Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Myumi Ichtora

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Jack était en train de découvrir les joies de ces réunions secrètes, le plaisir du sexe pour le sexe. C’était ça que Myumi proposait ici, une ode à la luxure, tout simplement, en se débarrassant de tous les éléments proches. Il ne s’agissait pas d’honorer la beauté de son partenaire, ou les liens d’affection qu’on pouvait avoir, mais de s’adonner à tous les vices, de sombrer dans le stupre, en sachant qu’il n’y aurait eu aucune conséquence, en couchant avec de parfaits inconnus, et sans se soucier d’autre chose que son propre plaisir. L’hédonisme poussée à son paroxysme, en quelque sorte. Jack n’y était pas contre, et ce fut donc avec plaisir que Myumi le vit s’attaquer aux autres élèves, pendant qu’elle-même se relâchait dans le cul d’un jeune homme.

Une lycéenne était occupée à le masturber. C’était Shii, l’une des meilleures élèves du lycée. Un véritable génie, aussi intelligente que timide, et qui était une bonne connaissance de Jack, puisqu’elle était une esclave de Mélinda, et avait sûrement déjà eu l’occasion de coucher avec lui. Myumi, en tout cas, l’avait enculé plus d’une fois lors de cours particuliers, et l’avait également honoré en l’attachant à son bureau, la forçant à la sucer pendant les réunions avec les parents d’élèves. Shii masturbait et léchait le gros membre de Jack, s’attaquant volontiers à ses testicules, soupirant en les embrassant et en les léchant, remontant ensuite sur sa verge.

Myumi sourit en se rapprochant, et caressa avec ses mains gantées le torse de l’homme, avant de l’embrasser.

« Hmmmm... »

Même si Myumi pouvait parler, elle se tenait à ses propres règles, et ne parlait que pour donner des règles supplémentaires. Pour le reste, elle restait silencieuse, s’exprimant à travers son corps. Jack ne devrait néanmoins avoir aucune difficulté à comprendre qui il s’agissait, puisqu’elle était la seule femme adulte ici. Elle fourra donc sa langue dans sa bouche, et prolongea volontiers le baiser, tout en caressant la tête de Shii, et en tirant un peu sur ses cheveux, afin de la forcer à prendre le mandrin de Jack en bouche, ce qu’elle finit par faire, tout en continuant à couiner et à gémir.

Myumi rompit ensuite le baiser, et embrassa l’homme dans le creux du cou, mordillant sa peau, avant de se frotter encore contre lui, l’incitant à venir s’occuper de son corps...

...Comme bon lui semblait.

*Mais je crois que le pire, pour lui, ça doit être de ne pas pouvoir m’insulter en me baisant...*

17
En fait, sa mère lui avait menti. Ou la photographie qu’elle avait de cette fille n’était pas conforme à la réalité. Bellona n’était pas juste « belle ». Pour être honnête, dès que Myumi la vit, avec ses longs cheveux roses, ses beaux yeux bleus donnant l’impression d’y voir l’eau claire et transparente de la Méditerranée, sa délicieuse voix tendre, et, surtout, sa robe rose pastel, elle sentit sa soif croître. Il ne fallait pas oublier que, même si Myumi était une humaine, grâce à sa mère, une démone, elle avait des gènes démoniaques dans le corps. Néanmoins, et même sans l’excuse des gènes, elle pensait sincèrement que cette femme devait exciter bien des hommes. Erelda n’avait évidemment pas choisi innocemment le journal, ni la journaliste. Myumi n’aurait en réalité pas été surprise d’apprendre qu’Erelda avait déjà couché avec Georges Iwato, le rédacteur-eh-chef du journal ayant reçu pour tâche de mener ce reportage inédit à Mishima.

*En tout cas, toi, ma belle...*

Myumi lui sourit donc, et lui fit signe d’entrer, avant de refermer la porte du bureau derrière elle, et en profita pour glisser un bref coup d’œil sur sa chute de reins, son dos, et, bien naturellement, sur ses fesses. Ce regard d’experte lui permet ainsi de s’assurer que Bellona était une très belle femme, et Myumi s’en mordilla brièvement les lèvres.

« Je vous en prie, installez-vous, Melbourne-san... Mais, puisque vous m’avez appelé par mon prénom, peut-être préféreriez-vous qu’on se tutoie, et que je t’appelle Bellona ? Je préfère t’appeler comme ça, en tout cas » rajouta-t-elle rapidement.

Elle lui fit un nouveau sourire charmant, et s’assit derrière le bureau, en croisant élégamment les jambes, soulevant un peu sa minijupe. Kasuo, aussi discret qu’une tombe, s’empressa de lécher et d’embrasser le bout du pied de la femme. Sur son bureau, il y avait, au milieu, un petit dossier rose relatif à leur entretien. Myumi l’ouvrit, montrant plusieurs papiers, dont le CV de Bellona, une lettre d’Iwato-san, et divers documents sur son journal.

« Alors, tu veux faire un reportage sur le lycée, c’est bien ça ? C’est... C’est assez inédit. Mais la perspective me plaît. Mishima est un lycée très réputé, après tout. »

Vu les résultats des élèves au test Sentā, on ne pouvait que se féliciter des résultats du lycée. Comme quoi, Mishima, malgré les scandales, disposait d’un bon niveau, très compétitif, et c’était surtout ça qui intéressait les universités. Mais, en attendant, elle s’intéressa davantage à Bellona.

« J’ai vu sur ton CV que tu faisais un stage, et que tu étais originaire des États-Unis. Je gage que le fonctionnement des écoles doit être différent de l’autre côté du Pacifique. Mon rôle sera de te guider dans ta découverte du lycée, alors... Parle-moi un peu de ta mission. Qu’est-ce que le journal attend que tu fasses comme reportage ? »

Myhumi n’oubliait pas le risque qu’il y avait à prendre au sein du lycée un journaliste. Elle devait donc s’assurer que la publication de Bellona soit bien conforme aux intérêts du lycée... Et, vu sa beauté, Myumi était sûre que sa mère s’était aussi renseignée sur elle, et qu’elle n’avait pas choisi Bellona sans raison.

*Comme d’habitude, ma mère pense toujours à tout...*

...Et, pour le coup, Myumi n’allait sûrement pas se plaindre d’avoir la belle Bellona à former !

