Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Myumi Ichtora

Pages: [1]
1
Bureau de la direction et infirmerie / Reportage à Mishima [Bellona Melbourne]
« le: dimanche 23 juillet 2017, 00:59:41 »
*Elle est très mignonne, cette journaliste...*

C’est la réflexion que Myumi se faisait en relisant, une nouvelle fois, le courrier que Bellona, jeune adolescente qui faisait honneur à son prénom, lui avait adressé. Il faisait suite à un coup de téléphone du rédacteur-en-chef d’un petit journal local de Seikusu, qui souhaitait ouvrir une chronique particulière sur Mishima.

« Le conseil d’administration a accepté notre proposition.
 -  Oui, ma mère m’en a parlé...
 -  Vous comprenez, Mishima est fascinant. Le lycée fait partie des établissements publics ayant les plus forts taux de réussite du pays, et, paradoxalement, il y a tous ces scandales et ces procès qui...
 -  Je vous rappelle qu’aucun de ces procès n’a abouti à une condamnation, Monsieur. Ce n’est pas notre faute si notre politique tolérante et libérale se heurte à la sensibilité de quelques associations ultraconservatrices. »

Le rédacteur-en-chef continua à lui parler. Son idée était de parvenir à démystifier ce qui se passait à l’intérieur du lycée, d’interviewer les élèves, de savoir s’ils étaient heureux ici, s’ils s’épanouissaient, ainsi que de se renseigner sur le passé des professeurs et sur le fonctionnement interne du lycée. Quand on savait à quel point l’éducation scolaire était sacrée au Japon, c’était un projet audacieux, mais que le conseil d’administration avait approuvé. La mère de Myumi, qui siégeait au conseil, l’en avait averti, et avait dit que ce serait elle, la professeur référente de cette femme...



« C’est une occasion pour nous, en réalité...
 -  C’est surtout dangereux, Mère. Imagine que cette journaliste filme ce qui se passe vraiment, ça fournirait des preuves redoutables à nos adversaires.
 -  Crois-tu donc que je n’en suis pas consciente ? »

Elles étaient dans la grande villa de sa mère, le long de la côte. Erelda était riche et puissante, et elles discutaient sur sa terrasse. Allongée sur son transat, Erelda laissait une esclave lécher son sexe tout en expliquant à sa fille, également couchée sur un autre transat, avec un magnifique homme noir, chauve et musculeux, qui lui massait ses longues jambes, une magnifique érection donnant à Myumi un appétit croissant.

« J’y vois surtout une opportunité... La journaliste qu’ils vont nous envoyer ne demande qu’à bénéficier de tes talents, ma chérie. Avec un peu de eprsuasion, elle fera de magnifiques articles qui, loin de nous désavantager, constitueront des preuves pour dire que tout se passe bien dans notre charmant lycée.
 -  Je vois... C’est donc encore l’un de tes plans sournois visant à corrompre une jeune femme qui n’a rien demandé à personne ?
 -  Je croyais que ça te ferait plaisir... »

La main de Myumi masturbait la queue du grand Noir, qui semblait impatient de s’amuser avec elle dans la piscine. Et, en jeune femme dévouée et consciencieuse, Myumi se redressa alors. Elle portait un bikini noir, et tira sur la ficelle du bas en rentrant dans l’eau.

« Ai-je seulement prétendu le contraire ? »




Avant que Bellona ne commence, Myumi lui avait fixé un rendez-vous. Ce dernier était prévu après les cours, en fin d’après-midi, dans son bureau. Dehors, il faisait chaud, et elle avait installé un ventilateur dans un coin de la pièce, tout en retirant les boutons supérieurs de sa veste, dévoilant ainsi sa superbe poitrine. En faisant des recherches sur la journaliste, Erelda lui avait monté tout un dossier, qui se trouvait dans une chemise rose située au milieu de son bureau.

Elle raccrocha le téléphone, après une énième conversation avec le patron de la femme, et se tortilla sur place, en soupirant. Sous son bureau, il y avait l’un de ses élèves, un jeune soumis, qui la léchait avidement.

« Retiens ta langue, et sois discret, mon invitée arrive...
 -  B-Bien, Maîtresse... »

Le jeune lycéen, Kasuo, ne pourrait de toute manière pas aller bien loin, car il avait un collier autour du cou, relié à une châinette fixée au bureau. Myumi se redressa ensuite, remit sa minijupe en position, puis s’approcha de la porte, et l’ouvrit, avant de sourire en voyant Bellona derrière.

« Melbourne-san ? Je vous remercie de votre patience. Entrez, je vous prie. »

Elle était vraiment magnifique !

*Toi, ma chérie, tu n’as pas idée de ce qui t’attend, mais rassure-toi, tu vas passer un moment inoubliable...*

2
One Shot / Vertes & Roses années [PV]
« le: samedi 17 décembre 2016, 21:20:08 »
La main de Myumi était posée sur la délicate fesse de son amante à la peau légèrement bronzée, Elianne, dont le corps nu se reposait contre le sien, également nu. Elles respiraient lourdement, en sueur, la verge de Myumi encore plantée en elle, et, alors qu’Elianne léchait ses seins, dans ce moment entre deux orgasmes, elle lui avait demandé...

« ...Comment j’étais au lycée ? répéta Myumi, en souriant légèrement. Oh, ça... Tu es sûre de vouloir l’entendre ? Je pourrais te choquer, tu sais... »

Elianne insista tout particulièrement, multipliant les baisers. La « choquer », c’était, par excellence, un argument trompeur, elle qui, depuis qu’elle était proche de Myumi, avait connu une véritable chute sans fin vers la lubricité la plus absolue. Orgies, tournantes, zoophilie, sodomies en rafale, séance de sexe avec des Incubes, et même avec des tentacules, Myumi n’avait rien épargné à Elianne, et avait même drogué son corps à l’aide de stimulants magiques, pour renforcer son endurance sexuelle, ainsi que son appétit, faisant d’elle une insatiable nymphomane.

Fouineuse et amoureuse, Elianne savait que Myumi avait grandi à Seikusu, et avait rejoint Mishima, il y a de cela une quinzaine d’années. Elle avait réussi à avoir son dossier scolaire, probablement en couchant avec les secrétaires, mais n’avait pas pu obtenir grand-chose, car ce dernier était... Étonnamment vide.  Elianne avait été néanmoins très étonnée d’une chose : elle avait lu que Myumi avait été la Présidente du club social de Mishima ! Dès lors, il lui avait suffi de faire de plus amples recherches pour découvrir que le club social avait été fondé il y a... Quinze ans !

Or, le club social de Mishima était le premier club du campus, présent aussi bien au lycée qu’à l’université. C’était le club des Morimoto, dirigée par la belle et puissante Leona Morimoto, petite-sœur de Reina Morimoto, une belle surdouée qui gérait le groupe financier Morimoto. Les Morimoto formaient l’une des plus vieilles familles de la ville, les premiers fondateurs, et étaient alors de riches négociants. Depuis lors, leur influence n’avait jamais cessé de grandir sur la ville, le groupe Morimoto disposant d’un vaste empire immobilier, et ayant pour demeure un gargantuesque manoir. Leona dirigeait donc le club social, et la principale activité de ce club, c’était l’organisation de somptueuses orgies. Le club avait ainsi pour but de former sexuellement la plupart des nouveaux élèves de Mishima. Elianne aurait pu en faire partie, si Myumi n’avait pas posé sa main sur elle, mais, même malgré ça, elle avait participé à plusieurs des orgies du club.

