9 mois après...[Pv Fitz]

Voilà neuf mois que je cultivais mon jardin d'un air triste en observant le lieu où Fitz mon amour drogué m'a donné mes premiers frissons.
La tristesse se ressentait dans ma chambre et dans ma serre. Mes fleurs se fanaîent vite, ma chambre était plongée dans le noir. Non sans Fitz je me sentais vide...
Je continuais de m'occuper que d'une seule plante, la Gaieloveuse.

J'avais enfin le philtre hors de mon sang, mais les effets secondaires ne partiraient que lorsqu'on brulera mon corps. c'était les aléas de la vie, pourtant, meme sans les effets de philtre j'avais toujours ce sentiment pour Dolly, c'était étrange, pas mauvais a sentir, mais étrange. Ne sachant pas trop comment exorciser ca, je me rendis dans les serres de Dolly, quelle tristesse.

Les serres étaient vide de leurs plantes, elles avaient fané, il n'en restait qu'une, c'était la gaieloveuse, la plante qui m'avait donné une horrible déendance au sexe, mais c'était aussi un magnifique moyen d'évasion. J'entrais, me dirigeais vers la plante, elle avait mon ancienne compagne d'infortune, étrangement, mon coeur se mis a battre la chamade en la voyant. Sans bruit, instinctivement, j'avancais vers Dolly et la regardai s'occuper de sa seule plante, elle semblait mélancolique.

Bonjour Dolly

Bonjour Dolly

Ce...Cette voix ! Encore une hallucination...Je devrais arrêter de cultiver l'opium...Je me retourne quand même pour en être sur et là...

FITZ !

Je me jette dans ses bras et ne me prive pas de pleurer de joie. Mon amour ! L'homme de ma première fois était de retour ! Je l'enlace de toute mes forces.

Fitz ! Fitz ! Fitz ! Tu m'as tellement manqué !

Avec l'envol de ma mélancolie mes plantes reprirent leur beauté que Fitz avait connu. Je restais allanguie contre lui. Mon tendre amour...Je veux rester tienne avec ou sans filtre

Je ne m'attendais pas a ca... Mais bon, c'était compréhensible, j'étais son premier amour, lorsqu'elle se bloti contre moi, effacant toute sa mélancolie, son monde redevint lumineux, la serre repris vie, c'était une matriarche et un démon décamillenaire, ses pouvoirs étaient tres grands. Elle ne faisait que dire mon nom, se lamenter que je lui manquais, elle était heureuse, elle en pleurait meme.

Je....je suis la Dolly....ca va aller maintenant.

J'étais étrangement bien en la serrant dans mes bras, en sentant son corps contre le mien j'étais revenu, drogué comme il y a 9 mois, mais cette fois sans infusuion, je fis une erreur, pourquoi? l'envie! J'embrassai alors ma douce Dolly, je ne voulais pas me l'admettre, mais elle me manquais.

Tu m'as manqué toi aussi mon coeur

Je....je suis la Dolly....ca va aller maintenant.

Je sens ses lèvres contre les miennes et les dévore avide de leur douceur. Mon amour m'a tant manqué... quand il romp notre baiser je le regarde et entends des paroles qui me réchauffèrent au plus profond du coeur.

Tu m'as manqué toi aussi mon coeur

Je lui souris et l'embrasse à nouveau toujours plus avide de ses baisers tellements doux...

Je n'ai pas réussi à t'oublier malgré le fait que les effets de la Gaieloveuse ce soit dissipés...

J'étais dans un état second, son corps, ses mots, son odeur, elle sentait si bon que je ne pouvais pas me dépaitrer de ce sentiment d'amour qu'un philtre m'avait fait mirroité, j'étais comme marqué au fer par un sentiment qui, n'étant pas le mien, restait toujours en moi, je me rappelle lui avoir offert sa premiere fois ici meme, mais cette fois ci, je n'avais pas était empoisoné, j'étais de mon plein gres dans ses bras et je ne voulais pas les quitter.

Mon amour, viens chez moi, je sais que je ne peux pas aller chez toi, mais le contraire est possible...

Oui j'avais appelé Dolly amour, c'est peut etre parce que je l'aimais, que je ne voulais pas me séparer d'elle, malgres cette drogue qui me rongeai a chaque fois qu'une fille m'abordait. Pendant les 9 mois qui avient suivit notre mésaventure amoureuse nous avions choisi de ne pas nous cotoyer, pour ne pas avoir a souffrir lorsque les effets prendraient fin, mais apparemment, c'était pas vraiment nessaicaire, elle comme moi n'avait pas oublié ce sentiment qui nous avait unis.

Mon amour, viens chez moi, je sais que je ne peux pas aller chez toi, mais le contraire est possible...

Fitz...

Je le regardais dans les yeux, pensive.  Vivre avec lui... Il faudrait un autre corps...

Je ne peux pas vivre chez toi. Mais tu peux venir. Molly sera d'accord ! Le temps que je trouve une solution pour nous séparer elle et moi !

Je me blottis contre lui et l'embrasse. J'ai envie de lui...De mon amour à moi.

Je n'étais pas encore pret a lui demander une instalation définitive chez moi, mais je trouvais juste plus intime mes appartements. Je regardais ma belle Dolly, je n'avais jamais comrpris poutquoi je l'aimais, mais on ne cherche pas dans ces cas la, on aime, c'est tout. Je lui ris tendrement sa main et la guifa vers le téléporteur de mon étage. Mais j'avais oublié les petits soucis de cette machine, nous franchiment le passage, Molly avait fait en sorte que les males tombent chez elle, chose qui m'arriva, mais Dolly elle se retrouva au bon endroit.

