tôt, je propose de regarder les vidéos de la dernière fois, soi-disant pour voir s'il faut corriger des angles de vues, mais ayant secrètement l'envie que la vue de nous deux en train de faire des cochonneries me rallume ne serais-ce qu'un peu.

Malheureusement, rien ne se passe et si je sens bien que Marc recommence doucement à s'exciter, cela ne me fait hélas ni chaud ni froid.

Je comprends pas, pourtant normalement un bon film X ça me redonne envie facilement...

Je finis par précéder Marc dans la douche comme la dernière fois, songeant que je pourrais essayer de me caresser un peu sous l'eau chaude pour essayer de relancer la machine. Sauf qu'au moment de passer au toilettes avant la douche je comprends finalement pourquoi j'ai autant de peine.

Je ressors, uniquement vêtue d'une culotte et regarde Marc d'un air un peu dépitée.

- Marc, il y a un soucis, j'ai mes règles... Annonce-je en rougissant de honte.

Celle-là je ne l'avais vraiment pas vue venir...

9
L'enseignante hocha la tête en écoutant ce que la jeune dominante lui disait. Comme elle avait obtenu l'autorisation de celle-ci pour que l'entretiens contienne une partie dénudée, elle songea qu'elle ne devait pas trop tarder histoire d'éviter qu'elle ne change d'avis.

- C'est très intéressant Charlotte, Accepterais-tu de commencer à te déshabiller pendant que je te pose les prochaines questions ?

Toujours rester dans la demande permettait à Tina d'amener plus facilement les choses à une dominante en lui laissant le choix de la suite. La seule petite astuce était que les questions étaient relativement fermées quand elle demandais que quelque-chose soit fait. Les questions de l'entretiens elles étaient plus ouvertes pour masquer ce petit détail. Elle avait appris avec le temps qu'une bonne soumise est souvent celle qui amène son maître, ou sa maîtresse, à lui faire ce qu'elle souhaiterais en lui faisant penser que c'est lui/elle qui en avait eu l'idée.

L'institutrice découvrit avec un sourire appréciateur le soutiens-gorge délicieusement assortis à ses pupilles. Il était jolis, mais Tina se serait attendue à quelque-chose d'outrageusement plus sexy sur une dominante. Après tout, les domina étaient souvent des personnes avec des caractères plutôt provocants. Mais il existait parfois des exceptions et Tina se demanda si elle était en face de l'une de celles-ci ou si le caractère de la jeune fille n'était juste pas encore suffisamment affirmé.

À la question de la jeune fille, Tina eut un léger rire.

- Je crains hélas qu'il ne me faille vous quémander la nudité la plus totale, répondit l'institutrice sur un ton d'excuse.

Elle laissa la jeune dominante terminer ce qu'elle avait commencé avant de reprendre l'entretiens.

- Active sexuellement depuis un peu moins d'un ans avec des partenaires ? Ce n'est déjà pas si mal je trouve. Et à quels actes sexuel vous êtes-vous déjà livré ? Par "acte sexuel" j'entends par là "une sodomie", "un cunnilingus" ou encore "une levrette avec un gode-ceinture". Je suis navrée de vous imposer cela, mais je vais avoir besoin de thermes spécifiques et décrivant au mieux les actes avec lesquels vous êtes déjà familière. Et si vous pouviez précier aussi si vous étiez la receveuse ou la donneuse, ce serait impeccable !

Elle écouta scrupuleusement ce que l'élève lui décrivait, ne pouvant s'empêcher de sentir sa propre poitrine pointer et son entrejambe se réchauffer à la mention de toutes les belles choses que la jeune Charlotte avait déjà tenté et qui donnaient de sérieuses envies à Tina  de sortir un collier de son sac, de se mettre nue aussi et de jouer un peu. Mais elle se retint car c'était un entretiens avec tout. Elle compris cependant que pour une débutante, elle avait affaire à une débutante douée et volontaire.

- Vous êtes décidément une jeune femme épatante Charlotte ! Je comprends un peu mieux pourquoi vous êtes si bien notée en cours.