18
Pas d’exception pour le professeur ! Si Jack voulait rejoindre leur cercle, il allait devoir se plier aux règles ! Et celle-ci pouvait certes paraître déconcertante, mais, si l’homme la suivait, il allait vite comprendre à quel point il était libératoire de faire l’amour comme ça, sans rien voir des autres, et sans pouvoir parler. Myumi avait bien compris que, sous couvert de l’intimité, les corps se déliaient plus facilement. On faisait ici l’amour pour l’amour, sans être parasité par des questions de préférences, ou de choix personnelles. Seule Elianne ne mit pas de bandeau, précisément pour respecter les règles strictes de sa Maîtresse, et devoir silencieusement observer tous ces couples se faire l’amour, sans jamais pouvoir y participer. Mine de rien, c’était une chose difficile à tenir, et Myu’ savait que sa chérie allait souffrir... Mais sa frustration serait largement à la récompense du reste !

Toutefois, même en étant anonyme, Jack était difficilement discret, au milieu de tous ces adolescents. Il avait un corps formé, développé, ce qui amena rapidement les filles avec qui il fit l’amour à savoir qu’elles ne couchaient pas avec un simple autre élève. Myumi le vit donc rapidement se mêler à la foule. Homme ou femme, on n’entendait plus que leurs soupirs, leurs gémissements, parfois leurs cris, étouffés par des baisers furieux et passionnés. Myumi elle-même y participa pleinement, également reconnaissable par son corps, mais aussi par le fait qu’elle était la seule habillée. Usant de ses pouvoirs liés à la magie rose, elle enfonça sa queue dans le cul d’un jeune élève, qui se mit à couiner, avant de se faire claquer le postérieur par les mains fermes de la professeur.

« Hmmmm... !!
 -  Haaaa... !! »

Myumi tourna la tête, observant Elianne du coin de l’œil. Silencieuse, la petite devait régulièrement s’écarter, afin d’éviter que quiconque ne la touche... Car il suffisait d’un seul contact pour qu’elle soit obligée de faire l’amour. Rapidement, les crissements du latex de Myumi attirèrent d’autres élèves, dont une femme qui s’empressa de lui lécher les fesses, en se mettant à genoux derrière elle. Il arrivait, très rarement, que Myumi se recouvre également les yeux d’un bandeau, mais, généralement, elle était là pour gérer les ébats, pour surveiller que tout se passait bien. Une fonction nécessaire dans ce genre d’orgies !

Fort heureusement, il lui suffisait d’un regard pour constater que la salle se prenait, comme d’habitude, rapidement au jeu. Là, sur le sol, un homme pénétrait une femme, en maintenant l’une de ses jambes relevées contre lui, pendant qu’un autre fourrait sa queue dans la bouche de la jeune lycéenne. Là, deux autres en prenaient une en sandwich. Ici, deux hommes s’embrassaient à pleines bouches, frottant leurs queues trempées l’une contre l’autre, pendant qu’une fille, à genoux entre eux, léchait leurs mandrins, tout en les doigtant vigoureusement.

Le vice s’exprimait avec plaisir en eux, une fois qu’ils étaient libérés des contraintes sociales... Et, pour Myumi, c’était un vrai régal à observer. Dire que, en-dehors de ces soirées, ils étaient n’importe qui. Ils pouvaient se croiser dans les couloirs du lycée, sans savoir qu’ils avaient forniqué comme des bêtes ensemble, tout en ayant l’intime conviction de s’être tapés tel ou tel nana, avec ce « Et si... » qui s’instaurait progressivement dans leurs têtes. Myumi adorait ça, tout simplement, c’était le genre de petits détails qui la faisaient craquer...

...Et l’amenèrent à jouir dans le cul de ce brave élève, qui couina sur place. Pendant qu’elle l’avait sodomisé, elle avait fini par le masturber, et, après avoir relâché son sperme en lui, elle le souleva à l’aide de ses bras, maintenant sa queue dans ses fesses. Ce faisant, le brave homme hurla en se dandinant sur place, pendant que Myumi le masturbait vigoureusement, le maintenant contre elle, debout, ses jambes se balançant dans le vide, le retenant à elle par son autre main.

« Hnnnnnnnnnnnn... !! »

Myumi le vit tourner la tête, et elle l’embrassa volontiers, avant de sentir sa queue se relâcher, crachant des filaments de foutre, qui éclatèrent sur son visage, et dégoulinèrent tout le long de son ventre. La professeur le relâcha alors, et retourna ensuite voir les autres. Rapidement, une bouche se posa sur son sexe, et pompa son dard, ses mains venant se crisper sur les cheveux de la lycéenne attaquant son sexe avec passion.

Oh oui, comme elle pouvait aimer ça !

19
Bureau de la direction et infirmerie / Reportage à Mishima [Bellona Melbourne]
« le: dimanche 23 juillet 2017, 00:59:41 »
*Elle est très mignonne, cette journaliste...*

C’est la réflexion que Myumi se faisait en relisant, une nouvelle fois, le courrier que Bellona, jeune adolescente qui faisait honneur à son prénom, lui avait adressé. Il faisait suite à un coup de téléphone du rédacteur-en-chef d’un petit journal local de Seikusu, qui souhaitait ouvrir une chronique particulière sur Mishima.

« Le conseil d’administration a accepté notre proposition.
 -  Oui, ma mère m’en a parlé...
 -  Vous comprenez, Mishima est fascinant. Le lycée fait partie des établissements publics ayant les plus forts taux de réussite du pays, et, paradoxalement, il y a tous ces scandales et ces procès qui...
 -  Je vous rappelle qu’aucun de ces procès n’a abouti à une condamnation, Monsieur. Ce n’est pas notre faute si notre politique tolérante et libérale se heurte à la sensibilité de quelques associations ultraconservatrices. »

Le rédacteur-en-chef continua à lui parler. Son idée était de parvenir à démystifier ce qui se passait à l’intérieur du lycée, d’interviewer les élèves, de savoir s’ils étaient heureux ici, s’ils s’épanouissaient, ainsi que de se renseigner sur le passé des professeurs et sur le fonctionnement interne du lycée. Quand on savait à quel point l’éducation scolaire était sacrée au Japon, c’était un projet audacieux, mais que le conseil d’administration avait approuvé. La mère de Myumi, qui siégeait au conseil, l’en avait averti, et avait dit que ce serait elle, la professeur référente de cette femme...



« C’est une occasion pour nous, en réalité...
 -  C’est surtout dangereux, Mère. Imagine que cette journaliste filme ce qui se passe vraiment, ça fournirait des preuves redoutables à nos adversaires.
 -  Crois-tu donc que je n’en suis pas consciente ? »

Elles étaient dans la grande villa de sa mère, le long de la côte. Erelda était riche et puissante, et elles discutaient sur sa terrasse. Allongée sur son transat, Erelda laissait une esclave lécher son sexe tout en expliquant à sa fille, également couchée sur un autre transat, avec un magnifique homme noir, chauve et musculeux, qui lui massait ses longues jambes, une magnifique érection donnant à Myumi un appétit croissant.

