L'appât a été trouvé, le poisson, enfin la vachette en l'occurance, a mordu et le pécheur a féré, il n'a plus qu'a récoleter le fruit de son travail en tirant lentement sur le fil cassant alors que sa proie ne se débat même pas, au contraire, elle lui saute dans les bras la gorge déployé en attendant le coup de grace. C'est parfait, parfait, que pouvait il rever de mieux? Un peut de gynécologie et elle soupirait et gémissait de plaisir, tres faiblement, mais ce n'était pas un homme en face d'elle, un demi loup qui avait des sens affuté et qui se réjouissait de voir la terranide receptive a de simples palpations. Qu'est ce qu'il se passera quand il arrivera aux vraies caresses?
Son plan fonctionait parfaitement, tout en trayant avec douceur, il se rapela le geste pudique de la terranide, elle avait protégé sa fleur intime avant de se laisser totalement offerte aux doigts experts de son futur maitre qui prenait un ascendant monstrueux en grapillant sa confiance a chaque instant qui passait. Elle l'embrassa, comme pour confirmer qu'il pouvait saisir ce corps qu'il allait examiner d'une toute autre maniere quoi qu'il arrive. Ce n'était pas si mal, Marcus n'avait pas l'envie de l'assomer, de la ligoter, de la descendre au sous sol et de commencer a faire ses tortures de plaisirs pour la soumettre... Cette méthode portait de meilleurs fruits, esclave sans meme le savoir, c'était ca la subtilité de ce jeune homme.
Sans réfléchir, Marcus pressa un peut plus fort son sein, s'éclaboussant de ce precieux liquide qui allait lui permettre de conserver cette esclave pour ses yeux et ses envies quotidiennes. Il répondit a son baiser en déposant lentement la bouteille au sol avant de passer la main dans ses cheveux et de se relever legerement en forcant un rougissement
Vous... enfin je... Vous n'avez rien fait de mal pour vous infliger ca... A moins que...
Son interuption volontaire en disait long, tres long sur ce qu'il avait entrevue d'elle, il jouait les timides en s'accrochant a la regle de la maison et voulait l'entendre de sa bouche. Ce sadique voulait entendre un "j'en ai envie" ou encore une remarque du genre "on ne fait rien de mal si c'est voulu" Une phrase qui montre qu'elle voulait aller plus loing et qui ferme définitivement le piege sur elle et la pousse et dans sa cage et dans ses draps. Merveilleuse tactique quand elle fonctionne sans accrocs... Il faudrait qu'il aprenne a son patron comment avoir ce que l'on veut sans brutaliser ni blesser la marchandise.
Quoi que pour Marcus Honey n'était pas une marchandise, mais un outil lucratif et consomable a volonter, suffit qu'elle le désire et il s'exauserra avec plaisir