Hého ! Ici c'est MA chambre, ok ? è.é [Lydia • Hayley ]

J'étais fatiguée, si fatiguée.. Je prit un énième verre d'eau avant de m'asseoir sur le bord du lit. J'avais la tête qui tournait, a cause des événements passés, mais ça va un peu mieux. Par contre, je commençais a avoir mal aux hanches, une douleur qui allait sûrement persister et me hanter quelques jours. C'était pas bon du tout, ça, je ne pouvais plus me déhancher correctement sans avoir l'air d'un canard boiteux éclopé. Comment j'allais faire, moi, maintenant, pour exciter les beaux mâles ? (ou les belles femelles aussi, d'ailleurs). Mais bon, si c'était a refaire, je le referais sans hésiter ♡.


J'avais fait la rencontre d'un sympathique lycanthrope, quelques heures plus tôt, dans le bar du rez de chaussé. Au milieu de toute cette population qui s'etait reuni ici pour rire entre amis, se detendre apres une dure journee de travail, ou faire de nouvelle rencontre -comme moi-, c'était sa fourrure mauve étincelante et ses muscles saillant et finement dessinés qui m'attira, lui parmi tout les autre. Faut dire aussi que je trouvais les bêtes à fourrures terriblement excitantes, allez savoir pourquoi. Lui proposant ma compagnie, nous avions échangé quelques mots, des regards explicites, et quelque minutes plus tard nous étions en train de baiser comme des bêtes dans tout les coins et recoins de la spacieuse chambre que j'avais prise pour ça. Doté d'un membre honorable, dont il savait diablement bien se servir pour me combler comme il le fallait, ainsi que d'une vigueur hors du commun, qui m'a longuement maintenu en haleine, ne me laissant aucun répit, il me montait littéralement en l'air, tantôt ici, tantôt là, ne s'arrêtant que pour changer de position et me culbuter de plus bel. Les hurlements de plaisirs qu'il m'arrachait a la force de son membre avait sans nul doute empêché pas mal de voisin de dormir, peut être meme les avait-ils excités. Enfin bref, c'était un délicieux ballet sauvage avec une force de la nature, m'offrant du sexe bestial et intense comme j'aime ♡.


Mon tendre amant (ha, la bonne blague) était parti peu après en avoir fini avec moi, prétextant des affaires urgentes a régler. Mais je ne m'en plaignais absolument pas. Ce n'était ni plus ni moins qu'un coup d'un soir, certes un aller simple pour un Nirvana de plaisir, mais je le reverrais peut être un jour, lui ou un être aux performances équivalentes. Terra est un vaste univers .. Mais bon, voila, en attendant moi je me sentais pas très en forme, j'avais l'impression que mes hanches venaient de supporter les assauts d'un marteau-pilon ( et vu la vigueur avec laquelle il m'a baisée, j'exagère a peine mes mots ), je ne souhaitais qu'une chose : me reposer ! Heureusement que le lit était moelleux et confortable, j'aurais été encore plus sur les nerfs sinon. M'allongeant sur le lit qui m'attirait inexorablement, je fermais les yeux et oubliais mes pensées, avant de paisiblement tomber dans les bras de Morphée.

Il y a des jours, ou il est préférable de ne pas se lever de la journée. Rester dans son lit, bien au chaud, ne pas poser le pied par terre, ne pas mettre le nez dehors, ne pas se mêler des histoires des autres... Seulement aujourd'hui, j'ai quant même décidé de me lever, et d'affronter cette journée qui devait étre comme toutes les autres... Mais non, elle ne le fut pas. Tout à débuté dés le moment ou j'avais posé le pied a terre, ronchonne, des maux de tête pas possible, et ce pénis qui ne voulait plus débander... Malgré tout, après une bonne douche, glaciale de préférence, ce dernier parviens enfin a se calmer, et je peux ainsi m'habiller. Rien de trés complexe, mon tailleur, chemisier, petite cravate, tenue de travail en somme.

