Nom/Prenom/Surnom : Lucie
Age : Bloquée à 14 ans depuis deux ans et demi
Sexe : fille
Race :Humaine
Orientation sexuelle: Cela dépend… Naturellement hétérosexuelle, elle devient tout ce qu’il est possible d’être, et ce un jour sur sept dans la semaine.
Description physique : Deux ans et demi… Cela fera bientôt trois ans. Et chaque matin, toujours pareille, toujours la même, sans une cicatrice de plus et sans la moindre poussée de croissance ! Voilà deux ans et demi que Lucie a voulu conclure un pacte avec le diable. Deux ans et demi que la jeune fille s’est faite rouler. Deux ans et demi qu’elle ne grandit plus et se réveille chaque dans le même état. Une jeunesse éternelle, pensera t-on ? Plutôt une certaine renaissance qui ne plaira en rien à la jeune Lucie. Mais ne commençons pas à nous perdre en détails, cela viendra en temps et en heure.
Lucie a donc cette allure de jeune fille chétive, mince et aux joues encore rondes. La peau d’une grande douceur, simplement imberbe de tout poil récalcitrant, est aussi d’une extrême pâleur, la couleur de la chaire de jeune fille. Malgré cela, de ses joues émanent une incroyable sensation de vie, bien rose et d’une grande tendresse. Ce sont des joues qui se marient très bien avec la rondeur de son visage sur lequel s’égare souvent un petit sourire fin et naturel. Un sourire qui n’exprime plus beaucoup de choses, derrière lequel se cachent nombre d’horreurs subites au cours des deux dernières années.
Au-dessus de ce sourire a élu domicile un tout petit nez très légèrement pointu. Et au-dessus de ce petit nez, deux grands yeux curieux, colorés de la clarté du ciel. Des yeux qui trahissent diverses émotions en fonction des journées et qui mentent beaucoup sur le vrai caractère de la jeune fille. Mais lorsqu’elle a enfin la possibilité d’être elle-même, ce n’est que pour afficher un regard des plus tristes et accables qui ne cherchent qu’amour et affection. Ses cheveux, retombant en désordre devant, derrière et sur les côtés de son visage, n’en affiche point moins une certaine flamme de la jeunesse, car de belle couleur rousse. Une vraie rousse, si l’on en croit ses sourcils merveilleusement fin.
Pour le reste de son corps, tout s’affiche en petitesses : de petites mains aux petits doigts, de petites jambes aux petits pieds, un ventre plat. Ses formes sont encore au stade développement. C’est à dire que sa poitrine, bien qu’existante, reste fort timide, mais ses fesses conservent déjà un aspect on ne peut plus intéressant. C’est fort simple : elle est bien trop fine pour son âge et pourrait se briser comme une allumette. Cet aspect fragile pourra être adoré ou bien méprisé mais, quoi qu’il en soit, Lucie se déteste comme elle est. Elle déteste ses mains, ses cheveux, son nez, ses lèvres trop fines et ses yeux d’un bleu qu’elle juge presque faux.
Ses vêtements sont les mêmes depuis deux ans. Maintes fois elle a tenté de les changer, sans grand succès. Comme s’ils étaient rattachés à elle, elle vit donc avec et les porte sans, trop de choix.
C’est une robe blanche, s’arrêtant au niveau des genoux et attachée à l’aide de gros rubans violets en nœud dans le dos et au-dessus de la poitrine. Un mignon petit béret trône constamment sur le sommet de sa tête et semble être radicalement bancale tout en ayant le mérite de ne jamais glisser.
