Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

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Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 15 mercredi 18 août 2010, 10:16:10

Franz semblait calmé. Enfin c’est l’impression que Lisbeth avait. Toujours aussi violent dans ses actes mais au moins, maintenant, il lui parlait. La jeune femme comprit qu’elle n’était plus sa victime. Son partenaire ne la ménageait pas. Les genoux de Lisbeth commençaient à devenir douloureux à force de frotter contre le sol sous les coups de boutoir de Franz. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son partenaire ne boudait pas son plaisir. Lisbeth sentait son anus se dilater de plus en plus sous l’effet du phallus qui le prenait et son vagin dégoulinait de plaisir. Les mains de Franz n’étaient pas en reste, martyrisant sa poitrine. Tendus à l’extrême, ses mamelons lui faisaient mal mais la jeune femme aimait cette douleur.

Franz descendit l’une de ses mains, Lisbeth n’aurait su dire laquelle, et commença à branler son clitoris avant que ses doigts ne s’introduisent dans son vagin et commencent à la prendre de ce côté-là aussi. La double pénétration décupla ses sensations et la jeune femme gémissait maintenant sans retenue. Elle aimait être ainsi prise. Et elle comptait bien en profiter un maximum. Après tout, l’endurance de Franz était à prendre en compte. Ce que comptait bien faire Lisbeth.

MM ! Alors dis moi je suis sûr que tu as une préférence sur l’orifice que tu veux que je te remplisse ?!

Lisbeth sentait la verge de Franz se contracter dans son anus, signe que sa jouissance n’était pas loin. Sauf que ce n’était pas encore le cas pour Lisbeth. Elle canalisa son plaisir pour pouvoir réfléchir un peu à la suite. Pas évident à faire quand une queue et des doigts vous ramonent avec force !

*J’en ai une oui mais j’ai mieux à vous proposer…

Tout en parlant, Lisbeth avait placé sa main droite à la base de la verge de Franz. Une rapide pression à la base, de chaque côté en fait, et la jeune femme bloque l’éjaculation de son partenaire. Technique ancestrale que se mère lui avait enseignée. Très pratique dans le cas présent. Lisbeth sourit en entendant Franz lâcher un cri de frustration. La jeune femme le savait, il pouvait très mal prendre ce qu’elle venait de lui faire. Elle se hâta donc de s’expliquer.

*Allons chez moi, la soirée vient à peine de commencer et j’ai envie d’en profiter au maximum… Et puis, vous me remercierez tout à l’heure, votre jouissance sera plus que décuplée, je vous le promets.

Lisbeth se dégagea doucement et mit la veste de Franz sur elle tout en lui souriant. Soit l’homme était réellement calmé et il accepterait, soit elle venait de déclencher un nouvel accès de fureur. Doucement, elle vint se coller contre Franz, attendant de voir ce qu’il allait faire.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 16 mardi 24 août 2010, 15:50:48

Je cambre légèrement mon visage, alors que je suis sur le point de jouir. J’ai demandé à Lisbeth si elle avait une préférence sur l’endroit qu’elle veut que je lui remplisse, et alors qu’elle me dit qu’elle à mieux à proposer, sa fine main droite vient enserrer la base de mon membre, obstruant l’avancé de ma semence. Mais à quoi elle joue ?! Je gémis de frustration, et enserre d’avantage ses seins entre mes mains. Elle justifie cela, en disant que la soirée vient à peine de commencer, et qu’elle veut en profiter d’avantage en allant chez elle.

Je fronce les sourcils, alors qu’elle met ma veste sur ses épaules et qu’elle vient se coller à moi, je prends son poignet gauche, et je le serre fermement, en la regardant droit dans les yeux.

T’as intérêt à ce que ça en vaille la peine… Allez viens on prend un taxi.

Je relâche son poignet, puis remonte ma braguette, avant de passer mon bras sous sa veste pour prendre possession de sa fesse droite. Elle est entièrement nue sous cette couche de tissu, mais elle est heureusement assez large pour dissimuler une bonne partie de son corps. De nombreux regards se posent sur elle alors que nous marchons, nul doute que si elle ne se promenait pas avec un homme de ma carrure, les attentions des hommes que nous croisons ne se seraient pas arrêté aux simples regards.
Un taxi débouche dans la rue, et d’un signe de la main je lui fais signe de s’arrêter, nous montons à l’arrière, et je laisse à Lisbeth le soin d’annoncer l’adresse de destination. Je vois les yeux du conducteurs à travers le rétroviseur, se diriger vers les jambes nues de la jeune femme, et à la naissance de son décolleté. Il doit deviner qu’il n’y a pas grand-chose en dessous de cette veste.

Alors que la voiture démarre, je pose ma grosse main droite sur la cuisse d’Elisabeth et je la remonte doucement. Mes doigts frottent contre l’intérieur de sa cuisse, et peu à peu les pans de la veste qui dissimule son entrejambe s’écartent. Son sexe est maintenant dévoilé à mes yeux, mais surtout à ceux du conducteur. Je vois son air surprit dans le rétroviseur, et j’étire un sourire, alors que du bout des doigts je viens jouer avec les anneaux des lèvres intimes de la jeune femme, puis lentement mon pouce vient appuyer contre son clitoris. Voyons voir comment elle va réagir à ces caresses, alors qu'un regard voyeur se pose sur elle...

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 17 mercredi 25 août 2010, 15:02:30

Visiblement, Franz n’avait que peu apprécié le fait que Lisbeth bloque son éjaculation. Il avait attrapé son poignet gauche et le serrait avec force.

T’as intérêt à ce que ça en vaille la peine… Allez viens on prend un taxi.

L’entraînant à sa suite, Franz mit d’autorité l’une de ses mains sur sa fesse droite, relevant ainsi l’arrière de la veste. Tous ceux qu’ils croisaient avaient donc une vue imprenable sur la croupe de Lisbeth. La situation ne lui plaisait pas particulièrement mais le regard de Franz avait suffi à ce que Lisbeth se tienne pour le moment tranquille. Franz héla un taxi puis ils montèrent dedans. La jeune femme donna son adresse avant de s’appuyer contre le siège. Elle avait surpris le regard du chauffeur sur ses jambes découvertes. Un voyeur, il ne manquait plus que ça ! Pourvu qu’il garde les yeux fixés sur la route sinon c’était l’accident à coup sur.

