Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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retour à la civilisation [pv : Aya]

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Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 15 lundi 13 octobre 2008, 23:15:40

Mais quelle horreur! D'un coup, les messages tendre et doux de l'esprit de Kohana disparurent, laissant place a tout les ciols et toutes les tortures que subissait l'humaine si elle ne contentait pas son maitre. Meme si elle ne montrait rien dans ses geste, son esprit était brutalement passé des désirs simples et innocent d'une jeune fille s'offrant a une femme a celle d'une esclave se soummetant a sa maitresse. Aya eut une larme qu'elle réprima avec difficulter. Les ongles qui s'étaient enfoncé dans ses épaules sous le coup de la surprise avaient détruit la confiance et l'envie de douceur de la jeune femme. Quel dommage. Alors que la succube caressait l'intimitait de la jeune femme, elle s'assechait.

Je... Non Kohana...


Comment lui dire qu'elle s'en moquait? Comment lui faire comprendre qu'elle ne voulait pas de plaisir? Ma succube était une femme née pour lui faire plaisir, sa vie était plaisir, alors pourquoi voulait elle lui faire plaisir? Ca ne servait a rien ce genre de chose. Mais comment pouvait elle le montrer? En serrant les cuisses peut etre... Mais malheureusement, tout ses gestes étaient mal interprété, alors qu'elle s'écartait de l'humaine, cette derniere comprit qu'elle voulait avoir tout le plaisir, prendre de maniere égoiste sans donner alors que c'était tout l'inverse!

Meme si elle était sensuelle en sucant son doigt et en le faisant entrer dans la bouche, devenue réticenate, de sa partenaire, Kohana était une automate. C'était si triste, voir ces deux grand yeux brun éteint, ce corps réagir mécaniquement aux souhaits des "maitres". C'est alors que, les fesses écarté, le doigt de la jeune femme entra profondément en elle, lui faisant pousser un petit glapissement de plaisir avant de le sentir sortir et s'humidifier sur ses levres qui s'assechaient lentement a cause de la perte de magie de ce rapport. Puis la jeune femme se glissa entre les jambes écarté de la succube, qui en profita pour laisser ses larmes de douleurs couler le long de ses joues. Meme si elle s'y prenait bien, Aya souffrait, elle avait mal de se voir dans l'esprit de la jeune femme comme le Sans Visage, son bourreau, celui dont elle avait si peur qu'elle n'osait pas se souvenir de son visage.

Alors qu'elle s'attendait probablement a un ordre de soummission de la part de sa "maitresse", celle ci éclata en sanglots et lui retira sans douceur la main de son anus en enroulant la queue autour. Une fois lebre de ses déplacements, elle entra dans l'eau, s'immergeant au plus profond de l'étendue aqueuese avant de se mettre en tailleur, les ailes autour d'elle, la masquant. N'étant pas humaine, sa respiration n'était pas la meme, elle pouvait rester plus de 20 minutes sous l'eau sans que le besoin de charger ses pumons s'en fasse sentir. Et elle pleurait, laissant les perles salé de sa tristesse et de sa confiance détruite se perdre dans le bleu clair des eaux douce de la salle.

*Pourquoi j'ai fait ca! Pourquoi je l'ai touché! C'est entierement ma faute si elle a peur de moi, je suis horrible, je me pensait supérieure aux hommes, mais non, je suis comme ce monstre, je suis âreille, je lui brise son coeur sans arret.*

Pauvre succube, avoir des sentiments n'est pas une chose facile quand on appartient a cette race de voeuve noire. Surtout quand on se voit comparer a un homme qui ne vit que pour briser et torturer les ames faibles. Comment se faire pardonner? Sur le coup, Aya se voulait égoiste, s'isolant la ou personne ne pourrait lui parler, au fond des eaux. Ici, elle n'aurait pas a affronter cette soumission écoeurante contre laquelle elle lute depuis tant d'année, ici elle ne pourra pas dire des paroles qui briseront le coeur de la jeune femme ni commetre de gestes fourbes et incomprit. Ici, elle est seule.

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 16 mardi 14 octobre 2008, 12:38:38

Lorsqu'Aya s'écarta violemment et la priva de son corps, Kohana resta assise, les bras suspendus dans le vide, le regard figé. Que s'était-il passé ? Qu'avait-elle fait de mal ? Des larmes lui montèrent aux yeux... ses joues se tintèrent d'un rouge tomate...

"A...Ay... Aya ?"

bredouilla l'adolescente. Elle ne savait plus que faire. Sa maîtresse était partie loin. Elle était retournée dans l'eau et avait plongé. Depuis combien de temps ? De nombreuses minutes déjà. Mais Kohana n'avait aucune notion du temps. Son esprit était torturé de toute part. Elle éprouvait une sincère inquiètude pour Aya, qui n'avait rien à voir avec ce que Don lui avait enseigné. Mais en même temps, elle n'osait pas bouger, de peur d'aggraver la situation et que sa maîtresse la tue.
Elle resta là sans bouger pendant de longues minutes. Puis, petit à petit, ses craintes s'effacèrent et laissèrent la place à l'inquiètude et à la pitié. La succube semblait être une femme forte, mais les caresses de Kohana avait brisé la glace. L'humaine remua les bras, et s'appuyant sur le sol, elle se releva. Elle n'avait rien remarqué de la détresse de la démone pendant que lui donnait du plaisir, et la voir ainsi annéantie, tout d'un coup, plongeait la jeune fille dans un profond désarroi.

L'enseignement qu'elle avait reçu ne lui était plus utile. Elle n'avait jamais appris à faire face à cela. Et puis, était-ce la réaction normale d'une maîtresse ? N'était-ce pas plutôt la réaction de quelqu'un comme Hazel ?


*Hazel avait pleuré quand je lui avais fait mal... lui aurais-je fait mal ?*

Bien qu'elle ne comprit pas comment, elle savait qu'elle avait blessée la succube. Pourtant, jamais elle ne l'aurait voulu. Cela lui était égal de faire mal à une maîtresse (si elle l'évitait c'était pour ne pas être tuée après), mais elle ne voulait pas faire de mal à Aya.
Tout doucement, avec le moins de bruit possible, elle s'approcha des ailes noires de la démone, dans lesquelles celle-ci s'était réfugiée. Désemparée face à ce mur de plume, Kohana déposa sa main sur les ailes et les caressa comme on le fait avec un chat : il n'y avait aucun plaisir sensuel, juste de l'attention, de l'affection. C'était un message pour dire à la succube que Kohana était prête à l'écouter.
Mais la démone se sentait toujours aussi mal et ne relevait pas la tête. Alors l'adolescente prit la parole.


"Lorsque j'étais petite, mes parents prenaient toujours bien soin de moi. Jamais ils n'auraient levé la main sur moi, si ce n'était pour me prendre dans leurs bras et me réconforter. Ils passaient leur doigts sur mes bras, me caressaient la nuque et m'embrassaient les cheuveux pour que je sache qu'ils étaient là pour moi."

Tout en parlant, Kohana exécutait les mêmes gestes que le faisaient ses parents sur elle. Puis elle continua.

"J'ai rencontré Hazel juste avant d'arriver sur Terra. Avec elle j'ai découvert des douceurs que je ne connaissais pas. Elle réprésente la tendresse pour moi. Mais l'amour, ce sont mes parents qui me l'ont donné. Je leur en suis reconnaissante."

En disant cela, l'adolescente exprimait des sentiments profonds et montrait à la succube à quel point elle tenait à elle. Les mots qu'elle prononçait lui permettait d'y voir plus clair dans sa tête. Et elle compris que ce n'était pas Hazel qu'elle désirait revoir mais sa mère et son père. C'est pour cela qu'elle s'était sentie si bien avec Aya et qu'elle n'avait pas envie de perdre la complicité qu'elles avaient trouvé.

