Des vacances méritées (PV Lucius)

Même si elle passait l'immense majorité de sa vie sur les routes, voyageant aux quatre coins de Terra en prenant les primes qui s'offraient à elle, Cirillia avait parfois aussi besoin de prendre le temps de se poser. Cela n'arrivait que rarement, mais lorsque c'était le cas, la jeune femme allait au seul endroit où elle aimait rester plus d'une semaine à ne rien faire: L'auberge du Coucher de Lune.

C'était assez rare pour le signaler, elle était sans armes...ou presque. En fait elle portait tout de même une dague bien affutée dissimulée dans l'une de ses bottes, mais ce n'était quasiment rien en comparaison de l'arsenal qu'elle a l'habitude de transporter lorsqu'elle voyage. Assise à une table, ou plutôt affalée à une chaise tandis que ses pieds reposaient eux sur la table, la jeune femme regardait le plafond tout en tenant à la main son verre rempli à ras-bord d'hydromel. Elle se laissait porter par les bruits ambiants, la musique qui se perdait face aux nombreuses voix qui s'élevaient dans toute l'auberge, les cris, les rires, les chansons.

Cirillia n'était pas vraiment du genre à sympathiser facilement, aussi préférait-elle siroter tranquillement son hydromel. D'autant qu'en général, il était rare que dans un endroit pareil, il n'y aie pas quelques personnes qui viennent à elle pour tenter, ni plus ni moins, de la draguer. Il était toutefois rare qu'elle se laisse emballer, car vu son caractère endurci, tous les hommes n'étaient pas capables de se montrer intéressants à ses yeux. Le prochain candidat serait-il à la hauteur ? Mystère mystère...

Une semaine passée à parcourir nexus et ses alentours. Cela avait vraiment intéressé Lucius de découvrir terra. Mais il commençais à avoir le mal du pays. La ville, le cinéma, internet, LE CHOCOLAT! Il décida que demain il partirai à la recherche d'un des passage vers la terre dont il avait entendu parler au temple.

Mais avant cela, un peu de détente. Avec l'argent qu'il avait récolté au cours de son voyages, il avait pus ce réserver une chambre permanente à l'auberge du couché de lune. L'hygiene y était correct, la nourriture bonne, et les clientes y étaient parfois des plus séduisantes. Il marchait dans les rues de nexus vêtus de sa tenue de voyage pantalon et veste de laine grise entouré d'une cape noire. Il portait son habituelle épée pendant à sa droite ainsi qu'une large dague derrière lui. Il entra dans l'auberge.

Il fit attention à la clientèle présente. Les badauds habituels, quelques clients de passage...
mais qui était cette sublime créature au formes envoutantes ? Une fille au cheveux couleur rubis parsemé de noir était tranquillement affalée sur une chaise les jambes étendues sur la table. Il pouvait estimer qu'elle était de grande taille. Presque aussi grande que lui, ce qu'il avait toujours apprécier chez une femme. Il compris également à sa musculature athlétique et à la dague discrètement cachée dans sa botte qu'elle était une guerrière.

Il marcha vers le comptoir de l'auberge et salua le patron. Il posa sur un piédestal sa cape, sa ceinture contenant ses armes, ainsi que sa veste d'arme en laine. Il ce retrouvais en sous-chemise de lin écru, sans manche. Il demanda au patron une bouteille de vin et une coupe. Il ce retourna ensuite pour admirer la beauté aux cheveux rouges.

Y'a un truc qu'on apprend assez vite dans ce métier, un instinct qui se développe rapidement, et qui fait la différence entre un chasseur ou une proie, c'est cette capacité à sentir lorsqu'un regard se pose sur vous. Ce délicat frisson dans le dos, qui peut être agréable ou non selon la situation, qui nous averti que quelque chose ou quelqu'un nous regarde avec insistance. Cirillia était ainsi sortie de ses pensées, où elle se disait qu'elle pourrait peut-être aller faire un tour dans les quartiers mal famés de Nexus, afin de se procurer un peu d'opium, car elle sentit justement ce léger frisson le long de sa colonne vertébrale.
Combien de fois l'avait-elle senti ? Et combien de fois cette simple réaction de son corps lui avait-elle sauvée la vie ? Et combien de fois aussi l'avait-elle ressenti depuis qu'elle s'était installée dans cette auberge ?