« J’y vois surtout une opportunité... La journaliste qu’ils vont nous envoyer ne demande qu’à bénéficier de tes talents, ma chérie. Avec un peu de eprsuasion, elle fera de magnifiques articles qui, loin de nous désavantager, constitueront des preuves pour dire que tout se passe bien dans notre charmant lycée.
 -  Je vois... C’est donc encore l’un de tes plans sournois visant à corrompre une jeune femme qui n’a rien demandé à personne ?
 -  Je croyais que ça te ferait plaisir... »

La main de Myumi masturbait la queue du grand Noir, qui semblait impatient de s’amuser avec elle dans la piscine. Et, en jeune femme dévouée et consciencieuse, Myumi se redressa alors. Elle portait un bikini noir, et tira sur la ficelle du bas en rentrant dans l’eau.

« Ai-je seulement prétendu le contraire ? »




Avant que Bellona ne commence, Myumi lui avait fixé un rendez-vous. Ce dernier était prévu après les cours, en fin d’après-midi, dans son bureau. Dehors, il faisait chaud, et elle avait installé un ventilateur dans un coin de la pièce, tout en retirant les boutons supérieurs de sa veste, dévoilant ainsi sa superbe poitrine. En faisant des recherches sur la journaliste, Erelda lui avait monté tout un dossier, qui se trouvait dans une chemise rose située au milieu de son bureau.

Elle raccrocha le téléphone, après une énième conversation avec le patron de la femme, et se tortilla sur place, en soupirant. Sous son bureau, il y avait l’un de ses élèves, un jeune soumis, qui la léchait avidement.

« Retiens ta langue, et sois discret, mon invitée arrive...
 -  B-Bien, Maîtresse... »

Le jeune lycéen, Kasuo, ne pourrait de toute manière pas aller bien loin, car il avait un collier autour du cou, relié à une châinette fixée au bureau. Myumi se redressa ensuite, remit sa minijupe en position, puis s’approcha de la porte, et l’ouvrit, avant de sourire en voyant Bellona derrière.

« Melbourne-san ? Je vous remercie de votre patience. Entrez, je vous prie. »

Elle était vraiment magnifique !

*Toi, ma chérie, tu n’as pas idée de ce qui t’attend, mais rassure-toi, tu vas passer un moment inoubliable...*

20
Bien sûr, Myumi connaissait l’existence de l’hermaphrodisme vrai, mais ça n’avait absolument rien de comparable avec le bracquemart de Sumika, celui d’Aya, ou la queue d’Ai qui jouissait des torrents de foutre. Seule la magie pouvait fournir de tels appendices. Les cas d’hermaphrodisme vrai n’avaient en réalité rien à voir avec ça. On aboutissait extrêmement rarement à des cas de pénis bien développés avec un vagin propre. Dans la plupart des cas, le sujet avait des testicules et des ovaires, mais il s’agissait de malformations congénitales... Et, pour autant que Myumi le sache, il n’y avait quasiment aucun cas recensé au Japon. Les deux femmes auraient sûrement l’occasion d’en parler ensuite, et, pour l’heure, Myumi alla suivre la femme, qui lui montra leur onsen, puis un agréable dortoir, avec une confortable moquette.

Myumi esquissa un léger sourire en voyant tout ça.

« Eh bien... Vous vous êtes plutôt bien débrouillées... »

Honnêtement, Myumi avait du mal à croire que le Futabu ait pu s’emparer de cette partie du lycée sans que l’administration ne soit au courant. Quelqu’un, quelque part dans la hiérarchie du lycée, avait très certainement dû entendre parler de ce club non-officiel, et avait choisi de le tolérer. Sumika lui réitéra alors son souhait d’avoir de l’aide, tout en venant se frotter sensuellement contre elle, sa longue tige de chair venant caresser sa peau, faisant crisser les lanières en latex de la combinaison de Myu’.

« Je vois... »

Myu’ posa ses mains sur les hanches de la femme, puis descendit encore, et en posa chacune sur ses fesses. Ses doigts se crispèrent dessus, et elle les malaxa, tout en la plaquant davantage contre elle, et l’embrassa sur les lèvres, le corps nu de la belle adolescente se frottant contre le sien. Deux ans que ce club existait... Et elle-même n’en entendait parler que maintenant ! C’était un comble ! Mais, après tout, elles n’avaient pas l’air très nombreuses, et, officiellement, cette partie-ci du lycée était en rénovation. Là encore, quelqu’un devait les couvrir, pour s’assurer que personne ne vienne fourrer son nez par ici. Ça, Myumi en aurait mis sa main à couper.

Pour l’heure, ses lèvres se pressèrent contre les siennes pendant plusieurs secondes, et elle rompit à nouveau le baiser, en souriant, et frotta la queue de la femme avec ses seins, s’amusant à plaquer fortement son corps contre Sumika, puis à relâcher la pression, et à appuyer de nouveau, masturbant ainsi tendrement sa queue. Pas de quoi la faire jouir, mais juste de quoi aiguiser son appétit.

« Je vais vous parrainer, alors... J’ignore vraiment ce que je pourrais faire, mais je pourrais au moins t’aider à gérer le Futabu... Même si je me doute que Mélinda doit aussi t’aider là-dedans. »

La vampire était après tout à la tête d’un clan vampirique, et dirigeait plusieurs entreprises et institutions commerciales. Elle devait donc avoir largement les moyens de gérer le côté administratif de ce club, mais Myumi s’assurait d’améliorer la couverture officielle du Futabu, et de le faire disparaître parmi la liste des autres clubs.

« ...Mais à la condition que tu me montres à quel point tu es dévouée, ma chérie... »

Myumi l’embrassa à nouveau, sur la joue, léchant ensuite délicatement sa peau.

« Dis-moi ce que tu as en tête pour le Futabu, quels sont tes projets à l’avenir, tes fantasmes... Vu ta trique, je suppose que tu dois être une vraie petite perverse... Excite-moi. »

Oui, elle était sûre que, niveau perversion, Sumika devait n’avoir rien à envier de la part de Mélinda...

21
Donc, il fallait une Futa de base pour rejoindre le club ? Voilà qui réduisait sensiblement les possibilités... Myumi aurait cru, pourtant, que Sumika offrait ce don aux filles rejoignant le club. Mais peut-être était-ce une éventualité qu’elle envisageait ? Myumi n’avait en réalité jamais rencontré de filles qui soient naturellement dotées d’une verge. Pour avoir un sexe, il fallait que, tôt ou tard dans la croissance, intervienne un élément magique, soit à hauteur de la naissance, soit... Plus tard, par le biais de filtres, de sortilèges, ou d’élixirs.

