Cette fois ci… Tu vas prendre. [PV Lili Ivanes]

Lili Ivanes est sans doute une de mes proies au potentiel le plus grand, depuis que j’ai jeté mon dévolu sur elle, elle s’est fait prendre par sa meilleure amie hermaphrodite à plusieurs reprises, deux de ses profs du lycée, et un grand black. A chaque fois, elle avait finir par prendre son pied, je ne peux expliquer pourquoi mais une fois que le désir monte en elle, elle devient différente, bien loin de la jeune adolescente douce et prude qu’on pourrait croire. Et ce que je suis entrain d’organiser, va sans doute la marquer pour longtemps, et me permettra de voir jusqu’où vont ses désirs pervers, en plus de m’apporter un bon paquet d’argent.

J’ai prévu d’organiser dirons nous en terme du métier, une petite réception, avec Lili comme attraction, mais en terme plus claire, la jeune adolescente va être au centre d’un gang bang. Et pour que celui-ci soit le plus rentable possible, il me faut des clients tentés par Lili, des personnes qui la voient tous les jours et n’imaginerai pouvoir la toucher que dans leur rêves les plus fou. C’est donc pour cela que j’ai choisis d’organiser cela au sein même du lycée, chose qui serai impossible à réaliser pour un simple homme, mais pas pour moi.  Prix de l’entrée ? 50 000 yens par personne. Les deux professeurs qui sont déjà mes clients, m’ont bien sûr tout de suite informés qu’ils seraient de la partie, et commence à en parler à d’autre professeurs qui seraient intéressés. Quant à moi je m’occupe de faire passer le mot à quelques élèves, et beaucoup ont vite répondu, des puceaux voulant une première expérience, des bads boys excités par l’idée du gang bang, ou tout simplement des collègues de Lili qui fantasment sur le corps de l’adolescente depuis un moment.

Finalement pas moins de 43 personnes ont répondus présent, profs et élèves confondus, tous réunis pour abuser du corps de Lili. Ayant offert leurs places aux deux profs qui sont déjà mes clients, vue qu’ils m’ont aidé pour l’organisation, cela nous fait 41 multiplié par 50 000 yens… Soit 2 millions 50 milles yens… Je crois que jamais une de mes proies ne m’a fait gagner autant en une seule fois.

Maintenant, il ne reste plus qu’a amené Lili dans le piège, et c’est Monsieur Paget, le prof de maths bedonnant qui va se charger de ça. Depuis qu’il pense que Lili est une vraie nymphomane, régulièrement depuis la première rencontre que j’ai organisé, il lui ordonne de rester à la fin du cours pour qu’elle lui fasse une fellation, ou lorsqu’il a envie de plus il la met en retenu le soir. Malheureusement pour elle, elle ne peut pas refuser, la vidéo est accablante, dessus on voit clairement qu’elle était consentante et pire qu’elle était demandeuse. De plus, il y avait toujours un risque pour sa meilleure amie Kira, le grand black l’avait déjà enlevé une fois, et il pourrait recommencer.

Ce soir là, monsieur Paget à donc mit en retenue Lili, et elle doit donc s’attendre à se faire prendre comme une chienne par son professeur, mais elle ne sait pas encore qu’elle est très loin du compte. Tous mes clients sont réunis dans la salle de classe qui fait office de retenue,  j’ai repris l’apparence du grand black pour le rappeler au bon souvenir de l’adolescente. Pour faire patienter les hommes en ruths, un vidéoprojecteur diffuse la scène de Lili avec ses profs, et du coup, la plupart sont déjà entrain de se masturber.

Après quelques minutes, la porte de la classe s’ouvre, et tous les regards se posent vers Lili qui vient d’entrer. Le regard de l’adolescente se fige et elle semble totalement effaré par ce qu’elle voit, tous ces hommes, ces hommes qu’elle côtoient tous les jours, entrain de se masturber devant la vidéo de ses « exploits ». Lili semble avoir un mouvement de recul, comme si elle voulait vite s’enfuir, mais Monsieur Paget agrippe son poignet et la pousse vers le centre de la classe, avant de fermer la porte à clé.

Monsieur Paget : Allons Mademoiselle Ivanes ! Vous ne voulez pas faire votre heure de colle ?!

Quelques ricanements s’échappent de la quarantaine d’hommes qui fait face à l’adolescente, ils vont enfin pouvoir se faire plaisir avec ses courbes excitantes. Si elle n’avait pas encore vue son « vieil ami » le grand black, je m’avance pour qu’elle puisse mieux me distinguer et j’affiche un sourire sadique.

Franz : Eh bien Lili… Tes amis attendent que tu retires ces vêtements qui ne te servent à rien…

Presque tous entrain de se masturber, les profs et élèves fixent Lili en attendant qu’elle leur offre la vue sur ses formes.

voilà qu'un mois est passé depuis que j'ai sauver Kira des griffes de ce grand black dont je n'ai pas put savoir le prénom, d'ailleurs et heureusement n'y moi, n'y kira ne l'avons recroisé depuis et j'espère ne jamais le recroiser.
depuis le jour ou nous avons quitter l'appartement de cette affreux individu, mes rapport avec Kira sont redevenue normal, nous nous voyons assez souvent, mais bizarrement elle fait comme si cette nuit là, rien ne c'était passé, j'ai bien des fois essayé de la relancer sur le sujet pour savoir si elle avait toujours cette énorme sexe masculin entre les cuisses, mais à chaque fois elle fait style de ne pas comprendre de quoi je parle, je n'insiste pas, mais il y à des moment ou j'aurais bien envie d'y goûter encore une fois.