Depuis lors, sa curiosité n’avait cessé de grandir, jusqu’à ce que, finalement, elle ne lui pose la fatidique question. Myumi et Elianne formaient un couple extrêmement libertin, mais Myu’ ne cachait rien à Elianne, et entreprit donc de lui parler... De ses vertes années.

« J’étais une adolescente, à l’époque... Je savais que j’avais des gènes de succube, mais ma mère n’avait rien fait pour m’aider à les calmer, au contraire. Avant qu’elle ne me prenne toutes mes virginités, elle me forçait à la regarder faire l’amour avec ses multiples amants, et m’initiait sexuellement. Elle me donnait des interrogations érotiques, me demandait d’écrire des rédactions sexuelles, me posait des questions sur des films pornographiques... »

Erelda avait offert à Myumi une sacrée éducation.

« Quant aux Morimoto... Tu sais, ce n’est pas un hasard si Seikusu a été fondée vers la fin du 16ème siècle. C’est à cette période que les premiers missionnaires chrétiens, des Jésuites, ont commencé à déferler au Japon, apportant avec eux une morale chrétienne qui s’opposait à l’érotisme japonais, dont les Morimoto étaient de fervents défenseurs. Quand j’ai rejoint le lycée, Mishima était déjà très axée sur le sexe, mais connaissait ses premiers scandales sexuels. De fait, j’ai été l’un des premiers soucis de préoccupation de l’administration de l’époque.
 -  Pourquoi ça ? demanda Elianne, qui continuait à remuer ses fesses, Myu’ continuant à les palper.
 -  Ma mère est membre du conseil d’administration. Si on apprenait que la fille d’un membre du conseil était une nymphomane notoire, et qu’on continuait à creuser, on apprendrait aussi que ma mère organisait déjà, dans sa villa, des orgies pour son industrie pornographique. Je te laisse imaginer la teneur du scandale qui aurait résulté... Et moi, j’étais... Extrêmement prolifique. »

Et un léger sourire évasif remua le long des lèvres de Myumi, tandis qu’elle se rappelait, avec joie, et avec un brin de mélancolie, ses vertes années.


Quinze ans plus tôt...

« Tu... Tu es vraiment... Une vilaine fille, haaaa...
 -  Hmmmm...
 -  Tu... Haaaa... Tu as provoqué une rixe dans la cantine, My... Myumi, hmmm... Tout ça parce que... Parce que tu... Haaaa...
 -  Je trouve ça très sexy que des hommes se battent pour moi, même si je préférerais qu’ils utilisent leur énergie pour défoncer mon corps, plutôt que se taper entre eux... »

Vainement, Hitomi, la secrétaire du Proviseur, essayait de repousser les assauts de Myumi, qui léchait avidement son cou, le mordillant, et l’embrassant aussi, tout en glissant sa main sous son étonnant uniforme en cuir (par dérogation spéciale du Proviseur, Hitomi avait le droit, et presque le devoir, de porter chaque jour une tenue moulante en cuir et/ou en latex), la masturbant. Hitomi retenait difficilement ses couinements, et Myumi n’avait pas hésité à lui piquer sa sucette, la léchant, avant de la lui rendre, pour que la secrétaire la lèche aussi. Si prompte à donner des coups de cravache et des fessées, Hitomi désespérait. Elle avait déjà fessé Myumi, et même abattu sa cravache, mais rien ne calmait cette sulfureuse élève, qui arrivait à chaque fois à inverser les rôles, que ce soit avec elle, les surveillants, ou encore les professeurs.

Le fait est que l’élève avait transformé sa classe. Depuis plusieurs semaines, il n’était plus possible de faire cours quand Myumi arrivait. Elle couchait avec le professeur, et transformait systématiquement chaque classe en terrible orgie, perturbant volontiers les autres cours (à l’époque, Mishima n’avait pas encore insonorisé aussi bien les salles de cours que maintenant). Les caméras cachées glissés permettaient de voir que Myumi n’avait aucun gêne. Que le professeur soit un homme ou une femme, elle se mettait toujours au premier rang, et, peu à peu, faisait sombrer la classe dans la luxure et la perversion.

Myumi ne venait au lycée que pour faire l’amour, et elle allait jusqu’à donner des notes. Sa spécialité, c’était de faire une fellation en s’empalant sur un homme, et, elle attestait de la qualité d’une fellation par une note. Ce matin, pendant la pause, elle avait ainsi sucé plusieurs lycéens, et avait attribué à Ida un piteux 3/10, et lui avait dit, avec dédain, de revenir foutre sa queue en elle quand il serait capable de vraiment lui faire une gorge profonde sans cracher sa semence... Et, dans la foulée, elle avait attribué un 9/10 à Kojiro, qui lui avait tiré les cheveux, en la baisant sèchement.

Furieux et jaloux, Ida avait alors attaqué Kojiro pendant la pause-repas. Hélas, Kojiro était membre de l’équipe de soccer, et Ida un poids plume. Kojiro l’avait violemment repoussé, sous les yeux de Myumi, qui avait ensuite félicité l’homme en le suçant, puis en le laissant la prendre en levrette, au milieu des yeux médusés du réfectoire.

Suite à cet énième incident, le Proviseur, Morimoto-sensei, avait finalement décidé de convoquer Myumi, et elle attendait donc dans le bureau de la secrétaire, qui avait entrepris de vouloir la corriger avec sa cravache... Pour finalement devenir l’assaut des doigts et des lèvres de Myumi.

Les exploits sexuels de Myumi, qui impliquaient beaucoup de sexe public, avaient d’ores et déjà provoqué d’importants incidents. Des parents d’élèves outrés avaient été voir le Proviseur, et, suite à l’épisode de la cantine, le lycée avait reçu une assignation en justice émanant d’un collectif de parents d’élèves, l’association religieuse FOCK, « Fight for Our Childrens’ Kindness », qu’on avait tendance à appeler « FUCK » (surtout Myumi, en fait), réclamant de multiples dommages-intérêts pour préjudice moral, débauche sexuelle, ainsi que la fermeture d’urgence de l’établissement, le tout s’accompagnant d’une lettre au rectorat de Kyoto. Suite à cela, il avait donc été décidé de réagir en haut lieu.

Et, de fait, si le Proviseur prenait son temps, c’était parce que, de l’autre côté de la porte menant à son bureau, il était en grande conversation avec un autre membre du conseil d’administration : Erelda, la mère de Myumi...

3
Centre-ville de Seikusu / Porno Star [Magdalena Takao]
« le: dimanche 11 décembre 2016, 17:35:03 »
La demeure familiale des Ichtora n’avait rien de traditionnel. C’était une incroyable villa dans les abords de la ville, avec une piscine énorme, et une vue sur la mer. Une richissime et luxueuse villa, à la hauteur de la propriétaire des lieux, la belle et redoutable Erelda. Une démone qui avait choisi de vivre sur Terre, obtenant son nom japonais de son mari, qu’elle avait ensuite fait tuer. La démone adaptait une forme humaine, où elle était une plantureuse blonde, et avait tiré toute sa fortune du milieu pornographique. Erelda dirigeait en effet une série de sociétés et de compagnies spécialisées dans le porno’, que ce soit les simples hentaï, ou le vrai porno, qu’elle organisait dans sa somptueuse villa. Richissime, la femme organisait aujourd’hui des castings en vue d’un prochain film, et avait, comme à son habitude, diffusé des annonces sur Internet et dans les journaux locaux.

