Une simple promenande... [PV Mach Bonin]

Dans cette cabine privée d’un bar bien connu de Lisbeth, cette dernière n’avait pas attendu longtemps pour chauffer son sauveur. En effet, elle avait rapidement glissé entre ses jambes pour libérer le membre de l’homme, et se faire un devoir de l’exciter. Et bien sur, lorsqu’elle le prit en bouche, Mach ne put s’empêcher de l’être, en laissant entendre son plaisir. D’ailleurs, dans cette position, il ne pouvait pas faire grand-chose, hormis poser ses mains dans la chevelure de la belle femme, et lui imposer un rythme, lorsqu’elle le lui demanda. Mais, il finit par la relever, au grand dam de la demoiselle, mais, il fallait bien varier les plaisirs.

Ainsi, le mercenaire l’enlaça, collant donc leur corps l’un à l’autre. Par contre, il n’avait pas prévu que son membre se glisse entre les cuisses serrées de Lisbeth pour venir se frotter contre l’intimité humide de la jeune femme. Mais, il ne chercha pas à le retirer, puisque s’était agréable de sentir cette légère pression, des jambes, sur son membres qui se lubrifiait de la cyprine de son amante, et gonflait davantage. Pendant ce temps, il l’avait enlacé et embrassé fougueusement, alors que ses mains parcouraient son dos. Mais, il n’était pas le seul à bouger, puisqu’il sentait le bassin de sa compagne ondulait sur son sexe, comme une invitation à l’y faire rentrer, ce qu’il ne comptait pas faire tout de suite.

- Je pourrai donc te remettre tes barres, et te les retirer qu’une fois que nous serions tous les deux alors ?

Bien sur, s’était une plaisanterie, comme le ton et le sourire taquin qui s’afficha sur son visage, alors que ses mains étaient à présent venues malaxés ses fesses, comme pour imager ses propos. En plus, il ne les avait pas ces barres, puisqu’il les avait jeté au fond du lac, preuve supplémentaire qu’il taquinait Lis. Il revint d’ailleurs l’embrasser fougueusement, alors que sa main droite vint jouer avec l’un des seins de la jeune femme. Et on pouvait aussi voir sur celui-ci l’excitation qu’elle avait, puisque son téton avait durcit. Il lui fit moult caresses et jeux sur ce dernier avant qu’il ne plonge son regard dans celui de la ravissante jeune femme.

Il sembla y déceler un peu d’inquiétude, de doutes et de désarroi, qu’il voulut tout de suite faire disparaitre en l’embrassant fougueusement une nouvelle fois, jouant de la langue avec vitesse ou lenteur selon les moments. Enfin, jusqu’au moment, où Lisbeth se libéra de son étreinte et se releva. Il la vit alors lentement appuyer sur un bouton, se demandant tout de même ce qu’elle comptait faire. En tout cas, il comprit bien vite quand il la vit se mettre à danser au rythme de la musique. Une danse sensuelle, envoutante durant laquelle elle se caressait et ôtait une partie de ses vêtements. Ce qui avait fait son effet, puisque le membre de Mach était plus dur que jamais.

-…Pfff qu’elle beauté…

Siffla t il alors qu’il s’installait confortablement sur le canapé, s’y adossant totalement profitant du spectacle. Cela dura quelques minutes, où le jeune homme posa son regard sur chaque parcelle du corps de sa belle, qui ne tarda pas à venir se mettre de nouveau à genou devant lui, et s’emparer avec avidité de son membre qu’elle enfourna complètement dans sa bouche. Elle commença à le sucer avec une envie telle, que Mach ne put s’empêcher de gémir.

- On dirait que tu aimes çà ?

Ne put il s’empêcher de dire en baissant le regard pour la regarder faire. Puis, elle s’arrêta et le regarda lui demandant, presque en le suppliant, comment elle devait l’appeler. Mach se pencha alors en avant, reculant un peu son postérieur sur le siège, pour pouvoir baisser son visage presque à hauteur de celui de Lis, qui avait du un peu lutter pour garder le sexe du jeune homme en main, en le masturbant toujours.

