Une rencontre plutôt... Douloureuse ! [PV : Vivi]

« Grouaaaaaar »
Faisait son ventre à toutes les deux secondes. C’était un bruit agaçant, vraiment, la propriétaire du corps avait beau croiser ses bras contre son ventre pour tenter de camoufler le bruit et même, de le faire cesser, rien ni faisait; il redoublait d’ardeur comme s’il faisait ça que pour l’embêté. Marchant un peu en pingouin, le chaton grimaçait, se tortillant de douleur tellement son ventre faisait des siennes. Elle qui avait dans son petit balluchon, un pot de confiture aux fraises, elle se contentait de ne pas y toucher; c’est trop bon la confiture aux fraises, la manger comme ça, pour rien, ça ce fait pas! Mais d’un autre côté… Ses entrailles lui faisaient mal, vraiment! Chaque fois que ses mains se déposaient contre la peau de son petit bedon tout beau, tout musclé, il se resserrait fortement et se tordait, comme si on venait de lui donner un coup de poing ou plutôt; de batte de baseball! Laissant sortir quelques plaintes d’entre ses lèvres, la jeune Terranide marchait lentement dans les rues d’une place assez enjouée et baignée dans les rayons d’un soleil tantôt au maximum de sa lumière, maintenant prêt à tirer sa révérence dans quelques heures. Une tout ou plus.

S’approchant lentement, les bras toujours enroulés autour de son ventre, quelques kiosques de choses en tout genre ornait les trottoirs de la place publique. Un était des légumes, l’autre des fruits, l’autre des vêtements, l’autre des bijoux et un autre, de simples babioles inutiles. Il y en avait beaucoup d’autres bien sûr, mais ce fut les seuls qui attira l’attention du petit chaton affamé. Ses yeux, quand à eux, restaient accrochés au kiosque de fruits. Son corps, instinctivement se rapprocha, sa queue touffue fouettant l’air. La salive commençait déjà à glisser de sa bouche pour venir humidifier les lèvres de Syrendel, ce les humectants par la suite.

*Faiiiiim…. Faiiiiim…*

Vraiment, Sysy avait l’air d’un petit zombi ambulant à autant penser qu’à la nourriture, comme eux pensent qu’aux cerveaux. Subitement, ses yeux furent attirés par une couleur rougeâtre, vraiment éclatante et ensuite, sur le fruit qui avait cette couleur; une grosse pomme bien mûre. Se retenant de fléchir devant cette trop grande envie de se laisser tomber et pleurer tellement elle avait faim, Rendel commença à regarder autour d’elle, et, lorsqu’elle sentie que c’était bon, elle subtilisa la pomme rouge, la glissant sous son chandail en commençant à courir à toute allure. L’objet subtilisé était posé sous sa poitrine, retenue par ses bras croisés. C’était assez bizarre… Mais bon, de toute façon, si la Terranide s’arrêtait à tous les regards croche que le monde lui portait, elle n’avancerait pas gros gros. Ne regardant pas ou elle allait vraiment, Syrendel s’engouffra ici et là, courrant dans une ruelle ou elle attendait de pouvoir trouver le fond, histoire de déguster son repas. Jetant un bref regard par-dessus son épaule pour voir si on la suivait, elle percuta et de pleins fouets un homme se trouvant sur son chemin.

« PAF!! »
« Aieee… »

Tombant sur le dos sous le choc, la petite chatte laissa des gémissements de douleurs sortir de ses lèvres, sa pomme tombée près de sa tête. 

Le soleil (Sol en latin, Helios ou Ήλιος en grec) est l'étoile centrale du système solaire, notre système planétaire. Il est composé à 75% d'hydrogène et 25% d'hélium[2]. Autour de lui gravitent la Terre, 7 autres planètes, 3 planètes naines, des astéroïdes, des météorites, des comètes et de la poussière. Le Soleil représente à lui seul 99,86 % de la masse du système solaire ainsi constitué. Sauf que sur Terra, il y avait un peu moins de planètes sur le système solaire. Bon bref quoiqu'il en soit, il faisait jour ! Et cette journée s'annonçait belle et chaleureuse ! Sauf pour notre démon ! En effet, comment un démon pourrait espérer apprécier le soleil ? Il n'en avait pas encore l'habitude, même si les rayons avaient un effet des plus plaisants. Et que pouvait bien faire notre démon en milieu d'une si magnifique journée qui s'annonçait si bien ? Et bien il se baladait sur la place publique, dans laquelle malheureusement il y avait pas mal de monde. Il s'était habitue depuis peu aux deux pouvoirs que la nature lui avait laissé !

