Loup, y es-tu ? [ Hiro ]

Sincèrement, c’était pour elle que je faisais ça, car violer une femme, pratiquement une fille dans ce cas-ci, alors qu’elle hurle au désespoir, en larmes, sentant le sang couler long de leur cuisses, signe d’une pénétration beaucoup trop forte… Mais, au fond, j’avais un peu peur que la jeune femme ne tombe dans les pommes. Après m’avoir révélée qu’elle était vierge, enfin, c’est ce que j’en avais compris, elle n’était pas prête à recevoir autant de violence pour pouvoir tout endurer, j’avais donc décidé de lui donner une chance d’apprécier sa première fois. Même si c’était un viol, elle pouvait quand même apprécier et donc ne pas développer de phobie du sexe…

Elle ne pouvait pas le faire, elle avait peur. La peur provoque beaucoup de pensées qui font que la personne qui ressent cette émotion se remet en une personne qui n’est pas digne de confiance, et c’est ce qu’elle fit, me donnant la seringue en me demandant de le faire à sa place. Un petit rictus apparut sur mes lèvres… Pendant un instant, je songeai à ne pas le faire, mais l’idée qu’elle tombe dans les pommes à cause de la douleur ne m’enchanta pas. J’attrapai la seringue puis la piqua dans la veine de son bras puis injectai environ la moitié de que qu’il y avait dans le petit contenant, plus aurait été dangereux de faire une « over-dose ».

Le produit, que j’avais un peu amélioré, se répandait beaucoup plus rapidement dans l’organisme, éliminant ainsi la seule faiblesse de se sérum. L’embrassant à pleine bouche, sans qu’il n’y ait aucune trace d’amour, tendresse ou encore passion, simplement pour la briser un peu plus, je sentais déjà ses barrières fondre les unes après les autres.

Tu vois? Je te parie que ça te fait déjà du bien, que tu commences à ressentir une envie que tu n’avais jamais eut auparavant, hein? Maintenant, tu n’as plus de raison de me supplier… Allez,  déshabilles toi et à genoux!

La piqure dans le bras lui fit tourner la tête. Elle manqua de s'écrouler, les yeux teintés de petites étoiles. La piquer ainsi dans la veine la rendait malade, par moments ... Elle espérait même tomber dans le pommes - ce qui arrivait à chacune de ses prises de sang -  histoire qu'il la laisse, qu'il l'abandonne ici. Mais non. Très vite, l'effet s'estompa, et c'est une toute autre sensation qui occupa son esprit et ses membres. Elle eut un mouvement de recul quand il l'embrassa, voulant le rejeter. Mais elle ne put pas ... Une chaleur étrange et malsaine parcourait chaque partie de son corps, ravageant son esprit. Elle toussa, essayant de chasser ce sentiment.

Elle sentait que certaines parties de son anatomie chauffaient, et réclamaient quelque chose qu'elle ne connaissait pas ... Interdite, elle prit un air horrifiée en l'entendant parler. Se déshabiller ? Elle jeta un oeil vers la lame, et se releva, tremblante, pour ôter ses chaussures, sa jupe d'écolière, le reste du tee-shirt qu'il avait arraché, sans pour autant quitter ses sous-vêtements. Elle se sentait malgré tout honteuse, d'apparaitre en si pareille tenue. Il ne lui restait plus qu'un shorty noir et un soutien-gorge de dentelles noires, qu'elle avait piqué à sa tante. Dans un tremblement, elle se remit à genoux, le regardant avec des yeux presque livides.

- Ne me faites ... pas de mal.

Putain, ce qu'elle avait peur. Malgré qu'une envie qu'elle repoussait naissait en elle, elle avait peur, et ne pouvait cacher ses tremblements. Elle savait ce qu'il attendait d'elle, mais ne pouvait se résoudre à le faire.

Malgré que le liquide rose coule dans ses veines, la jeune femme conservait sa frayeur… C'était la première fois que je voyais un sujet aussi bien résister aux assauts de l'aphrodisiaque, c'en était remarquable. Quoique je n'aie pas vraiment à m'en plaindre, je pourrais donc voir son expression horrifiée beaucoup plus longtemps, sa honte. J'aime beaucoup mieux voir l'expression de peur que j'inspire que voir l'envie due à un simple cocktail de produits terrannides, au moins je pouvais savoir que celle-ci était vraie et non fabriquée.

