L'arrivée d'Amy...

Premier jour de liberté pour Amy, qu'elle ne savourait pourtant pas comme elle l'aurait pu.
Arrivée quelques jours plus tôt chez un lointaint parent qu'elle ne connaissait pas, elle avait passé la semaine à astiquer l'appartement (et pas autre chose, bande de pervers XP ) sans échanger plus de deux mots avec ses hébergeurs. La seule chose qui était ressortie de cette semaine, c'était qu'elle de pourrait pas compter rester longtemps ici, surtout quand elle commencerait les cours au lycée et aurait moins de temps pour jouer les bonniches...

Amy était donc enfin sortie de son trou, dans cette ville inconnue, en vue d'aller s'inscrire au lycée et d'essayer de trouver un job. Elle n'avait aucune idée de la façon dont elle devrait s'y prendre, une seule chose de sûre : elle devait faire vite!

On lui avait donné un vieil uniforme scolaire qui n'était plus en vigueur depuis plusieurs décennie et qui était trop petit pour elle, mais c'était toujours mieux que ses vieilles fringues défraichies, et elle tenait à faire bonne impression pour sa rentrée scolaire.
Ainsi vêtue d'un chemisier qui comprimait sa poitrine et d'une jupe plissée bleu marine qui se balançait à quelques centimètres de ses fesses, elle avait arpenté les rues de la ville à la recherche d'un petit emploi.

Hélas son jeune âge ne jouait pas en sa faveur, et personne n'avait voullu prendre la responsabilité de l'embaucher...

Ne sachant plus trop que faire et voulant reprendre ses esprit avant d'aller au lycée, elle s'arrêta dans le parc pour réfléchir un peu à la situation...

notre succube apprentie, et oui, on ne devient pas érudi en trois jours, se cherchait un encas, par encas i ne faut pas comprendre salade ou autre nouriture, non, juste une petite personne un peut trop naive, ou un bon gros loubard bien salace. Enfin, une rencontre fortuite quoi. Elle marchait sans aucune crainte dans cet immence parc en hummant les désirs dans les airs, il yen acait un d'assez drole, il était puissant mais n'avait rien de sexuel, c'était un désir de plaire, de séduire, la victime du jour pour notre succube. Kurumu avancea alors avec une legere précaution, il ne fallait pas effrayer cette personne. Pou l'instant notre demoiselle désirant plaire n'avait qu'une odeur mais pas de visage, c'est un détail évidemment, mais pour une succube, le physique est important, elle ne chassent les femmes que pour une chose: le plaisir. Il ne fauit pas oublier la raison premiere de leur beauté et de leur charisme impressionant de séductrice, trouver l'Elu (pas néo) et faire en sorte de porter son enfant. Pourtant notre petite Kurumu n'a pas un mais unE papa, c'est ce qui explique ses tendance a matérialiser a peut pres tout ce qu'elle veut, enfin, surtout des machins tres pervers comme des tentacules....On se refait pas, démon de la luxure oblige.

Ah, nous y voila enfin. Comme sa mere il y a 5 ansou 6 ans, la petite succube avait trouvé une jeune femme, elle n'allait probablement pas en tomber amoureuse, c'est pas le genre de truc auquel une succube débutante pense, elle pense surtout a s'ammuser dans les premiers siecles de sa vie, c'est sans doute ce qui explique le déclin de l'espece. Elle était mignone, sa tenue était plus qu'aguicheuse et son odeur rendait la démone folle, ce qui devait arrivé arriva. Elle se mit expres sur son chemin en matérialisant une pierre dans le passage de la petite humaine et des livres de cours dans ses bras. La petite butta et attérit dans le splendide bonnet E de la succube qui la rattrapa avec douceur.

Ca va aller? On dirait que tu es perdu.. Tue a besoin d'aide ma grande?