De larges collants noirs recouvrent une bonne moitié de ses jambes et une petite partie de ses cuisses est toujours exposée à l’air libre, souvent frileuses lorsque le temps se rafraichit. Pour finir, elle se chausse avec de petites sandales noires fort mignonnes, allant de couple avec le reste de son accoutrement. Lorsque Lucie s’éveille, près de son tas de vêtements toujours bien plié, repose également ce qui ressemble à s’y méprendre à une grosse machette. Une machette qui a connu bien des utilités, que ce soit pour la jeune enfant ou contre elle…
Caractère : Lucie a tout ce qu’il faut pour faire d’elle une jeune fille modèle, intelligente et curieuse. Elle a peur des araignées. Pense encore que les cigognes apportent les enfants, malgré son âge. Mange de la soupe pour grandir. Saute dans les flaques d’eau. Aime les bonbons et les gâteaux. Adore caresser les animaux en particuliers les chats. Pense que si on arrive à faire un nœud dans sa bouche avec la tige d’une cerise, c’est que l’on sait bien embrasser. A une peur phobique de la vue de son sang et du noir. Bref, une personnalité d’un grand classique mais qui fait d’elle une fille adorable. A première vue… Du moins… En vérité, elle-même ne sait plus quels sont ses traits de caractère véritable, car Lucie a un problème… un grave problème !
Lucie est maudite : soumise aux sept péchés capitaux, elle est dans l’obligation d’en subir un différent chaque jour de la semaine, et ce de manière exacerbée. Connaissant aujourd’hui fort bien la particularité de chacun de ces pêchés, elle s’adapte du mieux qu’elle peut pour leur résister. Aujourd’hui encore, cela reste extrêmement difficile.
Avarice : Le deuxième pêché qui lui pause le moins de problèmes, étant donné que la jeune fille ne possède presque aucune petite fortune. Son avarice se traduira avant tout par le profit, les coups bas pour profiter des autres, le refus catégorique d’aider ou de faire preuve de bonté. Entre temps, à défaut de tout cela, elle parvient à rester une jeune personne à peu prés convenable.
L’avarice lui donne une opinion très différente de la valeur des choses, de la marque, de l’appartenance à la catégorie sociale et du prix en général. Elle se plait alors à donner son avis, critiquant le pauvre et celui qui ne parvient par à se sortir de l’échec, faisant preuve d’un caractère dédaigneux et critiquant elle-même sa propre situation.
Lucie se plaira, sous l’avarice, davantage avec les personnes au compte en banque bien remplit et qui font preuve d’une incroyable prudence à l’égard de leur fortune et de leurs richesses. L’avarice est le premier péché à se manifester en semaine, à savoir le Lundi.
Colère : La colère étant un péché totalement opposé à son caractère naturellement posé, calme et d’une grande gentillesse, Lucie parviendra à l’affronter tant qu’elle aura conscience de son propre plongeon dans ce redoutable pêché. Mais lorsqu’elle en devient la victime, pour une raison ou pour une autre, elle aura bien du mal à faire marche arrière et à garder un jugement tiède mais réfléchi. Poussée à son paroxysme, la colère déclenchera une véritable folie furieuse dans l’esprit de la jeune fille qui s’en prendra alors verbalement à presque tout le monde.
Une folie destructrice prendra le contrôle de son corps avant qu’elle ne se mette à casser ou abimer tout ce qui suivra son chemin, et ce jusqu’à ce que la fatigue vienne mettre fin à son manque de contrôle. Lorsque rien ne se trouve sous sa main, la pauvre Lucie n’hésitera absolument pas à s’en prendre à son propre corps. Lorsque sa vision redevient claire, ce n’est alors que pour mieux subir la douleur qu’elle s’est octroyée sans véritablement le vouloir…
Beaucoup de choses peuvent énerver la jeune fille sous ce pêché, qui évitera alors le contact général des gens. Cependant, la solitude est ce qui sera de plus dangereux pour son être, n’ayant personne d’autre à qui s’en prendre. La colère a le Mardi comme jour comme jour d’apparition.
