Yamagashi-sensei poursuivait ses caresses sur mon intimité. C'était tellement bon ! À chaque passage de ses doigts, je me cambrais, creusant le dos, ce qui faisait ressortir ma poitrine. Le sang me montait au visage, comme il descendait aussi gonfler mes lèvres d'en bas. Ma conscience me disait que c'était mal, être masturbée par ma professeur, mais elle était étouffée par le plaisir qui me consumait. Son doigt pressa à nouveau mon petit bouton, et je gémis. C'est à peine si je me rendis compte que Yamagashi-sensei avait approché son visage de mon oreille.
" Tu me pardonnes, Onoki-chan ? Tu me pardonnes d'avoir gâcher ton plaisir ? "
Oh oui, je la pardonnais, je la pardonnais d'autant plus qu'elle me faisait un bien fou. Puis sa main cessa son mouvement. J'allais lui demander de recommencer, quand je sentis ses doigts venir se glisser entre ma peau et ma culotte, pour venir au contact direct de ma fente. Yamagashi-sensei inséra deux de ses doigts dans mon vagin, et je lâchais un gémissement plus fort que les autres face à l'assaut.
" C'est comme ça que tu fais ? Comme ça que tu aimes te toucher ?... Est-ce que je le fais bien ? "
" O-Oui... Sensei... Aaah... Vous me f-faites... Du bien... Uhm... "
Ses doigts étaient divins. En avant, en arrière, parfois ensemble, parfois alternés, écartés, pliés, ... Ils frottaient contre mes parois, ce qui déclenchait en moi des vagues de pur plaisir. Mon nectar coulait de mon orifice comme jamais. Je ne pensais pas que le faire avec une autre femme pouvait être si bon. Mon esprit commençait à flancher, la jouissance approchait...
Je n'eus pas le temps de prévenir Yamagashi-sensei, qu'elle était déjà là. Mon corps se contracta d'un coup, je perdis mes sens, et un jet de mon nectar fut libéré. Puis je me relâchais, et des spasmes m'agitèrent. Quand je regagnais mes sens, je gisais au sol, pantelante et haletante.