Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 15 mardi 22 mai 2012, 17:12:23

Elle s'évertuait à tenter de le pousser un peu plus, mais en avait-il vraiment besoin ? Peut-être pas, vu la situation et la façon dont elle se comportait déjà. Ou alors, ce n'est que l'expression de ses origines nobles : elle tente de contrôler et d'imposer ses désirs à l'homme, en le poussant au défi.

Derrière elle, il accélérait ses coups de rein, la queue fouillant son intimité avec une vaillance non feinte. Les machoires serrées, il soufflait fort par le nez à chaque coup qu'il donnait, décidé à prendre autant de plaisir qu'il le déciderait. Les paroles avaient eu en partie l'effet escompté puisqu'il y allait fort, mais il l'aurait fait de toute façon. Il écoutait les paroles entrecoupées de gémissements de la belle blonde, avec un intérêt certains. Elle dévoilait là des attitudes plutôt soumises, ce qui l'étonnait vis-à-vis de leur discussion précédente.

Ca fait quoi d'être traitée comme une trainée, comme une vulgaire catin ?

Les mains du jeune homme passaient sous le corps d'Alice, pour venir se saisir de sa poitrine imposante. Chaque main englobait un sein, le pressant au creux de ses paumes pour accentuer les sensations qu'elle éprouvait. Il malaxait la poitrine, pressant un sein contre l'autre, pinçant également les tétons entre ses index et ses pouces pour les faire durcir. La caresser de la sorte l'avait obligé à se pencher un peu sur elle, et ses coups de rein se faisaient moins fort, du fait de la position.

Tu es une sacrée salope pour une noble ... Mais tu ne vaux pas mieux qu'une esclave de bas étage !

Il se redressait un peu, lachant les seins de la jeune femme pour reprendre le contrôle de son bassin et se remettre à la baiser vivement. A ce rythme là, il sentait déjà l'orgasme approcher, l'excitation montant trop vite, et il ne faisait rien pour la tempérer. Elle non plus d'ailleurs, alors pourquoi se retenir ? Dans un nouveau coup rageur, le jeune homme lâchait un gémissement un peu plus fort, alors qu'il explosait en elle. Le sperme brûlant envahissait l'intimité de la princesse, abondant et liquide. S'il savait qui elle était ... Mais rien qu'à sa façon d'être, non, il n'avait aucune idée de l'identité de la demoiselle sous ses mains.

Alors que les derniers jets remplissaient encore Alice, il arrêtait petit à petit ses mouvements, le membre toujours profondément enfoncé en elle. Pendant quelques secondes il resta immobile ainsi, à reprendre son souffle, la queue ne perdant rien de sa vigueur malgré la jouissance.

Pas mal du tout pour un début, mais je suis pas du genre endurant, j'espère que t'as de la ressource ...

Une main claquait contre la fesse d'Alice, alors qu'il reculait lentement pour quitter l'orifice limé de la jeune femme. Après un pas en arrière, il était totalement sorti d'elle, le membre dressé vers le haut et couvert de sperme sur toute la longueur ainsi que de cyprine.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 16 mercredi 23 mai 2012, 03:11:38

Et il ne tarda pas à faire ce qu’elle avait demandé, à l’insulter et à la traiter. Devant une telle insolence, Alice rougit confusément, de honte et de plaisir à la fois. La Princesse avait un caractère de soumise, une partie de sa personnalité qui n’était pas négligeable. Quand on vivait entourée d’hommes virils, de dragons qui crachaient le feu, il paraissait logique de développer une espèce de sentiment d’infériorité, de surcroît quand on avait cette impression constante de décevoir votre père. Cyscek commençait à le sentir, et, entre ses insultes, qui résonnaient avec vulgarité aux oreilles d’Alice, il commença à palper les confortables seins de la Princesse, sa belle poitrine dont les tétons se mirent à pointer.

« Haaann... Ha oui, oui, une... Une traînée, une... Une salope, aaah ! »

Elle se retenait de ne pas hurler, serrant les dents. On les voyait déjà. Des mains se pointaient, des murmures et des chuchotements. Fureur ? Dégoût ? Envie ? Incompréhension ? Difficile de dire ce qui dominait, et Alice n’était pas en état de le dire. On les observait, et elle était incapable de se contrôler, et résistait à l’envie d’hurler à ce public, d’engueuler les spectateurs, de les inviter à venir, à venir se joindre à cette petite sauterie ! Oh putain, comme elle aimait ça ! Sentir une queue en elle, remplir son espace, marteler son clitoris, la déchirer, la faire couiner. Elle poussait des cris rauques, des gouttes de sueur coulant de son front, glissant le long de ses joues.

« Oh oui ! Oui, oui, oui, oui, oui ! » s’exclamait-elle.

C’était superbe, et elle sentait l’homme soupirer également. Elle se mit à mouiller, continuant à remuer son corps. Cyscek s’était plaqué contre elle, afin de caresser ses seins, diminuant ainsi ses mouvements de vas-et-viens dans son intimité. Il finit donc par lâcher la poitrine de la Princesse, se concentrant exclusivement sur son sexe, et donna des coups de bassin rageurs en elle, la faisant soupirer. A plusieurs reprises, sa tête heurta le rebord, sans vraiment lui faire mal, et elle but également de l’eau, ce qui la fit tousser.

Cyscek finit par s’abandonner en elle. Il faut croire que le corps de la Princesse était un vrai régal ! Elle le sentit jouir en elle, et Alice se félicita intérieurement d’avoir amené avec elle les potions de l’alchimiste, qui permettaient de tuer dans l’œuf tout risque de grossesse. La potion avait un goût immonde, écœurant, mais Alice ne tenait pas encore à avoir un enfant. Elle le sentit se retirer d’elle, et elle se retourna, reprenant ses esprits. Ses joues étaient rouges de plaisir, et elle vit que l’homme avait toujours son sexe dressé. L’érection l’avait bien fait diminuer, naturellement, mais elle lisait toujours dans son regard le désir. Ce fut néanmoins lui qui parla le premier :

« Pas mal du tout pour un début, mais je suis pas du genre endurant, j'espère que t'as de la ressource ... »

Pas mal ? C’est tout ce qu’il trouvait à dire ?! Alice se contenta de soupirer, et haussa les épaules :

« On dit que les femmes aiment parler, mais, les plus vantards, ce sont généralement les hommes. Une fois qu’ils ont tiré leur coup, ils n’ont plus qu’à espérer que la femme saura les exciter... »

Regardant autour d’elle, Alice aperçut, furtivement, un vieil homme qui les observait, incrédule, et un surveillant qui, furieux, s’approchait d’eux à grand pas. Elle eut alors, très rapidement, un sourire, avant de lever l’un de ses pieds, et de l’abattre sur le torse de Cyscek. Une lueur de malice brilla dans ses yeux.

« Vous croyez pouvoir me contrôler ? Me dompter ? Apprenez qu’avec une femme, mon cher Cyscek, il faut toujours s’attendre au pire. L’honneur est une conception typiquement masculine ! »

Avant de passer à l’action, elle lâcha une fois :

« Peut-être nous reverrons-nous... Ou pas. »

Elle le poussa alors du pied, et bondit hors de l’eau, avant de se mettre à piailler :

« Au secours ! Au secours ! Il a tenté de me violer ! Au secours !! »

Alice avait les joues rouges, et cacha ses seins d’une main, son intimité de l’autre, en hurlant. Son père aurait tout de suite deviné qu’elle mentait, mais eux, ils n’étaient que des inconnus. Le surveillant, entendant le mot « viol », se précipita rapidement, et Alice poursuivit ses explications, parlant d’une voix hystérique :

« Il m’a sauté dessus ! Au... Au secours !! »

Sa voix se brisa alors, et elle se mit à pleurer.