« Hmmm... Tu as conscience qu’une femme avec un pénis, ça n’est pas naturel, si... ? » demanda-t-elle tout de même, un peu interloquée par la réponse de la femme.

Surtout un membre d’une telle taille... Myumi ne put s’empêcher d’écarquiller légèrement les yeux en voyant Sumika retirer son uniforme scolaire, dévoilant, outre un bikini blanc, une longue tige de chair qui remontait le long de sa peau, formant un véritable barreau veineux et puissant, qui termina sa course entre ses seins. Sumika expliqua qu’elle voulait pérenniser l’avenir du club, en refusant qu’il soit fermé, et en pouvant bénéficier de financements du lycée pour organiser des sorties.

« Je vois... Mais, tu sais, s’il est publiquement révélé que ton club sert à s’envoyer en l’air... Qu’il soit officiel ou pas n’y changera rien, il devra être fermé. »

Elle avait toujours un peu de mal à comprendre l’intérêt que Sumika avait en voulant que le club ait une existence officielle. Pour elle, c’était... Très contradictoire. Si elle voulait éviter que l’administration ne ferme le club, alors il était préférable qu’il n’existe pas publiquement. Lui offrir une vitrine, c’était surtout prendre le risque d’attirer l’attention dessus. Si Myumi présentait le Futabu Club, elle ne dirait jamais qu’il s’agissait d’un regroupement de Futanaris destinés à s’envoyer en l’air. Un tel club était contraire aux bonnes mœurs, mais aussi à l’esprit éducatif national. La demande était donc étonnante, oui...

...Mais Myumi cessa d’y réfléchir quand Sumika dégrafa son soutien-gorge. Sa queue, coincée contre tissu, s’en extirpa alors, formant comme une sorte de mât, qui oscilla d’avant en arrière. Visiblement, porter une telle verge ne semblait guère gêner Sumika plus que ça. La jeune lycéenne se mit ensuite à lui parler, et Myumi sourit.

« Eh bien... Vu la description qu’Ai m’a faite du club, je savais un peu à quoi m’attendre, alors... »

Elle  ouvrit alors sa mallette, et sortit une longue paire de gants noirs en latex, qu’elle enfila sur ses bras, tout en retirant son tailleur. Sous ce dernier, elle ne portait pas un simple sous-vêtement, non, mais un délicieux harnais en cuir.

« Voilà, je me sens mieux comme ça ! soupira Myumi de plaisir. Bon, alors... »

Myumi se rapprocha de la femme, et commença à caresser le haut de sa queue, tout en regardant Aya et Ai, la première étant en train de butiner le derrière de la seconde, qui couinait et hurlait de plaisir. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de Myu’, qui se retourna ensuite de nouveau vers Sumika.

« Tu me fais une visite du propriétaire, alors ? »

22
Ai se rapprocha rapidement d’Aya, et, pendant ce temps, Myumi se retourna vers Sumika. Avant de venir ici, elle avait pu consulter le dossier scolaire de la jeune lycéenne. Il était irréprochable. Elle avait d’excellentes notes, était motivée, investie, sérieuse, et studieuse. Qui aurait cru que, sous ce visage d’ange, il y avait une magnifique perverse ? Elle avait beau porter son uniforme scolaire, Myumi sentait, à ses battements sanguins, et à la magie rose en elle, qu’elle avait également une grosse verge dessous... Ce qui ne manquait pas de l’émoustiller. Ça, et le fait qu’Aya commence à se masturber contre le corps d’Ai. La jeune Ai était déjà très perverse avant d’aller chez Mélinda, mais, depuis lors, sa perversion n’avait fait que croître. Et, visiblement, elle était très proche d’Aya, suffisamment pour que, sans aucune gêne, la femme se masturbe contre elle.

Sumika expliqua qu’elle voulait que le club soit parrainé pour Myumi pour leur permettre d’avoir de nouvelles recrues, mais en évitant des recrues inadaptées. Myumi hocha la tête, et marcha un peu, se rapprochant du salon. Elle vit Aya déboutonner le chemisier d’Ai, qui était toujours assise sur ses cuisses, venant caresser ses seins.

« Je vois... Tu recherches donc des recrues potentielles pour ton club ? Ma foi... Je ne suis pas spécialement de retenue, mais, parallèlement à mes activités, je gère l’éducation sexuelle de bien des élèves. Je connais plusieurs filles qui, une fois prêtes, seraient sûrement ravies de venir chez vous. »

Elle avait d’ailleurs plusieurs noms potentiels en tête, mais, avant d’envisager le fond des choses, Myumi se rapprocha de la femme, et l’embrassa sur le coin de la joue, frottant son corps contre le sien.

« Mais ça, tu n’as pas besoin d’être un club officiel pour le faire... Dis-moi ce que tu as en tête, Sumika... Si tu veux que je parraine ton club, je dois en savoir plus sur vous. C’est toi qui transformes les autres en Futas, hein ? Comment tu t’y prends ? »

Myumi était naturellement curieuse... Et ce d’autant plus qu’on lui demandait de parrainer ce club. Elle ne pouvait tout de même pas donner son aval à ce dernier sans en savoir un minimum dessus...

23
Myumi était assurément l’une des professeurs les plus populaires du lycée. Ayant pour elle sa grande beauté, qui n’avait d’égale que sa perversion, elle avait développé une importante classe « occulte », dont le seul but était de former sexuellement les jeunes élèves. C’était une activité très importante dans la vie de Myumi, bien plus que l’enseignement des mathématiques, et qui l’avait amené à côtoyer les différentes bandes et organisations du lycée, comme la « bande Warren ». Myumi était, de fait, assez proche de Mélinda, avec qui elles avaient déjà fait l’amour en de nombreuses occasions, que ce soit au sein du lycée, chez Myumi, ou chez Mélinda. Autant dire que la vie sexuelle de Myumi était particulièrement intense, et c’était lors d’une visite au lycée qu’elle avait rencontré Ai. La petite Ai Aihara était l’un des piliers sexuels du harem de Mélinda, une jeune lycéenne pleine d’énergie, qui pouvait passer des heures à faire l’amour sans jamais se fatiguer. À son contact, Myumi avait appris qu’Ai et Mélinda appartenaient tous les deux à un club particulier de Mishima, le Futabu Club. Mélinda en était la trésorière, et Ai l’un des membres. Myumi avait découvert que la Présidente du Futabu, Oohashi Sumika, cherchait notamment un professeur qui aurait pour but de parrainer le club, et ainsi de lui permettre d’exister officiellement dans le catalogue des clubs, en étant, officiellement, un club d’aide aux devoirs.