C'était un ton tout a fait charmant qu'utilisait Kurumu, sa voix restait tres sensuelle et claire comme du cistal, en bref, elle était limite a appeler la petite fille entre ses seins a la violer...C'est vraie que cette idée ne la dérangeait pas du tout, ca serait meme ammusant....Qui sait ce que l'avenir leur réserve

Amy avait avisé un banc un peu plus loin sur lequel elle pensait poser son joli petit derrière. Elle regardait donc l'objet de sa convoitise et aurait juré qu'il ne se trouvait personne en travers de son chemin.
Quand son pied butta sur une petite pierre, elle se maudit intérieurement de ne pas avoir été plus attentive, mais elle fut plus surprise encore quand son visage de fillette rencontra une poitrine opulente de femme, qui amortit sa chute.
Amy poussa un cri de surprise, étouffé entre les deux énormes globes de chair qui enserraient son visage.
La jeune femme la remit vite sur pieds, et s'inquiéta de son sort d'une voix claire et douce. Amy, tellement habituée à se faire rudoyer, en aurait pleuré de reconnaissance... Mais comme elle était bien élevée et avait de la tenue, elle n'en fit rien, se contentant de se répandre en excuse, enchainant les inclinaisons de buste, comme on le faisait encore dans les vieilles familles japonaises.

"Gomen! Je ne vous avais pas vue mademoiselle!"

Sécria Amy en rougissant devant la splendide jeune femme qui se trouvait devant elle. D'où elle venait, elle avait rarement vu de filles aussi belles, encore que ce n'était pas tant sa beauté qui la frappait, mais l'assurance de son attitude, ce petit je-ne-sais quoi qui émanait d'elle et la rendait soudain toute chose!
Pour garder contenance, Amy se jeta sur les livres qui s'étaient éparpillés au sol, afin de les ramasser et de les rendre à sa propriétaire. Après tout, c'était de sa faute s'ils étaient tombés!
Dans sa précipitation, elle ne songea pas à surveiller sa tenue, et sa jupette trop petite dévoilait au gré du vent et de ses mouvements la petite culotte de coton qui épousait la courbe de ses fesses.
Son chemisier trop serré se tendait sur sa poitrine à chaque fois qu'elle tendait les bras, et l'un des bouttons menaçait dangereusement de sauter.
Inconsciente de toute cela, Amy épousseta soigneusement les livres et les empila bien comme il faut avant de les tendre à Kurumu.

"J'espère que je n'ai rien abîmé! Si c'est le cas je vous supplie de me laisser vous dédommager!"

L'éducation qu'elle avait reçu l'obligeait à formuler cette phrase, mais elle savait pertinemment qu'elle n'avait pas un sou en poche, et sa famille verrait d'un très mauvais oeil de devoir payer pour l'une de ses bourdes!

Souhaitant s'expliquer, et répondre à la question que Kurumu lui avait posé, elle dit :

"Je viens d'arriver en ville, j'essaie de me repérer un peu... je dois me rendre au lycée et..."

elle rougit au lieu de terminer sa phrase, elle se sentait soudain idiote de devoir avouer qu'elle cherchait un emploi. Vu comme on l'avait reçu chaque fois qu'elle avait formulé sa requête, elle avait bien compris que chercher du travail à 14 ans paraissait déplacé...

Les premieres pensées quand elle s'excusa en multipliant les courbettes étaient: "elle est trop craquante!". Pourquoi ca n'étonne personne? Cherchez pas, c'est Kurumu, elle était presque avec des coeurs sortant de ses yeux, cette pettite était vraiment craquante, mais ce n'était vraiment pas la peine de s'excuser. Notre adolescente croisa les mains sur son ventre et la regarda s'excuser avant de se jetter sur les bouquin. Un petit rire cristalin et une main battant l'air indiquait qu'elle s'en fichait de tout ca, elle allait parler, mais resta pantoise, la vie que lui offrait la chérubione était des plus appréciable. Tout en regardant cette culotte en conton alécante et sa poitrine se faire écraser par un tissu trop tendu, la succube assoma un pervers, enfin un autre pervers, qui s'appretait a aller faire plus que mater et l'envoya petre au loin.

Non, c'est rien, ne t'en fais pas...hihi...heu je suis pas a ca pres tu sais c'est pas si grave, ils sont tombé et ils tomberont encore...