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 17 mardi 14 octobre 2008, 13:09:51

Les longues minutes de mutisme et d'aphasie de l'humaine lui furent bénéfique, en effet, la succube arrivait en limite et était donc ressortie de l'eau, s'instalant sur un rebord de cette piscine qui servait de bain, dos au mur et ses ailes au cuir tendu la cachant completement de la vue de la jeune femme. Aya n'en voulait pas a Kohana, transformé en esclave, formaté pour servir et baiser, puisque c'est le terme le plus explicite pour ses actes, la petite humaine n'était en rien fautive. La femme de luxure regarda ses ongles où il y avait encore une petite trace de la peau de l'humaine. Honte et tristesse l'envahirent, elle murmura pour elle meme.

Qu'est ce que j'ai fait? Qu'est ce que je lui ai fait? Elle n'avait pas assez souffert comme ca entre la brute et mon idiote de fille? Pourquoi j'ai brisé son envie avec ces ongles... Je suis un monstre...


Ses larmes redoublerent, Aya ne pleurait jamais, si bien que lorsque des larmes saignaient ses yeux c'était pour un long moment et a cause d'un sentiment tres fort. Les sanglots et les chouinements pitoyables de la succubes l'empecherent d'entendre la petite humaine, mais lorsqu'elle posa timidement la main sur son aile, cette derniere se raidit, rétrécissant l'espece que ses deux immences voiles d'un noir pétrole lui donnait. Presque sanglé par ses membrures ailé, la jeune femme ne voulait plus etrre touché par la petite Kohana, pour dire a quel point elle boudait. C'est alors que le silence se rompit; c'était le tour de l'humaine d'épencher sa courte vie, joignant les caresses aux mots et détendant peut a peut la grande succube.

Alors qu'elle reprenait son souffle, les ailes démoniaques se désagrégerent, laissant une fumé noire acre s'éparpiller dans l'air et dévoilant une femme faisant pitié, les yeux rouges, de long sillons coulant sur ses paumettes écarlate de douleur, les jambes replié, la tete sur ses genoux et les bras croise devant ses tibias. Elle se balancait d'avant en arriere, se bercant pour essayer de se calmer alors qu'elle écoutait Kohana parler d'amour, mais faire l'amour n'était pas du tout semblable a cet amour là! Elle le savait que trop bien, étant femme et mere, elle n'ignorait pas la violente difference entre amour charnel et maternel.

Ah..snnrf, je voix, tu me considere juste comme bonne a baiser. Tres bien, baise moi, toute facon, j'ai l'habitude, je suis née pour ca...


Il y avait une cinglante vérité dans ses propos, oui elle était brisé de s'etre fait comparé a une simple cliente, oui elle avait bien compris que Kohana ne lui ferait pas l'amour, pourtant, la jeune fille avait si bien commencé, melant tendresse et passion dans de douces caresses legerement hésitante, mais maintenant, Aya en était sur, ce serait un robot et non une femme qui la touchera. Sans lelle relever la tete, la succube écarta les cuisses pour exhiber son intimité seche, vide de toute envie, chose extremement rare chez un etre de sa catégorie.

Allez, puisque tu ne me considere pas mieux qu'un travail qu'il faut vite expédier, fais toi plaisir, j'men fou, je suis habitué a souffrir, de corps et de coeur.

Les remarques étaient profondément méchantes, mais peut on vraiment lui jeter la pierre? Aya avait tout fait pour rendre heureuse la jeune femme et finalement, elle était pire qu'a son arrivé, la succube lui en voulait grandement de ne pas lui faire confiance, de ne pas l'apprécier comme une femme normale, pas forcement de vouloir lui faire l'amour, mais de l'avoir comme amie. Elle sentait tout ses efforts, toute sa tendresse anéantie et n'en devenait que plus mordante, mais derriere cette facade de rage boudeuse, il se cachait une femme profondement triste qui ne voulait rien de plus qu'etre prise par les bras freles et doux d'une certaine petite humaine qui avait sue, un instant lui faire oublier  sa position dominante dans les jeux de chair... Mais le comprendrait elle?

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 18 mardi 14 octobre 2008, 22:12:25

Les sanglots de la succube commençaient à s'estomper après une cascade de pleurs, entrecoupés de silences oppressants. L'adolescente avait endossé le rôle d'une mère rassurante, malgré le fait qu'elle ne l'avait jamais été. Un sentiment de satisfaction s'insinua en elle lorsqu'elle vit les yeux de la démone s'assècher. Elle savait que ce n'était pas grâce à elle, mais savoir qu'Aya allait mieux la mettait de meilleure humeur.

Elle allait la prendre dans ses bras, au moment où ses ailes disparurent. Elle voulait se réfugier contre ce coeur mit à rude épreuve qui avait fait coulé les larmes. Elle voulait réconforter cette âme en peine et continuer à lui prodiguer des douceurs pour la mettre en confiance. Lui montrer que c'était pour elle que Kohana avait de la peine, que tout cela était sincère, et que Don n'avait plus rien à voir là-dedans.
Mais alors, la succube se mit à parler. Cependant, au lieu d'entendre des remerciements, ou des mots tranquilisateurs, Kohana fut aggressée, humiliée, blessée... la démone voulait se faire passer pour de la chair à baiser. L'adolescente n'en crut pas ses oreilles !


*Comment une femme si forte peut-elle se sentir si faible et si peu en confiance pour se considérer comme tel ?*

Tout ceci restait une énigme pour Kohana.
Elle avança sa main vers l'épaule de la succube pour lui montrer ses intentions amicales. Mais Aya se méprit une fois de plus. Elle s'écarta sans ménagement et continua à lancer des propos déplaisants. Se faisant elle ouvrit les cuisses et montra à Kohana une chose qu'elle n'avait jamais vu d'aussi près, sans être plongée dans un état second, celui de l'esclave qui accomplit son travail.
A cette vue, Kohana ressentit comme une cassure en elle même, comme si quelque chose se scindait en deux et anéantissait tout ce en quoi elle croyait. La succube était un modèle pour Kohana et voilà qu'elle essayait de se faire passer pour un travail ?!

L'adolescente avait envie de se maltraiter. Elle avait besoin de frapper, de se frapper, de voir couler le sang, son sang... elle voulait se vider de cette haine qu'elle se mettait à ressentir envers elle même. De tout ce qui était excécrable chez elle. Elle ne se savait pas capable de faire souffrir. C'était toujours elle qui avait souffert et elle trouvait cela normal. Voir la succube dans un tel état la rendait proche de la folie.
Elle ne pouvait cependant rien faire. La démone ne se laissait pas approcher. Et les paroles que l'humaine prononçait n'avait plus aucun effet ; la succube n'y croyait plus.
Alors, désemparée, l'esprit tiraillé de toute part, le corps tremblant de désir d'action, non amoureuse mais violente, elle ne trouva qu'une unique solution.

Sans prévenir, sans un mouvement au préalable, sans aucun changement dans sa respiration, elle s'effondra d'un seul coup dans les bras d'Aya et éclata en sanglots. Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé. Kohana était en faite une fille plutôt forte. Evidemment, elle se faisait manipuler ce qui faisait d'elle quelqu'un de profondément naïf et influençable. Cependant, toutes les méchancetés subies, elle les emmagasinait dans un coin d'elle même, dans une partie de son inconscient, elle les refoulait ; et voilà maintenant que tout ressurgissait sous forme de larmes torrentielles.
N'ayant d'autre réconfort que la démone, Kohana s'agrippa à ses bras comme à une bouée et pleura sur son épaule.