- Mais, comme tu en as envie. Je ne vais pas t’imposer cela, puisque je ne suis pas ton maître, mais ton amant.

Dit-il simplement, une man sur la joue de son amante, a caressant tendrement, avant de venir l’embrasser de nouveau à pleine bouche. Il profita aussi de cette position, pour glisser son autre main sur la poitrine de la jeune femme, et commencer à lui malaxer, toujours avec douceur, l’un des seins. Que se soit d’ailleurs à pleine mains, du bout des doigts, ou simplement deux doigts jouant avec son téton de diverses façons. En plus, la peau ici était encore plus douce et plus chaude que le reste de son corps, ce qui la rendait sans doute aussi plus sensible

Mach s’était penché vers Lisbeth, obligeant cette dernière à cesser sa fellation mais elle continuait à masturber son amant. Le soldat s’empara de sa bouche de façon impérieuse pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Elle sentit l’une des mains de Mach s’emparer de sa poitrine. Le plaisir la submergea aussitôt. Les doigts de son amant faisaient monter le désir en elle. Les contractions de son vagin étaient de plus en plus violentes et Lisbeth avait l’intérieur des cuisses recouvert de cyprine.

*Mmmmmmm… Mach… C’est si bon…*

La jeune femme se redressa doucement, offrant ainsi tout son corps aux caresses de Mach. Elle avait envie de le sentir en elle, de se perdre dans un tourbillon de plaisir. Se réinstallant sur les genoux de son amant, elle lui ôta son haut avant de couvrir son torse de baisers enflammés. Lisbeth sentait le sexe de Mach frôler l’entrée de son intimité par moment. Ses mains n’en oubliaient pas pour autant la hampe dressée qu’elles ne cessaient de caresser sur toute la longueur.

*Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de t’avoir rencontré... Je me sens enfin libre !*

Les lèvres de Lisbeth cherchèrent celles de son amant avec une certaine frénésie. Enivrée de bonheur, la jeune femme se collait contre Mach tout en frottant l’entrée de sa vulve contre son gland.

*Je veux… je veux te sentir en moi…*

Lentement, Lisbeth se laissa descendre le long de la hampe dressée, sentant celle-ci pénétrer sa vulve trempée. La jeune femme s’arrêta sous l’effet de la douleur qui ne tarda pas à s’estomper. Reprenant ses mouvements, elle allait et venait doucement sur le sexe de son amant, lui laissant le loisir de décider de quand il allait s’enfoncer entièrement en elle. Elle n’en oubliait pas son amant pour autant, l’embrassant à pleine bouche passionnément. Les mains de Mach sur son corps faisaient des merveilles, Lisbeth sentait l’excitation monter de plus en plus au creux de ses reins. Les pointes durcies de ses seins l’électrisaient à chaque contact avec la peau ou les mains de Mach, la faisant gémir de plus en plus de désir.

Les joies des jeux corporels avaient donc commencé pour Mach et Lisbeth, alors qu’ils se trouvaient dans une alcôve « sécurisée » dans un bar bien particulier. En effet, la jeune femme avait tout fait pour excité le jeune homme, usant de son corps et de sa bouche pour faire durcir l’organe de plaisir de son compagnon. Celui-ci n’avait pas tardé à se laisser aller, et participer en stoppant son amante à certains moments, la frustrant un peu par moment, mais pour lui permettre de ne plus être inactif.

Si bien, que pour atteindre sa poitrine, Mach avait obligé la jeune femme à cesser sa fellation, continuant simplement d’une masturbation, pour que sa main puisse venir pétrir tendrement les seins fermes et volumineux de sa compagne. Celle-ci ne s’en plaignit pas, bien au contraire, et le mercenaire vint rapidement combler sa bouche d’un nouveau baiser passionné. Lisbeth en profita pour se redresser et soulever le vêtement cachant le torse de son compagnon, finissant par délaisser les lèvres de celui-ci pour parsemé son torse de baiser.

