Très vite Ishtar me fit signe d'avancer pour la rejoindre, un peu intimidée j'ai hésité avant de venir devant elle, à sa portée. Pour l'instant je n'avais pas prononcé le moindre mot, comme à mon habitude je préférais rester muette en présence de personnes que je ne connais pas. De toute façon cette réserve n'allait visiblement pas rester bien longtemps car la dragonne semblait vouloir faire rapidement connaissance. Ainsi elle me tira à elle, m'obligeant à m'asseoir sur ses genoux, jambes écartées face à elle, lui laissant libre vu sur mon corps nu.
Très vite les premières caresses arrivèrent, les mains de la dragonne vinrent malaxer ma poitrine avec force et assurance, je sentais déjà en elle ce petit quelque chose qui fait qu'une femme sera une bonne maîtresse. Lorsqu'elle s'est emparée de mes tétons, les pinçant et les tirant, je n'ai pas pu m’empêcher de rougir et de serrer les dents sous la légère douleur du traitement. Puis elle a rit, sans doute amusée par ma réaction, si j'étais déjà capable de l'amuser ça me rassurait, au moins elle m'avait déjà trouvé une utilité.
Ses mains s'aventurèrent sur le reste de mon corps, passant ici et là, caressant ventre, fesses, cou, poitrine et parfois, comme pour me récompenser de ma docilité, elles venaient jusqu'à mon entrejambe. Puis deux de ses doigts s'enfoncèrent dans ma bouche, caressant ma langue avec ce même mélange de force et de douceur qui me séduisait tant. Elle joua ainsi avec ma langue quelques secondes, avant de retirer sa main gainée de latex, laissant un fin filet de bave couler sur le bord de mes lèvres.
J'ai simplement hochée la tête lorsqu'elle me demanda quel genre d'esclave je serais, bien sûr que je serais une bonne esclave, ma naissance même servait ce but. Puis un autre esclave apporta un gode noir hérissé de pics et de billes souples, j'ai alors écarquillé les yeux. C'était de très loin de plus gros gode qu'il m'avait été donné de voir et lorsque ma nouvelle maîtresse m'annonça qu'il allait se retrouver entre mes fesses ma première pensée fut : *Mais ça ne rentrera jamais ...*. Néanmoins je me devais d'essayer, hors de question de contester l'ordre de sa maîtresse, si elle voulait que cette chose entre en moi elle rentrera même s'il me faut souffrir pour cela.
Je me suis mise à quatre pattes, dos à Ishtar et en relevant mes fesses au maximum pour qu'elle puisse pleinement profiter du spectacle, prenant l'énorme gode en bouche pour le lubrifier. J'ai ensuite empoigné le gode d'une main pour aller le poser contre l'entrée de mon anus, serrant les dents et appréhendant la suite. Puis j'ai poussé dessus, lentement et centimètre par centimètre il a commencé à glisser à l'intérieur. Ce fut laborieux, mais au bout de quelques minutes j'avais enfin réussi à avaler entièrement l'engin, gémissant de temps à autre.
J'ai commencé de lents mouvement de vas et viens, j’espérais que ma propriétaire n'avait pas trouvé le temps trop long et avait apprécié le spectacle. Quoi qu'il en soit, l'envie de lui plaire, la peur d'être rejetée et l'appréhension de la pénétration m'avaient complétement fait oublier que ce genre de traitement était supposé, avant tout, donner du plaisir. Et ce plaisir m'est tombé dessus alors que je ne m'y attendais pas, poussant un gémissement particulièrement explicite et complétement involontaire. Bien sûr je suis devenue toute rouge, surtout que dans ma position je ne pouvais pas voir les réactions de ma maîtresse.