Le stress de la rentrée (Hiruko/Yamagashi-sensei).

La cloche retentit dans les couloirs. Je me lève derrière mon bureau alors que les élèves quittent leurs places. Chacun pose un copie devant moi.
" Bonne journée, à demain. "

La plupart répondent, mon sourire a peut-être perdu de son charme. La classe se vide dans le flot qui circule dans le couloir. Je reste debout à sourire à la porte ouverte. Quand finalement le calme revient, je me laisse tomber sur ma chaise avec un gros soupire. Trois heures de cours et je suis déjà à plat. Je savais que ce serait dur mais à ce point ! Je baisse les yeux sur la pile de copie, et pense que le double attend déjà dans ma serviette. En tout près de quatre-vingt évaluation, et autant de nom à recoller sur des visages.

La plupart des garçons, même certaines filles, ont passé leur temps à me dévorer des yeux. Ou peut-être que je me fais des idées. Qu'est-ce qui m'a prise en ce matin ? Mes dessous m'ont moins donné confiance que mise mal à l'aise. Est-ce que quelqu'un a remarqué quelque chose ? Était-ce pour ça qu'ils me regardaient ? De toutes façons il est trop tard pour faire machine arrière.

Au moins j'ai une heure de libre, et juste avant celle du repas. Je pourrais sortir déjeuner, à l'air libre. En y réfléchissant je ne serais pas seule. Si je dois m'inquiéter du regard de tous ceux qui croisent mon chemin, la digestion ne sera pas sereine. Je baisse à nouveaux les yeux vers le tas de copies. Pourquoi pas ? Après tout plus vite je m'y met plus vite j'en finie. Je décompresserai mieux à la maison.

Cours d'anglais, une matière qu'Hiruko avait en horreur. En plus, l'autre professeur Mme Bertha était partie et c'était un nouveau qui débarquer.

QUOOOOOOIIIIIIIIIIIIIIIII? Mais c'est quoi cette top canon qui débarque? C'est la nouvelle prof d'anglais? Non, mais il y a erreur sur la marchandise, là! Une prof d'anglais c'est une espèce de grosse vache qui mache du chewing-gum pour tenter de parler et dire des trucs compréhensibles. Mais là, on a une splendide jeune femme avec un corps de rêve. Elle se penche pour ramasser la craie mais c'est qu'on voit ses bas à la coquine! Je vois certains de mes camarades rougir. Certaines camarades lesbiennes sont en train de fermer les cuisses. Quoi? elle sont en train de mouiller. Dans le tailleur de la miss, on peut voir la dentelle de son soutien-gorge.

Pas louper, Hiruko ressent une érection mais déjà helàs la cloche sonne la fin du cours. C'est la fin des cours pour ce matin et Hiruko n'a qu'une envie c'est de faire plus ample connaissance avec sa nouvelle professeur d'anglais. Aussi, il attend en prétextant chercher un objet dans son sac que tous les élèves quittent la salle de cours.

Hiruko se dirige vers le bureau du professeur le coeur tambourinant avec une copie, il s'assoit devant sa professeur et lui tend sa copie:

-Oh,Yamashagi-sensei, j'avais fait des exercices d'anglais pour aujourd'hui mais Mme Bertha n'étant plus là. Je me suis dit que vous pourriez corriger ma copie et m'indiquer où sont mes erreurs, s'il vous plait...

Hiruko avait pris un beau sourire charmeur lors de cette déclaration et attendait avec ardeur la réponse. Il pensa à ce moment précis que sa prof d'anglais était vraiment trop jolie pour être dans l'enseignement.

-Oh,Yamashagi-sensei, j'avais fait des exercices d'anglais pour aujourd'hui mais Mme Bertha n'étant plus là. Je me suis que vous pourriez corriger ma copie et m'indiquer où sont mes erreurs, s'il vous plait...

Assommée par mon découragement je n'avais même pas remarqué que cet élève était resté. Sokugawa Hiroku, difficile de ne pas le retenir avec les notes que m'a laissé Mme Bertha : "Faites-lui comprendre que savoir écrire "playstation" n'est pas suffisant pour avoir la moyenne". Je m'étais attendue à une espèce de fainéant affalé au fond de classe à tripoter son portable. Au lieu de ça je me retrouve avec un jeune homme mignon et très poli. Et qui m'amène ses devoirs de rattrapage. En d'autres termes une surcharge de travail.

