Sans le savoir, Yuko venait de faire sortir la facette la plus tourmentée et folle de sa nouvelle esclave. Les mots : "Non... non... et non! Tu es une vilaine petite chienne, Luna! [...] Halala, moi qui pensais avoir une chienne obéissante, tu me déçois Luna... terriblement..." lui firent l'effet d'une bombe atomique larguée dans un quartier de marchands de porcelaine. Luna n'avait qu'une seule réelle peur, décevoir et par extension être de nouveau jetée dans sa cage des mois durant. L'esclave pleurait, de vraies larmes cette fois, de peur, de tristesse et les pensées se bousculaient dans sa tête :
~ Non ... Je ... Je ne voulais pas maîtresse ... Pas la cage, pitié ! Je ne le ferais plus ! Je suis une chienne ! ... En fait je n'ai jamais été humaine ... Oui ! Voila c'est ça ! C'était un rêve, j'ai toujours rêvé d'être humaine mais, je suis une chienne ... Celle que j’appelai ma grande sœur était en fait ma maîtresse. Je me rappelle quand elle allait me promener dans le parc ... Quelle humaine accepterait d'être promenée ? Ah ah ... Ah ah ... Oui c'est ça, j'ai toujours été une chienne ! J'ai toujours mangéde la pâtée, c'est bon la pâtée ... Quand j'étais sage j'avais droit à un morceau de steak. Et ces créatures à tentacules ... Heu ... Je sais pas ... Ah si ! Elles voyaient bien que j'étais une chienne ! Donc elles ont voulu me prévenir que je n'étais pas humaine, comme elles sont gentilles ... Personne ne traiterait une humaine de la sorte après tout, c'est impensable, non, non, non ! NON NON NON NON NON ! CA NE COLLE PAS !!! Oui les créatures n'existaient pas ... J'ai inventé, pardon ... Pardon qui au fait ? Oh je m'en fous ! Les créatures ... Oui ! Inventées ! Heu ... Non ... CE N’ÉTAIT PAS DES CRÉATURES !!! Voila, voila, voila ... Tout s'explique ! C'était quoi déjà ? C'était, c'était ... C'était des chiens, oui voila des chiens, les chiens de ma meute, il y avait Tooti, Poopi, Looli, Kooki et Jean-Charles, oui c'est bien Jean-Charles, Jean-Charles était le chef et il avait une très très grosse bite. C'est pour ça que je me rappelle bien de Jean-Charles ! J'étais la seule chienne du groupe donc forcément j'ai pris grave cher. De toute façon j'ai toujours été une sale petite salope ... Et la bite de Jean-Charles, oh mon Dieu ... Oui voila, c'est ça ! Et après ils m'ont capturée, j'ai été à la SPA ! Ils m'ont pas très bien traitée d'ailleurs, si j'étais humaine je porterais plainte mais ... Je suis pas humaine donc je m'en fous ! Je suis restée longtemps dans cette cage, j'aimais pas la cage. Il faisait froid, des fois j'avais très faim, oui la cage c'était pas bien ! Et puis on m'a envoyée chez les maîtresses, j'adore mes maîtresses, elles sont si gentilles d'avoir récupérée une sale bâtarde comme moi. Je dois remercier les maîtresses et faire tout ce qu'elles me demandent ! Oui, oui, oui ! Qu'est ce que je devais faire déjà ? "Une chienne, ça ne parle pas voyons! Une chienne, ça dit Waf, wouf, ça grogne, ça tire la langue, ça fait la belle mais ça ne parle pas!" Ah oui c'est vrai, j'ai rendu la maîtresse triste, je ne dois plus jamais parler, je dois aboyer, grogner, tirer la langue et faire la belle. Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je veux être une chienne ! Je suis une chienne ! Oui voila je suis une chienne ! Je suis une ... NON ! WOUF WOUF !!! WOUF !!! GRRRRR !!! WOUF !!! ~
Pendant ce temps mon cerveau s'était dissocié de mon corps, j’exécutais les ordres machinalement, sans réfléchir, sans penser à ce que je faisais, j’exécutais bêtement les ordres. J'avais gémi comme une petite perverse à chaque coup sur mes fesses, j'avais malheureusement dis "merci" au lieu de "wouf" mais je n'y pouvais pas grand chose. D'ailleurs la fessée suivante fut plus forte que les autres. Et comme ordonné je m'étais masturbée comme si ma vie en dépendait, bougeant mes petites fesses pour faire plaisir à l'appareil photo. J'avais jouis d'une façon absolument pitoyable, relâchant un véritable torrent de cyprine sur mes genoux, le tout immortalisé par une photo prise juste un bon moment. J'ai repris conscience à ce moment là, ma main était toujours plantée entre mes cuisses, toute poisseuse et j'avais bavé aussi.
Puis j'ai entendue la voix de maîtresse Yuka qui m'ordonnait d'aller m'excuser auprès de sa sœur. Je me suis relevée avec difficulté et je me suis précipité vers Yuko pour lui lécher la figure en poussant de petits :
"Wouf ! Wouf !"
Mon regard n'était plus celui d'une fille brisée, c'était celui d'une chienne affectueuse éprouvant un amour sans bornes pour ses maîtresses. J'avais réussi à devenir réellement une chienne, j'étais absolument sûre d'être une véritable chienne, ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. Yuko m'a regardée bizarrement, comme si elle venait de voir quelque chose de surprenant. Puis je suis retournée vers Yuka pour faire la belle parce que je voulais bien une bonne douche avec les maîtresses. Et elle aussi me regarda bizarrement. Mais je n'ai pas compris pourquoi. Je continuais de faire la belle en tirant la langue, attendant un signe de ma maîtresse comme quoi je pouvais arrêter.