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Sujets - Terria

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Dictature d'Ashnard / Un premier contrat [PV Semille]
« le: jeudi 12 avril 2018, 14:21:19 »
- « Une Terranide ? » fit Terria curieuse devant la créature.

Quelques heures plus tôt, Terria se rendait comme à l'habitude dans l'un de ses endroits privilégiés pour appâter un bourgeois ou un homme de la noblesse. Ce soir là, c'était le pub Le cochon volant qu'elle avait choisie. Pourquoi ce choix? Parce que la devanture de l'édifice ne portait pas les traces et autres cicatrices que les devantures mal soignées affichaient. De plus, son affiche avait été peinte d'une couleur qui reflétait l'or, symbole de son statut et de la clientèle qu'elle recevait. Le lettrage, de bois ouvragé, témoignait de l'expertise de son artisan et de l'étendu de la valeur de l'établissement. Ses deux grandes portes jumelles portaient la même attention que l'affiche. Ornée de gravures particulière, elle séparaient deux mondes bien distincts; celui de la rue et celui des riches.

Poussée, la barrière de bois massif cédait et Terria pénétrait dans cette voûte aux trésors. Elle jeta un regard rapide, mais précis afin d'obtenir immédiatement l'information qu'elle recherchait. Le pub était remplit de plusieurs types de clientèle, des groupes d'hommes, des couples amateurs, des couples inventés pour une nuit et son public cible; des âmes seules. Comment elle le savait? Elle pouvait le deviner à leur choix de place, mais aussi au regard que ceux-ci renvoyait. Leur attention n'était pas fixée vers une autre personne, c'était un regard qui cherchait à s'échapper de la solitude. Il fallait croire que la grosseur de la bourse d'une personne n'était pas liée à son bonheur.

Mais c'est elle qui allait pouvoir lui permettre de rejoindre ce bonheur cette nuit était d'avis Terria.

Dans cette attaque, tout était pensé. Terria avait donné volume à ses cheveux et choisie l'une de ses robes les plus provocatrice. Elle voulait renvoyer le bon message le plus clairement possible afin de faire rêver ses clients potentiels aux plaisirs de la luxure. Il ne fallait pas croire ici qu'il était son métier, seulement que c'était le parfait moyen de développer son réseau de contact et de négocier, car sa profession demeurait femme d'affaire.

L'un des profil recherchés siégeait au bar. Les deux verres vides qui traînaient à côté de lui révélaient son désespoir et son niveau de réceptivité. Bien que l'homme ne répondait pas aux standard de beauté, celui-ci dégageait la forte odeur de la richesse. De par son chapeau de cuir finement brodé déposé sur le comptoir, de son veston de coton bleu impérial ainsi que tous les accessoires forgés en or qui le recouvrait. Ses épaulettes et ses médailles racontaient ses prouesses et son rang.

Un militaire! Un corps toujours en santé et fort. Dommage que le ciel ne t'ai pas gratifié d'un soupçon de la divinité de la beauté.

Approchant d'un pas rassurée sa proie, Terria vint glisser sa main dans le dos du soldat d'Ashnard pour attirer son attention et apporter un premier point de contact. Surpris, l'homme se retourna maladroitement. Fort d'expérience, il ne pouvait contrer parfaitement l'alcool et son effet sur le corps. Terria détectait un ralentissement propre à la consommation de ce venin populaire.

- « Bonjour chéri. » Glissa-t-elle en murmure près de son oreille.

La surprise de l'homme se prolongeait alors qu'il dévisageait sa nouvelle voisine. Passant en revue l'offre de la tête à la poitrine où il s'arrêta, sa civilité et son rang le ramena à la conversation.

- « Bon. Bonjour. » répondit-il timidement.

L'incompréhension que renvoyait son regard en disait long sur sa confiance. À quelque moments discrets, celui-ci avait jeté quelques coups d’œil autour, mine de chercher un responsable ou de s'assurer de la véridicité de la situation. Mais en vain, il avait continué à fixer Terria, non pas d'un façon inconfortable, mais comme délivrance.