Ai avait expliqué à Myumi, dans son bureau, que Sumika voulait que ce soit elle qui les parraine. Myumi avait donc organisé un rendez-vous, directement dans les locaux du club, et ce dernier avait été fixé le Dimanche après-midi. Autant dire que le lycée était désert, et Myumi suivait donc Ai à travers les couloirs.

« C’est ici, donc ? »

Myumi laissa Ai ouvrir la porte. Si la petite portait son uniforme scolaire, et Myumi son tailleur serré, elle portait une mallette abritant une tenue plus exotique... Au cas où. Mais, pour l’heure, elle vit un agréable salon, dans une partie isolée du lycée, avec un canapé. Sumika était là, et elle tiqua rapidement sur sa comparse, Aya, qui l’accompagnait... Et qui présentait la particularité de porter un simple maillot de bains noirs 2 pièces, avec une trique énorme qui remontait depuis sa culotte pour s’arrêter au milieu de son ventre.

« Oh... »

Les instincts démoniaques de Myumi lui permirent rapidement de sentir la présence d’une forte magie rose, que ce soit chez Aya ou chez Sumika... Et elle comprit également que Sumika n’était pas entièrement une humaine.

*Il y a des gènes de succube en elle...*

Elle regarda les deux femmes, et sourit, pendant qu’Ai refermait délicatement la porte.

« Eh bien... Enchantée de vous voir, toutes les deux ! »

24
Myumi était à l’origine d’une véritable tornade, une tempête qui venait de s’emparer du corps d’Elianne, et qui l’avait transporté bien loin. La petite lycéenne avait tenu sa main, et, si Myu’ appréciait le geste, elle avait aussi besoin de ses deux mains. L’affection était une bonne chose, mais, quand on en était arrivé à un tel niveau, il fallait aussi de l’intensité. Et la sodomie que Myu’ prodiguait à Elianne était très intense. Myumi tenait une forme olympique ce soir, tant sur la durée que sur l’intensité de ses coups de reins. Oh oui, plus question d’y aller doucement, maintenant, ou de la prendre par le dos de la cuiller ! Myumi ne pouvait tout simplement pas faire autrement, tant elle-même était excitée. Sa trique phénoménale l’élançait, et c’était bien en raison de ça qu’elle maintenait ce rythme soutenu. Elianne se faisait donc joyeusement sodomiser, et la lycéenne était en train de succomber, en se masturbant.

Ses doigts s’enfonçaient dans sa mouille, et la belle lycéenne se transforma en une femme-fontaine, répandant sa cyprine et sa sueur sur le lit, tout en s’écroulant dessus, n’arrivant plus à se soutenir. Mais, loin de la gêner, cette position ne fit au contraire que simplifier davantage ses coups de reins, puisque, désormais, Myumi avait un accès facilité à son cul, qui s’était relevé. Elle la butinait donc, muscles serrés, en sentant, elle aussi, le plaisir croître à toute allure.

« Hmmmm... E-Elianne.... !! »

Elle respirait fort, sa poitrine se soulevant et s’abaissant, sa sueur filant sur tout son corps, tout en continuant à la bourrer... Et, quand l’orgasme traversa Elianne, Myu’ se pinça les lèvres. Sa queue se durcit encore, et se répandit, recrachant des filaments de sperme dans le corps de la beauté. Myumi pinça ses mains sur ses fesses, serrant sa chair, et se cambra en avant pendant quelques secondes, avant de se redresser, et de secouer frénétiquement son bassin, ce qui eut pour effet de soulever Elianne, puis de l’envoyer s’abaisser sur le lit. Ce dernier, secoué de toute part, se mit à craquer, ne faisant qu’accompagner auditivement le plaisir fort et virulent qui régnait entre les deux amantes.

Myumi jouit donc, longuement, passionnément, et très généreusement. En réalité, son orgasme semblait ne jamais devoir s’arrêter, et elle ferma les yeux, criant au début, puis retenant ensuite son cri dans un soupir silencieux, enfonçant ses doigts dans la chair d’Elianne sous l’effet de l’excitation, tant et si bien qu’elle la griffa même. Elle se relâcha pendant plus d’une minute, à jouir, et à jouir encore, en sentant, à chaque fois, des vagues supplémentaires remonter dans son corps.

« Haaaaaa... !! »

La vague sembla finalement se calmer, et Myumi décéléra progressivement, avant de respirer plus lourdement, et de retirer sa queue des fesses d’Elianne. Myumi soupira encore, et fléchit les genoux, puis se pencha vers ce derrière rouge... Et déposa plusieurs baisers dessus, embrassant chacune des fesses de la femme, avant de retourner lécher son fondement, ne tardant pas à sentir le sperme refluer. Elle en prit un peu, et laissa ensuite ce dernier s’écouler, tout en se redressant, et en caressant les hanches d’Elianne.

« Hum... Tu en as mis partout, en effet... Une vraie cochonne... »

Myumi sourit encore, et continua à caresser son dos, grattant sa peau.

« Tu as aimé, alors, mon petit ange ? Car, moi, j’ai tellement adoré défoncer ton petit cul que... »

Myumi se pencha vers elle, et murmura dans le creux de son oreille :

« ...Je crois bien que je le prendrais tous les jours. »

Elle la poussa alors, délicatement, afin qu’Elianne se couche sur le dos, et Myumi se dressa au-dessus d’elle, en lui souriant encore, et se lova contre elle, venant l’embrasser.

« Hmmm, ma chérie... »

25
Hurler était nécessaire, non seulement pour le propre plaisir de Myumi, mais aussi parce qu’hurler permettrait à sa petite chérie d’extérioriser tout ce qu’elle allait ressentir. C’était sa première sodomie, et, si Myu’ appréciait la solennité du moment, elle savait aussi combien une sodomie était une expérience éprouvante. Elle avait ainsi veillé à longuement préparer Elianne, mais ceci avait aussi eu pour effet secondaire de l’exciter furieusement. Myu’ commençait en réalité à réaliser à quel point Elianne la stimulait, l’enivrait, et l’excitait. Sa queue en était la plus belle preuve, et Myumi, en d’autres circonstances, aurait aimé avoir une érection moins prononcée pour la première fois de son élève... Mais ce n’était pas le genre d’organes qu’on pouvait très bien contrôler. Elle s’enfonça donc progressivement en elle, respirant lentement, faisant coulisser sa queue, sentant les parois anales d’Elianne se contracter et se dilater autour de sa longue trompe. L’anneau de chair s’écartait progressivement, et elle dut recule rà plusieurs reprises, pour prendre de l’amplitude, et pouvoir ainsi s’enfoncer, encore et encore, jusqu’à ce que, au gré de ses efforts, ses testicules ne tapent contre les fesses de la jeune fille, son bas-ventre heurtant sa peau.