Tina posa le regarde sur son ordinateur portable pour parcourir le dossier de la jeune élève, et aussi pour tenter de tromper sa faim de sexe qu'elle sentait s'éveiller petit à petit en présence de la jeune dominante.

- Je vois que vous êtes aussi dans les classes spéciales "pouvoir spéciaux". Oserais-je vous demander en quoi vous sortez de l'ordinaire hormis ce qui fait de vous une dominante ? Demanda Tina en sentant qu'elle tenait probablement sa favorite pour un tournage de court-métrage.

10
One Shot / Re : La maman de ma meilleure amie [Alaïs] - [Magdalena Takao]
« le: vendredi 22 juin 2018, 16:58:15 »
J'essaie de dormir pendant un bon moment, mais rien à faire ! Je n'arrive pas à trouver le sommeil. Je sens que je suis fatiguée, mais la fatigue ne suffit pas à ce que je m'endorme et ça m'agace autant que ma frustration de ne pas avoir pu prendre Akira.

Mais alors qu'il commence à se faire tard, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir tout doucement. Surprise, je fais semble de fermer les yeux en me disant que c'est probablement la maman d'Akira qui vient contrôler si je dors.

Mais alors que je fais semblant, j'entends des pas s'approcher du lit puis je sens le matelas bouger.

Hein ? Mais qu'est-ce qu'il se passe ?

Je continue de faire semblant de dormir en me disant que la mère d'Akira doit vouloir vérifier un truc. Mais je finis par sentir une pression que j'identifie très facilement : celle de deux cuisses qui se posent sur mon bassin.

Heeeeuuuuu...

Peu après je sens un léger mouvement de vas-et-viens à travers le tissus de ma culotte contre mon sexe et heureusement qu'il fait nuit parce que je deviens toute rouge.

Attendez... C'est pas ce que je crois quand même ?!?

Intriguée, j'entrouvre à peine une paupière pour regarder, et à la faible lumière qui filtre à travers les rideaux, je vois les formes bien rondes de la maman d'Akira qui, assise sur moi, se frotte la chatte contre mon service trois-pièces à travers le tissus de ma culotte. En plus, elle a l'air d'être pratiquement nue.

Ho mon Dieu ! C'est pas possible ! Madame Ayane est en train de me...

J'hésite presque à lui faire savoir que je suis consciente, mais sous le choc je reste immobile. Je ne me vois pas prendre la maman de ma meilleure amie en plein flagrant déli de... De...

De viol en fait... Quoique c'est aussi de l'abus de mineure je crois...

11
Le vicomte ne repassa que le lendemain, après que ses hommes se soient relayés pour empêcher la créature appelée Mystère de dormir et lui infliger de manière assez irrégulière le supplice du "simulacre de la noyade" (waterboarding). Les bourreaux n'avaient pas hésité et le terranide devait logiquement être à bout de force et normalement sa résistance mentale devrait être brisée.

"Devrait" songea le vicomte en se souvenant de la lueur dans le regard du terranide. Il avait un regard intéressant. Celui d'une personne qui refuse de renoncer. Pour lui, la liberté doit être un concept auquel il est très attaché. Sngea le vieux seigneur en descendant vers la salle de torture.

Rencontrant son capitaine en chemin, il s'arrêta quand celui-ci s'approcha de lui.

- Un rapport urgent capitaine ? Demanda le vicomte.

- Pas vraiment, mais vous avez demandé à être informé de quand votre petite-fille arriverait.

- Oh ? C'est aujourd'hui ? S'étonna le seigneur.

- Normalement ça aurait dû être demain, mais elle a envoyé un message pour dire qu'elle viendrait plus tôt, répondit l'officier.

- Je vois, c'est gentil de sa part... Commenta le vieil homme avec un air d'attendrissement.

- Dois-je envoyer une escouade la chercher ?

- Bien sûr, faites seulement, acquiesça le vicomte en agitant la main avant de reprendre sa marche vers les cachots.