Assise à droite de Franz, Lisbeth ne bougeait pas. Son compagnon semblait irrité par son initiative. Elle le regarda, surprise, quand il posa sa main droite sur sa cuisse. Remontant le long de sa cuisse, Franz dévoila son sexe à la vue d chauffeur qui n’en perdait pas une miette tout en conduisant. Les doigts de son compagnon jouèrent avec ses anneaux avant qu’il ne commence à lui caresser le clitoris. Malgré elle, Lisbeth gémit de plaisir. La jeune femme ne put s’empêcher d’ouvrir les jambes pour faciliter le passage des doigts de Franz. Elle posa ses mains sur le siège, une de chaque côté de son corps. Son sexe dégoulinait de nouveau sous les doigts inquisiteurs de Franz. Le chauffeur commençait à avoir du mal à se concentrer sur sa route.

*Mmmmm… on va finir par avoir un accident si cet idiot continue de regarder dans son rétro en permanence…

En dépit du plaisir qu’elle ressentait, Lisbeth supportait assez mal d’être ainsi regardée pendant que Franz la caressait. Surtout que la conduite du chauffeur commençait à être vraiment dangereuse. Franz ne semblait pas sans soucier, ses doigts continuant à caresser la vulve trempée de Lisbeth. Le chauffeur freina brutalement, évitant de justesse une collision. Ce qui eut le don d’énerver la jeune femme.

*Vous voulez nous tuer ? Plutôt que de regarder en permanence dans votre rétroviseur, vous feriez mieux de regarder devant vous !

La jeune femme foudroyait le chauffeur du regard.

*J’regarde ce qui me fait bander mam’zelle ! T’ouvres les cuisses comme une salope alors viens pas te plaindre !

Furieuse, Lisbeth se dégagea de l’étreinte de Franz. Le taxi n’étant pas pourvu de glace de séparation, elle gifla le chauffeur violemment. Son compagnon repose sa main sur sa cuisse. Lisbeth se tourna vers lui.

*Non ! Je ne veux pas que ce porc me regarde alors vous allez attendre que nous soyons arrivés sinon je descends de la voiture !

Nullement impressionné par la jeune femme, Franz ne bougea pas sa main. Lisbeth décida alors de quitter le taxi et ouvrit la porte.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 18 jeudi 26 août 2010, 23:22:28

Lisbeth n’avait pas l’air d’apprécier le regard voyeur sur elle… Si elle savait ce que je lui réservais… Ce n’est rien comparé à ça. Elle prend la mouche face au conducteur qui manque à plusieurs reprises d’avoir un accident, trop obnubilé par le sexe de la jeune femme que je m’amuse à faire mouiller de plus en plus. Au bout d’un moment elle semble ne plus en pouvoir et se libère de mon étreinte pour gifler le conducteur, elle m’invective de ne pas continuer tant que ce "porc" la regarde. Si elle pense que c’est ça qui va m’arrêter elle se trompe, je pose ma main sur sa cuisse pour recommencer mon traitement. Mais là, elle semble une nouvelle fois vouloir me tenir tête, et ouvre la porte du taxi pour le quitter.

Je viens lui saisir violement le poignet pour la retenir, et je tourne la tête vers le conducteur du taxi.

Garez vous dans la ruelle là bas. Mademoiselle va vous payer tout de suite.

L’homme semble un peu intrigué, tout comme Elisabeth qui me regarde avec un air étonné. J’étire un sourire pervers, et lorsque l’homme se gare dans la ruelle, je sors de la voiture avec la jeune femme, puis fait joindre ses mains dans son dos pour la maitriser. Lorsque l’homme ouvre sa porte, je force Lisbeth à se pencher jusqu’à ce que son visage vienne s’écraser sur l’entrejambe du conducteur.

Je suppose que vous accepter le paiement nature ?

Un sourire lubrique illumine le visage de l’homme plutôt bedonnant, d’une quarantaine d’année, et loin d’être propre sur soit. Il ouvre son pantalon pour sortir sa verge assez large mais pas très longue, dressé par le spectacle qu’on lui a précédemment offert. Il commence à la faire tapoter sur la joue de Lisbeth, et vient passer son gland sur ses fines lèvres.

Conducteur : J’avais bien vue que t’étais une sacré petit garce !

Je souris devant cette scène, la petite bourgeoise contrainte de satisfaire le conducteur de taxi, qui pourrait être son père. Quant à moi, je soulève le bas de la veste que porte Elisabeth, pour dévoiler sa croupe et son vagin encore trempée de mes derniers attouchements. Ou serai-ce ma violence soudaine qui l’excite ?
J’ouvre ma braguette pour libérer mon gros membre, et sans plus de préparation je l’enfourne d’un coup de rein puissant dans son vagin qui ne semblait attendre que ça. J’entame directement des vas et viens endiablés, ma verge frictionnant ses parois, et mes bourses claquant contre sa peau.
Le conducteur voyant les seins Lisbeth ballotter sous la puissance de mes coups, les empoignes de ses mains sales, et les malaxe vigoureusement.

J’ai jamais touché de seins pareils ! Allez suces moi petite putain !

On peut facilement comprendre qu’Elisabeth n’ait pas du tout envie de se préoccuper de l’ignoble énergumène, et devant ses réticences, je compte bien la faire agir, d’une façon ou d’une autre. Je redouble d’intensité mes allers et venus, son bassin se soulevant sous la force des mes coups de buttoir, puis soudain je stoppe mes mouvements, retirant ma verge, pour ne laisser que mon gland contre sa vulve.

Franz : Si tu veux que je reprenne Elisabeth… Tu vas devoir lui obéir.

Voyons voir jusqu'où va sa nymphomanie...

