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Messages - Terria

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: vendredi 23 février 2018, 00:11:37 »
Terria se tint satisfaite de son explication. Bien qu'elle entrevoyait que M. Dowell aurait pu en savoir plus, ce dernier se contentait de ce qu'elle lui donnait.

Quel est le plaisir de gâcher des secrets, pensa-t-elle. Mieux valait lui laisser cette réflexion.

De tout façon, Tierra y voyait ici qu'un prétexte pour amener leur discussion sur un autre terrain. Par ailleurs, lorsque la querelle éclata, son interlocuteur lui révéla son plan d'évasion. En voyant M. Dowell prendre les devant, Terria se sentir enfin soulagée; l'idée de passer la nuit dehors l'ennuyait.

- « Et moi qui me demandait si vous étiez homme de ressorts, vous semblez être bien adroit. Volontaire. » dit-elle en prenant son bras.

Avec grâce, M. Dowell prit les devants et les deux amateurs de Moltère prirent la fuite sous la protection bienveillante de l'abrit-ciel qui les couvraient. La voiture arriva rapidement, chevaux au gallos. De façon instinctive, le page se rua sur la porte afin de permettre à son maître et son companion d'y monter aisément. Terria, toujours soucieuse des manières de la noblesse, prit soin de lever sa robe afin qu'elle ne touche le sol déjà mouillé.

L'air humide apportait une dépression, un vent froid. Un frisson soudain vint la parcourir, de l'échine jusqu'à sa chair, dressant son léger pelage aux aguets. M. Dowell se soucia, par courtoisie, de lui demander s'il devait prévenir quelqu'un de son prochain déplacement. Était-ce là sa manière de demander plus d'information? On ne pouvait lui reprocher ses manières impeccables. Elle ricana un peu.

- « Mari? Haha, c'est bien aimable à vous. Non, je n'ai pas ce genre d'attachement ou plutôt, cette laisse. »

Elle se tua un moment réalisant qu'elle avait possiblement commis une faute, réagissant par impulsion de ses convictions. Ses joues, se maquillèrent naturellement d'un rosé doux.

- « Pardon, enfin, possiblement avez-vous une dame qui vous est promise ou qui est vôtre? Je ne souhaitais pas manquer son possible respect. »

Présentant ses excuses par guise de politesse, Terria ne cachait pas son opinion vis-à-vis les liens du mariage et toute relation sérieuse ou profonde. N'y voyant là que du superficiel. Les colosses qui tiraient la calèche eurent tôt fait d'y mettre le pas alors que les passagers étaient installés. La taille des bêtes était un bon indicatif de la fortune d'un Ashgardien. Ainsi, M. Dowell ne semblait pas être modeste bien au contraire. Les chevaux donnaient l'impression qu'ils n'avaient peine à forcer pour avancer malgré le poids de la structure. Ils étaient de magnifiques compagnons équestres, pelage soigné et carrure droite. On aurait jurés qu'ils pouvaient déplacer une montagne de leur force brute. C'est ainsi qu'ils se mirent en chemin, fonçant à travers les rues désertées de l'intempérie en direction de leur nouveau havre.

Terria profita du moment pour admirer l'étendue de la ville à travers la glace, du côté qui lui plaisait bien, au sec. Elle croisa le visage d'une moins fortunée qui était restée dehors à quêter sous la pluie, demandant la charité à ceux qui fuyaient la pluie. Bien qu'elle était née de ce milieu, jamais il ne lui était venu à l'idée, dans son autre vie, de se résigner à de tels actes. Elle prenait en bassesse cette femme qui lui renvoyait une image incurable de la faiblesse. Plissant les yeux de dégoûts, elle se revira vers M. Dowell. Celui-ci inspirait tout ce qu'elle enviait et désirait de la noblesse; la beauté, la force et surtout la richesse. Ne souhaitant déplaire la conversation d'un silence, elle relança leur échange.

- « Vous savez bien vous entourer. »

Terria touchait sinueusement le tissus de soie luxueux qui recouvrait les banquettes intérieures pour palier à son affirmation, laissant planner l'impression d'un contact lascif. Derrière ses propres gants, elle ne pouvait sentir ni apprécier au plein potentiel cette sensation. Toutefois, se dénuder la main, aussi tôt dans la conversation pouvait être un brin déplacé. Ainsi, elle rejeta l'idée pour le moment, bien qu'elle souffrait pratiquement d'envie de se jeter dans cette luxure. Elle se réjouissait en se disant que M. Dowell devait avoir plus de surprises qu'une seule calèche. Ainsi, s'amusa-t-elle à deviner ce que ce dernier pouvait bien chérir lui aussi.

- « Alors, M. Dowell, cette passion qui ruisselle en vous et qui se libère à la manière d'un volcan, a-t-elle fait surface dernièrement ou avez-vous su la dompter? »

Au loin, un énorme manoir de pierre se dessinait peu à peu dans l'horizon.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: dimanche 11 février 2018, 23:59:03 »
Les activités du café allaient de bon train. Plusieurs autres tables étaient déjà occupées de personnes loquasses et elle aurait juré avoir vu quelques bourses s'échanger également entre des individus. Seulement, ceci ne la regardait pas, car elle avait déjà entamé son oeuvre avec M. Dowell. Ce dernier ne semblait pas dérangé par les avances de Terria, qui plus être, son comportement était adroitement en accord avec sa maxime sur la raison. Elle l'écoutait attentivement, portant soin de lire au delà de sa pensée.

Psychanalystes? Terria n'était pas certaine de comprendre M. Dowell, mais joua le jeu pour suivre la conversation.