Le capitaine regarda partir le vieil homme en se disant que le terranide était décidément chanceux. Maintenant le vicomte était de bonne humeur, il serait sans doute moins dur avec l'esclave enfermé dans ses salles d'interrogatoire.

Le vicomte entra dans la cellule d'un air plus léger, un léger sourire de satisfaction collé aux lèvres. Du geste il commanda à ses homes de retirer le torchon de la tête du terranide et se pencha pour le regarder dans les yeux.

- Alors, qu'as-tu à dire pour ta défense cette fois ? Redemanda le vieux seigneur comme un phonographe rouillé incapable de changer de disque.

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Je regarde la jeune guerrière pendant qu'elle m'explique que son pouvoir est un don divin. Je suis un peu sceptique à ce sujet, mais il est vrai que j'ai pu voir de mes propres yeux plusieurs fois la preuve que des quasi-miracles étaient presque possible avec les pouvoirs des habitants de Terra. Cette réaction est plus un reflet de mon éducation terrienne. Ma mère crois un peu aux esprits, mais elle n'est pas très croyante à la base, donc elle ne m'a jamais vraiment transmis la foi dans les phénomènes surnaturels.

Mon grand-père n'a pas aidé des masses dans ce sens. Il est tellement persuadé que tout a une explication qu'il cherche plus à comprendre les pouvoirs des autres en sachant qu'il n'en est pas dépourvu.

Mais j'ouvre de grands yeux et pousse un petit cri quand soudain elle sort une lame et s'entaille profondément. J'avoue que je n'avais jamais vu une blessure se refermer à vue d’œil, mais c'est bien plus hallucinant que je le pensais. Je regarde ça avec un regard admiratif que je tourne ensuite vers la paladine.

- Wow... Est la seule chose que je parviens en dire en voyant ça.

La guerrière reprend alors sa monture en main et me demande le chemin. Je regarde les pancartes et finis par repérer un nom que je connais.

- C'est par là ! M'exclame-je avec enthousiasme à l'idée de rentrer chez moi.

Le cheval continue encore un moment, mais avec le soleil qui se lève bien et qui commence à taper fort, le sang et le vomi sur ma chemise de nuit commencent à sécher et à sentir vraiment mauvais. Si bien que quand je repère finalement une rivière sur le bord de la route, je me tourne timidement vers la paladine.

- Heu... Je sais que vous êtes pressée et tout de me ramener chez moi mais...

Tourne la phrase pour lui dire que c'est pour elle, ça a l'air de bien fonctionner !

- Est-ce que, pour épargner votre nez délicat et votre belle selle de cheval, vous m’autoriseriez à faire une petite toilette avant de continuer ? Vous m'honorez déjà grandement de votre patience en acceptant de me ramener chez moi alors je ne voudrais pas non plus abuser de votre gentillesse par l'odeur de mes habits.

J'espère juste que le tissus de la chemise de nuit est assez épais pour qu'une fois humide on puisse tout voir à travers.

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One Shot / La maman de ma meilleure amie [Alaïs] - [Magdalena Takao]
« le: vendredi 22 juin 2018, 11:45:29 »
Spoiler: Attention ! Image explicite (cliquer pour montrer/cacher)

Je m'appelle Ashira, Ashira Konosaki. J'ai seize ans depuis quelques mois à peine et je pense que les gens doivent me considérer comme plutôt jolie. Mes cheveux blancs et mes yeux verts me donnent un côté plutôt exotique pour une japonaise, ce qui est un peu normale vu que je suis métisse. J'ai également hérite de ma mère une belle poitrine qui ne cesse de grandir depuis que je suis entrée dans l'adolescence. C'est tout bête en ce moment les garçons n'arrêtent pas de craquer sur moi et je reçois une tonne de lettres de déclaration en ce moment.

Que j'ai toutes déchirées à cause de l'héritage génétique de mon père. Ho ce n'est pas sa faute et je ne lui en veux pas. Mais tous mes camarades de classe tomberaient de super haut en sachant pourquoi je ne me change pas dans le vestiaire avec les autres filles et que je dois me changer dans le vestiaire de la prof.

