Il était une fois un roi qui appréciait les sucreries. Il les aimait tellement que lors d'une rencontre avec un furet, il sortit un paquet de réglisses qu'il fourra dans la gueule de l'animal pour lui faire ressentir l'extase gustative de ce délice noir. Sauf que le furet, mécontent, lui montra les dents. Le roi, furieux de l'outrage, lui colla une droite et rentra au château en pestant et postillonnant sans parcimonie. Or, le château était fermé, pour cause de prolifération de rongeurs pestiférés. Il tenta bien de gravir la muraille, mais tomba sur un os, au sens imagé, car un vieux squelette traînait et lui déversa tout un chaudron de blagues Carambar périmées en plein sur le nez. Le monarque, déchu et déprimé s'enfuit en deltaplane vers les contrées du Chaos, de l'autre côté de Saint Juju les Chevreuils. Bien évidemment, c'était facile car malgré un vent de face de force 5, il s'était malencontreusement coincé l'aile dans la fermeture éclair de son pantalon.
C'est donc en mono-aile et nauséeux qu'il se décida à rejoindre une secte criminelle pour invoquer sur Terre un déluge de préservatifs lubrifiés et nervurés usagés qui détruiraient la planète à coup de battes de baseball. Se vautrant donc au milieu d'un hôtel douteux, il se plongea dans un flashback dans lequel il revoyait son arrière en train bien défoncé à coup de GHB et haranguant la foule de questions stupides, telles que "Avez-vous vu un cochon volant ?", ou "connaissez-vous un hareng personnellement ?" ce qui bien sur rendit malade le roi, qui prit alors la grave décision de racketter un pigeon nauséeux et de s'en foutre le plumage dans le cul. Un badaud passant par là, chantant à qui lui rendra son pack de bière brune qu'il traînait sous le bras en les jetant sur des pinguins cracheurs de feu particulièrement pyromanes. positivement, ces pingouins, parias praticiens de la production pyrotechnique, pactisaient précautionneusement avec Pierre, pompier payé au poids de feu aplati. D'où le sigle PCPPPDLPPPPAPPPAPDFA, célèbre et redouté pour...