Un prof et un élève dans le rayon vêtement. [Yamagashi-sensei] -FINIT-

À chaque minute qui passe il me fait un peu plus tourner la tête. Jusqu'à son regard en ce moment, il n'a pas l'air de croire à ce qu'il voit, alors qu'il ne voit que lui-même. Si je ne savais pas que c'est un garçon je m'y laisserais prendre. J'essaie de rester maîtresse de moi-même en lissant à nouveau sa jupe. Je baisse les yeux pour ne pas croiser les siens dans le miroir.

- Tu vois : il n'en a pas fallu beaucoup. Ces filles sont belles et elles le savent. C'est pour ça qu'elles torturent les garçons comme toi. Elles pensent que leur beauté leur donne tous les droits. Mais regarde : tu es un garçon, et tu n'as pas grand-chose à leur envier.

Vraiment pas grand-chose. Je sens que je rougies, mais je sens aussi autre chose. Je reste derrière lui, et tente de n'avoir l'air de rien. Ma main déboutonne mon jeans pour s'y glisser. Ma culotte est déjà bien humide comme je le craignais. Si je partais tout de suite j'arriverais peut-être à sauver mon jeans. Mais tout ce chemin à faire, tous ces regards à croiser. Je prend une grande inspiration, et retire ma main de mon pantalon.

- Maintenant, Iruka-kun, ça va être à ton tour de m'aider.

Je n'ai même pas reboutonné mon jeans. Cette fois je ne tiens plus. Je commence par poser mes mains sur ses épaules en me penchant sur lui, puis je les laisse descendre.

- Ne t'inquiète pas, je ne te ferais aucun mal...

Je lui dépose un petit baiser sur l'épaule alors que mes doigts trouvent la peau de son ventre. Après tout la plupart de ses camarades de classe se battraient pour avoir cette chance. Mais je pense qu'aucun n'aurait l'idée d'une mise en scène aussi troublante. Je n'en peux plus. S'il se tire je saute sur la vendeuse.

Le jeune homme se mit légèrement à sursauter quand Yamagashi se mit à lisser la jupe, lui faisant reprendre pied et arrêter de cette manière la contemplation qu'il faisait de son apparence.

- Tu vois : il n'en a pas fallu beaucoup. Ces filles sont belles et elles le savent. C'est pour ça qu'elles torturent les garçons comme toi. Elles pensent que leur beauté leur donne tous les droits. Mais regarde : tu es un garçon, et tu n'as pas grand-chose à leur envier.

Iruka se mit à réfléchir sur ce que disait Yamagashi, ne voyant pas la main de sa professeur se dissimuler derrière lui. Il se mit à incruster dans sa tête les choses importante, n'ayant de la mémoire que pour les cours, ce qui le fit légèrement plisser le front. Il était vrai qu'il ne se reconnaissait pas dans cet accoutrement, il ne se doutait pas que son corps et une simple perruque suffisait pour atteindre une beauté égalent celui des jeunes fille de son âge.  Voir ses bras ainsi dénudé, dévoilant un manque de musculature et une certaine féminité le troublait un peu.

- Maintenant, Iruka-kun, ça va être à ton tour de m'aider.

Le jeune homme allait répondre, tournant la tête, mais sentit les mains de sa professeur sur ses épaules, suivit du visage de Yamagashi, le poussant à regarder devant soit pour dissimuler des rougeurs aux niveaux des pommettes, rougeur que la professeur pouvait admirer par le miroir.  Il vit ses mouvements réduit par le fait que les bras de Yamagashi descendait le long des siens avec douceur, pouvant raffermir sa prise à tout moment.

- Ne t'inquiète pas, je ne te ferais aucun mal...

Iruka se contente d'incliner très légèrement la tête vers le sol pour signaler à la professeur qu'il ne comptait pas s'enfuir, se laisser faire et aider Yamagashi. Il sursauta un peu en sentant les douces lèvre de la jeune femme se déposer délicatement sur sa peau, son corps frémissant au fur et à mesure de l'avancé des doigts de Yamagashi qui s'aventuraient sur son ventre, laissant à cette dernière le plaisir de découvrir une peau douce naturellement. Iruka sentait une petite décharge parcourir son dos à chaque fois que les doigts de Yamagashi caressait son ventre. Il se sentait un peu troublé et en même temps se sentait en sécurité dans les bras de la professeur.

