Sodomisant toujours de bons trains dans de amples et brutales coups de reins assez rapide le petit orifice si serré de Theorem, lui enfonçant mon gros mandrin de chair veiné jusqu'à la garde, mon bas ventre venant à chaque fois percuté violemment ses délicieuses petites fesses dans un claquement tel des fessées.
Les vagues de plaisirs continuent d'affluer en moi, un plaisir que je découvre au fur et à mesure que les secondes passent, les sensations que je suis en train de ressentir sont incroyables, mon membre si bien accueillie et enserré dans ce si petit orifice chaud et humide.
Pour une première pénétration avec mon sexe masculin, je trouve que c'est le pied total, encore mieux que dans sa gorge et encore je n'ai pas fini.
J'entends ma petite soumise gémir de plus belle et je la vois se cambrer, la bouche grande ouverte, gémissant toujours plus fort avant de me dire à haute voix entrecoupé de ces gémissements.
"Han ! Han ! Han ! Oui ! Oui ! J'adore ! Encore ! Encore !"
Ce que j'entends de Teorem me fait plaisir et m'excite aussi terriblement.
Il adore, il en veut encore, c'est un bon petit esclave bien éduquer par Ishtar, moi aussi j'en veux encore plus.
Descendant la main sur sa nuque en lui caressant le dos pour venir flatter ces fesses de petites claques, je délaisse sa queue d'Inu pour venir empoigner des deux mains ses belles petites fesses que j'écarte le plus possible.
Mon corps luisant de transpiration, des gouttelettes de sueurs ruisselant sur mon corps en plein effort, je redouble d'ardeur tout en lui annonçant.
MMMMmmmmh... J'espère que tu adore, parce que je n'en est pas fini avec toi... AAAAaaaaah... je vais t'en donner encore petit pervers...
Accélérant un peu plus mes coups de reins tout en gardant des vas et viens assez amples, je sens mon petit Teorem se mettre à trembler et sucer comme un affamé le gode de la trayeuse devant lui, seule mes gémissements et cris de plaisir sont audibles maintenant.
OOOooooh... Et bien ma petite salope, ont ne t'entends plus... MMMmmmh...
Le laissant s'amuser avec le gode, je continue de prendre mon pied, pendant plusieurs minutes, essayant de garder le même rythme soutenue malgré mon essoufflement.
C'est alors que je vois la tête de Theorem partir en arrière d'un coup sec, que je sens tout son corps se tendre, son dos se cambrer à nouveau, ses sphincters se contracter sur mon bambou de chair à tel point que j'ai du mal à le pénétrer, mais je ne me laisse pas abattre par cette résistance et force un peu plus avec mon bassin pour continuer à effectuer mes vas et viens, ma queue est si compressée dans ce petit passage étroit, c'est un vrai délice.
Il lâche en même temps un cri de jouissance tout en déversant son sperme blanc et crémeux que je peux voir être aspiré dans les flexibles transparent de la trayeuse jusqu'au réservoir.
Sa jouissance terminée, tous ces muscles se relâchent, me permettant de reprendre mes vas et viens sans trop forcer le passage, même si j'ai adoré ce moment.
Je peux voir qu'il a gicler une belle quantité de foutre dans le réservoir de la trayeuse, mais je trouve qu'il n'y en a pas encore assez.
La machine continuant son travail pour le garder excité, je continue moi-même de l'enculer comme la plupart des hommes que j'ai pu rencontrer qui m'ont enculés, rapidement et brutalement, mais sous toutes ces sensations je sens ma jouissance venir à grands pas.
Je délaisse une de ses fesses pour venir empoigner sa chevelure rouge et lui relever la tête.
MMMMmmmh... Alors ma petite chienne!!! AAAaaaah... On à jouis sans prévenir... OOooooh... Sa veux dire que tu aime ce que je te fais?... petite perverse... allé ouvre grand la bouche!!! AAAAAAAAH...
D'un brutal coup de rein, je le fais avancer sur la table avant de pousser avec ma main pour l'obliger à sucer le gode en face de lui, alors que j'accélère encore un peu plus le rythme de mes va et viens, je maintiens sa tête de force et continue de la pousser.
Je veux qu'il l'avale entièrement, je veux l'entendre s'étrangler avec alors que je vais me déverser en lui.
J'ai accéléré le rythme de mes va et viens, mais c'est maintenant la brutalité de ceux-ci qui s'accentue dans des claquements de nos corps plus sonore.