Bientôt, on vint leur apporter les boissons. La jolie serveuse qui était venue porter leur café passait entre les rangées avec aise, témoignant ses années d'expériences. À son grand soulagement, M. Dowell la gracia du souci financier. Tout en adressant par un geste de la tête et un sourire en coin son remerciement, elle prit alors soin de mimer et d'appliquer à la perfection l'étiquette en matière de la prise du café. Plaçant l'anse à 3 heures, Terria prit la tasse de sa main droite et la soucoupe de sa main gauche. Le petit doigt en l'air en vadrouille, elle débuta d'une première gorgée courte, car s'était là la manière de savourer la chose.

Alors M. Dowell était-il seulement intéressé au dialogue? Se demanda-t-elle. Celui-ci semblait aimer laisser planer les avances de Terria en arrière plan et en subtilité. Possiblement était-ce sa façon de conserver une part du mystère sur la suite.

Il s'était levé, faisant face à la vitre donnant sur l'extérieur. Les larmes du ciels venaient s'échoir en partie sur la vitrine, laissant également planer la douce mélodie de la pluie. Terria eu un léger frisson de réconfort, heureuse d'être au sec à l'intérieur.

« Alors, dites-moi, Miss Terria... Que vient faire une femme aussi charmante et aussi cultivée que vous ici, hum ? Les individus qui connaissent et ont lu Moltère ici doivent se compter sur les doigts d’une seule main, vous savez... Nous deux inclus. »

Il ne faisait aucune doute dans l'esprit de Terria que M. Dowell connaissait bien le café et ses clients. Il était alors prudent d'estimer que celui-ci avait fréquenté le café à plusieurs reprises. Toutefois, l'échange précédent avec la serveuse lui avait confirmé qu'il n'était pas propriétaire des lieux. Ainsi était-ce seulement la curiosité de sa nouvelle apparition en ces lieux qui l'intéressait? En ce point, Terria avait plusieurs scénario possibles, seulement, expliquer son passé n'était pas envisageable. Premièrement, car elle recherchait pas la sympathie de personne, trop fière d'avoir réussit à se départir de son statut précédent par elle-même. Deuxièmement, M. Dowell ne lui renvoyait pas l'image d'une personne intéressée à ce genre de discours.

« Nous devons être donc de paire, c'est ce qui expliquerait alors pourquoi nos personnes ont croisé chemin. »

Pourrait-elle avoir recours au mensonge? Cela ne serait pas la première fois que Terria voilerait la vérité aux yeux des autres. Déjà, elle avait tué Amara l'esclave et avait renaît de ses cendres sous Terria.

« Vous voyez juste M. Dowell. C'est pour moi ma première visite, j'ai été guidée, mais surtout poussée à découvrir ce repère grâce à dame nature. C'est elle que vous devriez remercier de notre rencontre fortuite. »

En réponse à son explication, une lumière intense vint définir la silhouette de M. Dowell. Une fraction de seconde par la suite, le ciel se mit à rugir.

« Il semblerait que j'ai vu juste. »

Sachant qu'il ne lui était plus possible pour le moment de retourner à l'extérieur en raison du temps, Terria poussa un soupir. Comment allait-elle ainsi s'y prendre pour s'assurer une nuit au chaud.

« Nous pourrions en profiter pour.. »

C'est à ce moment qu'un second rugissement vint se manifester. Or celui-ci ne provenait pas de l'extérieur, mais de l'une des tables au centre du commerce. Quatre hommes avaient prit siège à une table, mais l'un d'eux s'était levé, le poing rouge. L'incident avait été tel que la serveuse avait échappé l'un des cafés qu'elle transportait. Le bruit de l'éclat de la porcelaine vint raisonner dans les mémoires lointaines et douloureuse de Terria. Tout à coup, la pièce avait prit une autre ambiance et les regards que s'échangeaient les quatre homme assurait le conflit prochain.

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One Shot / Re : Doublons et coup de vent d'automne (PV avec Amara)
« le: jeudi 01 février 2018, 13:54:19 »
La dame venant de faire un pas en arrière, brisant ainsi ce contact privilégier que la personne de Seita avait initié. Seulement, celle-ci, avec raison, fut offusquée par les avances proposées. Étant réduit à titre de spectateur, Seita ne pouvait cacher sa gêne devant la situation. Automatiquement, une petite coulisse de sang discrète sortit de son nez.

Que, mais, qu'EST-CE QUI VIENT DE SE PASSER BORDEL? Pensa-t-il tout haut

LA FERME! Fit une voix à l'intérieur

Regardant la marchande qui avait prit un regard sérieux et soutenu en sa direction, Seita changea de mine.

«Désolé madame, que crois que nous avons fait faux pas et je tiens à m'excuser du malentendu. C'est seulement qu'avec votre physique bien provocateur et cette façon de me fixer, je croyais que vous me faisiez de l'oeil.»

Non, mais, quoi?

«Voyez-vous, je me suis fait larguer il y a quelques heures par mon premier amour d'enfance. On m'avait toujours dit que c'était celui qui était le plus douloureux et je refusais d'y croire,... jusqu'à présent.»

L'esprit de Seita resta muet devant cette cascade de mensonges. Qui était ce pouvoir, cet esprit qui parvenait à prendre contrôle de lui-même. Était-ce son subconscient? Dans ce cas, qu'est-ce qui aurait pu déclencher ce dernier? Bien qu'il était déçu de ne pas pouvoir accéder au concert et rencontrer Aimée, cela ne voulait pas pour autant dire qu'il avait subit une séparation. Du moins, son subconscient avait interprété la chose d'une tout autre manière. Seita ne pouvait faire autre chose que regarder comment l'échange allait évoluer.

«Et en vous vous voyant, tout amicale comme ça, et bien, cela m'a rappelé que jeune comme je suis, j'avais besoin de chaleur humaine.»