Un petit sourire réconfortant passa sur les levres de Kurumu, elle la trouvait de plus en plus craquante, c'est bien d'etre une succube, on peut lire pressque toute les pensées des autres. Mais cette fille avait une pensé bien particuliere, elle voulait plaire, faire bonne impréssion, alors autant satisfaire son désir de plaire. Elle lui dit alors qu'elle était nouvelle, ca, pas besoin d'etre prix nobel pour voir ses yeux hagards, elle se rendait au lycée, parfait, ca faisait un point commun. Mais soudainement, sans vraie raison, elle se mis a rougir et s'arréta dans sa phrase. Il était tant de lui montrait qu'elle plaisait. La succube s'accroupit et lui posa un doux baiser sur la joue avant de lui faire un sourire candide

Merci pour les livres....et pour le lycée, je peux t'y enmener tu sais, j'ai pas l'air comme ca mais j'y suis.

Elle lui avait dit tout ca sur un ton doux et profondément tendre, si ce qu'elle voulait c'était cette fille, elle l'aurait. En plus, Kurumu était legerement jalouse de la relation privilégié que sa mere entretien avec la petite Hinata, qui n'est pas plus vieille qu'elle a regarder de plus pret. Elle se releva et avec une joie non contenue elle lui tendis sa main

Tu viens? Je te dois bien ca, apres tout tu m'a éviter de m'exhiber devant tout ces pervers en me baissant, c'est le moindre que je puisse te faire ma belle....et....tu peut m'appeler Kurumu.

Un petit sourire au coin des levres et notre jeune étudiante était irresistible

Loin de la brusquer ou de s'énerver, la jeune fille se montrait étonnement patiente et gentille avec Amy, qui était peu habituée à tant de douceur. Kurumu lui assura que ce n'était pas grave pour les livres, et Amy soupira intérieurement de soulagement.
C'est alors que la succube lui posa un furtif baiser sur la joue, en lui offrant un des sourires les plus doux qu'il lui ait été donné de voir... De nouveau, un sentiment bizarre traversa notre petite Amy, comme une chaleur au creux du ventre et l'envie éternelle de rester aux côtés de cette jolie jeune fille qu'elle ne connaissait pas... Amy mit ça sur le compte du fait que personne ne s'était jamais montré aussi gentil avec elle, et de son désir de se faire une amie. Elle se sentait toute détendue, le monde semblait arborer de nouvelles couleurs.

Elle accepta avec joie l'invitation de Kurumu à l'emmener au lycée. Quand celle-ci mentionna la présence de pervers, Amy eut un sursaut, se demandant un instant si elle avait bien saisi le sens de ses propos. Elle jeta des regards étonnés autour d'elle, mais ne vit rien de particulier. Il y avait quelques personnes qui se promenaient dans le parc, et puis se type dont la tête dépassaie de la haie un peu plus loin... comment Kurumu pouvait-elle savoir qu'il s'agissait de pervers? Amy secoua la tête en souriant, sa nouvelle amie devait simplement plaisanter!

"Je suis très honnorée, Kurumu! Je m'appelle Amy... c'est vraiment très gentil à toi de t'encombrer de ma modeste personne pour aller au lycée..."

La formule de politesse, apprise longtemps auparavant, était sortie d'elle même des lèvres d'Amy. Il lui semblait inconcevable de formuler autrement sa réponse, même si cela devait étonner Kurumu.
Elle saisit la main que lui tendait la lycéenne et la suivit vers la sortie du parc.

Cette main chaude dans la sienne était aussi quelque chose de nouveau pour elle. Elle avait eu quelques camarades dans la petite école de quartier qu'elle fréquentait quand il n'y avait pas trop de travail à la maison, mais n'avait jamais connu de vraie amitié, trop occupée à se faire oublier. Elle sentait au gré de leur démarche le bras de Kurumu frôler le sien, et trouvait ça très doux, très agréable, presque envoûtant.
Elle ne pouvait s'empêcher d'observer en coin cette poitrine impressionnante qui oscillait sur le buste de son amie. Il ne s'agissait de sa part que de curiosité, rien de malsain là dedans, et pourtant... une petite voix dans sa tête se demandait à quoi ils ressemblaient sous le vêtement... Etaient-ils différents des siens?
Voilà à quoi s'égaraient les pensées d'Amy alors qu'elle suivait Kurumu en direction du lycée...