Ses larmes finirent par s'étancher, mais ses sanglots étaient toujours présents, à un rythme irrégulier et rendait sa respiration saccadée. Elle posa une main sur le sein d'Aya et commença à s'amuser avec. Elle n'avait aucun intention perverse, c'était la seule chose qu'elle avait trouvé pour se raccrocher au monde vivant et ne pas sombrer dans la folie.


"Aya... tu... tu n'imagines même... même pas com... combien je peux... peux... peux m'en vouloir... ni... ni ce que... ni ce que tu représentes po... pou... pou... pour moi."

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 19 mardi 14 octobre 2008, 22:53:30

Elle avait mis le temps, mais finalement, elle avait réussit son coup. Malgré la violence des propos de la succube, plutot grace a cette violence sans nom et a ses gestes ignobles, la jeune femme qu'était Kohana était de retour, boutant l'esclave robotique de ce corps et redevenant humaine. Elle fondit dans les bras d'Aya qui se mis a sourire, toujours triste d'avoir été victime d'amalgame entre elle et le sans visage. Mais elle était heureuse de retrouver la petite Kohana timide et tendre qui lui avait fait tant de bien un temps plus tot. Elle la sentie poser sa main sur un de ses seins, mais que dire? Elle avait besoin de contact et sa poitrine était parfaite dans cette optique que sont les caresses et la douceur. Puis elle s'expliqua, prise par les sanglots et les larmes, voulant lui faire comprendre qu'elle était désolé, qu'elle s'en voulait de lui avoir brisé le coeur et fendu l'esprit. Aya agrandit son sourire, elle passa ses bras autour de la jeune femme et lui caressa tendrement le dos avant de recréer cette enveloppe noire intime autour d'elle.

Ne t'en fais pas, je sais tout ca. Je suis heureuse que tu sois enfin redevenue toi, pleure sur mon épaule, ca ne te fera pas de mal, je sais écouté, si tu veux me parler de ta tristesse tu peux.

Lentement, elle recomenca son manege sensuel, mais pas avec une quelconque perversion, elle voulait juste la réchauffer, lui faire comprendre que c'était fini, qu'elle ne lui en voulait plus et qu'elle était prete a partir de zero une fois de plus. C'est alors que les cuisses de la jeune femme se mélangerent avec celle de l'humaine. Elle monta sa cuisse entre celles de la jeune humaine puis caressa son intimité avec sa cuisse. Elle l'embrassa tendrement pour la calmer et lui caressa la nuque avec tendresse.

Ca va mieux ma belle?


La jambe de la petite fille appuyait contre son intimité, elle pouvait sentir le nectar de la succube se répendre sur la cuisse de Kohana, la caresser, se jetter dans ses bras, pleurer sur son épaule... Tout ca lui donnait envie, mais pas forcement sexuelement, juste envie de sa présence et de ses caresses. La succube détacha la main qui s'amusait avec son sein pour l'embrasser tendrement a son tour, en ce moment, Aya, la succube perverse était douceur et tendresse pure, elle était tout ce qu'il manquait au bonheur de Kohana et était fiere de la remettre lentement sur pied, de la rendre humaine avec ses désirs propres et un coeur vivant.

Je crois qu'on est assez propre, suis moi mon coeur.


Elle sécha les dernieres larmes de la petite fille en pleur du coin de son pouce avant de lui mebrasser le front. Les ailes protectrices disparurent et la succube se leva avec toute la grace donné a son espece. Elle pris la main de l'étudiante et la hissa avec une force tranquille, maternelle, avant de la prendre dans ses bras pour lui donner une derniere marque d'affection. Tenant toujours cette petite main, Aya partit droit vers sa chambre, pas pudique pour deux sous, en traversant un long couloir dont le sol était fait de moquette rouge et la décoration plutot luxueuse. En se retournant pour adresser un sourire a la pauvre humaine completement paumé elle la tranquilisa en ouvrant une porte.

Ne t'inquiette pas, meme si je suis une succube, je ne laisse que tres peu de personne entrer dans mon lit, il n(y a que toi et moi dans toute cette aile qui m'est réservé.


Et elle la tira dans une chambre sentant la framboise et transpirant l'élégance. Une immence penderie couvrait un mur entier, dedans il y avait de tout, du cosplay sexy aux robes mondaines en passant par les tenues paysannes. Aya ferma derriere Kohana et lui ouvrit une pourte coulissante.

Ce sont mes plus beaux habits acheté sur Terre, tu peux prendre ce que tu veux, je te les offre de bon coeur. Apres, si tu a envie d'une vraie tendresse, ou de me remercier comme tu me l'a dit plus tot, je suis derriere les baldaquins blancs.

Elle lui souria tendrement puis l'embrassa sur la joue en levant une jambe, un peut comme une amoureuse qui se met sur un seul pied en embrassant celui sur lequel elle a flashé. Et elle alla là où Kohana pourait la trouver, s'étendant sur son lit de plume et laissant ses ailes et sa queue revenir au grand galop, elle était si décontracté maintenant que Kohana était a peut pres humaine qu'elle en paraissait shooté.

(c'est peut etre un peut pourri, j'avais pas trop la tete dedans quand j'ai fait la premiere moitié désolé)

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 20 mercredi 15 octobre 2008, 10:51:59

Dans les bras d'Aya tout ses soucis s'envolaient comme s'ils avaient pris peur. Il ne restait alors plus que deux femmes qui se ressemblaient en apparence, serrées l'une contre l'autre. Elles étaient si proche qu'il n'était pas évident de distinguer qu'elle jambe appartenait à qu'elle fille. Leurs cuisses se croisaient, celle d'Aya passait entre celle de Kohana et inversement.
Sans s'en rendre compte, la cuisse de la démone frotta l'intimité de la jeune fille. C'était quelque chose de réconfortant et de tendre. Cela lui procurait une sensation de chaleur supplémentaire. Une chaleur interne cette fois. Alors Kohana soupira et garda les yeux fermés même une fois que ses pleurs se furent calmé. Elle profitait simplement.

Puis, décidant qu'il était temps de passer à autre chose, la succube l'ammena jusque dans ses appartements privés. La chambre était luxueuse : tapis, broderies, tentures, armoires gigantesques, soies... Bien plus beau encore que chez Don. Pourtant, la jeune fille frissonna. Tout ce luxe était de mauvaise augure pour elle.
Mais elle ne sombra pas à nouveau dans sa folie d'esclave. Elle resta maîtresse d'elle même, sachant que la démone était là. Aya lui rappelait tellement sa mère que l'adolescente se sentait humaine en sa présence, et non plus esclave.
Lorsqu'elle lui montra la multitude d'habits qu'elle avait, Kohana choisit tout naturellement des habits de lycéenne. Alors Aya l'embrassa sur la joue et parti se réfugier sur son lit, l'humaine s'habilla tranquillement. Elle était ravie de pouvoir sentir un morceau de tissu fin contre son intimité, un tissu si fin qu'il ne l'empêchait pas de se sentir libre et de pouvoir "respirer". Elle enfila des chaussettes montantes, allant jusqu'à mi-cuisse, et blanches. Puis elle mit une petite jupe, un chemisier et elle se réserva une veste, qu'elle n'enfila pas car il faisait bien assez chaud comme ça.
L'adolescente semblait redécouvrir les joies de l'enfance. Elle se plaça devant un miroir et fit des tours sur elle-même, ce qui soulevait sa jupe et laissait apparaître ses cuisses bien en chair et son nouveau souvêtement.

Le baiser d'Aya avait été si amical que maintenant, Kohana la considérait à la fois comme une mère et comme une amie. Elle se précipita donc sur le lit pour montrer ses nouveaux atours à la succube. Elle se mit à genoux sur le lit et ouvrit les bras, un large sourire sur le visage. Ses yeux étaient toujours rougit par les sanglots qu'elles avaient eut mais maintenant, ils respiraient la gaiété.
Rapidement, Kohana se mit debout sur le lit et recommença à faire des tours sur elle-même pour montrer la légèreté de la jupe. Puis elle se laissa tomber lourdement sur les fesses, levant les jambes en l'air et les écartant pour qu'Aya puisse admirer la culotte qu'elle avait choisi. L'adolescente posa sa main dessus et promena ses doigts sur le tissu.


