Etudiante dans le métro [PV Mach Bonin]

La journée touchait à sa fin et Ève rentrait chez elle. Elle avait passé l'après midi au centre commercial pour acheter une ou deux tenues et faire quelques courses. Armée d'un paquet, elle décida de prendre le métro pour rentrer chez elle. Après une journée à piétiner, elle commençait à avoir mal aux pieds avec ses talons hauts. Elle se faufila donc dans les couloirs du métro et prit un ticket. Il y avait foule sur le quai. C'était l'heure de pointe où tout le monde rentrait chez soit. Il allait falloir jouer des coudes pour avancer mais ce serait toujours mieux que de faire trente minutes de marche pour retourner à son appartement. La rame de métro finit par arriver et tout le monde s'engouffra dans les wagons, Eve comme les autres. Inutile de dire qu'elle ne trouva aucune place et fut bien contente de pouvoir s'accrocher à une des barres centrales. Elle déposa son paquet au sol et s'agrippa fortement à la barre quand le wagon démarra. Elle en avait pour un petit moment.

Cela faisait à peine trois minutes qu'elle était dans la rame que celle-ci s'arrêta pour charger de nouveaux passagers. Ceux entrant plaquèrent la jeune femme un peu plus contre la barre la faisant réagir involontairement. La barre se colla entre ses cuisses et son pubis entra en contact avec le métal. Eve frissonna, trouvant cela agréable. Nympho comme elle était, elle ne pouvait qu'aimer. Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle mais personne ne semblait faire attention à elle. Elle se colla alors un peu plus contre la barre, se pressant plus ou moins contre elle, s'excitant doucement. Elle sentait déjà son sexe s'humidifier et mouiller son string. C'était excitant pour elle de se faire ce genre de chose en public. Elle continua son petit jeu un moment avant de soulever légèrement sa jupe pour laisse son bas ventre en contact direct avec le métal. Sa jupe plissée noire était du genre ultra courte. Elle cachait le strict minimum et lui arrivait juste en dessous des fesses. Elle n'avait pas grand chose à faire pour la soulever mais c'était difficilement visible pour les autres. Sa tenue se complétait d'une paire de cuissardes noires et d'un T-shirt moulant blanc. Elle s'habillait toujours de façon provocante. Elle attirait plus facilement de possible partenaire et puis elle était bien fichue, elle pouvait bien s'habiller comme elle voulait.

La jeune femme commença à glisser sur la barre. C'était quelque chose d'assez discret, il fallait vraiment rester les yeux braqués sur elle pour s'en rendre compte. Elle alterna alors les moments de pression et les moments où elle glissait dessus. Elle se dit qu'elle aurait intérêt à vivement se masturber après ça, voir à se trouver quelqu'un mais en attendant, elle s'amusait de cette situation encore inédite pour elle.  Eve prenait un grand plaisir et mouillait de plus en plus. Son sexe tressaillait d'envie et Eve se demandait si elle arriverait à jouir juste comme ça. C'était peu probable mais intéressant à tester. Elle continua donc son petit jeu avec délice.

La journée avait été plutôt calme pour Mach, bien que ses pérégrinations l’aient tout de même conduit bien loin de son quartier de résidence. Si bien que pour éviter d’avoir plusieurs heures de marches, l’homme décida de prendre le métro. Et évidemment, cela se fit à l’heure de pointe, et un monde fou se trouvait sur les quais. A tel point d’ailleurs, qu’il dut attendre le deuxième ou troisième métro pour enfin arriver à embarquer dans l’un des wagons. Inutile de préciser donc que ce dernier était assez remplit, ce qui le fit soupirer. Mais, ce n’était pas réellement ce qui le dérangeait au fond, même si être pressé comme une sardine contre d’autres gens étaient assez peu confortable, surtout quand il s’agissait d’hommes.

Cependant, l’home ne pouvait y faire grand-chose, et se contenta donc de rester là où il était, sans trop chercher à poser son regard sur quelqu’un, et s’était loin d’être facile de fixer son regard quelque part, en partie quand on était plus ou moins secoué à cause des mouvements de foules à cause du mouvement de la rame en elle-même. Heureusement que pour une fois, il n’avait pas d’armes sur lui, fait rare, hormis peut être un simple couteau planqué sur sa jambe. Il allait donc devoir prendre son mal en patience, car il avait beaucoup d’arrêts avant d’arriver au sien. Ainsi, il suivit les mouvements de foule, ayant plus ou moins de place selon les moments.

S’est alors qu’il posa son regard sur une jeune femme, des plus jolies qui  plus ait, sans compter qu’elle semblait s’être habillée de façon sexy volontairement en plus. Elle se trouvait non loin de lui, et avait visiblement été collée à une barre du wagon. Mais, ce qui attira bien vite son attention, fut le léger mouvement qu’elle faisait contre cette dernière.

