Je crie de rage, cette catin a réussi par je ne sais quel moyen, à se libérer de ses chaines, trop obnubilé à labourer son sexe, je ne peux réagir à temps. Elle me repousse et frappe ma verge, qui, très sensible à ce moment-là, et irradie mon corps de douleur. Je viens m’appuyer contre la chaise, et fixe ma captive avec un regard furieux, plus elle résistera plus je serai dur. Mais le fait qu’elle est réussi à se libérer montre bien l’étendue de son pouvoir, et ça elle ne pourra plus le cacher désormais.
Petite catin… Tu vas me le payer cher.
Je reprends forme humaine, et m’habille, et après un bref regard vers ma montre en argent, je repose mon regard sur la jeune femme.
Un rendez-vous m'attend. Mais ne t’inquiète pas, je vais te laisser en charmante compagnie, et on verra à mon retour si ta langue se délie.
Je quitte la pièce, laissant la prisonnière seule entre ses 4 murs blancs énigmatiques, ne sachant pas ce que je lui réserve. Je donne l’ordre à mes hommes de s’amuser avec elle, comme bon leur semble, et ce jusqu’à mon retour. En comptant juste le personnel à l’intérieur de ma villa, ils sont une vingtaine, et avec ceux à l’extérieur on est au-delà de trente.
Ainsi quelques minutes après mon départ, la porte de la pièce s’ouvre, et un de mes hommes y pénètre, puis un suivant, et encore un autre, au total 8 s’avancent vers elle. Ils sont tous habillés en costume noir et blanc, avec un physique tournant aux alentours des deux mètres, pour plus de 100kilos.
Ils s’avancent vers la jeune femme et l’agrippent sans ménagement, lançant des rires salassent, alors que des mains viennent retirer ce qui lui reste de tissu. D’autres viennent parcourir son corps, pétrissant ses fesses, son opulente poitrine. Plus d’une dizaine de mains s’affairent déjà sur elle, beaucoup trop pour qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, des doigts commencent déjà à pénétrer son sexe avec violence, puis d’autres, plus humides, viennent jouer avec contre anus.
Les bruits de braguettes se font entendre, et des chibres de toutes tailles, de toutes couleurs et de toutes odeurs commencent à se dévoiler. Trois viennent se presser contre le visage de la pauvre captive, s’y frottant, alors que les rires continuent à raisonner dans la pièce. D’autres glissent sur son dos, puis ses fesses, alors que deux hommes viennent saisir chacun une de ses mains pour la poser sur leur membre et la forcer à les masturber.
L’un des hommes qui joue avec le visage de Magikiya semble s’impatienter, il agrippe ses cheveux, et vient forcer la barrière de ses lèvres avec sa verge, l’enfonçant brusquement et si profondément que la pression de la mâchoire de la jeune femme en devient quasi-nul, l’empêchant de mordre. Il commence à lui baiser la bouche avec rudesse, n’arrêtant ses mouvements que pour exécuter une gorge profonde.
Un autre homme aussi semble ne plus vouloir attendre, et vient saisir ses petites fesses, et pénètre son vagin d’un grand coup de bassin, commençant à la prendre en levrette avec fougue. Les mains sur le corps de Magikya continuent de s’afférer avec plus de fermeté, n’oubliant aucune parcelle de sa peau, pétrissant ses seins, pinçant avec dureté ses tétons. Déjà trois doigts vont et viennent dans son anus, lui assurant une belle dilatation.
Et alors que tout ne fait que commencer, d’autres hommes franchissent de nouveau le pas de la porte.