- Bien, et n'oubliez pas votre dissertation pour la semaine prochaine...
L'un des meilleurs moment dans une journée, c'est la fin des cours. Rangeant calmement mes affaires, je me fait interpeller par le prof qui veut savoir où en est ma recherche de stage, me reprochant au passage que je suis la seule élève à ne pas encore en avoir. Je lui répond donc que je fais de mon mieux pour trouver un bon tuteur. Faut dire aussi que ce n'est pas simple, surtout avec mon principe de base. Moi qui souhaitais devenir avocate, force est de constater que cette branche semble totalement corrompu... sans blague, quand j'expose mon combat contre la corruption de la justice, on m'envois hors des bureaux... quand on ne me demande pas de passer en dessous si je veux avoir une chance d'obtenir un stage... Si je me bat contre ce genre de choses, ce n'est pas pour m'y rabaisser...
Sortant rapidement de l'établissement, je ne vois pas l'un des élèves, d'une année inférieure à la mienne, courir après moi. Malheureusement pour lui, il trébuche et le temps qu'il ne se relève, je suis déjà hors de vue. Je marche donc rapidement jusqu'à la station de train, qui me conduira hors du campus pour allez vers la ville. Une fois à Seikusu, il me faudra passer par le parc pour atteindre rapidement mon appartement. Il me fallu une vingtaine de minutes environs pour atteindre le parc et, généralement, je coupais toujours par le sous bois pour en ressortir plus vite. Hors, telle ne fut pas ma surprise d'entendre de faibles gémissements, alors que je coupais à travers bois. Curieuse, je décide de me rapprocher de la faible voix féminine, me demandant pour quelle raison elle pouvait bien faire cela.
J'allais sortir de derrière un arbre, lorsque je vis une jeune fille avec les cheveux turquoises, appuyée contre un arbre, le visage rouge et sans doute chaud, occupée à doigter son vagin, sa culotte au niveau des genoux. J'en rougie aussitôt de gêne, étant peu habituée avec la chose... Ce n'est pas que je ne m'y intéressais pas, mais plutôt que j'étais si prise avec les cours, que je n'avais pas le temps d'y penser... Et agir ainsi en public, sans pudeur, je trouvais ça... incorrect... dépravé... Je me surpris même à observer le plaisir évident de cette fille, avant de me rendre compte que jouer les voyeuses était tout aussi mal. Je voulus partir discrètement, mais mon regard étant toujours tourné vers elle, je ne vis pas la racine et trébucha lamentablement dans les buissons avec un petit cri... De honte, je plaque mes mains sur mon visage, toujours aussi rouge...