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 19 vendredi 27 août 2010, 11:21:12

Lisbeth allait descendre de la voiture quand Franz la retint de force tout en demandant au chauffeur d’aller se garer plus loin. Il expliqua que Lisbeth allait le payer. Intriguée, la jeune femme regardait Franz, se demandant où il venait en venir. Une fois la voiture garée, Franz sortit, l’entraînant à sa suite. Il lui bloqua les poignets derrière le dos. Le chauffeur, lui, avait ouvert sa portière. Franz la força à se pencher en avant, jusqu’à ce que son visage soit en contact avec l’entrejambe du conducteur.

* Je suppose que vous accepter le paiement nature ?

Lisbeth faillit hurler en entendant Franz. Il ne pensait tout de même pas qu’elle allait sucer se gros lard ! Le chauffeur sortit sa queue. Il bandait déjà. Il la passa sur le visage de la jeune femme qui se retint de le mordre de rage. Elle sentit soudain Franz posséder son vagin avec violence. Ses seins ballottaient sous les coups de boutoir et le chauffeur ne tarda pas à s’en saisir pour les malaxer avec ses mains sales. Il exigea de Lisbeth qu’elle le suce. La jeune femme avait beau gémir de plaisir sous la pénétration de Franz, il était hors de question qu’elle obéisse au chauffeur. L’odeur de sa verge lui donnait envie de vomir. Franz la prenait avec violence et en dépit de la situation, Lisbeth adorait ça. Sa vulve dégoulinait de plaisir. Son bassin suivait à la perfection les mouvements imposés par les coups de boutoir de Franz. Puis il se retira, laissant son gland juste à l’entrée de son vagin. Lisbeth gémit de frustration. Et les paroles de Franz la laissèrent sans voix.

* Si tu veux que je reprenne Elisabeth… Tu vas devoir lui obéir.

Inutile de préciser que le chauffeur appréciait ce qu’il venait d’entendre. Lisbeth, quant à elle, était déchirée par l’envie que Franz continue et l’horreur qui lui inspirait l’autre. Elle tenta de se dégager mais Franz la maintenait fermement. Son corps tout entier réclamait le sexe de Franz. Humiliée par la situation, Lisbeth se résigna à obéir. Elle aimait trop le plaisir que lui procurait Franz. Docilement, elle ouvrit la bouche pour avaler la verge du chauffeur et commença à monter et descendre lentement le long de la hampe tendue. Les yeux fermés, elle s’appliquait. Le chauffeur appréciait le traitement qu’elle lui prodiguait. Il suffisait de l’écouter pour le savoir.

* Putain mais c’est qu’elle aime ça cette chienne !

Sans prévenir, il lui attrapa les cheveux pour la forcer à mieux engloutir sa queue. Son envie de vomir était toujours présente mais la situation commençait à exciter Lisbeth de plus en plus. Etre contrainte à obéir lui plaisait plus qu’elle ne l’aurait cru. Le chauffeur se remit à malaxer ses seins avec force. Aucune douceur dans ces caresses, juste de la douleur. Lisbeth se remit à gémir de plaisir. L’homme pinçait, tirait sans ménagement, ses mamelons. Il la griffait même par moment. Son plaisir revenu, Lisbeth allait et venait avec gourmandise sur la queue qu’elle suçait. Le chauffeur devenait de plus en plus entreprenant. Il lui claqua violemment la fesse gauche. Lisbeth sursauta de surprise. Comme pour l‘inviter à recommencer, elle se cambra au maximum. L’homme ne se fit pas prier et lâcha une dizaine de claques sur sa fesse. La douleur décuplait son plaisir. Franz observait la scène. Qu’allait-il penser d’elle. Lisbeth se conduisait comme une chienne en chaleur et le simple fait d’y penser l’excitait d’avantage. Son vagin dégoulinait de plaisir et elle pouvait sentir ses cuisses trempées de sa cyprine. Elle continuait sa fellation avec ardeur.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 20 samedi 28 août 2010, 12:53:06

Cette petite fille de riche, avec ses airs supérieurs, est au fond une réelle petite garce. Elle prenait tellement son pied sous les pénétrations de mon gros membre, qu’elle se résous à prendre en bouche la verge du conducteur de taxi, dont c’est vraiment le jour de chance. Le vieux n’en croit pas ses yeux, ça doit faire bien longtemps qu’une femme ne s’est pas occupé de lui, et sans doute jamais aussi belle que Lisbeth. J’ai un large sourire pervers en voyant le conducteur agripper les cheveux de la jeune femme pour la forcer à engloutir entièrement sa queue puante, alors que de son autre main, il recommence à malmener ses seins avec vigueur. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle semble prendre son pied, le vieux commence à déposer des claques sur ses fesses, et ce sont des gémissements de plaisir qu’elle dégage.

Cette petite à un gros potentiel… Je vais devoir encore un peu la tester, mais il y a de grandes chances, qu’au-delà d’en faire une victime, je la prenne sous mon aile.

Le vieux vient plaquer la tête d’Elisabeth contre ses jambes pour la forcer à lui faire une gorge profonde, et au lieu de relâcher la pression de sa main, il commence à faire un mouvement de bassin, pour faire aller et venir sa queue au fond de sa gorge. Quant à moi, je ne reste pas longtemps inactif devant les gémissements de plaisir de cette petite chienne, d’un coup puissant de bassin, ma grosse verge vient écarter ses parois, pour commencer des vas et viens endiablés. Et comme si ça ne suffisait, je viens passer deux de mes gros doigts sur son anus, le massant d’abord, puis je les fais rentrer à l’intérieur avec des vas et viens vifs, pour écarter ses parois anales et les dilater peu à peu.

Au bout de quelques minutes, le vieux gémit de plus en plus, il ne doit pas être habitué à un tel traitement. Il stoppe ses mouvements de bassin, et agrippe à nouveau les cheveux de Lisbeth, pour s’assurer qu’elle ne puisse se retirer, et se laisser jouir en criant de plaisir.

Conducteur : Mmmmh ! Petite putain ! Je vais remplir ta bouche !