La conversation avait suivit son cours tel que prévu. L'homme lui avait donné son nom et un bref aperçu de ce qu'il faisait dans la vie. Paulin était le type de soldat à ne pas se poser trop de question. C'était possiblement ce qui avait causé sa perte ce soir, plus tard.

S'échappant de la proximité des autres, les deux amants d'un soir s'étaient réfugiés chez Paulin. Il habitait un luxueux appartement dans le quartier des riches. En l'écoutant parler, Terria se demandait comment il avait pu accéder à cette richesse. Non pas que Paulin était un imposteur, mais plutôt que son réel rang n'était pas normalement récompensé de la sorte. Elle déduisit donc que Paulin avait dû avoir certaines connexions lui aussi ou encore exécuté une tâche extraordinaire pour s'être enrichit de la sorte. La seule chose est que cette activité n'avait manifestement pas été reconnue par l'État, car ses épaules auraient été davantage garnies. 

Cela ne dérangeait pas Terria, car elle-même comprenait que la fin justifiait les moyens. Aussi, avait-elle profité de celui-ci pour ajouter quelques accessoires de plus à sa collection. Le comportement de Paulin parlait davantage à la maison. C'était un homme dédié à son travail et à ses envies. Leur relation passionnel lui apprit que Paulin était plutôt du type soumis, ce qu'elle ne dédaignait pas tout haut. Renvoyant peu à peu la cruauté de son expérience passée, elle fit grimper Paulin au septième ciel avant que celui-ci rejoigne les cieux.

Un peu après leurs ébats, Terria coulait l'eau chaude de la baignoire afin de profiter encore d'un bon moment avec sa nouvelle source de revenu lorsqu'elle entendit un cri sourd. Alors qu'elle revenait dans la chambre principale, elle vit une silhouette féminine se relever sur le lit. Terria pensa immédiatement à un vampire, mais la queue lui renvoyait vite fait une information contraire.

- « Une Terranide ? » fit Terria curieuse devant la créature.

La terranide portait une armure seule. Ses mains et son corps semblait être ses seules armes. La satisfaction que dégageait la nouvelle invitée de l'histoire envers le cadavre frais répondit à la prochaine question de Terria.

- « Beau travail. Vous êtes libres pour un boulot? »

2
La bougie aidée de la lune éclairaient le pupitre de bois ouvragé où se trouvaient une lettre ainsi qu'un petit couteau fin. Déposant son contenu après l'avoir porté à son attention, Terria arborait un sourire satisfaisant. La fenêtre était légèrement entrouverte et faisait danser la flamme solitaire. Dans le ciel de la nuit, les anges noirs, volée de corbeaux, apportaient pour elle un bon présage. Assise sur une chaise de bureau confortable, Terria lassa sa tête pendre vers l'arrière amusée, mais surtout heureuse de sa découverte.

Un sauveur, âme de bonté et de bienveillance; Lamnard.

C'était le portrait craché du promis, un messie que tous les esclaves rêvaient. Amara avait déjà cru en lui lorsqu'elle était jeune, en cette foi d'un chevalier qui viendrait la délivrer, elle et toute sa famille des mains de son maître impitoyable. Mais la dure réalité l'avait rattrapé et ce ne fut qu'en saisissant cette cruelle compréhension qu'elle avait sortit des filets de la servitude. C'est pourquoi elle avait renié cette pensée de l'apôtre. Fervente de la méritocratie, elle était une endurcie du système et elle comprenait la nécessité de ces ressources pour les riches. L'exploitation des faibles était nécessaire pour la survie et surtout, pour leur propre survie.

Un homme qui a fait ses preuves.

Quoi qu'il en soit, Terria avait entendu courir la rumeur par ses contacts, d'une révolte réussite en contrées du Chaos. Elle avait déployé quelques unes de ses ressources en plus de participer à la collecte d'information. Finalement, un peu après le souper, elle avait reçu une lettre de son informant. Ainsi avait-elle été mise au courant de ce Lamnard. Grand leader d'un petit groupe de révolutionnaires, Lamnard menait ses opérations avec succès. Sa plus récente conquête est ce qui avait permit à Terria de mettre le doigt sur lui.

