Rencontre en sous-sol. [PV Harmonie]

[Je tente la première personne pour tester dans quel condition je rp mieux.]

Il faisait nuit sur Terre, je connais bien cette planète, presque autant que celle de Terra, si j'avais décidé de faire une petite excursion dans le monde des humains sans pouvoirs, ce n'était pas sans raison, en effet les humains de la Terre ont la fâcheuse tendance à surprendre et surtout ont un sang qui est des plus délicats, avec un léger arrière goûts de luxure et d'égoïsme, un parfum des plus apprécier à petite dose bien sûr.

La lune n'était pas pleine, cela empêchera les quelques rares loups-garou de venir se frotter à moi. Mais là n'est pas le sujet, j'avais envie de me divertir un peu, quand on vit des millénaires, l'ennui est le pire des poisons.

Aussi ai-je pris soin de porter une tenue qui soit dans le style de la Terre, même si je dois avouer que cela fait un moment que je n'y suis pas allé. portant une tenue qui datait de ma dernière venue qui date de l'époque du Moyen-Age.

Je pris une heure à explorer les lieux, demandant mon chemin vers des lieux qui n'avaient pas changé, ou très peu, depuis ma dernière venue, c'est alors que je vis un drôle d'escalier mener sous la terre, au début je pensais qu'il s'agissait d'une planque pour voleurs, mais un bruit qui ne m'étaie connu vint à supplanter ma méfiance par une curiosité presque maladive, c'était nouveau et donc cela tuait l'ennui.

Je descendis les marche, le bruit de mes bottes touchant le sol résonnait dans cet escalier où le plafond, les murs et le sol était dans une matière qui ressemblait au torchis mais d'apparence plus résistante et n'émettait pas l'odeur désagréable des végétaux en décomposition. C'est alors qu'une agréable senteur parvint à mes narines, une odeur de jeune humaine souillée par la luxure, ce qui promettait d'être intéressant.

Ma conduite m'empêchais de me jeter directement sur la belle pour lui sucer le sang, non, il fallait qu'elle le donne en connaissance de cause et avec son assentiment. Avec discrétion je vis la demoiselle, elle semblait attendre quelque chose, son comportement ne changeait pas trop des catin de l'époque, si ce n'est son jeune âge qui est assez intéressant, je fis un petit tour à la surface pour trouver de l'argent, un appareil contenant beaucoup de billets ne fis pas long feux sous ma puissance vampirique. Je mis les billets ayant le plus gros chiffre dans mon sac. Une fois cette action peu noble de faite, je redescendis les marche et vis que la demoiselle était toujours là.

Je sors de ma cachette me dirigeant vers le banc où la demoiselle était et commença la conversation.

" Bonsoir mademoiselle, quels genre de services rendez-vous en ce lieu ?"

un métro passa sans s'arrêter, faisant voler mes cheveux sous le souffle. Je devais la sembler bizarre, une jeune femme apparemment noble, parlant à une fille venant d'une famille moins aisé. Mais mon apparence et ma façon de me tenir devait la faire comprendre que j'avais une instruction différente de la sienne et que surtout j'étaie riche, même si le fait de démolir une machine qui donne des billet ne soit pas, en tant normal, une attitude pour une vampire de haute noblesse.

Papa avait décidé pour me punir de ne plus m’envoyer un seul centime. Cela faisait assez longtemps que je n’avais pas vendu mes service, je me retrouvais donc sans le sou comme une simple fille des plus bas rang de la branche social. Quel sentiment désagréable de se sentir appauvri! J’avais donc décidé à contre cœur de reprendre de service. A contre cœur car je ne connaissait personne dans cette ville du trou du cul du monde. A Tokyo j’avais mon petit réseaux et j’avais mes clients réguliers: des hommes riches et tout à fait à mon goût. La plupart des rendez-vous se fichaient par téléphone. Et encore à contre cœur que je  devait littéralement faire du tapinage! Quelle horrible sentiment de dégout! Mais il me fallait à tout prix cet argent! Pour l’occasion j’ avais mis une petite jupe d’écolière ainsi qu’une chemise immaculée que  j ‘avait pris soin de bien ouvrir pour laisser apparaitre mes dessous rose. J’avais misé sur une valeur sûr! Tout les hommes fantasment sur les écolières!

