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Cherche ou... Trouve? [Pv : Ares]

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Ares

Dieu

Re : Cherche ou... Trouve? [Pv : Ares]

Réponse 15 samedi 04 octobre 2008, 15:38:43

Il venait d’être aspiré. Dans cette cage si épaisse, dans cette salle si obscure par son incapacité a trouvé des réponses, par l’impossibilité de savoir comment il en était arrivé là. Auprès de cette mortelle, lui le Dieu Olympien, n’était plus que l’ombre de lui même, ou plutôt, la lumière de cet être ténébreux qu’il est habituellement, du haut des cieux. Ares, loin de se reconnaître, se laissait tout simplement bercer par ce moment intense. Qu’importe le lendemain au creux de ses bras, qu’importe la nuit tout prés d’elle, rien n’importé désormais, ils étaient seuls au monde. Le dieu regarda alors cette plante qui se tenait devant eux, comme pour leurs rappeler ce pour quoi ils étaient la, ce pour quoi la demoiselle était venue dans les terres sauvages.
Il sourit, sentant la jeune femme se resserrer encore un peu plus son étreinte tout contre lui. Cette chaleur, ce sentiment nouveau mais si merveilleux à découvrir auprès d’elle, commençait à agir doucement. Des images revenaient à lui… Cette rencontre sur la vue du globe, ce battement de cœur qu’il avait ressentit en la regardant, en la contemplant, comment aurait il put imaginer une seconde ce qui allait se produire en venant lui même sur Terra, croiser le regard perturbant et délicieux de la jeune femme.

Mais désormais ? Il ne pouvait rester éternellement sous cette forme Humaine, sous ce mensonge, continuer a ainsi la duper, tandis que son cœur lui hurler de lui avouer la vérité. Mais, et ce pour la toute première fois de sa vie, le Dieu connu la peur. Peur de la perdre, de la voir fuir, le quitter, l’abandonner, tandis que peu a peu, elle devenait nécessaire a son bien être, a son bonheur. Il savait que cela finirait par arriver. Une mortelle ne peut pas convenir a un dieu, et un dieu, ne peut rendre heureuse une humaine. Des états de fait, des histoires passées avaient prouvé tout cela, les mortelles n’étaient pour eux que des jouets, des jouets d’intrigue, sexuels parfois… Mais jamais ils ne pouvaient être plus… Non… En temps normal en tout cas.
Seulement le Dieu guerrier venait de faire la découverte du contraire. Doucement, il leva les yeux vers ce domaine qui était le sien, et qui semblait tant attirer la jeune femme… Un sourire mince apparut de nouveau sur son visage. Elle rêve d’étoiles, tandis que je rêve d’elle… Ironie du sort.
Mais il fut sortit de ses pensées, en sentant le mouvement, légers, de recul, de la jeune femme. Venait-elle de se douter de quelques choses ? Avait elle prit conscience de son erreur ? Mais l’approche, certes timide, d’Heilayne, ne lui laissa pas le temps de plus réfléchir. Il sentit ses lèvres, venir se coller aux siennes, dans un échange électrique merveilleux et incroyablement doux.

Il resta un instant interdit, mais bien vite, il se laissa emporter par ce bien être, par cette envie folle d’y croire, de croire en elle, de croire en eux. Une Mortelle avait peut être réussi la ou tant d’autre avaient échouées, refaire renaitre un cœur dans le corps de celui qui était connu pour ne pas en avoir. Le baiser était doux, mais peu a peu langoureux, il reprit un peu plus pied. Ses mains se resserrèrent autour de la taille de la jeune femme, approchant son corps au siens, collant ces deux peaux brulantes. Leurs souffles se mélangeaient, leurs lèvres avaient été faites l’une pour l’autre, tandis que timidement, dans le plus grand respect, la langue douce du Dieu vient caresser celle de la jeune femme… Ares sentait son souffle grandir, augmenter. Son cœur s’emballa. Il la désira, il… L’aimait ! Mais vivre sous le mensonge ? Ne lui devait il pas avant toute chose la vérité ? Mais trop tard, il était envahie de plaisir, de bonheur et de passion, le reste n’avait plus court dans sa vie, seul Heilayne comptait. Ses mains resserraient encore un peu plus leurs prises, laissant deviner ce désir qui naissait pour elle. Mais il n’irait pas contre sa volonté… Jamais, pas avec elle. Il resta alors interdit, attendant sans doute une autorisation pour poursuivre.
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Cherche ou... Trouve? [Pv : Ares]

