Le membre du vampire se durcissait solidement entre ses lèvres, la Princesse le sentait, au fur et à mesure qu’elle poursuivait sa fellation. Elle ne saurait exactement expliquer en quoi elle trouvait cela fascinant, mais le fait est qu’elle adorait sentir ce membre dans sa bouche, le titiller, le caresser avec sa langue, le frotter avec ses lèvres, le mordiller, l’enfoncer dans sa gorge. Un tel jeu, car il s’agissait bel et bien pour la Princesse d’une forme de jeu, influait naturellement sur son corps, et, entre ses gémissements délicatement étouffés par le membre du vampire, elle se mettait à satisfaire sa requête, sa partie intime commençant à s’humidifier, croissant de plus en plus.
Elle l’entendait gémir, ce qui, bien entendu, la faisait plaisir. Elle en rougissait de fierté, et se dandinait un peu sur lui, remuant son bassin. Les mains du vampire se promenaient sur ses fesses, les caressant, les massant, les séparant l’une de l’autre, afin de glisser le bout de ses doigts dans sa croupe, dans ce petit trou, ce qui la fit frémir. C’était une zone assez sensible, il fallait bien le reconnaître, et, quand il promena ses doigts fins sur cette zone, elle se cambra un peu. Un réflexe primitif, inconscient, ce qui eut surtout pour effet de coller un peu plus son intimité vierge de poils contre son visage. Les mains du vampire allèrent ensuite se promener le long de ses jambes, les caressant avec ses ongles pointues, répandant de tendres frissons sur la chair de la Princesse. Il lui était impossible de nier que ce contact était très agréable, et la remarque que fit le vampire la fit sourire.
« Délicieux... N'y a-t-il donc pas de partie chez vous qui n'est pas délicieuse ? »
La bouche prise, elle ne lui offrit aucune réponse, tout en le sentant désormais masser la plante de ses pieds, promenant ses doigts dessus. Alice était une Princesse, ce qui revenait à dire qu’elle avait des goûts assez spécifiques. Sans qu’elle ne puisse se l’expliquer, elle avait toujours aimé que ses partenaires soient à ses pieds, au sens propre du terme. C’était son petit fantasme, et l’inverse était, ma foi, assez exact. Qu’on s’occupe de ses pieds lui procurait une joie qui était difficile à expliquer, cette partie du corps humain n’étant par principe pas réputée pour être une zone érogène par excellence.
Quoiqu’il en soit, alors qu’Iruka continuait à la masser, étant un peu plus explorateur qu’elle, la Princesse de Sylvandell se concentrait exclusivement sur son sexe. Elle le sentait proche du point de rupture, vu la manière dont il se tendait, se gonflait, et semblait réagir à ses attouchements. Elle multipliait avec plaisir, dans la mesure que son faible petit corps le lui permettait, ses gorges profondes, et se sentait de plus en plus mouiller,. L’une de ses mains jouait avec les testicules du vampire, les frottant, les soulevant, les caressant, et elle poussait de longs soupirs.
Sous le traitement délicieux du vampire, la Princesse ne se sentait plus capable de résister bien longtemps, ce qui se témoignait dans la manière dont son corps bougeait,. Elle commençait en effet à remuer son bassin de haut en bas, d’avant en arrière, afin de mieux frotter son bouton de plaisir contre le vampire. Ce faisant, sa tête bougeait également délicatement, remuant le membre tendu et ô combien dur d’Iruka. Ciel ! Elle n’avait jamais trouvé quelque chose d’aussi particulier qu’un pénis ! Elle ne savait vraiment pas comment résumer cette sensation. Le membre semblait dur à l’intérieur, et mou à l’extérieur. Elle pouvait frotter ses doigts contre cette longue peau, mais sans pouvoir la plier, alors que la peau était assez douce et chaude. Doux comme un drap, et dur comme un caillou. Le corps humain était vraiment quelque chose de passionnant, et elle ne tarda pas à avoir son premier orgasme de la soirée. Elle le sentait approcher, et, malgré le membre du vampire, ses soupirs pouvaient se faire entendre.
« Hnnnnnnnnnnnnnnn… » soupirait-elle.
Le lit commençait à émettre ses quelques silencieux craquements si caractéristiques, et la cyprine vint d’elle-même, se répandant entre les lèvres du vampire, tandis que la Princesse poussa un long gémissement, lui déversant sa mouille, cette dernière glissant et jaillissant comme une petite fontaine.