« Je l’ai entendu !  lâcha alors le vieil homme. Elle serrait les dents, comme si elle souffrait, et lui la traitait de ‘’salope’’, de ‘’traînée’’ ! J’ai tout entendu, je vous dis ! »

Alice remercia intérieurement cet homme, et continua à pleurer, jusqu’à ce que le surveillant aille à côté d’elle. Il aperçut ses vêtements. Le vieux monsieur n’avait pas du entendre Alice gémir, car elle avait parlé à voix basse. D’autres gardes ne tardèrent pas à arriver.

« Saisissez-vous de cet homme ! hurla le surveillant. Il a agressé la Princesse ! »

Le surveillant, ne sachant pas trop quoi faire, tenta de lui faire un câlin, la serrant entre ses bras, et Alice, dans l’ombre des puissants bras de l’homme, ouvrit alors ses yeux pour regarder Cyscek, et lui fit un clin d’œil. La Princesse s’amusait follement. Cyscek, sans doute un peu moins, et elle décida d’en rajouter une couche :

« Il... En moi... Mon Dieu...
 -  Là, mon enfant, là, tout est fini... »

Ou pas... Ça, seul l’avenir le dira. Les gardes se saisissaient de Cyscek, n’étant pas spécialement tendres. Les faits ne plaidaient en effet, sur le coup, pas en sa faveur. D’autant plus qu’il avait agi avec une Princesse, pas avec une vulgaire catin.

*Retiens bien ceci, aurait-elle envie de lui dire. Un chasseur ne doit jamais vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Personne ne dompte un dragon sans son consentement.*

Cyscek était peut-être un salaud, mais il venait de comprendre qu’Alice n’était pas non plus un ange, mais pouvait aussi être une belle salope quand elle le voulait.

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 17 mercredi 23 mai 2012, 16:32:48

Le plaisir avait été fort, et il reprenait lentement son souffle, toujours le sourire aux lèvres. Décidement, la jeune femme était pleine de ressources, et il sentait qu'il allait pouvoir en profiter encore un moment. Et qui sait, peut-être la capturer finalement, pour la revendre ensuite ? Il avait jusque là laissé cette idée de côté, il fallait qu'il en sache plus sur elle pour savoir si c'était risqué ou non.

La jeune femme lui répondait, ne faisant qu'augmenter son sourire à sa façon de parler, de toujours se jouer de lui et de le taquiner. Alors qu'il allait répondre, elle déposait son pied contre son torse, et l'incompréhension s'emparait de son visage. Les paroles qu'elles proféraient n'avaient plus totalement l'air d'être dans le ton du jeu, et ce revirement si soudain le laissait pantois.

Je crois qu'on ne s'est pas bien compris, vous jouiez le jeu autant que moi ...

Elle s'est laissée faire, elle l'a aguichée, et maintenant elle lui reprocherait d'avoir été dominateur et insultant ? Il y a quelque chose qui cloche là dedans, et il ne voit pas quoi. Seulement, il allait comprendre bien plus vite qu'il n'aurait voulu. Elle le repoussait du pied, et se mit à crier. L'incompréhension faisait place à la stupeur sur son visage. Repoussé, il avait le bassin caché dans l'eau, et jetait à présent un regard effrayé vers le bord, pour voir l'intendant se rapprocher, et comprendre que c'était à son intention qu'elle criait.

Il comprenait immédiatement qu'il était piégé. De part les lieux, et ce qu'elle criait, il n'avait aucune chance, car déjà les clients s'approchaient. Il n'avait aucune issue possible. D'autant qu'un homme certifiait avoir bien vu un viol. Il tombait des nues, à croire que c'était une conspiration.

Je n'ai rien fait ! Elle était consentante !

Autant pisser dans un violon que d'entendre ses paroles prises en compte dans ce qui se passait. D'un pas rapide, il sortait de l'eau à son tour, et encore ruisselant, il entreprenait de remettre ses vêtements. C'est alors qu'il entendit le cri du surveillant. Une princesse ? Elle ? Elle s'était bien jouée de lui. Il grondait intérieurement, mais que pouvait-il y faire ? Sur les deux côtés du bassin, des gardes arrivaient, et il ne pouvait aller nul part.

Puisque je vous dis qu'elle voulait ! Lachez moi !

Il se débattait, ayant remis son pantalon mais pas complètement sa chemise. Il réussit à repousser le premier garde, mais la vague suivante de trois gardes avaient déjà raison de lui. Les mains s'abattaient sur lui et le maintenaient, si bien qu'il se retrouvait sans pouvoir remuer entre les poignes viriles. Il recevait plusieurs coups de poing, surement de la part de certains qui cherchaient à se montrer les plus braves aux yeux de la princesse.

En parlant du regard de la princesse, il le croisa brièvement, et lut en elle l'amusement. Elle l'avait bien piégé, cette garce ! Il fulminait, criait pour qu'on le lâche, puis petit à petit arrêta de lutter. Il ne voyait pas comment il allait pouvoir se sortir de là, ce serait déjà pas mal de réussir à garder sa tête sur les épaules : avec ce qu'il venait de faire, même si elle mentait, il pouvait avoir sa place pour le billot.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 18 mercredi 23 mai 2012, 17:04:14

Dans une certaine mesure, Alice avait entre les mains la vie de Cyscek. On le tuerait pour ce qu’on pensait qu’il avait faim. Et encore, la mort était bien le plus doux des châtiments qu’il pouvait obtenir. Si on l’amenait à Sylvandell, il subirait la plus cruelle des punitions dont le royaume disposerait, car il avait, ou, en tout cas, était soupçonné d’avoir commis le crime le plus grave qui soit : avoir attenté à la future Reine. La Princesse ne comptait toutefois pas le laisser ainsi. Les gardes le tueraient rapidement, et, dans le fond, Cyscek ne lui avait rien fait de répréhensible. Elle avait juste tenu à lui faire une petite leçon, et, si Cyscek ne devait pas beaucoup s’amuser, Alice, elle, devait se retenir pour continuer à jouer la comédie, et ne pas éclater de rire.

Elle finit par se relever, remettant son maillot, et respira lentement, reniflant fort.

« Ta gueule ! s’exclama l’un des gardes en frappant Cyscek, quand il commença à parler.
 -  On va te décapiter, salaud ! rugit un autre.
 -  Non. C’est Sylvandell qui le jugera, et le punira, trancha Alice.
 -  Le forfait a été commis sur nos terres, Madame objecta l’un des gardes. Nous nous occuperons de ce chien galeux ! »

Alice secoua la tête.

« Le forfait a été commis sur ma personne, et les lois sylvandines sont formelles sur ce sujet. C’est à la Cour royale de Sylvandell qu’il revient de juger ce comportement. »

Les gardes hésitèrent, mais la Princesse n’était pas n’importe qui, après tout. On finit par hausser les épaules. Ce n’était qu’un vaurien, après tout, et la « Halte » n’allait pas risquer un incident diplomatique pour si peu. Ayant repris ses esprits, Alice s’adressa aux gardes, d’une voix impérieuse et qui ne soufflait aucune contestation :

« Vous connaissez mon logement ? Conduisez-le dedans. Je ne tiens pas à ce qu’un garde le moleste dans vos cellules.
 -  Nos cachots sont...
 -  Il suffit ! lâcha Alice. Je n’admettrai pas de contestation ! »

Le garde maugréa quelque chose sur l’arrogance typique des nobles, et on fit sortir Cyscek, attachant ses poignets par des cordes. La Princesse prit le temps de se sécher un peu, et sortit ensuite de la piscine. Hodor ne tarda pas à venir vers elle. Même quand elle avait hurlé, il n’était pas venu, signe qu’il devait savoir qu’elle faisait la comédie. Tant mieux, dans un sens ; si Hodor avait vraiment cru que Cyscek menaçait Alice, le pauvre aurait sans doute été piétiné avant qu’Alice n’arrive à calmer le demi-géant.