Il avait les ailes qui arrivaient a apparaitre et a disparaitre sans détruire l'organisme du bonhomme et son pénis, que sa volonté pouvait allonger ou rétrécir et même démultiplier selon sa volonté comme les tentacules, il aurait préféré des pouvoirs plus puissants mais il fera avec. Il réussit aussi a obtenir un peu d'argent d'une personne qui préféra sacrifier son portefeuille plutôt que sa virginité ! les gens le regardaient, peut être a cause de la dague plante dans son fourreau qui était a sa ceinture. Le regard des autres étaient énervant ! Il était très concentré sur les marchands ambulant qui tentaient tant bien que mal de vendre leurs ... objets. Il fut coupe en pleine marche lorsqu'une gamine le bouscula ! Il la regarda, de haut.

Excuse-toi.... Et je t'achèterai a manger. Il remarqua les oreilles de la chatte. Hmmm tu as un maitre ? On lui avait explique que les trucs appelles Terranide avait fonction d'esclaves dans ce monde, idée qu'il aimait bien, il en avait marre de ne pouvoir dominer rien et personne... Mais il valait mieux l'amadouer, comme en enfer, certaines choses restent inchangées, il se sentait bien la !

Frottant un peu le derrière de sa tête après avoir légèrement redressé son dos, la petite chatte grimaçait de douleur; l’homme qu’elle avait bousculé était aussi dur qu’un mur de brique, bon sang! Même que, un mur de brique n’aurait pas fait plus mal. Ouvrant les yeux après les avoir fermé sous le contact un peu forcé qu’il y avait eu, la Terranide releva un peu son menton en plissant les yeux pour apercevoir son soi-disant mur de brique, aveuglé par le soleil de plomb. À première vue, il  n’avait pas l’air si méchant que ça ou si rouge que ça!(Petite blague puisqu’un mur de brique c’est rouge… haha… -_-) Mais en plissant un peu ses yeux pour mieux voir qui se dressait fièrement devant elle et la regardait de haut, elle pu constater par quelques détails qu’il n’avait pas l’air aussi pacifique. Une dague à la ceinture, les traits durs, le corps aussi musclé qu’un combattant dans les films Américain; oh non, pourquoi avait-elle du bousculer une personne aussi imposante? Sans vraiment paraître apeurée par la stature de son interlocuteur, Syrendel se remit sur pied d’un bond, replaçant son chandail qui lui servait de robe en tapant sur ses fesses pour retirer un peu de poussière.

« Haaaan, juste ça? Ben m’excuse! Alors, j’aimeraiis hmmm…! » Prenant un petit air pensif, son index vint se déposer sur ses lèvres, oubliant même sa pomme aussi durement acquis, sur le sol. « Des fraises! »

C’était aussi facile de se faire donner quelque chose sous la dent? Voyons, des excuses, c’était tellement simple à balancer et de l’argent, c’était tellement dur d’en ramasser. Enfin bref, Sysy n’allait tout de même pas commencer à se plaindre de la gentillesse de l’homme qu’elle avait bousculée, bien que… Même si elle ne voulait l’avouer; il faisait assez peur… Surtout le petit machin brillant, à sa ceinture, sa, ouf, non, sa n’apportait pas confiance mais pas du tout! Déposant ses poings sur ses hanches, Syrendel gonfla un peu les joues, tentent de prendre un air ‘’hautain’’, copiant presque celui de Vitaly.

