Quand Silence éjacula pour la deuxième fois, cette fois à l'intérieur de la magicienne, un bien-être extrême l'envahit, si bien que cela ne l'embêtait même plus de laisser agir le Minotaure, qui, ravit, ôta son pagne superflu, même s'il frottait son volumineux membre déjà depuis un moment sur le visage de Magikya, il la retourna sur le ventre et commença à la prendre en lévrette, ses mains sur ses gros seins. Malgré l'écart entre la morphologie des Minotaures et des humaines, il semblait apprécier pleinement le coït fougueux auquel il se livrait. À ce moment-là, les Gnomes protestèrent, formèrent un cercle - leurs glands se touchaient, ce qui dégoûtait Silence - et lancèrent un peu de poudre magique au point où tous se frôlaient, avant de se reculer rapidement. Lentement prit forme un clone parfait de l'apprentie magicienne, encore plus érotiquement attirante que la vraie, qui si elle était excellente à violer, n'était pas consentante, ce qui était bien dommage.
Silence était face à la fausse Magikya en nuisette transparente diablement excitante, qui laissait transparaître deux seins énormes, ronds, fermes, sui semblaient d'un moelleux... L'idéal pour Silence qui recommençait à bander. Son regard redescendit encore jusqu'au vagin humide et dégoulinant de cyprine de l'illusion... Magnifique... À travers le fin vêtement, la jeune femme irréelle caressait l'un de ses seins , encore plus gros que ceux de la vraie, et insérait un doigt dans son vagin. Quand il ressortait, il était trempé. L'érection de Silence était à présent et pour la troisième fois à son paroxysme. Il s'approcha de la fausse jeune femme et caressa son clitoris. Il avait bien une idée... Il appela le Minotaure qui commençait à faire sérieusement hurler Magikya et lui demanda de s'arrêter. La bête parut profondément déçue mais obtempéra.
- Tu n'as qu'à demander aux nabots de t'en faire une autre... moi, j'ai toujours rêve d'en prendre deux en même temps...
Il s'approcha de Magikya, qui n'avait même pas eu le temps et qui essayait de se redresser sur ses bras, mais il recommença à la chevaucher, la prenant avidement par derrière. Sur ses consignes, la clone, elle, se déplaça et alla se mettre sur la magicienne. Elle offrait donc son entrejambe au mercenaire, et essayant d'embrasser la jeune fille qui, épuisée après tant de sévices, se laissa faire. Silence labourait le vagin de la vraie, tandis qu'il léchait et mordillait celui de la fausse, excité encore plus par ces deux arrières-trains qui se secouaient devant lui et ces deux beautés qui s'embrassaient langoureusement sous ses yeux. Incapable de tenir trop longtemps après tant de plaisir et d'excitation, il sortit son membre de l'antre pas si secrète que ça de Magikya et éjacula sur les deux paires de fesses qui lui faisaient face en poussant un râle de plaisir. Sa raison d'être était maintenant sur ses fesses, donc la fausse magicienne disparut comme elle était venue.
Le Capitaine des Griffes d'Ammoth fit signe à l'homme-taureau qu'il pouvait finir ce qu'il avait commencé. La bête terriblement frustrée eut un râle de désespoir. Car voyant qu'il n'avait pas le droit à l'une de ces femelles, il avait décidé de se finir tout seul en regardant la scène, et avait donc éjaculé en même temps que le mercenaire, mais en beaucoup plus grande quantité. Il aurait pu remplir tout une chope de bière... Mais ces bêtes avaient une endurance hors du commun, aussi son pénis se remit immédiatement en érection, et il recommença à violer la jeune fille. Elle risquait peut-être de mourir d'épuisement.
- On dit que des... Démons violeurs... Vivent dans la forêt non loin d'ici... Que leurs connaissances et leurs capacités en matière de sexe sont du jamais vu... On devrait peut-être la laisser s'enfuir après, et la suivre à distance... Qu'en dites-vous... ?
- Excellente idée... Ça pourrait remettre ma bête d'aplomb...
Pendant encore un moment, le Minotaure pénétra la magicienne jusqu'à l'orgasme, puis les deux violeurs la portèrent jusqu'à une autre pièce (elle avait perdu connaissance), la nettoyèrent, la rhabillèrent, et puis la déposèrent hors de la cabane, dos au mur, face à l'orée de la forêt. À son réveil, elle serait sans doute paniquée, et elle tenterait vraisemblablement d'entrer dans les bois. Et c'est là qu'ils la suivraient pour se rincer l'oeil, encore et toujours...