Seita pouvait se reconnaître dans le besoin de chaleur humaine. Encore vierge, il n'avait pu goûter aux plaisirs de la chair. Bien sûr, sa timidité n'était en rien pour l'aider.

«Mais pour adresser des excuses convenables, puis-je avoir votre nom? Tenez, prenez le mien en signe de bon voeux, je suis Jyoshua.»

Seita, ou encore, le corps de Seita fit un pas vers la dame en tendant la main en signe de réconciliation, ignorant la nature marchande de leur rencontre initiale. Le visage et la mine qu'il affichait se voulait à donner une impression d'humilité et de sincérité. Toutefois, quelque chose chez Seita lui disait que tout ceci n'était qu'un bluff.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: mercredi 31 janvier 2018, 23:04:44 »
De son passé d’esclave, Terria n’avait reçu d’éducation propre. Son seul mode d’apprentissage jusqu’à l’adolescence se limita au mimétisme et l’observation des nobles. Jeune, ses parents lui avaient déjà répétés plusieurs fois qu’elle posait trop de questions. C’est ce désir, cette soif d’apprendre et de se démarquer qui lui permettait maintenant d’être hors de cette prison, sur son propre chemin et dans ce café plus particulièrement.

Seulement, bien qu’elle pouvait estimer la connaissance de son interlocuteur de par ses apparats, elle était loin de se douter qu’il côtoyait la mort d’une autre façon. Non pas qu’elle ignorait la société vampirique d’Ashgard, étant l’une des seules villes où démons et autres créatures pouvaient coexister avec les humaines, mais plutôt qu’elle n’avait eu l’occasion d’en croiser. Ainsi, attribuait-elle ce teint froid à l’image de la haute noblesse Ashgardienne.

De par sa réponse, Terria compris que sa vitrine n’était pas suffisante à obtenir un ticket pour la nuit et qu’elle devait travailler pour susciter et maintenir l’intérêt de M. Dowell. Toutefois, l’ayant vu maintes fois, elle savait que sous la réserve se cache une autre personne qui ne voit le jour qu’à la tombée de la nuit. Ainsi, elle voyait en M. Dowell cette dualité entre une image composée et l’aspect lubrique de tout être.

À son avantage Terria n’avait pas été une dame de chambre ordinaire. Chaque escapade était l’occasion de s’échapper de son triste sort par la lecture. Aussi, si son ex-maître pouvait bien se vanter de ses collections et de ses biens, ce n’était certainement pas parce qu’il lui plaisait de s’y intéressé. L’image qu’il projetait était bien plus gratifiant que la connaissance renfermée dans ces ouvrages pour lui. Par chance, ceci permit à Terria d’avoir à la portée de la main, l’essentiel de la bienséance.

La lecture de Moltère fut l’un de ses premiers, ce pourquoi, les grandes lignes lui venaient avec aise. Certes, l’auteur apportait un vent nouveau à la littérature Ashgardienne, s’éloignant des lignes dures et patriotiques typiques, ce dernier s’intéressait à une autre complexité peu expérimentée que les Ashgardiens reconnaissaient comme étant une ardeur non rationnelle. Or, Moltère avait tenté d’inséminer dans l’esprit populaire, des personnages sans idéal précis, mais qui portaient en eux un véritable champ de bataille, tyrannie du désir. C’est cet intérêt pour le personnel et le relationnel qui lui avait mérité des critiques et des étiquettes comme histoires d’amour à l’eau de rose. Cependant, s’abreuvant de toute l’information qu’elle pouvait accéder, Terria n’avait jamais pris le temps de débattre et de cogiter sur la chose. Les écrits étaient une donnée, pas quelque chose à contester. Ainsi, elle se surprit à froncer les sourcils, mine de prendre un moment afin de se forger une opinion.

« La passion, aussi contradictoire que Moltère la présente, semble également être ce qui nous attache plus au divin qu’aux animaux. Par nature, chez l’animal, c’est l’instinct qui le domine alors que chez l’homme c’est sa passion qui le libère de ses attachements primitifs. Toutefois,… ceci ne semble pas venir sans conséquence. Les histoires relationnelles les plus percutantes sont à mon avis les plus sanglantes. »

Terria avait bien choisit ses mots, car elle reconnaissait que l’échange entre les êtres étaient attachement plutôt qu’amour; mot dont elle niait toute profonde existence. M. Dowell la relança avec une question adroite, signifiant qu’il voyait possiblement au-delà de la conversation et de leur échange bénin. Ceci lui permettait de confirmer son intention et de donner suite à la chose.

« Je vous répondrais alors que l’être est, en mon sens, ce qui permet aussi à l’homme de se dresser vers le divin. Ce qui nourrit l’être est la passion, chose que je ne laisse pas sans soins. »

Son corps répondit également en se soulevant légèrement au niveau de la poitrine. Passant la main dans ses cheveux, réflexe de séduction, Terria dégagea la vue de son interlocuteur vers elle et rapatria une mèche derrière. Elle se surprit à observer davantage la personne qu’était M. Dowell; homme qui semblait également cultiver le savoir et l'adresse de l'esprit. Possiblement était-il ouvert à cette nouvelle approche qui mêlait de façon intrinsèque passion et grandeur de l’être. Chose qui était certaine Terria avait bien souligné la nature de leur échange, mais M. Dowell semblait être plus qu'un simple homme de bel allure. Allait-elle mordre à un échange philosophique ? Mieux faire attention et éviter que celui-ci ne fasse une bouchée d'elle.