La raison ? Indice : c'est rose, parfois c'est mou, parfois c'est dur et ça pendouille en permanence entre mes cuisses. Bingo ! C'est une bite !

Je suis née avec les deux sexes et un désordre hormonal plutôt conséquent. Normalement, dû à la présence de mon taux d'estrogènes, mon sexe masculin devrait être minuscule. Mais dans mon cas c'est un peu le contraire et c'est super handicapant au quotidien. Je dois m'assurer en permanence que personne ne regarde ma culotte sous ma jupe sous peine que quelqu'un remarque le trio de bosses qui s'y cache.

Heureusement, il y a quelques années de cela, j'ai été découverte. Je dis "heureusement" parce que l'autre fille qui a appris mon secret s'est révélée très gentille et est devenue ma meilleure amie, m'aidant à protéger mon intimité.

Akira-chan est vraiment ma meilleure amie et, comme nos maisons ne sont pas très loin l'une de l'autre, nos parents respectifs aussi ont sympathisé un peu. Mes aprents à moi sont souvent en voyage, maman parce qu'elle est une publicitaire importante dans le domaine médicale, papa parce qu'il est un médecin sans frontière plutôt connu qui milite pour plus d'aide dans les pays défavorisés. Ils se sont connu par leur travail respectif et se sont mariés quand j'ai été annoncée dans le ventre de ma mère. Ils s'aiment encore, mais ils passent tellement de temps à l'étranger tous les deux que je passe souvent mes weekends et parfois aussi mes semaines chez Akira-chan. C'en est au point que j'ai fini par avoir un chambre d'amis chez Akira-chan qui m'est quasiment réservée comme si c'était ma deuxième chambre.

Cette fois je passe toute la semaine chez Akira-chan. Elle aussi a un papa qui voyage énormément, et il est sur un voyage d'affaire qui va encore prendre pas mal de temps, donc on va passer toute la semaine chez elle avec seulement sa mère à la maison.

La mère d'Akira-chan est super belle, en même temps elle a eu Akira super tôt aussi donc elle n'est pas très vieille. Mais on sent que le fait que le papa d'Akira ne soit presque jamais là lui pèse. Elle est tout le temps toute seule dans sa grande maison et comme elle a un travail avec un très faible pourcentage, elle ne sort pas beaucoup. Elle a des amies, mais elle sont toutes à l'autre bout du pays.

Depuis qu'on a quinze ans et que notre libido s'est petit à petit réveillée avec Akira on a décidé qu'on allait pas dire à sa mère que j'ai une bite. Elle comprendrais pas. Et surtout elle nous empêcherait de réviser ensemble le soir dans la chambre d'Akira, je pense.

Bon d'accords, le temps de révision est vachement limité et ça fait un moment déjà qu'on a sauté le pas. Vous en penserez ce que vous voulez, mais mes hormones sont aussi handicapantes parce qu'elles se déclenchent un peu n'importe quand. Alors Akira, qui est vraiment gentille, a décidé de prendre les choses en mains. En occurrence, ma chose, entre ses deux petites mains.

Je crois qu'on peut dire que depuis, presque chaque soir que je passe chez elle, on baise comme des singes ! Et oui, je défonce la fleur ma meilleure amie régulièrement, que ça vous plaise ou non on est comme ça avec Akira.

Bon on est presque sure que sa mère est au courant de rien. Mais il y a deux semaines, quand on est rentrée du judo, je me suis douchée chez elle et sa mère a ouvert la porte sans prévenir pour m'apporter du linge propre. J'ai fait un sacré bon et je suis presque sûre d'avoir caché mon affaire à temps.

Mais j'ai un gros doute, il me semble que la mère d'Akira me regarde un peu space depuis... Et l'autre point qui me dérange un peu c'est qu'elle avait l'air presque contente quand son mari lui a annoncé par téléphone qu'il repartait un mois à l'étranger alors que ma mère venait de lui demander si je pouvais rester cette semaine.

