Une rencontre féérique ou cauchemardesque ?

- Bouh, j'aurais dû rester dans ma forêt, au moins c'est plus beau.

La petite fée vint à se poser car une poussière venait de se déposer sur son oeil droit, ce qui faisait apparaitre une irrépressible envie de frotter, chose que la fée fit, augmentant la sensation qui devenait douloureuse, par chance elle se mit à pleurer, évacuant cette poussière, la pauvre avait à présent les yeux bien rouge.

Levant le regard vers le ciel elle put savoir que le temps allait devenir mauvais, quand on fait que cinq centimètres de hauteur une pluie devient très vite assez pénible, mais ce n'était pas tant l'humidité qui à ce moment l’inquiétait, ce fut plutôt la tempête de sable qui s'approchait.

Elle se mit à voleter aussi rapidement que possible pour trouver un abri suffisant pour passer la nuit dans un endroit sec, pas forcément chaud, mais qui était suffisant pour se protéger de la tempête qui approchait de façon alarmante.

C'est alors qu'elle vit une grotte, Fayryse ne savait que trop le genre de bestiole qui s'y cachait, mais avait-elle vraiment le choix, son expérience lui dictait de ne pas prendre sa forme humaine, car nul doute que les gros animaux se jetterais sur elle pour  la féconder.

La fée n'en resta pas moins prudente, se posant hors de la vue de l'entrée et y entrant à pied, sa petite taille al rendait presque invisible et son poids de mouche n'était pas suffisant pour que ses pas émettent un sons quelconque.

Seulement voilà, elle venait de marcher sur un territoire occupé par une créature qui pourrait se montrer encore plus dangereux que n'importe quelle bête et ça elle ne pouvait pas savoir.

Marena était coucher sur son lit organique, entièrement nue et en sueur. A ses coté pleurait deux petite femelle verte réclamant de l’attention, ce que ne fit pas vraiment la jeune femme, se relevant et les laissants. De toute façon elle serait très bientôt assez grande pour commencer leur boulot. Elle se dirigea donc vers un bassin d’eau naturel prêt de l’entré de la grotte, et commença a se laver. Il faut avouer que de donner vie, s’est assez salissant!

Une fois cela terminé, elle retourna voir les petites qui avait déjà bien grandit. Elle sourit et décida d’allez se repauser un moment, elle trouverait bien un mâle plus tard pour faire la salle besogne.

Mais un petit bruit d’aile l’empêchait de dormir. Et plus cela allait, plus le son devenait intense! Énervé par cela, elle se leva d’un bond et commença a fouiller pour chercher la source de se bruit. S’est alors qu’elle aperçu la petite fée. Abasourdit par cela, elle s’approcha silencieusement, et d’un coup vif, tenta de l’attraper!

Fayryse se mit à marcher un petit moment, mais au fur et à mesure de son exploration, elle se sentait de moins en moins en sécurité, elle ne savait pas le dire pourquoi, mais quelque chose en elle voulait la prévenir d'un danger tapis dans l'obscurité prêt à fondre sur elle et la dévorer.

Ses oreilles entendit des gémissement de créature et la curiosité fit très vite une vive apparition, bien que rapide cela suffit pour que la fée se mette à voleter vers l'origine du bruit suspect, c'est là qu'elle vit deux petite créature dont elle ne connaissait strictement rien, si ce n'est une apparence humanoïde.

La fée se méfia de ses bambins, dont la croissance était rapide, s'ils conservaient un esprit d'enfant, ils pourraient la prendre pour une poupée, s'il gagnaient en maturité, alors ils deviendraient un danger immédiat envers la fée, aussi se fit elle discrète et sa planqua dans un enfoncement de la grotte, seulement voilà le passage était étroit et elle dû battre des ailes pour tenter une sortie.

C'est alors qu'une main la saisit fermement, la faisant pousser un petit cris de surprise. Elle put voir que c'était des mains de femme.

- Mais lâche moi salope !

Sans réfléchir, elle se mit à mordre un doigts, ce qui la rendit libre, sans hésiter, elle prit forme humaine, arborant sa tenue et ses deux armes à la main, faisant volte-face à Marena.

La fée n'était pas bête, elle pouvait entendre la tempête faire rage dehors, aussi était-elle à présent totalement bloqué, elle ne pouvait pas user de sa magie, car elle avait prit forme humaine, à moins de vouloir mourir dans la tempête, elle se trouvait acculée, mais elle n'allait pas se laisser capturer par cette drôle de créature.