"Ce tissu est tellement que je ne me rends même pas compte que je porte quelque chose ! Touche !"

Elle se rapprocha de la démone et lui prit la main pour qu'elle puisse en juger par elle-même. Il n'y avait plus rien de sous-entendu dans ce geste. Ce n'était que le geste d'une petite fille qui ne connait rien aux pratiques sexuelles et qui, dans toute son innocence, dévoile ses parties intime à une mère amie.

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 21 mercredi 15 octobre 2008, 12:58:56

Aya était partie se couché dans son immence lit glacé, enfin vautré est plus exact comme terme. La succube s'était couché en gémissant un grand plaisir que de se retrouver sur ses plumes fraiches et douces. Alors que la jeune fille faisait un cinéma d'ombre chinoise pendant qu'elle s'habillait de maniere digne, la jeune femme se prélassait tel un gros chat aux formes rebondi dans le grand lit double, voire triple vue sa taille. De sa position, seul l'ombre de la fillette était visible, elle se donnait en spectacle a la succube en rayonant de vie, son corps bougeait comme celui d'une enfant qui porte quelque chose de nouveau et qui fait d'innombrables gestes innutiles pour enfin trouver la posture où elle peut s'admirer en se mettant bien en valeur.

Cette petite va me manquer...


Soupira elle alors que le baldaquin laissait une tignasse noire lisse et lumineuse percer la grande blancheur pure de ses rideaux fin. Kohana sauta sur le lit, comme une enfant, on aurait presque dit que mentalement elle avait fait un bon de 10 ans en arriere, libre, saine, pure... Elle se comportait enfin de maniere saine. C'est alors qu'elle lui ouvrit grand ses bras, victorieuse de son choix en montrant sa belle poitrine et ses petites épaules, enjolivé de son sourire radieux.

Elle se leva et fit le tour du proprietaire, si on peut dire, laissant les volants plissé de sa jupe tournoyer avec elle dans ce qui ressemblait a une danse. Elle s'exibait a sa compagne comme le fait une petite fille qui veut impressioner ses amies. Puis elle tomba sur le dos.
Un saisisement inconnu s'empara d'aya, elle mit sa main a la bouche en étouffant une exclamation de terreur, elle avait peur que la petite ait fait un malaise et se soit blessé en tombant. Mais non, les james écarté en l'air, elle se caressa la petite culotte blanche qu'elle avait choisie dans l'armoire d'Aya. Celle ci eut un sourire en passant les doigts dessus tout en lui caressant la moitié supérieure de sa cuisse avant d'embrasser sa chair.

Je sais que c'est doux Kohana, ce sont mes vêtements a la base tu sais...

Avec un leger sourire, mais les paumettes toujours rouges de ses récents pleurs, la succube glissa tel un serpent sur le corps de la petite lycéenne avant de venir l'embrasser dans le cou puis de lui dévorer tendrement l'oreille. Elle s'arreta un instant pour lui souffler tendrement dans le creux de son lobe

Je suis contente que tout ca te plaise mon coeur, je me sens si bien avec toi, si... banale que j'aurais du mal a me séparer de toi quand tu voudra partir.

Apres ces douces paroles, la belle femme aux cheveux bleu lécha le bout du nez de la petite étudiante avant de l'embrasser tendrement en glissant une main dans ses cheveux, comme pour les peigner. Elle prenait grand plaisir a l'embrasser et a la caresser aussi simplement, ce rapport féminin n'avait rien de pervers, or mit le fait que la succube était nue, ses ailes étiré de plaisir et sa queue s'enroumant affectueusement le long d'une des cuisse de l'ancienne esclave, la deshabillant tres sensuellement, et que Kohana, dans sa tenue de lycéenne soumise présentait le parfait fantasme de l'écoliere. Mais dans l'esprit des deux femmes, car c'est les seuls qui compte, il s'agissait juste d'un moment de pure tendresse apres une dispute et de grosses larmes...

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 22 mercredi 15 octobre 2008, 15:58:18

Les cheveux un peu en bataille après sa chute précipitée, Kohana gardait toujours un sourire rayonnant. Elle portait les habits d'Aya ! Evidemment, elle n'y avait pas pensé lorsqu'elle avait montré sa culotte. Elle était fière d'avoir choisi un vêtement confortable et saillant, elle n'imaginait pas que la succube l'avait sûrement déjà porté.
A cette pensée, l'adolescente rougit légèrement. Ce n'était pas vraiment de la gêne, plutôt comme une sorte de fierté timide qui n'oserait pas s'exprimer librement. Elle posa le regard sur la démone qui caressait le haut de sa cuisse. Malgré le fait qu'elle était habillée, Kohana semblait toujours être inégale face à cette femme. Rien ne pourrait la rendre aussi attirante elle le savait, mais cela ne la rendait pas jalouse pour autant. Elle était, au contraire, encore plus fière d'être amie avec une telle personne.

Elle bascula en arrière et apprécia les plumes douces qui rendaient le lit moelleux sous elle, quand la succube l'enjamba et lui embrassa le cou. Elle en profita même pour lui mordiller l'oreille. Tout ces gestes étaient tendres et attentionnés, ce qui faisait que Kohana se sentait bien. Egayée par ses nouveaux habits et sa nouvelle amie, elle eut envie de jouer. Elle avait passée son enfance seule, entre les livres, puis elle avait rapidement grandit au contact de Hazel et de Don. Elle était passée à côté des jeux pour enfants, et son esprit semblait en avoir une envie pressante à l'instant.
Feignant de ne pas être consentente, elle commença à battre des bras et des jambes et à crier à pleins poumons.


"AAAAhhh ! NOOON s'il vous plaît ! Je ne veux pas ! Laissez-MOIIII !"

Mais lorsqu'elle proférait cela, un large sourire se peignait sur son visage. Elle bougea la tête en tout sens quand la démone lui souffla dans l'oreille. C'était chaud et le frisson provoqué se prépitait dans tout son corps. Sa frénésie redoubla et elle commençait même à repousser amicalement la démone.

C'est alors que la démone évoqua l'idée de séparation. Kohana n'y avait pas pensé, il est vrai, mais elle ne pouvait pas rester là indéfiniment, cela allait de soi. Mais, une fois lancée, l'adolescente ne voulait plus s'arrêter. Elle s'agrippa au cou de la succube, souleva son buste et déposa un baiser bruyant sur les lèvres de la démone.


"T'inquiètes pas ! Je t'aime moi !"

Kohana était toujours plongée dans le jeu, et même si ses paroles étaient sincères, elles ne le semblaient pas parce que l'adolescente exagérait les choses.
Soudain, prise d'une envie subite, elle se mit à couvrir la peau de la succube de milliers de petits baisers rapdie et légers qui ne laissaient pas de trace. Elle était rapide et agile, et la démone n'eut pas le temps de l'arrêter. Kohana s'attaqua à toutes les parties du corps qu'elle pouvait atteindre, même si elle devait se déplacer pour cela : visage, cou, épaules, seins, ventre, dos, hanches, cuisses, mollets, pieds... puis elle remonta, plus ou moins par le même chemin et termina sa course folle sur les lèvres de la démone.
Là, elle reprit son souffle quelques instants, puis elle entrouvrit les lèvres, la bouche toujours collée à celle d'Aya. Sa langue frôla ses dents vint "toquer" aux lèvres de la succube.