Mach en profita pour ôter rapidement le morceau de tissu, alors que son sexe bien dur et tendu, frottait avec envie les lèvres intimes de sa partenaire, surtout que celle-ci ondulait volontairement du bassin pour s’exciter sur ce dernier. Il était évident qu’elle n’attendait que le moment pour se le faire entrer en elle. Mais, avant elle prononça quelques mots et vint se frotter à lui, en l’enlaçant et lui donna un nouveau baiser.

- Mais, se fut un plaisir. Et si je suis remercié comme çà à chaque fois, je veux bien te faire prisonnière pour te libérer à chaque fois que tu le souhaites.

Répondit-il avant de quérir de nouveau ses lèvres, posant ses mains sur les fesses de sa compagne, pour les malaxer tendrement, et les faire bouger de façon à accélérer les stimulations sur son sexe, autant que sur celui de la jeune femme, sans qu’une pénétration soit faite, bien que parfois, selon les mouvements, de faux départs furent donnés pour cette évolution de l’acte. Lisbeth laissa d’ailleurs entendre son impatience avant de s’empaler elle-même sur le membre de son amant.

Elle y allait tout de même lentement, et ne s’enfonça pas jusqu’au bout, s’arrêtant un instant à cause de la douleur, qu’elle laissa voir sur son visage, laissant Mach s’immobiliser, et faire de simple caresses de ses mans pour la faire passer avant que de courts vas et viens ne débutent et que les baisers fougueux et autres caresses ne reprennent. Pour sa part, ce n’était que du plaisir qu’il ressentait, sentant la chaleur humide du vagin de Lisbeth entourait son membre, qui ne semblait plus vouloir en sortir. Si bien qu’il écarta légèrement les fesses de la jeune femme de ses mains pour améliorer sa pénétration, qu’il fit de plus en plus profonde, conservant tout de même de la lenteur et de la douceur à chaque centimètre qu’il faisait entrer en son amante avec les vas et viens.

- Je me sent si bien en toi…hmmm.

Dit-il alors que dans une poussée un peu plus franche, Mach fit entrer intégralement sa verge en Lisbeth, restant un peu immobile en elle pour qu’elle apprécie cette sensation, bien qu’il espère qu’il la remplisse assez. Cette pensée fut tout de même assez fugace, puisque sa bouche ne reprit pas celle de sa compagne mais vint s’emparer des seins de la jeune femme, les léchant, baisant ou suçant un à un, voir ensemble. Et s’il variait les vitesses de ses mouvements de bouches, il commença à bouger son bassin pour faire des vas et viens dans l’antre chaude, et des plus agréable de Lisbeth. Il avait la sensation que ses membranes épousaient parfaitement son membre, si bien qu’une légère résistance se faisait sentir quand il se retirait partiellement pour revenir peu après. Les mains continuaient de malaxaient ses fesses, les resserrant ou les écartant selon les mouvements aléatoire que le jeune homme faisait

- Tu aimes autant que moi ?

Simple question dont il avait déjà la réponse vu les réactions de sa partenaire, mais, cela lui permit de regarder quelques instants le magnifique visage de la jeune femme, avant de replonger dans son bustier des plus appétissant.

Depuis leur arrivée au club, le plaisir de Lisbeth n’avait cessé de croître. Elle s’offrait sans retenue à son compagnon, s’enivrant de ses caresses. Ce que semblait particulièrement apprécier ce dernier vu comment il jouait avec sa poitrine. A cheval sur ses genoux, la jeune femme s’était en partie empalée sur la verge durcie, laissant à Mach le choix du moment où il la prendrait. Ecartant les fesses de Lisbeth avec ses mains, il continua à la faire descendre lentement le long de son membre avant de la pénétrer de toute sa longueur. Gémissant doucement à cause de la douleur, la jeune femme n’eut pas le temps de souffler, son amant ne laissant aucun répit à ses seins. Devenus hyper sensibles, le simple fait de les effleurer excitait encore plus Lisbeth.