Marena fut surprise de se faire mordre si férocement, et plus encore de la voir prendre une forme humaine, et de sa taille! Elle recula donc d’un bond, se tenant prêt a se défendre. Déjà armée, elle se demandait vraiment ce qu’elle ferait entièrement nue, et sans arme. Elle décida donc d’usé de la seul chose qu’elle connaît utile, ses charmes.

Elle approcha donc sensuellement, caressant son corps vers la fée visiblement hostile à son égard. Elle fini finalement par s’approcher assez prêt d’elle, baissant ses armes de sa main délicate en caressant sa joue délicatement.

Allons allons, je ne vous voulais aucun mal, je n’étais que curieuse a vôtre égards. Baisser donc vos armes, et discutons voulez-vous? Que diriez-vous de devenir reine?

Puis elle te sourit d’un grand sourire remplit de malice et également, coquin.

La fée avait un regard étincelant de méfiance, mais ce regard changea assez rapidement, en effet jamais Fayryse n'avait vu de femme humaine et encore moins de fée se déplacer de manière aussi ... Attirante ? Fascinante ? Envoutante ? La fée ne savait pas quel mot pouvait au mieux désigner cela.

Aussi eut-elle un moment où sa garde fut baissé, Marena ayant visiblement profité de cet instant précis pour venir très près de la fée à la limite où les deux corps se frôlaient, d'un côté un corps totalement entrainé à ce genre de comportement, de l'autre celui d'une fée ne sachant même pas que que Marena la chauffait.

Mais il y a une chose que Marena semblait oublier, c'est que cette fée avait quand même 25 ans féérique et donc elle avait déjà eut le droit de se attirer dans un piège de cette manière, la réponse fut brutale comme douloureuse, Fayryse fit un magistrale coup de boule, faisant reculer un peu la maîtresse de la grotte, dû à la surprise de la réaction sans doute.

- Discuter ?! Reine ?! Dis plutôt que tu veux me capturer comme tout les autres, à part la richesse et me baiser à tout va, vous savez rien faire d'autre !!!

Les armes se mirent à disparaitre, un renoncement à se battre ? Non, car la fée se mit à longer le ras des murs pour être sûr de ne pas se faire attaquer en traitre, comme les loups lui ont déjà fait le coup une fois.

Elle fut tellement concentrée sur les faits et gestes de Marena qu'elle ne vit pas le bord du bassin d'eau. Surprise un cris fut suivit d'un "plouf" sonore, la fée ressortie la tête de l'eau, offusquée d'avoir offert un spectacle aussi pathétique, mais elle ne sortie pas du bassin pour autant, préférant garde ses distances avec la créature.

Marena recula brusquement lorsqu’elle se fit donner le coup de boule, se frottant la tête vigoureusement, un peut sonner par cette attaque en traitre, donc elle ne s’y attendait pas du tous. Elle observa la fée faire disparaître ses armes et sourit légèrement à cela. Elle avait mangé un coup sur la tronche, mais cela ne l’empêchait pas d’y prendre plaisir!

Elle l’observa ensuite longer les murs et rigola fortement lorsqu’elle tomba dans le bassin d’eau. Vraiment cette fée était des plus étranges! Elle la laissa patauger un petit moment en l’observant, étudiant son corps, humant son odeur. Puis elle s’approcha de nouveau et vint la rejoindre dans le bassin, mais le tous délicatement, sans hostilité a son égard, lui souriant gentiment, ainsi que séduisant. Puis lui dit ses mots.

Écouté, je ne vous veux aucun mal, sinon je l’aurais déjà fais! Vous baiser? Et bien cela pourrait être amusant, si vous le désirez, moi je suis pour! Des richesses? Sincèrement, a quoi cela me servirais t’il? J’ai déjà une tanière, et je produis mes ouvrières! Je suis la reine de cet endroit! Et je vous proposais simplement, de vivre ici avec moi, et d’également être reine a mes cotés!

La fée se fit de plus en plus méfiante, prête à tenter le tout pour le tout à tout moment, mais cette tentative fut réduit vite à néant par le regard de Marena qui eut tôt fait de légèrement la déstabiliser un peu, elle n'appréciait pas d'être lorgnée comme une bête de foire ou encore une vulgaire sculpture d'une quelconque déesse que l'on étudiait sous toute ses coutures avant de l'acheter.

Fayryse se mit à observer tout les gestes de Marena prête à réagir au quart de tour si elle avait un geste susceptible d'être agressif.

Vint alors les paroles de Marena qui attira un peu la curiosité de la fée, la créature était-elle différente des autres ? Elle parlais d'ouvrière à produire et qu'elle était reine, cela eut comme décline de faire le rapprochement avec un animal qu'elle connaissait bien.