Le trajet se déroule sans grosse difficultés, mais c'est a mon arrivée au bureau que les choses commencent à sévèrement se gâter. La voix du capitaine résonne dans ma téte comme une cloche trés désagréable, et tandis qu'il me convoque dans son bureau, je ne peux m'empêcher de me masser les tempes... Aussitôt dans la confidentialité de sa pièce, il m'annonce une nouvelle mission sur le plan de Terra. Encore une... Toujours moi qu'on envois la bas, sans doute par ma capacité a traverser le voile entre les deux mondes... L'objectif est simple, une bande de fées déjantées s'attaque à des victimes sans défense, bref, la routine quoi. Mais alors qu'il m'annonce son plan, je ressent une vive douleur à l'entrejambe... Je ne dis rien, je reste suffisamment forte pour ne pas qu'il s'en rende compte, mais je fait mon possible pour qu'il clôture enfin son briefing.

Ça, c'était la première partie de la journée, je vous passe les détails de la suite. Passage du voile vers Terra, enquête auprès des "pauvres" victimes, et enfin, arrestation des trois coupables... Mais c'est la, que ma journée prend vraiment une tournure pas net... Le démon, ou tout du moins, une partie de ce dernier, vivant dans son chibre offert avant sa mort, a finit par peu à peu prendre le contrôle... Ce n'était jamais arrivé, tout du moins pas la prise totale du corps en possession... Mais il avait finit par y arriver, et doucement, j'avais sombré, devenant une perverse, comme le nouveau maitre de mon corps etait... Les fées en ont d'ailleurs été les premières victimes. Violés, toutes les trois, certes, au début elle ont tentés de me résister, mais quelle terrible bêtise... A force de grand coups de reins, ces trois petite friponnes avaient même finit par en redemander...

Bref, la suite de la journée n'a été que  luxure et débauche de plaisir sexuel en tout genre... Le Démon semblait vouloir rattraper le temps qu'il avait perdu enfermé dans ce sexe. Et ce fut chose faite, tandis que je regagné l'auberge, ou j'allais passer la nuit, avant de rentrer dés demain matin faire mon rapport, enfin, si l'autre obsédé me laissé le faire... Finalement, j'atteins l'auberge sans plus de problème, la libido de Monsieur s'etant sans doute mise en stand Bye... Mais je devais m'avouer, même si cela était des plus génant, que m'occuper des trois fées avait été des plus... Appréciable. Poussant la porte de ma chambre, sans en regarder le numéro de la chambre, je commençait a doucement ouvrir mon chemisier, quant finalement, je posais mes yeux sur le grand lit qui etait deja occupé par une jeune femme... Je m'apprêtais a la réveille pour lui demander des explications, mais le Démon réagit a cet instant, reprenant le contrôle a nouveau...

Je sourais, et des images me venait en téte... Approchant du lit, je commençais par doucement faire glisser les draps, devoilant son corps qui etait des plus appétissant. Le démon etait en chaleur, et je sentais mon chibre se dresser au fond de mon string. Rien a faire, il avait le controle, je perdais le miens... Il la veut, je la veut! Sortant mon membre, je le proméne lentement sur son decolté, avant de l'approcher de son visage, sourire pervers aux lévres...

"Hmmm .. oh, oui, continue .. j'ai hate de sentir ta verge tressaillir et me couvrir la poitrine de ta précieuse semence, chaude et délicieuse ♡"

Telles étaient les mots que je prononçais en sentant sa verge tendue et gonflée d'envie, caresser avec soin ma poitrine, avec le bout de son gland, prêt a y relâcher le fruit de son excitation dans un stimulant râle de satisfaction. Enfin, tout ça c'était dans mon rêves, hein. Je n'avais pas remarqué la jeune femme qui s'était infiltrée chez moi dans mon sommeil. Bon, c'était pas vraiment mon chez moi, maaaaais, j'avais quand même droit a un peu d'intimité, non ?

Enfin, quoi qu'il en soit, la sensation de sa verge caressant mes seins ne me laissait pas indifférente, pas du tout meme. Ça semblait si réel. A telle point que ça me tira doucement de mon rêve. Ma douleur a la hanche me revint peu a peu a l'esprit, légère mais néanmoins lancinante. Calmement, j'entrouvris les yeux, et aperçu avec beaucoup de stupeur cette verge qui se profilait devant moi. Qu'est ce que ça foutait là, ça ? J'pensais être seule ici, moi ! Par réflexe, je le rejetais en arrière, poussant sur ses hanches, et m'asseyais d'un bond en reculant et me calant sur le bord du lit. J'inspirai et expirai profondément, me calmant et réfléchissant a ce qu'il se passait. Manque de pot, j'étais fatiguée, je venait de me réveiller trop brusquement et des vertiges vinrent bombarder ma pauvre tête. J'avais pas vraiment envie de réfléchir, dans cet etat. Et pas question de faire dans la dentelle non plus.