Mais après tout, une de plus ou de moins. Et comment refuser ça le premier jour à un élève ?

"Merci, dis-je en prenant sa copie."

Je m'aperçoit bien vite que la feuille est datée de trois semaines plus tôt, et qu'il y a déjà une faute dans la date. je ne peux m'empêcher de sourire, en revanche je garde les yeux baissés vers la feuille. je ne m'attendais pas à cela et ça m'amuse. Je sors du tiroir le sacrosaint stylo rouge des corrections, et commence tranquillement. Que faisaient mes profs quand ils corrigeaient mes devoirs sous mes yeux ? Ils me faisaient l'inventaire de mes fautes. Pas moi.

Hors de question de briser la glace avec ces platitudes. Hiruko doit avoir quelque chose en tête. Dans le cas contraire ça pourrait venir. Entre deux notes rouges je balade le bout du stylo sur mes lèvres. Et surtout je ne lève pas les yeux. Je souris un peu plus d'une faute à l'autre, faisant fondre mon marqueur impitoyable sur les conjugaisons mal employées et aux barbaries linguistiques. Ses erreurs sont assez banales, en fait Hiruko n'aurait qu'à revoir ses bases. Seulement il ne le sait pas.

Si devoir était une excuse pour rester, je veux le transformer en une occasion de fuir. Je prend mon temps, l'écrase de mon silence, le bannie de mon regard. Je fais monter la pression autant que possible. Mais bien vite j'arrive au bas de la page. je pose mon stylo et me penche au dessus du bureau pour lui tendre la feuille.

" Avec un peu de rattrapage tu t'en sortiras très bien."

Soudain mon cœur rate un battement. Que va-t-il dire ? Que va-t-il faire ? partir, sans doute. Mais s'il reste ? J'ai beau chercher ce qu'il peut avoir en tête, je ne trouve pas beaucoup de raisons de rester après les cours. Ou alors... Non ! Dès le première jour ? Ce serait de l'aplomb... Il ne va tout de même pas oser !... Et moi qu'est-ce que je vais faire ?

Sigh! Hiruko qui est un très bon élève dans les matières scientifiques est vraiment nul pour ce qui est de l'anglais. Surtout en voyant les nombreux coups de stylo effectuées par Yamagashi sur sa copie. Mais Hiruko n'oubliait pas sa véritable motivation et objectif. Mais coincé par ce bureau et avec les règles fixes d'une relation entre un élève et un enseignant. Comment faire pour que la situation reste subtil mais augmente d'intensité?

Yamagashi lui rend sa copie en disant que quelques scéances de rattrapages suffirait. Hiruko contemple sa copie avec tous les traits rouge. Pour que la situation continue et ne s'arrête pas, il lui dit:

Yamagashi-sensei, vous pourriez m'expliquer mes fautes? Je n'arrivais à progresser avec Mme Bertha parce qu'elle ne prenait pas le temps de m'expliquer. Vous pourriez le faire, s'il vous plait?

Hiruko se devait d'agir. Aussi, il se pencha pour remontrer sa copie raturer mais profita de ce fait pour enlever sa chaussure droite, de croiser les jambes de telle façon que son pied touchait la cuisse dénudée de Yamashagi en exerçant une faible pression. Une pression assez forte pour que Yamashagi le ressent mais pas suffisament fort pour montrer que c'était fait exprès. Hiruko savait que la cuisse d'une femme était une zone assez homogène dut à la proximité du sexe.

Il sourit en attendant les explications de sa professeur tout en ressentant une érection par le contact qu'il produisait. Un lien imperceptible à cause du bureau que seuls les deux protagonistes ressentaient.

Alors, mes erreurs sont si graves que ça?

Hiruko commença à faire trembler sa jambe ce qui avait pour effet de faire des petits mouvements de haut en bas avec son pied. Un effet qui devait sans doute avoir un impact sur la jeune professeur d'anglais.