« Qu’en dites-vous? »

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One Shot / Re : Doublons et coup de vent d'automne (PV avec Amara)
« le: mercredi 31 janvier 2018, 13:59:51 »
Seita revint finalement à ses esprits alors que la dame à la poitrine plantureuse alla se replacer plus loin. Seita se demanda si il avait été vocale dans ses fantaisies. Voyant quelque chose tomber au sol, il comprit vite la vicieuse coulé et essuya le tout. Bien qu'il avait fait un choix parmi la marchandise, toute sortes de scénarios parcoururent son esprit. Se tiraillant, il alla voir la dame pour conseil.

En l'approchant, Seita compris l'ampleur de la tâche. Comment regarder cette dame sans passer par son décolleté? Ne voulant paraître impoli, il se tin à regarder son futur achat, mine d'être réservé. Malgré tout, la difficulté que présentait la situation avait toutefois un effet pervers. Plus Seita pensait à ignorer la poitrine, plus elle occupait son esprit. Une légère bosse se forma dans son pantalon avant même qu'il ne prenne la parole.

«Heum, madame. Voilà, je recherche un cadeau pour une am,... copine... ou possiblement copine. Du coup, je me demandais, voilà, c'est qu'elle aime bien les fraises, heum, non, possiblement, mais elle aime bien les chats. Vous sachez, hein! Alors, oui, pas vraiment les fraises, mais peut-être que oui. Seulement, c'est surtout parce que son groupe favori Ichigo to Ringo...»

Seita se tua. Son regard pris une allure différente. Soudainement, il se compris fixer la poitrine de la dame. De façon instinctive, sa main libre alla se loger sur celle-ci. Appréciant le moment, il revint vite à ses esprits et tenta de retirer sa main. Toutefois, c'était comme si son corps ne lui obéissait plus. Étonné, mais surtout paniqué, Seita tenta de s'excuser, mais ses lèvres ne remuaient plus selon son désir.

«Avec des atouts de cette taille, dit, tu veux faire plus d'argent? Tu es toute tendue, on dirait qu'on ne te baise plus convenablement depuis un bon moment.»

Un sourire se dessina sur son visage, toutefois, ce n'était pas le sien. Qui plus est, cette main qui massait maintenant la poitrine de la marchande n'était pas là par son gré. Son autre main vint déposer le jouet sur la poitrine avant de se mettre également au massage.

Chose étrange, Seita cru voir les mamelons de la dame se durcir lentement.


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One Shot / Re : Doublons et coup de vent d'automne (PV avec Amara)
« le: jeudi 25 janvier 2018, 19:08:20 »
C’était un soir bien particulier où la lune était absente du ciel.

Tout a débuté quand l’âme de Jyoshua n’a pu accéder au repos éternel. Certains pourraient blâmer l’incident sur l’administration des cieux, d’autres pourraient croire en une malédiction. Quoi qu’il en soit, dans l’impasse, celle-ci s’est retrouvée à rencontrer, malgré elle, le jeune Seita.

Tout a débuté quand Seita n’a pu accéder au méga concert donné par le groupe Ichigo to Ringo.  Certains pourraient blâmer son manque de préparation, d’autres pourraient croire en une malédiction. Quoi qu’il en soit, dans l’impasse, Seita a rencontré, malgré lui, l’âme de Jyoshua.

Avant le concert, le chanteur principal du nouveau groupe émergeant prenait sa dernière ligne après avoir tout juste remplit l’entre-jambes humides de sa dernière partenaire. En fait, partenaire était un bien noble mot pour décrire cette femme de rue. Ichigo était son nom de scène, idée qu’il avait eu après la lecture d’un manga lorsqu’il était plus jeune. Selon lui, rien de tel qu’une petite consommation avant la performance. Pour les fans? Non, pour sa popularité. Avant tout, s’il avait su se tailler une place dans le domaine à son âge, ce n’était surement pas en pensant aux autres.

 Avant le concert, Seita se rendit compte qu’il n’avait toujours pas fait l’achat de billets en ligne comme il se l’était pourtant répété maintes fois. En fait, son portefeuille souvent vide l’avait empêché de se les procurer. Ayant reçu de sa mère des fond sous promesse de comparaitre aux tâches ménagères, il put espérer dénicher un billet de dernière minute sur place. Avant tout, s’il n’avait toujours pas eu de job à son âge, c’était avant tout parce qu’il voulait prendre soin de sa famille et de ses études.

C’est alors que ce soir où la lune était absente du ciel, Seita revenait bredouille du stade où le concert avait lieu.

«Tous vendus, non mais, je ne peux pas croire…»

Seita pensait aux nombreuses fois où sa sœur l’avait mis en garde et lui avait répété de se procurer son billet.

Et merde! Pensa-t-il

Si Seita avait voulu assister au concert c’est bien parce que la fille dont il avait l’œil sur depuis un bon moment allait y être. Encore rêvait-il à elle, la nuit passée. Il avait entrevue sa rencontre «fortuite» avec Aimée, mais qu’il avait en réalité planifié. La semaine passée, il était passé près de son groupe d’amis et avait entendu qu’elle allait à ce spectacle sans ses copines. Une occasion rêvée, s’était-il exclamé haut et fort avant de déguerpir devant l’attention des filles qui le fixait.

Maintenant il errait à pied, en direction de la station de train quand tout à coup, quelque chose de puissant et d’invisible le jeta au sol. Il fut sonné un moment, se demandant s’il n’avait pas encore marché dans un lampadaire sans regarder. Mais autour, le parc qu’il traversait était vide. Se relevant et faisant mine de rien, il poursuivit son chemin. À la sortir du parc, une marchande ambulante s’apprêtait à fermer sa caisse. Sa poitrine avait une dimension de fantaisie et le corps de Seita fut tôt à répondre aux provocations non voulu de la ravissante vendeuse.

Mené par ses impulsions, il se surprit à aller visiter l’échoppe avant qu’elle ne ferme pour profiter de la compagnie de la charmante dame qui eut tôt de se retourner et lui souhaiter la bienvenue. Seita détourna le regard, voulant cacher qu’il zyeutait les courbes de la dame. Elle devait avoir l’âge de sa mère, mais quelques années plus tôt.