« Qu'est ce que tu fout dans ma chambre, toi ? Hein !? Ecoute, tu va être un gentil garçon bien obéissant, et déguerpir d'ici tout d'suite, pigé ? »

Ce n'est que quelque instant plus tard, ayant un peu retrouvé mes esprits, que mes yeux se posèrent sur ses généreux atouts féminins. Une bien belle poitrine, appétissante a souhait, merveilleusement bien mise en valeur par le tailleur qu'elle portait. Et cette fine silhouette, gracieuse sans être frêle, pleine de charme et de sensualité, ce visage si agréable a regarder, encadré par une chevelure aux reflets violets. Hmmm, pas de doute, c'était bien une femme, fort séduisante d'ailleurs ... mais elle avait ça, ce sexe d'homme, entre les jambes. Autant dire que j'étais assez surprise, beaucoup même. Ce n'est pas tant par le fait qu'une femme puisse avoir ce gros détail supplémentaire, j'avais eu l'occasion de voir de nombreuse créature toute plus étrange les une que les autre, mais surtout par le fait que c'était la première fois que j'en voyais une en chair et en os, là, sous mes yeux. En tant normal, j'aurais trouvé ça super excitant, (surtout que la jeune femme était teeeeellement sexy *o*) mais bon, là j'étais pas mais alors pas du tout d'humeur à ça. Quoi, vous pensiez que les succubes pensaient exclusivement aux plaisirs charnels ? C'est pas faux ♡. Mais, il faut bien que l'on se repose un peu, non ?

« T'es encore là, toi ? Allez ouste ! Du vent ! »

J'avais pas envie de perdre mon temps avec elle, je voulais juste une chose : c'était de retrouver mon lit que j'avais quitté trop tôt, m'y blottir, et m'endormir a nouveau.

"Hummm, Mais regardez moi ces seins, et cette bouche de cochonne qui ne demande que ça!!... On va se régaler Hay'! "

Par tout les Dieux, j'étais en train d'abuser une femme, ou plutôt, une créature, dans son propre lit, durant son sommeil. En temps normal, j'aurais finit par filer, me dégoutant moi même d'avoir laissé le démon prendre ainsi des initiatives, mais en cet instant précis, voir ma verge filer le long de sa peau, de ses seins, mon gland jouant joyeusement avec ses tétons qui devenaient de plus en plus dur a mesure qu'ils étaient titiller de ma verge... Cela m'excite au plus haut point, et je ne comptais surement pas m'arrêter la, le démon avait peut étre finit par totalement me corrompre, me rendre tout aussi perverse qu'il ne l'était?... Je me laissais aller, et j'adorais ça.

Mais la créature finit par doucement émerger, et se reveiller, me lançant d'abord un regard, elle me repoussa légérement, assez pour que ma pine durcit ne puisse plus toucher son corps de réve. Elle cria, quelques mots, mais je ne les entendais pas, je n'etais occupée que par l'envie d'elle, cette envie qui me submerge, m'attrape au tripe, me demande de pas la laisser filer, de ne pas l'ecouter, d'en profiter... Le démon m'envois des images, des exemples à suivre pour faire taire celle qui sera ce soir, notre chienne de plaisir, qui sera l'objet de nos délires les plus fou.. Un sourire des plus loquace apparait alors sur mon visage d'ange... L'ange viens de mourir, et laisse place a une démone en soif de sexe.

Je ne la laisse plus hurler, ma main d'abbat sauvagement sur son cou, et je la plaque tout contre son lit, avec fougue, si vite qu'elle doit en étre surprise. Mon sexe durcit comme jamais, je peux y ressentir le sang y affluer en toute hâte, tandis que je saisis les cheveux de cette future Catin de mes délices, grimpant au dessus d'elle, l'enjambant, remontant ma jupe jusqu'à la taille, ma queue se profilant alors juste en face de son visage. Mes doigts resserrent d'avantage la prise de ses cheveux, et d'un bon coup de reins, je force l'entrée de sa bouche. Immédiatement, je ressent une vague de plaisir arriver, sa langue, même sans le vouloir, glisse le long de la peau tendut de cette épée de chaire, et sans plus de cérémonie, je commence a lui violer la bouche.