Le lycéen se mit à rougir d'avantage, car avec juste cette mise en bouche, il sentait son membre entre les jambes ne pas être insensible à cette situation purement érotique. De ses petite menottes il se mit à essayer de cacher son érection, formant une petite bosse sous la jupe. Il restait un homme au final.

Je ne peux m'empêcher de détailler notre reflet. Je me vois en train de caresser cette jolie fille, et c'est le miroir qui me rappelle que j'ai affaire à un garçon. L'avant de sa jupe se soulève. Une fois encore il est serré dans sa petite culotte. Avec un sourire je stoppe mes caresses pour venir m'agenouiller devant lui.

- Détend-toi, Iruka-kun. Toi aussi, tu vas aimer ça.

Je pose mes mains sur les siennes et les guide jusqu'à sa jupe pour la relever. Je découvre enfin sa culotte noire, tendue par le jeune sexe qu'elle emprisonne. J'ai presque pitié de le voir étouffé comme ça. Je lève à nouveau les yeux alors que mes mains quitte les siennes.

- Tiens ta jupe, il ne faudrait pas la salir.

Mais mains trouvent ses cuisses, puis les remontent pour atteindre sa culotte. Je n'ai qu'à tirer un peu pour voir jaillir son membre. Son gland se balance quelques secondes à deux doigts de mon visage. Son odeur empli mes narines et me monte à la tête. Cette fois nous y sommes, plus de raisons de reculer. Je lève encore une fois les yeux vers Iruka, le temps d'un dernier sourire avant d'occuper ma bouche à autre chose.

- Surtout ne fait pas trop de bruit, d'accord ?

Je garde une main sur sa cuisse, l'autre se glisse le long de son membre pour le branler tendrement. J'approche mon visage pour gratifier son gland déjà brûlant de quelques coups de langue. Iruka est peut-être encore effrayé, cette partie de lui n'a certainement pas peur de moi. Ma main libre passe derrière sa cuisse pour remonter sur ses fesses. J'imprime à son bassin le mouvement qui fait passer son sexe entre mes lèvres. Et en levant les yeux vers lui, je ne cherche pas à cacher à quel point je me régale déjà.

Iruka se mit à détourner le regard quand Yamagashi se mit devant lui, prenant une position quelque peu gênante pour le jeune homme, imaginant la possibilité que la vendeuse aille voir pourquoi deux clientes étaient aussi longue dans la cabine d'essayage. Mais cette dernière ne semblait n'avoir réellement rien à faire de cette boutique et de ce qui s'y passe.

Le jeune homme se laissa guider sur le chemin de l'érotisme et du plaisir, son innocence sur ce sujet étant à la fois mignonne et pour le moins désespérante. Il frémit un peu en sentant ses mains être saisit avec douceur et guidé vers le premier obstacle qui empêchait Yamagashi d'admirer ce qui fait d'Iruka un jeune homme. Il se mit tout naturellement à rougir et détourner les yeux quand sa partenaire demanda à ce qu'il tienne la jupe, prétextant le fait que cela la salirait, cela voulait dire aussi le payer et Iruka se voyait mal demander à Yamagashi de débourser ne serait-ce qu'un yen pour la tenue. Mais le jeune homme fit tout de même ce qu'elle demandait, tenant ainsi sa jupe, même si on voyait qu'il était gêné par la situation.

Sentir les mains baladeuses de Yamagashi se promener sur ses cuisses et remonter jusqu'à la culotte ne fut pas sans conséquence, augmentant encore un peu l'érection de Iruka, il était sensible au toucher, ce que sa partenaire pouvait trouver amusant. Il étouffa à l'intérieur de sa gorge un cri de surprise quand la professeur libéra son membre de sa prison de tissu, il ne savait plus trop où se mettre, tripotant un peu la jupe pour évacuer le stress qui s'accumulait. L'annonce de Yamagashi n'aida en rien à le détendre, même s'il hocha un peu de la tête il ne se sentait vraiment pas à l'aise.