Après cette scène, la Princesse retourna à l’auberge... Ce ne fut néanmoins pas aussi facile, car des responsables vinrent rapidement la voir, lui affirmant qu’ils étaient désolés pour ce qui s’était passé. Alice eut bien du mal à se débarrasser d’eux, leur assurant au moins dix fois qu’elle ne leur en tenait pas grief. Elle se rendit ensuite dans sa chambre. On avait attaché Cyscek par les bras à l’aide de chaînes, le maintenant en l’air. Les chaînes étaient enroulées de poutres apparentes, immobilisant ainsi l’homme. La Princesse fit signe au garde de s’en aller, et ce dernier obtempéra, non sans quelques hésitations. Seule, Alice croisa les bras en regardant l’homme, un sourire amusé sur les lèvres.

« Vous voilà dans une drôle de situation, mon cher... Amusante, pour moi en tout cas. Mais, dans le fond, vous devriez me remercier. Si je vous avais laissé faire ce que vous vouliez me faire, votre tête serait encastrée contre un tronc d’arbre, et votre bide serait ouvert en deux. »

Alice s’expliqua alors :

« Vous vouliez me vendre, n’est-ce pas ? Me capturer ? Faire de moi... Une esclave... Ne me mentez pas, Cyscek, je connais suffisamment le monde de l’esclavage pour savoir que vous en faites partie, et que, ce que vous chassez, ce sont de belles créatures à revendre sur la place publique de Nexus. »

La Princesse s’avança vers lui :

« Retenez donc bien mon conseil, mon cher : n’essayez jamais de capturer une noble. Non seulement elles sont difficiles à dresser, mais vous risquez d’avoir toute la famille sur les fesses, et, de plus... On ne sait jamais de quoi une noble est capable, pas vrai ? »

Alice le regarda, et un éclair de malice brilla dans ses yeux.

« Que pourrais-je bien faire de vous ? »

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 19 jeudi 24 mai 2012, 14:55:18

Il s'était fait avoir, et en beauté. Comme il avait cessé de se débattre, il voulait toujours défendre son innocence, mais à chaque fois qu'il tentait de parler, il recevait un coup, plus violent que le précédent. Du coup il finit par se terre et à écouter. Elle comptait le juger, c'est donc qu'il était cuit. Quel pouvait être le choix d'une princesse, autre que de le passer au billot ou de lui mettre une corde au cou ? Par contre, il fut surpris des paroles qui suivirent. Silencieux, il baissait le regard et ne faisait qu'écouter docilement, sans comprendre pourquoi elle demandait à ce qu'il soit mené aux appartements de la princesse, plutôt que dans une geôle. Avec sa veine, il était tombé sur une sadique, qui allait vouloir se faire justice elle même et le supplicier jusqu'à temps qu'il meurt.

Docilement, il se laissait attacher, attendant son sort à présent, vu qu'il ne pouvait rien faire d'autre. Lui qui s'était si vivement démené juste avant restait calme, il ne voulait pas goûter la justice populaire, ce serait surement plus douloureux encore que de passer entre les mains de la justice de la princesse. Poussé vers l'avant, il n'avait d'autre choix que de marcher pendant qu'on l'amenait. Il arborait toujours son pantalon et sa chemise ouverte, un peu déchiré, et un garde s'était emparé de son sac. Nul doute qu'il n'en reverrait jamais la couleur.

En remontant au refuge, on l'amena dans la chambre dédiée à la princesse. Il était à deux chambres de la sienne, presque rien, et pourtant il ne risquait pas de s'y rendre. Il y avait suffisamment de gardes pour lui enlever toute envie de fuite quand on lui détacha les poignets. Mais ce n'était que pour mieux les rattacher, avec des fers cette fois, les chaines passées aux poutres du plafond pour le tenir. Ca tirait sur ses bras, il lui manquait à peine une dizaine de centimètres pour toucher le sol, mais là, tout son poid pesait sur ses poignets.

Puis, les gardes sortirent, et il ne lui resta plus qu'à attendre. Une heure au moins, si ce n'est deux, il ne saurait dire. Quand enfin la porte s'ouvrit sur Alice, le regard de l'homme se rembrunit. Il n'avait pas oublié qu'elle l'avait piégé, et qu'il était dans cette situation par sa faute.

Je ne suis pas sûr que remercier soit le bon mot.

Mais en un sens, elle avait un fond de vérité dans ses paroles. Si quelqu'un l'avait vu en train de baiser la princesse, cela aurait pu se retourner contre lui. Et en demandant à ce qu'il soit installé dans cette chambre, il avait évité la vindicte populaire, du moins pour le moment.

Sachez que je ne capture pas n'importe qui, n'importe comment. Et si j'ai pu avoir ce genre de pensées, je ne comptais pas tenter quoique ce soit sans connaitre votre statut et la puissance de votre famille. Maintenant, je suis fixé.

Le fait qu'une noble soit difficile à dresser n'était pas son problème. Certains autres "nobles" aimaient avoir une esclave qui leur tiennent tête, et surement par sadisme, aimaient posséder une noble déchue. Il ne pouvait pas savoir tout ce qui passait par la tête des gens, il s'efforçait seulement de leur donner ce qu'ils voulaient.

Elle venait de lui demander ce qu'elle pourrait faire de lui, et il ne répondit pas. Ce n'était pas à lui de choisir, il n'était pas en position de dire quoique ce soit. Ses bras le tiraient, et un instant il banda les muscles de ses bras pour soulager un peu la tension. L'effort se propagea dans le corps, le torse et les abdominaux contractés également, visible pour la jeune femme avec sa chemise ouverte. Oh, et puis aux diables les convenances, il se décidait après de longues secondes à rétorquer.

Me permettre de repartir d'ici en un seul morceau, ce serait déjà pas mal.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 20 jeudi 24 mai 2012, 22:44:39

Souriant, Alice regardait Cyscek. Sa chemise entrouverte laissait apparaître ses muscles encore trempés, sa peau glabre, et elle se mordilla les lèvres. Il était beau, et, surtout, il était à elle. Résigné, Cyscek contracta ses muscles, les bandant, et finit par répondre. Sortir en un seul morceau... La Princesse eut un sourire amusé, et se rapprocha de lui, glissant ses mains sous sa chemise ouverte, remontant le long de sa peau en caressant avec ses mains son torse, remontant vers ses tétons, les caressant, avant d’aller sur sa nuque, serrant son cou, ses seins frôlant le torse de l’homme.

