C'était simple, à force de jouer avec le feu, la mèche finit un jour ou l'autre par s'embraser et c'était ce qui venait de se passer avec cette folle! Yuka ignorait si elle comptait juste jouer avec son corps ou la battre à mort mais là, c'était trop! En temps normal, elle se serait montrer plus tenace et moins facile à maitriser mais sa sœur et ses coups en douces, c'était vraiment bien elle pour la piéger juste pour qu'elle puisse pouffer de rire en rigolant de sa sœur! Autant Yuka restait assez douce, elle, elle n'hésitait pas à la foutre dans la merde jusqu'au cou! Le fait de ne pas savoir si elle était employée ou non par elle rendait la chose encore plus compliqué et chiant à prévoir! Mais voilà, drogue, sexe et domination donnaient comme résultat une petite dépravée sexuelle!
Qui oserait croire que cette petite bourgeoise arrogante et future esclavagiste soit si acro à la domination? Dans le sens inverse, elle, la dominé – à l'extrême – et quelqu'un pour la dominer? Eh oui, il faut de tout pour faire un monde! Et pourtant, en dehors du sexe, elle était plutôt dominante, une telle variante était étrange! Se jetant littéralement au cou de la folle, Yuka n'attendait qu'une chose, avoir une dominante comme partenaire, une femme qui irait la tenir en laisse et lui donner des ordres, quitte à devenir dur et à la frapper à l'aide d'instrument amusant prévu à cet effet. Insulté cette folle de garce serait surement un moyen efficace de la faire changer d'avis et de l'envoyé dans la direction que voulait Yuka.
Mais ça fonctionnait en plus! Dans un certain sens ce n'était pas ça mais elle pouvait facilement rectifier le tir. Sa main écarté, elle fut bloquée sur le ventre au sol, avec cette folle pour la punir! Assise sur son dos – c'était tout ce qu'elle méritait! –, elle continuait de jouer avec elle et ça commençait à être bon pour Yuka! Malgré l'humiliation de ne pouvoir tenir tête à cette femme, elle trouvait son pied à être en mauvaise posture, son intimité caressée par cette femme étrange. Son dernier avertissement eut de quoi la provoquer! Oh oui, Yuka aurait aimé répondre, alors soit méchante et punie moi, mais il lui restait encore un peu trop de fierté pour cela. Seule sa sœur ou Alice pouvait la voir en soumise pure et simple qui allait même à réclamer une bonne claque sur ses petites fesses. En dehors, elle faisait tout pour provoquer cela en faisant croire que ce n'était pas volontaire, si certaines personnes y voyaient que du feu, d'autres voyaient la réalité. Que ce soit ses doigts qu'elle commençait à sentir en elle ou sa langue passant sur son oreille, Yuka adorait ce qui commençait à se produire.
Les caresses sur son corps étaient tout aussi excitantes et elle ne pouvait donc que gémir en feintant son désaccord qui était bien là malgré qu'il n'y a pas deux minutes, elle avait bien demandé à la prendre... la drogue ne faisait pas entièrement son effet mais ce n'était pas grave, même sans, elle allait finir par succomber, il fallait juste un petit peu de patience pour la soumettre totalement. Quand ce fut la pause pour changer un peu de position, la petite claque sur ses fesses avait eu de quoi lui faire plaisir et ça s'entendait, par le petit cris de plaisir qu'elle avait lâché avec une voix purement érotique. Obéissant, elle se mit à quatre pattes mais elle ne pouvait pas encore s'offrir comme ça a une gueuse, il lui faudrait un peu de patience encore pour ça. Quoi que, patience et plaisir ne s'accordent pas toujours, surtout quand la drogue avait l'effet d'un yo-yo. Parfois inutile, parfois à son paroxysme de l'aphrodisiaque, parfois plat...
Yuka était bien à quatre pattes, mais sa tête était retourné vers la folle, son regard lançait à la fois un défi et un supplice. Elle agitait doucement ses petites fesses de gauche à droite, comme un pendule pour l'hypnotiser, son sourire plus hautain que jamais, elle attendait qu'une chose et ça se voyait comme le nez au milieu du visage.
« Qu'est-ce que tu attends? Viens me prendre, espèce de sale folle maniaque sexuelle! »
C'était gentil comme insulte, surtout pour elle qui avait vu la petite bourgeoise sans culotte même si elle n'avait pas eu le fin mot de l'histoire. Étirrant une nouvelle fois son petit sourire un peu plus, elle ponctua d'une dernière phrase, de la pure provocation!
« Où a moins que tu ne sois pas capable de me prendre sauvagement? Comme c'est mignon? Tu joues les gros durs mais... tu ne sais rien faire? Héhéhé... »
Là, c'était quitte ou double!