Myumi était totalement plongée en elle, et la différence de gabarit était saisissante. Elle, l’adulte, au corps très généreux, harmonieux et tout en chair, et elle, la jeune lycéenne au beau corps naissant, dont la tête lui arrivait à hauteur des seins. Là, elle semblait si petite, et, pendant quelques secondes, Myu’ reste inerte, savourant ce spectacle, la sensation de sa queue entièrement recouverte par la chair interne d’Elianne, qui se refermait sur elle, l’emprisonnant, l’enserrant dans un cocon chaud et douillet.

« Oh, Elianne, ma chérie... »

Juste avant de la gifler, elle caressa délicatement son corps. Elianne était sous tension, et la gifle amorça la suite. Dès que Myu’ la gifla, elle sentit la résistance d’Elianne se rompre. Myu’, elle, partit vers l’arrière, puis remonta en avant, et commença véritablement sa sodomie, crispant ses mains sur les fesses de la jeune lycéenne, appuyant dessus, tout en continuant à la pénétrer, d’avant en arrière. Des soupirs étouffés s’échappaient de ses lèvres, tandis qu’elle multipliait les coups de reins.

« E-Elianne, haaa... Elianne... ! »

Et, rapidement, Elianne se mit à hurler, à gesticuler, et à se tortiller sur place. Cette fois, elle se lâchait, cette fois, la spirale du sexe s’emparait d’elles. Myumi gémit à nouveau, et continua à la prendre, filant en elle, d’avant en arrière, sans relâche, en grognant et en gémissant. Ses lèvres serrées, elle soupirait encore, poussant de nouveaux soupirs, et continua à la bourrer, accélérant progressivement le rythme, jusqu’à sentir une main se saisir de ses doigts. Surprise, Myu’ baissa la tête... Et sourit. Elle serra alors ses doigts sur ceux d’Elianne, tout en relevant sa main, et la maintint ainsi, son autre main posée sur son bassin, filant encore en elle, plus longuement, plus profondément, plus durement.

Rien n’était épargné à Elianne, car Myumi comptait vraiment lui offrir une magnifique sodomie. Le corps de la jeune femme filait ainsi d’avant en arrière, tandis que, imperturbablement, Myu’ continuait à la bourrer.

« Hmmmm... Haaaaa... Ma chérie... Masturbe-toi pendant que je te défonce ton petit cul, mon ange... Hmmmm... Jouis pendant que je te baise ! »

Myumi récupéra ainsi son autre main, et s’en servit pour retourner gifler à intervalles plus ou moins régulières le postérieur de la petite beauté. Car Myu’ avait cru comprendre que sa première gifle l’avait bien excité. Elle réitérait l’expérience... Pour voir.

« Tu vas voir... Les orgasmes anaux, c’est... Magique ! »

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Myumi fut frappée par le visage d’Elianne, s’extirpant de l’oreiller, après son superbe orgasme. Elle tourna sa tête vers elle, plusieurs mèches de cheveux rebelles barrant son beau visage basané en deux. Elle respirait lourdement, avec les joues rouges, sa poitrine se soulevant et s’abaissant, de la sueur commençant à couler sur son corps. La prof’ s’arrêta pendant quelques secondes, entrouvrant les lèvres, en ressentant... Une curieuse sensation devant ce spectacle. Elianne était... Belle. Mais pas uniquement. Il y avait aussi autre chose, une attirance supplémentaire, que Myu’ éprouvait en ce moment. Ce fut donc tout naturellement que Myu’ enfonça ensuite ses doigts couverts de cyprine dans la bouche d’Elianne, après s’être bien masturbée.

Elle avait frotté sa queue pendant plusieurs minutes, se masturbant plus ou moins vigoureusement, de manière à avoir un phallus de belle taille. Et, quand elle termina, sa queue était effectivement bien grosse, remontant jusqu’au-dessus de son nombril. Une longue tige assoiffée, qui ne demandait qu’à se nourrir du corps de sa petite chérie. Myu’ avait déjà couché avec beaucoup de femmes, elle connaissait le corps féminin à la perfection, et avait rapidement constaté qu’Elianne était une grande sodomite. Sa petite préparation anale l’avait confirmé, et, quand elle ordonna à Elianne de se mettre en position, son élève obtempéra, bombant son petit cul d’amour, tout en venant encenser Myumi.

Myumi sourit alors, et sentit la douceur qu’elle ressentait envers Elianne se muer en une excitation sauvage. Ses mains se crispèrent sur les fesses de la jeune fille, sa queue caressant sa raie, puis elle posa sa main sur son verge, et l’approcha du délicat trou rose de la jeune fille.

Myumi soupira donc, et appuya encore son corps contre celui d’Elianne, pour le simple plaisir de sentir sa queue se crisper contre les fesses de la jeune femme, et, surtout, pour la frustrer davantage. Cette frustration, Myumi pouvait la sentir filer à travers tout le corps de la lycéenne, s’exprimant dans les vibrations de ses muscles, dans les frémissements de sa chair. EN manque, elle était en manque, et ce alors qu’elle venait tout juste de jouir ! Oh, quelle magnifique traînée ! Une merveille de beauté et de perversion !

« Je vais te bourrer le cul, ma chérie, te baiser tellement fort que tu auras mal même en t’asseyant sur un coussin rembourré. Crois-moi, tu ne pourras pas aller en cours demain, tu ne seras même plus capable de te lever... »

Myumi était capable de faire l’amour pendant plusieurs heures, voire toute la nuit, et, en ce moment, Elianne la stimulait tellement qu’elle comptait bien la baiser longuement.

« Je vais te baiser, ma chérie, encore, encore et encore, et, même quand tu me supplieras d’arrêter, je te baiserai encore... Tant et tant de fois que cette nuit restera à jamais gravée dans ton corps, et que tu ne prendras jamais un tel pied avec une autre personne que moi. »

Elle sourit donc, et sa queue s’approcha de son cul, tapant contre sa porte. Mine de rien, les propos salaces n’avaient fait qu’accroître encore son érection, et elle était maintenant pressée de passer aux choses sérieuses. C’est ce qui l’amena à se rapprocher encore.... Et son membre commença à taper contre le fondement de la femme, puis Myu’ émit un lent soupir, et se glissa en elle, s’immisçant.

« Hmmm... !! »

Même après l’avoir préparé, son petit trou restait bien étroit, surtout en considération de la taille de la queue de Myumi. Elle grogna donc, et commença à remuer en elle, d’avant en arrière, faisant remuer son membre, et se glissa encore en elle.

« Oui... Mmmhhmmm... !! »

Et, peu à peu, elle accéléra le rythme...