"Bonjour! Bienvenu au Zephyr, comment puis-je vous aider?"

«Oh, oui! Acheter, hmm…»

Seita se mit à recherche parmi la marchandise quelque chose qui pourrait piquer son intérêt. Il ne fallait pas dire que la seule raison qui l’amenait à dépenser était cette femme. Comme quoi les femmes avaient ce pouvoir sur vous.

Sa recherche s’arrêta sur une petite figurine d’une fraise aux pattes, queue et tête de chat. Seita se convint que ceci ferait un excellent cadeau pour Aimée, mais encore fallait-il qu’il puisse lui offrir. Sa grande gêne lui empêchait catégoriquement, aussi qu’allait dire les autres à l’école? Subitement, il se permit de rêvasser, imaginant une scène où il aurait pris son courage à deux mains et aurait été dévoilé son amour à Aimée en lui apportant la figurine du chat-fraise. Devant sa prouesse et son estime, elle aurait fondu dans ses bras et il aurait même eu accès à sa poitrine, mais étant gentlemen, aurait attendu qu’il revienne à la maison où il aurait…

*Une petite coulisse de sang apparu sous le nez de Seita*

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 22 janvier 2018, 19:02:00 »
Amara avait observé les activités mondaines de la clientèle du café pouvant apercevoir sur le torse ou les épaules de certains, des décorations distinctives révélatrices de leurs liens militaires. Les liens entre l'état militaire et la noblesse tissait la toile, portait d'Ashnard peinte sur un fond rouge sang indissociable de son passé.

Ayant été esclave, elle avait toujours été tenue à l'égard des textes officiels de sa cité, s'en tenant aux rumeurs et aux histoires découlant du bouche à oreille. Aussi, cette découverte fut en soit une expérience qui l'immergea dans sa fantaisie, entourée de ce qu'elle présumait être la noblesse d'Ashnard. S'étant toutefois décidée à passer à l'action, une opportunité fit sa surprise.

Un jeune homme dans la fleur de son âge au teint clair; une peau douce comme la neige fraîche et un regard de glace. Celui-ci avait prit la liberté de l'approcher, se déplaçant avec aise et confiance dans la place. Son comportement avait aussitôt révélé son attachement à l'endroit, aussi avait-il, de gestes modestes, signalé sa présence auprès de connaissances. Mais il avait été intéressée par cette nouvelle venue. Possiblement savait-il qu'elle n'était pas de la clientèle régulière. Amara nota ses premières observations le suivant du regard alors que l'homme vint se poser près d'elle, tendant la main vers sa joue à la manière de cueillir une rose. Tout dans sa gestuelle laissait signaler la grandeur et la finesse de son art.   

« Bonjour, Madame. Je crois que nous n’avons jamais eu l’honneur de nous rencontrer. Je m’appelle Alexandre Dowell. Et vous ? »

Amara plongea son regard dans celui de son interlocuteur, à la recherche d'indices pour le deviner. Audacieux, distingué et raffiné furent les premiers mots qui lui venaient en tête. Les gants blancs qu'il portait avait un tout autre sens pour Amara. Dans une ville, bien qu'aussi propre et ordonnée fut Ashnard, conserver le blanc immaculé était presque impossible, car un soupçon de saleté, boue ou terre venait bien trop tôt souiller cette pureté. Les gants encore blancs de cet homme était un signe de sa richesse et l'idéal Ashnardien. Aussi, M. Dowell n'avait pas perdu de temps pour établir un contact à l'envers de ce qu'Amara entrevoyait. Ceci allait possiblement faciliter la tâche.

Savante de la rythmique et de la danse de l'échange, elle ouvrit les lèvres et marqua une brève pause pour faire pendre, dans l'instant d'un moment, M. Dowell à sa réponse; sachant que ceci allait très probablement piquer son intérêt. Les coins de sa bouche se plissèrent pour glisser un sourire laissant entrevoir sa réceptivité.

« Un plaisir,... de faire votre charmante connaissance M. Dowell. Votre flair est sans faille, je suis, Miss Terria, enchantée. »

Elle avança doucement vers M. Dowell pour signifier son intérêt et ouvrit légèrement son torse. Un mouvement rapide de la tête vint jeter ses cheveux à l'arrière, dévoilant ainsi la nudité des épaules s'étendant jusqu'au décolleté. Ayant mis son corps à découvert elle plongea langoureusement dans la direction M. Dowell, apportant leur corps à une distance plus intime, mais encore très respectable pour la chose. Cependant, son mouvement était calculé, ceci était une feinte momentanée.

Elle ne s'était élancée que pour cueillir un livre qui se trouvait devant M. Dowell, sur la petite table basse, passant ainsi près de lui afin de lui démontrer en retour, l'hardiesse de sa personnalité. Elle avait reconnu le nom de l'auteur sur le livre; Moltère qui trônait également dans les bibliothèques de son ancien maître et qu'elle avait lu avec passion les soirs où elle n'arrivait pas à trouver le sommeil. Misant sur ses observations, elle lui renvoya une réplique tirée du livre afin de tester les connaissances de son interlocuteur et donner le ton à la conversation. Une main posée sur son livre, comme par assurance et pour tirer le savoir de l'objet, elle lui répondit avec complicité :

« Etre parfaitement sage, il n'y a guère d'hommes à qui cette folie n'ait quelquefois passé par la tête. »








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Le coin du chalant / Re : Recherche de cobayes pour première aventure
« le: samedi 20 janvier 2018, 15:31:23 »
Bonjour Kolgrim,

Merci de l'offre. Ce sera, ma fois, pimenté considérant la haine du personnage envers la magie, mais intéressant à jouer si cela te dit toujours. Les conflits étant une motivation à jouer.