« Allons, allons, mon cher... Si j’avais voulu vous tuer, je vous aurais laissé faire ce que vous envisagiez de faire avec moi. Et puis... Je ne peux décemment pas tuer quelqu’un qui est aussi talentueux. »

Elle l’embrassa alors à nouveau sur la bouche, et continua à écarter sa chemise, caressant son torse. Oui, il était beau, beau et propre. Et nerveux aussi, ce qui amena Alice à lui mordiller les lèvres, avant de rompre, au bout d’une petite dizaine de secondes, son baiser. Elle s’écarta alors de lui, et ouvrit un placard, en sortant une arme de tranchante, avant de se rapprocher de lui. La lame pointait vers lui, et elle s’approcha lentement, avec un sourire malicieux, laissant l’imagination de Cyscek le travailler. La Princesse se glissa dans son dos, et enfonça la pointe de la lame au milieu de la chemise, la déchirant, enfonçant le poignard dedans, frôlant sa peau.

La Princesse promena alors lentement le couteau, à la lame très tranchante.

« Je vous conseille de ne pas trop remuer, Cyscek... L’acier de ma dague est faite en verredragon, et est très tranchante... »

La pointe de la lame glissait le long du corps de l’homme, remontant le long de son dos, et la chemise finit par tomber. Alice s’écarta alors, et embrassa le dos de l’homme, au niveau de sa nuque, passant ses mains, débarrassées de la dague, devant lui, redescendant ainsi, jusqu’à atteindre son pantalon. De là, elle défit la boucle de sa ceinture, et le pantalon glissa également, ainsi que son sous-vêtement. Cyscek se retrouva donc totalement nu, cible de tous les désirs de la Princesse, qui s’écarta alors de lui, rangeant sa dague dans ses affaires.

« Je vais vous montrer ce qu’on ressent, Cyscek, quand on est dans la peau du prisonnier. C’est toujours important, quand on veut percer dans le domaine de l’esclavage. Vous savez ce qui vous attend si je décide de confirmer mes accusations ? A Sylvandell, on ne vous punira pas en vous fouettant, ou en vous émasculant, non... Voyez-vous, Sylvandell est un royaume de guerriers et de dragons, un royaume qui s’étend dans de hautes montagnes, et pour nos plus grands criminels, nous leur offrons une punition... Mythologique. Nous l’appelons la Croix de Prométhée. »

Alice farfouillait dans ses affaires, et se retourna vers l’homme, continuant à parler tout en se changeant. Elle avait sorti de longs gants noirs en cuir, et commença à les enfiler, tout en parlant, décrivant le supplice de Prométhée :

« Le criminel est attaché à une croix, entièrement nu, et on le cloue sur la croix. Il est crucifié, en somme. On veille à éviter d’enfoncer les clous dans les veines, afin de ne pas le tuer sur le coup, et on fait ensuite glisser la croix le long d’un sentier dans les montagnes. La croix se retrouve devant un immense ravin, et le criminel y pourrit là, pendant des jours. Le froid vient vous glacer les entrailles, et, avec de la chance, un dragon peut venir vous dévorer. Autrement, les corbeaux viennent s’en charger quand votre esprit endormi parvient à s’endormir. Et, chaque matin, nos mages font remonter les croix, nourrissent les criminels avec des rations avariées, soignent leurs blessures les plus profondes, et le supplice, ainsi de suite, se poursuit. Ce tel traitement n’est réservé qu’à ceux qui ont gravement porté atteinte à la Couronne de Sylvandell, que ce soit en blessant les dragons, ou les Korvander. »

La Princesse avait enfilé ses gants, et continuait à s’habiller devant Cyscek, choisissant une tenue appropriée, à savoir de longues bottes blanches et noires en latex. Elle termina enfin, toujours devant Cyscek, par un bustier noir en latex. Se trouvant prête, Alice sortit enfin une cravache, et la fit claquer entre ses doigts.

« Une femme comme moi ne se déplace jamais sans ses accessoires... »

Alice s’approcha, tenant la cravache entre ses doigts. La Princesse exultait, et Cyscek devait commencer à comprendre qu’elle était une masochiste convaincue. Cependant, une masochiste avait toujours en elle un côté sadique prononcé, et elle caressa avec le bout de sa cravache le corps de Cyscek.

« Aujourd’hui, petit esclavagiste, tu vas devenir l’esclave. Ta mort ne figure pas dans mon programme. Si tu me satisfais, tu repartiras avec nous, et tu reprendras ta route. A Sylvandell, tu seras le bienvenu. Pour l’heure, tu es ma proie. Alors... Obéis à ta Maîtresse, vouvoie-moi, montre-moi le respect naturel qui est du aux Princesses, et je ne serais pas trop méchante avec toi. Lèche ! »

Alice ponctua le tout en rapprochant le bout de la cravache des lèvres de Cyscek, caressant ces dernières, un sourire victorieux sur les lèvres. Un sourire de plaisir.

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 21 vendredi 25 mai 2012, 10:12:50

La situation n'était guère enviable, c'est le moins que l'on puisse dire. Il avait beau être un beau parleur, joueur et séducteur quand il le fallait, il comprennait également quand il devait se taire et se faire petit. Bizarrement, le contact des mains d'Alice lui faisait moins d'effet que dans la source. Pourtant, dans sa situation, impossible de se soustraire à ses caresses qu'elle semblait évidemment apprécier. Au moins, ses paroles rassuraient le jeune homme, puisqu'il ne semblait pas que sa mort soit au programme.

Néanmoins, l'apparition de la lame le fit frémir légèrement. Les lèvres toujours closes, il se demandait ce qu'elle souhaitait faire. Pas de mort, mais allait-elle le torturer ? Quand la lame toucha son dos, il essaya de ne pas bouger. Tenter de se soustraire à ce contact ne ferait qu'empirer la situation : s'il se balançait en avant, il allait revenir en arrière et se blesser sur la lame. Autant être le plus statique possible. Un à un, il sentait ses vêtements quitter sa peau pendant qu'Alice prenait un malin plaisir à le déshabiller de la sorte.

Entièrement nu, il ne pouvait en aucun cas cacher son intimité, ni même se protéger de la présence de la jeune femme. Il était à sa merci, et elle le savait. Elle se mit à lui raconter ce que risquaient les criminels à Sylvandell, mais cela, il le savait déjà. C'était le genre de choses que l'on apprennait quand on travaillait dans des domaines peu recommendables, et qui faisait que quand il passait dans ce royaume, il se tenait toujours le mieux possible. Néanmoins l'histoire comme piqure de rappel ne faisait pas de mal. Il risquait gros, et pourtant il ne sentait pas la jeune femme prête à pousser l'expérience jusque là. Il lui avait tout de même offert un bon moment, et cela risquait de continuer, mais serait-elle cruelle au point de lui faire subir ce sort ? Il préfère songer que non.

Le regard sur elle, il mit un moment à comprendre qu'elle changeait complètement de tenue. Il observait, pensant d'abord à une tenue de bourreau, tel que l'on utilise pour supplicier les gens. Mais il n'y avait pas de tablier, et le sang étant assez salissant, cela aurait pu servir. Non, la tenue de la demoiselle semblait bien plus ... Erotique que violente.

Malgré lui, la vue de la jeune femme dans pareille tenue réveillait l'excitation en lui. Offert qu'il était, elle ne pouvait pas louper que le membre de Cyscek était en train de gonfler, la queue se raidissant déjà fortement. Il n'était pas du style à faire dans la demi mesure. L'apparition de la cravache aurait dû le calmer, ce n'est pas trop son truc, mais dans cette situation, il ne pouvait pas se soustraire à son excitation.

