Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Myumi Ichtora

Pages: [1] 2 3 ... 11
1
Maria ignorait qui était cette fille, et elle n’en avait pas grand-chose à faire. Tout ce qu’elle voyait, c’est qu’elle était plutôt bien fichue, et, somme toute, très demanderesse en matière de sexe. Ses petites mains potelées glissèrent ainsi sur le corps moelleux et bien proportionné de Maria Sucker, jusqu’à la déshabiller. Celle-ci la laissa volontiers faire, tout en partageant avec elle un long baiser. De son côté, Myumi souriait doucement, ses mains posées sur les hanches de Shii. Elle était heureuse de voir Aiko les rejoindre, partager avec elle ce moment intime. Sans être particulièrement patriote, Myumi savait toutefois que cette jeune fille méritait des égards très particuliers. Maria l’embrassait donc, jusqu’à sentir les mains d’Aiko explorer son corps.

« Et bien... Tu es en manque, toi, ma belle... » commenta sobrement Maria.

Aiko refusa encore de dévoiler son identité, craignant sans doute qu’apprendre son statut royal ne décourage Maria. En l’état, il y avait peu de chances que Maria reconnaisse en Aiko un membre de la famille impériale japonaise. Shii aurait sans doute pu le savoir, mais celle-ci avait bien du mal à réfléchir, avec Myumi qui la pénétrait durement... Et un bâillon dissimulait de plus sa vision. De son côté, Maria frémit en sentant une main d’Aiko parcourir ses fesses, et poussa un léger soupir lorsqu’un doigt se mit à titiller son fondement. Elle soupira donc, et esquissa un léger sourire devant l’appétit manifeste de cette jeune femme.

« Hmmm... Très... Très gourmande, même ! »

Mais ce n’était clairement pas pour déplaire à Maria, qui caressa également les fesses d’Aiko.

« Fais-toi plaisir, ma chérie, glissa alors Myumi, tout en continuant à maltraiter à sa manière le corps de Shii, le corps de Maria est pour toi... »

Il lui appartenait de faire ce qu’elle en voulait... Sexuellement parlant !

2
Aiko-hime n’était pas une élève comme les autres. En fait, il était tout à fait juste de dire qu’elle était une sorte de VIP… Ou de VVIP, pour « very very important person ». Dire qu’elle était précieuse était un euphémisme, car elle était une Princesse impériale, appartenant à la famille de l’illustre Empereur du Japon, Akihito. Pourquoi cette femme s’était retrouvée ici, à Mishima, plutôt qu’à un juku ? La question avait été posée au sein du Conseil d’administration du lycée. C’était le choix personnel d’Aiko-hime de venir ici, et la famille l’avait respecté. Initialement, il avait été envisagé que tout cela ne soit qu’une manœuvre d’Aiko-hime pour se rapprocher de la famille Morimoto, une très influente famille japonaise, proche de la famille impériale, mais il n’en avait rien été.
 
L’explication était ensuite tombée d’elle-même, et se confirmait ce soir… Aiko-hime était une jeune femme pleine de vie ! Une jeune adolescente qui souffrait visiblement de sa vie cloisonnée et ultra-conformiste, et aspirait à des fantasmes lubriques et terriblement osés, impliquant l’exhibitionnisme, et un penchant naturel pour l’hédonisme et la perversité.
 
Aiko-hime s’excusa pour son intrusion, et, en l’entendant, Shii, qui se contorsionnait sur place, couina lentement :
 
« Qui… Qui est là ? »
 
Cette insolence donna lieu à une puissante gifle sur le cul de Shii, qui couina, et Myumi donna un coup de reins supplémentaire, son solide gode se perdant en elle. Myumi portait au demeurant un strap-on très particulier, une conception de sa mère inspirée des modèles tekhans, avec plusieurs petites capsules attachées à l’appareil, permettant de relâcher, avec l’aide de capteurs, des filaments de sperme quand la porteuse atteignait l’orgasme.
 
Pour autant, Myumi se retourna vers Aiko-hime, et lui sourit tendrement :
 
« Entre, Aiko-chan, viens, ma chérie… »
 
Fort heureusement, Shii, qui était probablement l’une des rares élèves du lycée à pouvoir déterminer l’identité réelle d’Aiko (que Myumi se garderait bien en public d’appeler par le suffixe « -|i]hime[/i] » !), avait les yeux bandés. Maria, quant à elle, sourit, sans savoir à qui elles avaient affaires, croyant juste voir une autre des élèves particulières de Ichtora-sensei.
 
Aiko-hime rejoignit donc le bureau, d’une démarche fluette, mais non moins pesante, trahissant l’excitation fébrile qu’elle ressentit. Myumi retourna alors bourrer le corps de Shii, faisant de nouveau hurler la femme, tandis que la jeune lycéenne s’installa sur le bureau, face à Shii, et entreprit de se masturber énergiquement.
 
« Tu as vraiment l’air en manque, dis-moi, ma pauvre… » gloussa Myumi.
 
Shii se tortilla sur place.
 
« Mais… Maîtresse, je…
 -  Chut, rebelle ! Quelle insolence, vraiment! Je n’ose croire que Warren-sama t’a formé si mal que ça pour que tu viennes m’interrompre tout le temps ! » répliqua-t-elle, égrenant chaque reproche d’une grosse claque, faisant à chaque fois hurler Shii.
 
Et, quand elle hurlait, Shii avait une délicieuse voix fluette, une petite voix timide et lubrique. Elle couinait longuement, mouillant frénétiquement, et Myumi continua à la prendre, jusqu’à ce qu’AIko-hime ne finisse par jouir. Son jus fusa sur la tête de Shii, et elle se retourna ensuite vers Maria, qui lui sourit tendrement.
 
De la tête, Myumi accepta, et la ganguro se rapprocha, venant caresser le visage d’Aiko, puis l’embrassa sur les lèvres. Maria avait de délicieuses lèvres sucrées, au goût de fraise.
 
« Toi… J’ignore qui tu es, mais… Je t’aime déjà beaucoup, ma belle.
 -  C’est une nouvelle élève, hmmm… Avec de gros besoins affectifs, haaa… »
 
Une nouvelle qui ne manqua pas de faire insolemment sourire Maria, qui retourna l’embrasser, et glissa deux doigts entre ses cuisses, venant la masturber, son autre main empoignant les cheveux soyeux d’Aiko. Elle l’embrassa longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, pressant son corps chaud et aux formes amples contre le sien, puis retira ses doigts de son sexe, afin d’amener Aiko à pivoter sur place.
 