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Dictature d'Ashnard / Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: vendredi 19 janvier 2018, 14:32:08 »
Ouvert 25 ans plus tôt, le Café du Triomphe était un salon littéraire plutôt étroit, mais qui avait su attirer une clientèle des plus raffinées. Le bouche à oreille lui avait permit de se constituer une clientèle d'élites, mais également de curieux et d'amateurs. Le caractère secret de la perle lui permettait d'éviter les foules et les heures de rush. Ainsi soit-il, toute personne qui y entrait pouvait se trouver un siège qu'elle jugeait confortable et était alors aussitôt servie. L'ambiance détendue et l'atmosphère élitique faisait de cet endroit un excellent lieu de repos et de détente côtoyé par les mieux nantis.

C'est ce qui attira le regard de Miss Terria. Debout sur le coin de la rue, elle faisait mine de s'intéresser aux vitrines alors qu'elle guettait les alentours pour une nuit au chaud. Loin de là à s'adonner à la chose comme profession, elle espérait se tenir à l’abri du mauvais temps qui s'annonçait. C'est alors qu'elle remarqua, dans cette ruelle détachée de la place principale, une porte d'un bleu royal qui s'ouvrait de temps a autres pour laisser entrer et sortir des messieurs dont certain tissus reflétaient le soleil. C'est un éclat rendu par un bijou porté, un bouton métallique ou un tissus précieux qui lui avait permit de remarquer ceci une heure plus tôt.

Se doutant qu'elle trouverait possiblement l'objet de son désir derrière cette porte, elle se glissa du marché en direction de cette devanture. La charnière se soumit sans chigner et Miss Terria pénétra dans ce lieux. Un grand escalier de bois massif se tenait tout juste derrière la porte.

Tien, un commerce à l'étage? pensa-t-elle

Elle gravit les marches, pensant déjà à sa démarche pour impressionner dès son entrée. Ce fut en haut qu'elle constata la nature de l'endroit. Étagères débordant de savoir, fauteuils, tables basses et surtout des puits de lumières permettait à ce salon littéraire d'accueillir en bonne et du forme ses clients des plus sophistiqués. Ainsi, fut-elle surprise, mais surtout impressionnée par la beauté de ce petit café. La clientèle nonchalante vint ébranler pendant un instant sa confiance. Elle parcouru rapidement son environnement, tout le monde était occupé à sa besogne. Poser son appât allait être plus difficile que prévu. Mais qu’en savait-elle ? C’était ici sa première tentative depuis sa libération et aucune envie de revenir auprès de M. Dallaire se loger à son service. Cette vie était derrière elle et c’est avec cela en tête qu’elle fit son premier pas vers l’avant dans l’enseigne.
Ayant encore quelque pièces dans sa bourse, elle s’exécuta comme le dicton : «À Ashnard, fais comme les Ashnardiens.» Elle alla s’installer dans un coin au fond de la salle afin de profiter d’une vue d’ensemble. Rapidement, elle vu un menu déposé sur la table basse en face d’elle. Une jolie serveuse lui souhaitait la bienvenue. Émue par ce geste bénin, Miss Terria pris dans ses mains le mince feuillet qu’elle examina rapidement.

Un café ? Non, l’haleine en souffrirait. Un petit gâteau ? Oui, cela est envisageable. Possibilité de le manger vite ou lentement selon la situation.
La sucrerie fut alors aussitôt commandée et servit très rapidement. Pour le coût, Miss Terria ne trouvait pas que le poids en valait l’argent. Mieux valait se faire offrir à manger que de payer. Elle attendit, se concentra sur autre chose, visant à faire oublier l’étape du paiement.
 
À la fin ou par transaction ?

Voyant la serveuse partir, elle sentie un dose de soulagement. Soit elle avait oublié ou encore devait-elle se préparer à se départir de ses pièces plus tard. N’ayant eu besoin pendant sa vie d’esclave d’argent, elle avait encore du mal à budgéter et éprouvait un malais à chaque sous soutiré de sa bourse.

Bon, en marche. Se dit-elle

Elle passa les mains dans ses cheveux pour les déposes sur sa poitrine, accentuant encore plus la vultuosité de la chose. N’ayant pas la prétention d’attirer toute l’attention, elle se réserva d’autres atouts pour la suite. Tout client qui passait son regard dans son coin allait sans nul doute la remarquer. Aussi, profitait-elle de sa position pour observer plus attentivement les personnes et la place. Quelques clients étaient assis seuls sur des fauteuils doubles, ce qui s’avérait être une excellente occasion d’aller à la rencontre de gens. Malgré l’ambiance de détente, il y avait tout de même de la conversation par ici et là, des groupes de gens ou des amis qui utilisaient la place pour bavarder de philosophie et d’autres sujets nobles.
Des bruits de pas montaient du coin des marches, un nouveau client faisait son apparition. Sensiblement un habitué, celui-ci alla directement vers un fauteuil double.

Excellent.

Cela lui laissait alors l’occasion d’aller à sa rencontre. C’est alors que…

55
Le coin du chalant / Recherche de cobayes pour aventures
« le: jeudi 18 janvier 2018, 21:47:53 »
Bonjour à tous,

Vous désirez entreprendre un RP actif et participer à un échange continu? Vous êtes au bon endroit.

Voici Terria! Une esclave affranchie qui souhaite s’incruster dans la haute sphère de la société Ashgardienne et elle n'hésitera pas à utiliser les moyens à sa disposition afin d'y parvenir, . Chose certaine, elle doit se faire des alliés! C'est ici que vous entrez en jeu.