Apparemment ce doit faire un moment qu’il n’a pas gouté au plaisir de la chaire, tant son éjaculation est importante pour un humain. Je vois les joues de la jeune femme se gonfler au fur et à mesure que sa bouche se remplit de sperme, et il commence à couler à la commissure de ses lèvres.
En voyant le vieux se lâcher dans la bouche d’Elisabeth, je stoppe mes allers et venus qui ramonait son vagin, et je retire à nouveau à mon membre, lui faisant comprendre que tant qu’elle ne fera pas ce que je vais lui ordonner, je ne reviendrai pas. Par contre pour continuer de l’exciter, deux de mes gros doigts continuent d’aller et venir dans son petit trou étroit, puis un troisième vient se joindre à la danse.

Franz : Allez ma belle Elisabeth… Avales donc tout ce que t’offre ce charmant Monsieur.

Tout était dans l’ironie, je prenais un vocabulaire doux, pour lui demander de faire quelque chose d’horrible. J’attends qu’elle s’exécute, fixant sa gorge gonflée par chaque goulée.

Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...

Bien sûr je n’en avais pas finit avec elle, et je comptais bien la laisser se faire humilier par vieux plouc de conducteur.

Conducteur : T’as entendu petite chienne ?! Alors lèches moi, qu’elle redevienne toute dure !

Il parle bien sur de son membre, et comme pour la motiver d’avantage, il recommence à déposer des claques sur ses fesses, qui rougissent sous les coups. Quant à moi, je ne recommence pas à la prendre en levrette, j’ai une bien meilleur idée, pendant qu’elle lèche la verge poisseuse du vieil homme, je continue de pilonner son anus avec mes doigts, de 3 ils passent à 4, et son orifice commence à être considérablement élargit.
Sous les coups de langues experts d’Elisabeth, le conducteur ne met pas longtemps à retrouver une érection, alors je retire mes doigts de son antre, et j’attire la jeune femme contre moi, pour murmurer à son oreille.

Franz : Je sens que ça te plait d’être abusée comme une vulgaire trainée… Avec moi tu vas être servie…

Je la fais tourner pour que son visage soit face au mien, et en d’autres circonstances je lui aurais volé un baiser, mais autour de ses lèvres coulaient encore le foutre du vieil homme. Mes grosses mains viennent prendre possession de sa croupe, et je soulève Lisbeth contre moi. Je la regarde avec un air pervers, alors que je laisse mon dos reposer sur la porte arrière du taxi. Je commence à la faire descendre sur ma grosse verge, son vagin trempé s’empale sauvagement dessus, et je commence des coups de reins puissants, écartant ses parois avec force à chaque passage, jusqu’à ce que mon gland aille butter tout au fond.

MHMM ! Ma petite chienne ! Allez toi la bas, tu as un orifice qui t’attend pour le paiement du reste de la course !

Ma petite chienne ? Je commencerai presque à m’attacher ?... Alors que je continue de labourer son sexe avec des coups de bassins vifs et puissants, je resserre d’avantage mes mains sur ses petites fesses, pour mieux élargir son anus, et le présenter au vieux conducteur qui ne semblait attendre que ça.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 21 lundi 30 août 2010, 17:05:05

Lisbeth sentit Franz reprendre possession d’elle. Son membre allait et venait avec violence dans son vagin. Les gémissements de la jeune femme redoublèrent sous ce nouvel assaut. Le conducteur lui maintenait toujours la tête et maintenant, il la baisait littéralement par la bouche. Lisbeth sentit les doigts de Franz sur son anus avant que ce dernier ne les enfonce brusquement. La jeune femme se cambra sous la violence mais ne chercha pas à se dégager. Le vieux porc râlait de plus en plus et finit par éjaculer dans la bouche de Lisbeth. au même moment, Franz se retira d’elle sans pour autant cesser d’ouvrir son cul. Pour Lisbeth, il était clair qu’elle devait avaler le sperme du chauffeur si elle voulait que Franz continue. Ce qu’elle fit à contre-cœur, le goût de la semence du vieux était infect et lui donnait envie de vomir. Pourtant, Lisbeth ne voulait pas que cela s’arrête. Cette humiliation lui donnait bien plus de plaisir que d’ordinaire, même si la jeune femme peinait à l’admettre.

*Bien maintenant qu’on a payé le monsieur pour la route qu’il a fait, il faut payer la route qu’il fera pour nous ramener chez toi...

Lisbeth hoqueta de surprise en entendant les paroles de Franz. Et visiblement, le chauffeur était partant pour continuer. Histoire de la motiver, il claqua avec force les fesses de la jeune femme à plusieurs reprises. Se résignant de nouveau à obéir, Lisbeth recommença à sucer le sexe gluant du vieillard pensant que Franz la prendrait de nouveau. En fait, seuls les doigts que ce dernier avait mis dans son anus étaient actifs. Il l’ouvrait sans ménagement. Ce qui accentuait le plaisir de Lisbeth sans qu’elle ne puisse rien y faire. Le vieux porc bandait à nouveau. Et continuait à martyriser les tétons de la jeune femme. Ces derniers étaient devenus particulièrement sensibles. Franz choisit ce moment-là pour la relever et la faire se tourner face à lui. La lueur sadique que Lisbeth put voir dans ses yeux l’intrigua. Visiblement, il avait une idée en tête et elle n’était pas certaine de l’apprécier. Franz s’appuya sur le taxi avant de la soulever et de venir l’empaler sur sa verge. Ses coups de boutoir déchiraient ses entrailles pendant que ses mains écartaient ses fesses au maximum. Soudain, Franz invita le chauffeur à venir la sodomiser. La jeune femme se colla à Franz mais celui-ci la repoussa en redoublant ses mouvements. Le chauffeur se dirigea vers l’arrière de son taxi et ouvrit le coffre.

*Attends mon pote, j’ai mieux pour dresser les chiennes dans son genre… Va juste falloir que tu la tienne face à moi quelques minutes avant de poursuivre.