Ma queue va et viens à un rythme soutenue, tandis que ma main maintient toujours ses cheveux, afin de pousser son visage encore plus loin, l'empalant totalement sur ma queue qui ne demande que ça. Je ne relâche pas la pression, j'abuse d'elle et j'aime ça, mes gémissements se font alors entendre, et mon autre main elle, viens prendre ma poitrine, caresser mes seins, tirer sur mes tétons qui pointent a travers le tissus de mon chemiser... Ho oui, ce soir, nous allons vraiment beaucoup nous amuser...

L'intruse ne semblait pas avoir pris compte de mon injonction. L'expression de son visage n'avait pas changé, elle restait là à me regarder, immobile, la verge à l'air et étrangement bien tendue en ma direction. Mais qu'est ce qu'elle me voulait ? Enfin non, la question ne se posait même pas. Qu'importe son propriétaire, un phallus aussi raide ne cherchait qu'une chose : un orifice appétissant a combler et a pénétrer jusqu'à satisfaction, jusqu'à assouvir ses désirs. Dommage pour elle, c'était pas l'envie qui me manquait, d'écarter lentement les cuisses, de la regarder d'un air coquin et provocateur, de glisser deux de mes doigts entre mes lèvres intimes, et de les séparer, comme pour lui dire "Vas-y, viens me l'enfoncer ici, si t'es cap", mais ... c'était pas le moment, c'est tout, j'avais besoin de repos.


Cependant, a la vue de son regard, brillant d'une lueur de détermination malsaine, et son sourire en coin qui naissait peu a peu sur ses lèvres, je compris bien vite qu'elle se ficherait royalement de ce que je souhaitais. A croire que j'attire tout les timbrés sexuelle du coin. Mais bon, je le cherchais bien, aussi :3. Bien qu'elle était a quelque mètres de moi, elle me sauta dessus subitement, avec une grâce presque féline, me prenant a la gorge et m'immobilisant sur mon lit. Elle s'asseya ensuite habilement sur ma poitrine, a califourchon, me dominant de son sexe fièrement dressé au dessus de mon visage. Ca c'était passé si vite, je n'eut même pas le temps de réagir ! Elle avait l'air de savoir ce qu'elle voulais, c'en était presque effrayant. 


Je me débattais, tentant de la faire tomber, mais elle pesait de tout son poids sur ma poitrine, je ne pouvais rien faire. Et puis, elle avait cette.. Cette espèce de volonté qui la guidait. Enfin, ce n'était qu'une impression, mais c'est comme si elle ne se contrôlait pas vraiment, qu'elle avait une insatiable envie de satisfaire son membre gonflé d'envie. Enfin, envie ou pas, j'avais pas l'intention de la laisser me prendre contre mon gré, y'a pas écrit "pouffiasse" sur mon front ! C'était plus facile a dire qu'à faire en réalité, elle était installée sur moi et je ne pouvais rien y faire. 


Elle ne tarda d'ailleurs pas a me le prouver, elle me prit sauvagement les cheveux et glissa sans ménagement son chibre entre mes lèvres. Ne faisaint meme pas attention a mes protestations, qui passait pour des gémissements étouffés a cause de ce qui occupait ma bouche, elle enchaina de vigoureux va et vient, jouant de ses hanches et de ma tête pour faire aller son sexe le plus profondément possible. Chacune de ses pénétrations me coupaient la respiration, m'étouffaient, j'inspirai de grande goulée d'air a chaque fois que je le pouvais. J'en pleurais, non pas de douleur, mais simplement d'étouffement, de grosses larmes perlaient de temps a autres sur mes joues, dont certaine étaient, je l'avoue, de frustration. J'étais impuissante face a ses assauts, presque animal, elle voulait se satisfaire et j'etais devenus sa proie. Elle jouait avec moi, me violais comme si je n'était qu'un objet lui appartenant. Pleurer et gémir, c'était tout ce que je pouvais faire, pendant que cette furie prenait ma bouche pour son sextoy ... 