alors que je me lève ce vendredi matin, je me dit qu'il ne me reste plus qu'une journée de cours avant le week end, mais je suis loin de me douter de ce qui vas m'arriver ce soir, je me douche et m'habille un peut comme d'habitude avec une petit string noir à dentelle, une mini jupe violette sombre m'arrivant à la naissance des fesses, d'où l'élastique du string dépasse sur mes hanches, un soutient gorge noir à dentelle assortie à mon string, un petit haut moulant rouge sang avec un tête de mort blanche dessiné sur le devant, celui ci ne couvre pratiquement que ma poitrine puisque il laisse mes épaules et mon ventre plat à nue, l'on peut donc aussi voir les brettelles de mon soutient gorge sur mes épaules, mes jambes sont décoré de long bas strié noir et rouge et qui m'arrive à mis cuisse, de petite chaussure noir de fille de bonne famille contraste avec l'ensemble, pour finir une peut de maquillage, mascara noir, rouge à lèvre violet clair et avec mes cheveux, je fait deux petites couette avec des élastiques décoré par des chauves souris.
enfin prête j'adosse mon sac et par vers le lycée.

arriver au lycée je retrouve kira, lui dit bonjours et allons vers la salle de notre premiers cours de la journée, le français puis l'anglais. nous arrivons à la moitié de la matinée et je sais déjà que les deux prochaine heures vont être très longue puisque j'ai deux heures de Math avec monsieur Paget, ce gros pervers dégueulasse qui à abuser de moi il y à un mois de sa alors que c'était tout simplement pour sauver kira que j'ai accepté qu'il me touche, bien sur il ne le sais pas et pense maintenant que je suis chienne en chaleur comme il le dit souvent, puisque depuis 3 semaines il s'amuse à me convoquer après son cours pour que je le suce, ou me met des heures de retenue pour aucune raison valable, tout sa pour abuser encore de moi pendant l'heure de colle, d'ailleurs il ne fait que m'enculer, heureusement il ne dure jamais très longtemps, il doit être tellement excité en attendant le soir que je viennent à la retenue, qu'il jouis vite, je voudrais bien qu'il arrête son manège pervers, mais je ne sais pas ce qu'est devenue la vidéo du grand black et je ne voudrais pas me retrouver sur le net.
j'ai tout de même tenter de prévenir le directeur suppléant de l'établissement de ce qui se passait, mais celui ci n'a pas daigné m'écouter et surtout me croire, protestant que je regarde trop de films à la télé et que si je suis mise en retenue ce sont pour de bonne raison.
je ne peut pour l'instant rien faire pour échapper à son autorité.

tiens d'ailleurs nous entrons en classe, monsieur Paget  rentre lui aussi toujours un regard pervers pour moi quand il rentre dans la classe, sans compter tout les autres pendant les deux heures de cours consécutif. aller courage c'est bientôt le week end, une heure passe et c'est au cours de la deuxième heure que je reçois violemment un papier rouler en boule contre ma tête, jeter par un de mes camarades de classe qui ne m'aime pas, sa peut être n'importe qui de toute façon puisque toute la classe ne m'aime pas sauf Kira. je pousse un petit cris en sentant la boule de papier frapper violemment ma tête.

AAaaaaiiie...

bien sur monsieur Paget reconnaîtrait cette voie entre mille je suis sur, je me retourne pour savoir qui à fait sa, mais ils font tous comme si personne n'avait rien vue, je me retourne vers le tableau et vois monsieur Paget juste en face de me table, il ramasse la boule de papier que j'ai reçu sur la tête et la défroisse devant moi, je peut apercevoir que c'est un dessin assez grossier de monsieur Paget lui même, enfin on reconnais clairement que c'est lui qui est dessiné nue, des poil partout, sa tête un peut caricaturé, avec ces lunettes ronde, son ventre bedonnant et entre les jambes un gros sexe fait à la vas vite.
il me regarde et prend un air méchant, mais sont regard lui reste pervers, je sais qu'il prend cette air parce qu'il y à les autres élèves, je commence à avoir l'habitude.

ceci est à vous mademoiselle Ivanes?

me demande-t-il en pliant la feuille en quatre.

non monsieur... ce n'est pas à moi... ont me la jeter dessus et...

ne me raconté pas d'histoire mademoiselle Ivanes, il y à votre nom dessus, je vais vous faire passer l'envie de jeter des papier par terre, surtout un contrôle de musique, vous pouvez être sur que je vais en parler à monsieur Bonnemort.
vous avez gagner une heure de retenue ce soir après les cours mademoiselle Ivanes.


mais monsieur je...

taisez vous maintenant, vous ne voyez pas que vous déranger vos camarades qui veulent étudier...

sur ces mots je me tais, outré et énerver qu'il me colle un vendredi soir, surtout que ce papier n'est pas à moi, que ce n'est pas un contrôle de musique et qu'il vas encore abuser de moi avant de partir en week end, en plus vue l'allusion de vouloir prévenir monsieur Bonnemort indique qu'il y à de forte chance pour qu'ils soit tout les deux à la salle de retenue se soir, j'en est des maux de ventre d'avance, ont peut dire que quand j'en aurais terminer avec eux deux sans doute je l'aurais bien mérité mon week end.

la cloche sonne enfin l'heure de manger, il était temps, nous allons manger et heureusement Kira est là pour me faire oublier ce qui m'attend ce soir en heure de colle, nous reprenons les cours avec l'histoire, la géographie, gestion et pour finir la journée une heure de musique, ce n'est vraiment de mon jour, surtout le vendredi ou j'ai ces deux profs pervers dans la journée, monsieur Bonnemort me regarde lui aussi avec un regard lubrique, s'en doute que monsieur Paget lui à déjà parler de ce qui c'est passer se matin, j'en suis presque sur.
l'heure passe et la sonnerie retentis la fin des cours pour tout le monde, sauf moi, avant que je ne sorte de la classe Monsieur Bonnemort m'interpelle.

mademoiselle Ivanes.

oui...

approché je vous pris...

je m'exécute, je ne risque rien il reste encore quelques élèves qui range leurs affaire.

n'oublier pas votre heure de retenue.

me dit-il, désemparé je baisse la tête et lui répond.

oui monsieur.