- Tu aimes autant que moi ?

Ondulant à présent au même rythme que les mouvements de Mach, Lisbeth sentait sa verge ouvrir sa vulve de plus en plus, coulissant maintenant sans difficultés en elle.

*Je… oui…*

Lisbeth avait du mal à parler tant le plaisir la submergeait. Libérant ses seins de l’emprise de Mach, elle se laissa aller en arrière sur les jambes. Dans cette position, chaque pénétration de son amant était intensifiée. La jeune femme se caressait maintenant la poitrine, espérant offrir un spectacle agréable à son compagnon. Le bassin de la jeune femme ondulait de plus en plus vite à mesure que le plaisir grandissait en elle. Sa vulve trempée allait et venait sur le membre luisant sans répit. Son corps tremblait et ses gémissements envahissaient tout l’espace.

Se redressant, sa bouche chercha celle de Mach fiévreusement. D’elle-même, elle écartait maintenant ses fesses avec ses mains pour que son amant la pénètre profondément. Lisbeth voulait qu’il prenne les choses en main, qu’il la fasse sienne à sa convenance, qu’il comble tous ses orifices. Qu’il fasse d’elle sa maîtresse, sa chienne ou sa chose, peu lui importait à partir de moment où elle lui appartenait. Elle quitta la bouche de Mach à regret pour plonger son regard dans le sien, un regard à la fois suppliant et excité. La jeune femme voulait l’entendre lui dire qu’elle était à lui désormais.

Mach et Lisbeth ne faisaient à présent plus qu’un, puisqu’enfin le jeune homme avait pénétré l’antre de sa compagne et commençait les vas et viens en elle. Ses mains et sa bouche n’étaient pas inactives non plus, puisqu’il s’occupait de ses seins, assez goulument, alors que son amante exprimait ouvertement son plaisir par des gémissements. D’ailleurs, le jeune homme sourit intérieurement, car si les alcôves n’étaient pas insonorisées, les voisins risquaient forts de les entendre, bien qu’ils ne seraient surement pas choqués, bien au contraire.

Ainsi, le jeune homme accéléra son rythme dans l’intimité de sa partenaire qui n’arrivait plus à répondre à ses questions, tellement elle prenait son pied. Mach aussi avait la respiration assez forte et rapide, alors que les seins de sa belle lui furent retirés par cette dernière. En effet, celle-ci se pencha en arrière, donnant une vue magnifique à son compagnon. Mais, cela accentua aussi davantage la pénétration, permettant au mercenaire de s’enfoncer encore un peu plus profondément en elle, même si cela lui fit ralentir son rythme

- Hmm..me sens si bien en toi…petite cochonne va…

Il se montra soudainement plus pervers dans ses paroles, montrant bien qu’il se laissait entraîner par le plaisir de la situation lui aussi. Ses mains étaient venues se placer sur le bas des hanches de Lisbeth pour la maintenir, et éviter qu’elle ne bascule en arrière dans cette position. Pendant ce temps, le rythme, du fait de la stabilisation de la position, se faisait de nouveau soutenu, et les gémissements reprirent de plus bel, voir même des cris, alors que sa compagne pelotait ses seins elle-même avec une certaine force, tandis que Mach ne quittait pas la scène des yeux.

