Moi chopé ? La blague ! [PV Yumiko]

Bon, cette fois, c'est la semaine, le moment le plus chiant qu'il y a sans doute sur cette Terre, car, qui dit semaine dit : École... Pas de sortie le soir... En gros, tu va à l'école le matin, l'après-midi, tu peux sortir une heure puis tu bouffes et tu dois rester cloîtré dans ton dortoir à rien foutre à pars si une fille s'ose à venir près de toi, mais, la plupart du temps, c'est John qui se déplaçait et ce soir, c'est bien ce qu'il comptait faire. Il connaissait une fille qui aimait bien quand il lui rendait visite les soirs de semaine, d'un coup, ça devenait moins chiant, bah oui, quand on fait l'amour, c'est pas chiant, forcément, enfin, si ça arrive John préfère se barrer plutôt que de rester là à s'emmerder.

Revenons donc à John qui se préparait doucement, s'habillant à la va vite, jeans, tee-shirt noire et le reste avant de se lever et d'ouvrir la porte de son dortoir, essayant d'être le plus discret possible, sachant que la surveillante était sans doute pas encore couché, ça allait être chiant d'aller discrètement jusqu'au dortoir de la fille en question. Pour l'instant, tout se passait bien, il passait dans les couloirs tranquillement, n'entendant pas la surveillante et na la voyant pas non plus, peut-être qu'elle dormait après tout. John arrivait sans surprise dans la partie des dortoirs des filles, souriant déjà en coin à ce qu'il allait subir en franchissant cette belle porte, cette fille qui l'attendait sûrement en petite tenue et qui allait lui sauter dessus... Ah... Un pur bonheur !

John marchait toujours aussi discrètement, voyant les couloirs défiler, il lui restait que quelque mètre avant d'arriver dans le couloir menant sur le dortoir, mais bon, parfois, on a pas toujours de la chance, la surveillante était planté là, dans le couloirs même et elle lui faisait face, C'était une jeune femme qui avait à peine un ou deux ans en plus que lui, elle était plus petite, mais assez mignonne, encore une fille que John n'a pas encore essayer tiens... Il lui souriait en coin, la regardant.

« Pour une fois que je n'arrive pas à entrer dans le dortoir d'une fille... Tu t'occupes bien de la surveillance toi hein. »

Il souriait toujours en coin, ne s’enfuyant pas, la regardant, il ne l'avais pas vouvoyer, c'était une simple surveillante aussi jeune que lui et si ça la dérangeait, et bien, ce n'était pas vraiment son problème.

« Ah, au fait, si tu veux mon nom pour aller me balancer ma jolie, moi c'est John Rosewood, tu as dû entendre parler de moi non ? Ce n'est pas la première fois que je me promène dans les couloirs. »

John restait là à la regarder, souriant en coin, se demandant ce qu'elle comptait faire. Cette situation le faisait rire intérieurement, même si il était déçu de ne pas pouvoir prendre son pied aujourd'hui, enfin, qui c'est, il en a déjà eu des femmes du personnel, et si... Dès que l'idée lui parcourra l'esprit, John regardait la surveillante en souriant malicieusement.

« Ça doit être chiant de rester planté la nuit dans les couloirs non ? Moi ça me ferait chier, déjà que rien à devoir rester dans mon dortoir ça me saoul... J'espère que tes bien payé. »

John ricanait, la regardant toujours, se montrant joueur, il voulait voir toutes les réactions de la jeune femme, savoir si ça en faudrait la peine ou pas, en tout cas, ce qui était sûr, c'est qu'elle était bien faîtes physiquement, ça allait peut-être devenir plus intéressant que prévu tout compte fait.

Ce soir, je me suis postée directement à l'entrée du dortoir des filles, plutôt que de faire ma ronde habituelle. Pourquoi ? Je savais de source sûre qu'un élève allait tenter de venir faire un tour à cet étage. La jeune fille n'avait pas sût tenir sa langue et en avais parlée à ses amies au moment où je passais à coté de leur table. C'est parfois l'avantage d'être jeune dans ce métier. On passe plus facilement inaperçue au milieu des élèves, malgré le fait que je ne porte pas l'uniforme. En fait, lorsque je travaille au lycée, je suis souvent vêtue de mon pull bordeaux, de mon jean et de chaussures marrons, les cheveux attachés en queue de cheval avec un ruban. Bref, cela faisait déjà une trentaine de minutes que j'attendais, lorsque ma cible daigna enfin se montrer.

L'élève était vêtu d'un T-shirt noir et d'un jean, surement pour passer plus inaperçu dans l'obscurité. Manque de chance, sa chevelure rousse orangée ne l'aide pas tellement. Il était également légèrement plus grand que moi, mais n'en restait pas moins un simple élève. Lorsqu'il vit que, finalement, il ne pourra pas rendre visite à sa copine, il se contenta de sourire, sans même prendre la fuite. Parfait, ça m'évitera de lui courir après.