Je ne sais pas pourquoi, mais depuis que je suis rentrée de l'école ce soir j'ai eu comme une drôle d'impression... Ça m'a poursuivis tout le repas et m'a dérangée au point que quand Akira et moi on a eu fini nos devoirs j'ai été incapable de bander pour la prendre comme d'habitude. C'est pas la première fois que j'ai une panne, mais en règle générale en discutant on parviens toujours à trouver pourquoi.

Sauf que là, on a fait choux blanc. Je parviens pas à savoir qu'est-ce qui me dérange et ça me perturbe et me bloque de tous les côtés. Au final, Akira est restée sur sa faim et moi je suis retournée à ma chambre en saluant au passage sa mère qui était restée au salon pour regarder la télévision. J'ai eu un étrange frisson dans le dos en passant, mais quand j'ai regardé derrière moi, la mère d'Akira ne semblait pas avoir bougé.

Je dois me faire des idées...

La chambre que j'utilise était une chambre d'amis à la base, donc elle est occupée par un grand lit double prévu pour des adultes. Je n'y suis pas venue depuis plus d'une semaine et je remarque un truc qui n'était pas là avant. Il y a comme des anneaux qui ont été fixés au montant du lit, un peu comme si on voulait y suspendre des trucs, mais je ne vois rien à y suspendre. L'autre point qui me surprend, la clé qui est normalement dans la serrure à l'intérieur de la chambre depuis des années, a disparu.

Bon, ça veut juste dire que la mère d'Akira a fait de l'ordre j'imagine...

Je me change pour me mettre en débardeur et culotte et je me glisse dans le lit avant de fermer la lumière pour dormir. Mais je sens que je vais avoir de la peine vu le sentiment de gêne qui m'habite en ce moment.

Pourquoi j'ai ce drôle de pressentiment ?

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One Shot / Re : Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]
« le: jeudi 21 juin 2018, 12:02:24 »
En le voyant enfiler un petit short léger pour me rejoindre au lit, je commence à me dire qu'en fait je dois faire très allumeuse en étant nue sous ma couette. Le commentaire de Marc juste après le baiser me fait rougir et je comprends vite que si je veux dormir tranquille il ne me reste plus qu'à me rhabiller. Sinon il est bien capable de m'asticoter toute la nuit le bougre.

- Bon d'accords, je vais nous faciliter les choses, dis-je en me levant pour vite aller chercher un débardeur et une culotte que j'enfile rapidement.

Les deux ne sont pas assortis, mais à ce stade je m'en moque un peu. Je veux juste ne pas donner l'impression que je cherche à le chauffer en permanence. Et puis j'ai quand même le sentiment qu'on l'a assez fait pour ce soir. Une fois devant la caméra et une autre fois hors-caméra c'est déjà pas mal pour une première fois ensemble.

- Rassure-toi, je ne m'étais pas habillée à la base parce que j'avais la flemme et que je n'avais pas de vraie tenue de nuit. Et aussi parce que j'avais peur que tu me juge comme une petite fille si je débarquais avec mon pyjama, dis-je en me re-glissant sous la couette avant de venir me coller contre lui.

Je l'embrasse doucement, posant ensuite doucement ma tête sur l'oreiller.

- Bonne nuit, lui souhaite-je doucement.

Je m'endors étonnement vite malgré la présence de Marc, le caressant doucement jusqu'à sombrer complètement. Si bien que quand je me réveille en le tenant contre moi mon premier réflexe est de sursauter en le lâchant brusquement.

Mon premier réflexe passé, je me souviens enfin d'où je suis et je finis par soupirer sur ma bêtise.

J'ignore s'il est déjà réveillé, mais je lui fais une bise sur le front.

- Bonjour Marc, lui dis-je doucement. Il faut se lever. Je te rappelle qu'on doit libérer la chambre avant midi...

Je lui caresse la tête tendrement en me disant que c'est le premier homme avec lequel je couche et qu'il est vraiment mignon quand il dort.