- Je veux garder ma liberté, être au centre d'une fourmilière ne m'intéresse pas, car vous n'êtes rien d'autre qu'une grosse fourmis évolué, c'est ça? Je présume que vous avez des mâles pour vous engrosser et toute les autres classes nécessaire, vous n'avez pas besoin de moi, c'est juste pour vous amuser, rien de plus.

Fayryse se montrait arrogante, car elle n'aimait pas que l'on veuille disposer d'elle de cette manière, au final elle pensait qu'elle serait une pondeuse à temps complet sans possibilité de pouvoir bouger comme elle le souhaitait, elle avait vécu tout le temps en nomade et ne comptait pas briser ce mode de vie pour les caprice d'une créature.

Marena écouta la fée avec un sourire. Visiblement elle l’avait percé a jours mais elle avait tous de même tord sur certain point. Chose sur elle trouvait cette fée fort amusante. Elle prit donc une sorte d’éponge sur les bords du petit plan d’eau, commençant à se laver avec celle-ci, tous en continuant d’écouter la fée. Elle lui tendit ensuite une éponge propre pour qu’elle puisse elle aussi se laver et prit la parole.

Vous avez raison sur certain point, mais pas tous. Effectivement je peux ressembler au fourmi, mais pour produire des ouvrières il me faut soit de la semence, ou la présence d’une autre reine, ce qui produit en moi quelque chose que j’ignore, mais chose sur, cela me fais produire des ouvrières. Pour les autres castes, malheureusement, je ne peux que crée des ouvrières. Je dois transformer quelqu’un pour avoir des guerrières. Sinon mon nom est Marena, et vous?

Puis elle se leva et sorti du plan d’eau et s’assécha rapidement avant de tendre une main a la fée accompagné d’un doux sourire.

Je vous fais visiter?

Fayryse avança la main pour saisir l'éponge et eut un moment d'hésitation, puis le saisit avec vivacité, ce qui donnait à Marena des information sur sa force dépassant celle des humains, à défaut de en pouvoir en faire une Reine, elle pouvait toujours tenter d'en faire une gardienne.

La fée sortie du point d'eau et tourne le dos à la créature, faisant disparaitre ses vêtements au fil de son nettoyage pour les faire réapparaitre derrière, la créature put donc admirer son dos, une partie des courbes de sa poitrine, la forme lunaire de ses fesses se moulant à son vêtement, les jambes d'une finesse gracieuse.

Une fois savonnée, elle retourne dans l'eau et fit disparaitre ses vêtements, cachant avec les moyens du bord son intimité et sa poitrine, si Marena était fine observatrice elle aurait vu quelques chose d'intéressant entre les jambes de la fée.

- Je me nomme Fayryse.

Le ton n'était pas chaleureux, mais ce n'est pas aujourd'hui que la fée allait se montrer gentille. Vint la proposition de faire un tour du propriétaire, la tempête était encore là, obligeant encore la fée à rester.

- J'ai rien d'autre à faire de toute façon, par contre si je tombe dans un de tes pièges je tetranche en fine rondelle, c'est comprit?

La fée se lève et chaque parcelle exposée à l'air libre était automatiquement recouvert de ses vêtements, qui ne prenaient visiblement pas l'eau, après tout c'est un habit de fée et pas un textile d'humain.

Marena sourit plus qu’a l’habitude en voyant la fée se laver avec l’éponge. Car comme dit plus haut, cela ressemblait à une éponge, mais elle était en réalité un organe reproducteur mâle, un corps spongieux géant a vrai dire. A force de se laver avec celui-ci, il libérait dans l’eau de la semence permettant ainsi a Marena a crée de nouvelle ouvrière. Qui sait ce que cela donnerait sur la fée?

Une fois celle-ci sortie du bain, elle la conduisit dans une pièce plus loin. Cela ressemblait a une grande couveuse, ou quelque ouvrière adulte, semblable a Marena, élevais des petites filles de tous âge, qui semblait grandir rapidement.

Voici la couveuse, s’est la que mes ouvrières grandissent avant de devenir ouvrière a leur tour.

Puis elle la conduisit dans ce qui semblait être une chambre, avec un lit semblant fait de mousse organique rougeâtre et elle alla se coucher sur celui-ci sur le dos. Elle passa ensuite ses mains derrière la tête et l’invita à venir se coucher a ces cotés.

Alors, envie de vous amusé?

Dit-elle avec un air coquin.