Non, pas encore une fois.....Heureusement que je peux faire demi tour

Sans meme jeter un regard aux amies de l'autre Dolly, je rebroussait chemin, retournais pres des serres, mais jétais seul. Il me faudrait franchir le passage a pied, monter les marches et user de la vieille méthode pour rejoindre mon amour, a moins que j'attende qu'elle se rende compte qu'il était resté sur place, si elle revenait, elle pourrait obliger Molly a remettre en place le téléporteur pour au moins un voyage. Pourvue qu'elle revienne....

Il m'emmena vers le téléporteur et fut amenée à sa maison. Cette maison sentait le sexe à plein nez... J'eus un air triste...Une autre femme était venue...

Je repris soudain mes esprits.

OH NON LES TELEPORTEURS !

Je repris le chemin inverse et vit mon amour entrain de m'attendre devant la serre. Je me jette dans ses bras.

Excuse-moi j'avais oublié le tour de Molly.

Je pris l'apparence de celle-ci qui fut obligée de remettre les téléporteurs à la normale pour un court instant. Avant de reprendre mon apparence pour enlacer mon Fitz à moi.

Je voyais le teleporteur s'activer, elle avait compris, j'étais allé encore une fois dans cette chambre la. Alors que je m'appreait a pester contre Molly, elle se confondit en excuse et fit changer les teleporteurs et revint sous sa forme Dolly pour m'enlacer. J'étais un peut géné, vivre avec deux personnes differentes cohabitant le meme corps, ya de quoi devenir skizo!

Ce n'est rien mon ange, c'est de ma faute, j'aurais dut demander a Molly de regler les teleporteurs comme avant et d'arreter de faire ses contours de lois...

Je ne pouvais pas simplement la supprimer, j'étais mine de rien amoureux de ma petite Dolly, moi qui m'étais juré de ne jamais donner mon coeur a personne... Ma parole envers moi meme avait réduit fortement, enfin, ce n'est pas si mal d'aimer. Mais ca fait mal quand tout s'arrete

Ce n'est rien mon ange, c'est de ma faute, j'aurais dut demander a Molly de regler les teleporteurs comme avant et d'arreter de faire ses contours de lois...

Non. Molly ne l'aurait pas fait sinon. Personne ne lui donne d'ordres. On la supplie c'est tout.

Je lui souris et le conduit vers le téléporteur. Nous arrivons dans son appartement et je me blottis contre lui en écoutant son coeur battre.

Deux amoureux dans leur nid, rien ne pouvait nous gener maintenant, Molly n'était pas primante sur Dolly, je l'avais a moi seul, mon aimé, l'élue de mon corps et de mon coeur, celle qui fait battre mon coeur neuf mois apres. Lentement, je lui passait le bras autour de ses epaules, c'est vrai qu'il restait une odeur de sexe, fable mais presente. Sans lui adresser un seul mot, je pris une paire de verre dans le bar et une bouteille de chamapgne gelé par un passage rapide au frizer avant de servir les deux coupes.

Tiens, a notre cité et a notre amour, puisse til aussi bien tenir que ces murs!

Je portai un toast a nous, a notre amoir interdit, moi, un homme de 23 ans, bâtard royal avec une sorte de facette d'une matriarche de 14 ans, c'était contre toutes les regles, mais je l'aimai et je braverai n'importe quel interdit pour etre a ses cotées. Apres avoir bue ma coupe j'embrassait tendrement ma compagne en caressant ses courbes, elle m'avait tant manqué...

Il prit une coupe de champagne et me la tendis. Je la pris entre les mains et entendis son toast.

Tiens, a notre cité et a notre amour, puisse til aussi bien tenir que ces murs!

Santé.

Je souris et bois une gorgée avec lui avant qu'il ne m'embrasse. Je sens ses mains me parcourir et je rougis.

Je vais éviter de boire je ne tiens pas l'alcool...

Je savais que notre amour était interdit mais j'm'en foutais. Je l'aime j'le garde.

Alors que nous trinquions, je me souvint soudain que Dolly était pure, elle ne connaissait pas l'alcool, boir comme cela pourrait la rendre completement ivre, en plus le champagne est un alcool traitre. Je l'enlacait, jetant mon esprit dans ses pensés, elle s'ne foutait  qu'on n'ait pas le droit de s'aimer, tant qu'elle m'aimait, aucune regle comptait a ses yeux, c'était magnifique. Je me baissait un peut et lui déposait un tendre baiser sur ses levres pétillantes de champagne.

Et si nous consomions cet amour interdit mon ange?

J'étais on ne peut plus clair, en plus, le lit de plume était a deux pas, lit que je partagerais avec elle, toutes les nuits, du moins celles ou je ne suis pas en mission, l'embrasser, la toucher, lui parler, lui faire l'amour, tout ca était une évidence pour moi, je ne m'en passerai jamais.

Je sentis ses lèvres tendrement posées sur les miennes pour ensuite entendre un :

Et si nous consomions cet amour interdit mon ange?

Autant que tu veux mon amour...

Je m'assois sur lit à plumes et m'allonge dessus.

Je t'attends mon ange...

Je lui souris et lui tends les bras. J'avais mit une petite robe noire en dentelle avec une combinaison sans manches ni jambes noire en dentelle. Je retire mon petit chapeau et lui sourit.