« Maître? J’en aie pas besoin, je suis libre! » Le ton fière et le menton un peu plus relevé pour donner plus d’assurance à ses paroles, le petit chaton ne pouvait tout de même pas savoir qu’une Terranide sans maître, c’était dangereux! Non pas pour les personnes l’entourant, mais pour elle. D’un ton frôlant presque l’impatience, elle enchaîna. « M’alors… C’est fraises…? » 

Le mur de brique érigé face a elle se tenait droit, sans réel sourire et avec un air faussement sympathique. Le soleil tapait dans sa nuque cette sensation chaude et douce lui était aussi un peu déplaisante ! Mais il n'allait pas trop s'attarder la dessus, s'il devait s'énerver pour chaque chose sur cette terre, il ne serait plus un mur de brique, mais le mur des lamentations (marrant ça aussi -_-). La petite chatte avait l'air aussi clocharde que mignonne. Une idée naissait dans l'esprit de Vitaly, une idée douce, et dangereuse ! Nan pas une idée, tordue, mais une idée génialissime ! Une idée comme on en a si souvent vu en enfer qu'en ce moment il était fier ! Il regardait la petite chose au sol faible, renflammant de la nourriture, s'excusant d'être entrée en lui. Elle était toute petite, jeune et faible devant lui.

Bien

Il lui prit la main, une fois la chatonne debout pour l'emmener avec elle chez un primeur, tous pleins de fruits les plus appétissants les uns des autres. Même Vitaly avait envie de ces fruits qui reflétaient la bonne santé de la terre aux alentours ! Il sortit de sa poche un sac de pièce d'or et échangea l'argent contre des fraises, lui par contre prit une pomme, son ventre criait famine et le faire taire (car crier ça fait du bruit) était une bonne idée. Il lui tendis le petit paquet de fraise et croqua dans la pomme. Elle n'avait pas de maitre, l'idée devenait très intéressante.

Tu es libre ? Mais sans moi tu n'aurais pas a manger en moment même. Imagine aussi, tu aurais pu te faire "violer" (certains mots avaient du mal a exister dans sa bouche) Je te propose donc une sorte de marché : Je m'occupe de te nourrir, et tu restes avec moi. Tu ne seras pas mon esclave, juste un compagnon de voyage....

Rappelons quand même le but de Vitaly : Devenir le maitre du monde sur terre. Et aussi, dans une certaine réalité(ça veut rien dire je crois) il avait envie de ... CENSURED avec son interlocutrice, disons qu'il ne s'était jamais fait de créatures ou même de fille aussi jeune.

Dégonflant finalement les joues, sa main se laissa subtilisée par celle de l’homme, s’y blottissant même sans gêne tout en pressant ses doigts contre sa peau. C’était mignon si on en oubliait la rencontre; on pourrait presque croire un père et un enfant tellement la différence d’âge était grande, oonnh! Ses pieds nus frôlaient les pavés contre lesquels il faisait bon de marché. Sous cette chaleur intense, c’était tout de même bien de pouvoir se rafraîchir, ne serait-ce qu’une petite parcelle de peau inutile. Se donnant quelques poussées à l’aide de ses talons, la Terranide gambadait tout en battant l’air en répétant le mouvement d’une balançoire avec sa main et celle de Vitaly, en avant, en arrière, en avant, en arrière. Vraiment, même si son ventre criait famine, le simple fait qu’elle allait avoir quelque chose de nourrissant et bourrant sous la langue lui redonnait le sourire et la joie de vivre! Enfin arrivé au kiosque du paradis des fruits, comme ce plaisait la petite chatte à l’appeler, sa main relâcha celle de son interlocuteur, attendant avec impatience de pouvoir engloutir les si bonnes fraises! Vraiment, Syrendel était une maniaque à ce fruit. Confiture au fraise, fraises sans rien, fraise avec chocolat, fraise avec du fromage, fraise avec TOUT! À cette simple pensée de buffet, son ventre émit un « Grouaaaaaaar », criant famine à la vue de toute cette nourriture. Plus vite, aller, encore, plus vite! Elle avait faim la pauvre! Mais, il ne fallait pas qu’elle lui dise ça, bien que… Ce n’était pas de la faute de son ‘’sauveur’’ mais plutôt celle du marchand. Donc, Syren le foudroya du regard, prenant un air hautain.