La regardant se déshabiller, je remarquai que cette jeune femme avait une volonté de fer, qu'elle ne laissait pas aller les effets du "poison" comme les autres avec qui j'avais essayé le produit en question; elle, elle combattait ces effets de toute ses forces, s'empêchant de faire ce que son corps demandait… Mais bientôt elle fondrait, jamais je n'ai vu âme qui vive réussir à résister à l'envie de la chair, grandissante, en eux. Comme toutes les autres, elle allait bien vite fondre, la cyprine coulant de son antre… Elle avait beau dire qu'elle voulait être pure, il n'en restait pas moins que l'impurté, c'est comme la gravité… Ça ne nécessite qu'une poussée!

Elle était maintenant en sous-vêtements, à genoux devant moi, qui n'avait que des boxers. Elle ne pouvait pas… Prudence résistait toujours à ce qui avait dans son sang, ce qui m'exaspéra un peu, pour être honnête. Mais au fond, j'étais là pour prendre ce que je voulais, et non seulement agir au gré de cette jeune femme. Retirant tout ce qui restait de barrière de tissu entre mon phallus et la jeune femme je baissai mon regard sur elle, rempli d'indifférence, je dirais même d'impatience.

Ouvre ta bouche, ou je te force à l'ouvrir avec du métal, est-ce bien clair?

Un petit rictus de satisfaction me vint aux lèvres à l'idée d'entrer mon couteau dans sa bouche, peut-être en lui explosant une dent au passage, la forcer à ouvrir la bouche, quitte à lui couper le palais, et ainsi faire un peu de place pour le principal intéressé dans la chose. Honnêtement, je préférerais ne pas avoir à la mutiler, ce serait moins agréable avec du sang dans la bouche, ou encore sentir une dent cassée frotter sur mon gland. Non, la meilleure idée restait la menace. Ainsi, je peux avoir tout ce que je veux, sans qu'elle n'ait aucun dégât physique…

De toute façon, je n'aurai plus à la menacer. Bientôt, elle me suppliera de la prendre comme une chienne, là, au milieu de l'endroit où gisaient les cadavres de ses amis…
 

La menace était claire, cette fois. Prudence avait sentie l'impatience poindre dans sa voix, et elle ne préférait pas savoir jusqu'à quel point il était prêt à aller pour obtenir ce qu'il voulait. De plus, elle sentait que quelque chose montait en elle, et rongeait ses barrières. Son coeur battait plus vite, et une profonde envie ... Non, je ne peux pas souhaiter ce genre de choses ... Elle inspira profondément, tendit la main vers le boxer de l'inconnu, essayant de dissimuler ses tremblements liés à la peur qui l'habitait. Sa main frêle se glissa à l'intérieur de ce boxer, caressant le membre de l'homme. Elle se sentait tellement honteuse d'agir ainsi ... Jamais ses joues n'avaient été aussi rouges.

Son autre main fit glisser le sous-vêtement d'Hiro, afin de dévoiler à l'air libre son sexe. Doucement, alors, elle s'approcha de lui, et le prit en bouche avec crainte et lenteur. Elle ferma les yeux, n'osant même pas regarder ce qu'elle allait faire. Et elle commença alors à le lécher avec lenteur, sur toute sa longueur, pour ensuite le placer entre ses lèvres et commencer un vas-et-vient qui lui sembla effroyable. Elle sentait son coeur battre, toujours plus vite, et sa peau devenir brûlante. Elle n'osait pas faire un seul bruit, et avait une peur bleue de se tromper, de mal faire ...
Elle savait que la moindre erreur de sa part serait gratifiée d'une vengeance venant de cet homme. Elle n'osa même pas imaginer ce qui lui arriverait si elle en venait à mordre son sexe, ou à tenter à nouveau de s'enfuir.

Elle plaqua une de ses mains libre contre son propre ventre, et ne se rendit même pas compte que cette main glissait jusqu'à son bas-ventre et qu'elle commençait à se caresser, sous l'emprise de la drogue aphrodisiaque.

Lentement mais sûrement, Prudence avait fini par comprendre la gravité de ses gestes si elle tentait de me tenir tête, ou si elle fuyait. Elle avait donc décidé de faire la bonne petite chienne et faire ce que je lui disais de faire, la menace avait toujours sa place, dans n'importe quel viol. Même si la victime avait vu les corps empalés, tranchés et égorgés de ses amis, la menacer au couteau avait eut plus d'impact que de voir la folie qui m'avait prise alors que j'avais éliminé tous ses petits camarades avec qui elle jouait innocemment à cache-cache.

Retirant mon boxeur, elle avait pris ma verge en bouche et faisait coulisser ses lèvres dessus, m'arrachant quelques soupirs de satisfaction. La lenteur, sur un membre masculin, était tout à fait plaisante, en plus de pouvoir tenir plus longtemps. Comme pour répondre à ses questions mentales, je lui dis, les yeux fermés

Au fait, essaie de le mordre, et je t'égorge comme une truie avant de jeter ton corps dans un broyeur.

