Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une visite médicale réglementaire (?) [PV Mélanie Rosenberg]

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Jack Taylor

Humain(e)

Jack Taylor était en retard; il avait rendez-vous avec l’infirmière du lycée pour 11h30 et il était 12h00 passées. L’agent Taylor, prenant sa couverture très au sérieux, avait en effet passé une bonne partie de la matinée à regarder le trombinoscope de ses futurs élèves afin de le mémoriser du mieux possible. Alors qu’il arpentait les couloirs à la recherche de l’infirmerie, il avisa un lycéen taciturne. 

« Hey Takada ! »

Le gamin sursauta et se retourna vivement vers Jack, avant de froncer les sourcils; il ne le connaissait ni d’Eve ni d’Adam, et devait sûrement se demander ce que lui voulait cet américain en costume bleu marine.

« Oui monsieur, je peux vous aider ? »

Jack s’approcha tranquillement de l’élève, un sourire paisible aux lèvres, puis lui posa une main sur l’épaule. Il dominait Takada d’une bonne trentaine de centimètres et dut se pencher légèrement pour s’adresser à lui. Son japonais n’étant pas encore opérationnel, il préféra s’adresser à lui en anglais, en articulant soigneusement pour que le gamin puisse le comprendre.

« Je m’appelle Jack Taylor, je suis le professeur de français et je crois bien avoir vu ton nom dans la liste de ceux qui ont choisi mon option. Tu verras ça va être super, je vais vous faire lire du Hugo ! »

Jack se redressa et soupira.

« Enfin pour l’instant, il faut que je trouve cette fichue infirmerie… C’est plutôt grand, votre bahut. »

Les yeux écarquillés, Takada semblait aux abois. Cependant il se reprit et, dans un anglais des plus pitoyable, lui indiqua l’endroit qu’il cherchait.

« You teurn ane de leffe ane teïke de … (il mima un escalier à l’aide de ses mains) ane it his de feurst dor ane de rite. »

« Je te remercie petit, », lui répondit Jack, en japonais, avant de s’engouffrer en courant dans lesdits escaliers. Une fois devant la porte de l’infirmerie, l’agent Taylor frappa deux coups avant d’ouvrir la porte et de pénétrer dans l’antichambre de l’infirmerie: celle-ci était on ne peut plus vide. Plutôt que de s’asseoir, Jack préféra rester debout; il s’attendait à ce que l’infirmière débarque d’un instant à l’autre, et commença à arpenter la petite pièce d’un bout à l’autre, les mains fourrées dans ses poches. Il se demandait bien à quoi pouvait bien ressembler l’infirmière. Il l’imaginait petite, menue et affable, la japonaise typique en somme.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Mélanie releva nonchalamment la tête, en direction de la pendule apposée sur son mur. 12H00. Elle soupira longuement. Assise sur son siège, dans son habituel tailleur indigo, la jeune femme tapotait nerveusement ses ongles sur son bureau. Cela faisait bien plus d'une demi-heure qu'elle attendait, seule, son rendez-vous n'étant pas à l'heure. Elle releva à nouveau la tête. 12H01. Évidemment.

L'infirmière jura. D'un mot qui n'avait nullement sa place entre les lèvres d'une si séduisante jeune femme. Mais, voilà, elle était passablement irritée par l'absence de ce... Jack Taylor, dont le nom figurait sur le dossier posé en face d'elle. Non pas qu'elle aurait spécialement aimé le voir, mais elle était contrainte de finir son service avant de pouvoir rentrer chez elle, et il aurait déjà pu être terminé depuis une bonne trentaine de minutes ! Seulement, à cause de l'arrivé d'un nouveau professeur, elle était dans l'obligation de lui faire passé un test de routine, pour voir s'il n'y avait pas de soucis de santé particulièrement gênant. Parce que, bon, s'il fallait lui trouver un remplaçant toute les deux semaines... Elle avait donc ajouté un créneau d'une heure à son planning, de 11H30 à 12H30, pour pouvoir le recevoir. Malheureusement, ledit professeur n'était toujours pas là... et elle perdait patience.

Agacée, elle se leva et commença à faire les cents pas devant son bureau, le bruit de ses escarpins claquant contre le parquet résonnant légèrement dans la pièce. De longues minutes passèrent, durant lesquelles Mélanie fulminaient. Ce fut le tintement de la cloche, annonçant que la porte d'entré avait été ouverte, qui la fit s'arrêter sur place. L'infirmerie affichait clairement "Fermée", donc soit il s'agissait d'une urgence médicale, soit...

Elle se dirigea vers la salle d'attente, claquant furieusement le sol à chacun de ses pas, et se rendit compte qu'un homme attendait, dont la photo correspondait à celle du dossier. Elle l'interpella d'un ton sec, glacial.