Il sentit les doigts experte de la professeur se mettre à enlacer son membre et à faire de doux mouvement exposant plus ou moins son gland suivant le geste, pour Iruka ce fut de petite décharges remontant le long de la colonne vertébrale, les mouvements lents et souple rendant le plaisir procuré plus long et savoureux en même temps. Il fut surprit de ressentir les coups de langues sur son gland, se traduisant par de nouvelle décharges.  Mais ce n'était que le début, il frémit en sentant une main remonter et caresser ses fesses au passage. Iruka se sentait mal, mais il se dit que cela devait être la cause de sa peur de l'inconnu et puis Yamagashi avait dit qu'il aimerait ça, alors peut être était-ce normal pour une première fois ?

Il sentit son bassin se faire gentiment avancer, son corps frémit à l'instant où les lèvres de la professeur prirent possession du membre, le regard chargé de plaisir de Yamagashi  rencontra les yeux mi-clos de Iruka qui semblait être plus détendu et pouvais ainsi savourer un peu plus du plaisir que sa professeur allait lui procurer.

Ma jeune "victime" n'est pas encore en confiance, mais ça viendra. Iruka se laisse faire, et frissonne de plus en plus alors que mes lèvres vont et viennent le long de son membre. Je ne manque pas d'y presser ma langue pour lui donner plus de sensations. Tout en douceur et en langueur, tout en tendresse pour ce jeune homme qui en a de toute évidence cruellement besoin. Il est tellement réactif. Je sais à quel point il doit être tendu et troublé par la situation. Nous sommes tout de même dans un lieu public. Je n'en suis pas à mon coup d'essai, mais pour lui ce doit être une première.

Peu à peu Iruka se détend. Son bassin prend le rythme que je lui ai imprimé, laissant ma main libre de profiter. Sa peau est douce, sa chair tendre. Je caresse et palpe ses fesses et ses cuisses. Je voudrais être dans un endroit plus confortable, et plus intime, pour m'épargner toute cette retenue. Chaque fois qu'Iruka tremble, je sens que c'est pour retenir un gémissement. D'un autre côté cette urgence m'excite. Et si nous étions pris ? Si la vendeuse se demandait soudain ce que nous faisons là-dedans ? Ça devrait me convaincre d'arrêter, mais je ne veux que profiter au maximum avant d'être interrompue. Pauvre Iruka, pour une première ce serait vraiment un désastre.

Tout à coup ça me frappe. Une "première" ? Je suçote une dernière fois le bout de son membre avant d'en écarter mon visage, le masturbant toujours pour le garder en alerte.

- Dit-moi, Iruka-kun, est-ce que tu as déjà fait ça avant ?

Je dois vraiment être une grosse perverse. Le fait qu'il puisse être vierge ne m'avait même pas effleuré. À force de côtoyer de jeunes hommes surexcités et de jeunes femmes aguicheuse, je dois en voir partout. La réponse d'iruka ne changera pas grand-chose, plus au point où nous en sommes. Mais je me demande.

Sentir les lèvres de la professeur longer le membre avec une certaine gourmandise se mit à faire davantage trembler de plaisir le corps du jeune homme, on pouvait voir clairement que cette expérience n'était pas désagréable, mais qu'il n'y était pas un adepte par une visible faiblesse du point de vue de l'endurance à ce genre de pratique. Le jeune homme finit par se demander si son inactivité n'allait pas vexer Yamagashi qui mettait du coeur à l'ouvrage.

Aussi il se mit à vider sa tête de toute les questions qui lui trottait dans la tête, comme par exemple le fait que l'on puisse les surprendre tout les deux dans cette cabine. Une fois ceci fait, il se mit à imiter le geste que la professeur voulait qu'il fasse, non sans rougir, il ne se voyait pas du tout être le dominant dans cette scène, n'ayant ni l'expérience, ni le caractère. ans cette situation c'était Yamagashi qui dominait.