Envie : C’est là le pêché qui n’a presque aucune emprise sur la pauvre Lucie. Il était prévu que la jalousie s’empare de son âme pour lui faire accomplir les coups les plus vils et les plus bas. Seulement, la seule chose que l’enfant désire plus que tout autre, c’est bien la fin de son horrible calvaire. En contre partie, ce jour-là, elle fera preuve d’une grande solitude et la tristesse se lira davantage sur son pauvre visage. C’est le jour où Lucie a la possibilité d’être presque totalement elle-même.
De nature alors poétique et mélancolique, ce jour-ci se consacré à un vrai plaisir, une journée qu’elle tentera de profiter du mieux qu’elle le pourra. Les gens a qui elle parlera seront ceux qu’elle jugera apte à lui redonner le sourire, à la faire rire et à lui faire découvrir beaucoup de bonne chose dans cette morne vie.
L’envie, quoi que presque inexistante, s’est réservée le mercredi.
Gourmandise : Ah… la gourmandise… Voilà quelque chose à laquelle la jeune Lucie aime s’abandonner ! De manière naturelle, c’est le péché dominant de cette enfant gourmande. Il n’est que seulement exacerbé. De plus, elle n’est adepte que de choses légères ou bien pas excessivement lourdes. Sushis, soupe, jus, foie de veau et légumes crus seront ses plats de priorité. Mais tout ce qui alléchera son odorat et excitera sa langue sera une cible prédéfinie pour sa bouche et son estomac. Le risque qu’elle encourt, et qu’elle subit dans dix pour cent des cas, est l’indigestion et la régurgitation, quelque chose qu’elle se force parfois à faire pour manger davantage encore…
Lorsqu’elle ne mange pas, ce n’est que pour discuter paisiblement de ses petits plaisirs culinaires ou de simplement cuisiner pour les autres. C’est d’ailleurs la seule chose qui puisse lui sortir cette envie de tout dévorer de l’esprit. En présence de fins gourmets, bien que n’était pas une cuisinière talentueuse, elle se plaira à découvrir de nouvelles recettes et entrera même souvent en compétitions. Une personne qui parvient à l’agacer sur ce qu’elle fait parviendra également à la dégoutter… Mais c’est bien rare.
Lucie aura tendance à traîner avec ceux de la même trempe que son pêché ou bien assez compétents pour parler de ce qui les motive réellement. Rêver et vibrer, voilà ce qui la motive quand elle ne mange pas le Jeudi.
Orgueil : Bien qu’elle ne soit pas douée à beaucoup de choses, Lucie tombe aisément sous le joug de l’orgueil. Ce n’est pas là un mépris des autres, seulement l’envie insatiable de parler de soi, d’être le centre du monde et des conversations. Prête à donner des conseils, même à ceux qui n’en veulent pas ou qui n’en n’ont point le besoin, elle remet alors tout en question et ceux jusqu’aux détails les plus infimes, parlant constamment avec des « moi je ». Le problème avec l’orgueil est que cela a tendance à beaucoup… énerver les gens et à lui créer de graves ennuis. La nature humaine est, après tout, très susceptible !
L’enfant est cultivée, le sais et aime à le dire à qui veut bien l’entendre ou pas. Il est hors de question d’écouter les autres qui n’ont pas leur mot à dire et agira alors de manière contradictoire, parfois en opposé total avec la logique dans le but de faire sa tête de mule. Elle en dira des choses qu’elle n’aurait osé avouer ou simplement dire autrement et s’inventera des compétences qui sont imaginaires, comme des réussites ou des excursions et des aventures rocambolesques dont elle est l’héroïne.
Si on l’écoute et si on l’approuve, cela sera suffira amplement à Lucie pour rester et étaler davantage sa science. Mieux encore, si on décide de la renier, elle s’entêtera et clamera haut et fort que les autres ont torts. L’Orgueil prend place dès la matinée du Vendredi.