" Jack Taylor, je présume ? "

Elle ajouta, tout aussi sèchement, sans lui laisser le temps de répondre, n'hésitant pas à lui couper la parole.

" Vous êtes en retard.... Suivez-moi. "

Elle l'emmena jusqu'à son bureau, en ouvrant la marche. Les yeux de l'homme ont ainsi eu l'occasion de détailler sans scrupule les courbes délicieuses de l'infirmière, et ses hanches qui se balançaient doucement à chacun de ses pas...

Rehaussant ses lunettes, elle invita Jack à s'asseoir, avant de faire de même. Elle ouvrit ensuite le dossier, avant de lui expliquer comment se déroulera la suite des évènements.

" Je suis censée, dans un premier temps, vérifier les détails de votre dossier médical, notamment concernant les vaccins, les antécédents médicaux, vos consommations de produits nocifs, d'éventuels activités à risque, et cætera... "

L'infirmière prit le dossier et le jeta négligemment devant lui, avant de poser un stylo dessus.

" Mais vous le ferez à ma place. Passez en revue les informations, et corrigez-les si elles s'avèrent erronées. "

Mélanie croisa les jambes et s'installa plus profondément sur son fauteuil, ses coudes sur les accoudoirs, les mains liées et posées sur ses cuisses. Elle ajouta ensuite, sur un ton un peu irritée, insistant ironiquement sur ses deux derniers mots.

" Tâchez de ne pas tarder, cette fois. "

Jack Taylor

Humain(e)

En voyant débarquer la plantureuse européenne, nul autre que Jack eût écarquillé les yeux de stupéfaction; mais l'agent Taylor n'était pas n'importe qui. Aussi accueillit-il Mélanie avec un sourire contrit du plus bel effet. Désolé, il l'était bien sûr, au moins un petit peu... Mais le fait d'avoir fait poireauter une aussi belle plante le ravissait au plus haut point. « Ca doit pas t’arriver souvent ça, ma belle… ! » songea-il, amusé. La jeune femme l’apostropha d’une voix peu amène et l’invita à le suivre, sans même lui laissez le temps de répondre. Foutrement contrariée la donzelle ! Un large sourire que l’infirmière ne pouvait pas voir éclaira le visage de Jack; cette petite semblait avoir un caractère bien trempé.

« Je suis vraiment navré », avança-il, sur un ton exagérément affecté, les yeux rivés sur les oscillations du postérieur de Mélanie. Réfrénant son envie de la saisir par les hanches et de la plaquer contre un mur, Jack pris son mal en patience; prendre une fille de force n’avait aucun intérêt à ses yeux, tant il aimait le challenge. Cette nana, elle se mériterait, se promit-il, alors qu’il s’assit en face de la jeune femme avec une nonchalance presque insultante. Lorsqu’elle lui balança son dossier médical, Jack haussa un sourcil, sans quitter l’infirmière des yeux. Mélanie semblait vraiment décidée à lui faire son numéro de femme-iceberg, il allait falloir ruser. Un léger sourire flottait à nouveau sur ses lèvres alors qu’il déchiffrait son dossier avec application. S’il ne se sentait pas encore assez sûr de lui pour le parler, Jack étudiait le japonais intensivement depuis plusieurs semaines et commençait à savoir le lire. Aussi n’eût-il aucun souci à le traduire et à constater que les informations qu’il contenait étaient exactes. Tenant toutefois à désarçonner la jeune femme, il releva ses yeux bruns vers elle, et l’interrogea en français.

« Je suis désolé mademoiselle, mais je ne suis pas sûr de comprendre ce que cette phrase signifie… »

L’accent de la jeune femme bien que gommé par de probables longues années de pratique du japonais n’avait pas échappé à Jack. Espérant lui décrocher un sourire, il referma soigneusement le dossier, posa le stylo sur ce dernier et se laisser aller contre le dossier de sa chaise, observant les mains croisées de la jeune femme, qu’elle avait fort jolies. Jack avait toujours aimé les belles mains. Celles de Mélanie, il les imaginait assez facilement autour de son cou, en train de griffer son torse ou de presser sa queue.

 « Je plaisante, c’était juste pour voir si vous pouviez être encore plus énervée; vous êtes charmante quand vous froncez les sourcils », lâcha-il finalement avec un sourire désarmant.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Installée sur son fauteuil, moelleux et fait d'un cuir noir, la posture de Mélanie se voulait autoritaire, presque impérieuse. Dardant son regard sur l'homme, un regard froid et perçant dans lequel on percevait clairement son irritation, elle ne le quittait pas des yeux durant toute la durée de sa lecture. Elle n'était pas si furieuse que ça, mais un peu quand même. Et elle se demandait surtout pourquoi est-ce qu'il était arrivé avec un tel retard ! Peut-être avait-il eu un empêchement, ce qui pouvait arrivé après tout... mais il aurait pu prévenir ! Ou alors était-ce simplement qu'il se fichait complètement du travail de l'infirmière. Elle grimaça intérieurement. C'était un manque de respect, un mépris, que son égo avait bien du mal à supporter. Et ce qui était sûr, c'était que le nouvel arrivant n'allait certainement pas pouvoir s'en tirer comme ça, oh que non.