*Hmmm…Certains aiment ce genre d’endroit pour s’exciter on dirait !*

Pensa le mercenaire alors qu’un sourire amusé, mais aussi montrant bien qu’il avait une idée qui germait, apparaissait sur son visage. D’ailleurs, il semblait déceler une part de plaisir sur le peu de visage de la demoiselle qu’il voyait, signe qu’elle aimait ce qu’elle faisait. Il joua alors un peu des coudes pour se déplacer dans le wagon avant de se retrouver finalement derrière la jeune femme en question. Mais, il n’était tout de même pas collé à elle, bien qu’il n’en fallait que peu pour cela.

- On se procure un petit plaisir ?

Murmura t-il à l’oreille de la jeune femme, pour lui faire comprendre qu’il avait remarqué son manège, mais qu’il n’était visiblement pas disposé à le révéler à tout le monde. Chose qui exciterait peut être la jeune femme, mais pouvait aussi la refroidir selon son humeur. Sans compter que le danger que cela soit révéler par une autre personne l’excitait aussi peut être, et laissait peut être supposé qu’il attendait quelque chose pour garder le silence. D’ailleurs, cette solution semblait plus plausible quand il vint poser un main sur l’une des cuisses de la jeune femme, et qu’il la remonta dans une longue caresse qui vint s’achever sur le fessier de celle-ci, restant pour le moment sur le vêtement malgré la tentation de se glisser sous la jupe.

Eve prenait grand plaisir à ce plaisir solitaire quoiqu'elle était plus que bien entourée mais peu importait. Elle continuait son petit jeu en essayant de ne trop rien afficher sur son visage, une chose pas évidente pour quelqu'un de particulièrement expressif comme elle. Mais soudain tout changea quand une voix masculine se fit entendre à son oreille.

« On se procure un petit plaisir ? »

Eve se raidit spontanément contre la barre sans pour autant s'en écarter. Elle était livide avant que ses joues ne finissent par s'enflammer de honte. Qu'allait-il faire ? Visiblement pas en faire part à tout le wagon vu qu'il lui avait murmuré à l'oreille. Soudain, elle sentit une main aventureuse se poser sur sa cuisse et remonter vers son postérieur. Elle était un peu surprise mais finalement trouvait cela agréable et plutôt excitant, elle devait bien l'avouer. Elle se détendit donc, poussant son postérieur légèrement en arrière comme pour réclamer d'avantage d'attentions.

« Visiblement cela ne semble pas vous déplaire. »

Elle avait légèrement tourné la tête vers lui pour lui murmurer ses mots, histoire de ne pas être entendue de tous. Comptait-il aller plus loin qu'une caresse ? L'idée était très attrayante pour la jeune femme qui s'excitait encore plus. Son intimité devenait très humide soudainement. Elle avait le goût du risque et n'avait jamais pratiqué de cette façon. Mais elle était loin d'être contre et était très fortement tentée de poursuivre l'expérience.

« Vous n'avez pas envie de participer ? »

La voix suave et sensuelle s'exprimait toujours en sourdine pour n'être entendue que de l'inconnu masculin derrière elle. Dans un geste équivoque, elle envoya sa main droite en arrière à la recherche du bas-ventre de l'homme qu'elle commença à tâter avec envie se demandant s'il était bien membré et si il avait envie de sa personne.

L’intervention de l’homme surprit et inquiéta rapidement la jeune femme. Celle-ci se figea un moment et sursauta presque lorsque la main de Mach vint se coller à sa cuisse et commençait à la caresser. Cependant, elle se reprit vite, reprenant son petit jeu, mais surtout montrant davantage ses fesses à l’homme, qui sourit en voyant que la demoiselle y prenait visiblement goût et réclamait sa participation.

- Peut être ne suis-je pas le seul à qui cela plait ?

La référence à d’autres voyeurs était bien entendu là, mais, s’était aussi de façon plus subtile une façon de faire remarquer qu’il avait justement vu que la situation excitait davantage la jeune femme. Et pour preuve, quand il remonta sa main pour répondre à l’invitation, Mach passa à l’intérieur des cuisses, avant d’en faire le tour pour remonter sur les fesses. Il avait donc frôler la petite culotte de la jeune femme et sentit que celle-ci était déjà bien humide.

- Il me semble que mes gestes ont déjà répondu à cette question !

Répondit le jeune homme à la dernière prise de parole de sa compagne improvisée. Il empoigna d’ailleurs l’une de fesses à ce moment là, et se mit à les malaxer, sans y mettre trop de forces. Cela serait bête de se faire remarquer hein !. En tout cas, la jeune femme était drôlement excitée ou en manque, puisqu’elle n’attendit pas pour glisser sa main dans son dos, et venir la placer sur le bas ventre de Mach, avant de la descendre sur son pantalon, directement à l’endroit de son propre sexe. Evidemment, il ne fallut pas attendre longtemps pour qu’une bosse se forme à cet endroit, et de taille plus que respectable en plus.

- Cela t’excites les endroits publics hein ?

Dit Mach s’en étant rapproché de l’oreille pour un nouveau murmure. Sans compter que cela rendit le fait qu’il suçota brièvement le lobe de celle-ci brièvement par la suite, plus discret. Mais, cette prise de parole était aussi là pour marquer le moment où la main du jeune homme délaissa les fesses  de la demoiselle pour se glisser entre les cuisses de celle-ci, et commencer à venir frotter ses doigts en de lents vas et viens sur la culotte trempée de la jeune femme, bien entendu au niveau de la zone de sa vulve.