Luxure : La bête noire ! La journée qui épouvante Lucie à chaque instant qui s’en rapproche… Jusqu’à ce qu’elle n’y pense plus, car désormais sa victime : La luxure. En journée, elle devient comme une animale en chaleur qui produit de puissantes phéromones attractives en plus d’une libido largement accentuée. Ainsi, même si elle parvient à résister à ses envies, elle est très souvent la cible de viols multiples qui finissent par faire craquer ses barrières et à lui donner l’envie de sauter sur tout ce qui peut produire du plaisir.
La parole ne compte plus… Seule l’action compte ! Et Lucie n’hésitera pas à se mettre dans les bonnes conditions d’un viol pour assouvir ce terrible pêché incontrôlable, que ce soit avec des femmes, des hommes ou tout autre chose. Capable du pire comme de l’impensable, elle devient presque suppliante pour qu’on lui donne ce qu’elle pense désirer plus que tout autre. Au fur et a mesure que la journée s’écoule, Lucie voit généralement son corps se marquer de diverses façon, tant ce pêché la donne d’un appétit effrayant. Elle en est consciente et en pleure souvent tout en désirant que sa libido cesse immédiatement, ce qui n’est jamais possible.
Qu’importe les gens qu’elle côtoie, il faut qu’ils soient compréhensifs et prêts à donner. De plus, l’ironie fait que nombre de gens ont le temps qu’il faut pour cela, le Samedi étant une journée où beaucoup ne travaillent pas.
Paresse : Son énergie la quitte. Non pas qu’elle veuille dormir sans arrêts, ce qui n’est absolument pas le cas. Mais plutôt qu’elle s’accorde alors un esprit tout à fait neutre, qui ne s’intéresse à rien et qui est tout simplement inintéressant. Soumise à la paresse, Lucie ne répondra, si elle répond, que par des phrases simples et donnera très rarement son avis. C’est la journée de la semaine où la jeune enfant ne lutte plus.
Cette journée est particulière puisqu’elle ne pensera qu’à une seule et même chose qui la travaillera tout le long de l’arc de cercle du soleil : Comment se suicider efficacement. D’une certaine manière, c’est la paresse à la vie, ou la fatigue d’être ainsi torturée. Irrémédiablement, cette journée s’achèvera par un suicide peu couteux en matière de frais matériel mais diablement efficace…
Ce pêché suit parfaitement bien avec la Luxure puisqu’elle aurait de quoi être physiquement et mentalement épuisé. De plus, l’on dit souvent que le Dimanche est le jour du seigneur. L’enfant a souvent l’espoir de faire cesser cette mascarade le dimanche et d’espérer aller au Paradis… ou du moins d’aller ailleurs que dans cet enfer terrestre !
Histoire : La petite Lucie n’avait pas une vie facile. Et la pauvre enviait beaucoup celle des autres. Sa copine lui faisait souvent la tête pour des raisons si futiles. On lui avait volé son téléphone portable et une roue de son vélo. Et ses parents étaient sévères ! Non, c’était loin, très loin d’être une vie facile ! Mais comme une grande, grâce à une éducation stricte et efficace, la petite Lucie ne se plaignait pas et faisait même de son mieux pour être une enfant modèle sage et respectable. Heureusement, il y avait Croc !
Croc, c’était son chat ! Mais son père était allergique aux poils d’animaux… Elle ne leur en avait jamais parlé… Néanmoins, elle voyait souvent Croc, la petite boule de poils qu’elle avait trouvé au pas de sa porte, dans un carton déformé. Elle l’avait prestement emmené dans le petit bois du coin. Elle connaissait une cabane délabrée où personne n’allait. C’est ici qu’elle nourrit et dorlota Croc, suivant les recommandations d’un manuel de la bibliothèque de son école. Elle découvrit ainsi que le lait n’était finalement pas ce qu’il y avait de mieux pour un jeune chat, pouvant lui causer d’horribles problèmes de digestion. Elle lui amenait donc de l’eau délicieusement tiède et de la nourriture adéquate. Parfois même, elle le laisser bouloter de gros morceaux de thon, alors que la famille se demandait où disparaissait les fameuses boîtes.