Il pinçait ses lèvres, attendant de voir où elle voulait en venir quand elle se mit à lui parler. Le deal était simple, tant qu'il était assez "bon" pour elle, et qu'il la satisfaisait, il aurait donc la vie sauve. C'était ce qu'il cherchait. Et si pour cela il fallait se voir dominer, il laisserait faire. Elle ne peut pas le savoir, mais il était déjà arrivé à Cyscek de se faire dominer par des femmes, des nobles que cela amusaient quand elles souhaitaient un esclave et demandait plus. Il fallait bien se plier parfois aux exigences des clients pour vendre, l'argent avant tout ...

Néanmoins, il n'est pas forcément à l'aise dans ce rôle, car il ne sait pas trop ce qu'elle attend de lui. Une obéissance aveugle ? Peut-il parler, converser avec elle ? C'est elle qui impose les règles, et il va sans dire qu'elle va surement délimiter tout ça très vite. Mais tout de même, il tente.

Bien ... Je vous croyais plus à l'aise dans le rôle du dominé ... Maîtresse ...

Une simple constatation quand à ce qu'ils ont pu faire plus tôt dans le bassin. Elle avait semblé aimer ça, aurait-elle feint le plaisir ? Il ne saurait dire maintenant. Il a mis une intonation plus douce quand il a prononcé le mot maîtresse. S'il devait jouer le rôle de l'esclave, autant bien le faire. Les lèvres de Cyscek étaient restées entrouvertes, et il sortait sa langue délicatement. Le regard cherchait celui d'Alice, et il se mit à lécher le plus sensuellement possible le bout de la cravache. Plusieurs petits coups de langue, qui laissaient des traces humides de salive sur le cuir.

Peut-être voudriez vous tester par vous même mes coups de langue, maîtresse ?

Si elle voulait un esclave muet, ce n'est pas de bol pour lui. Il préférait continuer dans le style de jeu qu'ils avaient instauré auparavant, et provoquer légèrement, tout en restant soumis. La position dans laquelle il est compromet toutefois sa proposition, car elle aurait bien du mal à se placer de façon à ce qu'il use de sa langue sur elle.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 22 vendredi 25 mai 2012, 18:17:37

Une pointe se dressait entre les jambes de Cyscek, faisant sourire Alice. Miam ! Voilà qui était appétissant. Elle enfonça un peu la cravache dans sa bouche, sentant des picotements de plaisir remonter le long de son corps. Alice ne répondit pas à la remarque de Cyscek. La Princesse était une jeune femme soumise, mais elle avait aussi, en elle, le sang bouillonnant du dragon. Elle était donc à la fois une femme appréciant la soumission et la domination. Et qui mieux qu’une soumise pour exercer le rôle d’une maîtresse ? Elle comptait s’amuser avec cet esclavagiste. Le tuer n’était nullement dans ses intentions, mais qu’il le pense n’était pas sans lui déplaire. Elle le laissa continuer à sucer la cravache, l’enfonçant dans sa gorge, et la retira soudain.

« Peut-être voudriez vous tester par vous même mes coups de langue, maîtresse ? »

Elle lui sourit, révéla la cravache, et l’abattit alors sur sa joue gauche. Un claquement qui l’amena à se mordiller les lèvres. Elle s’amusait comme une gamine, ressemblant presque à une espèce de psychopathe qui s’extasiait de faire souffrir quelqu’un.

« Je crois plutôt que je vais tester mes coups de fouet sur ton dos ! Mais, avant ça... »

Elle abandonna la cravache, et se changea à nouveau. Elle se vêtit ainsi d’une minijupe noire, et alla chercher dans ses affaires un outil approprié, ce qui l’amena à remplacer la cravache pour un fouet. Elle le fit claquer dans le vide, et le fouet, en fendant l’air, produisit ce son si caractéristique, qui l’amena à se mordre les lèvres. Il n’était pas très tranchant, ce qui éviterait ainsi à Cyscek d’avoir le dos lacéré... Mais il aurait quand même mal. Alice se retourna vers lui, et s’avança lentement, faisant claquer ses talons. Elle se glissa dans son dos, et caressa avec ses ongles son dos.

« Miam... Je vais adorer te fouetter, mon petit esclave ! Et tu apprendras ainsi qu’on ne parle que quand sa Maîtresse t’en donne l’autorisation, insolent ! »

Elle y prenait facilement goût. La domination était l’apanage des Princesses, après tout, et Alice ne comptait pas faire exception à la règle. S’écartant de quelques mètres, elle fit à nouveau claquer le fouet, et l’abattit alors en plein milieu du dos de Cyscek. Le son que le fouet produisait en claquant sur la peau était divin, et elle l’abattit à nouveau, puis une troisième fois. Des marques rouges ornaient le dos de Cyscek, mais, si ça avait été un véritable fouet, comme celui que les bourreaux portent, sa peau aurait été déchiquetée. Elle abattit encore le fouet à plusieurs reprises, et s’arrêta ensuite.

« Je pourrais faire ça toute la journée ! C’est... C’est tellement BON ! »

La vicieuse Princesse caressa les plaies de Cyscek, grattant à nouveau son dos, et commença à le masturber. Elle enfonçait légèrement ses dents dans sa chair lors de ses baisers, et promena avec une lenteur infinie sa main gantée sur son membre, la remuant de bas en haut, emprisonnant ce morceau de chair entre ses doigts. Elle continua à le prendre, à remuer sa main, tout en susurrant dans le creux de son oreille :

« Tu auras encore l’occasion de rentrer en moi, esclave... Tu feras ce que je t’ordonne de faire. Quand je te demanderai de m’insulter, tu le feras. Sinon, tu découvriras que les griffes d’un dragon sont mortelles. »

Après ce conseil doublé d’un avertissement, la Princesse alla chercher un nouvel accessoire, un collier avec une laisse, qu’elle enroula autour du cou de l’homme, avant de le relâcher. Elle libéra ses mains, et il tomba sur le sol, tandis qu’elle allait s’asseoir sur un fauteuil, croisant alors ses jambes. Elle tenait avec l’une de ses mains le bout de la laisse de Cyscek. Excitée comme une puce, la Princesse lâcha :

« Marche à quatre pattes, mon petit chien, et viens lécher mes bottes... »

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 23 mardi 26 juin 2012, 12:13:14

Cyscek regrettait de plus en plus la situation dans laquelle il s'était embarqué. S'il avait su à qui il avait affaire, nul doute qu'il n'aurait rien tenté à la piscine. Mais à présent, il était trop tard pour s'en soucier ou pour vouloir faire autrement. Il était pris au piège et au bon vouloir de la jeune princesse. Après sa phrase, il interrogeait Alice du regard, qui enfonçait alors la cravache un peu plus loin. Il sentait la salive abonder dans sa bouche quand un haut le coeur le prenait, mais il tenait bon, et fut bien heureux quand elle sortait enfin la cravache de sa bouche.

Comme il vous plaira, maîtresse.

L'idée du fouet ne le comblait pas du tout, mais il ne pouvait pas dire non, sans quoi ce serait surement pire. Il ne la voyait plus, pendant qu'elle se changeait puis venait lui gratter le dos, et il se pinça les lèvres quand elle le réprimanda sur le fait qu'il parlait. A quoi bon tenter de réfuter ? Il aurait d'autant plus mal s'il lui tenait tête. Le bruit des talons sur le sol lui indiquait que la jeune femme s'était reculée dans son dos, et il serra plus fort encore sa machoire. Le premier coup de fouet lui fit l'effet d'une vive piqure, dont la douleur irradiait le long de son dos.

Hmm !