« Vas-y... C-Couine... Couine, ma petite chienne !! »

Et elle la gifla sur l'une de ses fesses, pour la motiver, et pour l'entendre hurler. Avec sa voix si douce et si fluette, ce serait un véritable régal.

27
Myumi se rendit à la salle de cours avec sa tenue spéciale, suivie par Jack, et par Elianne. La jeune fille était nue. Elle aurait pu mettre son uniforme, car elle savait que sa Maîtresse aimait bien la baiser dans sa tenue, mais, comme elle était en chaleur, et qu’elle allait encore devoir le rester, elle avait préféré mettre toutes les chances de son côté. La partie allait être difficile à tenir pour elle, car Elianne connaissait les règles de la salle. Elle savait que les participants étaient privés de vue, et ne communiquaient qu’en faisant l’amour et en se touchant. Et, si Elianne était touchée, elle se devait de faire l’amour avec la personne qui la touchait. Autrement dit, elle allait devoir faire très attention, s’isoler, sans que personne ne puisse la soulager de sa tension, de cette chaleur qui croissait en elle, et qui ne demandait qu’à sortir. Pour autant, il aurait été faux de croire qu’elle en faisait le reproche à sa Maîtresse. Au contraire, ce petit défi ne manquait pas de l’exciter. Elle aimait l’ingéniosité de sa Maîtresse, son imagination, et savait que, si elle la mettait souvent à l’épreuve, elle la récompensait aussi chaudement. Grâce à sa mère, Erelda, Myumi avait continuellement accès à de magnifiques amants, aussi endurants que biens membrés, et il était fréquent qu’elle en envoie une paire, au moins, s’occuper d’Elianne.

Le trio arriva donc dans la salle, où les élèves étaient déjà occupés. Ils étaient tous nus, ou portant des collants ou des gants. Leurs parties intimes étaient à disposition, et, dès que Jack se mit à parler, Myumi vint l’interrompre en l’embrassant.

« Ce ne sont pas les règles, Jack... Tu ne dois pas décliner ton identité, ni parler. »

Ce n’était pas qu’une simple orgie, il y avait aussi, dans une certaine mesure, une approche artistique. Myumi avait conçu ces soirées après avoir vu ce film de Kubrick, Eyes Wide Shut, où de riches aristocrates s’adonnaient à des soirées hédonistes en portant un masque sur le visage, de sorte qu’ils ne parlaient pas, ne se connaissaient pas, et copulaient juste pour le plaisir du sexe. Pas d’attaches, pas de sentiments, simplement l’appel bestial, sauvage, du sexe.

« Ici, nous parlons avec les corps, nous exprimons notre plaisir par nos jouissances... La seule règle est que tu dois coucher avec quiconque te touche. »

Myumi était normalement la seule à ne pas porter le bandeau, puisqu’elle était professeur. Le fait qu’Elianne n’en porte pas illustrait donc toute l’importance que la fille avait. Il lui arrivait parfois d’en mettre un. Quant à Jack, le choix lui appartenait, mais qu’il enfile ou non le bandeau, il se devait de respecter le silence.

Il s’agissait autant d’une soirée de formation que de délivrance, destinée à libérer les gens dans le sexe, et à tout oublier pendant un bref moment. Oublier les normes sociales, oublier même qui on était, coucher éventuellement avec ses pires ennemis, le tout au nom du sexe. Aucune restriction. Tout le monde était bisexuel ici.

La Maîtresse, elle, se déplaça, faisant claquer ses talons sur le sol, et ne tarda pas à attraper une fille, et à la prendre contre une table, les jambes de l’élève s’enroulant autour de sa taille, sa queue tendue s’enfonçant en elle.

Ses soirées commençaient toujours par une phase de préparation. Comme au sport, il fallait un tour d’échauffement avant de commencer la prestation.

Seule Elianne était en souffrance, réfugiée près du bureau, et peinant à rester stoïque. Elle mouillait abondamment, et nul doute que, quand Jack et Myumi viendraient la prendre, elle leur offrirait un orgasme phénoménal...

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One Shot / Re : Vertes & Roses années [PV]
« le: jeudi 23 mars 2017, 21:17:25 »
Erelda allait donc « goûter » au talent de Morimoto avant de le laisser s’occuper de sa fille. Un choix logique, vu qu’ils étaient des amants de longue date, eux deux. Morimoto la souleva donc, et la plaqua contre le mur, tout en lui expliquant ce qui allait arriver à sa fille. Erelda se pinça les lèvres, avant de frémir en sentant la virilité de l’homme caresser son corps, onduler contre ses fesses. Elle se pinça encore les lèvres, gémissant en sentant les doigts du Proviseur glisser sur son intimité, la déshabillant. Elle sentait son calme, ainsi que sa furieuse érection. Morimoto avait une expérience sexuelle qui défiait toute concurrence, de sorte qu’il pouvait se contrôler, tout en étant terriblement excité. Sur ce point, Erelda l’avait bien formé, et était, en conséquence, toujours fière de coucher avec lui.

« O-Oui, hmmm... Elle... Elle doit rencontrer un homme, un vrai mâle, quelqu’un qui saura la dresser... »

Ses mains se crispèrent contre le mur, tandis que la virilité de l’homme s’enfonçait dans le creux de ses fesses, caressant sa peau, ses doigts venant ensuite s’enfoncer en elle. Pour un homme, il fallait reconnaître qu’il était très doué en la matière.

« Haaaa... Hmmmm... »

Il avait appris, bien entendu. Erelda se souvenait encore de leurs séances, où il était nu, et devait, les yeux bandés, lécher et titiller son sexe avec ses doigts, la jouissance d’Erelda lui permettant ensuite de pouvoir faire quelque chose de sa queue. Cette capacité à contrôler ses nerfs en matière sexuelle, Morimoto avait appris à la gérer. Ses parents avaient veillé à lui fournir une éducation sexuelle complète, et Morimoto partageait cette philosophie familiale qui était de placer le sexe comme le moteur de l’existence, et d’apprendre à le maîtriser pour pouvoir mener une vie heureuse et épanouie.

Erelda soupira donc, jambes bien écartées, et se dandina un peu.

« Allez... Fourre-là en moi... Montre-moi.... Comment tu vas la baiser ! »

La main de Morimoto se crispa à nouveau sur ses cheveux, et il la plaqua contre le mur, avant de s’enfoncer plus longuement en elle. Erelda émit un soupir, puis un gémissement, avant de sentir la virilité de l’homme taper contre son anus. Erelda avait été tellement sodomisée ici que le membre de l’homme s’y glissa sans trop de difficulté. Elle gémit une nouvelle fois, le cuir venant se mêler à ses soupirs, ses mains grattant le mur. Dans son dos, Morimoto s’enfonçait en elle, remuant activement.