Kurumu la regarda, elle était vraiment craquante, un vrai bout de femme, elle avait un certain charme, Kurumu la regarda toujours avec son sourire de croqueuse d'homme. Elle prit la petite main douce de la jeune femme en rougissant avec tendresse, lui donnant un aire encore plus mignon, comment faisait elle? C'est un secret, mais quand la petite succube était heureuse, elle rougissait legerement, c'était comme ca, mais elle devait avouer que toutes les formules de politesse de ce petit bout de femme que se nommé Amy, devenaient assez embarassant. En meme temps Kurumu a son franc parlé, elle n'avait pas recue son éducation, c'est certain. Depuis sa naissance sa mere k'avait formé au sexe, lui apprenant tout ce qu'il faut savoir, une bonne mere.

Les mains se colerent l'une a l'autre, la jeune femme en était toute excité, elle trouvait ce contact doux, c'est vrai qu'elle préférait nettement les femmes aux hommes, c'était une odeur plus agréable, mais elle ne devait pas oublier la tache qui incombe a sa race, porter un élu, une succube pour continuer a faire vire les siennes. Elle laissa la chaleur l'envahir quand son bras érraflait celui de la petite candide. C'était si bon, son odeur, ses désirs simples et enfantins. Mais, elle la matait tout de meme, c'était assez drole, son attitude infantile revenait au galop, Kurumu percut sa pensé sur le fait qu'ils seraient pareils que les siens ou differents....Un large sourrire la tapissa.

Dis moi....j'ai une petite question Amy, est ce que tu te considere comme un déchet? Pace que a ta réplique, on dirait que tu es un fardeau pour tout ceux qui te fréquente avec ce que tu m'as dit. Soit une femme, leve la tete et reste fiere de qui tu es.

Elle parlait comme une femme du monde, elle était plutot du genre putain du monde, mais vaut mieux ne pas en parler. Kurumu serrait un peut plus for la main de la jeune fille avant de s'arreter, l'air songeuse, elle se mais a genoux devant la jeune fille et sans plus de cérémonie elle lui pris les seins entre ses mains, un instant seulement.

Non, ils sont pas comme les miens....Pourtant...on aurait dit....Ha..heu...désolé, une vieille habitude.

Mon oeil! Elle voulait juste un avant gout de la petite, et qu'est ce qu'il était bon cet avant gout, elle était ferme et ses tétons allaient pas tarder a mointer, c'était des plus amusant pour notre succube qui se délectait de sa proie. Elle se leva avec lenteur en montrant bien ses courbes a la jeune humaine, son attitude était assez aguicheuse, elle se savait désirable et faisait en sorte de charmé cette Amy. C'était en bonne route, une fois debout, elle lui repris la main, mais en la frollant longuement dans une caresse, avant de reprendre la route de son futur établissement.

La question de Kurumu interloqua notre petite lycéenne qui s'arrêta de marcher en lui jetant un regard effaré. Elle était cependant plus surprise que choquée, et l'idée était entrain de faire son chemin dans sa petite cervelle...
Vraiment? Parlait-elle comme si elle était un déchet? Se comportait-elle...? Oh mon Dieu!

"Gomen! Gomen Mademoiselle! Je suis désolée de vous faire honte!"

S'écria Amy en tentant de prendre la posture que lui indiquait Kurumu, de façon assez grotesque... Amy avait perçu la remarque comme une critique, formulée dans la plus pure tradition japonaise... Kurumu lui reprochait de donner aux autres l'impression qu'elle se promenait avec un déchet et non avec une vraie femme... En effet! Songea Amy. Qui voudrait être amie avec une petite campagnarde qui se comportait comme un rebut? Personne, c'est certain!

"Que Kurumu pardonne à la petite écervelée que je suis, je ne voudrais pas que vos amis pensent que vous accompagnez une personne qui n'est pas digne d'intérêt. Je promet de faire de mon mieux pour... aaaaAAAAAH!"