Le porc éclata de rire. Un rire gras et malsain. Sans doute intrigué parce ce que voulait dire le chauffeur, Franz reposa Lisbeth à terre. Il lui fit faire demi-tour et lui bloqua les poignets dans le dos. Le vieux revint avec de drôles de pièces en métal dans la main : en forme de rectangle, creuses, une vis sur l’une des barres les plus longues et un anneau sur celle opposée. Il en plaça une sur le téton gauche de Lisbeth, l’anneau en haut, et serra la vis au maximum. La jeune femme hurla de douleur et tenta de se soustraire à ce châtiment mais Franz la maintenait fermement. Le chauffeur recommença l’opération sur son mamelon gauche. Les larmes roulaient le long des joues de la jeune femme.

*Pitié… Enlevez-moi ça, j’ai trop mal.

Pour toute réponse, le vieux envoya une claque sur son sein droit. Furieuse, Lisbeth essaya de le mordre. Le chauffeur éclata de rire.

*Attends un peu, j’vais te calmer moi !

Il retourna fouiller dans son coffre et revint avec une barre de métal. Sur chaque bout était attachée une lanière de cuir. Il força la jeune femme à ouvrir la bouche pour y mettre la barre et l’attacha derrière sa tête à l’aide des lanières. Puis il sortit de la poche de son pantalons deux petites chaînes. Il en accrocha une sur chaque attache de ses seins et raccrocha les deux dans l’anneau qui était sous la barre de métal dans sa bouche. Ainsi, le seins de Lisbeth étaient tirés vers le haut sans ménagement, accentuant la douleur.

*Voilà, comme ça elle va se tenir tranquille ta chienne !

Franz retourna Lisbeth vers lui pour contempler le résultat. Avant de l’empaler de nouveau sur sa verge et de recommencer à la prendre avec force. Le vieux vint se positionner derrière elle et la sodomisa sans demander son reste. Ainsi prise, Lisbeth ne pouvait plus se dégager. Encore aurait-il fallu qu’elle le veuille. Le chauffeur attrapa les chaînes et commença à jouer avec.

*Regarde-la cette pute comme elle mouille !

Le chauffeur prenait Franz comme témoin du plaisir de Lisbeth d’être ainsi maltraitée. Et il fallait bien avouer que la cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. D’ailleurs, les gémissements de la jeune femme se faisaient entendre de plus en plus. Les deux hommes la prenaient comme une vulgaire traînée et l’excitation de la jeune femme était à son comble

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 22 mercredi 01 septembre 2010, 16:57:58

Malheureusement pour Lisbeth en plus d’être tombée sur un vieux pervers, celui-ci a l’air d’avoir de lourdes déviances sexuelles. Il trimbale dans son taxi des accessoires de bondage, qu’il ne manque pas d’utiliser sur elle. En quelques minutes, ses gros seins sont maintenus en l’air par un système d’anneaux et de chaines, qui va jusqu’à une barre de métal traversant sa bouche.

Une fois l’installation terminée, je la retourne contre moi, et la regarde avec un air sadique, alors que je la refais descendre de tout son poids sur mon gros barreau de chaire qui n’attendais que son petit vagin. Le vieux lui, ne demande pas son reste pour venir pénétrer avec force son anus dilaté par mes soins.

Ainsi Lisbeth est prise en double pénétration dans cette petite ruelle, par ce vieux conducteur pervers, et par moi, deux personnes qu’elle vient juste de rencontrer, et apparemment ça l’excite au plus haut point. Ses orifices sont distendus, élargis par nos membres qui la ramonent, même si celui du conducteur est moins imposant que le mien, le fait que son anus soit plus étroit lui fait tout de même ressentir de violentes pénétrations.
Le corps de Lisbeth étant maintenu en l’air sous la force de nos bassins, mes mains ont tout le loisir de profiter de ses formes généreuses. Je viens appuyer sur ses seins gros seins, tendant d’avantage ses tétons, puis de mon autre main, je viens frotter mon pouce contre son clitoris, le pinçant par moment entre deux doigts.
Quant à lui, le conducteur, semble apprécier la croupe d’Elisabeth, tant ses mains aiment venir y frapper, alors qu’il vient déposer ses lèvres charnus sur sa nuque et commence à la lécher avec sa langue baveuse.

C’est vrai que t’as l’air d’aimer ça Elisabeth… D’être prise comme une chienne entre deux mâles…

En la voyant comme ça, j’ai déjà en tête quelques clients qui payerai une petite fortune pour disposer d’elle et d’assouvir leur penchants sadomasochistes. Les minutes défilent sous ce traitement intense, lorsque ma grosse verge est profondément plaquée dans le vagin de Lisbeth, je peux sentir la pression de celle du conducteur. Au bout d’un moment, les gémissements du vieux sont de moins en moins espacés, et il finit par jouir. Ses mains viennent presser et griffer les fesses de la jeune femme, alors que son sperme se déverse dans son anus.

Conducteur : MAAAH ! Petite salope voilà pour toi !

J’intensifie mes coups de buttoir avec rage, mes mains malmenant sa poitrine, et mes bourses claquant contre sa peau. Puis mes muscles se contractent et je jouis à mon tour, avec une puissance qui est sans égal comparé à celle du conducteur. Mon gros barreau de chaire plaqué dans le vagin de Libseth, déformant ses parois, palpite au fur et à mesure des jets de sperme qui inonde son antre. Je lâche de longs râle de plaisir, c’est la deuxième fois que je remplis son vagin, j’espère pour elle qu’elle a un bon contraceptif… Enfin… C’est son problème.

Le conducteur s’écarte d’Elisabeth, puis s’assoit sur le siège de sa voiture pour souffler, moi je retire mon gourdin de son sexe, puis la dépose à terre, et tapote sa tête avec ma main, comme un maitre félicitant sa chienne de lui avoir apporté son journal. Je ferme mon pantalon, puis je débarrasse la fille de riche de ses chaines, et la soulève pour la faire monter à l’arrière de la voiture. Je rends l’attirail sadomasochiste à son propriétaire, avant de remonter dans le taxi aux côtés de Lisbeth.