Sa main se déplaça ainsi pour se glisser sous les cuisses de la femme, et elle aida ainsi la jeune Princesse à enrouler ses jambes autour des hanches de la femme, tout en posant sa main sur les fesses d’Aiko, une main trempée et dégoulinante de cyprine qui malaxa le cul de la jeune fille.
 
« Une nouvelle très prometteuse, en tout cas… Je suis Maria Sucker, ma chérie… Mon rôle, au lycée, c’est de soulager les jeunes talents comme toi de leurs frustrations sexuelles. Tu peux me voir comme une prostituée affectée au soulagement des troubles hormonaux des lycéens, ça me correspond tout à fait ! »
 
Et Maria revendiquait ce statut avec fierté !

3
« Se-Senseï, haaaa... !! »

Shii poussa un nouveau cri de plaisir et de douleur quand le gode de Myumi s’enfonça dans son fessier. Ses mains se crispèrent sur le rebord du bureau, et Shii hurla encore, fermant les yeux. Son sailor fuku était légèrement défait, délesté de sa jupe, et elle sentait Myumi la pénétrer rudement. Celle-ci portait une séduisante tenue érotique noire en latex, et continuait à prendre la jeune femme. Ses mains caressaient ses fesses, malaxant sa chair, faisant doucement crisser sa combinaison. Shii hurla encore, et la jeune fille qui les observait, une ganguro du nom de Maria Sucker, gloussa doucement.

Maria s’assit sur le bureau, à côté de Shii, et caressa son visage avec sa main, ses doigts glissant tendrement sur ses cheveux. La ganguro était une élève de Mishima très particulière, car elle était inscrite sur les registres, mais affiliée à aucune classe. En réalité, Maria était une prostituée locale, recrutée par le conseil d’administration pour satisfaire quelques élèves. Une élève de l’ombre, qui permettait à l’administration d’avoir un aperçu des réseaux occultes du lycée.

« Allez, là, tu adores ça, Shii-chan, hein ? Bande bien les fesses, et peut-être qu’Ichtora-sensei te laissera jouer avec sa grosse queue !
 -  Hmmmm... Haaaa... !! »

Shii était une excellente candidate pour les jeux délicieusement pervers de Myumi. La senseï aimait beaucoup Shii, qui, outre être une esclave dévouée de Mélinda, était aussi une élève très douée, très brillante. Myumi la récompensait de son brillant devoir de mathématiques, où elle avait fini première de la classe, et avait pour cela invité Maria. Shii et la ganguro avaient déjà eu l’occasion, par l’intermédiaire de Mélinda, de s’envoyer en l’air ensemble. Maria avait ainsi compris que Shii était une jeune femme qu’il fallait forcer pour avoir ce qu’elle voulait, et il était donc normal que Myumi l’invite dans la classe.

La jeune femme la bourrait donc, la prenant tendrement, accélérant progressivement le rythme. Elle soupirait longuement, et entendit alors la porte s’entrouvrir. Fort heureusement, Shii portait sur ses yeux un bandeau noir. Si Maria ne reconnut pas Aiko-hime, Shii était bien trop cultivée pour ne pas la reconnaître rapidement. Le hasard avait fort heureusement voulu que Shii n’avait encore jamais rencontré Aiko-hime, et le conseil d’administration faisait tout pour dissimuler autant que possible sa présence. Mishima était un lycée à la réputation sulfureuse, et, si la presse apprenait qu’une Princesse japonaise se trouvait ici...

« Oh, hmmm... Shii-chan, je crois que tes cris de petite pute... Ont attiré du monde ici !
 -  H-Hein, haaaa... Co... Haaaaannn... !! »

Myumi gifla le cul de Shii, qui couina encore, puis la professeur, ralentissant légèrement le mouvement, sourit à Aiko-hime. Elle ne lui dit toutefois rien, car la jeune fille restait encore dehors... Mais lui fit signe de la main d’entrer. Après tout, les ordres étaient de ne pas la brusquer, et, même si Myumi avait tendance à être une femme sulfureuse, elle respectait toujours les instructions qu’on lui donnait.

4
Les doigts de Myumi remuaient dans la délicieuse bouche d’Elianne, tandis qu’elle lui avait exposé, avec tout le sérieux du monde, qu’elle voulait d’elle comme compagne. Un choix qui, de prime abord, pouvait surprendre, mais Myumi aimait bien Elianne. Outre sa grande beauté, elle était aussi une lycéenne plutôt discrète. Elle avait quelques amies, était une bonne élève, et avait en elle ce zeste de perversion qui ne demandait qu’à s’éveiller. Myumi aurait dit qu’elle avait une sorte de crush sur elle, et elle était bien décidée à voir jusqu’où Elianne pouvait la suivre. Le problème, avec ses précédentes conquêtes, c’est qu’elles n’avaient pas pu tenir le rythme. Myumi était une amante exigeante, insatiable, tout comme sa mère. Avec elle, le sexe était quelque chose d’omniprésent, de continuel, et Elianne n’en avait, en ce moment, qu’un bien maigre aperçu. Se tortillant sous le corps massif de Myumi, elle mordilla ses doigts, comme pour témoigner de son plaisir, puis manifesta ensuite à Myumi son approbation. Impossible de parler, alors... Elle lui offrit un gros baiser ! Intense, mielleux. Myumi en fut agréablement surprise, frémissant en sentant les délicieuses mains de son amante se serrer sur ses cheveux, et se lova contre elle, répondant sans aucune hésitation à son baiser, collant son corps au sien, et cessa même de remuer son bassin.

Sa queue se retrouva juste plantée dans le con d’Elianne, sans bouger, nichée bien profondément. Une position assurément inconfortable pour la jeune lycéenne, qui devrait peu à peu sentir la frustration pointer, mais Myumi lui prouvait aussi, par ce biais, qu’elle disposait sur son propre corps d’un très grand contrôle. Elle ne se laissait pas aller, elle contrôlait la chose, et savoura les délicieuses lèvres d’Elianne, jouant avec sa langue, remuant harmonieusement son corps contre le sien, frémissant ensuite en sentant les mains de sa jeune élève se poser sur ses fesses. Le baiser dura bien une bonne minute, passionné, énergique, les cheveux rebelles de Myumi tombant légèrement sur le devant de son visage.

« Hmmmm... !! »

Après ce délicieux contact, Myumi redressa le visage, et sourit devant la jeune femme. Elianne lui demanda si cette réponse la satisfaisait, et Myumi acquiesça, souriant de plus belle. Elianne lui vola alors un baiser, et commença à parler... Mais Myu’ appuya davantage avec son bassin, arrachant à la femme un soupir. Encore une fois, elle refusa pour autant de bouger davantage.