Si sa morphologie le lui avait permis, Amy aurait fait un bond d'au moins 12 mètres! Kurumu venait de s'agenouiller devant elle, ce qui était en soit suffisamment embarrassant pour une fille telle qu'Amy, mais en plus de ça, elle venait de saisir ses deux seins entre ses mains! Cela n'avait duré qu'un instant, et à son grand étonnement Amy ne savait si elle en était soulagée ou déçue... mais elle chassa vite cette pensée de son esprit pour écouter ce que Kurumu disait. Elle semblait presque se parler à elle-même... constatant? déplorant? que ses seins n'étaient pas comme les siens. Un écho exacte à la question qu'elle n'avait pourtant pas formulé à haute voix.

Amy, une nouvelle fois, resta interloquée. Est ce que Kurumu voulait souligner par là que la poitrine d'Amy était une preuve de plus qu'elle était beaucoup moins mature qu'elle?
La jeune adolescente en aurait pleuré de honte, mais se retînt fermement, ne désirant pas incommoder plus encore sa compagne!
Le rouge aux joues, Amy sentit ses tétons se gorger de sang... Ses seins en pleine croissance réagissaient de cette manière pour un oui ou pour un non. Ses larges aréoles se gonflaient au dessus de sa colline de chair et ses tétons se mettaient à darder, durs comme du béton.
Au travers du chemisier trop étroit, ce phénomène se remarquait comme le nez au milieu de la figure.
Amy eut cependant à peine le temps de s'en émouvoir qu'un autre trouble vînt semer la confusion dans son esprit...

Kurumu, qui finalement n'avait pas vraiment l'air fâchée après elle, se relevait gracieusement, offrant à ses regards toutes les merveilleuses courbes de son corps, et lui reprenait la main... de façon appuyée, caressante, cette fois...

Sans plus attendre, elle l'entraîna à nouveau en direction du lycée.

Amy se donnait l'impression que son visage s'était mué en gyrophare tant elle était écarlate. Son visage était en feu, et plus elle tentait de faire disparaître le brasier que Kurumu avait fait naître dans sa poitrine, plus elle avait l'impression de sentir encore le contact de ses mains sur ses seins qui se tendaient tant et plus...
Tout le monde devait s'en apercevoir, songeait Amy, mortifiée!

De fait, elle sentait peser sur elle, et surtout sur son buste, les regards des passants...

Elle n'était plus craquante mais terriblement attirante maintenant, Amy avait le rose, le rouge plutot, aux joues, c'était si beau, si....humain, comment ne pas craquer devant ca? Kurumu n'en avait pas la moindre idée, elle avait craqué sous son charme il y a un bon moment déjà, depuis qu'elle avait senti son odeur. C'est donc que cette femme avait un charme fou. Si Amy ne s'en rendait pas encore compte, elle avait réussi a attirer une succube avec son talent naturel. Quand elle saurra le maitriser elle sera une vraie chasseuse d'homme, pour l'instant, c'était simplement une proix de choix, et vue sa facon de rougir et de réagir physiquement aux caresses pourtants futiles de Kurumu, encore vierge. C'était assez drole de la regarder avoir peur des regards que lui jettaient les patients en voyant sa poitrine durcie et le bout de ses seins gorgé de sang. Kurumu elle meme avait sa poitrine qui tendait son chemisier d'un blanc presque transoaant avec la chaleur.

C'était un peut voulu, que sa poitrine, son atout majeur soit bien visible, sans aucun sous vetement pouvant la masquer, elle trouvait ca stupude d'ailleurs. Elle continuait a marcher avec la main moite dans celle de la jeune femme, la caressant presque imperceptiblement, pour faire monter ce désir qui naissait dans ses pensées, elle la sentait devenir lentement ce qu'elle voulait. Mais c'était pas assez rapide, elle avait une tres tres bonne idée dans l'instant.

J'ai une meilleure idée. Si on profitait plutot de la plage du lac, il fait chaud, ca sera plus interessant que de s'inscrire dans un lycée. Et puis on pourra aller au lycée apres la plage.