« Haaaaa... Ouiiii... Entre toi, ma fille est... Entre des mains sûres, hmmm... »

Ce n’est pas comme si elle avait encore des soupçons sur ses capacités, après tout... Ce quickie contre le mur, c’était le genre de trucs qu’elle avait toujours aimé.

Et ce n’était pas aujourd’hui que la donne allait changer !

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One Shot / Re : Vertes & Roses années [PV]
« le: jeudi 23 mars 2017, 08:08:13 »
Erelda pencha la tête sur le côté devant les options qui s’offraient à elle. Comme on pouvait s’en douter, la mère de Myumi et le Proviseur étaient de très vieilles connaissances, et elle ne pouvait qu’adhérer à la philosophie très libertine de Morimoto. Il était l’héritier de l’une des plus riches familles de Seikusu, faisant partie des familles fondatrices de la ville. Sa philosophie était celle de sa famille, qui avait toujours mélangé luxe et luxure. Erelda, étant une démone, ne subissait pas l’influence du temps comme les humains, de sorte que, avant même de connaître Morimoto, elle couchait avec ses parents. Elle avait vu ces derniers former sexuellement leur fils avec un grand talent, et lui en faisait de même pour ses filles, Erelda y participant volontiers. Outre la passion pour le sexe, Erelda avait aussi transmis à Myumi autre chose, sa passion pour l’éducation sexuelle.

Et, pour le dire simplement, elle couchait régulièrement avec Morimoto. Myumi le savait, bien entendu, car il arrivait souvent qu’elles se rendent au manoir de l’homme, ou que lui vienne dans la villa d’Erelda. Il évoqua donc Hitomi, ce qui fit sourire Erelda. Elle pencha la tête sur le côté, entendant encore les soupirs de la femme.

« Connaissant ta secrétaire, je crois qu’elle adore ce moment... »

Elle en était même sûre. Hitomi n’était pas la secrétaire du Proviseur pour rien, et son fantasme était notamment, lorsque Morimoto participait à des réunions ou à des rendez-vous, d’être sous le bureau, et de le sucer pendant la durée de l’entretien. Erelda déplaça alors son pied, et le glissa entre les cuisses de l’homme, l’extrémité s’appuyant sur son pantalon, là où il y avait son sexe. Pour s’orienter plus facilement, ses mains s’étaient appuyées sur le rebord du bureau, aidant ainsi Erelda à guider ses pieds. Elle caressa son sexe en esquissant un léger sourire, malicieux.

« Et je dois bien m’assurer que tu es à la hauteur pour t’occuper de ma fille, c’est qu’elle est très endurante... »

Telle mère, telle fille, après tout. Si Hitomi portait une combinaison en cuir moulante, ce n’était pas sans raison, et elle soupira en sentant les lèvres de l’homme remonter le long de sa jambe, sentant son érection croître. Elle en ferma les yeux, soupirant légèrement. Pour un simple humain, Morimoto disposait d’une vigueur exceptionnelle. La femme aurait été bien idiote de ne pas vouloir en profiter.

« Làààà... Dis-moi ce que tu vas lui faire, mon chéri... Excite-moi... »

Sur ce point, elle lui offrait sa confiance absolue.

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One Shot / Re : Vertes & Roses années [PV]
« le: mercredi 22 mars 2017, 20:28:50 »
Difficile de faire entendre raison à Myumi. Erelda écoutait religieusement Morimoto lui expliquer la situation, ce dont elle était déjà au courant. Il fallait agir, et faire quelque chose pour museler sa fille. Erelda, en réalité, n’aimait guère ça, et fronça les sourcils quand le Proviseur envisagea sérieusement l’idée de l’exclure.

« Mishima est le seul endroit qui convienne à ma fille, Morimoto. L’exclure n’est pas une option envisageable. »

Les Ichtora faisaient partie du conseil d’administration, et, si jamais une demande d’exclusion était présentée à l’établissement, Erelda appuierait de tout son poids pour l’interdire. Sur ce point, elle était catégorique. Ses talons se mirent à claquer sur le sol. Elle portait, comme à son habitude, une tenue extrêmement sensuelle, faite d’un long pantalon noir moulant en cuir, d’un corset mettant en valeur sa généreuse poitrine, et de longues bottes lubrifiées à force de sentir la langue de ses esclaves dessus. Quand on voyait une telle mère, on ne pouvait que comprendre l’ardeur de la fille, et Erelda était très fière d’elle.

Pour autant, elle n’était pas aveugle, et reconnaissait l’existence d’un problème. Les avocats se succédaient, ainsi que les journalistes, réveillant les vieux démons de Mishima. Ce n’était pas le premier scandale, ni même le premier procès, que l’établissement affrontait, et, comme à chaque fois, Morimoto était nerveux.

« Tu ne pourras pas contenir l’ardeur sexuelle de ma fille. Sa nature hybride la rend encore plus assoiffée qu’une succube normale, car elle a l’énergie d’une succube et la frustration normale d’un être humain. Un cocktail redoutable... »

Erelda était bien placée pour le savoir, mais, pour autant, elle était incapable de sérieusement en vouloir à sa fille. Si Myumi était ainsi, c’était en grande partie grâce à Erelda, qui ne lui avait jamais appris à brimer ses pulsions. Dès qu’elle avait eu seize ans, elle avait enchaîné les orgies avec les esclaves d’Erelda, et, bien entendu, avec sa propre mère. Myu’ était ainsi, une femme plein d’appétit, énergique à souhait. Comment le lui reprocher ça ? Bien sûr, Erelda s’aveuglait un peu, mais quelle mère ne le ferait pas ? Mère aimante, Erelda pardonnait toujours à sa fille.

Et, au-delà de ça, elle savait surtout combien il serait vain de vouloir décourager sa fille de faire l’amour. C’était donc une autre approche qu’il fallait tenter, et la femme se rapprocha de Morimoto, avant de s’asseoir sur le rebord de son bureau, croisant élégamment les jambes.

« Le meilleur moyen, c’est de la dresser. De l’éduquer à travers le sexe. Il n’y a que ça que ma fille comprenne... Elle tient de moi, après tout. »

La femme se retourna sur le bureau, en pivotant sur place, de telle sorte qu’elle se retrouva face à l’homme,e t posa ses jambes à gauche et à droite de lui, tout en partant vers l’arrière, redressant ainsi ses seins, ses pieds heurtant les cuisses de l’homme.

« Et je crois que tu as tout à fait les capacités de faire ça. Après tout, dresser des adolescentes en chaleur, c’est ton rayon, non ? Myumi n’a jamais connu de père, elle manque d’une autorité masculine... »

C’était la solution qui lui venait à l’esprit, et qui lui semblait être la plus efficace.

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