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Je me décida à partir de chez moi à 22heure. Il fallait que je trouve un endroit pas trop mal fréquente histoire que je ne me retrouve entouré d‘un groupe de brut assoiffé de chaire fraiche, mais aussi un endroit où j’aurait pût être tranquille je ne tenais pas vraiment à être dérangée par la police! Je marchais comme ça en cherchant mon lieu de prédilection pendant au moins 1heure. A 23heure donc près à abandonnée et à retrouver mes collègue dans un lieu attribuer à mon travail, je découvre un escalier donnant au métro, qui était encore ouvert à cette heure-ci. Je le descend et m‘assoie sur un banc, ce n’était peut être pas lieu approprié mais ici au moins je me sentait en sécurité avec tout les va et viens des voyage. beaucoup d’hommes me dévisageaient mais tous aussi écœurants! Prête  à partir j’aperçoit comme sortie de nul par, une jeune femme habillée de la plus étrange des façon, comme venue d’un autre temps. Elle se pose devant moi et me demande quel genre de service je propose. Je suis à deux doigt de rire: cette femme assez aisée et pas du tout le genre à vouloir les service d’une prostitué! De plus je n’ai pas pour habitude d’offrir mes services aux femmes

« excusez-moi mais je ne pense pas que vous sachiez quel genre de métier j’exerce, de plus je ne suis pas trop femme, vous devriez vous renseignez auprès des personnes concerné! »

Le hic c’est que j’ai vraiment d’argent et je ne pense pas qu’un bel homme vienne me demander mes service, je vais donc attendre la somme qu’elle va me proposer et j’aviserais.

Cette jeune humaine avait de quoi plaire à bien des humains, même si mon état d'esprit était pour le moins déconcerté à l'idée de porter de pareille vêtements, je ne pouvais en aucun cas nier que cela sciait à la perfections sur le corps de cette charmante demoiselle.

Je la voyais me regarder de la tête au pied, sans doute n'étais-je pas à son goûts ou étais-je trop jeune pour elle ? La réponse eut tôt fait de tomber par la jolie voix de cette fille de joie, utiliser des termes grossier et dégradant n'est pas mon genre, mais la demoiselle affichait fièrement ses préférences, sans pour autant chercher à me repousser, cela se voyait et si elle avait voulu vraiment me faire partir, elle l'aurait dit.

Ce qui m'amena à la conclusion qu'elle  était prête à me laisser une chance de la séduire. Aussi ne fis-je pas dans la dentelle, faire des phrases longues n'est utile qu'en présence de personne noble et non des personnes que certains qualifierais de "seconde classe".

" Au vue de votre accoutrement et de vos dires, je puis dire que vous cherchez un homme riche pour lui procurer du plaisir en échange d'une rémunération assez conséquente. "

Je croisa ma jambe droite sur celle de gauche, prenant une attitude quelque peu dominante, mais nécessaire pour montrer que je n'étaie pas une jeune femme qui c'était déguisée et que l'habit faisait le moine et dans mon cas celui d'une bourgeoise.

" Je ne suis pas très intéressée en temps normal par les femmes, jeune de surcroit, mais toujours faire plaisir à des hommes est d'un ennui tels que j'aimerais goûter à autres choses. Si cela vous gêne temps de vouloir me divertir quelque peu je suis prête à y mettre le prix, disons ... 69 000 yens (environs 600 euros), l'argent n'est pas un problème, reste à savoir si vous vous êtes intéressée."

Je savais, au vue des vitrines, que la somme énoncé pouvais surprendre voir choqué, mais je voulais voir si les moeurs avaient évolués depuis mon départ et cette jeune femme serait mon témoin pour ce test. Je la regarde fixement, histoire de la déstabiliser un peu, à l'époque du moyen âge plus d'une catin aurait mangé dans ma main pour se voir attribuer pareil somme.

