Bain de soleil. --pv--

Silencieuse , prédatrices  je m'avance dans la forets, j'y suis venues déjà une fois je sais ou je vais, dans cette vallée que j'adore, une vallée avec des pierre bien chaude pour y rester des heures a prendre le soleil pour réchauffer mon corps froid, une cascade avec une petit lac pour trouver le poisson donc je raffole... Mais je suis prudente, je ne veux pas que l'on me remarque, surtout que je sais qu'il y a des grotte non loin, qui peux savoir ce qui se trouve dans se genre d'endroit.

Enfin je sens l'odeur de l'eau autant par mon nez que par ma langue, cela effraye souvent les gens que je sorte sans cesse ma langue mais pour moi c'est un moyen comme un autre de gouter l'air de comprendre ce qui se passe. J'adore ce second sens de l’odorat qui fait toucher aussi c'est si agréable.

Observant les alentour je m'avance, j'ai vraiment trop envie d'un bain, mais il faut être méfiante, je laisse doucement glisser mon corps dans un autre états, mes jambes s'allonge prenant la forme d'une queue de serpent blanche comme la neige, la moindre de mes écailles est aussi blanche que mes cheveux, brillant doucement d'une lueur bleuâtre, si clair, on dirais presque de la glace.

La je peu prendre mon bain, ma queue de serpent est puissante et surtout je peux m'en servir comme d'une arme, doucement j’enlève le moindre de mes vêtements . Faisant voler ma robe, ma poitrine au seins blanc sautillant doucement, enfin qu’elle plaisir que de sentir le vent sur ma peau ...
Déposant mes armes non loin de l’eau, je m'y glisse, sans presque la faire bouger, j'ai des gène de serpent aquatique, c'est facile pur mois de nager, mes yeux se couvre d’une espèce de membranes, pour que je puisse voir les poisson, rapide j'arrive a en saisir plusieurs avant de remonter...

Mon corps a moiter serpent se glisse sur une pierre plate, non loin de mes armes , m’étendant de tout mon long je soupire de plaisir, l'odeur du soleil sur la pierre est un délice, surtout de sentir le soleil caresser ma peau...  avec l'une des couteau j'ouvre le poisson, avalant d'une gorgée les entrailles qui en tombe, mes doigts agile viennes enlever les écailles, avant que je ne morde avec envie de la chair.. Dieu que c'est bon...

En quelque seconde j'ai avale mes proie, me léchant les lèvres je me laisse tomber, mon ventre blanc est légèrement gonfle signe que je suis repue, qu'il me faut un peu de sommeil... Au soleil qu'elle meilleur endroit. Soupirant je ferme les yeux, ne dormants qu'a moitiez comme toujours...

Et comme toujours mes pensées tourbillonne dans ma tête, mon frère n'a jamais réussi a prendre cette forme mi serpente, est-ce parce que dans notre famille nous avons des ancêtres Lamia... Qu'elle seule peuvent prendre cette apparence.. Bah qu'elle importance..  Il fait trop bon pour réfléchir.

Rhys l'ignorait, mais elle n'était pas la seule à chasser dans les environs, en fait l'endroit où elle se trouvait faisait parti de mon vaste domaine, tout à l'intérieur m'appartenait. D'ailleurs je venais de surprendre un terranide cheval qui s'abreuvait sans mon autorisation, ni une, ni deux je l'avais attrapé avec ma puissante queue. En temps normal je l'aurais juste tué, mais mes chaleurs venaient de commencer, donc je n'ai pas résisté à la vue de son impressionnant phallus.

Je me suis enroulée autour de lui, léchant, mordant sa peau, injectant un puissant aphrodisiaque à chaque morsure et ondulant perversement contre son corps. Je pouvais sentir son petit cœur battre à cent à l'heure, il était mort de peur, il savait très bien que je le tuerais sans hésitation à la fin du coït. Puis je me suis empalée sur son membre gonflé d'excitation, c'était ma première fois avec un cheval et c'était vraiment trop bon pour être réel.

Je sentais ses coups de rein qui me pilonnaient l’intérieur, il savait qu'il allait mourir s'il ne me contentait pas, donc il me baisait comme si sa vie en dépendait. En tout il éjacula trois fois en moi, m'arrachant de longs cris d'extase, c'était décidé, j'en ferais mon esclave, il était trop bon pour être tué. Il était d'ailleurs si bon que lorsqu'il me donna mon troisième orgasme je ne me suis pas rendue compte que je l'étouffais, puis il est tombé raide mort après s'être vidé une dernière fois.