Elle souriait et enmenait la jeune femme dans son manege, l'écartant de la route pour couper a travers bois. C'était bien évidemment une ruse, elle voulait l'enmener loin de toute vie humaine. C'était juste pour qu'elle la suive dans les sous bois. Mais son plan était bien plus subtil; elle matérialisa une racine et se pros le pied dedans, tombant lourdement, se retouranant dans sa chute pour avoir le corps de la jeune femme dans le sien. Ce qui ne rata pas, la succube lacha un gémissement de douleur mais un autre de plaisir lorsque la main innocente de la jeune Amy vint comprimer son sein galvé de sang. C'était pile ce qu'elle voulait, elle avait géné la petite au plus haut point en gémissant, mais aussi l'excitait.

Haa tu sais...c'est pas tout a fait comme ca qu'on s'y prend avec une femme....regarde comment on doit faire.

Et nous y voila, elle pretexta une erreur de gamine pour lui prendre tendrement un sein entre ses doigts fins, passant oute son chemiser et commenca a le passer de sa main, pinceant son téton entre deux doigts avec douceur. Elle ne vit pas la petite humaine rougir, elle était déja cramoisi lors de la chute. C'était juste ce qu'elle voulait, son esprit avait bien senti son dileme quand elle avait retiré a la hate sa main de sa poitrine. Elle en voulait encore, mais en meme temps ne voulait pas plus. C'était mignon comme sentiment. Kurumu continuait a lui masser son petit sein avant d'ajouter dans un soupir de plaisir

T'as de la chance qu'ils soient si fin Amy, c'est tellement plus agréable a sentir comme ca....je t'envie un peut tu sais.

Meme si ce n'était pas tout a fait vrai, les humaines fonctionnaient de la sorte avec leur bonnet, les succubes étaient constement a leur degres maximal de sensibilité au niveau de leur poitrine. D'où le rouge monté si rapidement aux joues de la june et belle Kurumu. Elle était bien profiteuse de la situation et comptait faire durer le plaisir. Elle s'arreta, juste pour lui montrer qu'elle ne pouvait pas se passer de ses caresses bien longtemps maintenant qu'elle l'avait atissé et lui dit en découvrant sa poitrine a coup de bouton dégraphé avec une lenteur sensuelle abominable!

Tu as comment il fallait faire beauté? Ou tu veux que je te montre encore un peut plus?

(là je suis fier^^)

Amy était bien trop peu expérimentée pour se rendre compte que Kurumu était excitée et avait des idées derrière la tête...
Quand celle ci lui proposa d'aller se baigner plutôt que de s'inscrire au lycée, Amy en fut étonnée et resta un peu indécise.
Elle devait vraiment s'inscrire au lycée! Elle se demanda ce que penseraient son oncle et sa tante s'ils apprenaient qu'elle avait été s'amuser au lieu d'aller à l'école... Pas grand chose, probablement, ils ne verraient là qu'un prétexte de plus pour continuer à l'exploiter à la maison!
Amy ne savait pas quoi faire, mais Kurumu l'entrainait déjà à l'écart de la route, elle avait l'air de savoir ce qu'elle faisait, et puis n'avait-elle pas dit qu'elles pourraient aller au lycée après la plage?
Après tout, il était encore tôt, l'après midi débutait tout juste, d'ailleurs Amy n'avait même pas mangé.
La gamine n'eut pas le temps de se poser plus de questions. Elle sentit une violente secousse émaner de sa camarade qui venait de se prendre le pied dans une racine, l'entrainant dans sa chute.
Elle ne sut pas comment elle atterrit ainsi sur le corps de la demoiselle. Kurumu laissa échapper un drôle de gémissement, qui ressemblait plus à du plaisir que de la douleur. Amy s'aperçut alors que sa main écrasait le sein charnu de sa compagne...
La gamine ne pouvait rougir d'avantage qu'elle le faisait déjà, le sang battait à ses tempes et sa respiration s'était accélérée... oh lala! Comment est ce que Kurumu allait interpêter ce geste déplacé?

Sa remarque confirma à Amy qu'elle n'avait pas du tout cru à un geste involontaire, mais elle ne paraissait pas fâchée après elle... au contraire, elle se proposait de lui expliquer de quelle manière s'y prendre... avec une femme...

"Que...? Non! Ce n'est pas du tout ce que tu crois, je... aaaah!"