Il se mit d'ailleurs à poser une de ses fines mains sur sa bouche pour étouffer les quelques gémissements qui n'avaient pas été arrêtés dans sa bouche, c'est alors qu'il eut le droit à la question la plus indiscrète qui soit, pour lui en tout cas.

Iruka se mit à détourner les yeux, triturant avec une certaine nervosité la jupe, cet attitude aurait servit d'aveu, mais le jeune homme voulait éviter que Yamagashi s'imagine autre chose.

- J ... Je n'y connais pas grand chose en s ... s ... sexe. Je suis pu ... pu ... Je ne l'ai jamais fait.

Son visage fut aussi rouge qu'une coquelicot, il était certain qu'Iruka allait avoir du mal à trouver une lycéenne qui veuille d'une personne aussi timide et expérimenté, la chance avait voulu que ce soit son professeur qui soit sa première partenaire.

Je ne peux pas vraiment dire que sa réponse me surprenne. Si j'avais su je l'aurais emmené ailleurs. D'un autre côté la situation actuellement n'est pas forcément mauvaise. Plus à l'aise il ne se laisserait peut-être pas guider aussi aveuglément. Cela dit j'en doute. Ma main quitte son charmant derrière et va se poser sur sa poitrine pour attirer son attention. Je lève vers lui mon sourire le plus chaleureux, ou peut-être excité.

- Je suis contente d'être ta première, Iruka-kun. Je vais faire de mon mieux pour toi.

Et ce n'est pas peu dire. Son jeune membre me faisait déjà fondre comme la plus douce des friandise, mais de savoir que personne n'y a goûté avant moi le rend encore plus exquis. Je le flatte encore un peu de ma main, alors que l'autre glisse le long du ventre plat de mon amant. J'espère qu'il ne sent pas trop mon avidité quand je referme à nouveau mes lèvres sur son membre tendu. Je serais bientôt la première à sentir le goût de sa semence sur ma langue, sa chaleur dans ma gorge.

Cette idée me fait tourner la tête, et en entraîne d'autres. S'il n'est pas rassasié de cette seule fellation, je serais la première lui faire bien des choses. Mais pour l'instant je le sens palpiter, allant et venant dans ma bouche. Mes mains gagnent à nouveau ses fesses pour lui faire accélérer un peu le rythme. Je comprime son sexe entre mes lèvres, le tirant un peu plus vers l'orgasme. Je sens qu'il n'en a plus pour longtemps, et j'ai un vide déjà humide à combler entre mes cuisses.

Iruka put sentir la main de la professeur caresser légèrement sa poitrine, aussi il se mit tout naturellement à regarder vers le bas, non sans rougir de voir la professeur prendre son pied à lui faire une fellation. La déclaration de Yamagashi maintenu la rougeur du visage d'Iruka qui était gêné par la satisfaction  de la jeune femme à pouvoir profiter d'un puceau comme lui.

Ce ne fut pas seulement son sexe qui annonça qu'il approchait de la décharge, le fait qu'il ait aussi tendance à vouloir se plier en deux, voulant reculer son fessier, que Yamagashi gardait tout de même en main, la rythme de la respiration du jeune homme qui semblait ne cesser d'augmenter et les gémissement qui furent de plus en plus nombreux. On voyait bien qu'il avait aussi du mal à garder la jupe en l'air. Entre deux gémissement et tentant d'atténuer sa voix le plus possible il se mit à gémir.

- Sen ... Senseï ... Je vais ... Je vais ...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que son pénis délivra ce que la professeur attendait depuis un petit moment, la quantité était un peu plus faible que la moyenne, le goût étant subtilement sucré, Iruka n'étant pas un dévoreur de sucrerie, mais en mangeait un peu de temps à autre. Iruka c'était cambré, plaquant bien sa main contre sa bouche pour étouffer le gémissement de la délivrance et il se laissa tomber sur les fesses, tentant visiblement de reprendre un rythme cardiaque plus doux.