Comme on dit, précaution vaut mieux que guérison, et je me voyais mal expliquer à ma prochaine conquête le pourquoi des traces de dents que j'avais sur mon pénis… Donc aussi bien éliminer la possibilité qu'elle me morde.

La regardant faire, je remarquai que sa main glissait tranquillement vers son intimité, pour finalement s'activer à se caresser elle-même. Attrapant son bras qui articulait sa main occupée, je le relevai pour venir le placer sur mon torse.

Tu pourras avoir du plaisir lorsque je l'aurai décidé, en attendant, occupe toi de ça.

Un petit sourire sadique alors que je glissai une main à sa nuque, dirigeant dorénavant la cadence, lui imposant de prendre mon pénis jusque dans sa gorge… Une petite marionnette désarticulée, voilà ce qu'elle était pour le moment, rien de plus qu'un jouet pour moi, et j'allais probablement la jeter une fois que je me sois assez amusé avec elle.

Tu vois, petite chienne, que tu peux avoir du plaisir quand tu n'es pas pure? Tu vas voir, tout à l'heure, tu ne comprendras même pas d'où vient le plaisir, tant il te submergera.

Étrangement, cette promesse lui glaça le sang. Il y avait dans son ton quelque chose d'inquiétant ... même si l'excitation grimpait en elle, elle ne pouvait pas dissimuler cette peur qu'il lui fasse du mal. Quand il lui prit le bras, elle se sentit gênée, mais ne put répliquer pour tenter de sauver sa peau, ou au moins sa dignité. Mais là, ce désir qui montait dans tout son corps, elle ne pouvait pas l'ignorer ...

La pression sur sa nuque lui arracha un gémissement de peur, tandis qu'il accélérait le rythme. Elle était partagée entre cette douleur liée à cette fellation forcée, et ce plaisir en elle qui ne demandait qu'à exploser. Ses mains trouvèrent appui sur le torse de cet homme, et elle s'efforça de lever les yeux vers lui, pour qu'il puisse au moins y lire la torture qui occupait son esprit.

En attendant, sa bouche ne lâchait que des " Mmh " qui était autant de plaisir que de douleur. Elle savait ce qu'y suivait, et l'attendait ... Tout en le craignant. Mais elle savait qu'elle n'aurait pas le courage de s'enfuir, pas maintenant que dans de choses occupaient son esprit et son corps.
D'un mouvement de tête, elle s'efforça de continuer à sucer le sexe de cet inconnu, comme une fille obéissante le ferait.


( C'est nul, désolé ... )

Prudence continuait de s'activer sur mon phallus, m'arrachant à nouveau quelques soupirs de satisfaction. Elle avait levé ses yeux vers moi, mais, contrairement à ce que j'aurais pu penser, l'écolière n'était pas à la recherche d'une once de bonté en moi, me suppliant de la laisser partir. Non, en fait, on pouvait y voir toute la douleur du moment, mais aussi qu'elle était torturée entre la crainte et l'envie. Ses petits gémissements de plaisir comme de douleur étaient une preuve de plus au dilemme qu'elle était en train de vivre. Putain ce que j'aimais pouvoir voir la douleur, la torture dans les yeux de mes victimes, alors qu'elles sont généralement en train de faire ce qu'elle fait.

Soudain, je posai la main sur son front pour éloigner son visage de ma queue. Je pris alors quelques secondes pour la regarder, un petit sourire triomphal aux lèvres, je voyais qu'elle ne pouvait plus rien contre moi, et qu'elle était résignée à tout ce qui avait été fait. La vision de la jeune femme craintive et résignée en même temps, alors qu'elle avant encore de la salive ou du mucus accrochée aux lèvres qui était aussi collée à ma queue, m'excitait au plus haut point.

Me penchant sur elle, je dégrafai son soutien-gorge, le laissant glisser jusqu'au sol.

Tu sens le désir monter? Bientôt, tu ne pourras plus penser à autre chose qu'à te faire prendre, mais cependant, il faut que tu le mérites… Fait moi venir, mais j'en ai marre de te voir utiliser ta bouche… Utilise tes attributs pour continuer

Aucune pitié, quel qu'elle soit, je n'avais pas envie de la voir bien dans sa peau. Comme dit, pour moi, elle n'était qu'un jouet, rien de plus, je m'attendais qu'elle agisse comme telle, mais elle avait encore la peur… Ce qui la faisait hésiter à m'obéir. Poussant un petit soupir de consternation, je lui dis.