- Et si..hmm..tu me disais ce que tu veux que je te fasses…ma chienne…hmmm…

Reprit-il alors que Lisbeth revenait se coller à lui pour un nouveau baiser passionné où les langues s’entremêlèrent une nouvelle fois dans un ballet des plus rapides. Et alors qu’il malacait fermement ses fesses, Mach sentit celles de son amante venir se placer proche des siennes alors qu’elle écartait elle-même ses fesses. Il comprit le signal et donna des coups de bassin encore plus brusque, pouvant s’enfoncer jusqu’à la garde aisément vu l’espace qu’on lui avait dégagé, et il finit même par lâcher une des fesses pour que ses doigts viennent stimuler de quelques caresses circulaires l’anus de sa partenaire avant d’y enfoncer l’index très lentement.

- Alors, cela te plait ?

Dit-il alors qu’il croisait un regard suppliant de lui en donner plus, si bien qu’il  accéléra la pénétration anale, et commença les vas et viens avec son doigt. Il semblait soudain bien plus vulgaire, mais, l’excitation  que Lisbeth lui faisait avait finalement eu raison de lui, et il allait s’amuser avec elle, laissant la douceur revenir après, puisque s’était ce qu’elle voulait.

 

Mach prenait finalement le contrôle de la situation pour le plaisir de Lisbeth. Pilonnée avec force par son amant, la jeune femme sentit un doigt inquisiteur venir caresser l’entrée de son cul avant de s’enfoncer lentement à l’intérieur. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier.

- Alors, cela te plait ?

Que répondre à une telle question… Le regard de Lisbeth parlait pour elle si bien que Mach accéléra rapidement les mouvements de son doigt, la rosette de la miss se dilatant aisément sous l’effet du plaisir. Ondulant de plus en plus vite, le sexe de son amant la pénétrait maintenant sans difficulté mais elle voulait plus. Son corps, si longtemps privé de plaisir, réclamait maintenant d’être utilisé longuement.

*Encore…*

Ayant quitté les lèvres de son compagnon, Lisbeth se releva lentement sur ses jambes, sortant ainsi la queue de son antre qui maintenant dégoulinait littéralement. Elle ne cessait d’onduler, le gland passant de sa vulve à sa rosette en permanence. Elle implorait Mach du regard. Le langage cru utilisé par ce dernier excitait encore plus la jeune femme. Le doigt du mercenaire ouvrait toujours son cul sans relâche arrachant des gémissements de plus en plus forts à Lisbeth. Elle sentait son anus palpiter à chaque mouvement et se dilater de plus en plus.

*Non… pas plus…*

Lisbeth attrapa la main de Mach pour qu’il retire son doigt. Redescendant au sol, elle reprit le sexe en bouche, le suçant avidement Elle voulait que son amant soit comblé. Elle coulissait sur le membre doucement, profitant de chaque instant, le gland venant buter contre le fond de sa gorge. Les gémissements de Mach l’excitait encore plus. Sa vulve réclamait d’être de nouveau remplie mais la jeune femme résistait. Sans répit, sa langue effleurait chaque centimètre de la peau gorgée de sang. Lisbeth ne pouvait contenir ses gémissements, son bassin ondulant de nouveau au rythme de sa fellation.

La jeune femme finit par se relever, faisant face au mercenaire. La musique se faisant toujours entendre, Lisbeth se remit à danser langoureusement, les yeux clos. Elle voulait que Mach profite au maximum de la vision qu’elle lui offrait. Ses mains glissaient sur son corps, accroissant son désir. Plongeant son regard dans celui de Mach, elle lui souriait. Lisbeth se sentait bien en sa compagnie et pas seulement parce qu’il l’avait libérée de ses entraves mais parce l’homme lui plaisait.

*Ma chienne…*

Parlant plus pour elle-même que pour le soldat, elle ne cessait de penser à ces mots prononcés un peu plus tôt par Mach. Le prenant par les mains, elle l’invita à se relever, se collant contre lui avant de l’embrasser fougueusement. Sa langue cherchait celle du soldat fébrilement. Comme une noyée s’accrochant à une bouée. Se détachant à regret, elle s’installa à genoux sur le canapé, les mains posées à plat sur le dossier, tournant ainsi le dos à la table et au mercenaire. Lisbeth tourna la tête en sa direction avant de cambrer ses reins au maximum, présentant son cul ouvertement au soldat, puis lui sourit malicieusement. Sa rosette s’était refermée mais la jeune femme s’en moquait. Elle le voulait entreprenant et pervers, s’offrant sans retenue à la moindre de ses envies.