" Je suis désolé mademoiselle, mais je ne suis pas sûr de comprendre ce que cette phrase signifie… "

Ces paroles l'extirpèrent de ses pensées. Elle resta stupéfaite, ses yeux s'écarquillèrent légèrement, et de longues secondes s'écoulèrent avant qu'elle ne reprennent le contrôle de ses émotions et ne puissent réagir. Comment savait-il qu'elle parlait français ? Elle n'en avait pas vraiment parlé, à qui que ce soit, et son faible accent ne l'avait encore jamais trahie... Prise au dépourvue, elle ne sut trop que répondre, et s'apprêtait à jeter un oeil à cette phrase lorsque l'américain referma le dossier. Elle ne s'était pas encore levée, et remercia le destin que cela ne soit pas arrivée. S'il avait eu le culot de le refermer sous son nez, Jack aurait très certainement passé un mauvais quart d'heure. Perplexe, elle écouta son explication.

" Je plaisante, c’était juste pour voir si vous pouviez être encore plus énervée; vous êtes charmante quand vous froncez les sourcils. "

Il avait lâché ça aussi naturellement que s'il avait causé météo, le sourire narquois en plus. Et Mélanie n'en croyait pas ses oreilles. Il était en train de la provoquer ? D'apparence calme, elle n'en paraissait rien, mais au fond d'elle même, l'infirmière bouillonnait de colère. En plus de l'avoir faite poireauter pendant une demi heure, il se permettait de la narguer !? Si elle s'écoutait, Mélanie se serait levée et l'aurait giflé sans aucune retenue. Ce qu'elle aurait fait sans hésiter, s'ils avaient été dans un bar, mais ce n'était pas une attitude à adopter au travail... Peut-être pensait-il que le compliment sous-jacents allait apaiser son appréhension, et que le sourire qui illuminait le visage de ce bel homme -car, elle devait bien le reconnaitre, Mélanie le trouvait plutôt séduisant- l'aiderait à se faire pardonner ? C'eut été possible... mais ce ne fut pas le cas.

" Votre humour insipide ne mérite pas même le moindre haussement de sourcil. " - lâcha-t-elle, avec la froideur qui ne la quittait pas depuis le début de la rencontre.

" Ni votre charme... " - ne put-elle s'empêcher d'ajouter, moqueuse, esquissant un très léger sourire, qui s'effaça bien vite.

Elle se leva ensuite sans dire un mot, contournant son bureau d'une démarche souple, avant d'informer son interlocuteur concernant la suite de la visite, d'une voix où ne transparaissait aucune émotion.

" Venez. Il est temps de passer à quelques examens cardio-vasculaire de routine. "

Elle l'emmena dans la salle d'examen, jouxtant celle où se trouvait son bureau. Entourés par des cloisons se trouvaient quatre lits, destinés à accueillir les élèves souffrants, mais qui dans la pratique servait davantage à justifier une petite sieste loin des cours. Un autre lit, plus en hauteur, était quant à lui destiné à allonger le patient, pour faciliter l'examen médical. Dans un coin se trouvait un pèse-personne, ainsi qu'une haute réglette fixée au mur, destinée à mesurer la hauteur d'un individu. Elle se retourna, le laissant au milieu de la pièce, et ouvrit un placard dans lequel elle fouilla longuement, tout en lui expliquant.

" Je vais dans un premier temps vous demandez de vous déshabiller. Il me faut prendre votre taille actuelle, ainsi que votre poids, et vos vêtements et chaussures pourraient fausser les mesures. Je vous ferai ensuite passer un test cardiaque, afin de pouvoir mesurer votre pouls avant et après effort. Sans oublier bien sûr l'alcootest... "

Elle soupira.

" Certains aiment tellement l'ivresse qu'ils ne peuvent plus s'en passer, pas même pour enseigner à des lycéens. J'espère que ce n'est pas votre cas. "

Jack Taylor

Humain(e)

"Et hop ! Ca, c’est fait", se félicita Jack; il ne s’était donc pas trompé. Il fallait dire que le fait d’avoir vécu à Paris pendant deux ans, et d’avoir aimé - et manqué d’épouser - une française, jouait en sa faveur. Les très légers signes qui trahissaient la tempête intérieure de Mélanie ravissaient l’Américain : la dame de glace n’était donc pas inébranlable ! Naturellement, celle-ci n’avait nullement l’intention de se laisser faire, et c’est d’un ton glacial qu’elle lui répondit.