Parmi les candidates potentielles, Erelda s’intéressait surtout à l’une d’entre elles, une jeune et belle blonde plantureuse dont elle avait retenu le nom de famille... Magdalena Takao, la fille des Takeo, une riche famille japonaise. Erelda fit une courte enquête sur elle, qui lui permit d’apprendre que la belle Magdalena était une sacrée nymphomane. Une recrue de choix pour la nouvelle gamme de films qu’Erelda voulait lancer. En réalité, la mère de Myumi ne visait pas que le porno’ terrien, mais aussi... Tekhan. La démone ne faisait pas des films érotiques juste pour le plaisir d’être riche, mais aussi, et, surtout, parce que, fondamentalement, elle adorait le sexe. Erelda avait une mère succube, et avait transmis ses gènes à sa fille, Myumi, qui participait volontiers à une bonne partie de ses films. Et, l’avantage de tourner un film auprès des Tekhanes, c’était qu’on n’avait pas les limitations créatrices de la Terre. On pouvait utiliser des monstres, des hermaphrodites, sans risque, car Erelda garantissait que ses films avaient lieu « sans trucage ». Sa réputation était à peu près aussi importante que son plaisir personnel.

« Et c’est pour ça que je t’ai invité, ma chérie...
 -  Tu as bien fait, Maman... »

Les deux femmes étaient nues, subissant, dans le grand lit de la chambre d’Erelda, les assauts buccaux, digitaux, et brutaux, de plusieurs mâles musclés, nus, baraqués, et faisant office d’acteurs et d’esclaves sexuels. L’un embrassait les seins de Myumi, et remonta ses lèvres, venant l’embrasser, avant d’enfoncer sa queue en elle, faisant doucement gémir la jeune femme, dont les mains se crispèrent sur le lit.

Erelda, de son côté, repoussa un homme, et se mit à califourchon sur lui, attrapant rapidement son mât, et s’empala goulûment dessus, en soupirant longuement, un autre venant se glisser dans son dos, palpant ses seins, caressant ses fesses avec sa verge.

« Tu... Hmmmm... Tu es sûre de... Haaaa... Ne l’avoir jamais eu co-comme... Comme élève, hmmm... ?
 -  Je ne l’aurais pas oublié, si... Si ça avait été le cas... !! »

Quand Myumi revoyait sa mère, elles faisaient toujours l’amour. Si Myu’ pratiquait le sexe intensivement, c’était encore plus vrai pour sa mère.

Quant à Magdalena, pour venir, elle avait dû envoyer un book comprenant des photographies d’elle, et Erelda, par l’intermédiaire de l’une de ses employées, Jun, lui avait demandé de venir avec son costume bleu et ses collants. Pour l’amener jusqu’ici, Erelda avait déployé l’un de ses chauffeurs, Blaze, qui était venu la chercher en limousine.

Blaze approchait maintenant du portail menant à la villa, et regardait régulièrement un petit écran situé au tableau de bord, relié à une caméra filmant l’intérieur de la limousine, où Magdalena était là. La jeune femme ne le savait pas, mais Blaze était le frère d’un homme avec qui elle avait eu une aventure... Ou, plutôt, un gang-bang bien salace. Depuis qu’il avait été la chercher au centre-ville, Blaze avait une formidable érection, une trique phénoménale qui n’arrivait pas à se calmer.

Le chauffeur s’arrêta devant l’entrée de la villa, et respira lentement.

*Calme-toi, vieux...*

Il sortit de la voiture, et ouvrit la porte arrière, laissant Magdalena en sortir. La jeune femme en sortit donc, mais, dès qu’elle sortit, Blaze referma la portière, et posa son autre main, gantée, sur le visage de la femme, son pouce venant glisser sur ses lèvres.

« Je connais ta réputation, Magdalena... Mon frère t’a sodomisé, l’autre jour, dans la chambre d’hôtel où tu avais été invitée... Moi, j’aurais dû y participer, mais j’ai dû conduire la patronne... Il m’a dit que tu étais le meilleur coup qu’il ait jamais tiré. »

Blaze sourit alors, et retira son pouce, puis alla embrasser la femme, pressant son corps contre le sien, sa queue tendue venant caresser le bassin de la jeune femme...

4
Ce RP est la suite du RP « ‘‘Don’t... Don’t Mess With Me !’’ »

« Je leur ai dit qu’un autre senseï nous rejoindrait pour notre cérémonie rituelle, mais je reste la seule Maîtresse à bord, Jack... Ce qui veut dire que, si je t’ordonne de faire quelque chose, tu le feras. »

Ce n’était pas la première fois que Myumi invitait une personne adulte à participer à ces cérémonies. Il arrivait parfois que d’anciens élèves souhaitent y aller, et, plus ces derniers étaient socialement intégrés, et plus Myumi trouvait cela excitant, et flatteur. Bien sûr, comme elle enseignait depuis peu, il n’y avait pas encore beaucoup d’élèves suffisamment âgés pour venir la rejoindre. Néanmoins, elle avait invité, il y a quelques semaines, un homme qui, tout en suivant ses études universitaires, était marié, et avait deux enfants. Pour autant, il n’avait jamais oublié sa Maîtresse, et avait été tout excité quand elle avait accepté qu’il vienne.

Elle avait aussi invité Shani Stevens, cette superbe secrétaire, qui était tant pratique, et elle avait eu droit à un gang-bangen règle. Et, plus récemment encore, à l’occasion des vacances, Myumi avait organisé une soirée spéciale avec sa grande amie d’université, une femme tout autant perverse qu’elle, et également une enseignante, mais à Tokyo, Kurosaki. Aussi perverse que Myumi, elle était également, comme Myu’, hermaphrodite, et s’était follement amusée.

Au sein du lycée, Myumi Ichtora était officiellement connue comme étant une professeur de mathématiques, mais il ne s’agissait que d’une couverture officielle, un peu comme ces super-héros ayant une double identité. Sous la silhouette de la prof’ de maths, il y avait, surtout, une classe qui ne figurait dans aucun registre officiel, mais qui était la véritable raison de la présence de Myumi entre ces murs : la classe de formation sexuelle. Une « sex class » qui recueillait de multiples lycéens. Les maths, c’était intéressant, mais, ce qui passionnait surtout Myumi, c’était le sexe. À ce titre, et aussi compte tenu du fait que sa mère, Erelda, siégeait au conseil d’administration du lycée, Myu’ était courtisée par bon nombre de personnes, et connaissait ainsi les secrets de bon nombre de personnes...

Dont Mélinda Warren. Elle savait que la femme était une vampire ashnardienne, une esclavagiste sexuelle, mais dont la présence était tolérée, car Erelda, sa mère, savait que Mélinda n’était pas « mauvaise », et ne voulait pas tuer ses esclaves, ou les enlever. Sur ce point, le lycée Mishima exerçait un contrôle discret, mais efficace. Les élèves comme Mélinda, ou encore les Karistal, étaient tolérés car elles respectaient les principes sous-jacents qui permettait à ce notable lycée d’exister sous sa forme actuelle, malgré les scandales et les procès.