« Oui, ma chérie... Maintenant... Savoure ma queue, ma belle. Savoure ce gros mandrin qui est en toi, là... Ma queue, hmmm... Je vais t’apprendre à l’aimer, à en raffoler sans relâche... Si tu veux m’aimer, Elianne, si tu veux que notre relation tienne, hmmm... Il va falloir que je fasse de toi une véritable nymphomane, ma choupette. J’aime ton côté timide, ce visage public, mais... »

Myu’ sourit, et se rapprocha d’elle, venant mordiller le creux de son cou, faisant durer la frustration d’Elianne, comme pour la sentir s’impatienter, et lui griffer les fesses. Elle mordilla donc sa chair, et remonta ensuite le long de son cou, murmurant contre son oreille :

« Sache que je ne t’épargnerai rien, Elianne... Plus je suis perverse avec quelqu’un, plus je l’aime. Cette sodomie, quand j’en aurais fini avec toi, ça te semblera très normal par rapport à tout ce que tu m’inspires. Du gang-bang, du sexe crapuleux dans la rue, te baiser le matin pour te réveiller, inonder ton corps de mon foutre blanc... Tu n’as pas idée d’à quel point je suis perverse, Elianne-chan... Et toi, ma chérie, je te formerai sur cette voie. Quand j’en aurais fini avec toi, tu ne pourras plus te passer de sexe une seule journée. »

Elle déplaça alors son visage, et embrassa la femme sur les lèvres, en recommençant à remuer, lentement, accélérant progressivement le rythme, écrasant son corps contre le sien.

« Je vais faire de toi une salope hors concours, mon aimée... Je vais te baiser, te baiser, et te baiser encore, et, même quand tu croiras être à bout, quand tout ton corps implorera d’arrêter, je te ferais encore prendre ton pied. Oh oui, ma chérie, hmmm... Je... Haaaa... Nous allons passer tant de merveilleux moments, tant et moi, ma chérie, hmmm... »

Myumi se pinça les lèvres, et continua à remuer en elle, accélérant encore le rythme, soulevant petit à petit le frêle corps d’Elianne avec le sien.

« Oh, ma beauté... »

Et, encore et encore, elle accéléra, bien décidée à ce qu’Elianne enchaîne les orgasmes.

5
C’était sa mère qui avait accepté ce projet, sa mère qui avait autorisé Bellona à venir ici. Sa mère, qui siégeait au conseil d’administration de Mishima, et qui était donc bien placé pour savoir ce qu’on disait sur le lycée. Mishima avait déjà essuyé plusieurs scandales, et avait toujours réussi à s’en sortir. Il y avait même eu un procès il y a quelques années, intenté par des parents d’élève. Leur fille était tombée enceinte, et ils avaient accusé le lycée de défaut de surveillance. Les parents avaient refusé de transiger, comme le lycée le faisait très souvent dans ce cas de figure. Fort heureusement, à l’issue de la procédure, les juges avaient rejeté la demande des parents, estimant qu’ils n’apportaient aucune preuve de leurs allégations. Bellona devait donc tourner autour du pot, car il suffisait d’une rapide recherche sur Internet pour voir tout ce qui circulait sur le lycée Mishima. Il existait même une pétition réclamant la fermeture du lycée. Mais on ne pouvait nier que le lycée avait remporté bien des succès.

*Alors, Bellona, que dois-je faire de toi ?* songeait silencieusement Myumi.

La femme caressa alors sa cuisse. Sensuelle, Myu’ s’était assise juste à côté d’elle, perturbant Bellona. Elles s’étaient instinctivement mises à se tutoyer, sans difficulté, mais, à la vérité, si Myumi ne voyait pas de problèmes à ce qu’elle tutoie Bellona, elel aurait préféré que la petite pimprenelle la vouvoie... Une correction à rectifier. En tout cas, Bellona alla jusqu’à avouer qu’elle était prête à donner de sa « personne », et Myumi sourit.

« Rien que ça ? Bien... Mais je ne sais pas jusqu’à quel point je peux te faire confiance. Tu es une journaliste, tu as peut-être un microphone dissimulé sur toi, ou quelque chose du genre. »

C’était peu probable, mais, après tout, venant d’une journaliste. Myumi n’était pas non plus née de la dernière pluie ! Elle descendit du bureau, et se glissa dans le dos de la jeune femme, posant ses deux mains sur ses épaules, les massant tendrement.

« Je suis sûre que tu as déjà dû te renseigner un peu sur le lycée avant ce rendez-vous... Que tu n’as pas fait ‘‘qu’entendre beaucoup de choses’’, ma chérie... Alors, on va voir... Relève-toi, ma belle, laisse-moi regarder jusqu’à quel point je peux te faire confiance. »

Bellona n’avait pas trop le choix, et elle se releva donc. Myumi lui demanda ensuite, tout en restant dans son dos, de se laisser faire... Et commença à la palper. Elle posa ses mains sur ses hanches, et descendit, attrapant son téléphone portable. Myumi le prit alors, et l’éteignit, tout en murmurant dans l’oreille de la femme :

« Tu n’en auras pas besoin ce soir, ma belle... »

Ses seins caressaient le dos de Bellona, une belle poitrine, agréable et ferme, et elle continua ensuite ses palpations, qui prirent un tour... Plus intime. Myumi n’était pas que douée pour les mathématiques, elle savait aussi faire d’excellents massages. Là encore, sa mère lui avait appris à savoir user de son corps au mieux, et, elle remonta donc sur le corps de Bellona, venant caresser son Tee-shirt, jusqu’à tirer doucement dessus, le faisant sortir du pantalon de la femme, et commença à le remonter doucement.

Les mains de Myumi se posèrent ensuite sur ses hanches, et elle les déplaça vers l’arrière, palpant les fesses de Bellona.

« On va voir si tu es digne que je te montre tout ce qui se cache à Mishima, Bellona... Tu n’es pas une élève, après tout, et je n’ai aucune obligation de le faire, mais... »

Ses mains, toujours aussi baladeuses, remontèrent alors, et caressèrent les seins de la femme, chacune filant contre son Tee-shirt pour serrer et malaxer les bonnets de la belle femme. Entre-temps, la bouche de Myumi se posa dans le creux du cou de la femme, et elle s’amusa, avec son bassin, à faire de légers mouvements de vas-et-viens, donnant de discrets coups de reins. Sa main s’écarta ensuite des seins de la femme, et elle retourna Bellona, leurs visages se faisant désormais face.