Elle tentait, en vain, de se débattre de se débarrasser de cette verge inquisitrice qui s'était glissée sans préavis aucun entre ses lèvres, forçant sa bouche a l'accueillir. En temps normal, je me serais arrêtée la, je n'aurais pas été plus loin, je me serais levée, excusée, et j'aurais fuit, fuis le plus loin possible, de honte. Mais ce soir, je n'étais plus vraiment moi même, je le sentais, et j'adorais cette sensation nouvelle, mélange de luxure, de perversité... Le démon devait vivre sa vie ainsi, et d'un coté, aujourd'hui je commençais a comprendre pourquoi... Tandis que mon membre allait et venait entre les lèvres de la créature, ne la laissant pas respirer, ni même se plaindre de quoi que ce soit. La voix a l'intérieur de ma tète me disait de continuer, m'indiquant qu'elle aimait ça, qu'elle n'attendait que ça... La voix ne pouvait pas me mentir, n'est ce pas?

Alors je redouble d'effort dans mes coups de reins, mon chibre allant même frapper le fond de sa gorge, j'entends ses cris étouffée, et j'adore ça, je serre maintenant ses cheveux de mes deux main, et je vois ma queue disparaitre au fond de cette bouche délicieuse. Je la regarde, elle, ma victime, et mes yeux laissent transparaitre que ce soir allé étre une longue soirée pour elle...  Une de mes mains relâche sa chevelure, et se saisit d'un de ses seins... J'aime sentir un sein entre mes paumes, sa douceur, cette sensation de ballon... Je ne peux m'empecher de lui donner quelques claques dessus, avant de prendre entre mon index et mon pouce, ce téton qui reclame aussi quelques maltraitance, et je le pince, le fait tourner, rouler, le repince, le tire vers moi le plus fort possible.

C'est enfin que je le sent. Après tant d'aller et venues entre ses lèvres délicieuses, je sent mon corps se cambrer, se figer, se crisper, et ma queue elle, est prise de spasme... Ainsi donc, la jouissance approche. Je fait pénétrer ma queue au plus loin, dans un ultime coup de rein, et enfin, je sent la semence gicler... D'abord dans sa bouche, je me régale de la voir forcé de boire ce liquide démoniaque. Mais je finit par la sortir brutalement, et la prenant de ma main libre, j'asperge son visage de coquine dépravée, continuant de branler ce membre masculin, qui m'excite entre mes doigts. Tandis que le liquide se répend sur son visage, et que mon chibre envois ses derniére salves, je reprend doucement mon souffle... Mais je ne peux resister, et me penche sur son visage, lechant de ma langue agile, un peu de ce sperme delicieux... Mais la béte qui est en moi n'as pas dit son dernier mots...

Sans ménagement, je me léve, la saisit par les cheveux a nouveau, et l'envois contre le mur, ses seins s'appuyant lourdement dessus, sur les pierre froides... Je me colle dans son dos, mes seins venant appuyer sur ses homoplates, et sans avertissements aucun, mon épée durcit s'enfonce jusqu'a la garde, dans sa chatte brulante. Je lache un gémissement de pure bonheur, alors que j'entamme des allées retours tout aussi brutaux que plus tot, dans sa bouche...

L'hermaphrodite continuait ses brutaux va-et-vient, profitant orgueilleusement de la douce chaleur de ma bouche, qu'elle maltraitait sans remord ni pitié. Chaque pénétration était un supplice, je voulais crier, hurler, qu'elle arrête cette fellation forcée, mais aucun son ne sortait de ma bouche, autre que d'excitants bruits de sucions, et ce n'était clairement pas ça qui allait l'inciter a arrêter. Au contraire, elle semblait gagner en vigueur au fil du temps, me pénétrant de plus en plus fort, de plus en plus loin, son gland venant caresser -ah, quel doux euphémisme- ma gorge. J'étouffait de plus bel, je resserrais instinctivement ma bouche pour l'empêcher d'aller trop loin, mais c'était comme si cela lui plaisait, augmentant les frottements avec sa verge violeuse, qui en redemandait a chaque coup. Je gémissais de douleur et d'impuissance, mon regard implorant croisa le sien, ce dernier était imperturbable. 


Si seulement j'avais pût lire dans ses yeux ce qu'elle tramait. Elle s'empara fermement de mon sein, le pressant agréablement dans sa main, c'en était presque reposant ... avant de me prendre sauvagement le teton et de le pincer et tirailler avec force, dans tout les sens. Purée !! Elle était folle ou quoi !? Ça faisait mal !! D': Je voulais crier ma douleur, mais son sexe m'étouffait toujours. Je commençais a comprendre. Elle ne cherchait pas simplement a satisfaire les pulsions de son membre, elle voulait aussi éprouver du plaisir autrement, et elle semblait adorer me voir souffrir ainsi. Elle allait donc continuer longtemps comme ça ?Ce n'est pas le genre de pensée que l'on aime avoir, quand on est prisonnière : savoir que ça finira inexorablement par empirer. En particulier quand on était déjà pas mal dans la mouise, et que le pire était du genre que l'on préférait ne pas imaginer, vous voyez ?