Une si belle bête, c'était vraiment du gâchis et pour une fois je regrettais d'avoir tué quelqu'un, mais je n'allait pas me laisser attendrir pour si peu. C'était l'heure de manger et mon amant de quelques heures ferait office de repas, je l'ai donc mangé, me couvrant de son sang en déchirant ses entrailles. Puis une femme à queue de serpent est apparue, sans doute attirée par nos cris, curieuse de voir ce qui pouvait faire tout ce vacarme en pleine forêt.

Se retrouver ainsi face à une semblable était quelque chose d'inattendue, les autres lamias ne venaient jamais par ici d'habitude.  En tout cas ce petit serpent blanc était tout à fait à mon goût et je m'en servirais bien pour apaiser ma frustration d'avoir si vite éliminé mon premier partenaire. Je me suis avancée vers elle et je lui ai lancé d'un air de défis :

"Salut toi, je ne crois pas t'avoir autorisée à venir sur mon territoire. Néanmoins tu as de la chance, je viens de tuer mon amant et si arrives à faire aussi bien que lui je te laisserais repartir sans encombres."

Des cris qui m'arrache a mon sommeil, j'aime pas que l'on me réveille. C'est très désagréable d'entendre des cris quand on dors surtout des cris de plaisir, ca me donne des envie de meurtre, sans prendre mon corps humain, je me déploie, glissant sur le sol.

Le spectacle qui m'est offert est assez intéressant, l’accouplement de cette lamia, avec cette espèce de créature me donne des idées. Fichue queue d'homme qui se dresse a chaque fois que je ne le veux pas... A présent elle est bien dure sur mon corps, une jolie queue d'ailleurs, qui peu encore grossir.

Sans peur je me glisse un peu plus prés du corps l'odeur de sang m’excite me donne des envies, planter mes dents dans un corps.. De dévorer vivant quelqu'un.. Oui cela m'arrive des fois quand je me laisse aller, sans que je ne pense a ce qui est bien ou mal..

Mon corps ondule s'approchant de l'autre, alors que mes lèvres se retrousse, comme pour siffler doucement, ce que je fait d'ailleurs un sourire mesquin aux lèvres.

« Ton territoire plus pour longtemps...Ssss »

Fièrement je redresse mon corps comme pour me faire plus grande,ma poitrine sautillant doucement, j'aime bien mes seins il son juste comme il faut, bien plein, et si doux... J'adore aussi ma queue de serpent blanc, j'adore la sensation des écailles qui la couvre, d’ailleurs le bout même de ma queue bouge délicatement, alors que  je me retiens de bondir. Je m'approche plutôt, comme pour venir enrouler ma queue blanche, autour de sa queue noir, ma langue venant effleurer sa peau comme pour la gouter...

« Et toi tu arriverais a me donner du plaisir ? »

Autant s'amuser voir qui est le plus fort.. Qui est la meilleur.

Il y a deux choses qu'Alice ne peut pas supporter, les sous races dont cette contrefaçon de lamia fait partie et qu'une de ces sous races lui manque de respect et en osant la défier elle lui manque de respect. Comment un rebut génétique osait il se croire capable de rivaliser avec elle, l'espèce de terranide la plus puissante de Terra ? De quel droit osait elle réclamer son territoire durement gagné ? De quel droit osait elle simplement le traverser sans son accord ?

La réponse fut immédiate et brutale, Rhys fut attrapée à la gorge et soulevée du sol par la seule force des bras d'Alice. Puis elle fut violemment plaquée contre un arbre avant que mes crocs ne se plantent dans son cou, injectant un liquide chaud dans ses veines. Il s'agissait d'un puissant aphrodisiaque, si puissant que la seule chose à laquelle pensait la victime était de se faire prendre. J'avais prévu de jouer avec elle, de lui apprendre qui commande ici, peut être d'en faire ma petite esclave.

Ma queue s'est lentement enroulée autour de son corps, serrant progressivement ce dernier jusqu'à ce qu'il ne puisse plus bouger d'un centimètre. Et je suis restée ainsi à lui parler tandis que l'aphrodisiaque commençait à faire effet. Je voulais la laisser languir ainsi, qu'elle me supplie de la libérer ou de la soulager, qu'elle admette sa défaite en somme.

"Alors ma petite couleuvre ? Déjà fatiguée ? As tu au moins essayé de résister ? A moins que tu ne soit qu'une faible comme tout les autres ? Si tel est le cas tu ne mérite pas l'attention que je te porte. Tu veux mes territoires ? Très bien je vais te donner le droit d'y rester, pour toujours et sous mes ordres."

Brusquement ma longue langue s'enfonça entièrement dans sa gorge, tandis que je caressais son corps pris au piège de ma queue. Elle pouvait à peine bouger alors qu'elle peinait à respirer, ainsi j'ai senti les muscles de son corps se crisper lorsque le bout de ma queue força l'entrée de son anus par surprise. Je voulais la voir gémir, la voir me supplier, je voulais qu'elle se sente minable face à moi.