" Alors, mademoiselle ... toujours opposé à l'idée d'essayer votre savoir faire sur une femme ? "

Bien apparemment cette était plutôt du genre à savoir ce qu’elle veut et j’était à son gout vraisemblablement! Elle avait beaucoup d’assurance pour une si jeune demoiselle. Elle semblait très expérimentée et déterminée à m’avoir. Elle avait l’aire d’être une personne plutôt aisée. Cependant elle s’était trompée sur mes critères de sélections.

« une homme riche n’est pas ma seule motivation. Je pense que vous êtes assez intelligente pour voir que je ne suis pas une simple catin sale qu’on croise à tout les coin rue  prête à tout pour gagnée un minimum d’argent pour ce nourrir et pour tout vous dire cette endroit n’est pas le lieu ou je pratique. Sachez que je choisie mes clients et que les hommes ne sont pas seulement riches mais surtout à mon goût. «

Elle me proposa alors 69 000 yens. Quel plaisanterie mon père me donnait beaucoup plus chaque semaine et mes tarif habituel était déjà bien plus élevé pour les hommes, alors avec cette femme qui avait l’air assez fortuné il fallait qu’elle m’en donne beaucoup plus.

«  au risque de me répéter je ne suis pas n’importe qui et aussi belle que vous soyez mademoiselle il en faudra un peu plus pour que j’accepte de bien vouloir assouvir à votre demande. «

Cela dit cette femme avait plutôt l’air propre sur elle et dotée d’une grande expérience. Elle pourrait être assez intéressante pour ma première expérience avec une femme.

Voilà une jeune femme qui en avait dans le ventre, ce n'était pas souvent le cas sur Terra, à vrai dire les jeunes femmes se contentaient de se trainer dans la boue pour s'en sortir, cette demoiselle le faisait pour s'en sortir, mais serait tout à fait capable de mettre son client à terre s'il advenait que ce dernier lui fasse une entourloupe.

Elle avait le sang chaud, d'ailleurs c'était souvent ce genre d'humaine qui avait le sang le plus raffiné, le goût de la jeunesse, aussi indomptable qu'un cheval sauvage, mais pour cette nuit j'allais bien devoir user de on intelligence pour pouvoir la museler et pouvoir avoir ce que je convoite.

" Excusez mon attitude peu convenable, jeune demoiselle."

Le son de ma voix avait été usé avec parcimonie, on pouvait percevoir un peu de moquerie, mais cela n'était pas pour la descendre moralement, non cette phrase avait pour but de la faire comprendre que j'arrêtais de la prendre pour ce qu'elle n'était pas.

Je me lève et m'approche avec un pas qui ressemble à celle du félin, mais où se dégageait aussi une sensation proche de celui du chasseur, puis d'un coup plus rien.

" Puisque je ne semble pas atteindre vos critères, dîtes les moi pour que je puisse les dépasser et vous faire donner envie. "

Cette phrase avait de choquant que c'était une bourgeoise qui venait de le dire. Mais pour une noble user de finesse et de stratégie fait partie intégrante de son éducation. J'en viens même à me rappeler une erreur monumentale, sans doute avais-je trop réflechit.

" J'en oublie les politesse, je m'appelle Galatea del Dragon."

Si elle avait un minimum de politesse elle me dira son nom, sinon je n'aurais qu'à continuer à l'appeler "jeune demoiselle".   

L’attitude de cette jeune femme me rendait plutôt perplexe, elle venait de s’excuser pour son attitude et pourtant quelque chose dans sa façon d’être laisser penser qu’elle pouvais se montrer plutôt dominatrice. Ce petit jeu commençais vraiment à m’amuser pourtant il était hors de question que je me donne maintenant. Elle s’approche de moi de façon sensuel et déterminée. Étrangement les rôle semble inversé et c’est elle qui essaie de me séduire.

 très intéressant. Vous semblez être déterminée à avoir ce que vous désiré, au point que vous me séduisez  alors que ceci est mon rôle n’est-ce pas? pour une femme vos critères me correspondent tout à fait, ici tout est une question d’argent. Et comme vous semblez être quelqu’un d’honnête; je ne vais pas vous mentir je suis peut être une experte avec les hommes, mais je suis totalement novice pour ce qui est des relations avec les femmes »

Galatea del Dragon est son nom, plutôt étrange, aussi étrange qu’elle. Cette femme est décidément bien mystérieuse. Habituellement je ne donne jamais mon vrai prénom, mes client m’appel comme il le désire. Mon chaton ou ma princesse jamais de nom vulgaire et dégradant ce serait une honte pour une fille telle que moi.