Lui expliquer ses fautes ? Alors il reste. Et bientôt je réalise qu'il ose. À peine suis-je assise à côté de lui, penchée sur sa feuille, que je sens quelque chose contre ma cuisse. Le bout d'un orteil, qui effleure ma peau à travers mes bas. Le gentil Hiruko-kun veut passer aux choses sérieuses, semble-t-il. Mais je suis sa professeur, et je ne compte pas le laisser l'oublier : dans cette classe je dirige l'exercice. Je me lève sans prévenir.

" Très bien. "

En me dirigeant vers la porte j'essaie de m'imaginer la tête qu'il fait. Je l'ai sans doute surpris, et le pauvre n'est pas tout à fait sorti d'affaire. Je vais jeter un œil au couloir et ferme la porte pour me diriger vers mon bureau.

" Normalement je n'ai pas le droit. "

De quoi croit-il que je pense ? De son cours particulier, ou de ce que le cours pourrait avoir de particulier ? Je reviens m'asseoir avec une feuille blanche que je pose devant lui. Ce garçon m'attire, c'est un fait. Et au point où nous en sommes je sais que nous passerons tous deux une sale journée si nous en restons là. Mais il doit encore le mériter auprès de ma conscience professionnelle.

" Voilà ce qu'on va faire : je vais te dicter quelques petites règles. Et tu te corrigeras tout seul pour la prochaine fois. Commence à noter. "

Il ne proteste pas, et ramène son pied près de ma cuisse en se penchant sur sa feuille. Je commence à dicter des formules simples, qui se passent de question. je prend le temps, et je repense à ces dernière semaines. Entre le déménagement et la préparation des cours je n'ai pas eu le temps de m'occuper de moi. Et surtout, pour la première fois je vis seule dans mon appartement. Maintenant que j'y pense je déteste ça.

Je passe ma main sous le bureau pour me rapprocher d'Hiruko. Il note mot pour mot. Soudain il manque une lettre alors que mon bras effleure le sien. Mon dernier mouvement ambigu, la suite sera d'une clarté aveuglante. Je continue de dicter, d'une voix de plus en plus faible. Le jeune homme penche la tête vers moi, il se force à garder les yeux sur la feuille.

Je lâche finalement la dernière phrase de mon exposé. Hiruko gratte nerveusement le papier. Ainsi penché il ne peut pas voir mon sourire, ni ma main qui est restée sous la table. Alors qu'il plante le point final je pose ma main sur sa cuisse, puis remonte vers son entrejambe. Même à travers le tissu son jeune sexe est brûlant. Il frémit sous ma caresse, comme un loin en cage rageant contre un vent de liberté.

" Tu avais autre chose à me demander, Hiruko-kun ? "

Je gratte le papier et au moment ou je termine la dictée de Yamagashi, je sens sa main sur ma cuisse, elle sent que mon membre est dur sans aucun doute. Elle est plus perverse que moi, un frolement de la chaussure et elle réagit comme ça mais où sont ses obligations de professeur? En plus, elle me demande si je veux quelque chose de sa part. Elle sait très bien où ce petit jeu va nous mener. Je tourne ma tête dans sa direction et je réponds:

Je crois que vous le savez déjà,non? Vous me désirez plus que moi, un frolement vous envahit de pulsion, vous êtes une snaguine, n'est ce pas Yamshagi sensei? Et vous aimeriez tout autant que moi que nous continuons ce petit jeu entre nous.

Pendant que je parlais, je lui pris sa main qui me touchait la cuisse et je la décala sur ma verge excité.

Vous sentez l'effet que vous me faites? Mais c'est peut-être un peu déconvenu de faire ça en classe, non? Quelqu'un pourrait entrer, il faudrait fermer la porte à clef et fermer les stores. Vous pourriez m'apprendre les mots anglais pour chaque partie du corps comme ça si quelqu'un nous voit, vous pourrez dire que vous m'enseignez, j'hâte que vous m'enseignez!

Je lui caressa avec mon autre main de libre, sa cuisse comme elle avait fait avec la mienne attendant sa réponse. Je n'avais plus de complexe devant cette femme car elle m'avait accepté que je la touche depuis bien longtemps.