Ce soir, Myumi organisait donc une soirée spéciale réunissant les membres de sa classe, dont Mélinda faisait partie. La petite vampire y serait, mais avait tenu à présenter à Myumi son nouvel « esclave », qui n’était autre qu’un collègue de Myumi. Jack Taylor... Difficile de le croire, mais Erelda savait que l’homme était en réalité un agent infiltré de la CIA. En réalité, peu de choses échappaient au conseil d’administration du lycée, car Mishima n’avait rien d’un lycée ordinaire. Myumi ignorait quasiment tout des desseins de sa mère, mais savait que Mishima avait été fondée par les plus puissantes fortunes de Seikusu, mais aussi du Japon, de grandes familles historiques, qui avaient également contribué à construire et à développer Seikusu. Spécialistes dans l’art de la manipulation et du mensonge, s’ils étaient capables d’obtenir des informations sur une personne vivant dans une autre dimension, ils avaient aussi les moyens de savoir que le gouvernement américain s’intéressait à Mishima, et à ce que le lycée renfermait. Erelda avait donc été ravie de voir Jack s’adonner rapidement à ses penchants sexuels, et elle avait un dossier en main suffisamment volumineux pour briser la carrière de l’homme, si jamais il lui venait à pousser des envies évangélistes.

Tout ça pour dire que Mélinda avait proposé à Jack de se rapprocher de Myumi afin de permettre à Jack de se rapprocher plus suffisamment des élèves de Myumi, et convaincre la femme d’en envoyer un certain nombre auprès de Mélinda. Tout en étant « esclave », Jack était aussi un véritable partenaire d’affaires de la vampire, dont le charisme ne cessait de la surprendre. Non contente d’être terriblement belle, Mélinda était aussi terriblement intelligente, et très perverse.

*Et je vais l’avoir ce soir...*

Mélinda n’avait eu aucune difficulté à rejoindre sa classe, et Myumi avait abordé le sujet sans faux-détour, car il arrivait fréquemment que l’une des élèves de Myumi soit aussi une esclave de Mélinda. De cette manière, les deux femmes se voyaient souvent, Myumi étant libre d’entrer quand elle le souhaitait au manoir de la vampire.

Elle avait donc donné rendez-vous à Jack ce soir, près d’une salle de cours avec une double entrée. La particularité de ces soirées, c’était que, si les élèves pouvaient entrer dans la tenue qu’ils souhaitent, ils était convoqués à une heure précise, et devaient mettre un bandeau autour des yeux, pour rejoindre ensuite la salle. Le bandeau était la seule règle immuable dans la salle, ainsi que l’obligation d’embrasser et de faire l’amour avec n’importe quelle personne qu’on touchait. Pour l’aider dans sa tâche, Myumi pouvait compter sur on indéfectible élève et principale amante, qui dormait tout le temps chez elle, Elianne Roy.

D’ailleurs, ce soir, en attendant la venue de Jack, et pendant que les élèves rejoignaient, les uns après les autres, la salle de cours, Myumi pouvant les voir depuis des caméras qu’elle avait installé, Elianne suçait sa grosse queue, avec, toujours, le même entrain et la même envie.

« Hmmm...
 -  Haaa, Elianne, hmmm... »

À l’aide de l’une de ses mains gantées, Myumi laissait la jeune fille la sucer goulûment. Elianne ne manquait jamais de souffle en la matière, et s’évertuait à lui offrir une superbe fellation, enfonçant bien loin sa bouche, avant de repartir en arrière, puis de revenir en avant. Myumi finit par jouir à nouveau dans sa bouche, dans un profond soupir. Elianne était particulièrement excitée ce soir, et Myumi ne pouvait que le comprendre.

Elle avait enfilé une tenue terrible, qui lui allait redoutablement bien.

Et c’était comme ça qu’elle attendait Jack, après avoir replié son phallus, tout en laissant Elianne lécher désormais ses pieds, en haletant et en gémissant de plaisir...

5
One Shot / Le duo magique [PV]
« le: dimanche 10 avril 2016, 23:10:57 »
« Là, là... Hum... C’est bien, ma chérie... Plus bas, oui... Huummm... Haaaa... »

Se faire sucer au volant, c’était toujours aussi bon pour la sulfureuse professeur du lycée Mishima. D’une main, elle tenait le volant, et, de l’autre, elle allait régulièrement la poser sur la tête de la femme qui était occupée à avaler sa queue entre sa bouche, la pompant joyeusement. C’était une chance que Myumi ait une voiture avec une boîte de vitesses automatique, permettant ainsi de ne pas poser sa main là où il y avait le haut du buste de son élève.

Elianne Roy avait probablement rarement vu sa Maîtresse autant excitée. En effet, il y a quelques jours, elle avait appris que l’une de ses plus vieilles amies allait venir la voir, à l’occasion des vacances scolaires, pendant lesquelles Myu’ hébergeait volontiers son élève : Kurosaki, qui, tout en étant une simple humaine, avait accompli le mince exploit d’être aussi perverse que Myu’. Quand Kurosaki l’avait appelé pour lui demander si elle pouvait venir, Myumi avait évidemment accepté, et en avait profité pour expliquer à Elianne de qui il s’agissait.

Kurosaki était une grande perverse, et, à l’époque, les deux filles s’amusaient à multiplier les amants juste pour coucher avec eux. Elle était la première femme, à l’exception de sa mère, à qui Myu’ lui avait montré son hermaphrodisme. Comme elle, Kurosaki était une professeur, et, comme elle, elle avait, à Tokyo, de multiples amants parmi ses élèves. Elle lui avait montré une magnifique image d’elle en tenue de maid.

Ce soir, Kurosaki arrivait, et Myumi roulait vers la gare de Myumi. Kurosaki était partie après son travail, ce qui faisait qu’elle faisait partie du dernier train de la soirée. La voiture roulait vers la gare, et Elianne avait dû la sucer. Elle, Elianne, était une élève de Mishima, l’une des nombreuses amantes et esclaves sexuelles de Myumi, même si « esclave » était à prendre avec des guillemets. Avant de la voir, Elianne était déjà une perverse, et Myu’ n’avait fait que la pousser davantage vers les délicieuses voies de la luxure, du stupre et de la perversion. Elle avait goûté aux orgies que Myu’ organisait au lycée, et avait multiplié ses amantes : Shani Stevens, la secrétaire, Mélinda, etc... Myumi avait fait l’éducation d’Elianne, mais, pour autant, et malgré leurs innombrables amants, entre elles, il y avait un lien particulier, exceptionnel, un lien qui faisait qu’Elianne dormait presque toujours chez elle, et qu’elle y passait toutes ses vacances.

En un sens, lui présenter Kurosaki allait dans ce sens. Kuro’ et Myu’ formaient un véritable « duo magique », et Myumi lui avait évidemment parlé d’Elianne. Partager leurs vacances avec une esclave n’était nullement pour déranger son amante, ce qui avait ravi Myu’.

Maintenant, la voiture se rapprochait de la gare, et Myu’ s’arrêta à un feu rouge, où elle finit par avoir un orgasme, balançant des filaments de foutre dans la bouche d’Elianne.

« Oooooh oui... Haaaa... Hmmm... Merci, ma chérie ! »

Il n’y a pas à dire, ça faisait du bien... Cependant, le temps d’arriver à la gare, de se garer, Myu’ avait déjà la trique qui l’élançait durement.