La demoiselle n'était guère farouche, l'homme l'avait bien remarqué et commençait à se montrer plus entreprenant pour le plus grand plaisir d'Ève. Quelques coups d'œil discrets lui apprirent que personne ne faisait attention à eux. Du moins rien ne le laissait penser mais cela entrainait toujours autant d'excitation pour la jeune femme. Elle appuya davantage sa main sur la bosse maintenant présente dans le pantalon et commença à caresser le membre dont elle jaugeait la taille à quelque chose de plus que respectable. Certes la taille ne faisait pas tout mais on aura beau dire, ça joue quand même un peu dans la relation. Le constat était fort positif pour le partenaire potentiel qui maintenant caressait son intimité au travers de sa culotte mouillée.

La belle retint ses soupirs de plaisirs afin que tout le wagon ne l'entende pas mais cela était compliqué et si inhabituelle pour elle. C'était un nouveau jeu, un nouveau challenge pour la Française. A priori son compagnon était aussi joueur qu'elle d'ailleurs. Avait-il déjà fait ça avant ou profitait-il juste de l'occasion ? Peu importait tant qu'il lui donnait du plaisir et que tout le monde ne se rende pas compte. Évidemment l'idée d'une orgie dans un wagon était tentant mais comme toujours entre le fantasme et la réalité, il y avait une marge et parfois même une falaise qu'Ève n'était pas encore totalement prête à franchir, il fallait bien le dire.

« Oui, c'est vrai mais vous aussi à priori. »

Toujours la voix sensuelle et feutrée, tout juste murmurée et audible pour une seule personne. Dans un geste presque imperceptible, elle écarta un peu plus ses jolies cuisses autour de la barre de métal. Ses doigts s'amusèrent à aller taquiner la braguette du pantalon, cherchant à l'ouvrir ou plutôt montrant son envie de le faire. L'homme devrait se coller un peu plus contre elle s'il ne voulait pas que tout le monde voit son chibre.

« Collez-vous à moi, je veux sentir votre queue contre mes fesses. J'ai très envie de la libérer. La pauvre est toute coincée dans votre pantalon! »

Heureusement que le métro était suffisamment remplit pour que ce que faisait Mach et la jeune femme passe sous la discrétion. En effet, à première vu, ils semblaient  être deux passagers normaux. Mais, si les regards avaient baissé de quelques centimètres, les gens se seraient vite aperçu que les mains de chacun étaient d’être dans leur poche. En effet, celle de Mach stimulait désormais la vulve de sa partenaire, toujours à travers la culotte cependant, alors que la jeune femme faisait de même avec son membre en érection sous son pantalon.

- Ne pas profiter de la situation aurait été criminelle avec une si jolie femme, n’est ce pas ?

Répondit le jeune homme à sa compagne, auquel il ne s’était pas présenté, ni elle d’ailleurs. Cependant, cela n’avait aucune importance réellement, sauf si l’aventure du métro venait à se prolonger. En tout cas dans le sens où ce qu’il se passait n’était là qu’en guise de préliminaire à la soirée qui s’annonçait.  Et la demoiselle semblait assez en manque pour cela, et visiblement très excitée de la situation. En effet, la culotte n’était là plus que pour faire jolie, puisqu’elle était si trempée de cyprine qu’elle ne protégeait désormais plus loin.

Le jeune homme s’apprêtait d’ailleurs à glisser ses doigts dessous, alors que sa partenaire se montrait gourmande, ou du moins montrait clairement de ce qu’elle avait envie avec les mouvements sur la bosse et le jeu avec la braguette. Mais, il n’en aurait pas le temps, puisqu’elle lui murmura de nouveau quelques mots en écartant un peu plus les cuisses. Sa main s’était d’ailleurs agrippée à la baguette et tirait doucement pour rapprocher la zone de son postérieur.

- A travers ce pantalon, vous ne sentiriez pas grand-chose en effet !

Dit-il avec un léger sourire à l’oreille de la demoiselle. Il pinça d’ailleurs le lobe de celle-ci entre ses lèvres, alors que son corps se collait au sien, son sexe tendu venant glisser entre les fesses de la jeune femme.  Les mains avaient d’ailleurs été temporairement écartées, et si un regard était lancé dans leur direction, on pourrait les prendre pour un couple. Après tout, ce que venait de faire Mach n’était plus si choquant, et même de plus en plus fréquent entre compagnons. Les signes d’affections étaient désormais moins taboo en lieu public, même si ce qu’ils faisaient réellement l’était quand même toujours.

Il enlaça alors sa partenaire, ramenant sa main sur l’intimité de celle-ci, en passant par devant cette fois. Mais, cette fois, même si celle-ci reprit son manège en restant sur la culotte trempée, l’autre se glissa sous le T-Shirt caressant le ventre lentement pour augmenter le plaisir et l’excitation de sa compagne, qui savait très bien où la main finirait très vite si rien ne les dérangeait.