Cirillia était une belle femme, d'autant qu'elle le savait, et d'autant plus que ses vêtements n'étaient pas vraiment du genre à être très chastes. Corset, pantalon en cuir, le tout moulant ses formes délicieuses, il en fallait naturellement moins que ça pour attirer les regards. Aussi se redressa-t-elle, de façon à ne plus être semi allongée, mais belle et bien assise, et son regard fila droit vers la personne qui la fixait.

Et ce fut une surprise, mais dans le bon sens du terme. C'était en effet le type d'homme que Cirillia casait sans trop de problèmes dans la catégorie des beaux mecs, ou même des amants potentiels. D'un rapide coup d'oeil, elle pouvait distinguer les muscles saillant de cet homme, son visage était quand à lui tout aussi bien fait que le reste. En temps normal, Cirillia l'aurait volontiers insultée, car forcément la chasse aux monstres est un métier éprouvant qui en fait une véritable boule de nerfs qui saute sur tout et n'importe quoi. Là, après deux nuits passées à pouvoir fermer les deux yeux sans craindre une attaque de troll ou autre en plein milieu de la nuit, elle était plus...ouverte à la discussion.

Vous allez continuer à me fixer comme ça longtemps, ou bien vous prenez une chaise ?

Bon, c'était pas une entrée en matière très douce, mais il était déjà impressionnant qu'elle ne l'interpelle pas par un simple "va te faire foutre sa voyeur de mes deux".

La beauté se redressa ce qui fit légèrement rebondir sa généreuse poitrine gainée dans son corset de cuir et reposa ses jambes également habillées de cuir. Il remarqua enfin les tatouages et les piercings qui décoraient la belle. Ce qui ne le dérangeais pas le moins du monde elle s'adressa à lui.

Vous allez continuer à me fixer comme ça longtemps, ou bien vous prenez une chaise ?

Il se contenta de lui sourire il ce tourna vers le bar.

Patron ? Un verre de plus avec la bouteille de vin. Tu me l'apporte à table s'il te plais ?


Lucius ce leva alors et ce dirigea lentement vers la belle. Il prit le temps de l'observer s'attardant peut-être un peu trop sur son décolleté mais reviens vite vers ses yeux.
Pris d'une impulsion il puisa en lui pour ressentir son CHI. Il eu alors la surprise, même s'il ne le laissa pas paraitre de constater une résonance légèrement différente de celle d'une simple humaine. Il sentis que cela ce situait dans son sang mais ne senti rien de plus et s'en désintéressa. Après tout elle n'avait pas l'air agressive voir plutôt l'inverse même.

Il s'assit en face d'elle et la salue.
Bonsoir mademoiselle. Que viens faire une guerrière aussi redoutable que vous semblez l'etre dans la tranquille auberge du coucher de lune ?

Il se redressa juste a temps pour que l'aubergiste dépose la bouteille avec les deux verres

Il ne fallu pas longtemps à l'homme pour accepter sa proposition, ce qui signifiais donc qu'il n'était pas du genre à se démonter pour un rien, c'était déjà un autre bon point pour lui. Qui plus est il avait de la chance, Cirillia était de bonne humeur, du moins autant que pouvait l'être son caractère de cochon. Et passer la soirée seule dans une auberge où tout le monde se retrouvait au moins à deux, c'était très peu pour elle.

L'homme commanda un deuxième verre de vin, galanterie appréciable même si Cirillia n'y étais en général que peu sensible. Loin d'être une femme trouvant son bonheur dans les roses où les sorties romantiques au clair de lune, ses passe-temps étaient bien moins raffinés, et beaucoup plus "directs" également. Boire de tout son saoul, fumer des herbes lui permettant de s'aérer l'esprit, ou bien même quand l'opportunité se présentait, se trouver un amant ou une amante ne serais-ce que pour une nuit. Il était d'ailleurs probable que l'homme qui était assis en face d'elle en devienne un, car comme toute femme, Ciri' avait certains besoins, besoins qui n'avaient pas été satisfaits depuis une bonne poignée de mois, car elle ne s'offrait pas ce genre de luxe lorsqu'elle battait la campagne à la recherche de trucs à buter.