« Allons-y, le train ne devrait plus tarder... »

Elles rejoignirent les quais. Le train en partance de Tokyo était le dernier à arriver, et, quand elles grimpèrent, Myu’ nota rapidement la présence des toilettes, puis vit ensuite les phares du train, qui approchait rapidement.

Elle se mordilla les lèvres.

6
One Shot / Living Porn [PV]
« le: dimanche 13 décembre 2015, 20:26:22 »
Située à l’extérieur de la ville, le long de la côté, et disposant d’une plage privée, la villa d’Erelda Ichtora était le témoignage de toute la fortune, colossale, de la femme. La belle Yuki, à bord de la limousine qui la conduisait vers cette villa, ne devait probablement pas en croire ses yeux, en se demandant où elle avait débarqué, et comment il était possible qu’une jeune fille comme elle soit invitée dans une si vaste demeure. La riche villa comprenait une immense piscine à l’arrière, et de grands jardins qui entouraient la villa aux murs blancs et propres. La limousine s’arrêta sur la cour, devant l’entrée principale de la villa, et la chauffeure, répondant au doux nom de Kato, en sortit pour ouvrir la porte de leur invitée.

Il y a quelques jours, Yuki avait reçu un curieux appel. Elle avait alors publié, depuis quelques temps, des annonces sur des journaux, vendant ses services comme actrice pornographique amatrice. Elle avait reçu un appel, émanant de la secrétaire de Ichtora-sama, et l’invitant à venir à la villa pour une offre de travail, avec une « rémunération considérable ». Yuki avait accepté, et un rendez-vous avait été fixé chez elle, un chauffeur se présentant pour la conduire. Le chauffeur était venu avec une limousine, et s’était avéré être une superbe femme, aussi belle que professionnelle.

« Je vous conduirais auprès de la villa, Madame. »

La limousine avait ainsi roulé pendant une bonne demi-heure, sortant de la ville, pour rejoindre donc l’entrée de cette belle villa. Kota laissa sortir la femme, mais, alors que Yuki venait de sortir, Kota posa une main sur son épaule... Et alla l’embrasser, sans prévenir, plaquant le corps de la femme contre la limousine, prolongeant le baiser pendant de nombreuses secondes, en soupirant de plaisir.

« Oui... Tu as de bonnes lèvres. Maintenant, suis-moi. »

Elles entrèrent dans la villa, qui était un véritable château, ultramoderne, avec des caméras partout, un mobilier très soft, sexy, très blanc... Kato s’avança un peu, d’une démarche lente et sensuelle, et alla à l’étage, puis ouvrit une porte. Il y avait beaucoup de portes ouvertes, donnant sur des chambres agréables, sur des salons... Et, dans certaines chambres, des couples lesbiens étaient en train de s’embrasser, gloussant entre elles...

Puis la porte s’ouvrit, la conduisant dans un agréable bureau, avec, au fond, une porte à droite.

« Ichtora-sama va venir vous rejoindre d’ici peu, Madame. Installez-vous, je vous en prie... Nous avons laissé à votre attention un questionnaire, et je vous encourage à y répondre avant qu’Ichtora-sama ne vienne vous voir. »

Un document était installé au milieu d’un bureau propre, avec un stylo à côté. C’était une feuille A4, comprenant une dizaine de questions, sans aucun en-tête, juste une série de questions :

Citer
1°) Avez-vous aimé recevoir le baiser de Kato en sortant de la voiture ? Aimeriez-vous ressentir une nouvelle expérience de ce type ?

2°) Décrivez votre première expérience sexuelle marquante.

3°) Aimez-vous l’exhibitionnisme ? Si vous deviez vous faire prendre dans le métro par un inconnu en pleine heure de pointe, que feriez-vous ?

4°) Aimez-vous vous faire insulter lors d’une prestation sexuelle ?

5°) Coucher avec une femme dotée d'une verge relève-t-il pour vous du fantasme ?

6°) La zoophilie vous attire-t-elle ? Si oui, avez-vous déjà eu des expériences zoophiles ? Si oui encore, décrivez-les.

7°) Si votre patronne devait vous demander de boire son urine, accepteriez-vous ?

8°) En moyenne, combien de fois vous masturbez-vous par jour ? Aimez-vous vous masturber avec des objets, ou avec l’eau de la douche quand vous vous douchez ?

9°) Citez une pratique sexuelle que vous ne voulez pas faire.

10°) Exprimez, en dollars, la rémunération que vous souhaitez pour accomplir un film pornographique.

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Bureau de la direction et infirmerie / Premier contact [Hermaphrodite]
« le: dimanche 25 janvier 2015, 02:03:51 »
Chaque élève arrivant en cours d’année avait droit, au sein du lycée Mishima, à un entretien personnalisé, individuel, destiné à préparer les élèves à ce qui les attendait, à leur présenter le lycée et ses différentes fonctionnalités. Cet entretien était, soit dévoyé à un professeur, soit à un secrétaire. Il avait trois fonctions principales : tout d’abord, vérifier l’exactitudes des informations figurant dans le dossier administratif que chaque élève devait faire pour rejoindre le lycée ; ensuite, présenter à l’élève la liste des activités extrascolaires « officielles » du lycée ; enfin, lui parler du réseau Intranet et lui donner ses codes d’accès. Dans le cadre d’une année scolaire classique, ce genre d’informations étaient divulgués en début d’année, à la classe entière, généralement en salle informatique. Cependant, il était fréquent que le lycée accueille des élèves en cours d’année. Seikusu était une ville très cosmopolite, une cité avant-gardiste au Japon, pays qui se caractérisait par un rejet historique de l’étranger. Seikusu avait été durablement touchée par la guerre, avec de multiples bombardements qui avaient pulvérisé le cœur de la ville, où il y avait de nombreuses usines. Les Américains avaient reconstruit, et en avaient profité pour s’y implanter, Seikusu devenant l’un des ports d’amarrage des Marines et des immigrés occidentaux venant s’installer au Japon. Ce faisant, le lycée Mishima, qui avait été reconstruit durant cette période, avait une politique généreuse à l’égard des étrangers, et un lourd processus d’accueil, qui s’articulait autour d’un entretien personnalisé.

Myumi avait accepté un entretien avec ce jeune homme, car elle aimait bien sa tête. Kaoru Kazegawa... Un nom intéressant, un corps androgyne. Il était un homme, et ce même s’il ressemblait partiellement à une femme. Myumi aimait bien ça, et elle avait été d’autant plus encline à accepter cet entretien qu’elle serait le professeur principal de Kazegawa. Elle l’avait aussi accepté car sa mère lui avait dit qu’il y avait quelque chose de particulier chez lui. Erelda, sa mère, était une véritable succube, mais qui, sur Terre, avait un autre visage, une autre identité, et elle était liée à Mishima. Elle lui avait dit que ce Kazegawa était « intéressant », et que c’était pour ça que Myu’ devait accepter cet entretien. La professeur de mathématiques avait donc suivi l’intuition de sa mère.

*Et me voilà, dans mon bureau, à attendre...*

Il était 17h30, ses cours étaient terminés, et elle attendait que l’homme arrive, tout en consultant brièvement son dossier. Demi-succube, Myu’ était clairement une femme qui couchait avec ses élèves, et, dans ses affaires, elle avait ainsi un dossier personnel, spécial, concernant les performances sexuelles de chacun de ses élèves, et qui lui servait de carnet de progression. Une succube cherchait à répandre la Luxure, le sexe débridé, à briser les conventions sociales, et c’était tout à fait ce que, instinctivement, Myumi faisait.