« Nan mais ça va oui? Arrête de faire joujou avec tes piè-pièces et prend sa commande, viiite! »

Fière de son coup des plus enfantin, le petit chaton subtilisa rapidement le sac de fraise tendu vers elle, le serrant comme on serre un ourson. Sa queue fouettait l’air rapidement, prouvant le sentiment heureux qui consumait ses veines. Ouvrant le sac après avoir fait quelques pas plus loin, pour ne pas rester devant ce vendeur de fruits aussi gros, la petite chatte prit une fraise, la croquant goulûment en l’avalant avec ce même adjectif. Continuant de bourrer ses joues du petit fruit, sa tête se releva un peu, portant son regard sur l’homme en face d’elle. Puis, parlant la bouche pleine, elle continua ;

«  Viol’ch’é ? Ben voy’ch’ons, sa existe pas des vi’ch’oleurs! S’juste dans les fil’ch’m »
(Le ‘Ch’ c’est pour donner plus de difficulté à comprendre puisqu’elle parle la bouche pleine xD)

Avalant avec difficulté la très grosse bouchée qu’elle avait prit, Syrendel poussa un long soupire d’aise; rassasiée.

« Mhh… Compagnon de voyage? Mhh…. C’est d’accord! Mais, ça veut dire que je pourrais avoir autant de fraises que je voudrai, ça? Car si oui, alors je te suis! Si nan, ben… C’est ça là… » 

La petite lui donnait des ordres, il détestait tellement ça pourtant ! Mais il comprenait comment procéder pour avoir les faveurs de pauvres créatures innocentes. Au pire la violence existait ! Quoiqu'il en soit notre Vivi trouvait ces gestes fait par la femelle marrants. En effet la chose la.. le truc.. comment on appelle ça... ah oui ! Le tenage de main ? Quand elle agitait en l'air la main de Vitaly avec la sienne, comme s'il était son père... Vitaly me dit rien de rien pour le moment. Une fois arrive devant le marchant, il lui acheta ses fraises. La petite avait une énergie que le démon pensait convertible dans autre chose. A la réponse sur les viols, il répondit avec une vitesse louche pour un adulte, négligeable pour une gosse.

Pourtant cela existe bel et bien....

Tandis que la chaleur battait son pleins, Vitaly remarqua la quantité incroyable de chose que la petite se mit dans la bouche ! Et un esprit aussi tordu que le siens ne voyait rien de sain la ! Au contraire ! En plus si on connait ses tendances necrophile, il voyait les morceaux de fraises et le jus autour de la bouche comme du sang ! Oui tout ceci était bien sombre mais on parle d'un démon la ! Pas du père noël ! Elle accepta d'être la compagne de voyage de Vitaly. Ce dernier eut un petit sourire. Et répondit d'un air naturel.

Tres bien... tu en auras autant que tu veux... en échange je ne te demanderai qu'une chose mais qu'on verra plus tard.

Il la regarda, tendit sa main vers la direction de la furry et l'ouvrit grand.

Allez viens.... tu veux aller quelque part en particulier ?

Plissant un instant les yeux à la réponse de l’homme, Syrendel haussa les épaules; dans sa tête, c’était clair, le viole c’était juste dans les films pour donner un peu plus de pouvoir aux méchants qui finiront en tôle! Il ne fallait pas lui en demander trop à la fillette, il fallait quand même prendre en compte et son âge, et son imagination débordante, elle qui, hier encore, rêvait d’oursons gambadant dans les champs. Enfin, essuyant un peu les coulisses de fraises contre ses lèvres et sous son menton, la petite hybride se permit de laisser expirer un deuxième soupire, vraiment, même après avoir mangée autant de fraises, elle avait encore faim! Ou plutôt, soif. Plissant un bref instant les yeux pour penser à ce qu’elle pouvait bien demander à boire, la Terranide se fit sortir de ses rêveries lorsque l’homme dont elle ne connaissait même pas le nom accepta de lui acheter autant de fraises qu’elle souhaitait, à condition qu’elle fasse ce qu’il voudrait, c’était sûr! Comment, elle, petit chaton sans défense et sas pensées malsaines aurait pu imaginer ce que son interlocuteur avait en tête? Jamais, jamais elle n’aurait pu même, que le penser! Sautillant sur place, Syrendel ne pu s’empêcher d’aller sauter au cou de Vitaly, le serrant contre son petit corps si frêle. En fait, bizarrement, il lui faisait penser à son ancien maître. Bien qu’elle ne sache rien de lui, ses agissements lui donnaient l’impression qu’il était tout doux, tout gentil, tout tendre! Un sauveur, en sommes!