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 23 jeudi 16 octobre 2008, 11:34:17

Alors que la succube se mettait a embrasser tendrement sa compagne humaine cette derniere se mis a se débatre faussement, faussement car elle ne cherchait en aucun cas a se défaire de son étreinte en donnant de vrai coups, non, elle semblait jouer avec Aya, qui commencait a tomber dans son jeu. Avec son sourire d'ange, le démon de la luxure se mis alors a la plaquer et a la mordiller dans le cou tout en parlant d'une voix rauque et machiavélique

Tu n'as pas le choix! Tu sera la mere de mes enfants et mon futur repas... Attends une seconde, comment je vais te faire un gosse?


Aya se laissa repousser amicelement en restant dubitative sur ce qu'elle venait de dire, c'est vrai ca, elle pouvait pas avoir d'enfant, enfin en faire. Mais bon, ce n'est pas la mort, de toute facon elle ne se prenait pas au serieux. Aya fut tiré de sa reverie par un baiser de grand mere aussi bruyant qu'il était baveux, mais étrangement, cette attention, bien que purement puérile, la fit sourire de tendresse. Elle lui dit alors qu'elle l'aimait, le gelant sur place. Pourtant elle l'avait prévenue, elle lui aavait dit de ne surtout pas tomber amoureuse d'elle, qu'une succube ne savait rien faire de mieux que de briser le coeur de ceux qui s'accroche a elle... Mais c'est une adolexcente, depuis quand ca écoute les adultes a cet age?

Avant meme de pouvoir répondre, d'innombrables baisers se déposerent sur son cou, glisserent dans son épaule puis descendit vers sa poitrine avant de se loger sur son ventre. Ce n'était qu'un début, les levres de la jeune femme se firent savoir le long de la colone de la succube, puis sur ses haches, ses cuisses, ses molets avant d'achever leur course sensuelle sur son pied. Aya se mis a sourire, la petit kohana était belle comme ca, avec le pied de sa maman entre les mains et ses levres tendrement posé dessus. Mais cette immage ne dura pas, la petite, prise de droles d'envies coquines, remonta sur les levres de sa compagne qu'elle embrassa, un baiser aussi fort que les milliers de caresses qu'elle avait déposé plus tot sur son corps.
C'est alors qu'une nouvelle chose se produisit, elle sentit conte ses levres la langue toute timide de la petite fille, allons il ne fallait pas etre si timide Kohana, c'est avec un immence plaisir qu'elle libéra le champs avant de venir l'éffleurer de sa langue en douceur. La prenant tendrement dans les bras et passant ses jambes autour de ses hanches pour ne plus la quitter, la succube mis finalement fin a cet échange de salive.

Kohana, il ne faut pas que tu tombe amoureuse de moi, je sais que je suis désirable, je suis née pour ca, mais je ne veux briser ce coeur que j'ai mis tant d'acharnement a reconstruire. Et puis je dis n'importe quoi, rien ne toblife a partir, tu es ici chez toi, dans le refuge de tout les esclves devenu libre...

Tout en parlant, elle caressait sa tete d'un geste maternel et affectueux. Elle se mis soudain a rougir lorsque leurs seins se frotterent, excitant encore un peut plus la flamme de la démone.

Si... Si tu es prette a faire l'amour Kohana, tu me ferais pas de plus grand honneur que de m'accorder le privilege d'etre ta compagne, au moins pour une nuit...

Le temps avait passé, il était déja tard dans l'apres midi, les deux femmes avaient passé plus de temps qu'il n'y paraissaient dans les douches du manoir avant de venir dans cette piece où une succube entierement nue n'essayaot pas d'abuser de force d'une autre créature de chair mais lui proposait de la choisir elle pour faire l'amour, elle avait bien choisi son terme, on ne sort pas "faire l'amour" comme on sort son chien, mais quand c'est vraiment sincere, qu'il y a de la tendresse et de la passion dans les gestes.

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 24 jeudi 16 octobre 2008, 20:34:55

Sa langue pénétra à l'intérieur de l'antre, maintenant béante, de la bouche de la succube. Elle y trouva un refuge chaleureux et humide. La maîtresse de maison l'invita à danser avec elle et l'hôte s'en donna à coeur joie. Elles effectuèrent des pas de valses, quelques mouvement de rock avant de terminer par un slow langoureux. Puis la langue de Kohana fut congédiée et la demeure referma sa porte.
L'adolescente n'était en rien blessée par cette mise à la porte. Elle était au contraire toute frémissante des désirs que cette intrusion avait provoqué en elle. Les jambes de la démone s'étaient accrochées à ses hanches. Alors Kohana enserra la succube dans un énorme câlin et lui souffla dans l'oreille quelques mots.


"Je serais comblée de porter notre enfant. Mais n'espère pas que je me laisserais engrosser si c'est pour que tu me dévores après."

Puis, se méprenant, la succube lui conseilla de ne pas tomber amoureuse. Elle ne voulait pas que Kohana s'attache à elle, parce qu'elle la ferait souffrir. La démone s'était écartée quelque peu et cela refroidit l'adolescente.


"Ainsi, tu ne vois donc en moi, qu'une amoureuse transi ? Ne t'ai-je pas dit que l'amour que je te portais n'avais rien à voir avec tout cela ?"


Kohana était subitement redevenue sérieuse. Elle ne se comportait ni comme une esclave, ni comme une enfant ; mais comme l'adolescente intelligente, dont la vie se résume à un entassement de connaissances livresques, et dont la pensée à déjà parcourut un bon bout de chemin. Elle était peut-être très naïve, et peu expérimentée dans certains domaines, il y a quelque temps ; mais elle était aussi très curieuse et très cultivée pour son âge.

Cependant, Kohana retrouva vite son calme. Les douces caresses prodiguées par Aya l'auraient fait ronronner si elle était un chant. Mais elle était humaine, alors elle ne put que pencher sa tête en direction de la main de la succube, fermer les yeux et sourire. De cette façon, elle n'était concentrée sur rien d'autre que sur les doigts maternels de la succube.
Puis vint une question qe l'adolescente ne s'attendait pas à réentendre. Pourtant elle n'eut pas un effet de peur ou de surprise. Elle ouvrit simplement les yeux et plongea son regard dans les grand yeux d'Aya. Elle tendit la main, la passa derrière la tête de la succube puis avança vers elle, exerçant une légère pression sur la nuque de sa compagne. Elle l'embrassa sensuellement, avec tout le désir qu'elle ressentait et tout l'amour qu'elle pouvait lui transmettre. Puis, avant la fin de cet échange, elle ouvrit les yeux et observa la réaction de la mère de Kurumu.

Celle-ci semblait épanouie et étrangement sereine. Ses ailes étaient lâches et sa queue battait l'air avec complaisance. Alors Kohana sourit et défit son étreinte. Puis, sans un mot, elle déposa son index sur les lèvres de al succube lui donnant l'ordre de rester muette. Elle s'appuya contre sa poitrine, poussant ses épaules d'une main, retenant son dos de l'autre, elle l'allongea avec douceur.
La jeune humaine baisa le front, le nez, la bouche, le menton, le cou, la gorge, la poitrine, l'estomac, le nombril, le ventre, le pubis, et enfin, les lèvres d'Aya. Ensuite, elle s'allongea à ses côtés. Toutes deux avaient la tête tournée vers le plafond, mais leur perception était concentrée sur le corps de l'autre.
Kohana attrapa la queue de la démone et la caressa tendrement.


"Je passerai la nuit avec toi Aya. Nous avons tout notre temps. Mais au petit jour, je partirai."

L'humaine avait pris sa décision. Elle n'était pas certaine de se mettre tout de suite en route pour la Terre, mais ce qui était sûre, c'est qu'elle ne tarderait plus avant de rentrer chez elle. De plus, les cours au lycéen continuaient sans elle et il ne fallait pas qu'elle prenne trop de retard.