Iruka était un peu dans le brouillard, un peu désorienté par les décharges de plaisirs, certaine persistant à le tourmenter, un peu confus de ce qui se passait, c'est alors qu'il se mit à s'inquiéter de Yamagashi.

- Senseï ... vous allez ... bien ?

La petite voix étranglée d'Iruka se fait haut perchée quand il tente de me prévenir. Je l'ai vu venir de loin et accueille avec délectation une bonne giclée de sperme. L'arôme chaud et sucré envahie ma bouche, puis ma gorge. La semence d'un puceau, rien que de le savoir elle me semble meilleure que les autres. Mais soudain son sexe s'échappe de mes lèvres. Je réalise seulement à quel point l'orgasme a été dévastateur pour mon jeune amant.

Il tombe assis devant moi, glissant le long de la cloison. Heureusement il ne fait pas trop de bruit. Je me passe la langue sur les lèvres avec un sourire attendri. Iruka semble complètement K.O. pendant quelques secondes. Il est avachi, son sexe encore tendu et couvert de sueur, tenant encore sa petite jupe. Mais il a le regard dans le vague. Je me sens flattée d'avoir eu cet effet sur lui, comme si une autre n'aurait pas fait mieux.

Soudain il reprend pied. Il se redresse avec un regard inquiet.

- Senseï ... vous allez ... bien ?

Je me penche en arrière avec un grand sourire.

- Je vais bien, Iruka-kun. Mais...

Je me lève pour m'approcher de lui, mes cuisses sont à la hauteur de son visage. Je déboutonne mon jeans pour le laisser glisser le long de mes jambes. Ma culotte toute mouillée est juste sous ses yeux, d'aussi près il doit se sentir agressé par l'odeur de mon jus intime. Les premières fois, c'est toujours un peu fort. J'espère que je ne le dégoûte pas. De toutes façons je ne peux que continuer, et je ne veux que ça.

- Je peux aller encore mieux grâce à toi. C'est à ton tour de m'enlever ma culotte.

Je dois dire que ça m'amuse. Iruka n'est pas doué pour parler, je me demande si sa langue a d'autres talents. J'ai hâte de sentir son souffle sur mon intimité rasée, autant que sa langue à l'intérieur.

Iruka ne fut pas au première abord surpris de voir sa professeur s'approcher, pensant sans doute qu'elle allait l'aider à se relever, mais il fut très vite d'un tout autre avis quand Yamagashi vint à faire tomber son pantalon, pouvant admirer la culotte imprégnée de cyprine. Le jeune homme sentait l'odeur qui était assez forte pour lui, non pas que cela sentait mauvais, mais la senteur qui se dégageait semblait le mettre mal à l'aise. Il se mit à avaler sa salive, se demandant s'il allait devoir faire ce qu'il pensait que Yamagashi avait en tête.

- Je peux aller encore mieux grâce à toi. C'est à ton tour de m'enlever ma culotte.

Le jeune homme se mit à avoir des yeux écarquillé, puis reprit un visage teinté de timidité, il n'avait pas eut tort sur ce coups là, il avait vue ce genre de chose dans les petites parties de vidéo porno qu'il avait put voir, un cunnilingus, c'est ça, enfin il n'était pas sur de l'orthographe ni de la prononciation.

Il se mit à saisir les extrémité de la culotte de la professeur et le fit glisser, même si ses doigts tremblaient un peu, c'était le première fois, aussi on pouvait le comprendre un peu. Une fois le bout de tissu hors du chemin, il se mit à avancer sa tête, non sans regarder Yamagashi, pour savoir s'il avait fait le bon choix, visiblement c'était le cas. Il ouvrit un peu la bouche et fit une petite lechouille entre les deux lèvres intimes, non sans rougir de la situation. Goutant à la cyprine de Yamagashi, il se rendit compte que l'odeur n'avait rien à voir avec l'arôme qui se fixait sur son palais.