C’était le compagnon idéal, même si son père se demandait pourquoi ses crises revenaient à chaque fois qu’elle venait lui faire la bise du soir. Un jour, cependant, le chat mourut. Il fut simplement tué par un chien errant. Voilà. Ce fut aussi simple que cela. Lorsque l’on n’est pas habitué par la mort, le choc peut-être rude. Lucie eu du mal à s’en remettre. En détresse, elle l’avoua à ses parents qui se mirent au devoir de la punir pour mensonges et provocs d’allergie auprès du père. C’était trop injuste ! C’était à cause de son père si son chaton était décédé ! Car oui, c’était plus qu’un animal, c’était une personne ! Bien plus encore que ses parents ! C’était de lui dont elle avait le plus besoin maintenant !
En rentrant de l’école, quelques jours plus tard, ce qui se faisait appeler un Grand Magicien l’interpella. Il était au courant de sa détresse et avait la possibilité d’exaucer ses souhaits les plus sincères et honnêtes. Mais pour cela, elle devait lui faire confiance, ce qu’elle acquiesça sans hésitation. Le magicien n’était autre que le diable en personne qui s’était pris de pitié pour la petite Lucie. En échange d’une signature sur un grand parchemin jaunit, il pouvait exaucer tous ses vœux. Elle n’en demanda que deux : Le retour de Croc et la disparition de ses parents. Ainsi pourrait-elle alors s’en occuper chez elle sans être injustement blâmée. Lorsque sa signature maladroite fut griffonnée sur le papier, le diable lui sourit avant de déclamer que cela était chose faite. Lucie pouvait rentrer chez elle le cœur léger.
Ce ne fut que pour constater le corps étendu et sans vie de son paternel : mort d’une crise d’allergie plus puissante que les autres. De sa bouche et de ses narines dépassaient quantité de poils animal, comme si on les lui avait furieusement enfoncé. Et ses yeux… exorbités, en sang… Epouvantée, elle en avait hurlé à sa pauvre mère, en larmes. Jusqu’à ce qu’elle la retrouve dans la cuisine, morte de chagrin. Ses veines étaient fraichement tranchées, se vidant encore dans leur fluide. Un fluide tiède que Croc buvait doucement en ronronnant avec tendresse.
Pactiser avec le diable demande des sacrifices. Voilà désormais deux ans et demi que la jeune Lucie subit les fourbes du traité. Chaque jour est un nouveau jour où elle subit l’un des sept péchés capitaux. Croc s’est depuis longtemps enfui, nullement reconnaissant de l’acte de bravoure de celle qui l’aura tant de fois dorloté. Mais ce n’est pas le pire. Chaque nuit, la petite Lucie est condamnée à mort. Et chaque matin, elle renait, un nouveau caractère s’étant imprégné de son esprit.
Ainsi, chaque nuit, la pauvre Lucie devient la victime de morts effroyables, allant du meurtre à l’accident en passant par des évènements dont l’horrible douleur sont à jamais gravés dans l’esprit de la jeune fille. Car oui, malgré chacune de ces épouvantables tortures, sa mémoire reste intact pour mieux lui faire ressentir la sensation de ses membres perdues la veille ou le principe de la décollation et bien d’autres encore, si nombreux qu’elle ne pourrait tous se les remémorer. Deux ans et demi que ce calvaire dur sans espoir de rédemption. Quelle vie reste t-il pour une âme qui n’a que trop de fois goutté à la mort ?
Situation de départ : Plus vraiment me direz vous… Mais Lucie redevient vierge à chaque levé du soleil.
Autres :
-Renaissance quotidienne
-Obligée de mourir chaque soir
-Subit un pêché capital en particulier en fonction du jour dans la semaine
Comment avez vous connu le forum: Une copine me la confié
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Non pas trop :s j’ai déjà hésité à m’inscrire
Soyez indulgents, c’est mon premier vrai fofo :s