Un corps tomba sur le carrelage froid, c'était une femme qui semblait avoir la vingtaine, encore très belle, les cheveux légèrement blanc, contrastant avec un faible blond, ses yeux bleuté inspirait la crainte, non la frayeur, sont corps frémissant et où l'on pouvait voir de nombreuses traces de morsures sauvages, cette femme c'est ma proie de la journée, une jeune fille qui avait eut plus d'une fois la fâcheuse manie de fouiner là où elle aurait mieux fait de garder les yeux fermés, maintenant elle allait payer très cher sa curiosité mal placé, cette humaine répondant au nom d'April allait connaître une fin mémorable, son sang avait très bon goût, il était rare d'avoir un liquide aussi parfumé avec un léger soupçons de virginité qui rehaussait le goût déjà succulent de l'humaine.
Je me lève de mon trône et m'approche de mon repas, d'un pas félin, mes yeux la regardant comme un trésors à ravir, ma langue léchant les quelques gouttes de sang sur mes lèvres, je lèche même mon index droit juste pour la voir frémir à l'idée de toute les choses que j'allais lui faire endurer, elle n'allait mourir qu'une fois mes envies et mes idées morbides assouvie autant dire que cette petite risquait encore de vivre assez longtemps, j'allais briser sa voix à force de la faire crier, réduire son corps dans une état tel qu'elle me suppliera bientôt le pardon, non mieux que ça, elle me demandera de lui donner la mort, chose qui était dans l'ordre des choses, les forts se repais des faibles.
Une fois assez proche de cette humaine qui devait faire bien 60 centimètres de plus que moi, je lui saisis ses précieux cheveux de ma main droite, l'autre allant caresser les joues et le menton de cette fouineuse, qui se mettait à pleurer en demandant de sa voix suppliante qui me donnait envie de la faire davantage souffrir.
- Je vous donnerais mon argent, mes biens, tout ce que je possède. Laissez moi partir par pitié.
La voilà qui pelure de nouveau, je fit un sourire angélique, elle eut l'espace d'un moment l'espoir que je la laisse partir, quand je lâche mes prises pour écraser sa face contre terre avec mes chaussures à talon, faisant bouger ma cheville pour qu'elle goute à la "tendresse" de mes semelles, elle voulut me saisir la jambe, je mis mon poids dessus ce qui la fit hurler, pour mon propre plaisir.
C'est alors qu'une personne vint toquer à ma porte, le pauvre fou, il avait de grand risque de finir dans mon assiette ce soir. Je regarde l'humain et constate que c'est un gamin.
- Une femme cherche une dénommée April et elle a un objet qui parle.
Qu'il était mignon, je claqua des doigt et deux garde se saisirent de ma victime, l’enchainant à mon trône. Je m'approche de l’enfant d'un pas envoutant, le gamin tremblait pour sa vie et de ma voix je me mis à parler avec une douceur qui ne m’allant pas, normale ce n'était pas pour paraitre gentille mais voir la lueur de ce gosse pensant pouvoir sortir indemne de mon manoir.
- Bien que veux-tu pour cette information précieuse.- Du pain maîtresse Youkaï, de quoi nourrir ma soeur et moi-même.
Au moins il savait user des bon mots, chose rare dans ce village paumé.
- Je te le donnerais à condition que tu ailles porter une lettre à cette femme et que tu profites de sa lecture pour la poignarder, si elle vient dans mon manoir ta soeur aura suffisamment de pain pour vivre une semaine.J'allais gaver sa soeur comme une oie jusqu'à ce que son ventre en explose (rire), je rédige une lettre, avec du sang c'est toujours plus joli que l'encre noir, j'y joint un poignard et le donne au gamin qui tremblait de peur, mais il n'étiat motivé que par l'assurance que sa soeur allait avoir à manger, ça elle allait manger, il faut toujours bien nourrir le bétails avant de l'amener à l’abattoir.
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L'enfant se mit à se faufiler dans les ruelles trouvant la demoiselle dans la rue la plus proche du manoir, si les gens paraissaient mou c'était que Youkaï aimait allez se servir à proximité, pour les cheveux blanc, rien de plus normal quand on a la peur au ventre constamment.
Il s'approcha de la demoiselle en disant d'une voix timide.
- Si vous cherchez April, lisez cette lettre.
Il attendit que Larme lise la lettre, qui était une invitation tout ce qu'il y a de plus banale avec le sceau de Youkaï, une femme fouettée, ce qui en disait assez long sur la maîtresse des lieux, pour s'élancer contre l'honest et tenter de la poignarder au coeur.