D’une main, Myumi caressa le visage de la belle journaliste, écartant ses mèches de cheveux, et lui sourit encore, tendrement, sensuellement.

« Je suis disposée à être ta Maîtresse à Mishima, Bellona... »

Sa main se posa sur son menton, et elle l’embrassa alors, pendant quelques secondes.

« Je pourrais t’accorder le temps de la réflexion, mais ce n’est pas comme ça que ça fonctionne. Je veux ta réaction, à chaud... Si tu acceptes, je te montrerai tout ce que tu veux, ma belle, et tu devras m’obéir. Si tu refuses, on s’arrête là, et tu te contenteras, pour ton article, des rumeurs qui circulent sur Internet. »

Évidemment, inutile de préciser que, dans tous les cas, un article sur Mishima ne verrait jamais le jour... Ou, du moins, pas un article qui n’aurait pas été approuvé par Myumi. Elle termina ensuite :

« Si tu es d’accord, dis : ‘‘Oui, Maîtresse’’... » sourit-elle.

6
Les regards discrets de Bellona n’avaient guère échappé à Myumi. La professeur était dans ce domaine une femme très perspicace, capable de voir et de sentir les choses. Dès le début, la beauté de Bellona l’avait frappé, et elle savait que celle-ci n’était pas étrangère à sa raison ici. Assise de l’autre côté du bureau, Myumi observa Bellona se pencher en avant, la tutoyant sans hésitation, sautant à pieds joints dans le jeu à peine dissimulé de Myumi. La professeur de mathématiques esquiva un léger sourire, tout en sentant doucement son corps s’échauffer. Kasuo ne l’aidait pas non plus à se concentrer, car c’était le genre de scènes qui l’excitaient fortement. Mine de rien, son élève était aussi un grand pervers, et il adorait ça. Myumi aimait beaucoup qu’il la suce quand elle recevait des parents pour discuter du sort de leurs élèves. Une fois, elle avait d’ailleurs même reçu les parents de Kasuo pendant qu’il s’affairait. Myumi ne reculait tout simplement devant rien pour arriver à ses fins ! Et, sur ce point, la femme était plutôt douée.

Devant elle, Bellona expliqua alors que le but de son reportage était de faire la lumière sur les secrets de Mishima. Myumi, qui n’était pas dupe, sourit légèrement, tout en penchant la tête sur le côté. Elle avait besoin d’une couverture pour « rester incognito auprès des élèves », selon ses propres termes, ce qui conduisit Myumi à hocher lentement la tête.

« Je vois... »

Elle esquissa un léger sourire, et se pinça doucement les lèvres.

*Vraiment superbe, cette petite...*

Un véritable rubis, une magnifique pierre précieuse sans aucune inclusion. Myumi était sous le charme, appréciant son parfum, ses élégants cheveux roses, sa fine voix fluette... Cette femme était pleine de charmes, et Myumi se déplaça lentement, remuant un peu sur son siège, amenant Kasuo à la lécher davantage.

« Les secrets de Mishima, donc... »

Myumi se redressa lentement, relâchant Kasuo, qui resta attaché sous le bureau... Et, surpris par le mouvement subit de sa Maîtresse, Kasuo bascula en avant, faisant cliqueter le lien le retenant. Myumi réagit néanmoins très rapidement, et parla à voix haute, tout en contournant le bureau, et en s’asseyant sur le rebord de ce dernier, près de Bellona :

« Je peux te les montrer, ma belle... Il suffira de dire que tu es ma stagiaire, tu pourras m’accompagner dans tous les recoins du lycée, découvrir tout ce que ton chef souhaite que tu découvres... »

Myumi prenait un ton malicieux et légèrement séducteur. Elle avait croisé ses jambes sur le bureau, et était si proche de Bellona que cette dernière aurait presque pu embrasser sa cuisse. Myu’ portait un tailleur coupé court, qui révélait ses magnifiques jambes fuselées. Bien sûr, Bellona ne pourrait jamais faire ce reportage, mais, avant de passer aux choses sérieuses, Myumi poursuivit, jouant toujours faussement l’innocente, car rêvant en réalité de prendre cette femme... Surtout que Kasuo l’avait plutôt bien excitée.

« Mais, dis-moi, à ton avis, ma belle, qu’est-ce qui peut bien se passer à Mishima ? En as-tu seulement la moindre petite idée ? »

7
Prélude / Re : Yuki Miyazaki [Validarthée]
« le: dimanche 03 décembre 2017, 19:41:32 »
Encore mieux ♥

8
Prélude / Re : Yuki Miyazaki [Validarthée]
« le: dimanche 03 décembre 2017, 19:38:01 »
*A envie de choquer Yuki encore plus*

Re-Bienvenue :3

9
Au terme de cette folle soirée, et de cette joyeuse nuit, la pièce fut intégralement nettoyée. Le sōji devait être respecté en toute circonstance. Laver en ayant des bandeaux sur les yeux n’étant pas forcément aisée, Myumi laissa le soin à quelques délégués de s’assurer du nettoyage, en pouvant enlever leurs bandeaux. Elianne faisait également partie du lot, et, pendant que la classe spéciale se dispersait, après une joyeuse débauche de sexe, Myumi se retrouva seule avec Jack et Elianne, qui s’était lovée contre le corps de sa Maîtresse, et peinait à lutter contre le sommeil. D’une main, Myumi caressait sa chevelure, plaquant doucement le visage d’Elianne contre sa volumineuse poitrine.

« Je dois admettre, Jack, que tu es à la hauteur de ta réputation. Mélinda ne m’a pas menti en te recommandant... »

Myumi était impressionnée, ce qui, venant de sa part, était toujours une bonne chose. Elle déposa un baiser sur la tête de la petite Elianne, puis la poussa délicatement sur une chaise. La jeune fille portait son uniforme scolaire, défroissé, et Myumi se rapprocha ensuite de son amant.

« Honnêtement, j’ai passé une superbe soirée, et tu as été parfait... J’ai rarement vu un homme si endurant et si passionné. »

La plupart étaient souvent des beaux parleurs qui s’épuisaient après le premier coup, et les stimulants de Myumi ne permettaient guère de les maintenir en état. Pourtant, Mélinda lui avait assuré qu’elle n’avait pas tant formé que ça l’homme. Il était déjà très pervers. Autant dire que Myumi mourait d’envie d’en savoir plus sur lui, et de l’inviter dans son lit. Sa mère, Erelda, qui était une richissime milliardaire, à la tête de plusieurs studios de films pornographiques, aurait par ailleurs également assurément souhaité en savoir plus sur lui.