Réponse 16 samedi 04 octobre 2008, 16:20:17

Comment pouvait-elle savoir que dans cette soit disante vérité qui lui sautait aux yeux, tout n’était que mensonge? Qu’elle n’avait pas un simple humain devant elle, contre elle… Qu’il lui mentait depuis le début de leur rencontre? C’était impossible à prévoir, à sentir ou tout simplement à deviner. Son cœur, trop emballé par les sentiments qui le faisaient chavirer avait repoussée la barrière de protection, se laissant entraîner à nu dans les vagues d’imprévus. Ses bras, si petit comparé aux siens relâchèrent leurs étreinte contre son dos, laissant glisser timidement ses mains près de ses aisselles, sur son torse et finalement contre sa nuque, s’y accrochant. Comment devait-elle agir, dans ce genre de situation…? Elle s’était faites entreprenante jusqu’ici, mais hélas, ses mouvements avaient peut être été un peu… Déplacés? Ses paupières s’entrouvrirent lentement, sans toute fois détacher ni ses lèvres, ni sa langue. Heilayne voulait simplement s’assurer… S’assurer qu’il n’avait été brusqué, fâché, ou simplement forcé. Détaillant les traits d’Artes assez lentement, un doux sourire ne pu se retenir, rassurant la comtesse. Qu’avait-elle vue? Rien, justement. Les mêmes traits doux qui l’avaient subjugué, la même chevelure qui lui chatouillait parfois un peu le visage, la même peau; tout. Tout était pareil, rien n’avait changé. Ses paupières très légèrement maquillés d’un khôl noirâtre se refermèrent et ses bras se resserrent contre le cou de l’homme, tentent de se coller un peu plus à lui bien que… Ça semblait surréaliste; leurs deux corps, autant enlacés semblait faire presque un. Presque. Sa cape auparavant retenue par une de ses mains vint glisser sur le sol, s’y laissant choir. Un petit quelque chose cependant lui vint à l’esprit, l’amusant. Si on regardait bien, elle et Artes étaient complètement l’opposés l’un de l’autre. D’un côté, il avait lui, vêtu très sombrement et de l’autre, elle, vêtue de la couleur des anges. Qui aurait cru que… Ce n’était hélas pas que les vêtements qui étaient à l’opposées? Il existait beaucoup de romans racontant l’histoire passée de deux tourtereaux avec des noms plus imaginatifs et descriptifs de leur amour, et le leur, leur roman, comment ce nommerait-il?  Il pourrait ressembler légèrement à celui de Roméo et Juliette si on y prêtait bien attention. Comme dit dans ce même livre; une pucelle aimant un ange. Son corps se raidit subitement au mot ‘’pucelle’’. Elle… Non… Elle ne l’était plus… Était-elle aussi pure qu’elle l’avait crue? Comment pouvait-elle s’offrir à un homme, l’homme qui détenait son cœur, dans cet état?... Ses doigts se refermèrent un peu plus contre la peau de la nuque de l’homme, la serrant assez fermement, preuve de son angoisse.

Mais malgré tout, malgré tout ça, malgré ce mot qui la terrorisait, ses sentiments de nervosité, n’avait-elle donc pas le droit d’éprouver et amour, et désir? Les bras d’Artes se resserrent contre son corps si frêle, lui rosant un peu plus le visage lorsque, du haut de sa cuisse, elle pu sentir le désir de son partenaire. Elle n’était donc pas la seule qui avait eue ce genre de pensées… Ce qui, bien qu’une femme normale aurait sans doute eut pour reflex de gifler l’homme ‘’pervers’’, avait pourtant enlevé un poids monstre sur les épaules de la comtesse, la rassurant même. Elle n’était pas si dégoûtante que ça…Non?