Chercher la tranquillité justement, et me changer les idées avant de repartir sur les routes. Et par pitié sors toi donc le balais que tu semble avoir dans le cul, je ne suis pas une de ces poulettes des cours royales.

Par cette façon fort peu délicate de parler, la jeune femme voulait sous-entendre qu'il était possible, et même vivement encouragé, de la tutoyer.

Par ailleurs, avant qu'on aille plus loin, j'aimerais savoir à qui j'ai affaire. Moi c'est Cirillia, chasseuse de monstres à plein temps. Et toi beau mec tu fais quoi dans le coin ?

Et niveau drague, on repassera aussi sur le côté fin et subtil de la chose. mais encore une fois, c'est la personnalité qui veut ça.

Chercher la tranquillité justement, et me changer les idées avant de repartir sur les routes. Et par pitié sors toi donc le balais que tu semble avoir dans le cul, je ne suis pas une de ces poulettes des cours royales.

Et bien, il semblerai que la jeune demoiselle soit bien loin des dames de villes qui Lucius avait fréquenté ces derniers temps. Par son parlé et ses manière, elle lui rappelais plus certaine de ses consœur d'entrainement au temple. Des femmes directs ne blablatant pas une éternité durant et sachant ce qu'elles veulent. Non seulement il respectait cela mais il l'appréciais. Au moins avec elle il saurait tout de suite s'il a ses chances ou pas.

Par ailleurs, avant qu'on aille plus loin, j'aimerais savoir à qui j'ai affaire. Moi c'est Cirillia, chasseuse de monstres à plein temps. Et toi beau mec tu fais quoi dans le coin ?

Jolie prénom qu'est celui de Cirilia. Et intéressante profession que celle de chasseuse de monstre. Décidément cette femme était pleine de surprise. Deux détails avaient également retenus son attention. Le premier était qu'elle avait parlé d'aller plus loin, et le second était qu'elle l'avait appelé beau mec. Une fille direct comme elle ne faisait pas de compliment à la légère. Il en pris note mais commença par répondre à sa demande. Et cela, aussi familièrement qu'elle.

Entendu beauté. Tu m'excusera les grâces du langage, c'est une habitude chez moi, mais pas une obligation. Alors moi c'est Lucius et c'est un plaisir de te connaitre

Il prit une pause pour déboucher la bouteille et servir le deux verres de vin, lui tendant le sien

Ce que je fait en général et bien...on peut dire que je suis explorateur. Je suis depuis peux dans les parages et j'ai passé la dernière semaine à aller de gauche à droite pour connaitre un peu le coin. ça me reposais après avoir parcourus les landes dévastés et le terres sauvages à pied. Pour ce qui est de ce que je fait ici ce soir, ben je crois que je fait la même chose que toi. Je me repose les pieds quelques temps, voir quelques jours avant de repartir. Histoire de dormir, boire un coup, manger un morceau

Après lui avoir tendu son verre de vin il leva le sien en signe de salut. Et la fixa de ses grands yeux bleus en souriant

Et si possible passer ce temps en agréable compagnie

Cirillia se sentit tout de suite bien plus à même de poursuivre cette conversation à présent que cet homme, qui répondait donc au nom de Lucius, utilisait un langage qui plaisait d'avantage à la chasseuse de monstres. Pas de fioritures, pas question de tourner au tour du pot, Cirillia aimait les personnes franches avec elle et détestait qu'on mette des heures avant de finalement arriver au coeur du sujet. Qu'il l'appelle "beauté" la flatta tout naturellement, mais acheva de la convaincre des intentions de Lucius à son égard, car il s'agissait bel et bien de drague dans le cas présent.
Bien éloignée des traditions voulant qu'un homme fasse longuement la cour à une femme avant de la foutre dans son lit, Cirillia avait des méthodes d'approche moins longues et plus directes, ce qui surprenait souvent ses partenaires.