"Votre humour insipide ne mérite pas même le moindre haussement de sourcil."

Jack s’apprêtait à rétorquer qu’il ne plaisantait pas - ce qui était la stricte vérité, mais une fois de plus, elle ne lui laissa pas l’occasion d’ouvrir la bouche.

" Ni votre charme..."

« Ah, vous avez souri ! », remarqua Jack, tout sourire, en la pointant de l’index. « Pas la peine de nier, je vous ai vue. Vous savez ce qu’on dit à ce propos… » Ces trois derniers mots lâchés par la jeune femme étaient pour elle le plus terrible des aveux; Jack savait à présent qu’il plaisait à l’infirmière, ce qu’il ne se priva pas de lui faire comprendre en soutenant son regard vert de gris pendant de longues secondes.

"Venez. Il est temps de passer à quelques examens cardio-vasculaire de routine. "

Lorsque la jeune femme quitta son siège, l'agent de la CIA ne l'imita pas, mais la suivit du regard en se passant imperceptiblement la langue sur les lèvres. Ce cul ! Il lui tardait tant de le pétrir...

"Si je réussis à vous faire sourire une deuxième fois, j'ai droit à une récompense ?" lança-il d'un air badin, alors qu'il se débarassait de sa veste pour emboîter le pas à la jeune femme. "Au fait, c'est comment votre prénom ? Catherine ? Joséphine ?" en trois enjambées, il l'avait rattrapée et marchait à présent à sa hauteur. "Marie ? C'est mignon Marie, ça vous irait bien."

" Je vais dans un premier temps vous demandez de vous déshabiller. Il me faut prendre votre taille actuelle, ainsi que votre poids, et vos vêtements et chaussures pourraient fausser les mesures. Je vous ferai ensuite passer un test cardiaque, afin de pouvoir mesurer votre pouls avant et après effort. Sans oublier bien sûr l'alcootest... "

L’agent Taylor eût un rire bref, alors qu’il commençait tranquillement à déboutonner sa chemise« le corps d’un vrai mec, ça va te changer des crevettes que t’auscultes d’habitude, tiens », songea-il, en admirant la chute de reins de Mélanie. Il se demanda si elle se sentait menacé. Il espérait que ce fut le cas, et se décida à lui faire une petite frayeur. Il s’approcha à pas de loup de la jeune femme, et approcha son visage de la nuque de celle-ci, expirant délibérément son souffle chaud dans ses cheveux châtains clair.

« Où est-ce que je pose mes fringues ? » L’agent Jack Taylor avait ôté sa chemise; son corps athlétique dominait la silhouette de Mélanie qui paraissait bien frêle en comparaison et exhalait une odeur mâle et entêtante. D’un simple geste, il pouvait briser cette poupée de glace, lui fourrer sa queue dans la bouche avant de la baiser brutalement. Mais bien qu’il bandât à présent comme un âne en rut, il était bien déterminé à ne pas la prendre avant que ses yeux de biche ne le supplient de le faire.

"Et non, mad'moiselle, je ne bois pas en service", ajouta-il, laconique, avant de se rendre compte de sa légère bourde; cette fichue gonzesse commençait à lui faire perdre les pédales. Il restait à espérer qu'elle n'ait rien remarqué.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Une visite médicale réglementaire (?) [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 5 vendredi 06 juillet 2012, 13:27:32

Mélanie avait bel et bien souri, oui, une esquisse de sourire. Qu'elle regretta aussi vite qu'il n'était apparu. Jack s'était en effet amusé à déstabiliser l'infirmière, et cela avait -en quelque sorte- réussi. Mais, bien entendu, il n'en resta pas là, et poussa plus loin le bouchon, à son avantage, la mettant dans une situation assez déroutante.

" Ah, vous avez souri ! Pas la peine de nier, je vous ai vue. Vous savez ce qu’on dit à ce propos... "

Elle rougit légèrement devant le sous-entendu on ne peut plus explicite. Qui ne connait pas le célèbre proverbe "Femme qui rit, à moitié dans son lit" ? Ses joues s'empourprèrent légèrement, de manière presque imperceptible. Non pas que les allusions grivoises ne soient du genre à la mettre mal à l'aise, Mélanie n'était pas une sainte après tout, mais c'était... autre chose, elle ne saurait dire quoi. Elle défia du regard l'effronté, conservant son air implacable, un visage de marbre qu'aucun sourire ne venait adoucir, avant de l'enjoindre à la suivre dans la salle d'examen. En chemin, l'homme en question semblait se montrer de plus en plus entreprenant, et Mélanie était offusquée de voir qu'il osait la draguer de plus en plus ouvertement ! Offusquée, mais néanmoins assez flattée... Non pas qu'elle veuille se justifier, mais, qui ne l'aurait pas été après tout ? Cela dit, il était hors de question qu'elle se laisse faire. L'irritation qu'elle éprouvait à son égard ne s'était pas totalement estompée. Et cela se sentit dans sa réponse.