Lamnard, Lamndard. Si ta justice est ta motivation, où est ta limite?

N'ayant eu qu'une très brève description physique de sa prochaine proie, Terria l'imagina musclé et grand, comme tout chef respectable. C'est avec cette question qu'elle se coucha ce soir là avant de partir à sa rencontre dès l'aube. Dans ses rêves, elles dessinait des portraits et imaginait comment elle le rencontrerait. Elle avait un plan, elle avait un projet pour lui.

Alors que les premiers rayons du soleil venaient caresser le pelage équestre de sa monture, Terria emboîtait le pas vers le village de Dortogne. Armée de son charme et d'une proposition, les bagages de Terria étaient légers afin de lui permettre d'atteindre sa destination plus tard en début de soirée. Si elle était chanceuse, l'armée d'Ashnard avait d'autres chats à fouetter et la taille du village ne leur était sans importance. Ayant fait ses recherches, seul quelques bourgeois y habitaient. Personne de la noblesse n'avait alors été visée par cette attaque.

Le chemin vers le village de Dortogne la fit traverser des routes peu empruntées. C'est cette difficulté qui ajoutait temps à son voyage. La route cahoteuse par endroit devait être parcouru avec attention. Par ailleurs, ne maîtrisant pas la conduite à cheval, Terria eu certains inconforts et moments où elle dû ralentir le rythme afin de garder le contrôle. Cependant, cette journée à dos de cheval fut très enrichissante pour son apprentissage en la matière.

Au final, ici comme au lit, il s'agit de bien recevoir les coups, comprit-elle.

Les heures s'écoulèrent et le soleil se fatiguait. C'est à ce moment que Terria vit se dessiner le village de Dortogne. Entourée de champs, elle comptait toutefois un bon nombre de maisons et de plus grosses résidences. Les plus remarquables étaient ces structures de pierre semblable à de petits forts stylisés. Elle devait y loger les plus riches. Se fiant à ses connaissances, c'était surement là que se reposait Lamnard après son attaque réussit. Le village, bien qu'humble, devait compter près de deux milers d'habitant si l'on se fiait à sa grosseur.

À son entrée, un petit groupe de civil armés montaient la garde. Il s'agissait surement de sympathisant à la cause qui avaient pris les armes. Leur posture ne reflétait en aucun point celle des soldats ni des hommes expérimentés. De plus, Terria se doutait bien qu'elle allait se faire embêter par ceux-ci afin de pouvoir procéder à l'intérieur. Ainsi, pensa-t-elle aller droit au but. Ces petites âmes ne lui était d'aucun intérêt. S'arrêtant avant la rencontre destinée, elle débarqua de son cheval afin de poser le pied à terre après toute cette course. Le premier pas était lourd, car elle avait passé la journée à encaisser le mouvement de l'animal. Mais fidèle à son expertise, elle avait fait en sorte de diminuer l'impact de ce dernier. Le deuxième pas était plus sur et au troisième, la marche revenait à sa parade habituelle.

Terria retira son chapeau qui avait su protéger ses cheveux de la terre soulevée par la course et sa cape qui préservait ses habits. Enfin, apparaissait-elle en toute élégance devant ces hommes. Elle savait que l'apparence était important pour démontrer son influence, c'est pourquoi elle avait prit ces soins avant son départ. Comme de fait, les paysans s'étant inventés garde furent surpris et très attentif à sa demande. Si bien que pas un mot ne fut prononcé avant qu'elle n'ouvre la bouche.