je suis maintenant sur qu'il sera dans la salle de retenue avec monsieur Paget, je raccompagne tout de même Kira jusqu'à la sortie du lycée, lui dit au revoir et sort ma feuille de retenue que monsieur Paget ma donner à la fin du cours de math, la salle qui y est marqué n'est pas habituelle pour les retenue, elle se trouve à l'autre bout du lycée, je part donc en direction de la salle à grand pas pour ne pas être en retard malgré la réticence que j'ai d'y aller, bizarrement je ne croise aucune des personnes qui s'occupe de nettoyer les salles de cours.
j'arrive enfin devant la porte de cette salle de retenue, mais j'entends du bruit comme si plusieurs personnes chahutaient, sa me rassure un peut, je ne serais s'en doute pas seule et donc j'aurais une heure de colle normal pour une fois depuis 3 semaines.

j'ouvre la porte et commence à m'avancer de quelques pas, je reste bloqué et bouche bée  devant la scène qui se déroule devant moi, la salle est pleine, mais pas que d'élèves, ils y à des profs, des surveillants, des personnes que je n'ai jamais vue ou peut être seulement croisés, il y à même le directeur suppléant de l'établissement monsieur Morant, là plupart ont leurs sexe en main et se masturbe leurs regard tous braqué sur moi, alors que j'entends ce que je pensais être du chahut derrière la porte se son en faite, des gémissements et des cris familier, je tourne lentement la tête vers le tableau blanc et vois avec horreur ce que projet le rétroprojecteur, les gémissement et les cris son les miens, ceux que j'ai pousser il y à un mois quand monsieur Paget et Bonnemort ont abusé de moi aidé par le grand black, d'ailleurs ils peuvent tous voir quand ceux ci m'ont prisent en sandwich, je me sent humilié, mais il faut que je parte d'ici et vite.

je marche à reculons vers la porte par laquelle je suis rentrer, mais je sent une main empoigner mon poignet, je tourne rapidement la tête la peur au ventre, j'ai à peine le temps de voir que c'est monsieur Paget qui devait être juste derrière la porte, je pousse un cris de stupeur alors qu'il me projette brusquement vers le centre de la classe, j'en perd mon sac de cours et celui ci glisse à terre jusqu'au font de la classe, paniqué je me recule et tourne sur moi même, mais ils sont tous autour de moi, si je me recule d'un c'est pour me rapprocher d'un autre, je ne sais pas quoi faire, j'entends le bruit sourd de la porte qui se ferme à double tours et monsieur Paget qui me demande si je ne veut pas faire mon heure de colle suivie de nombreux ricanement tout autour de moi, je suis terrifié, je ne me demande pas ceux qu'il me veulent je le sais très bien, surtout avec ce qu'ils ont put voir avant que je n'arrive, ils pensent tous avoir en face d'eux une jeune nymphomane aimant le sexe et sans tabou, mais ce n'est pas le cas, pourtant comment leurs faire comprendre alors qu'ils viennent de me voir être prise  par mes deux professeurs  celons leurs désire et ne pas dire non.

alors que le films continue d'être projeté et qu'aucun ne bouge de leurs place, que je vois alors s'approcher de moi le grand black, celui ci même qui à enlever Kira il y à un mois, alors que je ne pensais jamais le revoir, je suis maintenant pétrifié, c'est à cause de lui que ma vie au lycée est devenue un véritable enfer, il s'arrête à trois pas de moi et me dit que mes amis attendent que je retire mes vêtements qui ne me servent maintenant plus à rien.

je ne peut plus bougé et arrive difficilement à prononcer ces quelques mots en bégayant.

je... je... je ne ferais... r...rien... kira est... s... saine et sauve... je n'ai plus à... v ... vous obéir...

surtout que me déshabillé ne leurs feraient rien découvrir puisqu'ils ont déjà en gros plans mes orifices labouré par mes deux profs, il faut que je trouve une solution et vite, dans tout les cas je ne me laisserais pas faire...
 

Voilà Lili dans une position … « très compliquée », pas moins de 43 hommes forment un cercle autour d’elle, tous entrains de se masturber en la regardant. Des vieux, des jeunes, des personnes qui désir l’adolescente, d’autres qui veulent juste la faire souffrir, ils sont tous là pour elle, et certains ont déjà sortit leur caméra ou appareil photos, pour garder un souvenir de ce moment mémorable, et peut être aussi pour faire du chantage à Lili et obtenir ses faveurs à l’avenir.

Elle semble complètement apeurée en me voyant, il faut dire que le grand black est loin d’être un bon souvenir pour elle, c’est à cause de lui que tout à commencé. Elle dit que Kira est saine et sauve et qu’elle n’a plus à m’obéir, ce qui est vrai, mais il y a toujours la possibilité pour que le black se venge si cette soirée ne se passe pas comme je le veux, et ça, je suis certaine que Lili le sait.

Ah oui… Cette petite Kira… Elle est vraiment charmante, et tu sais quoi Lili ? Si cette soirée ne se passe pas comme tout le monde l’espère ici, je pourrais très bien aller la chercher pour te remplacer tu sais ?

Je lui souris de mes grandes dents blanches qui contrastent avec l’ébène de ma peau, quoi qu’il en soit, la réputation de Lili ne sera plus à faire au lycée, et si elle trouve que sa vie a été un enfer ces trois dernières semaines, elle n’a encore rien vue. Je m’approche un peu plus d’elle, et je peux la sentir frissonner de peur.

Allons Lili… Tout le monde a put constater à quel point tu aimais satisfaire les hommes… Ah mais je sais ! Si tu joues la farouche c’est pour mieux nous exciter c’est ça !

De nouveaux ricanement s’échappent des hommes qui encerclent l’étudiante, accompagné de :  « Ouais elle joue la fille effarouchée pour mieux nous exciter et qu’on la prenne plus fort encore ! » ou encore de : « Ouais ! On a bien vue la vidéo de toute façon, si elle a autant aimé se faire prendre par ses deux profs, là elle va encore plus prendre son pied la salope ! » . Bref, Lili ne peut pas échapper à cette soirée, qui s’annonce comme l’un des plus grandioses que je n’ai jamais réalisées.

