Je vis enfin mon haut et le saisis, heureusement il n'avait rien, pas de marque d'électrocution ni de lacération, après tout la sirène aurait put tout aussi bien le détruire sous la colère de s'être ramassée une châtaigne, mais visiblement cela n'était pas le cas. Je voulus le remettre quand deux mains me saisirent au ventre, le baisé au cou focalisant mon regard derrière et non sur les bras qui m'enlaçaient. La sanction fut expéditive, malgré ma tentative pour garder l'air dans mes poumons, la force de la sirène me les vidèrent aux trois-quart, autant dire que la remonté allait être difficile.
Puis Lyli expliqua la règle du jeu, je devais subir ses jeux pervers et la supplier pour survivre, seulement si l'eau n'existait pas autour de nous, elle aurait vue des larmes de colère, que dis-je, de rage apparaitre, c'était comme ça, je haïssait ceux qui rabaisse les autres, use de la violence et de leurs forces pour faire courber l'échine.
Elle me mit face à elle, puis se mit à peloter mes seins et caresser mon intimité, mais le plus humiliant de tout fut qu'elle descendait la seule pièce restante de mon bikini, mon intimité sentant davantage les frottements, mais aussi la fraicheur de l'eau, la honte me pris et il était temps de tenter le tout pour le tout.
Je fis semblant d'abandonner et profite de l'effet de surprise pour donner tout ce que j'avais, le choc électrique fut violant, cela paralysa mes bras, mais forte heureusement les jambes étaient intacte, aussi je me mis à battre des pieds, je sentis un résistance, puis un craque, tant pis pour mon bas, l'important maintenant c'était de rejoindre le plus rapidement la surface et aller sur terre.
Le temps me paru une éternité, plus je battais des pieds, plus j'avais l'impression que la surface s'éloignait, sans compter la suffocation qui devenait oppressante, ma main droite pouvait bouger, mais l'air me manquait, dire que la surface semble si proche et pourtant si loin, dans un dernier geste, je me mis à tendre la main vers la surface, espérant sans doute qu'une personne me la prenne, puis les dernières gouttes d'oxygène disparurent, me faisant lâcher des bulles et tomber dans l'inconscience.
Je croyais être morte, mais ce n'était pas finit.