- « Je suis ici pour rencontrer Lamnard. Apportez-moi à lui et donnez à boire à mon cheval. Je suis Miss Terria. »
 

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Dictature d'Ashnard / Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: vendredi 19 janvier 2018, 14:32:08 »
Ouvert 25 ans plus tôt, le Café du Triomphe était un salon littéraire plutôt étroit, mais qui avait su attirer une clientèle des plus raffinées. Le bouche à oreille lui avait permit de se constituer une clientèle d'élites, mais également de curieux et d'amateurs. Le caractère secret de la perle lui permettait d'éviter les foules et les heures de rush. Ainsi soit-il, toute personne qui y entrait pouvait se trouver un siège qu'elle jugeait confortable et était alors aussitôt servie. L'ambiance détendue et l'atmosphère élitique faisait de cet endroit un excellent lieu de repos et de détente côtoyé par les mieux nantis.

C'est ce qui attira le regard de Miss Terria. Debout sur le coin de la rue, elle faisait mine de s'intéresser aux vitrines alors qu'elle guettait les alentours pour une nuit au chaud. Loin de là à s'adonner à la chose comme profession, elle espérait se tenir à l’abri du mauvais temps qui s'annonçait. C'est alors qu'elle remarqua, dans cette ruelle détachée de la place principale, une porte d'un bleu royal qui s'ouvrait de temps a autres pour laisser entrer et sortir des messieurs dont certain tissus reflétaient le soleil. C'est un éclat rendu par un bijou porté, un bouton métallique ou un tissus précieux qui lui avait permit de remarquer ceci une heure plus tôt.

Se doutant qu'elle trouverait possiblement l'objet de son désir derrière cette porte, elle se glissa du marché en direction de cette devanture. La charnière se soumit sans chigner et Miss Terria pénétra dans ce lieux. Un grand escalier de bois massif se tenait tout juste derrière la porte.

Tien, un commerce à l'étage? pensa-t-elle

Elle gravit les marches, pensant déjà à sa démarche pour impressionner dès son entrée. Ce fut en haut qu'elle constata la nature de l'endroit. Étagères débordant de savoir, fauteuils, tables basses et surtout des puits de lumières permettait à ce salon littéraire d'accueillir en bonne et du forme ses clients des plus sophistiqués. Ainsi, fut-elle surprise, mais surtout impressionnée par la beauté de ce petit café. La clientèle nonchalante vint ébranler pendant un instant sa confiance. Elle parcouru rapidement son environnement, tout le monde était occupé à sa besogne. Poser son appât allait être plus difficile que prévu. Mais qu’en savait-elle ? C’était ici sa première tentative depuis sa libération et aucune envie de revenir auprès de M. Dallaire se loger à son service. Cette vie était derrière elle et c’est avec cela en tête qu’elle fit son premier pas vers l’avant dans l’enseigne.
Ayant encore quelque pièces dans sa bourse, elle s’exécuta comme le dicton : «À Ashnard, fais comme les Ashnardiens.» Elle alla s’installer dans un coin au fond de la salle afin de profiter d’une vue d’ensemble. Rapidement, elle vu un menu déposé sur la table basse en face d’elle. Une jolie serveuse lui souhaitait la bienvenue. Émue par ce geste bénin, Miss Terria pris dans ses mains le mince feuillet qu’elle examina rapidement.

Un café ? Non, l’haleine en souffrirait. Un petit gâteau ? Oui, cela est envisageable. Possibilité de le manger vite ou lentement selon la situation.
La sucrerie fut alors aussitôt commandée et servit très rapidement. Pour le coût, Miss Terria ne trouvait pas que le poids en valait l’argent. Mieux valait se faire offrir à manger que de payer. Elle attendit, se concentra sur autre chose, visant à faire oublier l’étape du paiement.
 
À la fin ou par transaction ?

Voyant la serveuse partir, elle sentie un dose de soulagement. Soit elle avait oublié ou encore devait-elle se préparer à se départir de ses pièces plus tard. N’ayant eu besoin pendant sa vie d’esclave d’argent, elle avait encore du mal à budgéter et éprouvait un malais à chaque sous soutiré de sa bourse.