Une atmosphère lourde enveloppa les deux femmes. Mais cet air était pourtant embaumé de framboise et respirait le désir et l'affection. La nuit les entourait peu à peu, et accentuait le contraste avec la lumière de la chambre. La mère et la fille, qui n'étaient pas de la même famille, était là, simplement étendue sur un lit de plume, avec pour seul lien de contact : la queue de la succube.

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 25 vendredi 17 octobre 2008, 00:57:39

Aya eut comme un coup de froid, elle l'avait donc fait passé pour une fille folle d'elle qui ne pouvait rien faire d'autre que penser a elle. Bléssé, Kohana était bléssé de se voir consiféré comme tel. Aya s'en mordit aussitot les doigts, mais ce qu'elle prédissé était arrivé, elle l'avait bléssé parce que cette petite l'aimait. C'était toujours comme ca avec Aya de toute maniere, chaque fois qu'elle s'attachait a une femme, ou un homme, elle ne faisait que la blesser en parlant de travers.

Je... pardon, tu vois, je t'ai encore bléssé, je le savais que je n'aurais rien due te dire. Je suis vraiment une femme méprisable. Ke me méprend sur tout tes dires... Pardonne moi Kohana, je fais une femme pitoyable....


Visiblement, le désir d'Aya était la cause de ses bourdes, la premiere lorsqu'elle lui griffa amoureusement le dos de plaisir, la seconde lorsqu'elle parla de faire l'amour et la troisieme quand elle réitéra la proposition, agrémenté d'un tres grand compliment. Mais ce n'est que la premiere partie que la jeune fille avait comprit. Elle traca une ligne sur le corps de la succube avec ses levres, passant par le front, le nez, la bouche, le nombril et enfin le bijoux le plus précieux d'une femme. Puis elle se coucha pres d'elle, sur une de ses ailes en faisant gémir tendrement la succube, elle était un peut maso et sentir une pression excéssive sur son elle l'excitait quelque peut, étrange?  C'est ce qu'elle est non? la queue de la succube se fit tendrement caresser par la jeune fille, sans que l'appeindice ne lui oppose une résistance quelconque. Apres un long silence, elle lui dit que ce soir, elle serait a elle, mais apres elle partirait.

Je suis triste, je voulais passer plus de temps avec une personne aussi géniale que toi Kohana, tu es la premiere a me mettre nue, a me résister et a me rendre folle d'un désir que tu me refusera toujours. Je crois que je tombe amoureuse de toi...

Elle ouvrait son coeur a la petite humaine qui était a coté d'elle, mais malheureusement, les caresses de l'humaine ne faisait rien a la succube, ce membre de cuir était une arme, en aucun cas, il était initialement consu pour le plaisir de chair, la perversion d'Aya était au fait de son actualisation, mais ce n'était pas une partie sensible, elle était en cuir apres tout.

Ko...kohana...est ce que je peux te demander un service... meme si ca ne dure que pour une nuit... pou... pourrais tu m'aimer, comme la femme de tes reves... ju...juste cette nuit, j'ai peur de ne jamais te revoir apres.... j'aimerais que tu me fasse l'amour comme si j'étais la femme de ta vie... je t'en pris, donne moi ton coeur une nuit, un instant. Aime moi s'il te plais.


Cette déclaration décousu et timide ne lui ressemblait pas, mais elle était sincere, elle ne touchait pas l'humaine, laissant sa maitresse prendre ses marques, se laisser porter par son envie. Aya serait sienne ce soir, elle le lui avait clairement dit, elle voulait lui prouvait qu'elle l'aimait plus que comme une mere ou une amie. C'était étrange, elle était en train de tomber amoureuse, mais d'un amour encore une fois impossiple...

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 26 vendredi 17 octobre 2008, 11:12:08

Kohana jouait avec la queue de la succube : elle déplaçait ses mains de bas en haut, comme si elle essayait d'en extraire une quelconque matière. Ses caresses ne donnaient aucun plaisir à Aya, mais l'adolescente ne pouvait pas en avoir conscience. Elle écouta la démone parler, sans la regarder, toujours la queue entre les mains.
Puis, elle se tourna sur le flanc et se colla à la succube. Son poids s'étant déplacé, son corps tirait encore plus sur l'aile sur laquelle était couchée Kohana, mais celle-ci ne le soupçonnait pas. Elle posa une main sur le ventre de la démone et sa tête sur le haut de la poitrine. Elle pouvait ainsi écouter son coeur battre, assez rapidement, empli de désir. La requête de la démone était sincère et semblait importante pour celle-ci, pourtant Kohana n'y répondit pas entièrement.


"Je t'aimerais Aya... je t'aimerais toute la nuit... et sûrement plus encore... Mais tu ne seras jamais la femme de mes rêves."

Elle s'arrêta quelques instants, laissant à Aya le temps d'assimiler ses paroles. Elle savait que cela la blesserait, elle qui ne désirait qu'être aimée de la plus pure façon qu'il soit. Pourtant, Kohana en était incapable. Ce qu'elle demandait était impossible. Elle ne pouvait transférer l'amour qu'elle portait à Hazel sur cette femme allongée à côté d'elle, cette femme particulièrement désirable et qui ne demandait que d'être aimée pour ce qu'elle était intérieurement, et non pour son physique ravageur.

"Je te ferais l'amour... Je te ferais l'amour comme personne ne te l'a jamais fait... parce que moi, je t'aimerais... Je t'aimerais pour ce que tu es... et c'est à toi et à toi seule que je ferais l'amour... Tu n'es peut-être pas la femme de mes rêves, mais ça ne m'empêche pas de t'aimer profondément... et c'est avec ses sentiments réels et sincères que je te ferais l'amour cette nuit."

Achevant son petit discours, Kohana s'appuya encore un peu plus sur l'aile, mais brièvement, pour venir se placer au-dessus de la succube. Elle avait maintenant chacune ses mains posées sur une aile, ce qui entravait la démone et devait être douloureux pour elle. Mais, d'un autre côté, le désir devait bientôt s'emparé d'elle.
L'humaine téta les seins d'Aya, faisant se durcirent les tétons encore plus qu'ils n'y étaient. Elle n'hésitait pas chatouiller ces bouts de chair avec sa langue. Tandis qu'elle suçait, aspirait, léchait, Kohana reprit la queue de la succube dans sa main.
Elle arrêtait de torturer de plaisir la poitrine de la démone puis descendit doucement vers l'intimité d'Aya. Se faisant, elle laissait glisser la main qui tenait l'appendice de cuir sur le torse de la succube. La pointe de la queue était tranchante et griffa légèrement le ventre d'Aya sur toute la longueur.

Quand elle se trouva entre les jambes de la démone, Kohana s'installa confortablement, allongée sur le ventre et, de sa main libre, toucha les quelques arbres restés plantés dans cette forêt [perso, j'en ai un peu marre que tout le monde complètement rasé dans ce forum :p j'espère que ça te dérange pas d'avoir un petit ticket de métro... ou autre]. Elle s'empara de la cîme de l'un d'entre eux et tira dessus comme si elle voulait le déraciner. Cela souleva une des lèvres de la succube et laissa entrevoir un liquide visqueux un peu coagulé.
L'adolescente sourit et rapprocha son autre main, celle qui tenait l'arme sortie du postérieur de la succube. Le bout ressemblait à un as de pique et pouvait s'introduire facilement à l'intérieur d'une femme. Kohana lui fit faire le tour de la perle humide d'Aya. Elle n'appuya pas du tout et ne fit que frôler la peau, ainsi, la queue ne devenait pas blessante. Ensuite, elle approcha l'appendice de la gouttière qui laissait s'échapper le liquide recueillit après la pluie de caresses.