- Pour une fois que je n'arrive pas à entrer dans le dortoir d'une fille... Tu t'occupes bien de la surveillance toi hein.

- Oh... Pour ça, tu peux remercier ton amie. Entre nous, je trouve qu'elle n'est pas très discrète.

Je lui fait un clin d'œil avec le sourire. Je ne me formalise plus du tutoiement de certains élèves depuis longtemps. Certains m'appelle encore "Senpai", du temps ou en était encore une moi aussi. Et puis... ce n'est pas pour rien que je suis un "pion cool", même si je me dois sévir de temps à autres.

- Ah, au fait, si tu veux mon nom pour aller me balancer ma jolie, moi c'est John Rosewood, tu as dû entendre parler de moi non ? Ce n'est pas la première fois que je me promène dans les couloirs.

- En effet, ta réputation t'a précédé... Je veux bien être cool en général, mais tu semble oublier que je ne suis plus une élève, beau parleur. Donc pour toi, ce serra Yumiko-san ou Senpai. D'un autre coté, il serrai dommage d'aller réveiller la directrice pour une ballade nocturne. Je vais donc devoir te garder dans ma chambre jusqu'à demain matin.

Nous nous sourions tout deux, dans l'attente de voir la réaction de l'autre. John traine en effet une belle réputation parmi certaine femme du personnel. En temps normal, j'évite de coucher avec les élèves, mais celui-ci pourrais bien faire exception à la règle. D'autant que le suis la seule parmi ce même personnel à être encore mineure , la majorité étant à 21 ans. Soudain, je vis son sourire devenir malicieux... Le tombeur fait son apparition.

- Ça doit être chiant de rester planté la nuit dans les couloirs non ? Moi ça me ferait chier, déjà que rien à devoir rester dans mon dortoir ça me saoul... J'espère que tes bien payé.

- Oh, ne t'inquiète donc pas pour ma paie... Mais tu as raison sur un point, la surveillance est parfois... emmerdante. Mais puisque je t'offre "l'hospitalité" dans ma chambre, j'espère que tu serras à la hauteur de ta réputation, John-kun.

Je réponds à son sourire, avant de l'inviter à me suivre dans le couloir.

- Tout de même, si la directrice a aménagée une pièce dans la cave, c'était justement pour éviter ce genre de chose. Pourquoi n'est tu pas allez t'amuser avec Elle ?

Une fois dans ma chambre avec mon invité surprise, je verrouille la porte et me rend dans la cuisine. L'avantage des chambres de surveillants, c'est que ça ressemble plus à un petit studio qu'autre chose.

- Tu veux boire quelque chose ? Ou tu veux passer directement à l'action ?

John restait planté là, toujours avec le sourire, regardant la jeune femme qui lui répondait, elle l'étonnait un peu d'ailleurs. C'était facile, trop facile, tellement facile que John se demandait si ce ne serait pas un piège, mais bon, à croire ses paroles, sa réputation tourne pas mal, ce qui ait bien après tout, en même temps, après s'être fait l'infirmière, la secrétaire et j'en passe, normal qu'entre filles du personnel on en parle. John arrivait à ce qu'il voulait, que ça réputation se joue sur le fait qu'il soit un « étalon » et qu'il n'avait jamais déçue une de ses partenaires, en tout cas, la surveillante devait s'emmerder, de là à lui proposer de venir dans sa chambre, en plus, elle lui avait dit qu'elle l'attendait, à cause de la fille qu'il devait voir qui avait sans doute raconter à ses copines qu'elle allait se taper le fameux rouquin, mais, apparemment, la surveillante est a bien profiter, peut-être que son idée de départ était que ça soit elle au final qui se tape le fameux roux. Cette idée faisait presque rire John. Le plus marrant, c'est quand elle lui demanda pourquoi il n'était pas parti voir l'esclave dans la cave, apparemment mise là pour subvenir à nos envies, John ricanait avant de répondre :

« En gros, tu entres dans une pièce, tu te fou à poil, tu baises avec une esclave et tu sors, franchement, à force, ça me lasse. Tu es sur de baiser en allant là-bas, moi je préfère la drague et puis, comme maintenant, le risque. Et puis, entre nous, je n'ai jamais eu réellement besoin d'une esclave. »

John la suivait, repensant à ce qu'elle avait dit « J'espère que tu seras à la hauteur de ta réputation... ». Si sa réputation était comme cela, ce n'était pas pour rien et, si elle le voulait, elle allait pouvoir en juger d'elle même.