Mais le jeune homme préféra ne pas attaquer l'intimité de la professeur, pas tout de suite, il passa donc sa langue tout autour de l'antre, essuyant la cyprine qui coulait un peu sur le haut des cuisses de Yamagashi, puis une fois ceci fait il se trouva de nouveau confronter à l'intimité de Yamagashi, il se mit à rougir et commença à entamer de léger coup de langue écartant légèrement les lèvres intimes. On voyait bien qu'il n'était pas assez confiant pour aller plus loin, mais il semblait y mettre du sien.

Les passages de la langue d'Iruka me font frissonner. Il est timide, comme on peu s'y attendre de la part d'un jeune homme encore vierge. Je passe une main dans ses cheveux, ou plutôt sa perruque. Je caresse sa tête, la presse un peu plus contre mon intimité, me mordillant la lèvre inférieur pour retenir mes soupirs.

- Hummmm... C'est bon, Iruka-kun... Continue...

En tout honnêteté, je dois dire que j'en rajoute. Je sens qu'il s'applique, il ne lui manque qu'un peu de confiance en lui. C'est sa première fois, j'espère pour lui qu'il y en aura bien d'autre, et de meilleures. Et quelques unes avec moi, tant qu'à y être. Mais je dois faire attention à ne pas lui saper le moral, ou le goût de la chose alors qu'il s'en approche pour la première fois. Je dois être gentille avec lui.

Bizarrement ça m'excite, et j'exagère de moins en moins. Mon cœur bat à tout rompre, je n'arrive plus à retenir mon souffle. Je ferme les yeux en me mordillant la lèvre un peu plus fort. Ma gorge se serre, j'ai envie de gémir. Je sens le bout de la langue de mon jeune amant passer et repasser sur mes lèvres intimes, s'aventurer timidement entre elles. Tout mon corps frémit, je commence même à trembler.

- Iru... Iruka-k... Je...

Heureusement je pense à éloigner ma main de sa tête. Je la lève pour la mordre, étouffer un gémissement que je sens monter du plus profond de mon ventre. Je me tiens comme je peux contre la cloison, sur la pointe des pieds, les jambes arquées et tremblantes. Je n'arrive pas à croire qu'il arrive à me faire jouir aussi vite, et ça n'en est que plus fort. Je ne sais pas si c'est la situation qui m'est montée à la tête, ou si Iruka est plus doué qu'il ne le pense. Mais je dois me retenir pour ne pas lâcher un râle de satisfaction en m'agenouillant à nouveau face à lui.

Je le regarde un moment avec un sourire ravi, comblé. Si elles savaient de quoi il est capables, ces filles seraient sans doute très gentilles avec lui. tant pis pour elles.

Face aux encouragement, Iruka continua son action, essayant de voir si une vitesse allait mieux qu'une autre, se fiant aux fait et gestes de Yamagashi, non sans rougir d'entendre ses gémissements, c'était la première fois qu'il entendait une femme gémir de plaisir en vraie, rien à voir avec les quelques extraits vu sur le net.

Iruka constata que le corps de sa partenaire tremblait, il doutait que c'était de la peur ou de la colère, n'ayant rien fait pour attirer ses deux sentiments, aussi mit-il cela sur le compte de ce qu'il faisait, c'était bizarre pour lui, mais il n'osa pas demander si c'était normal.

Il se permit de regarder un peu en haut, voyant que la professeur tentait de rester debout, tout le corps tremblait, il se dit qu'il devait au moins satisfaire Yamagashi, aussi il passa à la vitesse supérieur, toujours avec sa timidité maladive, plaquant ses lèvres contre celle intime de la professeur et sortie sa langue pour explorer un peu plus loin, il put sentir le corps de la jeune femme réagir au quart de tour face à cette intrusion.

Il se mit donc à faire des léger coups de langue à l'intérieur de l'antre qui était chaude et humide, il ne savait pas quand elle allait jouir, ni ce qui allait se passer, supposant seulement qu'il allait y avoir quelque chose.

Tout mon corps se tend quand Iruka monte soudain d'un cran. Sa langue est encore timide, mais elle cherche au bon endroit. Mes jambes tremblent, j'ai du mal à rester debout. Mais nous sommes dans une cabine d'essayage, il n'y a pas la place de s'allonger, rien pour s'asseoir. Je suis debout, les jambes arquées et je prend un pied pas croyable. Mais ce n'est pas assez.