Il avait tenu bon, la bouche fermée, et il parvint même sur les coups suivants à retenir sa respiration afin de ne pas émettre le moindre bruit. Son dos le brûlait, et même si elle n'avait pas un vrai fouet de bourreau, lui ne sentait pas la différence pour le moment. Il n'a jamais été fouetté, alors pour ce qu'il en sait, il pourrait bien avoir le dos en lambeau. Le seul indice est qu'il ne sentait pas de sang couler, et cela le rassurait un peu. Les coups qu'elle ajouta ne lui firent presque rien. En effet, la peau déjà rougie par les premiers coups et les terminaisons nerveuses en ébullition, il ressentait bien moins la douleur vive quand le fouet touchait, couvert par la douleur continue des premiers coups.

Il se détendit un peu quand il entendit à nouveau les talons, et la jeune femme s'approcher. Le contact des ongles sur sa peau n'était pas désagréable, cela atténuait un peu la douleur, mais sous peu l'effet serait surement inverse. Il eut un sursaut quand une main vint s'emparer de sa queue. Il n'avait pas débandé, et à dire vrai il n'y avait même pas prêté attention. La bouche toujours scellée, il ne répondait pas aux paroles de la princesse. Il agirait tel qu'elle le voulait, ni plus, ni moins. Un peu de liquide séminal coulait sur le haut du gland dans les vas et vients du poignet d'Alice, et il regretta presque que la main s'ôte de là.

Allait-elle recommencer avec le fouet ? Il le craignait, mais c'était tout autre chose qui l'attendait. Aucune tentative de mouvement pendant qu'elle lui passait le collier, mais un soupir d'aise lui échappa quand elle détacha ses mains. Les bras endoloris par la position, il portait instinctivement ses mains à ses bras pour les masser un peu et essayer d'évacuer les tensions. Il n'eut pas trop le temps de faire ce qu'il voulait, car il vit le mouvement de la jeune femme, qui rejoignait un fauteuil, tenant la laisse reliée à son cou. Elle savait qu'elle le tenait, à le laisser ainsi libre de ses mouvements. Mais en même temps, elle jouait avec le feu : si elle allait trop loin, il pouvait bien réagir, se retourner contre elle et la tuer. Après tout, si cela devenait trop dur pour lui, il prendrait la voie expéditive.

Bien sûr, s'en prendre à elle signifiait son agonie et sa mort, car il ne ressortirait surement pas d'ici indemne, mais il aurait eu sa vengeance. Elle devait se douter de ce cas de figure, s'il agissait en homme désespéré, et cela le confortait dans son esprit, qu'elle n'irait pas plus loin que ce jeu malsain et sexuel.

Il sentit la corde se tendre à son cou, et il lança ses mains pour se rattraper au sol. Comme elle le demandait, il avança à quatre pattes, la tête baissée, en direction de la jeune femme. Le voilà qui se retrouvait aux pieds de cette dernière, et il relevait la tête juste pour entendre l'ordre d'Alice. Il mit quelques secondes à se décider, puis lentement il baissait la tête, pour passer sa langue le long de la première botte. Le contact du latex était étrange contre sa langue, il passait ensuite sur les lacets sur le côté, avant de s'en prendre à l'autre botte. Mais là, il relevait un peu la tête pour fixer la jeune femme dans les yeux pendant qu'il léchait le haut de la botte, prenant soin de ne pas toucher la peau de la demoiselle, il obéissait à ses ordres en donnant des coups de langue plus ou moins appuyés sur toute la longueur de la botte.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 24 mardi 26 juin 2012, 23:33:43

« Comme il vous plaira, maîtresse. »

Maîtresse... C’est fou, ce que ce mot sonnait bien aux oreilles de la vicieuse Princesse ! Elle ne l’aurait jamais avoué devant sa femme, mais Alice avait en elle des pulsions dominatrices inavouées. L’héritage de sa famille. Elle était une Princesse après tout. Une femme faite pour gouverner, pour dominer. Et elle serait une frêle femme dans un environnement de brutes, de soldats virils, de mâles biens bâtis, et elle devrait les commander, parfois les juger, parfois être sévère envers eux. Son père se plaisait à affirmer que c’était aux Rois d’organiser les mises à mort que leurs juges décrétaient. Un jour, Alice tiendrait une hache, et devrait l’abattre sur le cou des traîtres, des félons, des violeurs, et des meurtriers. Elle avait en elle cette germe de puissance latente, et, quand elle avait l’occasion de l’exprimer, elle ne comptait pas passer à côté.

Cyscek sembla hésiter, mais finit par obtempérer, bien conscient de la situation délicate dans laquelle il s’était plongé. L’homme avait joué, et avait même bien joué, mais il était tombé sur plus retors que lui. On ne se méfiait pas assez des jolis minois, et, si Alice avait réellement le cœur sur la main, elle pouvait aussi être sacrément peau de vache. Le malheureux esclavagiste en avait fait les frais.

*Est-il si malheureux que ça, après tout ? Je ne fais que lui apprendre les règles rudimentaires que tout esclavagiste, ou, généralement, tout commerçant devrait savoir. Ne jamais s’en prendre à un client potentiel.*

Sylvandell, après tout, était une nation esclavagiste. Et, si, dans le circuit commercial, l’apport du royaume consistait surtout à fournir des esclaves, il arrivait aussi que le royaume fasse des achats. Cyscek était à vrai dire plutôt chanceux. Non seulement il allait s’en sortir indemne (ou presque), mais il apprendrait également quelques règles fondamentales. Alice estimait même qu’elle était trop gentille !

« Là... Lèche, mon beau, lèche... Et n’oublie pas que j’ai deux bottes... »

Alice le regardait, approchant son autre pied pour frotter la joue de l’homme, un sourire sur les lèvres. Oui, elle ne voulait pas en perdre une miette. C’était tout simplement délicieux ! Son sourire ravi témoignait du fait qu’elle s’amusait comme une espèce de grand enfant, de gamine capricieuse à qui on venait d’accorder son souhait. Elle le laissa faire, tirant parfois un peu sur la laisse, et se mit à parler :

« Tu sais, il existe deux genres d’esclavagistes. Les grands, et les petits. Les grands ont des domaines immenses, et entre les mains de grandes fortunes, et doivent dresser des centaines et des centaines d’esclaves. Je les appelle les ‘‘esclavagistes industriels’’, car leurs esclaves sont généralement destinées à l’agriculture, ou aux usines, aux forges, ce genre de choses. »

Sakura avait été capturée et dressée par l’un de ces esclavagistes. Quelqu’un qui avait la charge de centaines, voire de milliers d’esclaves, et qui, partant de là, ne pouvait faire preuve que de cruauté pour les dresser rapidement. Un dressage imparfait, naturellement, car la peur, si elle était efficace sur le court terme, l’était beaucoup moins sur le long terme. Pour dresser un esclave, il fallait continuer à le battre, le fouet, le torturer, le martyriser. Étant dans les hautes sphères, Sylvandell savait qu’il existait au sein des guildes esclavagistes des accords pour interdire certaines formes de tortures, l’objectif de l’esclavage n’étant pas de fournir des infirmes ou des légumes, mais des individus un tant soit peu viables.

« Les petits esclavagistes, quant à eux, peuvent être qualifiés d’‘‘esclavagistes de luxe’’. Ce sont des gens qui considèrent que la qualité est plus importante que la quantité, et qui ont sensiblement moins d’esclaves, et prennent ainsi le temps de les dresser, les éduquer. Ces dits esclaves ont une valeur ajoutée bien plus importante que les esclaves de base, et finissent généralement majordomes, gardes d’élite, ou prostitués de luxe. »

Sans parler des écrivains fantômes, des esclaves-artistes, et de tous ces petits groupes dérivés, mais qui existaient malgré tout. Il allait de soi que la Princesse préférait ce genre d’esclavagistes, car ils ne faisaient pas excessivement preuve de cruauté. En pensant à ça, elle avait naturellement en tête les Warren, qui étaient depuis des siècles liés par un contrat d’exploitation envers Sylvandell.

