Marcus avait retenu un coup qui aurait put lui arracher la tete. Comment osait elle lui parler de souffrance et de banalité de la douleur? Il avait vécu les douleurs, toute sa vie, il avait été chassé, frappé, il a meme faillit mourir d'un coup de lance a cause de paysans obscurantistes. Elle n'avait pas idée de ce qu'il avait connu et de ce qu'il avait subis. Pauvre neko qui a vu sa mere battue par son pare, le loup avait vue sa mere se faire tuer et dévorer par son pere, franchement, c'est moins grave, c'est sur, il peut pas la comprendre.
Petite idiote... Je suis esclave, tu crois que je chasse pour le plaisir? J'ai besoin de ca pour vivre, tu me dégoute, tu ne sais rien de moi et tu ose me juger. J'aurais due te laisser crever dans la ruelle avec tes amis. Ou te broyer le crane comme je l'ai fait avec eux, Ne me touche plus, ne m'adresse meme plus la parole.
C'était de la vraie rancune, si avant, il jouait un faut semblant avec ses vacances et son hospitalité, cette fois il était serieux et la tuerais si elle osait encore lui manquer un temps soit peut de respect. Contrairement a la neko, Marcus tennait l'alcool et ne s'en cachait pas. Il but l'eau de vie au goulot, se desinteressant totalement de la neko et de ses conquettes amoureuses. Il remis sa capuche pour voiler son visage et se remeva, bien décidé a laisser la petite en plan devant sa bétise et ses mots déplacés. Au moment de partir, la jeune femme vint se coller contre lui, pétrifié par l'horreur et la terreur, c'était un peut tard.
Reste derriere moi et fermes la, je vais devoir en tuer plus de deux cette fois par tes conneries.
D'un geste franc, sans plus la vouvoyer, il la placa dan son dos et regarda sombrement le gtos plein de vin devant lui qui tendais la main pour toucher la neko. Franchement, il avait pas de morale quand il s'agissait de violer de pauvres vierges, mais quand cette dite vierge se jette dans ses bras pour avoir la protection de son bras il ne peut pas resister.
Heeeey... la fille est pour moua je vais la baiser comme une chienne de sous race qu'elle est...
Pose ta main sur elle le gros et je répend ta cervelle sur le pavé.
La voix de Marcus était sombre, calme, claire et clairement odible, il avait une envie de se vanger de tout ce qu'elle lui avait dit sur cet homme, il allait se retrouver éventré, écartelé et a moitié decoupé si il persistait, mais l'alcool est mauvais allier quand il s'agit de rapport de force.
Non j'veix la baiger! C'est ma pute trouve t'en une autre!
Sans un mot, le jeune homme fit un pasen avant, voilant la fille dans son manteau noir et brisa d'un coup le torax de l'ivrogne qui toma a terre en se tuant a petit feu, chaque respiration donnait de la grosseur a ses pomons. Marcus passa la cape sur la neko et la main sans son dos pour la faire sortir de létablissement avant que des cri d'horreurs ne sortent de la piece centrale. La poitrine de l'homme s'était ouverte et ses cotes avaient tracé des fraies sanglantes sur son corps alors que les poumons de l'homme gagnaient en ampleur dans ses inspirations, les dernieres de sa vie.
Tu es contente? Ta putain de vie en a vallut 3 ce soir. Regarde moi! Tu es née esclave! tu a vue souffrir, tu as supporté ca, mais tu as tué ce soir, 3 hommes, tu as tué pour survivre, tu es comme tout les esclaves et tout les maitres de ce mond, tu tue pour survivre, me rabats plus les oreilles avec ton enfance, a coté de celle d'un loup c'est de la pisse de chat ce que ton pere a fait. Maintenant admire ce que ta bétise et tes paroles ont fait a cet homme. REGARDE LE MOURIR! C'est TA faute, tu as sauté dans mes bras alors que je te dégoutais, regarde ce pere, ce fisl, ou ce frere mourir par ta faute. ADMIRE! Tu as commis 3 meurtres, tu es comme moi maintenant, tu es une chasseuse. Va te fais quoi de changer de statut?
Il était froid et mordant, n'hésitant pas une seule seconde a montrer les crocs, elle devait commencer a comprendre, il n'était pas tendre et la tuerais au moindre accroc, c'était son intention de plus, si elle de montrait trop récalcitrante, seul la mort la prendrait. En plus, en la faisant culpabiliser et se rendre compte que le sang qui coulait ce soir était pour elle, c'était son sacrifice, l'assurait qu'elle ne tenerais plus d'acte stupides. Il l'avait sauvé deux fois en sacrifaiant des vies, si elle avait un poil de jugeote, elle ne provoquerait pas une troisieme fois.
Mene moi a ta chambre.