Kurumu saisissait pour la deuxième fois ses seins entre ses mains qu'elle avait glissées sous son chemisier trop étroit. Deux boutons sautèrent sous la pression et atterrient sur le sol. Lorsqu'elle pinça le téton entre ses doigts, Amy sentit un éclair de plaisir la traverser et ne put retenir un gémissement un peu angoissé. Qu'étaient-elles entrain de faire???

Kurumu pourtant semblait trouver cela tout à fait normal, elle n'avait pas l'air génée ni rien, juste gentille, comme elle l'avait été depuis qu'elle l'avait rencontrée.
Est ce que toutes les amies se comportaient comme ça, ici? Peut être bien, après tout! Elles ne faisaient rien de mal, ce n'était pas comme si elle faisait ça avec un garçon...

Kurumu était entrain de faire des commentaires sur la petitesse des seins d'Amy. La gamine était embarrassée par sa poitrine naissante, la plupart des filles de son âge avaient des seins plus petit. Les siens lui avaient toujours paru trop imposants bien qu'ils soient loin d'égaler la taille de ceux d'une femme adulte. Elle n'aimait pas non plus leur aspect... l'aréole et la pointent avaient déjà leur taille définitive, tandis que le globe de chair commençait juste à grossir, ce qui donnait une impression de disproportion. Amy ne savait pas que cela la rendait charmante, elle trouvait juste ça bizarre...
Un sentiment de regret l'envahit quand la jeune fille retira ses mains de sa poitrine. Amy se sentait confuse de ressentir tout ça. Sa respiration était saccadée, elle ne savait plus très bien où elle en était... Et juste face à ses yeux, Kurumu était entrain de défaire un à un les boutons de son chemisier, très lentement, dévoilant peu à peu la peau laiteuse de sa poitrine.
Amy déglutit... elle était à la fois très génée et impatiente de découvrir les seins de sa compagne. Son manège était insupportable de lenteur, et l'idée folle de lui retirer d'un coup sec son chemisier traversa l'esprit de la gamine, qui se retînt cependant...

Le dernier bouton était enlevé. Le tissus dévoilait le milieu de sa poitrine, et la naissance de deux énormes globes de chair ferme. Le vêtement fin, presque transparent, reposait juste sur les tétons qu'on devinait à travers l'étoffe...
Comme Kurumu lui demandait si elle avait compris comment faire, Amy se dit qu'elle devait se montrer à la hauteur, maintenant... Si toucher les seins de ses amies était une pratique courante ici, elle ne voulait pas passer pour la petite campagnarde ignorante!

Elle avança alors ses petites mains vers le tissus, qu'elle fit glisser lentement, un peu hésitante, sur les épaules de Kurumu pour dégager pleinement sa poitrine.

Les seins jaillirent presque devant ses yeux. Orgueilleux, énormes, gorgés de sang et de désir. L'aréole semblait toute petite au dessus de ces vastes collines de chair. les tétons étaient érigés en deux grosses colonnes de chair rose qui donnaient envie de les... sucer!

Amy réprima un frisson en y pensant, c'était tout à fait inconvenant! Jamais elle n'oserait...!

Mais Kurumu attendait, elle avait l'air impatiente de sentir les mains de sa compagne sur elle, et Amy se rappela qu'elle ne voulait pas passer pour une petite gourde!
Et après tout, pourquoi pas? Elle avait vraiment envie de goutter cette chair rose et tendue juste devant son nez! Kurumu serait surement contente et fière d'elle si elle faisait ça!

Alors, plutôt que ses mains, la gamine à peine pubère avança son fin visage vers la poitrine de son aînée. Sa petite bouche aux lèvres fines se posa sur le téton gauche qu'elle sentit frémir. Ses lèvres enserrèrent la chair dans un doux étau, et sa langue légère comme un papillon goutta la peau de la brune...
C'était une sensation vraiment agréable! Et faire cela fit naître en elle une bouffée de désir qu'elle ressentait pour la première fois!
Sa main se posa tout naturellement sur l'autre sein et ses doigts enserrèrent le téton qu'elle ne suçait pas, le faisant rouler doucement comme Kurumu lui avait montré.
Sa bouche plaquée sur l'autre sein, elle têtait goulûment comme un petit enfant...