« Alors, dis-moi... Toi qui ressens maintenant ce qu’un esclave doit ressentir face à son maître... Ce mélange de rage, de frustration, et de peur... Toi qui as envie de me battre, mais qui n’ose pas parce qu’il sait que je serais encore plus cruelle... Quel genre d’esclavagiste seras-tu ? »

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 25 mercredi 27 juin 2012, 10:15:09

Forcé, humilié, il écoutait sans broncher les dires de la princesse. Que pouvait-il faire d'autres ? Rien. Il prenait cela comme un mauvais moment à passer. Plus il se montrerait docile, mieux ça se passerait. Il est bien placé pour le savoir, puisqu'il traite avec des esclaves tous les jours. Généralement, ces derniers comprennent vite où est leur intérêt : dans l'obéissance. Se rebeller n'apporte que des ennuis et des remontrances.

Il écoutait donc, sage et appliqué dans ses coups de langue. Ce n'est ni désagréable ni agréable, ce qui rend la chose un peu plus facile. A chaque fois qu'elle parlait, il avait envie de répondre, d'argumenter et de donner son point de vue. Mais il se retenait pour s'en tenir à ce qu'elle avait demandé. Il ne devait pas parler si elle ne l'y autorisait pas, et ce n'était clairement pas le cas.

Pourtant, enfin, quand il ne s'y attendait plus, elle lui donnait la parole, lui demandant son avis après son explication sur les groupes d'esclaves. Il lui fallait peser ses mots et réfléchir sa réponse, si bien que pendant quelques secondes il restait muet, avant de répondre à la princesse.

On ne change pas sa nature du jour au lendemain. Je suis ce que vous appelez un petit esclavagiste, et j'ai depuis longtemps compris que la valeur de la marchandise dépend de la façon dont on la traite.

Il entrecoupait ses paroles par des petits coups de langue sur la botte, l'un d'eux effleurant la peau du mollet de la jeune femme à travers les lacets sur le côté, alors qu'il reprenait.

Vous avez bien vu comment je vous ai approché, ce n'était pas par la force comme le font les esclavagistes de masse.

Ca, elle ne pouvait le nier. Il s'était montré courtois et charmeur. Bien sûr, il y a toujours une phase ou l'on doit forcer l'esclave à se soumettre, et même s'il arrivait à Cyscek d'user de la force, ce n'était pas au point de torturer les esclaves et de les malmener comme cela peut se faire dans les grands enclos des esclavagistes de masse.

Si d'ailleurs, vous cherchez des esclaves bien formés, je serai ravi de vous en fournir, maîtresse.

Il remontait un peu sa tête, afin de se rapprocher des genoux d'Alice. En effet, les bottes se prolongeaient au bas des cuisses, et il venait à présent lécher le latex à cet endroit là, la tête pratiquement posée sur ses cuisses. Elle pourra sans nul doute remarquer qu'il jette des coups d'oeil vers son entrejambe plongée dans l'obscurité par la jupe, entrecoupé par des oeillades au regard d'Alice. De s'être un peu redressé de la sorte lui permettait de ne pas à avoir tout son poids sur ses mains, et il en profitait pour se dégourdir un peu les muscles des bras après sa suspension prolongée au plafond.

Jusqu'ici, il s'était comporté comme un esclave modèle, et il espérait qu'elle en tienne compte. Il a longtemps observé ceux qu'ils soumettaient, il ne fait qu'appliquer ce qu'il leur demandait de faire. Ce n'était pas si sorcier au final, surtout qu'il garde son propre jugement. Il sait de plus qu'elle est en partie sadique mais aussi joueuse, et qu'elle ne devrait pas le faire abattre, sauf geste stupide de sa part.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 26 jeudi 28 juin 2012, 00:54:54

« On ne change pas sa nature du jour au lendemain. Je suis ce que vous appelez un petit esclavagiste, et j'ai depuis longtemps compris que la valeur de la marchandise dépend de la façon dont on la traite. »

Avant de répondre, Cyscek avait attendu. Comme s’il analysait ce que la Princesse disait, et qu’il cherchait la meilleure réponse à même de la satisfaire. Il affirma donc être un esclavagiste de luxe, en avançant pour preuve la manière dont il avait abordé Alice. N’ayant pas spécialement envie de rentrer dans cette discussion avec lui, elle ne releva que, peu importe l’esclavagiste, un énergumène qui aurait débarqué dans la piscine avec de la drogue, et l’aurait menacé avec un couteau n’était pas pour elle un esclavagiste, mais un suicidaire. Il restait encore à déterminer ce qu’il aurait fait après avoir capturé la Princesse, mais c’était ici entrer dans des suppositions et des hypothèses complètement dénuées d’intérêt.

Au lieu de ça, Alice fixa silencieusement Cyscek. La bouche de ce dernier remontait le long de sa jambe, suivant sa botte, et elle sentait son souffle s’accélérer et se précipiter, au fur et à mesure que la bouche de l’homme se rapprochait de son intimité. Voilà qui devenait intéressant... Serrant les lèvres, la Princesse de Sylvandell tâcha de se calmer, tout en sentant son plaisir monter graduellement.

« Si d'ailleurs, vous cherchez des esclaves bien formés, je serai ravi de vous en fournir, maîtresse. »

Devant cette marque de culot, la Princesse ne put s’empêcher de sourire. Elle récupéra une cravache qui traînait par là, et en caressa le dos de l’homme, lentement et délicatement.

« Tu ne manques pas de culot, mon beau. »

De plus, ce n’était pas à elle de s’occuper des esclaves. La tâche incombait au Roi ou à la Reine, sous les conseils avisés du Trésorier. Alice, elle, n’avait aucun rôle, si ce n’est celui de conseiller son père quand elle craquait sur tel ou tel esclave.

« Mon royaume organise des foires, expliqua Alice pensivement. Vous n’aurez qu’à y tenir un stand. »

Les foires avaient lieu sur la partie haute de la ville, dans les grandes plaines, et attiraient généralement du monde. Il n’y avait essentiellement que des esclaves ashnardiens. Guerre oblige, les Nexusiens n’étaient pas admis. Alice remonta sa cravache, caressant les cheveux de l’homme. Elle s’amusait énormément, et donna la suite de ses instructions :

« Ôte ma minijupe, esclave, et... Lèche ma culotte, puisque tu as l’air d’aimer l’idée de lécher mes vêtements. »

La voix de la Princesse tremblotait légèrement, signe du plaisir qu’elle ressentait, un plaisir de plus en plus intense.

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 27 mardi 03 juillet 2012, 14:49:03

Le contact de la cravache sur son dos encore douloureux le fit frissonner. Il s'attendait à ce qu'elle en abatte l'embout contre son dos à tout moment, pour lui rappeler qui commandait dans cette pièce. D'une manière plus générale, elle commandait de toute façon tout le temps. En tant que princesse, elle devait avoir des hordes de serviteurs, et ne pas être habituée à autre chose. Elle lui parlait, et lui ne répondait pas, comme elle le lui a demandé. C'était assez simple en fait, et ça ne le dérangeait plus vraiment. Il n'avait qu'à attendre et obéir, alors tant que cela lui plaisait aussi, il ne voit pas pourquoi il devrait s'en plaindre.