C'est si bon que je perds tout contrôle sur mon corps, mon bassin est désynchronisé, mon souffle est cours et haletant, mes gémissements plus sonores, je sens que je viens, oui, oui, OUI...
Dans un dernier et brutal coup de rein, enfonçant ma batte de chair dans son petit trou, je pousse moi aussi un cri de jouissance, alors que mon corps entier est électrisé par le plaisir intense de lâcher toute cette pression, ma tête en arrière, la bouche grand ouverte, ma main poussant la tête de mon esclave à avaler tout entier le gode qu'il a dans la bouche, je déverse ma semence dans son anus, je sens mon membre tressauter à chaque salve qui le rempli un peu plus.
AAAAAH... AAAAAAH... OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH... OUI putain que c'est bon... AAAAAAAAAAAAAAH...
Je jouis tellement que j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter, ses fesses vont déborder de foutre, ramenant ma tête vers l'avant, je constate que c'est déjà le cas, le surplus de sperme s'échappe de son anus alors que je suis encore dedans, dégoulinant le long de mes jambes, mais aussi des siennes.
j'attend de sentir les derniers soubresauts de ma queue pour relâcher la pression sur sa tête, ramenant ma main sur sa fesse délaissée, je me retire doucement de son anus, un filet de sperme reliant toujours celui-ci à ma verge qui va encore grandir de deux centimètres et prendre cinq millimètres d'épaisseur en plus.
Une fois sortie de son petit trou, je vois que celui-ci baille un peu, dégorgeant le surplus de foutre à chaque contraction de ces sphincters, mais ce sperme est précieux surtout pour lui.
Tout en reprenant mon souffle et mes esprits, je vais près de la trayeuse, je branche un nouveau flexible et y place non pas un gobelet comme pour ces pénis, mais un embout en force de gode d'une quinzaine de centimètres pour trois centimètres de diamètres, celui-ci est percé de petits trous pour aspirer les fluides, la base de celui-ci se termine comme un plug pour éviter qu'il ne ressorte pas une fois placé.
Je viens à nouveau derrière mon Theorem, j'écarte d'une main une de ses fesses et de l'autre j'enfonce doucement le gode dans son anus.
à peine ai-je enfoncer le bout que je vois passer mon propre sperme dans le flexible transparent jusqu'à la cuve de stockage allant se mélanger à celui de Theorem, je termine de lui enfoncer entièrement et laisse faire la machine.
C'est bien Theorem, tu as été un bon esclave jusqu'à maintenant, j'espère que sa vas continuer.
à peine ai-je enfoncer le bout que je vois passer mon propre sperme dans le flexible transparent jusqu'à la cuve de stockage allant se mélanger à celui de Theorem, je termine de lui enfoncer entièrement et laisse faire la machine.
Venant ensuite présenter mon membre devant son visage.
Arrête de sucer cette bite en plastique et occupe toi plutôt de celle de ta maitresse!
Amenant une main à nouveau empoigner sa chevelure rouge, je le guide jusqu'à ma verge à demi bandé entièrement enduite de sperme encore tiède, épais et gluant.
Allé, nettoie la queue de ta maitresse et profite en pour te restaurer avec sa, tu vas encore avoir besoin de force mon chien...
Je le laisse faire tout en caressant doucement sa chevelure d'une main, sentant sa langue parcourir ma virilité, nettoyant chaque parcelle de ma hampe, se délectant du sperme qu'il récupère sur ma lance de chair.
Pendant ce moment de répit, je me rends compte que je me prends vraiment aux jeux d'être sa maitresse, que je prends plaisir à lui donner des ordres, à lui parler crument, à être en fin de compte une dominante.
Mais jusqu'où suis-je capable d'aller dans ce petit jeu pervers?
Ses coups de langue redonne bien vite de la vigueur à ma verge qui est devenue plus imposante encore.
Je ne connais pas les limites que peut atteindre la taille de mon sexe masculin, mais pour l'instant je ne les ai pas atteintes.
Pendant qu'il termine de nettoyer mon bâton de chair veiné, je lui dis .
Bien mon chien. pendant que tu termine ta tâche et puisque tu as été un bon chien, je vais enlever le bandeau sur tes yeux pour que tu puisse contempler la beauté de ta maitresse, tu es d'accord?
Amenant mes mains sur le nœud de son bandeau pour le lui défaire.