Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Notre histoire

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Alexeï Dayinski

Humain(e)

Re : Notre histoire

Réponse 195 mardi 22 janvier 2013, 23:52:53

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par...
Le rp est une espèce d'égocentrisme social où se joignent les délires de chacun : un réseau de frustrations, d'obsessions et de fantasmes, orné d'effets stylistiques et scénaristiques et de fautes d'aurtaugrafe.


Azazel Ängelsson

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Re : Re : Notre histoire

Réponse 196 mercredi 23 janvier 2013, 00:19:43


Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui




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Zénoriel

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Re : Notre histoire

Réponse 197 samedi 26 janvier 2013, 10:02:43

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant

Des Âmes en regroupées en un corps, autant de vies enchainées par le sort
Une bataille pour un destin incertain, enchaînée par ce satané malin
Autant d'êtres inconnus si liés, qui à osé prononcer "imparfait"?
Nous sommes toutes ici réunies, Et le Grand Jeu n'est pas fini...





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    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Notre histoire

Réponse 198 samedi 26 janvier 2013, 17:15:36

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel...



Mixibnorh

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Re : Re : Notre histoire

Réponse 199 jeudi 07 février 2013, 22:32:23

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux....

Alexeï Dayinski

Humain(e)

Re : Notre histoire

Réponse 200 vendredi 08 février 2013, 00:15:24

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de...
Le rp est une espèce d'égocentrisme social où se joignent les délires de chacun : un réseau de frustrations, d'obsessions et de fantasmes, orné d'effets stylistiques et scénaristiques et de fautes d'aurtaugrafe.


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Re : Notre histoire

Réponse 201 samedi 09 février 2013, 16:05:01

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures...



Nightmarish Moon

Légion

Re : Notre histoire

Réponse 202 dimanche 10 février 2013, 14:11:34

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.

Alexeï Dayinski

Humain(e)

Re : Notre histoire

Réponse 203 dimanche 10 février 2013, 19:18:59

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère...
Le rp est une espèce d'égocentrisme social où se joignent les délires de chacun : un réseau de frustrations, d'obsessions et de fantasmes, orné d'effets stylistiques et scénaristiques et de fautes d'aurtaugrafe.


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Re : Notre histoire

Réponse 204 lundi 11 février 2013, 12:54:26

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à...

Des Âmes en regroupées en un corps, autant de vies enchainées par le sort
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Autant d'êtres inconnus si liés, qui à osé prononcer "imparfait"?
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Nightmarish Moon

Légion

Re : Notre histoire

Réponse 205 lundi 11 février 2013, 13:49:54

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, .....

Yoruichi Shihouin

Terranide

Re : Notre histoire

Réponse 206 samedi 16 février 2013, 21:06:51

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi ......

Alexeï Dayinski

Humain(e)

Re : Notre histoire

Réponse 207 samedi 23 février 2013, 14:22:10

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de...
Le rp est une espèce d'égocentrisme social où se joignent les délires de chacun : un réseau de frustrations, d'obsessions et de fantasmes, orné d'effets stylistiques et scénaristiques et de fautes d'aurtaugrafe.


Zénoriel

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Re : Notre histoire

Réponse 208 samedi 23 février 2013, 18:49:18

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les...

Des Âmes en regroupées en un corps, autant de vies enchainées par le sort
Une bataille pour un destin incertain, enchaînée par ce satané malin
Autant d'êtres inconnus si liés, qui à osé prononcer "imparfait"?
Nous sommes toutes ici réunies, Et le Grand Jeu n'est pas fini...





Silence

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    Silence, mercenaire, capitaine de la guilde des Griffes d'Ammoth.

Re : Notre histoire

Réponse 209 samedi 23 février 2013, 19:12:15

Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour son herpès génital purulent.
Le roi eut la bonne idée de quitter son Flashback, mais il fut suivi par sa mère, en string de guerre, qui jonglait avec des escargots clignotant entre le violet, le vert et le bleu ciel.
Pour mémoire, c'est pendant cette époque perturbée, que Paul, politicien patriote, plantait des platanes produisant ces gastéropodes poétiquement lumineux quoique d'une puanteur sans égale, hormis peut-être celle de Law quand il enlevait ses chaussures en imitant l'odeur d'un cadavre en putréfaction.
C'est donc avec ces armes de destruction massive en main, que la reine mère, en short, tongs et barbiche, se mit à découper la dinde de noël devant ses invités. Mais dès qu'elle toucha la viande, un kikoo-lol maléfique débarqua pour voler une cuisse de la dinde et ainsi subir le traditionnel bombardement de mouchoir goût bolognaise organisé tout les six cents quatre-vingt-quatre mille millions d'années, soit un peu plus d'un siècle,...




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