Il avait déjà tenu un stand dans son royaume, sans savoir que c'était le sien, bien évidemment, et qu'un jour elle en serait la reine. Si elle parlait du futur ainsi, c'est qu'elle comptait le relâcher, comme promis, et cela lui plaisait. Il était en train d'y réfléchir quand elle lui donnait un ordre. Lentement, il se redressait un peu, toujours à genoux devant elle, et portait ses mains à la jupe de la princesse. Les doigts s'attardaient sur l'attache, pour la faire sauter puis faire glisser la jupe. Dans le mouvement, les doigts effleuraient le long des cuisses. Elle se mettait presque à nue, ce qui donnait une forme très ambigüe à la relation : elle dominait, et pourtant elle s'offrait dans toute sa fragilité.

Bien, maîtresse.

C'est tout ce qu'il s'autorisera à dire à la demoiselle. Il se penchait alors en avant, la tête venant entre les cuisses d'Alice légèrement ouvertes. Il humait un instant le sous vêtement, pour y sentir le désir en émaner, avant de donner un coup de langue sur le tissu. Le contact était beaucoup plus rèche qu'avec les bottes, toutes lisses. Il savait où passer, et sa langue longea l'endroit où était censé se trouver la fente de la jeune femme.

Il prêtait l'oreille à la respiration de la demoiselle, à ses réactions, alors que la langue se faisait plus pressante à travers le tissu. Le bout de cette dernière appuyait plus fort quand il sentit qu'il était au dessus du clitoris de la princesse, pour l'émoustiller un peu plus. De part sa position, il essayait de jeter des coups d'oeil vers le haut, mais ce n'était pas facile, et tout ce qu'il pouvait voir, c'était les deux monts de Venus d'Alice, comprimés dans le bustier en latex. Elle semblait apprécier, et après de longues secondes, il se permit de remonter une main. Cette dernière se refermait sur un des seins de la jeune femme, pour le presser à travers le latex. Dans le même temps, il appréhendait, se doutant que la cravache n'allait pas tarder à le frapper dans le dos.

C'était une tentative de sa part, si ça se trouve elle allait aimer et ne rien faire, il ne pouvait pas deviner à l'avance. En tout cas, il léchait toujours avec application, humidifiant la culotte de sa salive, mais il sentait que de l'autre côté également le tissu commençait à s'imbiber.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 28 mardi 03 juillet 2012, 22:20:15

Cyscek devenait obéissant, et il fallait dire que ce spectacle était très enrichissant pour Alice. La Princesse eut un large sourire en le voyant dégrafer sa minijupe. Cette dernière tomba par terre, et il posa ses lèvres sur sa culotte, commençant à la lécher, s’appuyant sur ses genoux. La parfaite position du petit chien. Sa langue se promenait entre ses cuisses, et Alice, tendant une main, caressait ses cheveux lentement, tout en utilisant sa cravache pour caresser à nouveau son dos. Ce que c’était bon... Elle sentait la langue de l’homme sur son tissu, réveillant en elle de vieux fantasmes. La Princesse sentit son intimité se vider, et elle se mit à mouiller lentement, mais sûrement. C’était tout simplement délicieux.

« Hum... Haaa, oui, encore, encore, mon petit chien... »

L’homme continuait dans sa lancée, sa langue remontant sur son tissu. Difficile de dire en quoi elle trouvait ça excitant, mais c’était... Et bien, tout simplement délicieux. La Princesse adorait ça. Elle se laissait faire, continuant à gémir, yeux fermés... Jusqu’à ce que le jeune esclavagiste dépasse ses attributions, en allant pétrir l’un de ses seins. Oui, c’était agréable, c’était délicieux, mais... Ce n’était pas ce qu’Alice avait demandé. Elle dut à moitié se faire violence, mais, après tout, elle était partie du principe qu’elle lui faisait une leçon. Son coup de cravache claqua sur le dos de l’homme, et elle eut un sourire de plaisir, avant de baisser la tête vers lui.

« Tût-tût, mon petit... Je t’ai demandé de lécher ma culotte. Inutile de faire du zèle. »

Elle le regarda avec un léger sourire, et, pour la forme, mais aussi parce qu’elle aimait bien, elle fit à nouveau claquer la cravache. La Princesse s’écarta alors, montrant son postérieur. Une chance pour Cyscek : le sentir lécher sa culotte l’avait passablement excité.

« Allez, je vais être généreuse. Ôte-moi ma culotte, et... Occupe-toi de mon derrière, il s’ennuie. »

Cyscek

Humain(e)

Re : Avoir les yeux plus gros que le ventre [Cyscek]

Réponse 29 vendredi 06 juillet 2012, 11:07:12

Intérieurement, Cyscek souriait. Il ne pouvait le faire réellement, d'une part parce que peut-être qu'Alice n'apprécierait pas, d'autre part parce qu'à lécher la culotte, il ne pouvait tout simplement pas. Il l'entendait se pâmer de plaisir, suffisante dans sa manière d'être, si convaincue de sa supériorité. Mais il ne désespérait pas de pouvoir lui faire la leçon, un peu comme dans le bassin, qu'elle se retrouve à la place de la frêle jeune femme sans défense.

A attendre le coup de cravache, il vint. Stoppant un instant ses coups de langue, il ne regrettait pas pour autant d'avoir pétri le sein de la princesse. Néanmoins, il ôtait sa main, obéissant à ce qu'elle demandait. Il perçut le second coup comme une injustice, il ne méritait surement pas deux coups pour ce qu'il avait fait, pas avec la manière dont elle avait soupiré quand il avait pressé le sein au creu de sa paume.

Forcé de se redresser comme elle se tournait, il la fixait sans comprendre au départ où elle voulait en venir. Les paroles d'Alice eurent tôt fait de le lui expliquer. Pendant quelques secondes il lorgna sur le postérieur contenu dans la culotte. Sans un mot, il portait ses mains aux hanches de la jeune femme pour attraper le tissu, et lentement le faire descendre le long des cuisses lisses, dévoilant les fesses et l'intimité d'Alice.

Restait à savoir comment s'en occuper. Elle n'avait pas donner de directives, ce qui devait vouloir dire qu'il allait faire ce qu'il voulait, dans la mesure du raisonnable. Il se pencha d'abord pour donner plusieurs longs coups de langue le long des fesses d'Alice, se rapprochant un peu de sa raie à chaque passage. Quand il estima être assez proche, il joignait ses mains au niveau des fesses pour écarter ses dernières et lui donner libre accès. Sa langue glissa contre la vulve et l'anus de la princesse en un lent mouvement, qu'il réitéra plusieurs fois. Le bout de la langue s'attardait parfois sur un orifice ou l'autre, appuyant dessus pour la titiller un peu plus.

Cela ne semblait pas le déranger le moins du monde, d'autant plus qu'elle non plus. Après un moment à s'occuper d'elle comme ça, il décalait à peine sa tête pour laisser approcher une main. L'index venait caresser son oeillet, se couvrant de salive, avant de s'enfoncer de deux phalanges dans l'orifice serré d'Alice. Il murmurait alors.

Comme cela maîtresse ?

Le doigt remuait faiblement en elle, il venait ajouter un coup de langue sur le clitoris de la jeune femme. Dans une telle position de soumise, elle était pourtant toujours la décisionnaire, ce qui ne le dérangeait plus outre mesure.


Répondre
Tags :