Ramasse ton sac Lili.

Je lance cette phrase sur un ton qui vacille entre ordre, et invitation, peut être pense-t-elle encore que par miracle que c’est pour la laisser partir ? Que tout ceci n’était qu’une blague ? Mais alors qu’elle se penche pour ramasser son sac, je le retiens en posant mon pied sur la bandoulière. Je me mets à rire alors qu’elle tire dessus pour essayer de le soustraire à ma pression.

Voyez-vous ça Messieurs… Je crois que Lili à besoin d’aide… Qui veut l’aider ?

Cette phrase sonne le lancement d’une nuit que l’étudiante risque de ne jamais oublier. Le cercle autour d’elle se resserre, si bien que lorsqu’elle relève la tête, 5 verges tendues se trouvent au dessus de son visage. Des mains commencent à parcourir son corps en longs et en larges, 5… 10… 15… Plus de 20 mains, et donc pas moins d’une centaine de doigts s’aventurent sur son corps. Ses fesses sont pressées, sa poitrine malmenée par les multiples passages de mains dessus, son sexe commence à son tour à subir l’assaut de doigts plus ou moins gros. Un prof et un étudiant viennent saisir chacun une main de Lili, pour la porter sur leur membre… Le spectacle ne fait que commencer.

je reste sur mes gardes et regarde tout autour de moi pour ne pas me faire surprendre par un des hommes, en balayant tout le monde du regard, je remarque que certain ont sortie des portables et des caméscopes, ils les braques sur moi, quelques flaches m'éblouissent, sa me met encore plus mal à l'aise.

arrêtez de me prendre en photo et de me filmer!

mais je ne reçois en réponses que de petit ricanement sans pour autant qu'ils arrêtent, c'est alors que le grand black prend la parole et m'explique que si cette soirée ne se passe pas comme tout le monde l'espère, il irais chercher kira pour me remplacer. je le regarde d'un aire encore plus effrayé que je ne le suis déjà, les yeux écarquillé me rappelant dans qu'elle état j'ai retrouver kira il y à de sa 1 mois.

vous n'oseriez pas recommencer...?... vous l'avez assez traumatisé comme sa... je ne vous laisserais pas recommencer...

je lui dit sur un ton quelques peut nerveux, en espérant vraiment qu'il n'aille chercher Kira pour me remplacer quand je serais sortie d'ici, je doute qu'elle supporterait un traumatisme pareil, je vois le grand black s'approcher de quelques pas de moi, un grand sourire se dessine sur son visage, je ne lâche pas son regard et me lance après s'être arrêter à 2 pas de moi, comme quoi tout le monde à put constater que j'aime satisfaire les hommes, il n'a pas tord, j'aime satisfaire les hommes, mais quand je suis consentante ou que je sais qu'il y aura un retour.

non... arrêtez de monter la tête à tout le monde... cette vidéo à été tourné contre mon gré... j'ai été obligé de...

je n'ai pas le temps de finir de donner les raisons de cette vidéo qu'il me coupe la parole, bien sur si mes deux profs apprennent ce qui c'est vraiment passé et la raison pour laquelle j'ai été si gentil avec eux, sa ne leurs plairaient peut être pas. le grand black me dit alors qu'il sait en me coupant la parole, que si je joue la farouche c'est pour mieux les exciter.
c'est alors que des remarque salaces fusent autour de moi, sa fait froid dans le dos, ils pensent vraiment tous que je suis là de mon pleins gré et que je joue les prude pour les exciter.
je leurs dit sur un ton assez énervé.

non... non je ne joue pas... et je ne suis pas une salope... cette vidéo ne veut rien dire... je vais partir et vous allez tous faire de même...

ils n'ont pas l'aire d'y croire, mais heureusement le grand black se dirige vers mon sac et me demande de le ramasser, je suis un peut plus rassuré, quand j'aurais ramasser mon sac je sortirais de cette classe et curerais jusqu'à chez moi. je me dirige vers le font de la classe, les hommes toujours leurs queues à la mains me laisse passer, j'essaie le plus possible d'avoir l'aire sur de moi, je regarde dans les yeux le grand black qui est à coté de mon sac avant de me baisser pour le ramasser, tout les hommes derrière moi peuvent maintenant voir mes petite fesses et mon string rentrer dans la raie de mes fesses, je tente de soulever mon sac, mais celui ci reste au sol je vois que le grand black à mis son pied sur une des lanières, je tire par accoues pour le sortir mais rien y fait.

sortez votre pied... 

j'entends alors le grand black dire à tout les hommes derrière moi qu'il croit que j'ai besoin d'aide et leurs demande qui veut m'aider, la peur m'envahis de nouveau totalement, je n'ai le temps que de tourner la tête sur le coter qu'ils sont déjà sur moi, je tente de me relever, mais déjà des mains viennent sur mon dos pour m'empêcher de me relever, j'allais me déplacer pour échapper à ces hommes quand deux autre main viennent me tenir fermement les jambes.

NON!!! ... qu'est ce que vous faites... arrêter... lâcher moi...

mais je ne suis pas écouté, très vite les mains se multiplie sur tout mon corps, des rappeuses, des moites et des douces, elles parcours mon corps, me caresse le cou, la gorge, les épaules, le dos, le ventre, d'autre passe sous mon haut moulant et viennent malaxer, triturer et pétrir mes petit seins, je tente de les repousser avec mes mains mais en vin.
leurs doigts torde, pince, étire mes mamelons et joue avec mes anneaux, parfois en douceur ou bien assez rudement, tout dépend de la personne, ils se passent le relais, ils le font mal et je me tortille dans tout les sens pour échapper à leurs caresses, alors que ma poitrine est déjà en feu sous leurs mauvais traitement.

