Pas d’exception pour le professeur ! Si Jack voulait rejoindre leur cercle, il allait devoir se plier aux règles ! Et celle-ci pouvait certes paraître déconcertante, mais, si l’homme la suivait, il allait vite comprendre à quel point il était libératoire de faire l’amour comme ça, sans rien voir des autres, et sans pouvoir parler. Myumi avait bien compris que, sous couvert de l’intimité, les corps se déliaient plus facilement. On faisait ici l’amour pour l’amour, sans être parasité par des questions de préférences, ou de choix personnelles. Seule Elianne ne mit pas de bandeau, précisément pour respecter les règles strictes de sa Maîtresse, et devoir silencieusement observer tous ces couples se faire l’amour, sans jamais pouvoir y participer. Mine de rien, c’était une chose difficile à tenir, et Myu’ savait que sa chérie allait souffrir... Mais sa frustration serait largement à la récompense du reste !
Toutefois, même en étant anonyme, Jack était difficilement discret, au milieu de tous ces adolescents. Il avait un corps formé, développé, ce qui amena rapidement les filles avec qui il fit l’amour à savoir qu’elles ne couchaient pas avec un simple autre élève. Myumi le vit donc rapidement se mêler à la foule. Homme ou femme, on n’entendait plus que leurs soupirs, leurs gémissements, parfois leurs cris, étouffés par des baisers furieux et passionnés. Myumi elle-même y participa pleinement, également reconnaissable par son corps, mais aussi par le fait qu’elle était la seule habillée. Usant de ses pouvoirs liés à la magie rose, elle enfonça sa queue dans le cul d’un jeune élève, qui se mit à couiner, avant de se faire claquer le postérieur par les mains fermes de la professeur.
« Hmmmm... !!
- Haaaa... !! »
Myumi tourna la tête, observant Elianne du coin de l’œil. Silencieuse, la petite devait régulièrement s’écarter, afin d’éviter que quiconque ne la touche... Car il suffisait d’un seul contact pour qu’elle soit obligée de faire l’amour. Rapidement, les crissements du latex de Myumi attirèrent d’autres élèves, dont une femme qui s’empressa de lui lécher les fesses, en se mettant à genoux derrière elle. Il arrivait, très rarement, que Myumi se recouvre également les yeux d’un bandeau, mais, généralement, elle était là pour gérer les ébats, pour surveiller que tout se passait bien. Une fonction nécessaire dans ce genre d’orgies !
Fort heureusement, il lui suffisait d’un regard pour constater que la salle se prenait, comme d’habitude, rapidement au jeu. Là, sur le sol, un homme pénétrait une femme, en maintenant l’une de ses jambes relevées contre lui, pendant qu’un autre fourrait sa queue dans la bouche de la jeune lycéenne. Là, deux autres en prenaient une en sandwich. Ici, deux hommes s’embrassaient à pleines bouches, frottant leurs queues trempées l’une contre l’autre, pendant qu’une fille, à genoux entre eux, léchait leurs mandrins, tout en les doigtant vigoureusement.
Le vice s’exprimait avec plaisir en eux, une fois qu’ils étaient libérés des contraintes sociales... Et, pour Myumi, c’était un vrai régal à observer. Dire que, en-dehors de ces soirées, ils étaient n’importe qui. Ils pouvaient se croiser dans les couloirs du lycée, sans savoir qu’ils avaient forniqué comme des bêtes ensemble, tout en ayant l’intime conviction de s’être tapés tel ou tel nana, avec ce « Et si... » qui s’instaurait progressivement dans leurs têtes. Myumi adorait ça, tout simplement, c’était le genre de petits détails qui la faisaient craquer...
...Et l’amenèrent à jouir dans le cul de ce brave élève, qui couina sur place. Pendant qu’elle l’avait sodomisé, elle avait fini par le masturber, et, après avoir relâché son sperme en lui, elle le souleva à l’aide de ses bras, maintenant sa queue dans ses fesses. Ce faisant, le brave homme hurla en se dandinant sur place, pendant que Myumi le masturbait vigoureusement, le maintenant contre elle, debout, ses jambes se balançant dans le vide, le retenant à elle par son autre main.
« Hnnnnnnnnnnnn... !! »
Myumi le vit tourner la tête, et elle l’embrassa volontiers, avant de sentir sa queue se relâcher, crachant des filaments de foutre, qui éclatèrent sur son visage, et dégoulinèrent tout le long de son ventre. La professeur le relâcha alors, et retourna ensuite voir les autres. Rapidement, une bouche se posa sur son sexe, et pompa son dard, ses mains venant se crisper sur les cheveux de la lycéenne attaquant son sexe avec passion.
Oh oui, comme elle pouvait aimer ça !