- Hmmm... Iruka-kun...

J'hésite. Qu'est-ce que je dois lui dire ? Il faut passer à autre chose. Je voudrais lui dire d'arrêter, lui laisser deux secondes pour souffler, et le déniaiser une fois pour toute. D'un autre côté il ne voudra peut-être pas ramener sa langue à cet endroit quand il sera inondé de son propre sperme.

- Util... Utilise tes doigts... Glisses-en un à l'intérieur...

Juste le "coup de pouce" qu'il manque. Je n'en ai plus pour longtemps. J'espère que je ne vais pas laisser échapper un gémissement trop fort.

Iruka continua se goûter à la cyprine se situant à l'intérieur de l'antre de la professeur, quand cette dernière se mit tout simplement à lui donner un ordre, le jeune homme prit cela aussi pour un conseil ou serais-ce simplement pour un peu plus le former sur la sexualité, aussi recula-t-il un peu sa tête, laissant un léger temps de répit pour Yamagashi. Le jeune homme s mit donc à se poser une question, quel doigt utilisé, devait-il prendre le majeur, qui était le plus long, le pouce qui était le plus large ou l'index.

Il finit par opter pour l'index, c'était le doigt où il était plus agile et où il était le plus à l'aise, il avança donc l'index jusqu'aux lèvres intimes, sentant la chaleur se propager sur le bout de son doigt, sans parler de la cyprine qui coulait un petit peu dessus, puis il le fit entrer avec douceur, il n'y avait aucune résistance, la cyprine lubrifiant suffisamment le doigt. Une fois bien enfoncé, il se mit à très légèrement bouger, que cela soit en faisant des allez et venue ou encore en frottant la pulpe de son doigt contre les parois humides et chaude.

Entendant à nouveau Yamagashi se mettre à gémir, il n'arrêta pas son geste, essayant de le rendre encore plaisant, il fit de son mieux et attendait que quelque chose se passe, il se dit que l'antre était bien grand et pas un peu de confiance ou tout simplement de la curiosité, il glissa son majeur, se joignant à son index, il espérait que la professeur ne voit rien de mauvais dans ce geste.

- Hmmmmmmmmm...!

Je n'en peux plus. Au moins il comprend très bien ce qui se passe. Après un doigt agile, un deuxième pour plus de sensations. J'ai de plus en plus de mal à résister, ma gorge se serre. Mon bassin bouge de lui-même, comme si je m'empalait déjà sur sa verge. Je ne peux pas m'en empêcher, je ne veux pas arrêter.

- C'est bon, Iruka-kun... C'est tellement bon...

Un mot sur deux ma voix part dans les aigus. Mais il n'y a plus que ses doigts au travail. Je reste debout encore un moment, pour le laisser bien regarder ce qu'il fait de ses doigts. Je sais à quel point ce genre de chose excite les hommes, et à quel point ça m'excite. Certaines disent le contraire, que ce soit vrai ou non. J'aime sentir qu'on me regarde, c'est gênant quelque part, mais c'est ce qui rend ça si bon.

Je m'accroupis lentement, pour ne pas surprendre mon jeune amant. Mon visage revient à portée du sien et je l'embrasse alors que ses doigts dansent toujours entre mes lèvres intimes. Sa bouche a le goût de ma cyprine, la mienne doit encore avoir celui de son sperme. Est-ce qu'il aime ça ? En tous cas, moi : j'adore. Une de mes mains descend vers sa jupe pour y chercher son sexe. Il se tend au contacte de mes doigts, grandit et palpite dans ma main. Toujours aussi chaud, aussi doux.

- Iruka-kun... Je veux que... que tu me pénètres... Tu veux aussi ?

Je pourrais l'aguicher de phrases bien plus perverses, mais je garde ça pour plus tard. Quand il seras en moi, trop profond pour céder à l'angoisse de m'entendre dire ces choses.