Si vous êtes :
-Un dirigeant,
-Un riche marchand,
-Un noble,
-Vous possédez des ressources rares,
-Vous êtes un homme fort
-Vous avec un talent particulier (vol, assassinat, espionnage, infiltration) ou encore
-Un être tout aussi avide que Terria d'accéder au pouvoir...

...Vous êtes donc parfait pour un RP!

Terria est à Terra, plus précisément dans Ashnard et ses environs. Libre depuis quelques temps seulement, elle visite les bars et autres lieux de rencontre. Toutefois, il lui est possible d'être un peu partout dans la ville, à votre convenance.

Des intéressés ?

Vous pouvez consulter la fiche ici

Au plaisir !

 ;)

56
Merci Princesse Alice !

57
Prélude / Re : Mystère, nouvelle apparition. À qui le plaisir ? [Alice]
« le: jeudi 18 janvier 2018, 15:47:01 »
Rebonjour,

Pardonnez ce double-post qui n'est utilisé que pour vous aviser la double lecture et correction de la fiche faite.

Merci à l'avance de vos conseils et commentaires. J'apprécie fort bien l'idée de pouvoir échanger avec vous prochainement.

 ;)

58
Prélude / Re : Mystère, nouvelle apparition. À qui le plaisir ? [Alice]
« le: jeudi 18 janvier 2018, 14:01:38 »
Bonjour à tous,

Merci beaucoup pour cet accueil. Aussi pour votre bon travail chère Princesse Alice. Les points que vous avez noté seront bien corrigés/détaillés.

 ;)

59
Prélude / Mystère, nouvelle apparition. À qui le plaisir ? [Valicidée !]
« le: jeudi 18 janvier 2018, 06:47:38 »
Identité : Miss Terria (Nom qu'elle donne)/ Amara (Nom réel qu'elle garde pour soi)
Âge : 29
Sexe : Femme
Race : Humaine
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique :
Un teint de peau rosé et clair, cette prédatrice à la crinière rousse possède un regard lascif cachant le froid de son esprit calculateur.
Parfois, on voit apparaître sur son visage, un point déposé par l’illusion des cosmétiques, simulant un grain de beauté afin de souligner le regard ou encore de pendre les hommes à ses lèvres.
Une voluptueuse poitrine siège de par sa proéminence sur le décolleté de ce corps finement découpé à la taille, débordant toujours de l’endroit où on le confine. La rondeur des courbes féminines s'inscrivent dans une allure de bonne santé et d'un maintien d'une silhouette digne d'un fantasme.
Son visage se dessine d’une lèvre supérieure relevée, un petit nez droit pointant, des paupières lourdes de rêve et une chevelure langoureuse qui se pendent jusqu’au-dessus de son derrière. La grande majorité du temps, une ligne noire bien tracée couvre son regard pour accentuer l’effet de ses cils longs.
Un dos tracé au rouge de cuirs, parcoure le haut des fesses jusqu'en dessous des omoplates. Les marques peuvent se lire au toucher et racontent l’histoire de sa jeunesse.
Robe et tissus mettant soigneusement en valeur ses plus grands atouts féminins et une vulnérabilité piège au cou et épaules dénudées. Accents mit avec accessoire pour compenser le fessier de madame, qui n'est pas assez grand à son goût sous ses robes.

Caractère :
Manipulatrice et calculatrice, elle sait lire le cœur des hommes comme un livre ouvert. Séductrice, elle se piège parfois à son propre jeu et gare à vous, car elle est mauvaise perdante et rancunière.
Elle possède une manie pour la perfection et le contrôle, de son toc, elle aligne toujours ses couverts et replace les cadres.
Qualité incroyable, elle sait résister à l'ivresse des liqueurs et boissons toxiques les plus courantes. Celles-ci provoquent toutefois chez elle un réveil de ses sens et le goût de la chair dans sa passion la plus pure.
Elle reconnait un défaut à son corps, ses fesses petites contrairement à sa sa poitrine abondante qu'elle chérit.
Adore les personnes influentes, les parfums, la naïveté, les bleuets, l'alcool, les intrigues et le pouvoir.
Déteste perdre, le langage de rue, les faibles, la magie, l'intimidation, les relations à long terme et se départir de son argent.
L'obtention de titre, pouvoir, argent. En bref, devenir une vraie noble respectée, mais avant tout crainte. Et possiblement, dans ses rêves les plus fous, un homme qui saura dominer sa nature évasive pour les relations à long terme.
Observatrice, elle tente d'éviter les ennuis et cherche à se confronter au challenge. Elle refusera un service d'une personne qu'elle n'estime pas être à la hauteur, faute d'obtenir le jugement de «snobe».
Elle se place plutôt en retrait, laissant les autres parler et n'intervient qu'aux moments opportuns. Elle ne refusera jamais de rendre service pour obtenir des faveurs ou faire bonne impression. Aider les autres dans le besoin ne l'intéresse seulement que si cela peut servir à son dessein.

Histoire :
Née Ashnardienne, mais fille d'esclaves, elle fut également l'une de ceux-ci dans son enfance. Ayant déjà perdue deux plutôt qu'une de ses sœurs à l'Empereur, elle fut épargnée étant la plus jeune et n'ayant pas l'âge convenu par la loi. La perte de ses soeurs, qui se suicidèrent peu de temps après, la laissa dans un esprit de révolte et de solitude profonde. La mort de ses sœurs qu’elle refusait de laisser à la logique de la loi, vint lui apporter une opinion amère de ses parents, qu’elle tint comme responsables.