Mach pénétrait donc de son pénis le vagin de Lisberh, er du doigt son anus, avec des mouvements de vas et viens assez rapides, même si la plupart de ceux-ci était tout de même exécutait la jeune femme qui prenait un plaisir certains à unir son corps à celui de son bienfaiteur. Et comme le bien était ressentit, chacun laissait entendre sa voix dans l’échange,, quand leurs bouches ne s’unissaient pas dans n baisers passionné, ou que le jeune homme ne s’en servait pas pour s’occuper de la magnifique poitrine de son amante.

Et l’excitation et le plaisir, jusqu’au moment où sa partenaire vint extraire sa main d’entre ses fesses, et retire le sexe de son amant en se redressant pour se remettre à genoux et prendre ce dernier en bouche goulument. Ainsi, le mercenaire n’eut pas le temps de se ramollir, ou de perdre de la dureté, bien au contraire

- Aaaah…Serait ce ton trou préféré ? …Hmmm

Dit-il entre deux souffle gémit, avec un peu d’humour, alors que le mouvement de coulisse sur son membre était rapide, qu’il devait fortement lutter pour ne pas éjaculer rapidement, et ne se faire finalement plaisir qu’à lui-même. Il vint alors poser ses mains sur la tête de Lisbeth, sans pourtant avoir besoin de lui imposer un rythme puisque le sien le comblait déjà.

Mais, une fois encore, la jeune femme s’arrêta et sortit le sexe de son amant de sa bouche pour se relever, et se mettre à danser sensuellement devant lui. Et il ne se priva pas de la reluquer avec envie, et non plus la réserve qu’il pourrait avoir sur le début. L se demanda rapidement si elle ne faisait pas cela justement pour l’empêcher de jouir trop vite. Mais, n’aurait pas le temps de chercher une réponse qu’elle le releva en tirant Mach par ses mains se collant à lui, et l’embrassant fougueusement, avant de s’installer à sa place, cul en avant, dos à lui.

- Tu veux donc que je te prenne comme une chienne hein ?

Dit-il avec un sourire malicieux, alors que sa voix avait reprit de la vigueur maintenant que l’excitation stagnait.  Il s’approchant d’elle par derrière, alors qu’elle semblait l’inviter à le faire. Cependant, Mach ne se pressa pas, et son visage disparut avant qu’une langue fasse son apparition et vienne lécher les deux orifices, bien humides de la demoiselle. Il léchait à bon rythme, et vint poser ses mains sur les fesses de son amantes, qu’il malaxa, caressa ou frappa plus ou moins fort dans le même temps.

+ Hmm…un vrai régal…

Dit-il avant que sa langue ne tourne autour de l’anneau rectal de la demoiselle, avant de faire cesser l’attente pour l’y faire entrer au plus profond qu’il pouvait aller avec son organe buccal. Mais, il ne laissa pas la vulve de son amante sans rien, puisqu’il vint y faire entrer quatre des doigts d’une de ces mains libres, commençant à la faire mouvoir de différentes façon en elle. Il fallait bien cela pour compenser l’absence de son sexe.

- Décidément, tu es vraiment chaude ma chère. Tout rentre sans difficulté.

Il avait du retirer sa langue un instant de l’anus de Lisbeth pour dire cela, mais, il ne tarda pas à l’y remettre, alors que sa seconde main libre, vint caresser le ventre de son amante pour venir prendre en main et malaxait avec un certaine tendresse, mais poigne tout de même, l’un des seins de sa compagne.