AAAAAH... AAAAAAIIIIIIEEEEEE... vous me faite mal... arrêté... AAAAAAAAAH...

je pousse des gémissement et des cris de douleurs sous leurs attouchement assez rude, mais se n'est pas pour cela qu'il arrête.
d'autres mains son sur mes petite fesses, elle me pétrissent, me les écartent, me donne des fessés, si bien que mes fesses commencent elles aussi à me bruler.
les mains qui me tiennent les chevilles me tire les jambes vers l'extérieur, je résiste un moment mais il sont trop fort, je finie par céder et écarte les jambes, d'autres mains encore me caresses les cuisses et les mollets.
toute ces mains sur mon corps est vraiment bizarre, maintenant que je suis coincer dans cette position la peur me paralyse complètement, ils sont beaucoup trop nombreux je ne peut rien faire pour leurs résister.

je sent alors des doigts passer sous la ficelle de mon string et tirer dessus pour frotter le tissus sur ma minette, mais très vite d'autres doigts passe sous mon string et viennent caresser vulgairement mon minou, caressant mes grandes lèvres, passer un doigt dans ma petite fente sans pour autant me pénétré, venant caresser mon clitoris encore sous son capuchon et jouer avec l'anneau de mon clitoris, d'autres doigts encore viennent caresser mon anneau rectal dans des caresses circulaire sans pour autant le pénétré non plus.
je suis désemparé, je suis le gibier et tout ces hommes son les chasseurs, je n'ai aucune chance, mais ce n'est pas pour sa que j'arrête de gesticuler pour échapper à leurs traitement.

s'il vous plais... non... arrêté... AAAIIIEEEEE... OOOOOH...

mes supplication ne donne rien et le fait que je les repousse avec mes mains n'a pas l'aire de leurs plaire puisque deux autre mains de chaque coté viennent prendre mes poignets pour les guider, je sent alors entre mes doigts deux membres chaud et veiné qui palpite, ils me tiennent chacun la main sur leurs queues et la font coulisser, je sent un liquide gluant sur mes doigts s'en doute du liquide séminal, de la bave ou peut être déjà du sperme, sa me dégoute, je n'ose pas regarder, j'ai la tête rentrer dans les épaules et les yeux fermé.

je sent alors une main venir empoigner ma chevelure et me redresser violemment la tête, je ne voie que les bassin de ceux qui sont devant moi, 5 hommes leurs queues dresser devant mon visage, ils se rapprochent, j'ai peur et serre les dents, ils s'amusent à venir frotter leurs membre contre mon visage, mes joues, mes lèvres, à me donner des claques avec leurs gourdins, je ne fait que les sentir puisque je ferme les yeux alors que je commence à avoir des haut le cœur à cause de leurs petit jeux pervers.

au bout d'un moment alors que je pousse un crie du à une violente claque sur mes fesses, ma bouche s'ouvre et l'un des hommes qui s'amuse avec mon visage tente de rentrer sa queue dans ma bouche, mais il la ressort aussi vite alors qu'il en à fallut de peut pour que mes dents abime son membre, je suis prête à morde pour qu'ils arrêtent.

Le show avait commencé, et la quarantaine d’hommes présents comptent bien en avoir pour l’argent qu’ils ont dépensé. Les mains continuent de passer et repasser sur le corps de Lili, toutes différentes, toutes plus ou moins ferme sur sa peau douce d’adolescente. Certains commencent déjà à insinuer des doigts sur son sexe et son anus, malgré les suppliques de l’étudiante, que je me presse à faire passer comme un jeu pour les exciter d’avantage.

Alors vous voyez ?! Elle joue bien la petite étudiante effarouchée ! Mais c’est une belle petite salope vous allez voir, et je suppose que vous avez tous vue ces piercing et dont celui à son clito ! Si c’est pas être une belle petite chienne ça ?!

Les ricanements et les paroles salissantes vont bon train, tous semblent persuadés que Lili aime ce qu’ils sont entrain de faire, et qu’elle fait exprès de jouer la petite étudiante apeurée. Les mains sur son corps se font tellement pressantes que les vêtements de Lili commencent à se déchirer. Son string ne tient pas longtemps, et à force d’être tiré il rentre dans sa petite fente jusqu'à se déchirer. Un prof le récupère le string en lambeaux, et lance :

Prof : Aha ! Je garderais ça en souvenir de cette belle petite putain !

Bien vite, la mini jupe puis le haut de Lili subissent le même sort et finissent en lambeaux par terre, laissant son corps quasi nu, seul son soutient gorge emprisonnant ses seins. Les doigts, les mains, les membres durs et chauds repartent à l’assaut de sa peau. Trois doigts de différentes tailles s’engouffrent dans son vagin et commence à y faire des allers et venus, tandis que deux autres viennent jouer avec son clitoris et l’anneau qui s’y trouve. Un élève vient coincer sa queue entre les fesses de Lili et commence à s’y masturber, sa hampe brulante frottant contre son anus. Un autre élève au look de geek, petite lunettes rondes, et chemise blanche, fait partit des 5 hommes faisant face à Lili, et celui-ci, il y a quelques semaines, s’est fait rejeter par Lili lorsqu’il lui a fait des avances et compte bien se venger maintenant. Il vient passer sa petite verge dressé entre le lien reliant les deux bonnets de son soutif et le creux de ses seins, s’offrant ainsi une belle branlette espagnole.

Geek : Ah petite trainée ! Tu ne voulais pas de moi hein ?! Tu vas voir maintenant !

Les 4 autres hommes ne sont pas en reste et devant le refus de l’adolescente de s’occuper d’eux ils viennent frotter leur membre contre son visage. L’un d’eux, sans doute puceau, gémit un peu plus fort après seulement quelques frottements de son gland sur la joue de Lili, et libère des jets de foutre sur son visage, sous le rire des autres hommes.

Geek : Tu vas voir c’est loin d’être les derniers jets de spermes que tu vas prendre, on est plus de 40 et on va tous jouir minimum deux fois… Tu vas te régaler...