Un explorateur hein ? Ma foi ça se voit, jolie musculature.

Si Lucius ne se gênait sans doute pas pour la mater honteusement, Cirillia de son côté lui rendait la pareille, car la simple chemise sans manches qu'il portait laissait deviner un corps athlétique, forgé par des années d'entraînement. Bien que n'ayant pas un comportement purement féminin, Cirillia avait toutefois les mêmes fantasmes sur les hommes qui, concrètement, faisaient valoir leur marchandise. Elle prit le verre de vin dans sa main et le bu d'une traite comme du petit lait, avant de le reposer sur la table.

Si tu cherche de l'agréable compagnie, alors je crois qu'on a ce point commun, et qu'on a tous les deux trouvés ce qu'il nous fallait...

Et comme pour ne permettre pas le moindre doute sur ses intentions, Cirillia avait alors glissée l'une de ses jambes vers celles de Lucius, et était discrètement en train de caresser l'une de ses jambes du revers de son pied. On faisait difficilement plus explicite comme message. Et après tout, pourquoi s'en priver ? Il en avait de toute évidence envie, et du côté de Cirillia c'était réciproque.

Toutefois, avant que je ne te mène dans ma chambre Lucius, il y a une condition que tu va te devoir de remplir...

Puis disant celà, Cirillia pose son coude droit sur la table, se mettant dans la position traditionnelle pour un bras de fer.

Je ne partage ma couche qu'avec ceux qui sont capable de me battre à ce petit jeu, toujours partant ?

Un explorateur hein ? Ma foi ça se voit, jolie musculature.

Un compliment agréable à entendre. Il signifiait que premièrement il lui plaisait, et qu'ensuite elle souhaitais qu'il le sache. Donc qu'elle avait envie que les choses terminent de la même manière que lui le souhaitais

Merci c'est le quotidien qui veut ça. Par contre toi, je te félicite. Se sculpter un corps de combattante sans pour autant perdre de sa féminité c'est rare. Tes formes sont plus qu’appétissantes.

Elle reprit la parole après avoir bus d'un trait son verre de vin. Lucius quand à lui préférait le savourer.

Si tu cherche de l'agréable compagnie, alors je crois qu'on a ce point commun, et qu'on a tous les deux trouvés ce qu'il nous fallait...

Ce qui confirmais sa conclusion sur ses intention. ça, ainsi que les caresses qu'elle lui faisait du pied. Lucius baissa les yeux en direction de ses pieds, puis remonta vers ses yeux et lui souris afin de lui faire comprendre qu'il avait reçu le message et qu'il y était plus que réceptif.

Toutefois, avant que je ne te mène dans ma chambre Lucius, il y a une condition que tu va te devoir de remplir...

Il haussa les sourcils en la voyant pauser son coude sur la table. Est ce qu'elle suggérait...

Je ne partage ma couche qu'avec ceux qui sont capable de me battre à ce petit jeu, toujours partant ?

Une épreuve de force ? Selon Lucius ça n'avait rien à voir avec les choses du plaisir, mais après tout, ce que femme veut, dieu le veut. Il le va son bras pour le joindre au sien et pris une bonne inspiration pour pouvoir utiliser son CHI au cas ou les impulsions qu'il avait senti en elle affectaient sa force.

Eh bien ma force n'est pas dont je suis le plus fière, et le fait de coucher avec une femme plus forte que moi ne m’embête absolument pas, mais tu as le droit d'avoir tes critères de partenaires. J'attend ton signal.