Sans trop pouvoir se l’expliquer, elle attendait beaucoup de ce jeune homme... Et, pour l’heure, elle attendait qu’il entre.

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« Donne-moi des 15/20 à tous les contrôles, ou je diffuserai les informations compromettantes que j’ai sur toi »... C’était, en substance, et dans un résumé rapide, le contenu de la lettre que Myumi avait reçu dans son casier ce matin en allant relever sa case. Une petite lettre anonyme, tapée à l’ordinateur, avec des touches froides et un clavier impersonnel. La page comprenant une photographie, montrant le portfolio de Myumi... Ou l’un de ses portfolios. La senseï était une femme qui adorait prendre en photo ses relations sexuelles avec ses élèves (ou de simples amants), voire les filmer. Elle les repassait ensuite, soit pour elle-même, soit avec l’amant en question, indépendamment de son sexe. Récemment, elle avait pris des photos d’elle-même dans des positions osées et dans des tenues insolentes, et avait commis l’erreur d’entreposer provisoirement ce petit dossier dans son bureau, une zone où elle se débrouillait généralement pour ne rien laisser de compromettant. Elle l’avait déposé là le temps d’aller le donner à l’élève pour qui elle avait conçu ce portfolio, un jeune garçon introverti qui était amoureux de Myumi. Elle avait pensé, initialement, que c’était lui qui l’avait pris, mais, visiblement, elle avait d’autres fans.

Pour contacter la personne, Myumi disposait d’un numéro de portable. C’est ainsi qu’elle avait appris son nom, en faisant un saut aux archives administratives du lycée... Rin Hanazono. Elle était la petite sœur d’Iinuki Hanazono, toutes deux inscrites au lycée Mishima. Rin, cependant, venait rarement en cours, contrairement à Iinuki, qui était une jeune femme timide, assistant aux cours, et qui ne recevait que des félicitations de ses professeurs, et ce même si certains dénotaient une trop grande timidité, a fortiori avec les professeurs masculins, où Iinuki semblait s’écrabouiller comme une écrevisse au fond de la classe. Myumi avait ensuite réalisé qu’elle se trompait sur un point, une histoire chronologique. Iinuki n’était plus au lycée, car les dates ne correspondaient pas... Rin, elle, en revanche, y était toujours.

*Rin Hanazono...*

Tout prenait sens, maintenant. Rin était l’une de ses élèves, et elle venait rarement en cours, et, quand elle venait, elle ne manquait pas de manifester qu’elle ne faisait jamais ses devoirs, ou qu’elle s’ennuyait profondément. Insolente, indisciplinée, elle prenait un malin plaisir à réussir ses devoirs et ses exercices en trichant. Myumi n’avait que les informations de deux dossiers scolaires, mais elle soupçonnait une sorte de relation ambiguë avec sa sœur, qui amenait Rin à vouloir s’imposer sur Iinuki, en profitant de son côté introverti, afin d’atténuer le fait que, des deux, c’était Iinuki la surdouée. Une simple théorie, bien entendu, mais Myumi l’aimait bien. Rin voulait montrer aux autres qu’elle existait par rapport à sa sœur... Et cela donnait matière à réfléchir.

Elle avait donc réfléchi, et, dans sa tête, un plan avait germé. On ne menaçait pas Myumi Ichtora impunément, et Rin manquait de prudence. Elle s’était probablement convaincue qu’elle était intouchable, qu’elle avait contre Myumi les preuves suffisantes pour la renvoyer, et, ce faisant, elle pourrait obtenir d’elle tout ce qu’elle voulait. C’était un plan audacieux, mais Myumi avait toujours eu de l’audace... Elle avait donc appelé le numéro, était tombée sur le répondeur, et, face à sa maître-chanteuse qui n’aurait même pas tenu dix minutes face à l’équipe des « Experts », la contacta, et lui donna rendez-vous à son bureau, après les cours, à 17h15, pour discuter de cela.

Le bureau de Myumi se trouvait vers les derniers étages du bâtiment central. Les deux derniers étages du bâtiment central étaient consacrés à l’administration, et on y trouvait la plupart des bureaux. Myumi avait le sien à l’avant-dernier étage, et c’était une belle pièce, avec un bureau, un canapé, et un placard fermé abritant, derrière, des choses que Rin n’avait pas encore vu... Mais qu’elle allait sûrement voir ce soir.

À maligne, maligne et demie...

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Nouveau pion [Cinis]
« le: mercredi 30 avril 2014, 02:31:12 »
« Là, là... Détends-toi, mon mignon, laisse-toi aller...
 -  Haaa-haaa...
 -  Chut-chut, ne précipite pas les choses, mon mignon… Respire, respire, c’est le plus important…
 -  Sen-sensei
 -  Làààà, làààà… »

La main de Myumi remuait lentement, tendrement, glissant sur ce monceau de chair qui pulsait entre ses doigts. Engoncé dans sa chemise blanche, Takeshi avait la tête légèrement basculée en arrière, les lourds seins de la professeur heurtant son dos, alors que sa main continuait à jouer sur son appendice, qui dépassait de son pantalon Takeshi était un jeune puceau venant tout droit d’Hokkaidō. Un jeune homme timide et renfermé, qui avait bien du mal à contrôler ses érections devant sa senseï, ce que cette dernière avait ressenti. Elle avait pour but de lui enlever sa virginité, et était en train de le former. Elle avait néanmoins ordonné à Takeshi, en attente de perdre sa virginité avec elle, de n’avoir aucune relation sexuelle avec quelqu’un d’autre, et, plus difficile encore, de ne jamais se masturber, en lui affirmant qu’elle saurait s’il avait menti ou non. Influençable, le jeune homme avait tenu parole, et, depuis un peu plus d’une semaine, seule Myumi le masturbait, généralement dans son bureau, en prenant son temps. Elle y allait avec une expertise certaine, et savourait ce jeune homme, adorant l’entendre gémir, avant de jouir d’un coup.

C’est ce qu’il finit par faire, au bout d’un moment, incapable de résister à la main de Myu’. Il éjacula en soupirant, assise sur les cuisses de sa prof’, sur le fauteuil en cuir de cette dernière, et cette dernière se retrouva avec la main couverte de sperme. Elle l’observa brièvement, puis la rapprocha des lèvres de Takeshi, afin de lui donner quelques ordres :

« Lèche, mon beau... »

Les joues rouges, Takeshi obtempéra, nettoyant la main de sa prof’, puis elle le repoussa, l’embrassa, puis remit son pantalon en place, agissant presque comme une mère dévouée envers le jeune homme, qui, il est vrai, était un peu déboussolé depuis qu’il avait quitté son village natal, après le déménagement de ses parents. Myumi ne tarda pas à le congédier, par un ultime baiser, et elle resta ensuite dans son bureau, pensive.

Elle ne remettait nullement en doute la moralité de ses actions, au contraire. Elle préférait que Takeshi perde sa virginité avec elle plutôt qu’en fin de soirée, où il serait complètement imbibé. Cependant, elle se demandait comment faire. Elle y réfléchit encore un peu, avant de finir par remiser ça au fond de son esprit. Myumi sortit de son bureau, et alla vers la machine à cafés la plus proche. Sa vie était plutôt tranquille, et, étant après tout une fille de succube, il allait de soi qu’elle tournait généralement autour du sexe.

