Ivy se mit à quatre pattes, offrant sa fleur, son corps, et sa beauté à sa « fille ». Cette dernière ne tarda pas à accepter, devant probablement sentir un élan d’amour difficile à expliquer envers Poison Ivy, une bouffée de chaleur et d’affection.
« Je viens... M... Mère... » finit par dire cette dernière.
Poison Ivy sentit alors cette dernière poser ses mains sur son corps, et elle en frémit. Ivy serra le sol entre ses doigts, avant de sentir les lèvres de la mandragore se poser sur son derrière. Les mains de Sakura caressèrent le très attirant cul de la femme, avant qu’elle n’écarte ses fesses pour lécher les profondeurs de son fondement, faisant soupirer Ivy. Il n’y avait pas à dire, ces caresses buccales étaient particulièrement vivifiantes, et elle remuait légèrement son postérieur pour accompagner les mouvements de Sakura, sachant très bien que sa fille ne faisait que la titiller, que l’émoustiller. Elle y passa un certain temps, semblant admirer le cul bien formé de Poison Ivy, et cette dernière se mordait les lèvres pour ne pas lui hurler de passer aux choses sérieuses, d’accélérer le mouvement. Elle laissait à Sakura le temps nécessaire pour agir, cette dernière ayant après tout subi d’importantes modifications génétiques.
Au bout d’un moment assez long, Sakura retira sa langue, et s’étala sur le corps d’Ivy, se penchant en faisant remonter ses tendres mains le long du corps d’Ivy. Elle sentit le corps de Sakura frôler le sien, tandis qu’elle s’appuyait sur les seins tendus et impatients d’Ivy. Les pointes durcies de ses deux mamelons indiquaient à quel point elle était impatiente, et la doucereuse et enivrante odeur jaillissant de son intimité allait dans ce sens. Sa cyprine parfumée s’échappait de son intimité.
« Et si on passait au choses sérieuses, Mère ? lui demanda alors Sakura.
- Mon corps est tout à toi, Sakura… » répliqua simplement Ivy.
La mandragore utilisa ensuite ses tentacules, passant, comme elle l’avait annoncé, « aux choses sérieuses ». Ivy espérait que sa fille n’aurait aucune difficulté à s’en servir. Pour elle, les tentacules fonctionnaient naturellement, mais elle ne se rappelait plus si elle avait eu du mal ou pas à s’y adapter. C’était comme essayer de se rappeler si on avait eu du mal à utiliser ses jambes. Les tentacules étaient pour elle des organes normaux, des membres, au même titre que ses bras ou ses jambes. Sakura déploya ses tentacules, et Ivy en sentit quatre s’enrouler autour de ses jambes et de ses pieds, l’emprisonnant avec délice. Elle en soupira, et caressa avec ses doigts le bout des tentacules enroulés autour de ses bras, les emprisonnant dans la paume de chacune de ses mains, les grattant. Les tentacules étaient des zones érogènes chez cette mandragore, et elle les grattait tendrement, se demandant si ces tentacules permettraient de cracher, comme le corps d’Ivy pouvait le faire à travers ses tentacules, un genre de sperme.
D’autres tentacules ne tardèrent pas à venir, trois s’occupant du bassin d’Ivy. Deux autres roulèrent sur ses seins, les emprisonnant, les tirant à droite et à gauche, devant, les soulevant, la faisant gémir lentement. Toutefois, Ivy ne put bientôt plus gémir. Elle sentit un tentacule se glisser dans son cul, en même temps qu’un autre dans son vagin, et un troisième dans un autre trou, et elle en poussa un cri… Le cri ne dura toutefois qu’une ou deux secondes, car un énième tentacule s’enfonça dans sa bouche, glissant dans sa gorge, et tous les tentacules se mirent à remuer sur elle, et ses cris et gémissements furent étouffés. Comme c’était bon ! Elle ne tarda pas à avoir un orgasme, sa cyprine explosant pour glisser le long d’un tentacule, répandant une magnifique odeur, et elle ferma les yeux, se laissant faire, devenant une petite poupée entre les tentacules de Sakura, de sa perverse fille, qui y éprouvait un grand plaisir. Sous sa forme de mandragore, l’esprit de Sakura était en effet relié au sien, et elle pouvait sentir son bulbe, son petit cocon, se remplir de sa mouille. Ivy, elle, était aux anges, ressentant ce que ses partenaires, nombreux, avaient ressenti quand elle les prenait ainsi. Dix tentacules grouillaient sans relâche sur et dans elle, serrant son corps, tirant ses membres, la martyrisant avec délice. Elle était une prisonnière entre ses tentacules qui gargouillaient autour d’elle, la maintenant en l’air, serrant, la serrant… Oh, comme c’était bon ! Elle se sentait complètement écrasée sous une telle vague de plaisir, et contracta un second orgasme, sa cyprine continuant à se répandre, au fur et à mesure que les tentacules s’agitaient de plus en plus intensément.
« Viens... Viens me prendre... Ta petite sœur te veux en elle... » lança alors Sakura à l’attention de l’arbre tentaculaire.
Ce dernier agit sans hésitation, et de nombreux tentacules convergèrent vers Sakura, l’enveloppant délicatement et solidement. Un tentacule se contenta ainsi tout simplement de l’enlacer autour de son estomac, mais d’autres ne tardèrent pas à la pénétrer, s’enroulant autour d’elle, la mettant dans le même état qu’Ivy, ou presque. L’arbre agit selon sa volonté propre, et ne tarda pas à répandre un liquide verdâtre sur le corps et dans le corps de Sakura, remplissant progressivement le bulbe. Ce n’était plus du sperme végétal, mais une sève un peu différente. Sous l’excitation, Ivy était en effet décidée à poursuivre son expérience, et à continuer à modifier les gènes de cette dernière. Bien sûr, elle n’agissait pas consciemment, car Ivy n’était pas spécialement en état de le faire, mais de manière inconsciente. Les tentacules de l’arbre enveloppaient Sakura, cherchant à amener cette dernière à se désolidariser du bulbe dans lequel elle vivait, à donner dans son code génétique le support nécessaire pour en faire une dryade, ce qui amenait les tentacules de l’arbre à être assez offensifs. L’arbre tentaculaire ne cherchait pas vraiment un plaisir sexuel, mais c’est ce que Sakura devait ressentir, car c’est en l’anesthésiant sexuellement que l’arbre comptait la transformer. Ainsi, deux tentacules gobaient ses seins, les absorbant dans des bouches voraces pour lécher par de multiples dents visqueuses et molles, semblables à des langues, ses tétons. D’autres tentacules étaient enfoncés dans ses parties intimes, d’autres caressaient son cul, et des micro-tentacules filaient par sa bouche dans son corps, tournant autour d’un tentacule bien plus gros qui pénétrait sa bouche, les micro-tentacules se mélangeant avec les veines de Sakura pour y inclure de la sève verdâtre, modifiant ainsi son sang, atteignant son cœur pour le faire, recouvrant progressivement tout le corps de Sakura de tentacules.