Mais un événement inattendu me tira de mes réflexions, inondant mon gosier d'une multitude de giclée de liquide chaud et visqueux. Cette garce venait de jouir dans ma bouche, j'y crois pas ! J'irais pas jusqu'à dire que j'en ai l'habitude, cependant, ça m'est déjà arrivée a plusieurs reprise, et parfois accidentellement ... Mais là, elle avait pas l'droit D': ! Et directement dans ma gorge en plus, elle ne me laissait même pas l'choix D': ! Mais c'était loin d'être fini, elle voulait terminer mon humiliation. Sortant son sexe encore tremblant avant la fin de son éjaculation, elle le pointa sur mon visage, m'offrant un authentique masque fait avec son sperme. Elle me regarda de haut, comme triomphante, mais moi je ne réagissais plus, restant inerte quelque instant, faisant le point sur ce qu'il se passait. J'étais en train de me faire violer par une hermaphrodite sexy qui me brutalisait. Le rêve \o/. Mais pourquoi ça ne me plaisait pas du tout ? Je ne pût y réfléchir plus longtemps, elle me déconcentra en s'approchant doucement de moi, léchant sa propre semence qui se trouvait sur mon visage. Une vraie nympho cette fille


Je me disais qu'après avoir éjaculer, et sur mon visage, elle se calmerait et s'en irait. Mais, non, je crois que c'était VRAIMENT une nympho, vous savez, du genre a vous séquestrer des heures durant et a faire l'amour sauvagement jusqu'à ce que mort s'ensuive épuisement ? J'étais pas, mais alors pas du tout rassurée pour la suite, j'avais même un peu peur. Et pour effrayer une succube avec du sexe, faut l'faire quand même, vous en conviendrez. Enfin bref, elle n'était toujours pas satisfaite, et c'était moi qui faisait office de jouet pour calmer ses pulsions ... Elle me leva et plaqua violemment contre le mur de pierre, je poussais un cri de douleur, mais c'était surtout la suite qui m'inquiétait. Elle enfonça brusquement sa verge dans mon intimité, entièrement, j'en tressaillis et poussa un hurlement de douleur. Non pas que le coït en lui même était douloureux, non, mais j'avais sentit une vive douleur au niveau des hanches, fruit de mon aventure passé. Je n'en pouvais déjà plus, j'avais trop mal, je voulut protester mais déjà l'hermaphrodite revenait a la charge, me pénétrant de plus bel. La douleur me vrillai les hanches, que je tentai vainement d'extérioriser en criant, de chaudes larmes coulaient sur mes joues, mais cela semblait, hélas, bien plus l'exciter qu'autre chose ...

Ma verge s'enfonce au plus loin qu'elle le peut, comme précédemment dans sa bouche, me donnant des sensations encore méconnue. Je gémit a chaque coups que je lui porte, une main posé sur sa hanche, l'autre tenant fermement sa tête contre le mur de pierre. Je peux la voir pleurer, tenter de hurler, mais je ne prend plus le temps de m'apitoyer sur le sort des mes "victimes". Le Démon qui n'habite me le refuse, et je ne m'en plaint désormais plus, seul compte le plaisir de percuter cette croupe si attirante et qui me donne de plus en plus d'idées perverse, sous les conseils mentaux de mon moi sombre. Je regarde cette cambrure, et je m'aperçois enfin des petites ailes et de la queue qui sont proéminents chez elle...

C'est alors que Mon Démon exulte! Une Succube, nous avions affaire a une succube en ce moment même... Les créatures des plaisirs, de la perversion... Il jubile, et j'accentue alors mes allés retours au plus profond de ses entrailles, claquant même ses fesses de ma main solide, je griffe son dos, je lui dévore la nuque... Je suis bestiale, perverse, je ne me reconnais plus, je commence a paniquer quelque peu... Mais finalement, mon Démon s'occupe de tout, et son membre lui, continuer de pilonner le derrière offert de cette Succube des plaisirs... Il laisse alors filtrer son aura de Démon majeur, qu'elle seule peut normalement reconnaitre... Lui faisant comprendre qu'il est un Male dominant, même si son corps se résume a cette verge qui viole son jardin, il compte bien entendre sa soumission...