La machine à cafés était dans une petite alcôve de détente, avec quelques plantes vertes et un canapé vert. Il y avait un homme à proximité, et Myu’ tiqua... Il était un peu trop vieux pour être un lycéen, et elle ne l’avait jamais vu. Elle le salua à la Japonaise, courbant son buste en avant.

« Bonjour, Monsieur, lâcha-t-elle. Comment allez-vous ? »

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Salles de cours et bibliothèque / Un Oral inattendu [Iruka Seishi]
« le: dimanche 16 février 2014, 02:27:58 »
Ikase était devant Myumi, fièrement dressée, les mains jointes dans le dos. La belle petite Ikase allait commencer son exposé, après y avoir planché pendant une dizaine de minutes dans l’autre salle. En cet après-midi, Myumi avait organisé des Oraux blancs, préparatoires. Elle savait que, à la fin de la dernière année, les élèves allaient dans les universités, et devraient, pour cela, réussir des concours d’entrée. Les universités étaient très sélectives, et ces concours n’étaient pas faciles, déchaînant les passions, amenant les élèves à devoir travailler lourdement. Il était donc normal que le lycée Mishima les prépare aussi bien que possible à ces épreuves, et Myumi avait accepté de soumettre ces épreuves à ses élèves. Elle se chargeait de l’Histoire, et traitait de divers sujets, concernant l’Histoire japonaise, que ce soit celle du siècle dernier, ou l’Histoire plus lointaine. Il y avait notamment plusieurs sujets sur l’époque des shoguns, et du shogunat Tokugawa. Ainsi, certains élèves avaient décrit leurs connaissances, sous une Myumi attentive... Certains, seulement.

Pour d’autres, Myumi avait préparé d’autres sujets, et une autre épreuve très particulière. C’était ainsi qu’Ikase, en entrant, avait tiré un sujet très particulier, et avait été dans la salle de derrière pour le traiter. Le sujet tenait en ces quelques mots :

« Racontez votre première expérience sexuelle »

Ikase avait légèrement rougi, mais son trouble s’était accru quand Myumi lui avait ordonné de retirer sa culotte, afin d’en mettre une, une culotte spéciale. Elle était rose, en latex, et avait la particularité de disposer de deux godes inversés, des vibromasseurs qui s’enfoncèrent dans ses parties intimes, avant que Myu’, à l’aide d’une télécommande, ne les enclenche. Ikase, dans son superbe uniforme, était ensuite allée à l’arrière, pour plancher. Elle avait refermé la porte, et était rentrée une dizaine de minutes plus tard, en portant autour des yeux un autre instrument : un bandeau blanc, qui l’empêchait de voir.

Quant à Myu’, elle en avait profité pour retirer son tailleur, et enfiler une tenue en latex gris avec un masque, plus appropriée, avec des talons et de longs collants, laissant ses seins à l'air libre. Elle s’était avancée, et avait passé des menottes autour des poignets d’Ikase, tout en l’amenant à parler.

« Je... Hum... J’ai perdu ma virginité à l’âge de... De quatorze ans, haaa... »

Ikase était une belle petite blonde, originaire du Japon, mais ayant eu deux parents occidentaux, qui avaient immigré au Japon. Elle avait donc de beaux cheveux blonds, ce qui était un grand fantasme nippon, les Japonaises étant très rarement blondes. Ikase tremblait légèrement sur place, et Myu’ savait qu’elle avait déjà du avoir plusieurs orgasmes. Ikase était l’une de ses élèves « spéciales », l’une de celles qui participaient aux soirées spéciales que la prof’ organisait parfois. La jeune femme parlait lentement, tandis que Myu’, dans son dos, la caressait, et l’embrassait dans le cou.

« Tetsu est un... Un voisin d’enfance... C’est... C’est lui qui m’a embrassé pour... Haaaa... Pour la première fois... Un délicieux baiser quand j’avais onze ans, après qu’on ait été à la piscine ensemble... »

Myu’ souriait lentement, tout en caressant les seins volumineux d’Ikase, à travers ses vêtements. Ikase sentait le latex de sa senseï et Maîtresse, et bascula sa tête en arrière, tirant un peu sur ses menottes. Lentement, Myu’ appuya sur la télécommande, accentuant la vibration des godes.

« Il... Il m’a fait l’amour... Dans mon lit, au milieu de... De mes ours en peluche, haaan... »

Lentement, Ikase se dévoilait, expliquant comment ça s’était passé. Il lui faudrait bien dix minutes pour le tenir, car elle jouissait entre-temps. Elle se tortillait sur place, et Myu’ finit par lui mettre un collier autour du cou. Ikase lui avait expliqué que ce Tetsu était un ami d’enfance, quand ils vivaient à la campagne, et il lui avait fait l’amour alors que les parents d’Ikase étaient chez ceux de Tetsu. Tetsu l’aimait depuis de longues années, et ils avaient encore fait l’amour à plusieurs reprises, en se cachant, avant qu’Ikase ne finisse à Seikusu, et ne fasse ensuite l’amour à sa prof’, ainsi qu’à quantité d’autres élèves.

« Bien, Ikase, c’est très bien... Maintenant, mets-toi à quatre pattes, et lèche mes pieds... Montre-moi que tu es une élève dévouée et soumise... »

Ikase obéit silencieusement, tandis qu’une laisse la reliait à la main de Myumi. Cette dernière posa l’une de ses mains sur ses hanches, sans avoir remarqué que le temps avait maintenant bien passé. Depuis le retour d’Ikase, il s’était écoulé un quart d’heure, au lieu des dix minutes règlementaires. Un élève pouvait donc à tout moment ouvrir la porte pour essayer de voir ce qui se passait ici.

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Nom/Prénom/Surnom : Myumi Ichtora. Appelez-là Myu’. Celui qui la confond avec un Pokemon se reçoit un coup de pied dans le c*l.

Âge : 30 ans

Sexe : Femme

Race : Hybride (mi-humaine, mi-succube)

Orientation sexuelle : Bisexuelle

Situation de départ : Lol

Description physique : Myumi est belle.

D’aucuns pourraient se contenter de cette affirmation, mais détailler ne fait jamais de mal. Myu’ est une superbe professeur avec une longue chevelure rousse flamboyante, une couleur naturelle, qui n’est pas sans rappeler la couleur de peau de sa mère, une succube. Elle a toujours eu des cheveux assez longs, qu’elle entretient soigneusement, à l’image du reste de son corps. Sa grande beauté est un héritage de sa mère, et, à bien y réfléchir, on se demande bien de quoi Myu’ a hérité venant de son défunt père... Sûrement de peu de choses, et c’est d’autant mieux, car Myu’ n’aime que fort peu son père, comme vous le découvrirez dans la suite de votre lecture.

De sa mère, elle a donc hérité de ses formes langoureuses, ce qui inclut notamment sa belle poitrine. Myumi a de gros seins, c’est un fait, c’est incontestable. Elle n’en éprouve aucune gêne, bien au contraire. Là encore, c’est un héritage de sa mère, tout comme l’est son superbe fessier, ses longues jambes sensuelles, sa peau d’une douceur incroyable. Elle est d’une beauté redoutable, de celle qui provoque des érections à de pauvres élèves en plein après-midi, alors qu’ils la voient écrire sur le tableau en se hissant sur la pointe des pieds pour atteindre le sommet du tableau. En effet, sans être petite, Myu’ n’est pas bien grande non plus. Elle rentre donc dans la moyenne.