Franz : Bon je pense que vous avez été largement payé pour finir votre course. Alors en route.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 23 vendredi 10 septembre 2010, 10:22:25

Les deux hommes la prenaient brutalement. Réduite au silence, Lisbeth ne cherchait même plus à résister tant le plaisir qu’elle ressentait la submergeait. Complètement dilatée sous les coups de boutoir de ses deux tortionnaires, elle gémissait sans relâche. Le chauffeur finit par jouir dans son cul qu’il n’avait pas cessé de martyriser tout en se servant d’elle. Ses fesses la brûlaient suite à tous les coups reçus. Franz n’était pas en reste, accentuant la douleur qu’elle ressentait au niveau des seins à cause de l’attirail que l’autre pervers avait posé. Franz finit par jouir à nouveau. Il la posa au sol pendant que le chauffeur retournait dans son véhicule. Prenant le temps de se rhabiller, Franz la débarrassa ensuite de ses entraves. Lisbeth lâcha un cri de douleur quand ses mamelons furent libérés. Franz l’installa dans le taxi avant de rentre au chauffeur ce qui lui appartenait. La jeune femme ne bougeait plus. La seule chose dont elle avait envie était de rentrer chez elle pour se laver. Elle ne se reconnaissait pas et avait honte de se comporter comme une chienne en manque de mâle. Tête baissée, elle attendait.

*Bon je pense que vous avez été largement payé pour finir votre course. Alors en route.

Obéissant à l’injonction de Franz, le chauffeur remit la voiture en marche. Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent au pied de son immeuble. Lisbeth voulut remettre la veste pour sortir mais Franz s’y opposa.

*Je… Je ne peux tout de même pas sortir ainsi…

Pour toute réponse, Franz la sortit de force de la voiture et ils prirent ensemble les escaliers menant chez elle. Priant pour ne rencontrer personne, Lisbeth se laissait faire. Manque de chance pour elle, ils croisèrent l’un de ses voisins. Humiliée, Lisbeth se hâta vers son appartement qu’elle ouvrit avant de s’y engouffrer, suivie de près par Franz. La jeune femme prit la direction de sa salle de bains.

*J’ai besoin d’une douche…

Sans donner le temps à son compagnon de réagir, elle partit sous la douche. L’eau chaude lui faisait du bien. Une glace se trouvait à l’intérieur de la douche, Lisbeth aimant regarder son corps pendant des heures. L’image qui li était renvoyée l’effraya. Son corps était couvert de marques diverses, sans compter le supplice subit par ses seins. Lisbeth avait bien du mal à se reconnaître. Attrapant une fleur de douche, elle se lava vigoureusement, cherchant à faire partir l’odeur du vieux qu’elle sentait sur elle. Occupée, elle en avait totalement oublié la présence de Franz. Réalisant ce qu’elle venait de subit, elle se laissa doucement glisser sur le sol carrelé et resta ainsi sans bouger. Cet homme lui faisait subir des horreurs et Lisbeth devait admettre qu’elle aimait être traitée ainsi. Entendant du bruit, elle se rappela brusquement qu’elle n’était pas seule. Elle sortit alors de la douche puis s’essuya avant de retourner dans le salon. N’ayant pas du tout envie que Franz lui détruise une autre tenue, Lisbeth resta nue. L’homme s’était installé dans l’un des deux fauteuils. La jeune femme resta debout, dans l’encadrement de la porte. Elle pouvait voir les yeux sombres de Franz la détailler entièrement. Cette inspection visuelle raviva son plaisir et sa vulve s’humidifia de nouveau et de façon suffisamment visible pour que Franz puisse le voir. Lisbeth rougit de honte. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se sentait chienne en présence de cet homme. Elle avait envie qu’il la prenne, qu’il se serve de son corps comme bon lui semblait, mais elle était incapable de dire une telle chose. Lisbeth évitait de croiser le regard de Franz. Elle ne voulait qu’il puisse lire ce qu’elle pensait. Elle décida donc de faire quelque chose pour couper court à la situation.

*Vous désirez quelque chose ? Je peux vous offrir un verre d’alcool…

Sa voix tremblait tellement qu’elle ne pouvait rien dire de plus. Elle se contenta d’attendre la réponse de Franz.

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 24 vendredi 24 septembre 2010, 15:46:02

Lisbeth ne semble pas du tout à l’aise alors que je la force à sortir nue de la voiture, son corps encore souillé par ma semence et celle du conducteur de taxi pervers, visiblement, elle est bien moins enthousiaste que lorsqu’elle était entrain de se faire prendre pas nos deux gourdins. Nous montons à son appartement et croisons un de ses voisins, il doit avoir à peine 14 ans, et fait les gros yeux en voyant sa voisine sexy complètement nue. Ce doit être la première fois qu’il voit une femme nue de sa vie, et qui plus une très belle femme. Lisbeth, toute honteuse, se dépêche de rejoindre la porte de son appartement et s’y engouffre, se ruant dans sa douche. Je la suis juste derrière avec un sourire sadique aux lèvres, puis prend place dans un fauteuil en attendant qu’elle revienne.

Peu après, le corps nu de Lisbeth apparait dans l’encadrement de la porte, j’y glisse mon regard appréciant de nouveaux ses formes, j’ai l’impression que ce corps à été créé pour qu’on en abuse. Mon sourire s’élargit lorsque je vois son sexe s’humidifier à nouveau, cette femme est une vraie nymphomane, et je compte bien ravir ses pulsions. Elle me demande si je veux boire quelque, et je lui fais signe de venir avec un mouvement de l’index.

Viens par là…

Une fois Lisbeth à porter de main, je l’amène face à moi, agrippant ses fesses pour faire venir son sexe à niveau de mes lèvres.

Oui j’ai une petite soif…

Je viens passer ma grosse langue le long de sa fente, humide, et je commence à la lécher avec ardeur, pressant fermement ses fesses en même temps. Je viens pincer entre mes lèvres son clitoris avant d’y déposer des coups de langues, mais si elle pense s’en tirer à s’y bon compte, et que je la prenne tout de suite comme une chienne, elle se goure, ce serai bien trop facile. Je veux qu’elle se sente comme une petite salope en manque, et qu’elle fasse des actes qui lui feront honte une fois que le désir sera retombé. Je retire mes lèvres de sa vulve, et je cherche quelque chose dans ma poche, je sors un string avec une caractéristique un peu « spéciale ». Il faut dire qu’il est accompagné d’un vibromasseur, mais sans dire un mot de plus, je force Libseth à l’enfiler, faisant remonter le string le long de ses jambes, jusqu’à sa taille, le god s’empalant d’un coup dans son vagin.