Relâchant doucement le cou de son partenaire, oui oui, de son partenaire de voyage! Syrendel vint déposer ses mains sur ses hanches, laissant sa petite queue touffue fouetter l’air de gauche à droite; visiblement joyeuse.
« Beeeen… J’aimerais ça savoir le nom de mon compagnon d’aventure moi, avant d’commencer à aller quelque part! »

Replaçant un peu le bas de son chandail blanc qui lui servait de robe, la petite hybride releva rapidement le menton, reprenant tout aussi rapidement la parole.
« Hann! Oups! Moi c’est Syrendel, ben… Sysy, Syren, Rendel, s’en fou lala mais c’est mon nom! »

Le sourire grand, posé sur ses lèvres, Syrendel attendait toujours le nom de son interlocuteur; elle était très naïve, idiote et jeune, mais elle savait qu’il fallait savoir son nom avant de partir avec lui, donc sa main, elle pouvait restée tendue jusqu’à ce qu’il se présente!

Le soleil brulant caressait la peau de Vitaly, il avait oublie que les démons avaient une température plus élevée que la plupart des humains, ce qui faisait qu'il avait très chaud ! Le froid ne le dérangeait pas mais la chaleur du soleil laissait son corps luire et son front s'humidifier. Vitaly passait sa main sur son front toutes les trois minutes car la sueur ne cessait d'augmenter, cela n'était pas non plus extrêmement abondant, mais quand même. Imaginez alors le plaisir ressentit par Vivi quand le petit corps frêle et plutôt frais de Syrendel se posa et se colla au siens ! Il ressentit alors un plaisir immense ! Une joie et un bonheur tellement grand d'avoir put se rafraichir grâce a elle ! Le corps de Syrendel était si frêle et si chétif que Vitaly avait l'impression de le casser alors qu'il le serra d'avantage contre lui, juste pour se rafraichir !
Cela pouvait paraitre idiot, mais Vitaly repensa a l'enfer, et a ce qu'il avait vécu la bas, comme un dieu, comme un roi, jamais de négation quand on lui répondait, jamais de résistance, jamais de contradiction. Il vivait heureux car il avait tout, il n'a plus rien, et son dernier plaisir et de se rafraichir grâce a la chaleur corporelle d'une fillette qui l'excitait mais qu'il ne pouvait avoir aussi facilement ! Il lui avait demande d'être son compagnon de voyage, en effet, il cherchait encore la terre, et peut être qu'avoir Syrendel comme alliée sera utile, qui peut le savoir ? Vivi fini par relâcher Syrendel, s'il la tenait plus longtemps elle pourrait se douter de quelque chose de louche, et il ne voudrait pas que ça arrive ! Il fit un sourire faux cul et présenta son nom. Mais la une nouvelle chose lui monta l'esprit, son surnom, celui que lui avait donne des démons qui se prétendaient ses amis, en effet, ces derniers le surnommaient Vivi... devait-il le dire a une gamine ? Il n'avait jamais rencontre d'enfant et se rappelle a peine de son enfance.... Oh et puis zut...

Je m'appelle Vitaly... mais tu peux m'appeler Vivi... c'est un surnom et tu es a la seule a le connaitre... ne dis a personne que je m'appelle comme ça aussi...