Bon, en marche. Se dit-elle

Elle passa les mains dans ses cheveux pour les déposes sur sa poitrine, accentuant encore plus la vultuosité de la chose. N’ayant pas la prétention d’attirer toute l’attention, elle se réserva d’autres atouts pour la suite. Tout client qui passait son regard dans son coin allait sans nul doute la remarquer. Aussi, profitait-elle de sa position pour observer plus attentivement les personnes et la place. Quelques clients étaient assis seuls sur des fauteuils doubles, ce qui s’avérait être une excellente occasion d’aller à la rencontre de gens. Malgré l’ambiance de détente, il y avait tout de même de la conversation par ici et là, des groupes de gens ou des amis qui utilisaient la place pour bavarder de philosophie et d’autres sujets nobles.
Des bruits de pas montaient du coin des marches, un nouveau client faisait son apparition. Sensiblement un habitué, celui-ci alla directement vers un fauteuil double.

Excellent.

Cela lui laissait alors l’occasion d’aller à sa rencontre. C’est alors que…

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Le coin du chalant / Recherche de cobayes pour aventures
« le: jeudi 18 janvier 2018, 21:47:53 »
Bonjour à tous,

Vous désirez entreprendre un RP actif et participer à un échange continu? Vous êtes au bon endroit.

Voici Terria! Une esclave affranchie qui souhaite s’incruster dans la haute sphère de la société Ashgardienne et elle n'hésitera pas à utiliser les moyens à sa disposition afin d'y parvenir, . Chose certaine, elle doit se faire des alliés! C'est ici que vous entrez en jeu.

Si vous êtes :
-Un dirigeant,
-Un riche marchand,
-Un noble,
-Vous possédez des ressources rares,
-Vous êtes un homme fort
-Vous avec un talent particulier (vol, assassinat, espionnage, infiltration) ou encore
-Un être tout aussi avide que Terria d'accéder au pouvoir...

...Vous êtes donc parfait pour un RP!

Terria est à Terra, plus précisément dans Ashnard et ses environs. Libre depuis quelques temps seulement, elle visite les bars et autres lieux de rencontre. Toutefois, il lui est possible d'être un peu partout dans la ville, à votre convenance.

Des intéressés ?

Vous pouvez consulter la fiche ici

Au plaisir !

 ;)

5
Prélude / Mystère, nouvelle apparition. À qui le plaisir ? [Valicidée !]
« le: jeudi 18 janvier 2018, 06:47:38 »
Identité : Miss Terria (Nom qu'elle donne)/ Amara (Nom réel qu'elle garde pour soi)
Âge : 29
Sexe : Femme
Race : Humaine
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique :
Un teint de peau rosé et clair, cette prédatrice à la crinière rousse possède un regard lascif cachant le froid de son esprit calculateur.
Parfois, on voit apparaître sur son visage, un point déposé par l’illusion des cosmétiques, simulant un grain de beauté afin de souligner le regard ou encore de pendre les hommes à ses lèvres.
Une voluptueuse poitrine siège de par sa proéminence sur le décolleté de ce corps finement découpé à la taille, débordant toujours de l’endroit où on le confine. La rondeur des courbes féminines s'inscrivent dans une allure de bonne santé et d'un maintien d'une silhouette digne d'un fantasme.
Son visage se dessine d’une lèvre supérieure relevée, un petit nez droit pointant, des paupières lourdes de rêve et une chevelure langoureuse qui se pendent jusqu’au-dessus de son derrière. La grande majorité du temps, une ligne noire bien tracée couvre son regard pour accentuer l’effet de ses cils longs.
Un dos tracé au rouge de cuirs, parcoure le haut des fesses jusqu'en dessous des omoplates. Les marques peuvent se lire au toucher et racontent l’histoire de sa jeunesse.
Robe et tissus mettant soigneusement en valeur ses plus grands atouts féminins et une vulnérabilité piège au cou et épaules dénudées. Accents mit avec accessoire pour compenser le fessier de madame, qui n'est pas assez grand à son goût sous ses robes.