Sa langue, timidement s’enroulait contre celle d’Artes, la caressant au passage sous de doux effleurements. Leurs souffle, quand à lui, ne semblait faire qu’un, s’harmonisant au désir brûlant leurs deux corps. Les cuisses de la jeune femme se resserrent un peu, affreusement gênée des pensées qui commençait à hanter son esprit, son cœur et tout son être. Et pourtant, ça ne semblait pas vouloir l’arrêter, au contraire. Subitement, un petit flash vint lui effleurer l’esprit; l’endroit ou ils étaient. Assez laid comme paysage comparé à ce qu’aurait imaginé Heilayne. Ses lèvres, tout doucement, très doucement, vint se décoller de celles d’Artes, toujours très proches, simplement pour pouvoir parler, les paupières closes.

« C’…C’est… Ce n’est peut être pas… Le bon… » Sa tête s’abaissa un peu, affreusement gênée de ce qu’elle allait dire, elle qui agissait toujours plutôt que de parler. « Endroit… »
Son visage était toujours aussi teinté de rouge, mais cette fois, la gêne n’était pas la seule cause de cette rougeur; la chaleur était aussi légèrement insupportable…!
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''

Ares

Dieu

Re : Cherche ou... Trouve? [Pv : Ares]

Réponse 17 samedi 04 octobre 2008, 18:06:24

Il avait connue bien des brasiers, bien des incendies, il en avait même provoqué, la chute de Carthage, de Spartes, même Rome avait été emporté par les flammes puissantes d’incendie, mais aucun, non aucun ne ressemblait de prés ou de loin a celui qui était en train de consumer peu a peu l’être du Dieu de la Guerre. Seul, comme abandonné par sa conscience et sa réflexion, le Seigneur de Guerre s’était laissé bruler vif dans le torrent de passion qui le dévoré.
Qu’importe désormais qui il était, ou qui il n’était pas. L’amour et la passion venait de tout consumer, et il ne ferait rien pour éteindre cette incendie miraculeux. Heilayne était belle sous bien des angles et des aspects, mais ca plus belle parure était sa pureté, son innocence, et le Dieu n’était il pas en train de jouer avec ca ? Le remord à nouveau le dévora doucement. Comment ? Comment pouvait-il faire cela à la seule femme qui comptait, qui avait compté, et qui comptera a jamais pour cet être sans cœur… Du moins, un cœur de glace, qui venait d’être réchauffé par un amour sans pareil.

Mais le souffle chaud, leurs corps glissant au travers de leurs tissus l’un sur l’autre, leur langue, jouant avec leur jumelle, dans une valse aléatoire, et pourtant divine. Non, il ne parvenait pas à se défaire de cette attraction naturelle qu’il avait pour cette humaine hors du commun de ses semblables. Ses mains prenaient conscience de la grande beauté de ce corps, ses lèvres de la douceur de cette bouche, et son cœur, de l’incroyable amour pour elle. Oui, Ares, Dieu incontrôlable, venait de trouver son refuge dans ce bas monde, son coin de paradis, son ambroisie, délicate et douce, sucrée et fortifiante, divine et rare. Le moment était d’une incroyable finesse, d’une incroyable chaleur, et dans tout cela, il devait trouver le courage de surmonter ce désir, pour finalement lui avouer qu’il n’était pas l’homme qu’elle croyait… Mais pourtant, si elle savait. Il n’avait pas joué de rôle, pas mentit sur ce qu’il était a l’intérieur, il avait été lui même, même si il ne parvenait pas à y croire. C’était bien Ares, Fils de Zeus, qui tenait entre ses bras la Mortelle, c’était bien lui, qui lui offrait son cœur sur un plateau d’argent.