Elle fut pendant plusieurs années ramenée à ses sens à l'aide de coups de fouets martelant son dos sous les pleurs et la terreur des autres. Elle apprit ici que le pouvoir chevauchait un étroit lien avec l'idée d'inspirer la peur, mais que ce que les hommes convoitaient le plus était d’accéder à un idéal de rêve. Ainsi, c’est sur cette révélation qu’elle mit les prochaines années de sa puberté et croissance au travail. La compréhension de sa position et des rouages de ce qu'elle avait compris de la société lui permit d'inscrire un plan pour sa liberté et son nouveau désir pour le pouvoir.

Son physique impressionnant, mais surtout sa compréhension d'une image forte et séduisante lui permit de se faire remarquer des autres esclaves et de pouvoir accéder à la chambre de son maître. Pratiquant ses airs, réactions et moindres gestes pour révéler un air «pinup», elle se transforma en objet de désir afin de s’assurer les bonnes grâces de celui qui la possédait. Ceci lui allait lui permettre d'échapper à son sombre destin et de se tailler une place auprès des hommes libres.

Ayant réussi à améliorer son sort grâce à son travail acharné sur le travail de la tentation, elle se retrouva pour une première fois dans une position où elle pouvait accéder à la prochaine étape de son plan qui s’étendait sur plusieurs années. La nuit, après avoir rassasié son maître de ses désirs les plus grotesques et sadiques, celui-ci se laissait rapidement tomber dans les bras de Morphée; lui permettant ainsi de fouiller les alentours et de concocter la suite de son plan. Son maître avait la fâcheuse habitude de se laisser traîner. C’est ainsi qu’elle eux accès à son courrier, lettres reçus et en rédaction. Se livrant à un travail de moine en secret à tous les soirs où elle montait à la chambre, elle parcouru les écrits de son maître, découvrant ainsi la dimension politique de la noblesse.

Sa nouvelle besogne en tant qu’esclave lui permit d’accéder à ses premières possessions d’objets de désirs afin d’aider sa tâche. Des robes de seconde main, des restes de maquillage et des parfums de basse gamme lui paraissaient comme étant un affranchissement important vers son but ultime.

Son maître, M. De Guignes, était très bavard, mais surtout vaniteux. La flatterie à son égard ne faisait qu’accentuer sa concupiscence. Son erreur fut de de jumeler Amara et alcool. De façon surprenante, l’eau de vie ne l’affectait pas autant que son maître ou du moins, n’avait pas le même effet. Celui-ci était pourtant un homme fort costaud et l’espace que lui laissait les plis de sa peau aurait dû lui servit de résistance. Un cocktail répété à tous les soirs lia, jusque dans ses gènes, boisson et passion. Chaque gorgée ne faisant qu’accentuer une envie renouvelée pour l’accomplissement de la débauche passionnelle.

Les années d’écoulèrent et l’esclave devenue courtisane de son maître ne cessait d’espérer un meilleur futur. Ce fut un soir traditionnel, par un temps froid, qu’elle remarqua le nom de Frédéric Dallaire, son prochain sauveur, dans les lettres de son maître. Riche de profession marchande, son maître possédait plusieurs contacts et était sur le point d’accomplir ce qu’il qualifiait être la passe du siècle au détriment de la saine compétition. Un quasi-monopole qui découlerait d’un secret bien gardé et à l’abri de ses ennemis jurés. Il sommait et mettait en garde ses connaissances contre les dangers potentiels qu’il décrivait trop adroitement dans ses ébauches conservés à la façon d’un journal intime.

En connaissance de sa porte de sortie, elle accentua ses recherches pour subtiliser l’information à son maître. Usant de charmes, vin, mais surtout de son corps, elle parvint au bout de longues nuits à dérober un mot qui glissa, vulnérable hors des lèvres de celui qu’elle avait passé tant d’années à observer, écouter, servir, séduire et charmer.

Cependant, celui-ci découvrit la supercherie lors d’une soirée bien arrosée, et comme dans son enfance, tint à rappeler la bonne conduite à sa préférée. Seulement, son état d’ébriété lui permit de sauver sa tendre peau, la forçant toutefois à prendre la fuite.
C’est alors qu’elle se tourna vers l’épée de Damoclès de son maître, M. Dallaire, compétiteur direct de son maître. De façon aussi surprenante, son apprentissage pour l’envoûtement fut la clef de sa liberté, la porte vers M. Dallaire. Un échange passionnel, nouveau et différent, raviva sa flemme pour les hommes. Elle conclut d’un accord avec son nouveau contact pour sa liberté en l’échange de trahison. M. Dallaire s’occupa des rouages et accéda à la fortune de M. De Guignes.

Elle fut récompensée, une bourse, maigre comparativement à ce que M. Dallaire empocha. Toutefois, ceci lui était égal, mais elle avait fait miroiter le gain de l’accord se soustrayant pour être certaine de faire un bon coup. Mauvais calcul pensa-t-elle plus tard voyant tout l’argent qui profita à son associé. Toutefois, le marché avait été conclu et, craignant l’attachement avec ce  dernier, elle se contenta de sa part.

C’était fait, elle avait réussi au bout d'un accord avec l'ennemi de son maître, à obtenir l'objet de son désir; sa liberté. Mais ce ne fut longtemps qu'après l'obtention de celle-ci qu'elle se trouva maintenant devant un monde nouveau. À nouveau cette sensation de nue qui se fit sentir, son passé resurgissant; elle devait s'habiller. Non pas seulement de robes ou tissus, mais aussi d'argent, de ressources, de contacts, mais surtout de pouvoir. Seul le pouvoir pourrait lui permettre de combler ce vide, en était-elle certaine.

Autre :
Résistance à l'alcool, bien flexible, calcul mental rapide, excellence dans les tâches ménagères et grand répertoire d'énigmes.
Elle loge à l'hotel ou passe la nuit dans la chambre de sa conquête du soir. Connais le milieu des esclaves comme sa poche ainsi que le nom de certains nobles.

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