« Et vu comment tu as épuisé Elianne... Ma foi, je crois que tu as bien mérité que je t’invite à un dîner aux chandelles chez moi, non ? »

Question très rhétorique, personne n’ayant encore jamais osé refuser à Myumi un dîner chez elle.

« Je te communiquerai nos prochaines séances, si cela t’intéresse... Et il n’est pas exclu qu’on se croise chez Mélinda, tu n’es pas le seul à aimer y passer tes nuits... »

Myumi aimait y aller avec Elianne. En fait, elle ne faisait pas grand-chose sans Elianne, qui la suivait comme son ombre, et que Myu’, à sa manière, protégeait, tout en ne cessant de la pervertir et de la corrompre, sexuellement parlant.

« Autrement dit, nous sommes appelés à nous revoir... »

Et elle termina là, en embrassant. Ce soir, Myumi s’était fait un nouvel amant...

...Et quel amant !

FIN

10
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Lust For Life [Jack Taylor]
« le: dimanche 24 septembre 2017, 22:54:12 »
Ce « cercle-de-luxure », c’était l’une des scènes surréalistes que Myumi appréciait beaucoup. Il fallait bien reconnaître que tout cela était très excitant. La magie rose permettait de laisser libre cours à des fantasmes osés et qui, autrement, étaient irréalistes. Une chaîne de sodomies se mit donc progressivement en place, accompagnée de moult soupirs, gémissements, et autres cris, avec toutes les difficultés d’usage. Généralement, la personne qui en sodomisait une autre l’aidait elle-même à glisser son membre dans les fesses du troisième partenaire, a fortiori quand il s’agissait de filles. Elles n’étaient pas habituées, pour d’évidentes raisons biologiques, à porter des sexes masculins. Et, peu à peu, la chaîne se faisait. Peu à peu, la force collective transcendait les envies individuelles. Impossible d’arrêter la machine en quelques instants. Si l’un des maillons s’arrêtait, l’entrain commun l’amènerait malgré tout à voir son corps se déplacer de lui-même.

Autrement dit, il y avait, dans cette chorégraphie unique, un symbolisme, celui de l’aliénation liée à tout rapport sexuel. Dans le sexe, on s’abandonnait, on cessait d’être ce qu’on était, on disparaissait au profit de ses pulsions. Ici, c’était, somme toute, la même chose, et c’était ça que Myumi adorait. Ce qu’elle aimait dans le sexe, c’était la capacité innée qu’il y avait à balayer tous les efforts qu’une personne faisait pour paraître civilisée. Naturellement, elle ferma la marche, et se glissa dans le dos de Jack, caressant ses épaules, puis son torse. Son petit trou était encore libre, et son propre sexe, humide à force de coulisser dans des vagins, frottait d’ores et déjà contre le cul musclé de Jack.

Elle lui lécha le creux du cou, mordillant très légèrement sa chair ensuite :

« Là, quelle énergie, Jack.. C’est à croire que t’envoyer en l’air pendant plus d’une heure ne t’a rien fait. Mélinda n’avait pas menti sur toi... »

Après tout, c’était grâce à cette petite vampire que Myumi s’était rapprochée de Jack. La jeune femme n’avait pas tari d’éloges sur Jack, simple humain, et pourtant doté d’une endurance sexuelle à faire pâlir toutes ces stars du milieu pornographique. Jack était redoutable, tant sur l’intensité de la relation sexuelle qu’on avait avec lui, que sur la durée.  Elle sentit alors une femme se glisser dans son dos, et sourit en sachant très bien de qui il s’agissait. Pour le coup, Myumi avait mis Elianne en avant-dernière position, juste derrière elle. Peu habituée à porter un chibre, Elianne était néanmoins suffisamment perverse pour pouvoir le faire, et en prendre son pied.

C’est ainsi que la jeune lycéenne serra ses mains sur les hanches de Myumi, et enfonça sa verge en elle. Un frémissement parcourut tout le corps de la professeur, qui mit ensuite fin au cercle, le scellant à coups de triques, en glissant sa queue dans le cul de l’homme. Son anus, dont les parois étaient déjà dilatés, absorba son membre, et elle se mit à soupirer, se pinçant les lèvres, gémissant dans le creux des oreilles de l’homme.

« Jack-Jack... »

Au milieu de cette cacophonie de soupirs et de hurlements, personne ne pouvait vraiment les entendre. Myumi sentait une force étrange la pousser en arrière, avant de la tirer en avant, puis de la ramener en arrière, amenant le cercle à se transformer en une sorte d’accordéon, les corps se pressant ensemble, avant de se relâcher. La scène était vraiment hors-normes, et, pendant que Jack était à l’œuvre, Myumi se décida à poser sa main sur son bandeau, et l’arracha, lui redonnant la vue.

« Je ne peux plus juste te considérer comme un élève, hein... ? Hmmmm... !! »

Elle l’embrassa en l’amenant à légèrement tourner la tête, et continua à le sodomiser, dans cette scène incroyable et diaboliquement jouissive...

11
Les alentours de la ville / Re : Cours particulier, what else ? (PV Myumi Ichtora)
« le: dimanche 17 septembre 2017, 22:16:06 »
Il n’y avait pas que de la mouille sur les couvertures, mais aussi beaucoup de sueur. Il fallait bien dire que Myu’ avait baisé Elianne avec une force incroyable, et, vu la différence de gabarit entre les deux, Myumi étant après tout une adulte, le spectacle avait été naturellement impressionnant pour Elianne. La jeune lycéenne reprenait petit à petit ses esprits, tandis que la professeur, elle, commençait à réaliser qu’Elianne n’était pas comme les autres. En quoi, elle n’aurait su le dire avec précision, mais le fait est qu’elle avait beaucoup aimé la sodomiser. Myumi avait donc dit qu’elle comptait encore la prendre, ce qui était sorti instinctivement, sans même qu’elle n’y réfléchisse.

*Étonnant, je ne fais jamais de telles propositions à mes conquêtes, pourtant...*

Myumi était du genre très volage, terriblement libertine, exactement comme sa mère. Pourtant, alors qu’elle s’allongeait sur le corps d’Elianne, son membre trempé caressant son bassin, son corps l’écrasant, elle avait acquis l’intime conviction qu’elle reverrait encore Elianne chez elle. Oui, elle en avait même acquis la certitude, et les deux femmes s’embrassèrent donc, Elianne relevant ses jambes pour les enrouler contre son dos, tout en disant être d’accord pour la revoir, « cent fois » d’accord, même ! Myumi sourit donc, et l’embrassa ensuite, pendant quelques instants, son corps se lovant contre le sien.