Il sentait les cuisses de son ange se resserrer encore un peu tout contre lui, augmentant encore un peu plus la chaleur environnante. Il avait envie d’elle. Pas seulement d’elle, mais de son cœur, de son être, et de son âme. La connaître, la découvrir, la protéger, la garder prêt de lui pour l’éternité… Mais comment pourrait-il réaliser ce doux rêve ? C’est alors qu’elle mit fin au baiser, comme pour le sortir de son utopie, et lui annoncer qu’elle savait tout. Mais non, au lieu de cela, elle annonça d’une voix timide et emplie de tremblements, que ce n’était peut être pas le bon endroit pour cette suite tant attendu par chacun d’eux à en voir son visage roussie… Son cœur se mit a battre a tambours battants, menaçant a tout moment de rompre tant le rythme était soutenue. Mais une révélation lui parvient alors… C’était le signe. Le moment choisit pour savoir enfin, pour lui annoncer, pour enfin prouver qu’il l’aimait, et ce, malgré le risque de la perdre a tout jamais. Artes allait mourir en cette instant, laissant place a son véritable lui, Ares, Dieu de la guerre, seigneur d’Olympie.

Il chercha un instant dans son esprit comment agir, comment le lui dire. Pas simple d’annoncer une telle chose… Mais alors, il trouva. Se reculant un peu d’elle, il croisa son regard qui se fit plus intense encore, un sourire sincère et amoureux aux lèvres, tandis que ses deux mains glissés le long de ses bras, pour venir saisir celle de son ange tombés sur Terra. Il serra un peu plus encore les mains d’Heilayne.


« Vous avez raison douce Dame… »

Ajoutant a cela un mince sourire, il fit appel a ses pouvoir, l’Olympien déporta alors ses plus anciens et puissant sortilèges, qui peu a peu dématérialisa les deux êtres aimés. Tout autour d’eux, le paysage devient lumineux, et vaporeux, comme des nuages baignant dans les rayons d’un soleil au Zénith.
Cela dura une seule petite minute, mais qui leur parut une éternité, avant que tout ce Halo disparaisse, laissant place a une vue incroyable. Une plage, au sable fin et blanc comme la neige, a la mer turquoise, et limpide, un soleil miraculeux, qui couvrait leur peau de milliers de baisers brulants. Reculant un peu, pour laisser la jeune femme comprendre, il retira lentement sa cape, pour la jeter a ses pieds, tandis qu’il reprenait une allure Divine, et son aura de puissant Seigneur. La regardant tendrement, une boule au ventre, il comprit, ou en déduis, que c’était ainsi la fin du doux rêve… Claquant des doigts, un portail s’ouvrit entre deux réalités. Ils étaient ici en Olympe, dans l’un des jardins aux merveilles…

Il lui fit face, comme un condamné face à son juge.


« Vous avez devant vous, le vrai « moi »… Je ne m’appel pas Artes, mais… Ares. Dieu de la Guerre, L’un des douze de L’Olympe. Je voulais tout vous dire plus tôt mais… »

Devait-il lui dire ? Devait il lui annoncer que c’était par égoïsme qu’il n’avait rien révélé, qu’il ne tenait pas a la perdre si il lui annonçait tout ? Secouant doucement la tète, il replanta son regard sur elle.

« Je ne vous ai mentit que sur cela… Derrière moi se trouve un portail qui vous ramènera chez vous. Vous pouvez aussi séjourner ici, en Olympie, autant que vous le souhaitez. Vous êtes libre de votre choix, mais je tenais à vous dire la vérité. »

Une mine triste passa rapidement sur le visage du Dieu, pressentant le départ de sa belle… Mais qu’importe, elle emmènera avec elle deux présents…
Il sortit alors une petite boite, ou se trouvait quelques fleures de cette espèce qui avait provoqué leurs rencontres. Il lui tendit.


« Prenez ceci, Heilayne, elles vous seront bien utiles si vous retourné sur Terra »

Le second présent ne pouvait s’offrir matériellement, mais son cœur appartenait désormais, a Heilayne Daelys, Comtesse mortelle et pure.
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Heilayne Daelys Minh

Humain(e)

Re : Cherche ou... Trouve? [Pv : Ares]

Réponse 18 samedi 04 octobre 2008, 18:58:38

Suite -> Olympe
''Et le printemps et la verdure
Ont tant humilié mon coeur,
Que j'ai puni sur une fleur
Toute l'insolence de la Nature.''


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