Ça devient lourd à la fin, de devoir toujours te menacer avec mon couteau. Je commence à penser que tu ne tiens vraiment pas à la vie… Si tu préfères retrouver tes petits copains dans l'au-delà, dis le moi, et je vais te faire cette fleur, je me trouverai bien une autre femme à violer.

J'étais tout à fait sérieux. Elle hésitait à chaque fois avant de m'obéir, à cause de la menace et je commençais à m'agacer. Peut-être allais-je finir le travail que j'avais commencé au début de la nuit, après tout. Ce n'était qu'une fille de plus, un futur cadavre même, à mon tableau de chasse…

Mourir ? Non ! Cette perspective effrayait terriblement la jeune fille ... Elle ne pouvait pas se laisser mourir, elle devait accepter cette chose, au fond d'elle, qui naissait et qui la tiraillait. Il avait raison, elle sentait le plaisir monter ... C'était presque insoutenable, tant elle se sentait honteuse. Mais elle devait obéir, impossible de faire autrement. Ce plaisir qui naissait devait être assouvi, et elle devait rester en vie. Aussi se releva t'elle pour mettre sa poitrine à la hauteur du sexe d'Hiro, décidée à executer le moindre de ses caprices. Prudence se devait de le faire ... Aucun échappatoire n'était possible. Quand ses seins touchérent le membre de l'homme, elle ressentit à nouveau un frisson qui excita ses sens. Le vent frais la faisait frissonner autant que ce désir qu'elle ne pouvait pas refuser.

Ainsi, elle commença à caresser sa queue avec sa poitrine, les yeux rivés sur ce qu'elle faisait afin de ne commettre aucune erreur. Elle coinça le membre entre ses deux seins, qui n'était pas des moindres, et commença des vas-et-vients doux au départ, et un peu maladroits, puis plus rapide au fur et à mesure. Le faire venir ... Elle en était capable. Désormais, une seule chose l'obsédait : qu'il jouisse, afin qu'elle puisse mériter ce plaisir qu'elle désirait.

- Mmh ... Comme ça ?

De faibles gémissements accompagnérent ses caresses, tandis que sa bouche revenait suçoter son gland, sa langue venant caresser le bout de son sexe, appuyant parfois dessus. Le mouvement de sa poitrine s'accéléra alors ...

Presque rien ne pouvait percer le voile de noirceur qu’il y avait dans le parc, la Lune n’étant pas au rendez-vous, enfin, il y avait bien des moments où elle arrivait à s’extirper de la résistance que les nuages lui offraient. C’était la nuit idéale pour chasser une proie, et la proie en question était de qualité, d’après les traitements qu’elle m’offrait à ce moment là.

Sans aucune menace, elle avait commencé à caresser ma verge de ses seins, avant de la coincer et faire des va-et-vient le long de la hampe en question. Ses seins étaient doux, s’était un véritable délice, malgré son certain inconfort, étant donné qu’elle n’avait probablement jamais fait une telle chose auparavant. Ses lèvres et sa langue s’occupaient de mon gland alors que le reste était toujours emprisonnée dans sa poitrine, dont les va-et-vient devenaient de plus en plus rapides, m’arrachant quelques gémissements de plaisir. Mais je n’étais pas tout seul à aimer ce traitement, car elle aussi commençait à émettre de petits gémissements. Apparemment, l’aphrodisiaque que je lui avais administré commençait à faire son effet, et la peur serait bientôt remplacée par le simple plaisir, et l’envie d’avoir du plaisir, si ce n’était déjà fait.

Oui… c’est très bien… tu vois, le plaisir qu’on ressent quand on ne joue pas les pures? Si tu éprouves du plaisir maintenant, imagine lorsque mon pénis sera entre tes jambes, et non entre tes seins…

Il semblait qu’elle avait vraiment envie de se faire prendre, car je sentis la cadence augmenter, m’arrachant une autre salve de gémissements. Une main sur sa tête, l’autre sur son épaule, plus pour avoir un certain appui que d’autre, j’arrêtai soudainement mes gémissements, cessant même de respirer pendant environ une trentaine de seconde, puis, je relâchai ce qui ressemblait plus à une plainte qu’à un gémissement avant de relâcher ma semence blanche et gluante sur le visage, le cou et un peu sur la poitrine de l’écolière.

Je dois avouer que tu es sacrément douée, pour une fille qui n’a jamais fait ça de sa vie. Maintenant, comme dis, je vais te récompenser, mais commence par te nettoyer un peu, mon phallus aussi tient.

Croisant les bras, je m’éloignai légèrement la jeune femme. Ce n’était pas que la vue d’une femme pleine de sperme me déplaisait, mais je voulais avoir un nouveau stimuli afin de pouvoir entrer une nouvelle fois en érection… Je ne suis pas un Dieu, après tout!