La fée se sentit de très léger vertige venir alors qu'elle mit le pied hors du bassin, mais elle n'y prêta pas une attention particulière, après tout il y avait plusieurs choses qui pouvaient expliquer les raisons de ses troubles, le fait qu'elle est arpenté un endroit chaud, le manque d'hydratation, une faim qu'elle n'avait pas conscience ou encore le fait que l'eau du bassin est été particulièrement chaud.

Fayryse put remarquer une chose, les ouvrières se ressemblaient assez, il y avait quelques différence, mais elles étaient tellement minime qu'au final un regard rapide pouvait les faire passer pour une famille de jumelle. La fée semblait être nerveuse.

Vint enfin la "chambre" de Marena, la fée se mit à regarder avec méfiance le lit, tout ce qu'elle ne connaissait pas l'attirait, mais son instinct de conservation l'avertissait aussi que ce qui était nouveau n'était pas toujours bon pour elle.

Quand la créature voulut inviter Fayryse à venir, de nouveaux vertiges se mirent à apparaitre, la pauvre fée se mit à tituber en essayant de lutter pour rester debout et ne pas tomber, finissant par mettre un genoux à terre, comme si cela ne suffisait pas une douleur aigus la prit au bas-ventre.

Le souffle de la fée devint rapide, tout comme son corps se réchauffait aux trace de sueurs commençant à apparaitre sur son front et son ventre, dont Marena pouvait voir qu'il commençait légèrement à prendre du volume. La fée comprit qu'elle avait été fertilisée, mais elle ne savait pas comment, dans son utérus se développait seize ouvrières.

- Qu'est-ce que ... vous m'a ... m'avez fait.

Fayryse se mit à vouloir se relever et le put au bout du dure lutte avec elle-même, les jambes tremblante. Elle se sentait faible et comme pour approuver se fait ses affaires se mirent à partir en poussière, la mettant à nu, la fée eut comme réflexe de s'assoir rapidement et cacher ses parties intimes à la vue de Marena. On aurait presque dit une humaine.

Chose que la fée ne savait pas c'est que tant qu'elle sera fécondée, ses pouvoirs disparaitront.

- HJ - l'annulation des pouvoirs de la fée le temps qu'elle soit enceinte je voulais le garder pour plus tard, mais bon. -HJ-

La reine vue surprise de voir la jeune fée ainsi souffrir, et enfler au nivaux du ventre. Elle se leva donc et alla l’aider à s’asseoir sur le lit visiblement inquiet. Elle prit ensuite une serviette épongeant son front. Elle ne comprenait tros ce qui se passait, elle n’aurait jamais cru que les semences présente dans l’éponge affecterait une non reine. Chose certaine la croissance était beaucoup plus rapide que chez elle. Elle appela donc quelque ouvrière afin de venir les aider.

Calmez-vous, je suis désolé je n’aurais jamais cru cela possible! Mais ne vous inquietez pas, tous ira bien. Vous avez déjà fais cela avant?

Elle s’installa ensuite a ses cotés, subvenant a ses éventuel besoin.

Fayryse dans son état normal aurait refusé l'aide, mais la douleur fut plus vive, ce qui l'empêchait de pouvoir se mouvoir d'elle-même, aussi elle se mit à accepter l'aide de Marena, même si cela était à contre coeur, la fée se mit à se mordre sa lèvre inférieur, tentant tout d'abord de se calmer, ce n'était rien qu'une nouvelle période qu'elle détestait, mais qu'elle ne pouvait éviter.

De la position assise, la fée se mit à s'allonger en douceur, se souffle toujours à un rythme assez rapide, étouffant dans sa gorge la douleur engendrée par la croissance rapide de son ventre, ce que subissait Marena en 24h était réduit à 2h et contrairement à la créature, la fée n'avait pas un corps qui s'habituait à ce genre de traitement.

Au fil de minutes le ventre de Fayryse continuait d'enfler comme un ballon de baudruche, c'est alors que la fée se mit à rire, en vérité elle se foutait de sa propre personne, il n'y avait qu'elle pour chuter dans des situations aussi pathétiques. Elle se mit à arrêter de rire quand la douleur fit de nouveau signe qu'elle était là.

- Je vais ... bien je l'ai ... déjà fait ... trop de ... fois ... D'ici deux heures ç ... ça sera finit.

Elle ne pouvait faire rien d'autre hormis d'attendre, souffrant de l'expansion abdominale et le fait que ses nerfs lui envois des décharges de douleurs à cause de la tension sur la peau qui bien que pouvant augmenter sa taille par dix ne dispensait pas de la douleur occasionné.