Voila qui pouvait donner une belle idée à l’étudiante de ce qui allait se passer, tandis qu’elle peut sentir la verge qui passe entre ses fesses se contracter, et le gland venir se poser contre son anus alors que la semence chaude de l’homme se répand dessus. Il s’en sert comme lubrifiant pour venir enfoncé un doigt dans son petit trou et commence à le faire aller et venir tout en écartant ses parois.

Pendant ce temps, les mains de Lili passe de gourdins en gourdins, de bourses en bourses, tous veulent sentir ces petites mains d’étudiante sur leur sexe, certains sous l’excitation, ne tiennent pas très longtemps et libèrent leur semence bien chaude sur sa main et son bras. Malgré tout cela, tous ne peuvent pas en profiter, et certains s’impatientant derrière, viennent déchausser Lili, et déchire ses bas pour dévoiler ses pieds. Deux d’entre eux commencent à se masturber contre la voute plantaire de l’étudiante, elle peut être sûr qu’aucune partie de son corps ne sera épargnée ce soir.

accablé par toute ces mains je ne sais plus au donner de la tête, de plus le grand black en rajoute pour les exciter d'avantage, il leurs demande de constater comme je joue bien l'étudiante effarouché et leurs confirme que je suis en fait une belle petite salope, bien sur comme argument il leurs demande si il ont remarqué les piercings que je porte, surtout celui que j'ai à mon clitoris, il fini en leurs demandant si porter de telle piercing ne prouve pas que je suis une belle petite chienne.

ne... ne l'écouté pas... ce n'est pas vrai... laissez moi maintenant...s'il vous plais...

j'essaie encore une fois de les convaincre, que je ne suis pas du tout consentante et que je ne joue pas la comédie, mais les ricanement et les remarque salaces fusent dans la classe.

homme: mais oui tu as raison, tu n'es pas une petite salope... tu es en fait une grosse salope... ah...ah...ah... et nous allons tous te prendre comme telle... ne t'en fait pas...   

étudiant: ouais petite chienne, ont vas te prendre comme des bêtes... ah... ah... ah...

non vous faites erreur... lâchez moi...

je me tortille toujours dans tout les sens, mais rien à faire ils sont tous persuadé que je joue la comédie pour les exciter et que qu'au font de moi je les veut, il faut dire que la réaction de mon corps ne m'aide pas à être crédible, mais malgré moi toutes ces mains sur mon corps m'excite petit à petit, mes seins commence à pointer, mon corps à se réchauffer et ma minette à sécréter de la cyprin, je le sent et ne peut rien faire pour l'arrêter.
d'ailleurs celui qui tire mon string le fait rentrer dans ma petite fente, il tire tellement fort dessus qu'au bout d'un moment que celui ci cède et se déchire, la peur au ventre mes orifices son maintenant à leurs porté.

j'entends alors une voie dire qu'il gardera sa en souvenir de cette belle petite putain, s'en doute qu'il parle de mon string, mais je connais cette voie, il me suffit de quelques secondes pour mètre un visage sur cette voie, c'est monsieur Barries, mon prof de sport un grand homme chauve, la quarantaine, bodybuildé, très autoritaire pendant ces cours, il à divorcée il y à 2 ans de sa, mais je ne le pensais pas fétichiste des culottes, par contre vue sa carrure et l'énorme bosse qui se trouve dans son maillot de bain quand il fait le maitre nageur en cours de natation et s'il à l'intention de me prendre je risque de déguster, je me doute quand t'en que prof de sport il doit être endurant.

ma jupes et mon haut moulant se font eux aussi déchirer, je panique de plus en plus, seule mes chaussures, mes bas et mon soutient gorge me couvre encore.

non... pas mes habit... non arrêté...

c'est alors que je sent trois doigts différent tenter de rentrer dans mon minou, je contracte mes membranes interne pour les empêcher de rentrer.

non... non ne faite pas sa... noooon... AAAAAAAH... AAAIIIEEE... NOOONN...

mais ils forcent le passage et rentre chacun leurs doigts, partant de suite dans les vas et viens tous totalement désynchronisé, il me travail l'intérieur et écartes les douces parois velouter, j'ai mal les premières secondes mais très vite la douleur s'envole et leurs doigts font ressortir la mouille de ma petite fente, ma cyprin recouvrant leurs doigts et dégoulinant le long de l'intérieur de mes cuisses, ces messieurs ne tarde pas à le faire remarquer au autres et les remarques salasse reprennent de plus belle.

cette petite pute mouille comme une fontaine...

ouais, elle nous dit qu'elle ne veut pas, mais elle est impatiente qu'ont la prenne ah... ah... ah...

AAAAAH... pitié retirez vos doigts... mmmmmh...

pas encore petite pute, ont vas te travailler encore un peut, tu est un peut trop serré à mon gout ah... ah...ah...

il continue de me travailler en élargissant ma petite fente, je gémis et pousse de petit cris dû aux sensation de leurs doigts qui m'explore, malgré moi mon corps apprécie leurs caresses même si parfois elles sont brutaux, je mouille de plus belle, mon clitoris commence à sortir de son capuchon, d'ailleurs je sent un doigts venir le frictionner pour le faire venir.
je sent un des hommes venir placer son barreau de chair dans la raie de mes petite fesses et faire des aller et retour, je sent sa hampe chaude et veiné frotter contre mon anus palpitant, venant quelques fois rapprocher mes petite fesses l'une vers l'autre pour enserrer son membre.
mais je suis plus préoccupé par les 5 qui sont devant moi et qui frotte toujours leurs queues et leurs bourses sur mon visage, ma tête toujours tenue relever par une main qui me tire les cheveux, une nouvelle fois un des 5 hommes tente de rentrer sa queue dans ma bouche, mais c'est encore de justesse que je manque de lui mordre, apparemment sa n'a pas l'aire de plaire à l'un d'eux, puisque dans les secondes qui suivent je reçois une violente gifle qui me brule la joue.