« Oui, ma chérie... Crois-moi, je vais te faire l’amour, ma puce, l’amour bien au-delà de tout ce que tu peux imaginer. »

Elle lui sourit encore, et l’embrassa à nouveau. Lorsque le baiser se termina, l’une de ses mains caressa tendrement, du bout des doigts, ses lèvres. Elle se pinça les siennes, et déplaça son autre main, venant pincer le sein d’Elianne.

« Je n’ai encore jamais fait ça avec quelqu’un d’autre, Elianne... Enfin... Disons plutôt que, à chaque fois que j’ai essayé, mes amants n’ont pas pu tenir mon rythme. Tu as dû constater combien j’étais... Gourmande. Pour être totalement honnête avec toi, ma puce, j’aime énormément le sexe. »

Son doigt s’enfonça dans sa bouche, s’appuyant sur sa langue, et, pendant ce temps, elle posa sa main sur sa verge, la mit en position, et l’enfonça dans l’intimité de la femme. Des pénétrations lentes, délicates, tandis qu’elle continuait à lui parler, et positionnait sa seconde main de nouveau sur le sein de la femme. Elle soupira encore, et ferma les yeux, en gémissant longuement, avant de continuer ses coups de reins, doucement, tendrement.

« Mais je ne sais pas... J’ai le sentiment que toi... Toi, tu es différente. J’aimerais tant avoir une compagne, tu sais... Une jeune femme qui serait capable de me suivre, de partager ma vie et mon existence. Est-ce que tu t’en sens capable, Elianne ? De mener une vie privilégiée avec moi ? Bien sûr, tu as le temps d’y réfléchir... Mais je veux savoir, à chaud, sous l’effet du désir, ce que tu penses... »

Et elle continua à remuer tendrement en elle, sa queue grossissant progressivement dans l’intimité étroite et luisante d’Elianne...

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C’était une épreuve éreintante, en réalité. Jack devait coucher avec plus d’une vingtaine de personnes d’affilée. Même avec les pilules roses de Myumi, l’exercice était difficile, et, plus tard, Jack en accuserait le contrecoup. On ne pouvait pas demander à l’organisme un tel effort sans qu’il ne se repose... Même si le plus probable, après cette séance, ce serait que Jack s’effondre de fatigue, puis se réveille affamé, en vidant son frigo de toutes les matières grasses qui s’y trouvaient. C’était comme ça, tout simplement. Au moins, c’était un faible prix à payer pour une nuit d’extase. Les pilules roses de Myumi étaient des pilules magiques, fabriquées par des alchimistes en utilisant, comme base, le sang magique des succubes, notamment celui de sa mère, Erelda, une puissante succube qui avait pris goût au luxe et au sexe sur Terre, tellement préférable aux grottes sinistres de la Luxure. Mais Erelda avait emmené avec elle des souvenirs, des formules magiques qui trouvaient application ici.

Pendant que Jack enchaînait les amants, Myumi, elle, prenait joyeusement Elianne. Elle la plaquait contre elle, une main sur ses cheveux, et l’embrassait vigoureusement, son gros mandrin venant s’enfoncer dans le con d’Elianne. Sa chérie était tellement assoiffée que, dès que sa queue caressa ses lèvres intimes, elle eut un nouvel orgasme. Un orgasme puissant, mais qui trahissait surtout toute son impatience, et son profond amour pour Myumi.

« Eh bien, tu es vraiment en manque, ma chérie... » gloussa Myumi à voix basse.

Elle la pénétra donc en la tenant contre son corps, serrant ses bras. Elianne était ainsi baisée debout, dans une position improbable, serrée par les bras de sa Maîtresse. Myumi pouvait se montrer très musclée, ce qui était certainement un héritage génétique lié aux gènes démoniaques de sa mère. Elle soulevait et abaissait le corps d’Elianne sur son vit, accompagnant ses soupirs de multiples crissements de latex, de quoi rendre Elianne totalement folle. Ses couinements et ses gémissements accompagnaient ceux des amants de Jack, qui butina hommes et femmes avec un plaisir vif et impressionnant.

Jack passa en tout une bonne heure, tout comme Myumi avec Elianne. La professeur imposait à Elianne une formation sexuelle rude. Elles faisaient régulièrement l’amour toute la nuit. En tant que succube, Myumi ne pouvait pas, sexuellement parler, s’épuiser. En effet, elle se nourrissait du sexe. Et Elianne avait bien du mal à suivre le rythme. Néanmoins, la jeune humaine était, de base, exceptionnelle, et Myumi veillait à la rendre encore plus insatiable, d’un point de vue sexuel, en lui faisant régulièrement ingurgiter des potions de magie rose ayant pour fonction de la rendre plus énergique, plus perverse, et bien plus endurante. Le résultat final était très efficace.

Au bout de cette heure de stupre, Myumi finit par taper dans ses mains, en relâchant encore Elianne.

« Bien, bien ! C’est parfait ! Vous vous êtes tous bien faits défoncer, mes petits pervers ! »

Myumi était donc ravie, et se rapprocha du milieu de la salle.

« Mais ne croyez pas que vous allez pouvoir dormir, la nuit est encore loin d’être finie ! »

Myumi regarda Jack, qui était en sueur. Son corps était rubicond, témoignant de l’effort intensif qu’il avait fourni. Ça, c’était le genre d’aventure dont il pourrait parler avec fierté à Mélinda par la suite. Jack se surpassait littéralement. Myumi se rapprocha donc de lui, et caressa son torse, avant de l’embrasser encore.

« Bravo, Jack... Je n’avais encore jamais vu quelqu’un se faire toute la classe, même avec l’aide de mes pilules. »

C’était bien là l’ultime preuve des talents exceptionnels de cet homme. Quoi qu’il en soit, Myumi se retourna vers la classe, et annonça la suite du programme :

« Mettez-vous en piste ! Que les filles prennent les pilules sur le bureau, puis... Préparez-vous pour le grand train ! »

Le « grand train », un spectacle assez rare... Qui consistait à ce que chaque élève se mette l’un derrière l’autre, formant une longue queue. Pour réussir cette chaîne, les filles avalèrent des pilules que Myumi avait posé sur le bureau, leur permettant à toutes de disposer d’une belle verge. Le groupe se forma ainsi petit à petit, jusqu’à former un cercle.