« mon prénom est Harmonie, inutile de vous donner mon nom car je pense avoir déjà bien entaché l’illustre nom de ma famille »

Je me lève et lui prend la main pour la ramener jusqu’a mes lèvres. Je ne fais jamais ça habituellement mais je devais m’adapter à cette mystérieuse noble, et puis surtout l’idée m’amusait beaucoup

Elle avait décidément tout pour me plaire, un esprit vif, une intelligence qui ne demande qu'à croitre, une franchise qui pouvait en déstabiliser plus d'un, mais si Harmonie est une novice, ce n'est pas mon cas, ayant des servantes vous vous doutez bien que j'ai dû m'accaparer leurs coeur avec plus de douceur que n'importe qui, cette humaine aurait put faire une magnifique servante, mais j'en avais assez et elle avait soif de liberté, cela se sentait, hors le fait d'être servante entrave quelque peu cette liberté.

"Nul doute que vous déshonorez votre nom en agissant ainsi, mais je ne vais nullement vous cacher que je suis aussi passé par cette étape là et bien des désagréments."

Elle me saisit la main droite pour l'apporter à ses lèvres, ma nuque frémit au contact de ses lèvres douces, Harmonie semblait avoir vraiment du mal, aussi, étant son ainé, je me devais de lui en apprendre d'avantage, je prend un visage davantage doux et  caresse de mon index ses lèvres, tout n'étant pas trop insistance, je me devais de savoir les bases qu'elle possédait et surtout si son intelligence savait s'adapter dans une situation nouvelle où elle était rarement soumise. Harmonie est une femme, elle devrais connaitre son propre corps, à moins que les tabous sur les pratique sexuelle en solitaire soient encore existant.

Comme une valse, elle avait fait le premier pas, c'était maintenant à moi d'y répondre, c'était toujours ainsi que j'agissais en amour, j'aimais comparer les ébats et la séduction comme une danse où les partenaires imposent leurs rythmes, leurs pas et où je devais suivre, les guidant petit à petit vers des plaisirs plus grands.

J'approche mon visage du sien, étant à quelques centimètres, cela pour la déstabiliser un peu et je donne un petit baiser doux sur son menton et sa nuque, sentant cette dernière frémir.

En réponse à mon baisemain  Galatea elle caressa mes lèvres. Très bien la partie pouvait commencer. Cependant je devait voir comment ce comporte cette demoiselle dans ses relation charnel. Je n’eu pas trop à attendre car déjà elle m’embrassait mon visage ces lèvres était douce et  je fut surprise à  frissonnée à ses baisés. Ce frisson titilla ma curiosité et je me sentie obliger d’y répondre. Mes lèvres virent alors ce poser doucement sur les sienne, lui offrant un baiser doux, doucement ma langue pénétra dans la bouche pour venir caresser le sienne. J’imagine qu’entre femme c’est toujours plus, alors ce soir je devait plutôt la joue comme ça.

Cependant je ne devait pas me laisser emporter pas mon excès de curiosité et devais penser avant à la raison de ma présence ici. L’argent. Une jeune fille comme moi ne devait absolument  pas se laisser déstabilisé par une première expérience lesbienne. Ma bouche se retira légèrement des sienne. Je sourit légèrement.

« j’espère que ce petit avant gout vous a plus, cependant n’oubliez pas que rien n’est gratuit avec moi, et vous ne m’avez toujours proposez plus que votre précédente demande, qui je vous le rappel n’est pas assez pour moi. »