C'était effectivement une demande pour le moins étrange de la part d'une femme, que d'exiger que son futur partenaire puisse la vaincre dans cette épreuve toutefois vieille comme le monde. Mais Cirillia mettait une sorte de point d'honneur à ne pas se donner à n'importe qui, lorsqu'elle était plus jeune, sa condition misérable l'avait parfois poussée à accepter des avances contre rémunération qu'elle n'aurait jamais acceptée si elle avait eu le choix. Maintenant ce choix elle pouvait en disposer, c'était une des raisons qui faisait qu'elle n'avait pas une vie sexuelle aussi intense que ce que son magnifique corps pouvait lui permettre, mais en somme mieux valait selon son opinion être seule que "mal" accompagnée.
Lucius mit donc sa main dans la sienne, en parfaite position pour commencer ce petit duel, qui était une façon pour Ciri' de juger de la force, et donc du potentiel au lit, de son partenaire. Il était en effet rare, même si cela pouvait malheureusement arriver, qu'un homme ayant réussi à la vaincre au bras de fer se révèle être un piètre amant, et le plus souvent leur force démontrée dans cette épreuve se démontrait aussi lors des ébats amoureux.

Après avoir donnée un signal de départ, Ciri concentra donc toute sa force dans son bras droit, appuyant autant qu'il lui était possible afin de faire plier la force de Lucius. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce fut une lutte acharnée qui dura deux minutes. C'était peu en temps normal, mais énorme dans le cadre d'un bras de fer, qui se solda par une victoire de l'homme au prix toutefois d'une sacrée lutte.

Et bien, on dirait que t'a gagné ton invitation...

Maintenant que le temps des discours préliminaires était passé, Cirillia ne perdit pas une seconde de plus. Tendant l'une de ses mains elle vint saisir Lucius par sa chemise, et l'emmena à l'étage de l'auberge, jusque dans sa chambre où elle ferma la porte à clef, avant de lancer un regard brûlant de désir à son partenaire.

Maintenant les choses sérieuses peuvent commencer.

(Léger retard de ma part, pour me ratrapper je t'ai laissé gagner le bras de fer. )

(Pas de problème moi aussi comme tu vois )

Dés qu'il senti la pression exercée par le bras de Cirilia qu'elle avait tout, sauf une force humaine. Il fut d'abord entrainer de coté avant de se concentrer et d'augmenter encore sa force à l'aide de son CHI. Lucius était plus habitué à relâché son CHI durant une seconde, au moment ou ses poings (ou pieds ou autre) touchaient son adversaire. Mais là il s'agissait de garder une concentration de CHI sur une partie du corps durant un moment prolongé ce qui était extrêmement fatiguant mentalement.

Il regarda son adversaire/future amante dans les yeux et y lis une détermination sauvage particulièrement excitante. On disait que le visage qu'on donne lorsqu'on fait un intense effort musculaire, est le même que lors de la jouissance. Si s'était le cas, il avait encore plus envie de la voir à l’œuvre sous la couette. Cette dernière pensée en tête, Il mit toute sa force, mentale et physique dans cette dernière pression. Et réussit finalement à gagner.

Et bien, on dirait que t'a gagné ton invitation...

Étrangement elle ne semblait pas particulièrement embêtée d'avoir été battue.

Ah tu sais, ça c'est vraiment joué à un cheveux. Si tu avais résisté à celle là tu aurais gagné.

Presque sans écouter ce qu'il avait dit, Cirilia le saisie par la chemise et le tira hors de la table. Il eus juste le temps de prendre la bouteille de vin avant d’être entrainé à l'étage vers une chambre qu'il devinais être la sienne

Tu sais, ma chambre est un étage au dessus. Elle est plus grande et plus conf...

Elle ne le laissa pas finir et le fit entre dans sa chambre ou elle ferma la porte à clef avant de dire

Maintenant les choses sérieuses peuvent commencer.

Devant le regard qu'elle lui lançais, il ne chercha plus à négocier autre chose que le plaisir qu'ils allaient tous deux avoir. Il s'avança violemment vers elle et le plaqua contre la porte, pour ensuite la soulever et plaquer son bassin contre le sien pour qu'elle puisse sentir à quel point elle lui faisait de l'effet.

Alors commençons sans autres.

Il la porta jusqu'au lit et la posa pour ensuite ce placer au dessus d'elle et l'embrasser à nouveau. Il se plaqua de nouveau contre elle afin de masser son sexe avec le sien à travers les tissus.