Tu vas voir… Ca va te plaire.

Je remets la main dans ma poche, puis sors une petite télécommande et appui sur un bouton, qui commence à faire bouger et vibrer le god dans son antre humide. Je me redresse et dépose une claque sur les petites fesses de ma victime, puis me dirige vers la cuisine, où je trouve un petit tablier. Je rejoins Lisbeth, et la fait revêtir ce tablier, qui cache difficilement ses formes généreuses. Je vole un baiser à la jeune femme, ma grosse langue s’engouffrant dans sa cavité buccale et jouant avec les siennes, alors que je saisis ses seins violemment à travers le tissus du tablier, et je les malaxe et les presse joyeusement.

Je sens Lisbeth irradié par le plaisir, étrangement la violence l’existe, je m’écarte d’elle, et après un petit sourire sadique je lance :

Tu es parfaite en cuisinière salope. Et je crois qu’il te manque un ingrédient pour réaliser ton plat, je crois que c’est un bonne dose de foutre… Et tu sais ce qu’on fait quand il nous manque un ingrédient ? On demande gentiment au voisin s’il peut nous en prêter…

Tout en sous entendu, je me dirige vers la porte de l’appartement, et sort dans le couloir, où le petit voisin que l’on a rencontré précédemment joue encore.

Hey petit… Viens par là… Lisbeth à besoin de ton aide !

Le jeune adolescent se lève avec un regard interrogateur, mais après tout, c’est sa voisine, il la connait bien, elle est gentille, donc s’il peut l’aider, ce sera avec plaisir. Quand il entre dans l’appartement, il rougit en voyant sa voisine, vêtue d’un simple tablier, alors que je l’invite à s’asseoir dans un fauteuil.

Adolescent : Lisbeth ? Le monsieur m’a dit que tu avais besoin d’aide ?

Je peux voir l’entrejambe de son voisin, gonflé peu à peu à la vue du corps d’Elisabeth, alors que discrètement, j’augmente l’intensité du vibromasseur qui frotte ses parois vaginales.

Franz : Oui… Il lui manque un ingrédient pour sa cuisine, tu serai d’accord pour lui fournir ?

Ado : Oui bien sûr… Si je l’ai-je t’en prêterai volontiers Lisbeth !

J’affiche un sourire pervers, en posant mon regard sur la jeune femme, et tout en augmentant à nouveau la force du vibromasseur, je lui fais signe de se mettre au travail.

Franz : Alors qu’est ce que tu attends Elisabeth ? Ton gentil voisin te dit qu’il veut bien t’aider. Alors sers-toi.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 25 mercredi 13 octobre 2010, 14:14:34

Franz lui ordonna de s’approcher. Lisbeth s’exécuta. Il attrapa ses fesses fermement et posa sa bouche sur sa vulve trempée. La jeune femme sentait la langue la fouiller sans ménagement, ce qui entraîna assez vite des gémissements de sa part. Elle écarta les jambes pour faciliter l’accès à Franz. Ce dernier finit par la relâcher. Lisbeth gémit de frustration. Puis Franz sortit quelque chose de l’une de ses poches : un string muni d’un vibromasseur. Il la força à l’enfiler, ce que la jeune femme fit de bonne grâce d’ailleurs. Avant d’actionner une télécommande ! Le gode commença à vibrer en elle immédiatement. Lisbeth hoqueta de surprise. Elle ne bougea même pas quand Franz se leva, lui claquant les fesses au passage, pour aller chercher un tablier de cuisine qu’il lui fit mettre. Que lui réservait-il encore ? A la fois anxieuse et impatient, la jeune femme gardait le silence.

Franz la laissa seule quelques instants avant de revenir avec son jeune voisin. Il était difficile pour Lisbeth d’ignorer l’effet qu’elle faisait à l’adolescent qui venait de s’asseoir : sa verge commençait déjà à gonfler dans son pantalon. L’ordre de Franz la sidéra. Ce dernier choisit ce moment pour augmenter les vibrations du gode planté dans son vagin. Lisbeth se mordait les lèvres. Elle ne pouvait décemment pas sucer ce gamin !

*Je ne peux pas…

Pour toute réponse, Franz la regardait en souriant. Le plaisir commençait à se faire de plus en plus impérieux et la jeune femme sentait sa vulve dégouliner le long de ses cuisses. Après un dernier regard suppliant à Franz, elle s’approcha du garçon et se mit à genoux devant lui. Son voisin la regardait sans comprendre. Lisbeth libéra son sexe avant de se pencher en avant et de le prendre en bouche. Plus fin, et surtout plus petit que celui de Franz, elle n’eut aucun mal à l’avaler en entier. D’abord surpris, son jeune voisin se laissa faire, trouvant la situation à son goût visiblement.

*Putain, c’est trop bon ! Dire que mon père pense que tu es coincée !


Laissant son enthousiasme prendre le dessus, l’adolescent commençait à s’enhardir, lui attrapant les cheveux pour l’obliger à le sucer. Encore un qui voyait des films pornos en cachette. Pendant ce temps, la langue de Lisbeth allait sur la hampe dressée à une allure endiablée. Elle ne voulait plus qu’une chose : avoir le sperme de son partenaire en bouche. Ses réticences l’avaient abandonnée au fur et à mesure du plaisir engendré par les vibrations du gode. En bonne chienne, elle ne cherchait plus qu’à satisfaire Franz pour qu’il la prenne et la fasse de nouveau jouir. Elle releva la tête quelques instants pour regarder son bourreau. Ses yeux le suppliaient de venir la prendre. L’intérieur de ses cuisses était trempé. Le regard de Franz était chargé de perversité.

*T’arrête pas ! T’es trop bonne ! Continue !