Je ne peux m'empêcher de rire en l'écoutant. Il est sûr de lui au point de jouer les grands, mais comme tous les hommes de son âge il reste un gamin. Je serre les doigts sur son pantalon, juste assez pour y dessiner les contours de son jeune sexe.

" Enseigner ? "

Je quitte ma chaque pour m'asseoir à califourchon sur ses cuisses. Je dois me pencher en arrière pour voir son visage au-dessus de ma poitrine. D'habitude c'est elle qui attire l'attention, autant des hommes que des femmes. Mais Hiruko a visé plus bas dès le départ. J'espère qu'il n'a pas les yeux plus gros que le ventre.

" J'espère bien t'apprendre une chose ou deux. Mais même le plus grand baratineur du monde ne ferait pas passer cela pour un cour d'anglais. "

Je me penche sur lui pour l'embrasser du bout des lèvres.

" Si quelqu'un entre tu n'auras qu'à dire ça : I was making my horny teacher cum like crazy... Tu sais ce que ça veut dire ? "

La réponse ne se fait pas attendre, voilà que ma porfesseur d'anglais est à califourchon sur moi et m'embrasse délicatement. Elle me pose une question et je fis mie de ne rien comprendre. D'un doigt tactile, je caresse le tatouage posé sur la poitrine exubérante de mon enseignante et je lui dit:

-Non Yamagashi-sensei, je ne sais pas ce que cela veut dire, j'ai soif d'apprendre. Que cela peut-il bien dire?

Ma main décalle le soutien-gorge de Yamgashi et le doigt se me à caresser le téton de mon enseignante qui durcit signe qu'elle prend elle aussi du plaisir à mes petites caresses. Elle est trop grande pour moi, aussi ma bouche embrasse son cou et je lui fait un suçon pour lui montrer qu'elle est mienne et puis cele me fera une marque indélébile prouvant que j'étais à l'acte avec ma prof d'anglais devant mes petits camarades. La deuxième main caresse le bas-ventre de celle qui parle la langue de Shakespeare.

-Yamagashi, vous êtes attirante et vous une femme qui a besoin de tendresse n'est-ce pas? Indiquez moi la zone qui vous ferez le plus plaisir. Yamagashi-sensei, enseignez-moi!

Ma langue atteint son lobe auraiculaire, une partie très sensible des femmes.

- Non Yamashagi-sensei, je ne sais pas ce que cela veut dire, j'ai soif d'apprendre. Que cela peut-il bien dire?
- Ça veut dire : "je faisais jouir ma prof excitée comme une folle".

C'est du propre, Hitomi. La deuxième heure de cours de ta vie d'enseignante est à peine finie et tu sautes déjà sur l'un de tes élèves. Je devrais avoir honte, et plus encore alors qu'Hiruko fouille mon décolleté. Je déboutonne mon chemisier pour lui faciliter l'accès alors que ses doigts se glissent déjà dans mon soutien-gorge.

- Yamashagi, vous êtes attirante et vous une femme qui a besoin de tendresse n'est-ce pas? Indiquez moi la zone qui vous ferez le plus plaisir. Yamashagi-sensei, enseignez-moi!

c'est vrai que je suis attirante, et que j'ai besoin de tendresse dans cette ville que je découvre à peine. Mais je ne veux pas brûler les étapes. Nous n'avons qu'une heure. C'est trop court pour perdre du temps, mais juste assez long pour en prendre un peu. Cela dit mon élève a l'air motivé, et il sait y faire. Sa langue joue avec mon oreille, me fait frissonner.

- You're good at twisting nipples... Devine de quoi je parle.

-Mmmh, peut-être voulez vous parlez de ça?

Je me mis à lui tirer le bout des tétons dans tous les sens, j'avais déjà vus une telle pratique mais si elle aimait ça... J'allais continuer.

-Vous êtes une bonne enseignante, Yamagashi- sensei!

Je commençais à embrasser son bas-ventre afin de lui faire procurer l'envie d'aller plus lion avec moi. J'avais l'intention de la faire gémir pour que tout le lycée entende! Le piège se refermait petit à petit. Mais moi aussi, je succombais à mon propre piège, je me sentais de plus en plus excité, j'avais de plus en plus envie de lui faire l'amour. Mais je me retenais, après tout par la suite elle voudra peut être continuer ce petit jeu là et je voulais lui faire bonne impression.