Caractère :
Manipulatrice et calculatrice, elle sait lire le cœur des hommes comme un livre ouvert. Séductrice, elle se piège parfois à son propre jeu et gare à vous, car elle est mauvaise perdante et rancunière.
Elle possède une manie pour la perfection et le contrôle, de son toc, elle aligne toujours ses couverts et replace les cadres.
Qualité incroyable, elle sait résister à l'ivresse des liqueurs et boissons toxiques les plus courantes. Celles-ci provoquent toutefois chez elle un réveil de ses sens et le goût de la chair dans sa passion la plus pure.
Elle reconnait un défaut à son corps, ses fesses petites contrairement à sa sa poitrine abondante qu'elle chérit.
Adore les personnes influentes, les parfums, la naïveté, les bleuets, l'alcool, les intrigues et le pouvoir.
Déteste perdre, le langage de rue, les faibles, la magie, l'intimidation, les relations à long terme et se départir de son argent.
L'obtention de titre, pouvoir, argent. En bref, devenir une vraie noble respectée, mais avant tout crainte. Et possiblement, dans ses rêves les plus fous, un homme qui saura dominer sa nature évasive pour les relations à long terme.
Observatrice, elle tente d'éviter les ennuis et cherche à se confronter au challenge. Elle refusera un service d'une personne qu'elle n'estime pas être à la hauteur, faute d'obtenir le jugement de «snobe».
Elle se place plutôt en retrait, laissant les autres parler et n'intervient qu'aux moments opportuns. Elle ne refusera jamais de rendre service pour obtenir des faveurs ou faire bonne impression. Aider les autres dans le besoin ne l'intéresse seulement que si cela peut servir à son dessein.

Histoire :
Née Ashnardienne, mais fille d'esclaves, elle fut également l'une de ceux-ci dans son enfance. Ayant déjà perdue deux plutôt qu'une de ses sœurs à l'Empereur, elle fut épargnée étant la plus jeune et n'ayant pas l'âge convenu par la loi. La perte de ses soeurs, qui se suicidèrent peu de temps après, la laissa dans un esprit de révolte et de solitude profonde. La mort de ses sœurs qu’elle refusait de laisser à la logique de la loi, vint lui apporter une opinion amère de ses parents, qu’elle tint comme responsables.

Elle fut pendant plusieurs années ramenée à ses sens à l'aide de coups de fouets martelant son dos sous les pleurs et la terreur des autres. Elle apprit ici que le pouvoir chevauchait un étroit lien avec l'idée d'inspirer la peur, mais que ce que les hommes convoitaient le plus était d’accéder à un idéal de rêve. Ainsi, c’est sur cette révélation qu’elle mit les prochaines années de sa puberté et croissance au travail. La compréhension de sa position et des rouages de ce qu'elle avait compris de la société lui permit d'inscrire un plan pour sa liberté et son nouveau désir pour le pouvoir.

Son physique impressionnant, mais surtout sa compréhension d'une image forte et séduisante lui permit de se faire remarquer des autres esclaves et de pouvoir accéder à la chambre de son maître. Pratiquant ses airs, réactions et moindres gestes pour révéler un air «pinup», elle se transforma en objet de désir afin de s’assurer les bonnes grâces de celui qui la possédait. Ceci lui allait lui permettre d'échapper à son sombre destin et de se tailler une place auprès des hommes libres.

Ayant réussi à améliorer son sort grâce à son travail acharné sur le travail de la tentation, elle se retrouva pour une première fois dans une position où elle pouvait accéder à la prochaine étape de son plan qui s’étendait sur plusieurs années. La nuit, après avoir rassasié son maître de ses désirs les plus grotesques et sadiques, celui-ci se laissait rapidement tomber dans les bras de Morphée; lui permettant ainsi de fouiller les alentours et de concocter la suite de son plan. Son maître avait la fâcheuse habitude de se laisser traîner. C’est ainsi qu’elle eux accès à son courrier, lettres reçus et en rédaction. Se livrant à un travail de moine en secret à tous les soirs où elle montait à la chambre, elle parcouru les écrits de son maître, découvrant ainsi la dimension politique de la noblesse.

Sa nouvelle besogne en tant qu’esclave lui permit d’accéder à ses premières possessions d’objets de désirs afin d’aider sa tâche. Des robes de seconde main, des restes de maquillage et des parfums de basse gamme lui paraissaient comme étant un affranchissement important vers son but ultime.