« Je te laisse choisir où te mettre, Jack... Derrière moi ? Devant ? Ailleurs ? Le choix t’appartient ! »

En tout cas, dès que Myumi donnerait le signal, ce serait une véritable chaîne de sodomies qui allait se lancer !

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Le silence était de mise dans les réunions de Myumi. C’était déstabilisant au début, mais, quand on s’y habituait, on en comprenait les raisons. Toutefois, nul ne saurait être tenu à l’impossible, et, en l’état, pour Elianne, ne pas hurler relevait tout simplement de l’impossible. Voilà bien trop longtemps, ce soir, qu’elle attendait que quelqu’un daigne enfin venir la fourrer. Une impatience croissante qui avait progressivement grimpé, jusqu’à atteindre le point culminant. Alors, quand l’homme la sodomisa brutalement, en la relevant, et en la soulevant, Elianne ne put retenir ses hurlements. Elle touchait à peine le sol, ses pieds suspendus en l’air, maintenue par la musculature impressionnante de ce professeur exceptionnel.

*Mishima a vraiment un don incroyable pour recruter de tels talents...*

Les observant, Myumi était sous le charme, sûre que Jack avait reconnu Elianne. Ils s’étaient vus dans son bureau, après tout, il l’avait caressé, sentit ses lèvres sur son corps, entendu ses soupirs, le ton de sa voix... Et, quand elle hurla, on pouvait encore la reconnaître... Un peu. Il la retenait par les cuisses, et elle, elle avait envoyé une main en arrière, saisissant la nuque de l’homme, hurlant encore, griffant parfois sa nuque avec ses ongles, sous l’effet de ces vagues terribles qui la traversaient, de cette queue qui lui labourait les entrailles, et lui ouvrait les cuisses sans ménagement. C’était intense, violent, terriblement excitant.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Autant dire que les personnes au premier rang salivaient sur place. Ils avaient certes des bandeaux, mais, à force de les porter, pouvaient discerner vaguement des formes, leur permettant ainsi de comprendre ce qui se passait. Autant dire que le spectacle en valait la chandelle, et, quand enfin Jack se mit à jouir en elle, Elianne frémit de tout son corps, atteignant, elle aussi, son orgasme. Myumi la connaissait suffisamment pour savoir combien elle aimait les orgasmes anaux. Elle était vraiment très fière d’Elianne, car elle avait su faire d’elle une nymphomane de rare qualité.

Jack la relâcha donc, et respira lourdement, laissant devant lui une belle traînée de sperme, et une Elianne épuisée qui resta à genoux après cette sodomie, de la mouille et du sperme coulant de ses cuisses, ainsi que de la sueur sur tout son corps, plaquant notamment des mèches de cheveux sur son visage. Myumi se rapprocha alors, et sa main gauche caressa la queue de l’homme.

« Quelle énergie... Mais tu en as encore beaucoup à satisfaire, tu sais... »

Elle parlait à voix basse, et utilisa la main droite pour lui tendre un flacon, abritant une série de pilules roses.

« Tiens... Celles-ci sauront réveiller tes ardeurs, et te pousseront jusqu’à tes limites. Crois-moi, elles sont très efficaces. »

Myumi, de son côté, se rapprocha de la petite Elianne, qui reprenait toujours ses esprits, et l’écarta. Elle laissa à Jack le soin de savoir ce qu’il allait faire. Elle, de son côté, coucha Elianne sur une table, délicatement, se glissant dans son dos, et la pénétra ensuite, s’enfonçant dans son vagin, la faisant doucement soupirer.

« Tu ne pensais tout de même que j’allais négliger de m’occuper de toi, ma petite catin ? » murmura-t-elle dans le creux de son oreille.

Elle donna quelques coups de reins, puis attrapa ensuite finalement son sifflet, et appela le prochain candidat.

La prochaine était une autre élève bien proportionnée, Honoka Kimura...

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Comme quoi, même le sexe ne pouvait ébranler la fameuse discipline scolaire japonaise. Tous ces Japonais avaient grandi en apprenant le respect dû à l’institution et aux enseignants. Sur ce point, le Japon n’avait rien à voir avec les pays occidentaux où les professeurs étaient traités avec dédain, et boucs-émissaires d’une éducation en perte de vitesse. Bien sûr, l’éducation japonaise était loin d’être parfaite, mais ce respect dû aux enseignants était très pratique pour Myumi, facilitant beaucoup son travail, en tant que formatrice sexuelle. Les lycéens qu’elle masturbait la respectaient profondément, non seulement parce qu’elle était prof’, mais aussi parce qu’elle détenait la clef de leurs désirs. Il lui arrivait parfois de tomber sur des brutes, des hommes qui voulaient la forcer dans son bureau, mais elle les maîtrisait, et les humiliait ensuite pendant suffisamment longtemps pour s’assurer de leur docilité. Généralement, ils finissaient entre les mains de sa mère, Erelda, qui les utilisait comme amants et comme garde du corps. Mais, ici, dans sa classe, il n’y avait que des élèves obéissants. Ils attendraient donc leur tour, même si elle s’attendait à des séances de masturbations au fond de la queue.

Elianne, elle, était réellement assoiffée. Elle se dandinait sur place, mouillant furieusement, incapable de rester sur place, crispant et décrispant ses doigts. Très perverse en découvrant Myumi, celle-ci en avait fait une grande nymphomane. Mais Myumi s’amusait souvent à la mettre au défi, à voir ce qui triompherait en elle : sa soumission et son amour envers sa prof’, ou sa perversité ? C’était aussi pour ça que Myu’ avait une relation si particulière avec elle, car personne n’avait encore réussi à tenir à ce point ses défis. Attendant donc patiemment qu’ils se mettent en rang, Myumi posa ensuite ses lèvres sur son sifflet, et siffla dessus.

Les joues rouges, la belle Elianne se rapprocha de Jack, le regardant avec des yeux légèrement écarquillés, et commença par caresser son sexe, puis par l’embrasser à plusieurs reprises en fléchissant les genoux.

« Hmmm… »

Cette grosse queue juteuse lui faisait tellement envie… Elianne serra ses doigts, en se retenant de ne pas se masturber sur place. Le choix de l’acte appartenait à Jack, qui opta visiblement pour une sodomie, en usant de ses mains pour se faire comprendre. Elianne était toutefois tellement chaude que chaque geste, chaque doigt sur son corps, semblait comme décuplé par cent, la faisant gémir et couiner. Et, grâce à ses gémissements, Jack pouvait sans aucun doute la reconnaître. Elle avait embrassé et léché son sexe, buvant avec plaisir la mouille de sa Maîtresse, car elle savait que Myumi avait joui contre cette queue. Et Elianne adorait boire le liquide de Myumi. Entre elles, c’était même devenu une sorte de rituel. Myumi, chez elle, jouissait toujours en elle, et, quand Elianne avait de grosses soifs, elle utilisait même sa bouche pour qu’elle recueille son liquide doré.