La jeune femme fait souvent cours avec un costume noir, figurant en-haut de cette fiche, et sa tenue normale est une sorte de veste blanche avec des manches rouges, qui recouvrent un corset rouge fait de lignes verticales, et une minijupe rouge.

Myumi est aussi une amatrice de cosplays, et l’une de ses tenues préférées est une armure médiévale bleue. Ce n’est pas son seul cosplay, bien entendu, car sa mère est suffisamment riche pour lui offrir toute une panoplie, mais c’est celui qu’elle aime le plus. Elle l’a dernièrement exhibé lors d’un festival, et une photographie a été prise d’elle par l’une de ses amies.

Précisons, enfin, que Myumi est une hermaphrodite. Elle peut faire sortir de son vagin un phallus à volonté. C’est, là aussi, un héritage de sa mère.

Pour terminer cette partie en beauté, voici une série d’images de Myu’. Je tiens à prévenir que certaines images sont explicites, et peuvent donc choquer les petits n’enfants.




Caractère : de manière très simple, Myumi est une femme enjouée et heureuse de vivre. Elle ne se prend guère la tête dans la vie, et, quand on a eu comme mère une succube, autant dire qu’on voit la vie en rose, et même en très rose. Hypersexuelle, Myumi a décidé de devenir prof’ pour avoir la chance de pouvoir continuer à côtoyer de jeunes hommes et de jeunes femmes, dans l’unique objectif de coucher avec eux. Elle voit la vie comme une sorte de gros gâteau qu’il faut dévorer pleinement, sans se poser de questions.

Sa forte expérience sexuelle fait qu’elle est souvent très dominante au lit, mais ceci n’exclue nullement qu’elle se laisse soumettre. Myumi en tire même un certain plaisir, et adore volontiers se faire attacher, pour qu’on lui bourre les fesses en l’insultant copieusement. Son plus grand fantasme est de s’enfermer à double tour dans sa classe, et de se faire passer dessus par tous les élèves de sa classe. Elle est ainsi très appréciée de ses élèves, mais ceci a pu, parfois, lui causer quelques problèmes. Elle est en effet parfois tombée sur des amants jaloux, qui n’acceptaient pas facilement sa situation. Très simplement, Myu’ estime que, pour s’attacher à quelqu’un, cette personne doit être suffisamment excitante pour qu’elle puisse avoir envie de n’avoir aucune autre relation sexuelle.

Elle est donc très libre. Kurosaki est son amie d’enfance, une belle femme aux cheveux violets. Elles sont toutes les deux devenues professeurs, mais Kurosaki enseigne à Tokyo. Myu’ et elle se voient donc parfois, lorsque Kurosaki retourne dans sa ville natale.

Histoire : Myumi est née à Seikusu, et fait probablement partie des premiers bébés ayant des parents issus de monde différent. Son père était un homme d’affaires japonais qui n’avait jamais mis les pieds à Seikusu avant de tomber dans un Portail, quelques jours seulement après qu’une Déesse grecque oubliée ait choisi de relier son monde au nôtre. Il était alors venu à Seikusu pour conclure un important contrat entre sa firme, dont il est l’un des cadres, et une entreprise locale. L’homme faisait notamment affaire avec des Yakuzas, et tomba par erreur dans un Portail qui l’amena tout droit à Ashnard.

C’est là qu’il y croisa la mère de Myumi, Erelda, que vous pouvez aussi voir ici de profil, parce que je suis gentille. La redoutable succube n’avait jamais entendu parler des Terriens, et trouva l’homme à son goût. Ils firent rapidement l’amour, et l’homme devint son esclave au bout de quelques jours. Erelda décida ensuite de se rendre sur Terre, où elle se fit passer pour une femme normale. Polymorphe, elle réussit s’insérer dans cette société, se maria à l’homme, et obtint de lui une fille : Myumi. Revenir sur Ashnard ne la tentait plus, et, quand elle en eut assez de l’homme, elle se débrouilla pour qu’il meure, ce dernier lui offrant, sur son testament, toute sa fortune.

Erelda, qui adopta le nom humain d’Akiko, éduqua sa fille, sans jamais se remarier, enchaînant toutefois les amants. Dans la tradition des succubes, elle égaya assez rapidement l’appétit sexuel de Myumi, et lui apprit à se servir de son sexe masculin, un héritage de sa nature très particulière. Elle l’emmena aussi sur Terra, et inscrivit Myumi au lycée Mishima. Akiko se chargea d’ôter à Myu’ sa virginité quand cette dernière eut ses floraisons, et Myu’ se chargea ensuite d’enlever la virginité à ses camarades.

Kurosaki était une amie d’enfance de Myu’, originaire de Seikusu également, rencontrée à la maternelle. Les deux ne se séparèrent qu’après avoir quitté la fac’. Myu’ lui ôta sa virginité, et elles devinrent des amantes. Leur relation était toutefois très perverse, car elles se trouvaient des petits amis, uniquement pour avoir le plaisir de les partager, avant de les abandonner, quand elles s’étaient lassées d’eux. C’est ce qui finit par amener Erelda à séparer le couple, et à se débrouiller, en faisant jouer ses relations, pour que Kurosaki soit mutée à Tokyo. En effet, Myumi avait de plus en plus tendance à s’attirer des problèmes, car elle n’hésitait pas à jouer avec des êtres peu recommandables, comme des Yakuzas. Or, si Erelda restait une succube, Myumi était sa fille, et elle l’aimait.

Myu’ fut assez chagrinée d’être séparée de Kurosaki, mais elles se revoyaient assez souvent, bien que ce soit de plus en plus espacé.

Myumi travaille maintenant comme professeur de mathématiques à Mishima, et vient tout juste de terminer sa formation préparatoire.

Elle est donc fin prête à enseigner, et à recevoir, avec joie et plaisir, ses nouveaux élèves !

Autres : Myu’ n’a aucune particularité spéciale, si ce n’est celle d’être hermaphrodite, et d’être, sexuellement, aussi gourmande qu’infatigable.

Comment avez vous connu le forum : Comme tout le monde, en allant dessus ^^

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Nope.

RPs

1°) Cours particulier, what else ? [Elianne Roy] [EN COURS]
2°) Un Oral inattendu [Iruka Seishi] [ABANDONNÉ]
3°) Nouveau pion [Cinis] [ABANDONNÉ]
4°) Des cours particuliers [Elia Nelyn] [ABANDONNÉ]
5°) Cours du soir [Kjersti] [ABANDONNÉ]
6°) À maligne, maligne et demie [Iinuki / Rin Hanazono] [ABANDONNÉ]
7°) Premier contact [Hermaphrodite] [ABANDONNÉ]
8°) Le choc des succubes [Lydia] [ABANDONNÉ]
9°) Ichtora-senseï apprends-moi à compter [Marie Anne] [EN COURS]
10°) Hana a encore craqué ! [Hana Midorikawa] [EN COURS]
11°) Chaleur scolaire [Mira Crone] [EN COURS]
12°) Lust For Life [Jack Taylor] [EN COURS]
13°) Porno Star [Magdalena Takao] [EN COURS]
14°) Grande évolution du Futabu [Oohashi Sumika] [EN COURS]
15°) Reportage à Mishima [Bellona Melbourne] [EN COURS]
16°) Éducation sexuelle et relation ambiguë [Akasaka Aiko] [EN COURS]

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