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 27 vendredi 17 octobre 2008, 13:49:08

Ne pas etre la femme de sa vie? Elle le savait qu'elle ne serait pas cette chimere, en fait Aya savait que cette chimere n'existe que dans les contes pour enfants, il n'y a pas d'etre aussi parfait que le désire l'esprit dans ce monde. Mais certaines personnes s'en rapprochent plus que d'autres. Etant succube, elle était tres proche de l'idéeal féminin du grand commun et ses milliers de partenaires au cours des siecles peuvent témoigner en sa faveur.

Ce n'est pas si grave, je ne te demandais pas tant tu sais...


Elle repris la parole en écrasant davantage les ailes de la pauvre succube au coeur d'ange, ca faisait un mal de chien, mais notre jeune femme ne montrait pas sa souffrance, il se pourrait que Kohana reprenne la mouche en voyant de la tristesse et de la douleur sur le visage de la belle aux cheveux bleu. C'est donc un visage tendre qui accueillit les paroles douces et matures de sa femme d'un soir.

Je sais tout ca Kohana, ton coeur est pur et tu es douce. Je sais que tu m'aimera sincerement et que tu m'aimera plus qu'une nuit. En fait, tu es la seconde a me faire cet effet la... La premiere avait pas plus de 11 ans a l'époque, maintenant je ne sais pas ce qu'elle fait ni où elle est, ni si elle est encore en vie....


Elle repensait au passé, a l'amour et a la désolation d'un abandon toujours incomprit aux jours d'aujourd'hui. C'est alors que la jeune femme se positiona d'une maniere parfaitement dominante mais extremement douloureuse pour la pauvre succube dont les ailes bougeaient faiblement de douleur sur les pointes. Alors la petite fille descendit, lentement, presque sadiquement pour venir enfin eter le sein de la succube, comme un bébé, mais un bébé vachement pervers! Elle tourna autour de sa chair en donnant de petits coups de langues qui étaient un franc suplice pour la femme a la poitrine si sensible. Aya ne pouvait rien faire contre, si en fait. Elle gémissait et riait en se débatant faussement devant les attaques dévastatrices d'envie de la petite humaine.

Mettant fin a ce redoutable supplice, la belle kohana descendit la longue courbe qui menerait ses levres aux intimes de la succube. Sa main la griffa, non, ce n'était pas sa main, mais sa queue. Etait elle au courant que cette chose était d'un danger énorme? Les "griffures" de la pointe tranchante et acéré de l'apeindice d'Aya lui ouvrirent sans mal la peau, comme un laser chirurgical. Mettant une longue trainée de sang et forcant la femme a se mordre un doigt pour ne pas crier sa douleur. Cette nuit c'était sa chose, elle ne devait donc rien faire contre Kohana, si elle voulait la blesser elle pourait, de toute facon il est tres rare que son corps garde une cicatrice au dela d'une semaine...

C'est alors que ses levres capturerent la toison rectiligne et bien entretenue de fin poils bleu (au fait, je l'avais mis dans les premiers posts quand nous étions a la douche, faut lire les post namého! et non ca ne me gene pas du tout, meme au contraire, je trouve ca mignon de faire mumuse avec ces petits poils (au passage j'adore ta description de ce moment, meerveilleux, je me sent tout nul avec mes méthaphores)) pour tirer dessus, c'est presque aussi douloureux que de se faire arrcher une touche de cheveux, mais visiblement la manoeuvre de la jeune fille était murement réfléchié. C'est alors qu'elle fit ce qu'il ne fallait pas faire. Bien sur, a premiere vue, uste errafler du bour de la queue ca ne ferait qu'une petite marque rougis comme si il s'agissait d'un ongle. Le seul hic de l'histoire c'est que la nuance entre ongle et scalpel est énorme. Les simples palpitations intimes a cause de l'excitation firent saigner la jeune femme, et pas qu'un peut, ses muqueuses ravagé par cet apeindice qui ne servait pas a ca, elle écarta violement la main de la jeune fille, les larmes aux yeux.

Fais...fais... pas comme ca... tu fais mal... tres mal... surtout ne suce pas mon sang!...


La succube était serieuse, si elle sucait son sang, ce qu'elle appelait Esclave deviendrait synonyme du vol d'une palombe, la soumission du sang de ces etres était si grande que si on ne fait pas attention, un simple baiser peut signer la mort de toute une conscience. Surtout que ce sang la n'était pas seul, avec ce mellange détonant qui sait quel serait les ravages que subirait la petite humaine??

C'est alors que la succube croisa sa main avec celle de Kohana, laissant ses doigts s'emmeler a ceux de sa compagne avant de replier sa queue sur elle meme et de la torsader, elle avait doublé de volume et était maintenant innofensive, enfin elle ne l'empalerais pas de maniere littérale. C'ést ca de pris.

C'est comme ca que tu transforme une arme de mort en arme de plaisir, ne touche jamais la pique, c'est tres dangereux.


le sang avait coagulé sur son ventre et sa blessure n'était déja qu'un souvenir, mais c'était bien plus difficile pour son intimité qui subissait des coups dur pendant la gérison. Lentement, Aya fit entrer son apeindice en elle et avec une voix douce, alors que le sang glissait en perlette sur le lit balnc, la belle succube chuchota d'une voix suave mais parfaitement audible

Sois douce avec moi ma reine.

Kohana

Humain(e)

Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 28 vendredi 17 octobre 2008, 16:29:39

Kohana s'écarta rapidement lorsqu'elle vit du sang couler. Elle avait à peine effleurer la perle de la succube, mais cela avait suffit à faire jaillir du sang. La jeune fille posait sa main dessus pour l'empêcher de couler, mais la démone la rappela à l'ordre. Il ne fallait surtout pas qu'elle suce le sang, que sa salive entre en contact avec... c'était si tentant pourtant d'éponger tout ce liquide avec la bouche.
Mais Kohana obéit et s'écarta. Alors la succube lui conseilla de ne jamais toucher la pointe de sa queue, que cela pouvait être dangeureux. L'adolescente, qui ne connaissait rien aux succubes, avait du mal à imaginer comment, mais elle préféra écouter sa "maman".

C'est alors que Kohana vit la queue se transformer et devenir tresse. Elle était à présent inoffensive et... elle entra en Aya. L'adolescente assista en spectatrice crédule à ce petit accomplissement. La voix de la succube devint alors encore plus irrésistible et enseigna à Kohana... la douceur.
Le sang continuait de couler de la dernière blessure mais il n'était déjà plus très abondant. Des traces rouges commençaient à s'étendre sur les draps, formant de joyeux motifs : un coeur prenait place sous les fesses de la démone. Kohana ne put s'empêcher d'y déposer un baiser. Heureusement, le sang avait déjà imprégné le tissu et ne se déposa pas sur ses lèvres. Pourtant, à cet infime petit acte suffit à redonner du désir à l'adolescente, qui, s'étant sentie coupable de la douleur de la succube, avait légèrement perdue ses envies quelques secondes plus tôt.

Maintenant, Kohana se sentait habitée d'une flamme tremblotante qui lui léchait l'intérieur du corps et ne semblait pas prête de vouloir s'éteindre. Elle eut envie de partager quelque chose avec la démone. Alors elle se leva du lit et partit fouiller la chambre. Avant cela, elle déposa quelques baisers sur le ventre d'Aya, prenant soin d'éviter la blessure déjà coagulée. Puis, donnant une petite tape affectueuse sur le sein gauche de la succube elle se leva, décidée.
Elle arpenta la pièce puis, finit par trouver quelque chose qui semblait convenir. Elle s'en saisit et le cacha dans son dos.