Je redouble de coups, avant de la bousculer à nouveau, la jetant sur le Lit, sur le dos, me plaçant en toute hâte sur elle, écartant ses cuisses avec les miennes, et dans un mouvement brusque, je la pénètre encore et encore, je me délecte de maintenant sentir sa cyprine noyer ma verge, qui n'en attendait pas moins. Mes lèvres prennent les siennes, ma langue va lecher la sienne, mes seins frottent les siens... Mes coups de queue sont de plus en plus puissant, et je maintiens ses cuisses grandes ouvertes par mes mains ferme... Je la regarde, et enfin pour la premiére fois, je soupir, tout en parlant...

"Plus tu va pleurer, plus ce sera dur pour toi Chienne... Je te conseille de te laisser aller!"

Je rit, encore, et une giffle viens ceuillir sa joue devant moi, alors que je continue de violenter son vagin de ma pine redoutable.

La joue écrasée contre le mur de pierres rugueux, les hanches relevées vers l'arrière, j'accueillais en moi bon gré mal gré les douloureuses percussions de cette hermaphrodite qui prenait plaisir a me violer, tandis que je couinais inlassablement ma souffrance. Je n'essayais même plus de me débattre. A quoi bon, après tout ? J'avais clairement senti l'aura du démon qui occupait le corps de cette femme, une aura puissante, malsaine, terrifiante. C'était sans doute lui qui sapait depuis le début mon plaisir. S'en nourrissait-il ? Je ne sais pas ... Mais ce qui est sur c'est qu'il aimait dominer, qu'il voulait dominer, et qu'effectivement il arrivait a me dominer .. ça me faisait froid dans le dos.


Affirmant son statut de dominatrice, elle me pénétra encore plus fort, sa verge se frayant un chemin jusqu'au fond de mon intimité violé, elle me fessa avec allégresse, faisant rougir mon postérieur qui ballotait au rythme de ses va-et-vient. Elle aimait les jeux violents, je le sentais.. Elle ou lui, je ne savais pas vraiment qui dirigeait cette verge, que je maudissais de plus en plus .. L'hermaphrodite devenait bestial, libérant ses instincts, elle me griffait, me mordait, ne retenant plus la violence de ses coups de reins, ajoutant ces douleurs au supplice que mes hanches subissaient déjà. Je gémissait faiblement, poussant parfois des cris quand la douleur devenait intenable, mais elle ne me laissa pas m'apitoyer bien longtemps.


Elle me jeta sans pitié sur le lit, comme une vulgaire poupée. Dans un bref moment de lucidité, je tentai de me retourner et de m'échapper mais son corps agile se ruait déjà sur moi, me bloquant dos au lit. La lueur dans ses yeux était assez explicite pour ne laisser aucun doute sur ses intentions. Elle allait continuer a me tourmenter, encore et encore, se soulager la verge et se délecter de mes plaintes et de mes larmes. Elle se blottit contre moi et vint cueillir mes lèvres, me volant un baiser lubrique et sensuel. Celle la j'aurais pas pût l'anticiper par contre. C'était vraiment agréable.. Mais elle cessa bien vite de m'embrasser, préférant me violer purement et simplement. Ce baiser fut d'autant plus frustrant qu'il laissait paraitre de doux et délicieux moment, que je ne connaitrais sans doute pas avec elle. Elle me conseilla d'ailleurs : 

- Plus tu va pleurer, plus ce sera dur pour toi Chienne... Je te conseille de te laisser aller!

Elle allait donc bel et bien continuer a me tourmenter, j'avais vu juste... Elle ria, d'un rire pervers et sadique, qui n'annonçait rien de bon, et me gifla avec force. Purée, elle n'y était pas allé de main morte ! La joue rouge vif, le regard implorant, les larmes aux yeux, la respiration saccadée, je sanglotais comme une enfant terriblement effrayée.