La violence faisait partie du quotidien de Cirillia, il se passait rarement une seule journée sans qu'elle ne se trouve dans une situation que d'aucuns qualifiraient de délicate. Cette façon de vivre risquait à tout moment de mettre un terme à son existence, mais elle était ce genre de personnes qui préféraient avoir une vie intense, quitte à ce qu'elle soit courte.
Cet aspect de sa vie se retrouvait donc tout naturellement au cours de ses ébats. Le romantisme ? Une perte de temps et d'efforts. Elle avait pris depuis longtemps conscience d'à quel point la vie était fragile et éphémère, elle voulait de l'instantané, du passionnel, de quoi la faire hurler.

La façon dont Lucius vint à sa rencontre, une fois la porte de la chambre fermée à double tour, ne put donc que lui plaire. Cirillia s'était retrouvée plaquée dos contre la porte, avant que Lucuis ne la soulève par le bassin et ne colle son corps contre elle. Tout dans ses gestes trahissait cette même envie, cette même frustration qui les animaient tous deux. Cirillia enroula ses jambes autour du bassin de Lucius, afin de se maintenir au mieux. Ainsi, et malgré le fait que les deux amants portaient encore leurs vêtements, Cirillia pu sentir cette bosse caractéristique au niveau de l'entrejambe de Lucius, le début d'une bien belle érection pour ce qu'elle pouvait en juger. Glissant ses mains dans le dos de son partenaire afin de se maintenir contre lui, Cirillia l'embrassa langoureusement. Puis, alors qu'il bougeait afin de les diriger tous deux vers le lit, elle avait cessée brièvement se baiser afin de plaquer le visage de Lucius contre son opulente poitrine, lui donnant un avant goût de ces seins qu'il pourrait voir, palper et lêcher sous peu.

Cela dura quelques secondes, le temps nécéssaire pour qu'ils arrivent sur le lit dans de telles conditions de transport. Cirillia se fit allonger dos sur le lit, et Lucius au dessus d'elle, revint l'embrasser. Elle le lui rendit avec d'autant plus de passion que son partenaire la "narguait", frottant son entrejambe entre les cuisses de Cirillia, lui donnant lui aussi un avant-goût de ce qui allait suivre. Son souffle s'accélérait alors qu'elle ondulait son bassin pour accentuer ces frottements, elle se trouvait dans ce délicieux état d'excitation qui lui faisait tout oublier, et se concentrer uniquement sur cette nuit qu'elle allait passer.

Hum, t'a l'air monté comme un étalon, voilà qui est...prometteur...

Ajouta-t-elle avant de donner une petite tape sur le cul musclé de Lucius.

Hum, t'a l'air monté comme un étalon, voilà qui est...prometteur...

Ce genre de paroles excitait Lucius particulièrement.

Et rassure-toi. Je sais également m'en servir. Ainsi que d'autres parties de mon corps.

Il continua un temps à caresser son entrejambe de son membre tendu. Embrassant ses lèvres et descendant ensuite sur son cou, embrassant, léchant, mordillant.

Puis il s’écarta et ce posa à coté d'elle et remplaça la pression de son bassin, par celle de ses doigts. Il lui caressa d'abord l'intérieur des cuisses, puis son sexe à travers le cuir du pantalon. Il fit de très léger cercles de ses doigts avant d'accentuer de plus en plus fort la force de ses doigts.

Alors tu aime ce que je te fait ? peut-être aimerais-tu qu'il n'y ai pas cette barrière de cuir entre mes doigts et ton sexe ?

Alors il remonta ses doigts et les rentra à l'intérieur du pantalon. Il repris alors ses caresses directement sur son clito, sentant l'humidité qui baignais son sexe. Il repris d'abord des mouvements lents et doux. Pour augmenter la vitesse et la pression de ses doigts. Il continua ses mouvements en cercles encore et encore. En profitant pour à nouveau gouter les lèvres de la belle ainsi que sa nuque. Le petit plaisir de Lucius avait toujours été d'amener les femmes à la jouissance rien qu'avec ses doigts.