" Pour vous, ce sera Mademoiselle Rosenberg, tout simplement. " - lâcha-t-elle sèchement.

*
* *

Tandis qu'elle fouillait dans son placard, à la recherche d'un tensiomètre et d'un ethylotest, l'infirmière sentit comme une presence dans son dos, avant qu'un souffle chaud et léger ne viennent chatouiller son cou. Surprise, elle sursauta vivement et fit volte-face, tombant ainsi nez à nez avec un Jack torse nu, au corps athlétique.

" Où est-ce que je pose mes fringues ? "

L'infirmière ne répondit pas tout de suite, encore troublée par la présence virile de cet homme, qui empourpra davantage ses joues, légèrement, et lui fit perdre ses moyens l'espace de quelque seconde. Leur visages étaient tout proche, bien qu'il la surplombait indiscutablement, et sa semi-nudité couplée à sa proximité était loin de laisser Mélanie indifférente. Le large décolleté offrait ainsi à l'homme une vue plongeante sur l'opulente poitrine de la jeune femme, s'il daignait y poser les yeux. Elle parvint néanmoins assez vite à se ressaisir, se soustrayant à sa présence d'un vif pas sur le coté avant de se diriger vers la table basse située près du pèse-personne.

" Vous n'aurez qu'à les poser ici. " - se contenta-t-elle de répondre.

Aucune chaleur, aucune émotion ne transparaissait dans sa voix. Elle se demandait à quoi cet homme pouvait bien jouer, son attitude singulière étant des plus déstabilisantes. Quoique non, elle se doutait bien de ce qu'il se passait, mais elle se refusait simplement à l'admettre. La jeune femme pensait qu'elle se faisait tout simplement des idées, et que Jack était un homme un peu plus extraverti que les autres, tout simplement. Elle aurait l'air bien maline, à croire qu'il était en train de la draguer alors que ce n'était peut-être pas le cas ! Elle rehaussa ses lunettes, avant de froidement détailler le trentenaire du regard. Ses yeux s'attardèrent sur sa musculature, moins impressionnante que celle d'un sportif professionnelle, mais néanmoins des plus agréable à regarder. Comme sculpté dans la roche, il en émanait une force, une fermeté, qui lui conférait une image virile des plus plaisante. Et des plus excitante... une idée qu'elle chassa vivement de son imagination. C'était pas le moment de se laisser aller.

L'infirmière l'invita ensuite à se peser, et une pensée lui traversa l'esprit. *Mince ! J'ai oublié ce que je cherchais dans le placard ! Bon, bah, tant pis, on verra ça plus tard.* Elle lui intima ensuite de se placer dos au mur, sur la réglette haute d'environ deux mètres, afin de pouvoir le mesurer. Au fond, elle espérait qu'il sache correctement s'aligner, elle se voyait mal poser ses mains, petites et fragiles, sur son torse musclé et sur ses cuisses qui l'était tout autant, pour mieux le caler contre le mur...

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Une visite médicale réglementaire (?) [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 6 dimanche 01 décembre 2013, 22:24:34

Lorsque l'infirmière fit volte face, elle rougit violemment ce qui rassura l'orgueil de l'agent Taylor ; Mélanie aussi commençait à souffrir de la tension sexuelle qui imprégnait la pièce. Le long regard qu'ils échangèrent ensuite scella pour Jack, une sorte de pacte tacite. Ni l'un ni l'autre ne sortirait de cette pièce avant qu'ils ne se soient envoyés en l'air. Néanmoins, la jeune femme se rebiffa, et s'écarta d'un pas alerte. Une seconde plus tard, l'homme l'aurait embrassé. Au lieu de cela, il fit la moue, et balança à l'aveugle sa chemise sur la table basse que la jeune femme lui désignait. La rouquine lui ordonna ensuite de se peser, ordre auquel il se plia sans prononcer le moindre mot, voulant battre froid à la jeune femme à son tour, ce qu'elle méritait amplement. Il surpris son regard sur son torse gonflé, par dessus sa paire de lunette et ne pût cette fois s'empêcher d'esquisser un léger rictus. L'infirmière avait probablement autant envie de faire glisser ses belles mains pâles sur ses pectoraux que lui rêvait de pétrir son opulente poitrine laiteuse. Quand vint le moment de se faire mesurer, Jack se colla docilement contre la réglette de bois. Pour le mesurer, la jeune femme dût se mettre sur la pointe des pieds afin d'attraper le montant de bois pour le faire descendre sur son crâne.