Je ne pouvais désormais plus faire marche arriéré, je ne pouvais plus m'arrêter, non seulement le démon en moi ne me laissais plus, mais moi même, je prenais un plaisir sans faille, la regardant sangloter, gémir, soupirer. Ma verge est enduite de cyprine, mes lèvres s'ouvrent, pour laisser passer un gémissement, qui se transforment en cries rauques, de plaisirs pures, alors que cette chienne tente de refouler son plaisir... Mais qu'importe, pour l'instant, je ne pense qu'a moi, et moi seule. Je me penche, je prend ses seins entre mes dents, je les mordilles, sous les coups de reins que je lui donne, de plus en plus fort, sentant mon plaisir grimper en toute hâte.

Je sort alors de nouveau ma verge, me branlant au dessus d'elle, la regardant avec un sourire, des yeux brulants, me caressant un sein de ma main libre. Et enfin, dans un gémissement puissant, je me crispe, sent ma verge prise de mouvements, et enfin, mon plaisir, sous forme de jets puissants de sperme, gicler a nouveau sur la succube, aspergeant son visage, ses seins, avant que de nouveau, je l'enfonce dans sa petite chatte, pour laisser fuir quelques jets au plus profond de son Utérus.

Je reste un long moment, sans bouger, reprenant mon souffle, allongée sur elle, mon visage dans son cou, le souffle court sous tant de violence. A cet instant, je pense que c'est finit, que le Démon a eu sa dose, mais je me trompe lourdement... Me redressant, des images courent dans ma téte, tellement d'images d'on j'use de cette succube qui est ce soir a ma merci... Je me reléve alors instantement, et je la saisit par les cheveux, la tirant hors du lit. Je prend au passage mes menottes, et je lui attache les poignets dans le dos, avec brutalité, tout en la collant face contre le Mur, comme je ferais avec les pires criminels... Un fois bien bouclé, je la jette au sol, la faisant tourner sur le dos avec le pied...

"Nous allons bien nous amuser ce soir..."

En riant, je pose alors mon pied sur sa bouche.

"Léche le Pied de ta nouvelle maitresse."

Tout en continuant à me balancer d’énergique coup de reins, elle se pencha vers ma poitrine, mes deux seins moelleux qui se balançait à l'unisson dans un rythme endiablé, qu'elle mordilla tendrement. C'était agréable, très excitant .. jusqu'à ce qu'elle les morde avec plus de force, douloureusement, me faisant pousser un gémissement plaintif des plus pathétiques. Elle jubilait visiblement, gémissant son plaisir .. sa joie de pénétrer à loisir une succube, ou sa satisfaction de la voir pleurer sous son traitement .. peut être les deux .. et ça me dégoutait de la laisser se satisfaire ainsi de moi.


Elle abrégea mon tourment en retirant sa verge de ma chatte, devenue ruisselante par ces visites brutales et inopinées, mais le regard luisant qu'elle posa sur moi me fit comprendre que mon tourment était loin de prendre fin .. Elle commença à se masturber sous mes yeux, jusqu'atteindre l'orgasme, de longue giclée de semence atterrirent ensuite sur mon corps, elle me submergea de son liquide chaud et épais, me faisant gémir de satisfaction bien malgré moi. Oh, c'est fou ce que j'adorais cette sensation ! Sentir ce nectar de plaisir m'asperger généreusement, ce liquide chaud couler sur mon corps, diffuser en moi une sensation des plus agréable ..


Sa verge me tira de ma rêverie, en s'enfonçant profondément dans mon vagin une nouvelle fois, ses spasmes ne s'étaient pas calmés, et elle prenait plaisir à éjaculer profondément en moi. J'étais impressionnée par la quantité phénoménale de sperme qu'elle venait de déverser. Et par la fougue avec laquelle elle m'a faite balloter. Elle reprenait son souffle, tandis que moi je soupirais. C'était enfin fini.. Helas, je me trompais lourdement..


Elle m'agrippa sauvagement par les cheveux et me balança contre le mur, me cognant douloureusement la tête. La salope ! Elle s'empressa ensuite de me plaquer, écrasant douloureusement ma poitrine, et pendant que je gémissais elle me menotta.. Je senti mes derniers espoirs de liberté s'envoler, je commençais à sangloter.. Elle me jeta au sol et posa son pieds sur mon visage, me demandant de me soumettre et de lui lécher les pieds. "Tu peux rever, p'tite garce " J'en profitais ensuite pour lui mordre violemment le petit orteil, laissant une marque visible sur son pied. Ça devait faire très mal .. bien fait !