AAAAAAH... salopard...

de quoi tu m'a traité?... c'est toi la salope... alors arrête d'essayer de nous mordre sinon tu risque de le regretter... 

ils reviennent tous frotter à nouveau leurs queues sur mon visage sauf un qui passe sous moi, je sent alors celui qui vient de passer sous moi, passer son gourdin entre mes petit seins emprisonner dans mon soutient gorge et effectuer des vas et viens alors que d'autre triture durement mes seins, je l'entends alors me traiter de petite trainée suivie d'une question comme quoi je ne voulait pas de lui et que j'allais voir maintenant, je connais cette vois aussi, c'est Julien mais qu'est ce qu'il fait là, lui que l'on ne soupçonnerais pas du tout de faire ce genre de chose, je me souviens qu'il y à trois semaines, il m'a demander de sortir avec lui et j'ai refusé, non pas pour lui mètre la honte, mais parce qu'il n'est pas du tout mon genre de garçon, visage rond, la coupe au bol, de petite lunette ronde, toujours habiller avec l'uniforme réglementaire, un peut enrobé, trainant toujours avec les autres personne comme lui et parlant de choses que eux seule comprennent, je voyait en lui un ennuie profond, mais de le voir maintenant ici avec sa bite entre les seins je ne le pensais pas capable de sa.

l'un des 4 hommes frottant leurs membre sur mon visage gémis et se soulage en giclant des jets de foutre chaud et gluant sur mon front, ma joue, mes lèvres et mon mentons, je ferme les yeux et la bouche, mais se salop prend tout le même la peine d'essuyer les quelques goutes qui termine se suinter de son gland sur mes douces lèvres, suivies des ricanements de ces collègues, je suis une nouvelle fois humilié, alors que j'entends Julien me dirent que c'est loin d'être le dernier jet de spermes que je reçois, qu'il sont plus de 40 et qu'il ne compte pas jouir qu'une seule fois et fini en me disant que je vais me régaler, j'ai une très mauvaise appréhension pour la suite, moi la biche pris au piège entre les griffes de ces hommes pervers et avides d'assouvir leurs phantasmes.

c'est alors que je sent celui qui frotte son mandrin dans la raie de mes fesses se retirer et presser son gland contre mon anneau rectal, prise de panique je me contracte et me débat encore plus alors que je pense qu'il vas me pénétré.

NOOON... pas sa pitié...

mais la seconde qui suis, je sent un liquide chaud et gluant inonder la raie de mes fesses et son anneau rectal puis ruisseler jusqu'à ma minette toujours travailler par ces trois doigts, je sent alors un doigt, sans doute de celui qui c'est vider dans ma raie, tenter d'enfoncer un doigts, je contracte les sphincters pour l'empêcher d'entrer mais il force et arrive à enfoncer son doigt s'en doute aider par le sperme puisque je ne ressent aucune douleur. une fois bien enfoncer il entame des vas et viens en bougeant son doigt pour dilater mon anus  contracter.

AAAAAAH... pas mon anus... non... retirez votre doigt... mmmmmh...

mais si, ne t'inquiète pas, ont vas bien te le préparer petite chienne.

pendant ce temps plusieurs membres était passer entre mes petite mains, des grosses, des petites, des moyennes, ainsi que des bourses,  grosses, moyennes, petites, poilus, imberbes, toute plus différente les une que les autres, ils y en à même qui ont jouis sur mes mains et mes bras maintenant souillé eux aussi, sa me dégoute j'ai les doigts tout collant de leurs semence gluante.
mais alors que je pense avoir tout vue, deux hommes me prennent par les chevilles et me soulève, je pousse un petit cris de peur alors que je pense tomber à terre, mais les nombreuse mains me retiennent, je me retrouve à genoux, ils m'enlèvent mes chaussures avant d'arracher violemment mes bas, ils soulèvent mes pieds et je sent sous ma voute plantaire qu'il caresse leurs membres sur mes pieds.

Les suppliques de Lili ne font qu’exciter d’avantages tous les mâles autour d’elle qui pensent qu’elle joue un jeu. Les doigts, les mains, les verges qui se pressent contre sa peau se font plus chaudes, son vagin reçoit de plus en plus de doigts, tandis que son anus en accueille un nouveau pour le dilater d’avantage. Le geek continue de masturber son membre entre les seins de Lili et visiblement, il est terriblement excité si bien, qu’il accélère ses allers et venus, et gémit de plus en plus fort.

Geek : Petite salope ! J’ai toujours rêvé de baiser tes seins MMMMH !

Après un nouveau passage de son petit sexe entre les seins de l’étudiante, il jouit, libérant plusieurs jets de sperme chaud sur sa bouche et son cou, commençant à dégouliner sur ses seins. Il n’est pas le seul à ne pas réussir à se retenir plus longtemps, deux des 4 autres étudiants qui frottent leurs verges sur le visage de Lili, lancent un râle de plaisir avant d’éjaculer quasi en même temps sur son visage, répandant leur semence gluant sur ses joues, son front. L’un d’eux vient même pincer le nez l’adolescente pour la forcer à ouvrir la bouche, mais ayant peur qu’elle le morde, il se contente de laisser jaillir ses derniers jets de sperme dans sa bouche, sans y engouffrer son membre.

Etudiant : MMMMH ! Régales toi de mon foutre petite putain…

Je regarde la scène avec le sourire aux lèvres, mais il est temps de passer aux choses sérieuses, il y a 43 hommes à satisfaire, et le temps passe vite en compagnie de Lili.

Franz : Allons Messieurs… Je crois qu’elle meurt d’envie que vous la preniez…

Le prof de sport de Lili vient s’allonger sous elle, en dévoilant un membre plutôt impressionnant, puis il vient frotter son gland gonflé contre son petit sexe.