Marena ne pouvait pas faire grand chose de son côté si ce n'est admirer le corps en sueur de la fée luttant contre la douleur et appréhendant la mise au monde des ouvrières.

Marela aida la fée a se coucher et l’observa dans ses souffrances. Elle ne semblait pas tros aimer la voir souffrir de la sorte. Pour elle porter la vie devait être une chose magnifique et non de souffrance comme elle semblait l’endurer. Elle se leva donc et partie dans une pièce adjacente et revint quelque minute plus tard avec des compresses mouillé.

Elle les étendit sur le ventre en perpétuelle extensions, puis se plaça derrière elle, la redressa. Puis calla son bassin entre ses jambes et commença à lui masser le bas du dos et a lui dépauser de petit baisé dans le cou, afin d’essayer de la détendre dans ce mauvais moment à passer. Elle s’avait ce que cela faisait de grossir rapidement. Mais l’idée que cela ce passe aussi rapidement semblait la laisser sans voix.

Puis elle se demanda. Elle disait que dans deux heures cela serait terminé. Mais parlait t’elle de sa gestation seulement, ou de la gestation ainsi que de la naissance? Tous en continuant à lui masser le bas du dos, une ouvrière vint lui enduire le ventre d’une sorte de gelé froide qui apaisa soudainement les douleurs. Offrant une jolie sensation de fraicheur. Puis elle prit la parole.

Vous dite avoir déjà fait cela souvent, vous avez été mère souvent? Sinon, deux heures, pour les gestations? Ou vous aurez également terminé de mettre bas? Sinon vous s’avez, si cela doit vous arrivez a chaque fois que vous baisez avec un mâle, je pourrais faire en sorte que cela soit moins douloureux pour vous, enfin la gestation tous du moins. En vous injectant un peut de mes gènes en vous, vôtre corps se transformera pour vous permettre de porter la vie et de mettre bas plus facilement. Je ne peux comprendre comment vous pouvez souffrir de la sorte chaque fois que vous êtes fécondé…

Puis elle continua ses massages, au bas du dos, sur les coté, et partout ou cela pourrait lui faire du bien.

Pour Fayryse être fécondée sans son consentement est pire que se faire capturer, la haine serait plus le sentiment approprié pour exprimer ce qu'elle ressentait, seulement voilà elle n'était pas une fée méchante au point de s'ouvrir le ventre et tuer la progéniture qui grossissait en elle, la fée considérant les enfant comme innocent à leurs naissance, n'étant perverti que par les adultes.

Fayryse se mit à frémir en sentant les serviettes humide déposé sur son ventre, la fraicheur endormant un peu la douleur, mais malheureusement pas suffisamment pour apaiser la fée, elle se sentait très faible, se laissant manipuler par Marena comme une simple poupée, les doigts de cette dernière firent quelques miracle, Fayryse étant devenu très sensible au touché, le massage la détendit un peu plus, elle eut un autre frémissement quand les lèvres de la créature se déposèrent sur son cou, de la douceur, c'était presque trop beau pour être vrai, elle qui avait toujours dû être sur ses gardes pour ne pas se faire violenter et violer par les êtres vivants, elle était en se moment en train de se sentir bien.

S'en suivit le massage, cela pouvait sembler pour le moins bizarre à la forme et la texture apparente, mais les effets n'étaient plus à douter, la douleurs semblait commencer à s'assoupir, laissant le plaisir des lèvres de Marena devenir plus intense, ce qui eut comme effets de commencer à dresser le membre qu'elle avait entre les jambes, Fayryse se trouvait honteuse de réagir ainsi, ses joues s'empourprant en même temps, craignant que la créature prenne cette réaction autrement et ne croit que cette fée soit une perverse, chose qu'elle se refusait de croire, elle n'avait jamais prit un quelconque plaisir, enfin elle voulait s'en persuader elle-même.

La fée se souvenait qu'elle n'avait pas répondu à Marena, mais parler de cette période en lui plaisait pas, d'un autre côté la créature voulait sans doute l'aider, Fayryse se mit à répondre d'une voix non-chalante, elle voulait garde un minimum la face.

- Les deux heures c'est pour la gestation, après ça dépendra. Quand à votre proposition je vous dit ... non ! Je préfère nettement mourir plutôt que de devenir une créature bizarre ...

Les mots étaient dit, mais la douleur réapparut un vif moment, faisant taire la fée pour qu'elle ne dise pas de mot davantage blessant, de ses mains libre elle tenta en vain de cacher son membre qui se mettait au garde à vous. Ses joues n'ayant rien perdu de leurs rougeurs.