Il écouta le prénom de sa victime, et sourit faussement toujours, vous croyez quoi ? Il tendit enfin la main de Syrendel. Drôle de coïncidence, c'est le nom de celle qui fut la cause de sa condamnation a errer sur Terra et bientôt la Terre en tant qu'humain. En effet, cela était le nom de la belle démone qu'il tua pour assouvir ses désirs necrophiles. Et si seulement le frère de cette démone n'était pas un Démon tres puissant, il n'aura pas eut son mot a dire et Vitaly serait toujours en effet ! Ah... si seulement..... Mais c'est pas grave ! Il avait une toute nouvelle Syrendel avec lui maintenant !


"Enchanté" Syrendel. Bon il fait chaud... même si mon but et de rejoindre la terre, je voudrais visiter un peu Terra, donc on va visiter le monde ensemble, tu as une idee d'un endroit ou il fait moins chaud qu'ici ?


Cette chaleur le tuait sur place ! Il en pouvait plus ! Elle était tellement étouffante, il avait l'impression que l'enfer était aussi froid que le pôle nord compare a maintenant ! Il but une gorgée de l'eau contenue dans sa gourde, même celle-ci avait l'air chaude, heureusement que la chaleur de l'eau n'etait rien compare a combien lui avait chaud !

De ses bras, Syrendel se hissait au cou de Vitaly, s’y rattachant pour lui faire une accolade. Cette même accolade qui devait n’être qu’une seconde dura un peu plus longtemps, pourquoi s’en plaindre? Bien sûr, dans la tête de la petite, c’était simple; il était content! Lorsqu’on est joyeux, on se prend beaucoup plus au jeu de l’affection, c’est toujours comme ça! Enfin, ses bras relâchèrent leur étreinte contre le haut de son corps. Reposant ses pieds nus à plat contre le sol. Ça pouvait sembler un peu louche si on avait un minimum de bon sens, tout ce que son interlocuteur lui donnait, faisait, disait, mais à 13 ans, l’on est tellement naïf… Trop naïf! Du bout de ses doigts, Syren vint replacer une petite mèche bleutée de sa chevelure, le glissant à sa place d’origine tout en relevant la tête pour glisser son regard dans celui de Vitaly. Un large sourire ne pu s’empêcher de ce crée sur les lèvres rosées de l’enfant lorsque, tout bonnement, son compagnon de voyage se présenta. C’était officiel, maintenant! Ils était vraiment des compagnons, bon, c’est sûr il n’y avait pas de pacte de sang, de sa live ou autre, mais le simple échange de leurs noms était suffisant, non? Enfin, de toute façon, le petit chaton détestait les aiguilles et le sang, ne goutterait jamais la salive de quelqu’un d’autre, du moins, pas de son plein gré! Donc, l’échange de nom était la seule et bonne chose à faire aux yeux de Sysy.

« Vivi? Ohh… C’est mignon! Mais mais… Si je dois le dire à personne, comment je vais t’appeler? Parce que ben ben, si je dis « Viviiiiii » pour t’appeler et que du monde m’entende, ben y vont savoir que ton nom c’Est Vivi non? Alors au bout du compte, on va le savoir! »

Reprenant un peu son souffle après avoir lancé sa phrase sans respirer et très rapidement, la petite Terranide vint glisser sa main dans celle de Vitaly, refermant ses doigts contre le dessus de sa peau avant de tomber dans un air pensif. Où pourrait-il bien se rafraîchir? Hm? Eh bien, un seul endroit trottait dans la tête de la petite fille; de l’eau. Mais encore fallait-il qu’il ait envi de se baigner? De toute façon, le seul endroit ou il pourrait se rafraîchir, et que Syrendel connaissait n’était qu’une rivière éloignée, autrement… Elle ne savait pas trop!

« Mhh… Si tu sais nager et pis si tu aimes l’eau, je sais où il y a une rivière! Elle est loin d’ici quand même, ben c’est qu’elle est dans un bois alors bon! Mais l’eau est super bonne et tout et tout! Mais faut savoir nager parce que c’est creux… Très très creux! »

Jouant un peu avec les doigts de l’homme, Syrendel gardant constamment un beau sourire contre ses lèvres, balançant et sa queue, et sa main dans celle de Vitaly de gauche à droite.