« Cent quatre-vingt trois centimètres », lâcha-il, en la voyant s'escrimer à saisir la réglette sans le toucher. Lorsque la jeune femme croisa son regard, celui-ci avait changé ; de rieur et taquin, il était passé à fiévreux et résolu. Sans crier gare, l'agent Taylor saisit les deux poignets de la jeune femme, et les plaqua sur son torse tiède, la défiant du regard. « Vous en avez autant envie que moi, Mademoiselle Rosenberg, ne jouez pas les idiotes », enchaîna-il, dans un français parfait. Lui libérant les poignets, il la saisit par les épaules et la fit basculer contre le réglette, échangeant de place avec elle. Immédiatement après, il lui releva le menton du pouce et de l'index et se pencha pour l'embrasser fougueusement, sa main libre se perdant dans les cheveux bruns-roux de l'infirmière. Glissant sa langue entre les lèvres de la jeune femme, il l'embrassa tout d'abord avec une certaine douceur puis, la sentant réagir à son baiser, avec plus de force, libérant peu à peu la frustration qu'elle lui avait fait subir, allant jusqu'à lui mordiller la lèvre inférieure avec passion. « Je suis sûr qu'au fond vous êtes une vraie petite salope, malgré vos airs de reine de glace. Je peux le voir rien qu'à la façon dont vous ondulez des hanches quand vous marchez, à la manière dont vous respirez, à l'odeur que vous dégagez. », lui glissa-il à l'oreille, le souffle brûlant. « Dis-moi comment tu t'appelles ma jolie, dis-le moi, ou alors je vais avoir envie de te punir très sévèrement », lâcha-il finalement, entre deux baisers. Si le tutoiement n'existait pas vraiment en anglais, en français il prenait tout son sens. Jack entrait de plain pied dans l'intimité de la jeune femme, et cela ne faisait naturellement que commencer. La main qui lui avait servi à rehausser le menton du joli minois de la jeune femme était descendu jusque sur sa hanche. Son vît déformait son pantalon de la manière la plus obscène qui soit et l'homme pressait à présent son entrejambe tout contre le ventre de Mélanie, celle-ci était plus petite que lui d'une bonne tête.

Finalement, il la relâcha entièrement, la laissant libre de ses mouvements. Si la jeune femme le souhaitait, elle pouvait s'échapper, à présent. Haletant, fou de désir, il ne la quittait pas du regard. Il savait que si la jeune femme était suffisamment excitée, il pouvait la prendre contre le mur sans qu'elle n'objecte, bien au contraire. Peut-être n'attendait-elle que cela, d'ailleurs. Mais c'était bien trop facile, aux yeux de l'agent Taylor. La jolie jeune femme l'avait tellement refroidi tout à l'heure, qu'il était prêt à tout risquer pour la laisser prendre l'initiative de la suite. Contrairement aux esprits limités, Jack Taylor savait que la domination, lors de rapports sexuels pouvait se révéler très subtile. Son objectif pour l'instant, était de mettre Mélanie face à son propre désir, et à l'assumer suffisamment pour prendre la main, tout du moins jusqu'à ce que Jack ne décide de reprendre l'ascendant sur la jolie infirmière. Autrement dit, si Mélanie voulait baiser, elle allait devoir se montrer bien plus coopérative. Qu'allait elle faire ? S'enfuir, ou se livrer toute entière à son désir ? Jack en tout cas, ne rêvait que d'enfoncer profondément en elle, sa queue gonflée qui réclamait justice.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Une visite médicale réglementaire (?) [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 7 mercredi 18 décembre 2013, 14:32:45

Aussi étrange que cela puisse paraitre, Mélanie avait vraiment hâte que la visite, qui prenait une tournure de plus en plus cocasse, ne soit terminée. Elle était infirmière après tout, et il était de son devoir de mener à bien ce genre d'auscultations. Néanmoins, pour une raison qu'elle ignorait, ou plutôt pour une raison qu'elle préférait ignorer, son actuel patient la perturbait fortement, malgré tous ses efforts pour tenter de passer outre cette sensation gênante et de rester professionnelle. Non pas qu'elle y apporte une grande importance en réalité, il lui arrive assez souvent de sympathiser avec les élèves, mais dans le cas présent elle avait la profonde conviction que cet homme s'amusait à essayer de la faire sortir de ses gonds, et se délectait de ses réactions. Et se laisser manipuler était une situation insupportable pour la fière française qu'elle était.

Mélanie soupira, sa poitrine se soulevant dans une inspiration las. Plus vite elle aurait fini son travail, plus vite elle pourrait se soustraire à la présence de ce monsieur Taylor. Elle entreprit donc de rapidement effectuer les mesures nécessaire, tout en prenant soin d'éviter tout contact corporel qui pourrait accroitre le malaise manifeste qui régnait entre eux, du moins que Mélanie ressentait. Toutefois l'homme musclé était également plus grand qu'elle, et elle éprouvait certaine difficulté à manipuler la réglette en prenant ses distances. Contre toute attente, il lui révéla l'information désiré.