Elianne se pinçait donc les lèvres, et s’appuya contre le rebord du bureau. Ne pouvant pas parler pour exciter son amant, elle le stimula autrement, en courbant ses fesses vers l’arrière, venant frotter la queue tendue de l’homme avec sa peau, et soupira encore en sentant à quel point ce vit turgescent était tendu et… Et gros ! À l’idée de sentir ce bracquemart se perdre en elle, Elianne en frissonnait de partout, terriblement excitée, assurément impatiente.

Et Myumi, naturellement, se sentait heureuse[/i pour elle.

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La fête se déroulait à la perfection. Comme Myumi s’y attendait, Jack avait très rapidement su se trouver sa place, et il prouvait être un amant d’exception. C’était donc tout naturellement que Myumi était venue le voir, afin de lui témoigner toute son affection, et, quand même, de pouvoir goûter à sa vigueur exceptionnelle. Sur ce point, Mélinda ne lui avait pas menti. L’homme était un véritable étalon, fougueux et puissant. Un partenaire parfait pour Myumi, qui était également très gourmande. Faisant parler ses muscles, Jack s’agrippa aux fesses de la femme, et la souleva rapidement, avant d’enfourner sa queue dans sa chatte.

« Haaaaa… !! »

Myumi serra ensuite ses lèvres en rougissant, avant de gémir encore, et, tandis que l’homme se déplaçait, elle enroula ses jambes autour de sa taille, et s’en servit comme appui. Même en la maintenant, sans un appui supplémentaire, pour Jack, il allait être assez difficile de la pénétrer. Elle posa donc également une main sur sa nuque, et commença à glisser contre lui, d’avant en arrière, accompagnant ses coups de reins, tout en gémissant longuement. Oui, sentir une queue en elle, même si elle y était habituée, c’était toujours aussi bon, surtout celle d’un aussi gros calibre comme celui de son collègue. Elle l’embrassa encore, avant de sentir un ventre se glisser dans son dos, des mains palper ses seins, et une belle queue s’enfoncer en elle.

« Hnnnnnnnnnnn… !! »

Elle gémit une nouvelle fois, en tournant la tête, et embrassa l’homme. C’était Chōsu, un garçon assez ventripotent, et qui ne se trouvait pas très beau. Le fait est que l’homme avait effectivement un problème de surpoids, et n’aimait pas spécialement le sport. Autant dire qu’il était un habitué de ce genre de soirées, où il pouvait se laisser librement aller. Et puis, Myumi avait su le convaincre, en lui expliquant que, au moment de faire l’amour, une femme aimait se faire écraser et pilonner par son amant. Alors, à choisir entre une brindille et un bon gros qui vous aplatirait sur place, le choix était vite fait. Après tout, avant que la télévision n’impose son diktat de la maigreur, dans le passé, les canons de beauté masculins se portaient vers les femmes plutôt amples, ou, tout du moins, bien en chair. Et le fait est que, malgré son poids, Chōsu était un amant d’exception.

Il s’enfonça donc dans son cul en grognant, et répondit avec plaisir à son baiser, tout en filant d’avant en arrière. Prise entre deux belles queues, Myumi était très largement comblée, et hurlait volontiers de plaisir, n’arrivant tout simplement pas à retenir ce plaisir qui éclatait progressivement et furieusement en elle.

« Haaaan… Ouiii… Bai-Baisez-moi bien, haaaa… !! »

Elianne, qui assistait à tout cela, avait rougi jusqu’aux oreilles. Elle mouillait furieusement, et, par un excès de pudeur très amusant, avait glissé sa main devant son intimité, en baissant les yeux, tout en ayant trouvé un angle mort. Tout le monde s’envoyait maintenant en l’air, formant une magnifique orgie de soupirs, de grognements, de coups de reins, de claquements, et d’orgasmes… Myumi ne se voyait pas jouir autrement, et eut au moins un orgasme en sentant les deux hommes la labourer ainsi… Au moins. En réalité, elle pensa en avoir enchaîné plusieurs, mais, à force, elle se sentit comme transportée, transcendée, et revint ensuite progressivement en elle.

« Pffiouh… J’espère que tu as encore de la réserve, mon chéri… »

En sueur, elle l’embrassa sur le coin des lèvres, puis retourna vers son bureau, titubant un peu. Elle dut même s’appuyer à ce dernier, et regarda alors Elianne, avant de lui sourire tendrement.

« Je vois que tu as tenu, ma belle…
 -  Je… Ouii.. »

Elianne était tellement en manqué que même parler devenait difficile. Quand Myumi l’avait rencontré, la petite était déjà une belle coquine, mais Myumi avait veillé à faire d’elle une perverse d’exception. Elianne n’avait tout simplement rien à envier aux nymphomanes du lycée, et elle était tellement en manque qu’elle était en nage, respirant profondément. Myumi ouvrit alors un tiroir, et sortit un sifflet, puis appuya dessus, et réinstaura le calme… Après avoir laissé les derniers couples jouir.

« Bien ! Mes chers petits… Comme vous avez pu le constater tout à l’heure, notre confrérie est fière d’accueillir un nouveau membre dans nos petites fêtes libertines. Et, comme il s’agit d’un homme, vous savez comment nous l’accueillons, n’est-ce pas ? Mettez-vous tous en rang ! »

Ils obéirent rapidement, et, peu à peu, une longue ligne se forma. Myumi se rapprocha ensuite de Jack, et murmura dans le creux de son oreille, tout en caressant sa queue trempée d’une main :

« Mélinda m’a dit que tu étais un étalon… Mais, si jamais tu fatigues, sache que je dispose de pilules spéciales pour veiller à ton excitation. Mets-toi sur le bureau… Puis, quand je sifflerai, tous les membres du groupe vont venir devant toi. Homme ou femme, tu vas tous les baiser comme tu veux. Une seule règle : tu ne passes au suivant que quand tu as joui en lui, peu importe où, et tu ne peux jouir qu’une fois. »

Et le premier choix n’allait être autre… Qu’Elianne !

Après tout, la belle l’avait bien mérité, non ?

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