Ils entraient dans la chambre, qui était beaucoup plus classe que les dortoirs des élèves. Et là, John regardait la jeune femme, presque surpris de ses paroles, mais gardant un sourire qui se faisait malicieux. Il s'approcha d'elle, venant déposer ses mains sur les côtés de son bassin, ses lèvres se rapprochant de son oreille, y chuchotant :

« Et bien, comme tu as pu le dire, je pense que nous avons toute la nuit devant nous. Pourquoi ne pas boire un verre plus tard dans ce cas, Yumiko-San ? »

Il n'avait pas tord quand on y pensait, une nuit blanche pleine d'amusement tiens, ça le tenterait plus que bien et si elle voulait s'amuser, lui était bien prêt, il pouvait maintenant le dire, il était sûrement le mec le plus connu de l'école pour des exploits sexuels, il devait sans doute rendre jaloux beaucoup de mecs, mais si ils savaient comment c'était simple, il suffit de tout oser, de ne pas avoir peur que ça ne se passe pas comme prévu et bien sûr, il fallait savoir chauffer les femmes,en tout cas, ce soir, il allait mettre la surveillante dans son palmarès !

Tandis que je l'amène dans ma chambre, il réplique à ma petite remarque sur la jeune esclave avec un petit ricanement.

- En gros, tu entres dans une pièce, tu te fou à poil, tu baises avec une esclave et tu sors, franchement, à force, ça me lasse. Tu es sur de baiser en allant là-bas, moi je préfère la drague et puis, comme maintenant, le risque. Et puis, entre nous, je n'ai jamais eu réellement besoin d'une esclave.

C'est à mon tour de rire un peu... L'esclave est présente à la base pour calmer les pulsions sexuelles des élèves. Il est évidant que c'est moins efficace sur les dragueurs... Je lui fait donc part de ma réflexion avant d'entrer dans ma chambre.
Une fois dans celle-ci et après ma petite proposition, il s'approche de moi pour chuchoter à mon oreille, me prenant par les hanches.

- Et bien, comme tu as pu le dire, je pense que nous avons toute la nuit devant nous. Pourquoi ne pas boire un verre plus tard dans ce cas, Yumiko-San ?

C'est bien... Au moins, il n'a pas froid aux yeux. J'ai de la chance d'avoir surprise cette petite conversation. Dans le cas contraire, je l'aurais surpris dans le couloir d'une autre manière et l'aurais aussitôt punis, passant ainsi à coté d'une belle occasion. Sur un ton amusé, je réplique.

- Dans ce cas, installe toi et met toi à l'aise, je vais prendre une douche.

Je le laisse pour me rendre dans ma salle de bain, histoire de me laver rapidement, utilisant du savon à la mandarine. Une fois prête, je met de légers sous-vêtements en dentelle noir, et retourne dans le "salon". En arrivant, il semble occupé à regarder les photos de mes années lycée accrochées au mur. Je m'appuis contre le cadre de la porte dans une position aguichante, puis l'interpelle de manière sensuelle.

- Alors jeune étalon... Prêt pour une nuit torride ?

Comme si gentiment demandé, John s'installa tranquillement sur le canapé de ce qu'on pourrait appelé le salon, regardant un peu ce qui se passait autour de lui alors que le bruit de l'eau s'écoulant se faisait entendre. John aimait bien les femmes comme ça, qui se lave avant de faire l'amour, c'était mieux que les puantes qui sentait l’horreur à des kilomètres... Enfin, John était assez pensif, son regard parcourant les photos de la jeune femme plus jeune, souriant à certaines, ricanant à d'autres, comment voir qu'une fille d'une apparence fragile change en grandissant... C'était fou parfois. Il était toujours là, regardant, pensant alors qu'une petite voix l'interrompait, il n'avait pas fait attention à l'eau qui s'était arrêtée de couler. Il tournait la tête et regardait la femme, un large sourire se dessinant sur ses lèvres. Son regard se posant sur chaque forme. John se levait, enlevant son tee-shirt qu'il lançait au pif dans la pièce et s'approchait de la jeune femme.

« Torride ? Si c'est ce que tu veux. »

John se rapprochait jusqu'à poser ses mains sur ses fesses, la collant contre son corps avant de la plaquer contre le mur le plus proche, prenant ses mains dans les siennes et les collant contre le mur, au niveau de son visage avant de venir l'embrasser d'une manière assez fougueuse, langoureusement. Il avait gardait les mains de la jeune femme collée contre le mur avant de la laisser libre à ses mouvements, ses lèvres se posant contre son cou qu'il embrassait tendrement alors qu'une de ses mains massait sa poitrine et que l'autre se glissait sous sa culotte, très lentement, faisant passer un doigt tout en caressant son bassin de la main, puis un deuxième doigt, il se montrait joueur, mais son autre main semblait plus direct, passant en-dessous de ce soutien-gorge pour masser directement cette poitrine assez généreuse qui s'offrait à lui. Il avait hâte de voir et de sentir surtout ce qu'elle savait faire, mais restons sur le mot « torride », John allait encore une fois bien s'amuser...