-Mme Yamagshi, je sens un drôle de liquide sur mes jambes, vous êtes en train de mouiller? Devant votre petit élève pervers, mais qui est le plus pervers d'entre nous? N'est-ce pas vous?

Le gémissement que j'étouffe vaut toutes les bonnes notes. Après un petit compliment les lèvres d'Hiruko descendent sur mon ventre. Je me hisse contre la table pour passer une main dans ses cheveux.

- Mme Yamagshi, je sens un drôle de liquide sur mes jambes, vous êtes en train de mouiller? Devant votre petit élève pervers, mai qui est lee plus pervers d'entre nous? N'est-ce pas vous?

Quelle réponse peut-il bien attendre ? Je pourrais le renvoyer au fond de sa chaise, prendre sa main pour la guider à l'intérieur de mes cuisses et lui faire toucher ma culotte toute mouillée. Mais il commence à être à l'aise et je veux savoir jusqu'où il veut m'emmener. Je me mordille un doigt replier, gémissant de ma plus petite voix.

- Non.

Je remet une bonne couche en détournant mon visage qui commence à rougir.

- Ne dit pas des choses comme ça, Hiruko-kun... C'est tellement gênant.

Jusqu'ici je me suis montrée plutôt entreprenante. J'espère qu'il va se laisser convaincre.

Mon prof d'anglais agissait de manière de plus en plus convainquante. Sa petite mimique me poussait à l'action. Une main changea d'horizon et se déplaça sous la jupe de Yamagashi. Je sentais sa mouille qui avait couler de sa culotte.

-Allons, il ne faut pas avoir honte, c'est très bien d'agir comme ça.

Je m'amusais à tirer sur sa culotte pour qu'elle rentre dans son vagin tout en continuant de tirer un téton pendant que ma bouche s'occupait de l'autre. Son bassin de cambrait voulant apparament que je démarre à faire plus. J'enleva sa petite culotte et je me débraguetta mon jean. Ma verge bien dur et émoustillé commença à percuter doucement la paroi du vagin de mon instit. Je voulais que ce soit elle qui fasse le premier pas la première démarche. J'attendis.

Je baisse les yeux vers sa main qui remonte entre les cuisses, puis disparaît sous ma jupe. Je prend de grandes inspirations, prétextes à gonfler ma poitrine juste sous son nez.

-Allons, il ne faut pas avoir honte, c'est très bien d'agir comme ça.
- Non... Ce n'est pas bien...

Coucher avec un élève, dès mon premier jour à ce poste : ce n'est définitivement pas bien. Mais je sens que ça va être bon, aussi clairement que je sens ses doigts pressés contre ma culotte déjà trempée. Il ne tarde pas à m'en débarrasser. Je me laisse faire en me mordillant un doigt. Ce n'est pas vraiment de la mise en scène, je sais que nous n'avons pas beaucoup de temps et j'ai hâte de passer à la suite. Lui aussi apparemment. Il ouvre grand sa braguette dont son membre jaillit comme un diable de sa boîte.

- Ho ! Hiruko-kun...

Je tire ma jupe pour la lever jusqu'au-dessus de mes fesses, exposant mon intimité contre laquelle son gland vient déjà taper. Mon "petit" élève pervers se sous-estime, il est largement assez bien équipé pour plaire. Je referme une main faussement timide sur son sexe tendu pour l'écarter de mes lèvres intimes. Ma main libre passe derrière la nuque qu'Hiruko pour guider ses lèvres jusqu'aux miennes. J'avance alors que ma langue cherche la sienne.

Je tourne pour amener Hiruko contre la table, puis je rompt notre baiser. Ma main glisse de sa nuque pour dévaler son corps alors que je m'accroupis. Je me retrouve nez à nez avec son membre tendu. Le sexe d'un élève, c'est une première pour moi. Je veux y goûter avant de le noyer dans le nectar que plus rien n'empêche de couler entre mes cuisses. Je lève de grands yeux implorant vers lui, approchant une langue mal assurée de sa chair brûlante. Quelques caresses et je referme mes lèvres dessus.