Prof de sport : Moi d’abord… Ca fait un moment que j’attends de défoncer tes petites pattes arrières ma belle Lili…

Vue sa carrure aucun des autres hommes présent dans la salle ne lui conteste le droit de prendre l’étudiante en premier, et il ne s’en prive pas. Il vient prendre appuie de ses bras musclé sur les hanches de Lili, et presse sur son bassin pour la faire s’empaler sur son gros gourdin. Il entame tout de suite des coups de reins vifs et puissants, son corps musclé se contractent pour permettent à sa grosse verge de ramoner avec force les parois vaginales de Lili, tandis que plusieurs doigts continuent de jouer sur son clitoris et le piercing qui s’y trouve. Pendant ce temps l’élève qui se trouve derrière elle, continue de faire aller et venir deux ses doigts dans l’anus de l’étudiante, mais nul doute qu’ils vont bientôt être remplacés par quelque chose d’autre.

les mains et les membres de tout ces hommes sont de plus en plus insistante, ils me travaillent, mais alors que je suis retissante à tout sa, mon corps lui apprécie leurs traitement, même si celui ci est parfois brutal, peut à peut j'en ressent du plaisir sans que je ne puisse rien faire, je suis à leurs merci.
les trois doigts qui travaille ma fentine vont de bon train, alors que la cyprin coule à flot, je sent deux autre doigts différent des autres qui y sont déjà, rentrer dans ma minette sans ménagement, celui qui doigte mon anus enfoncer lui aussi un autre doigts beaucoup plus difficilement, mais il force et arrive à la rentrer dilatant davantage mes sphincters, je cris alors mon mécontentement.

AAAAAAH... non... pas plus arrêter... c'est trop... OOUUUUH...

je les sent écarter de leurs doigts mes membranes interne et tirer chacun d'un coté, il me dilate le minou et l'anus de plus en plus.

mais non, arrête de raconter n'importe quoi petite pute, c'est rentré tout seule AH... AH... AH...

mais supplication ne serve vraiment à rien et ne font que les exciter d'avantage, d'ailleurs je sent Julien le geek entre mes seins qui accélère la cadence, ces bourses venant claquer contre les lobes de mes seins, puis il m'avoue en me traitant de petite salope qu'il à toujours rêvé de me baisser les seins, ce soir sont vœux à été exaucé puisqu'il vas jouir entre mes seins et je suis presque sur que c'est ce grand black qui à organisé tout sa, à moins que ce ne soit mes deux profs qui ont déjà profiter de moi.

mais le temps de réfléchir à sa, j'entends Julien gémir puis je sent sa queue se contracter et tressauter entre mes seins, éjaculant de puisant jets de foutre gluant et chaud sur mes lèvres, mon cou et mes seins.
il n'est pas le seule à jouir puisque deux des quatre hommes qui se trouve devant mon visage éjacule pratiquement en même temps, je ferme les yeux alors que je les entends gémir eux aussi et sent leurs sperme chaud et gluant me souiller le visage, leurs giclées atterrisse sur mon front, mes joues et dégouline, l'un d'eux me pince même le nez et m'oblige à ouvrir la bouche pour respirer, j'essaie de le faire lâcher prise mais celui qui me tire les cheveux me tiens fermement, c'est alors que je sent les dernière gicler s'écraser au font de ma bouche tout en me disant de me régaler de son foutre, dégouté j'ai des relent, je suis à deux doigts de vomir, j'en avale inexorablement un peut avant de recracher le reste en toussant.

alors que je sent le leurs foutre dégouliner sur mon visage, j'entends le grand black leurs faire croire que je meurs d'envie qu'ils me prennent, ce qui est totalement faux, mais mon corps leurs montre le contraire.

MMMMMH... non... ne l'écouté pas... ne faite pas sa... OOOOOH...   

je voie alors monsieur Barries s'approcher de moi, son sexe dresser est énorme, près de 25 centimètres de long pour 6 centimètre de large et parcourue de grosse veine, c'est ce que je redoutait en cours de natation, ce type tout en muscle est monter comme un âne presque comme ce grand black dont je ne connais toujours pas le nom, je vois monsieur Barries passer sous moi avant de déclarer que c'est lui d'abord et de m'avouer que sa fait un moment qu'il attends de me défoncer les patte arrières, tout sa avec un regard pervers, ce même regard que j'ai put remarquer quand il regarde les filles plonger ou nager dans la piscine, je ne savait pas ce que pouvait signifier ce regard en cours, maintenant je le sais, il doit s'imaginer plein de choses lubrique, même ce prof est comme tout les autres, un gros pervers.

je sent les doigts dans ma minette sortir et l'énorme gland de monsieur Barries coulisser contre ma petite fente.
je déglutis difficilement avant de lui dire.

OOOUUUUH... non... monsieur Barries... ne faite pas sa... pitié... AAAAAAH...

mais il fait comme s'il ne m'entendait pas, je sent ces grande mains puissante venir sur mes anches et abaisser de force mon bassin sur son barreau de chair, prise de panique, je tente de résister en serrent les jambes.

non... non... s'il vous plais... je vous en supplie... NOOONN... AAAAAAAIIIIEEEE... AAAAAAAAAAAAAAAAH....

ma résistance ne dure que quelques secondes, puisque les mains déjà sur mes jambes, me les écartes de force, je hurle de peur alors que je sent l'énorme gland de monsieur Barries forcer l'entrée de ma petite fente, il m'empale sur son énorme gourdin, je me contracte pour l'empêcher de rentrer mais il force tellement qu'il rentre près d'un quart de son dard, il me dilate le minou, la douleur est présente mais supportable, quand il arrête de forcer je me dis qu'il ne vas pas tenter de rentrer plus, je le sent se replacer et d'un coup il me donne un puissant et brutal coup de rein qui me fait hurler un nouvelle fois alors qu'il à rentré les trois quart de son membre, il part dans des déhanchés vifs et puissant, je me sent anéantie, il me transcende de sa grosse queue et je hurle à chaque fois qu'il reviens en moi, je le sent son gros gland taper mon utérus, la douleur me fait pleurer quelques larmes mais celle ci ne reste pas très longtemps laissant le plaisir prendre le dessus, grâce au doigt qui viens s'occuper de mon clitoris ce qui me fait mouiller de plus belle.

ces salops ont l'air d'aimer me voir hurler et souffrir, j'appréhende de plus en plus la suite des évènements.