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Tina aimait bien ces entretiens, elle apprenait souvent de très nombreuses choses sur ses élèves. Et souvent des choses qu'elle ne soupçonnait même pas. Elle avait beau les voirs comme de simples étudiantes, elle oubliait très souvent que l'établissement n'était pas si anodin que ça.

Waow ! Quand même, je ne savais pas que cette fille était bi et qu'elle avait déjà participé à un gang-bang avec dix autres partenaires à son âge ! C'est plutôt surprenant ! Songea-t-elle en regardant sa fiche de résumé de son dernier entretiens.

L'enseignante releva le nez de ses notes en voyant une nouvelle demoiselle passer le pas de sa porte et lui sourit. Elle se souvenait d'elle, Charlotte, une fille de la maison des dominantes avec quelques capacités sortant de l'ordinaire.

Tiens, tiens. Une petite sorcière domina. Intéressant...

- Bonjour Charlotte, lui souhaita-t-elle aimablement. Comment allez-vous aujourd'hui ?

Elle écouta la réponse poliment, sachant que les dominantes adorent être le centre de l'attention, elle fit tout particulièrement l'effort d'avoir l'air captivée par tout ce qu'elle disait. En bonne ex-soumise, elle savait donner l'impression à ses interlocuteurs qu'ils étaient extrêmement importants, ce qui avait tendance à flatter leur égo et les mettre dans de meilleurs dispositions pour traiter avec leur entourage.

- Oh, vraiment ? S'étonna-t-elle de ce que lui répondit Charlotte avec un beau sourire. Vous semblez avoir une vie bien remplie jeune demoiselle. Merci d'avoir pris le temps de venir à cet entretiens, j'en suis honorée. Dit-elle en s'inclinant respectueusement dans la pure tradition japonaise.

Étaler une petite couche de compliments de temps à autre valait bien mieux qu'en faire une énorme tartine d'un coup. Ça paraissait aussi plus obséquieux. De toute façon en tête à tête Tina n'avait pas l'intention de faire trop de manières. En classe elle devait être inébranlable, mais dans une salle de réunion, elle pouvait se permettre d'être plus informelle.

Elle écouta une fois encore patiemment la réponse en ne quittant pas du regard la jeune élève comme si elle était spéciale à ses yeux. Elle s'autorisa quelques sourires compatissants et parfois quelques petits rires aux commentaires amusants de Charlotte. Elle se rendait compte que malgré les années elle glissait encore facilement dans son premier rôle de soumise.

N'oublie pas que c'est toi la patronne Tina ! Soumise d'accords, mais c'est toi qui signe le chèque à la fin du mois et qui encaisse les bénéfices ! Songea-t-elle avant de réorienter la conversation.

- Hé bien, ça fait beaucoup de choses à gérer. Mais pour en revenir à l'entretiens, me donnerais-tu l'autorisation qu'il soit filmé à partir de maintenant ? Pour la prise d'informations c'est plus facile et je te demanderait probablement de bien vouloir te dénuder un peu à un moment de l'entretiens pour que nous puissions nous faire une idée de ton physique mes collaborateurs et moi.

Bien sûr, avoir une idée de ses mensuration permetterait de vérifier s'il y avait des tenues à sa taille, mais cela servait surtout à l'enseignante à vérifier si la personne acceptait facilement la présence d'une caméra et surtout l'idée d'être potentiellement nue devant elle. Et puis, demander l'autorisation sonnait toujours plus doux aux oreilles d'une dominante que de donner des instructions.

Après l'avoir reçue Tina activa la caméra.

- Entretiens numéro neuf, Charlotte Ralemac, maison des dominatrices. Annonça-t-elle avant de se tourner vers la demoiselle. Commençons par parler de toi si tu le veux bien Charlotte. Je ne te demanderais pas ton âge puisque cela est proscrit par le règlement de l'école, mais peux-tu nous dire depuis combien de temps tu es à l'IFF ? Quelles sont tes raisons d'avoir choisi la maison des dominantes ? Et aussi depuis combien de temps tu es active sexuellement ?

Ça Semblait une bonne entrée en matière à Tina.

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