Son maître, M. De Guignes, était très bavard, mais surtout vaniteux. La flatterie à son égard ne faisait qu’accentuer sa concupiscence. Son erreur fut de de jumeler Amara et alcool. De façon surprenante, l’eau de vie ne l’affectait pas autant que son maître ou du moins, n’avait pas le même effet. Celui-ci était pourtant un homme fort costaud et l’espace que lui laissait les plis de sa peau aurait dû lui servit de résistance. Un cocktail répété à tous les soirs lia, jusque dans ses gènes, boisson et passion. Chaque gorgée ne faisant qu’accentuer une envie renouvelée pour l’accomplissement de la débauche passionnelle.

Les années d’écoulèrent et l’esclave devenue courtisane de son maître ne cessait d’espérer un meilleur futur. Ce fut un soir traditionnel, par un temps froid, qu’elle remarqua le nom de Frédéric Dallaire, son prochain sauveur, dans les lettres de son maître. Riche de profession marchande, son maître possédait plusieurs contacts et était sur le point d’accomplir ce qu’il qualifiait être la passe du siècle au détriment de la saine compétition. Un quasi-monopole qui découlerait d’un secret bien gardé et à l’abri de ses ennemis jurés. Il sommait et mettait en garde ses connaissances contre les dangers potentiels qu’il décrivait trop adroitement dans ses ébauches conservés à la façon d’un journal intime.

En connaissance de sa porte de sortie, elle accentua ses recherches pour subtiliser l’information à son maître. Usant de charmes, vin, mais surtout de son corps, elle parvint au bout de longues nuits à dérober un mot qui glissa, vulnérable hors des lèvres de celui qu’elle avait passé tant d’années à observer, écouter, servir, séduire et charmer.

Cependant, celui-ci découvrit la supercherie lors d’une soirée bien arrosée, et comme dans son enfance, tint à rappeler la bonne conduite à sa préférée. Seulement, son état d’ébriété lui permit de sauver sa tendre peau, la forçant toutefois à prendre la fuite.
C’est alors qu’elle se tourna vers l’épée de Damoclès de son maître, M. Dallaire, compétiteur direct de son maître. De façon aussi surprenante, son apprentissage pour l’envoûtement fut la clef de sa liberté, la porte vers M. Dallaire. Un échange passionnel, nouveau et différent, raviva sa flemme pour les hommes. Elle conclut d’un accord avec son nouveau contact pour sa liberté en l’échange de trahison. M. Dallaire s’occupa des rouages et accéda à la fortune de M. De Guignes.

Elle fut récompensée, une bourse, maigre comparativement à ce que M. Dallaire empocha. Toutefois, ceci lui était égal, mais elle avait fait miroiter le gain de l’accord se soustrayant pour être certaine de faire un bon coup. Mauvais calcul pensa-t-elle plus tard voyant tout l’argent qui profita à son associé. Toutefois, le marché avait été conclu et, craignant l’attachement avec ce  dernier, elle se contenta de sa part.

C’était fait, elle avait réussi au bout d'un accord avec l'ennemi de son maître, à obtenir l'objet de son désir; sa liberté. Mais ce ne fut longtemps qu'après l'obtention de celle-ci qu'elle se trouva maintenant devant un monde nouveau. À nouveau cette sensation de nue qui se fit sentir, son passé resurgissant; elle devait s'habiller. Non pas seulement de robes ou tissus, mais aussi d'argent, de ressources, de contacts, mais surtout de pouvoir. Seul le pouvoir pourrait lui permettre de combler ce vide, en était-elle certaine.

Autre :
Résistance à l'alcool, bien flexible, calcul mental rapide, excellence dans les tâches ménagères et grand répertoire d'énigmes.
Elle loge à l'hotel ou passe la nuit dans la chambre de sa conquête du soir. Connais le milieu des esclaves comme sa poche ainsi que le nom de certains nobles.

Comment avez-vous connu le forum ? À travers mon mari qui y est déjà inscrit.

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