" Cent quatre-vingt trois centimètres. "

Un bref coup d'oeil à la règle verticale lui confirma que cette mesure était crédible, et qu'il devait probablement être aussi grand qu'il le prétendait. Soulagée d'en avoir fini avec cette partie, elle lui fit confiance et s'écarta d'un pas rapide, sentant la gêne pointer le bout de son nez. Elle devait avoir eu l'air assez ridicule à tenter de le mesurer maladroitement, et ce dernier, d'un geste qui se voulait magnanime, avait décidé de mettre fin à cette scène. En tout cas c'était la manière dont elle percevait les chose, mais même si c'était une situation qu'elle n'acceptait pas, elle ne se priva pas pour autant de rester courtoise et polie.

" Oh, et bien, merci. Je vais aller not... "

Sa phrase resta en suspend. Le regard de l'infirmière croisa celui du bel homme, et la lueur qu'elle y vit n'avait plus rien d'innocent. Spontanément, ce dernier l'obligea à poser ses paumes contre son torse de force, bien que la seule résistance qu'elle lui offrait était celle issue de l'effet de surprise. Prise au dépourvue, elle écarquilla les yeux en entendant le professeur lui parler dans sa langue natale, elle était dans l'incapacité de réagir pendant un bref moment, et se retrouva alors à la place même où était Jack l'instant d'avant.

" Je... "

De nombreuses idées se bousculaient dans sa tête, mais la pensée qui prédominait était le contact de sa peau chaude et tendue contre sa paume, sous laquelle elle sentait la puissance de ses pectoraux. Elle n'eu cependant pas le loisir de remettre de l'ordre dans son esprit, l'homme ayant rapidement pris d'assaut ses lèvres qu'il scella aux siennes et embrassa avec fougue, foulant du pieds les dernières résistances que l'infirmière aurait pu ériger. Ses doigts se crispèrent, brièvement, avant de se détendre, pressant doucement contre son torse. Elle s'abandonnait à ce fiévreux baiser, et y répondit avec au moins autant d'ardeur, prenant l'initiative de franchir la frontière de ses lèvres et de diriger sa langue contre la sienne, de tantôt la heurter, tantôt la caresser.

Elle se retrouva à haleter faiblement lorsque Jack rompit cet union, un peu déboussolée par les évènements, un peu comme une somnambule qui se réveillerait ailleurs que dans son lit. Elle cligna des yeux, mais était bien consciente de ce qu'il venait de faire. Ou plutôt de ce qu'elle venait de le laisser faire. Il s'était non seulement invité de lui même dans sa vie personnelle, brisant la frontière qui la séparait de la vie professionnelle, mais elle avait en plus accepter ce baiser. C'était davantage qu'une autorisation, c'était carrément une capitulation face à l'invasion, sans aucune possibilité de revenir en arrière, et le pire était qu'elle avait trouvé ces derniers instants fort agréable...

Toutefois, elle tiqua rapidement lorsqu'il commença à lui susurrer à l'oreille. La chaleur de son souffle et de ses mots avaient de quoi faire fondre de nombreuses femmes, Mélanie n'en doutait pas, il pouvait même se targuer d'avoir su éveiller un certains désir en elle, un désir encore faible mais qui s'avèrerait être aussi ardent qu'inavouable. Mais Mélanie n'était pas n'importe quelle femme. Et le regard sévère qu'elle lui lança ne montrait aucun signe de reddition.

" Sa... salope ? Non mais ho, je ne vous permettrais pas de m'insulter de la sorte ! "

Et avant qu'elle ne puisse se rendre compte qu'elle perdait son sang-froid, une violente gifle, sèche et cinglante, vint cueillir la joue du professeur Taylor et y imprimer une vive marque rouge. Au moment de l'impact, son air sévère s'évapora instantanément, ses traits s'adoucir et laissèrent place à une moue de regret, persuadée que la violence de son geste avait dépassée les bornes. Elle s'empressa de s'excuser, une main posée sur sa joue, sa voix ayant perdu de son assurance mais son regard ne se montrant néanmoins pas fuyant.

" Je-je suis désolée, je me suis laissée emporter... je suis vraiment désolée... "

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Une visite médicale réglementaire (?) [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 8 mercredi 25 décembre 2013, 20:43:09