Se rappelant au bon plaisir de Lisbeth, son voisin la regardait, un brin furieux qu’elle ait cessé sa fellation. Résignée, la jeune femme engloutit de nouveau la verge gonflée par le sang. L’une de ses mains se dirigea vers sa croupe. La jeune femme n’en pouvait plus. Devant l’immobilisme de Franz, elle décida de se satisfaire. Introduisant un doigt dans son anus, elle commença une série de va et vient tout en suçant l’adolescent. Les gémissements de ce dernier se faisaient d’ailleurs entendre de plus en plus. Lisbeth ne tarda pas à ajouter un deuxième doigt au premier tant son cul était ouvert. Elle se refusait à supplier Franz de venir.


--]HRP : Dsl pour le retard[--

Franz Nielsen

Créature

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 26 samedi 04 décembre 2010, 15:34:05

Je souris en voyant les yeux de l’adolescent s’écarquiller alors que sa voisine qu’il pensait si sage, vient prendre sa verge dressée entièrement en bouche. Elle commence à le pomper alors que je vois sa cyprine dégouliner le long de ses jambes, le gosse gémit de plaisir, ce doit être sa première fellation, et il s’en souviendra longtemps. Au bout d’un moment Lisbeth s’arrête et lève les yeux vers moi, semblant m’implorer de la prendre comme la petite chienne qu’elle est. Puis elle recommence à sucer son voisin, qui gémit de plus belle et vient saisir les seins opulents de la jeune femme pour les pétrir. Elle ne tient plus, et approche ses mains de ses fesses pour commencer à doigter son petit trou, avec un doigt, puis un deuxième.

Je souris devant cette scène, elle sait qu’elle fait quelque chose de mal, c’est son voisin, beaucoup plus jeune que lui, mais elle est tellement dévorée par le désir qu’elle a perdu la notion des choses. Je viens me placer derrière elle, et ouvre mon pantalon, descend mon boxer pour libérer ma verge, puis j’agrippe les poignets de Lisbeth pour l’empêcher de se doigter, et je commencer à frotter mon membre dur et chaud contre sa croupe. Je tiens ses mains à l’aide d’une seule des miennes, pour que de l’autre je vienne agripper ses cheveux, pour relever sa tête et lui faire cesser sa fellation.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?

Je viens presser mon gland contre son anus, pour lui faire comprendre que si elle ne dit pas ce que je viens de lui demander, je ne la prendrais pas. Une fois qu’elle a satisfait ma demande, je mets à rire, et j’appuie sur sa tête pour lui faire engloutir à nouveau le sexe de l’adolescent. J’enclenche le vibro qui bouge à l’intérieur de son vagin à la position maximal, puis je relâche ses mains pour venir agripper ses fesses avec fermeté. Mon gland se met à pousser contre son orifice avant de s’y engouffrer, puis d’un coup de bassin puissant je fais entrer le reste de ma hampe et je commence à ramoner son anus. Je soupire de plaisir en sentant ses parois si étroites presser contre mon membre imposant, alors que mes bourses commencent à claquer contre son bassin sous la puissance de mes allers et venus.

Lisbeth

Humain(e)

Re : Une fugueuse à croquer (PV Lisbeth)

Réponse 27 vendredi 24 décembre 2010, 11:50:26

Qu’elle haïssait Franz de lui imposer une telle chose ! Honteuse, Lisbeth suçait son jeune voisin dans l’espoir que l’homme qui la regardait faire viendrait enfin la remplir une nouvelle fois. L’adolescent, lui, ne se posait plus de questions, profitant de ce qui lui était offert : sa voisine. Les doigts de la jeune femme allaient de plus en plus vite dans son cul. Du coin de l’œil, elle vit Franz se lever et venir se positionner derrière elle. Avant de bloquer ses bras, l’empêchant ainsi de se satisfaire elle-même. Gémissant de frustration, Lisbeth sentit rapidement la verge de Franz venir se frotter contre sa croupe. Dieu qu’elle voulait qu’il la prenne ! Mais au lieu de ça, il lui attrapa les cheveux et la força à relever la tête.

Alors Lisbeth… Dis à ton voisin à quel point tu aimes sa queue et que tu veux le sentir jouir dans ta petite bouche ?


La jeune femme ferma les yeux quelques instants. Elle ne pouvait pas… Mais le membre qui coulissait contre ses fesses eut raison de ses réticences. Rouge de honte, elle leva son regard vers le jeune garçon et répéta les mots imposés, humiliée encore un peu plus par Franz. Qui ne tarda pas à l’obliger à reprendre sa fellation, enclenchant dans le même temps la vitesse maximum de son vibro. Sous l’effet du plaisir, Lisbeth abandonna et suça avec ardeur la queue qu’elle avait en bouche. Son cul fut brutalement ouvert, forcé, par le membre imposant de Franz. A chacun de ses coups de boutoir, le membre de son jeune voisin venait heurter le fond de sa gorge. Ce dernier d’ailleurs avait repris les cheveux de Lisbeth pour l’empêcher de relever la tête. Au bord de la jouissance, la jeune femme sentait le sexe palpiter de plus en plus.

*Putain, ça vient ! Avale salope !

Précision inutile, Lisbeth n’ayant pas vraiment le choix si elle voulait que Franz continue à ramoner son cul avec vigueur. Ce dernier d’ailleurs ne se gênait pas pour faire d’elle une vraie chienne lubrique. Son anus la brûlait à force d’être utilisé ainsi et pourtant, ses hanches allaient au devant de Franz. L’adolescent finit par éjaculer dans sa bouche par saccades. Lisbeth n’avala pas sa semence, la gardant en bouche dans l’attente des ordres de Franz. Elle ne cessait de gémir, prenant garde à ne pas perdre le liquide qu’elle avait en bouche, ne sachant pas comment son tortionnaire réagirait si c’était le cas. La jeune femme n’en pouvait plus. Son cul déchiré et sa chatte remplie par le vibro finirent par avoir raison d’elle. Son corps tout entier se tendit brutalement au moment de sa jouissance. Lisbeth n’ouvrit pas la bouche, laissant juste échapper un long gémissement avant que ses jambes ne puissent plus la soutenir, la laissant sans force entre les mains de Franz, sa queue plantée dans son cul et le vibro toujours en marche.


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