Kohana revint vers la succube, un sourire malicieux dessiné sur le visage. Elle s'assit à califourchon au niveau du nombril de la démone et écarta ses lèvres en un large sourire, presque effrayant. Puis doucement, elle tendit une main vers la queue plongée en Aya et l'en retira, doucement, millimètres par millimètres, rebroussant parfois chemin par inadvertance, puis la fit sortir complètement. Elle la plongea denouveau, avant de la ressortir.
Puis de plonger profondément... autre chose. Cette chose était plus dure, plus ronde, comme la sucette d'un homme qui aurait rétrécit en diamètre, une longue sucette toute sucrée. Kohana recula et laissa la démone apercevoir l'objet : un bâton de majorette que la jeune fille avait trouvé parmi les habits cosplay de la succube. Tenant le bâton d'une main, elle commença à lui donner des mouvements, d'avant en arrière, évidemment, mais aussi circulaires. De son autre main, elle se caressa la fente. Puis, avant qu'Aya est eu le temps de protester, elle introduisit en elle l'autre extrêmité du bâton.

L'adolescente ne pouvait venir se placer au-dessus de la succube car le bâton était rigide et il aurait déchiré ses entrailles. Alors elle s'allongea entre les jambes de la démone et saisit les mollets de celle-ci de ses mains. Ainsi positionnée, elle put effectuer des mouvements de va et vient avec tout son corps, enfonçant et retirant à moitié le bâton de majorette. Elle se tirait grâce à la force de ses bras, et s'approchait de la succube jusqu'à ce que leurs intimités se frôlent ; puis elle se propulsait en arrière avec l'aide de ses pieds, posés à plats au niveau des côtes de la démone.
Le plaisir commençait à l'envahir et sa flamme brûlait ardemment. Cependant, elle se sentait trop loin d'Aya. Alors, après quelques minutes, elle se retira du bâton et revint se placer au-dessus de sa partenaire pour l'embrasser amoureusement. Une de ses mains abandonnée prêt du bâton continuait à faire plaisir à la succube.
« Modifié: vendredi 17 octobre 2008, 20:19:36 par Kohana »

Namy Aya

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Re : retour à la civilisation [pv : Aya]

Réponse 29 samedi 18 octobre 2008, 14:05:44

(désolé, je fais pas grand chose, mais j'espere que ca t'inspirera, sinon hésite pas je devrais pouvoir cherger un peut plus)

La queue ainsi tréssé par les soins de la succube devenait un formidable sex toy, il n'était enfoncé en elle que de quelques petits centimetres et appellait la petite Kohana a venir lui donner une impulsion de plaisir, mais contrairement aux attentes si grandes et a l'excitation de se sentir totalement soumise a ce petit bout de choux tout en tendresse et douceur, la jeune fille ne s'amusa pas. Aya avait elle perdu de son charme a cause de ses legers segnements? Et le pire c'est qu'elle vit la bouche pulpeuse de l'humaine descendre entre ses fesses, là où son sang était encore. Il avait la propriété d'un aphrodisiaque, mais a consomer avec modération extreme, presque personne ne supporte ce genre de shoot et devient dans l'instant jouet et esclave de la porteuse de ce sang. Enfin si il est mélé a la salive et au souffle de la succube, si c'est avec ses secretions, elle risque de devenir un sex toy ambulant en manque perpetuel...

Fort heureusement, elle eut juste une petite piqure d'envie. Lentement et tout aussi sensuellement que le disait l'esprit embrumé de désir, la jeune fille se redressa en embrassant le corps cour de petites traces de sang, elle était tres vieille et ses plaies disparurent presque sous les yeux de la petite humaine alors qu'elle lui giflait avec amusement le sein de la démone. Cette derniere se cambra et la regarda partir incrédule. Kohana était toute habillé et quittait le lit, allait elle... L'abandonner? Cette simple supposition la mis dans un état de tristesse profond et sans nom commun. Mais le retour de la jeune fille, les bras dans le dos et un sourire lumineux aux levres lui fit perler des larmes de joies, elle restait, elle était serieuse dans ses paroles... Que de joie!

C'est alors qu'elle s'instala en souriant sur les abdominaux de la succube en lui souraiant, toujours les mains dans le dos. Aya commencait a se demander ce qu'elle voulait faire dans cette position, la réponse fut rapide, une main se glissa sur sa tresse et commenca a la faire reculer en douceur, procurant de doux soupirs de plaisirs a la jeune femme qui la sentait parfois revenir en elle avec douceur. Puis elle la sortit entierement avant de la replonger et de la ressortir en jouant. Et soudon elle fut remplacer par un objet froid, circulaire et dont le bout était une sorte de bole parfaite. Qu'est ce que? Un baton de majorette! Mais où vas t elle chercher ca??? Enfin... C'était pas si desagréable en fin de compte, elle pouvait user de l'artifice qu'elle désirait apres tout, tant qu'elle y mettait du coeur a l'ouvrage. C'est alors que Kohana se leva legerement en donnant des mouvements parfaits, visiblement dans son passé d'esclave on lui avait apris a jouer avec des objets sexuels. Pas si grave, elle usait de son malheur passé pour son bonhuer et Aya en soupirait de plaisir, laissant meme quelques gémissements percer entre ses levres alors que cet objet inhumain entrait et ressortait sans mal de son temple des plaisirs. Elle vint ensuite la caresser avec douceur. Mais c'était trop, trop bon pour elle, elle ne pouvait plus s'en empecher, de petits gémissements de plaisir sortirent de ses levres a chaque mouvement de la belle Kohana.

C'est alors qu'elle s'empala sur l'autre extrémité de l'outil, en soupirant de plaisir et avec un visage radieux de son idée. Aya avait les yeux écarquillé, qui l'aurait cru, cette petite fille était une si grande perverse? C'est a ce demandé qui est la succube et qui est la frele humaine dans ce duo.

Ahh attention aux habits mon coeur... Ne les tache pas...


Mais a part ces paroles, la succube était totalement soumise, les jambes écarté, encéré par les cuisses et les pieds de la belle brune, Aya ne pouvait bouger, elle ne faisait que faire des mouvement d'oscilation avec son bassin pour pouvoir donner le plus de plaisir possible a sa compagne qui était décidément pleine de surprise.
Mais elle se lassa, la présence des levres de Kohana contre les siennes manqua peu a peu, Aya se senti vide, elle s'apréta a retirer l'objet de son intimité quand elle vit que sa partenaire avait la meme idée qu'elle et qu'elle s'était empréssé de se retirer l'objet pour sceler les levres féminines l'une contre l'autre dans un tendre baiser alors qu'une de ses mains continuait son acte pervers sur le bas ventre du démon. Quel plaisir de se sentir ainsi en confiance, contiante au point de se laisser parfaitement dominer, sans échafauder un plan pour dominer sa partenaire, juste prendre du plaisir comme il venait.

La succube n'est pas  une créature passive de nature, au contraire, ce sont des dominatrices née. C'est donc en se rappelant sa place que notre créature aux yeux d'aciers changea les roles, elle coucha Kohana sur le dos en la plaquant tendrement avant de se retirer l'objet circulaire dont son intimité était l'hote. Lentement, elle descendit sur son intimité avant de passes le bout du baton sur ses levres puis de le déposer entre ses deux seins. Aya n'avait nul besoin de cet artifice, mais de préliminaires! Elle écarta ses levres avec douceur avant de se jeter comme une affamé sur un morceau de viande sur son objectif. Elle dévora son intimité avec plaisir en ne prenant pas de temps pour respirer entre chaque gorgé de nectar, elle s'empifrait de plaisir dans ce geste si bénin  et si simple qui était le plus grand moment d'une partie de jambe en l'air, enfin selon elle. Lentement, et perfidement, elle poussa deux de ses doigts dans son anus pour pouvoir commencer a la préparer et a tater le terrain. Kurumu avait laissé sa marque, elle lui avait rendue la pureté de son antre interdite, tout comme les douceurs de son intimité qui glissait sous les coups de langues assoifé d'Aya...


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