Le masque de glace de Mélanie s'effritait, et l'agent Taylor jubilait presque. Probablement habituée à mener la danse dans ses relations avec les hommes, la française supportait assez mal la manière dont Jack se comportait avec elle, c'est à dire comme un parfait mâle dominant. Néanmoins, elle aussi avait ses limites, et l'homme frissonna lorsqu'elle répondit à son baiser, pressant ses mains blanches contre son torse tiède, envoyant sa langue butiner la sienne. Néanmoins, lorsque ses lèvres quittèrent les siennes, la laissant interdite, les mots du professeur fusèrent trop vite, heurtant de plein fouet l'orgueil et la dignité de la jeune femme. Son expression se transforma instantanément et, de colère, elle lui balança une gifle sonore, que Jack ne tenta pas d'éviter, laissant la paume et les doigts de l'infirmière lui mordre la joue. « Ouch ! » Jack fit la moue ; l’infirmière avait plus de force que à ce quoi il s'attendait et sa joue le brûlait cruellement. La vie dissolue et l'infidélité impénitente de l'agent Taylor lui avait valu d'innombrables gifles, mais il s'étonnait à chaque fois du sentiment de colère et d'incompréhension que cela suscitait systématiquement chez lui. En effet le comportement dominateur de l'américain était quasiment pathologique ; son cerveau n'admettait pas le refus, ni la frustration. Aussi ce fut un regard sombre d'indignation qu'il lui renvoya, les muscles crispés. Le bras de l'infirmière était toujours levé, si bien que Jack la saisit au niveau du poignet, pour l'empêcher de réitérer son geste, mais celle-ci se confondait déjà en excuses, sous les sourcils froncés de son patient. Mélanie avait brisé les règles du jeu.

« Pas autant que moi », lâcha-il, agacé.

Laissant la main de la jeune femme retomber le long de son corps, l'homme la gratifia d'une moue dédaigneuse et d'un « allumeuse », aussi injuste qu'immérité, en se dirigeant vers ses fripes. Aveuglé par la colère, il n'aspirait qu'à quitter au plus vite le cabinet de la jolie rouquine, pour aller se consoler dans les bras d'une autre, plus accueillante. Décidé à se changer à l'extérieur, il se contenta d'enfiler ses souliers et glissa pantalon, chemise et veste sous son bras, traversa l’infirmerie sans un regard pour Mélanie. Néanmoins, il s'immobilisa devant la porte de sortie, comme Dom Juan devant la statue du Commandeur, foudroyé par le ridicule de la situation. Trop blessé par le coup porté à sa fierté, Jack n'avait pas su saisir la perche que Mélanie lui avait tendue.

« Ma foi, je... »

Le ton de l'agent Taylor s'était radouci, mais il tournait toujours le dos à l'infirmière, les yeux mi-clos, incapable de se décider quant à son mouvement suivant. Oh et puis merde. Jack fit volte-face, offrant à Mélanie une moue contrite. Se déchaussant avec une lenteur qui contrastait terriblement avec la hâte dont il venait de faire preuve, l'homme posa ses affaires en tas, sur une chaise à sa portée, et se dirigea d'un pas léger vers la rouquine, avec autant d'élégance que lui permettait d'avoir un boxer et une paire de chaussettes. Attrapant les doigts de Mélanie, il l'attira à lui une nouvelle fois pour l'embrasser sur le front.

« Je m'excuse », lui concéda-il, d'une voix apaisée.

Les excuses étaient sincères, même si l'objet sur lequel elles portaient était plus limité que ce qu'il voulait bien laisser croire ; l'insulte gratuite, il s'en repentait réellement. Quant au reste, il regrettait uniquement d'avoir été trop impatient et de ne pas avoir suffisamment échauffée la jeune femme avant de l'abreuver des insanités dont il avait le secret, et qu'il ne pouvait s'empêcher de proférer dès lors qu'il était excité. Il n'en démordait pas : Mélanie avait été, était, et serait une salope, et il était bien décidé à le lui faire avouer. Si lors de son accès de colère, son vit s'était débandé, le contact du corps gracile de la jeune femme contre le sien ne tarda pas à y faire affluer de nouveaux flots de sang.

Le baiser qu'ils avaient échangés quelques instants plus tôt avait scellé l'acceptation de leur désir réciproque, et Jack était déterminé à ce qu'aucun nouvel incident n'y fasse obstacle. Aussi, ce fut avec une douceur inhabituelle qu'il releva vers lui le menton volontaire de l'infirmière, avant de poser ses lèvres sur les siennes, les yeux mi-clos. Hardies, ses mains s'égaraient déjà sur les cuisses fuselée de la rouquine, se glissant sous sa jupe pour finalement venir pétrir amoureusement ses fesses rebondies. 

« 'vraiment désolé, je suis un vrai salaud. », glissa-il entre deux baisers.

Jack en faisait trop, volontairement, pour dédramatiser la situation, et faire fondre une bonne fois pour toute la défiance de Mélanie à son égard. Le décolleté pigeonnant de la jeune femme était proprement irrésistible, et il délaissa bien vite son postérieur pour déboutonner fiévreusement son tailleur, libérant l'opulente poitrine qu'il compressait. Ravi de ce qu'il y découvrit, imaginant son vit y coulisser, il se fendit d'un large sourire, alors qu'il la débarrassait à présent de son soutien-gorge.


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