Tout allait comme sur des roulettes aujourd'hui, la petite Amy était un peut décue de perdre cette main experte sur sa poitrine, c'était un excellent point pour la succube, il faut noter quaais que son désir d'elle grandissait a chaque seconde, c'était merveilleux, Amy voulait plaire, plus maintenant, sans le savoir, elle commencait a désirer le sexe, c'était si bon pour Kurumu, son odeur changeait au fil des minutes, elle ne se lassait pas de se faire désirer car a chaque bouton, les yeux de la lycéenne s'arrondissaient. Lorsque ce fut fini et que son corps était sien, Kurumu s'immobilisa avant de passer une main dans les cheveux de la jeune femme pour l'encourager. Finalement, elle aurait tres bien put se passer de tout ca, sa compagne se jeta sur sa poitrine, sortant cette derniere du maigre tissu qui lui servait de prison en le faisant glisse de ses épaules. Kurumu se mis un doigt dans la bouche et se donna un air tres coquin en gémissant lorsque sa poitrine se libéra enfin, pointant fierement son désir vers le ciel. La petite pouvait etre fiere d'avoir bandé la chair de sa compagne comme cela.
Alors que Kurumu gémissait de plaisir, la jeune femme avenca ses levres et non ses doigts sur les tétons cherchant presque a quitter son sein. Notre succube laissa un petit rire sortir de ses lebres, cristalin et sans aucune méchanceté, juste un petit rire qui n'ajoutait que plus d'émotion a la scene. Kurumu caressa la joue d'Amy alors qu'elle venait lui caresser le téton de sa langue avant de le teter.

HMMM...c'est divin....Amy.....tu.....es si douce....

L'autre sein était jaloux, mais il se fit bien vite réconforter par la main de la jeune femme qui reproduisi a la perfection les geste que Kurumu avaient intenté dans son décolté naissant. Une idée, peut banale, traversa l'esprit de la belle succube aux cheveux bleu, elle voulait la teter comme  une enfant? C'est donc ce qu'elle aura, du lait! Oui, Kurumu est la seule succuba a pouvoir avoir du lait, c'était un atout de son pouvoir hybridé, c'est donc une monté de lait qui fini dans la gorge d'une humaine legerement surprise mais qui sentait toujours les caresses réconfortantes et tendre de sa compagne. Finalement, avoir une petite compagne, c'est plus simple que de piquer une sucette a un gosse. L'autre main, encore libre de tout ses mouvements, descendit masser tendrement la poitrine de la belle Amy, ne cherchant qu'a l'exciter encore plus. C'étiat son objectif premier, la rendre folle de désir, a un point qu'elle la suplierait de lui faire l'amour. Et elle se generait pas!

Humm....c'est bon mon coeur?

C'est bon pour elle en tout cas, il fallait qu'elle se controle pour ne pas la violer dans la seconde, c'est vrai, c'est tellement plus excitant quand la personne est consentante et si c'est un bon coup, on peut toujours revenir un autre soir, dans ses dortoirs. Que nous reservera la suite? Est ce qu'elle se masturbera sous le désir ou, pour le plaisir de la sucube, masturbera sa compagne en appel a la chair? L'avenir nous le dira

Amy commençait à franchement apprécier de s'occuper ainsi de la poitrine de son amie... si on lui avait dit le matin même qu'elle ferait ça, elle ne l'aurait certainement pas cru! Elle n'avait jamais eu de relation sexuelle avant ça, la seule fois où quelqu'un l'avait caressée, il s'agissait de son frère et elle s'était vite enfuie! Il ne s'était pas passé grand chose en fin de compte, et c'était tant mieux, mais Amy depuis lors était restée sur ses gardes en matière de relations. Elle était jeune après tout, elle ne pensait pas qu'elle pourrait découvrir quelque chose d'aussi agréable que ce qu'elle était entrain de faire à l'instant!
Bien sûr, notre jeune lycéenne n'était pas totalement détendue... elle gardait l'impression d'avoir franchis une limite qu'elle n'était pas sûre de devoir dépasser. Mais ce sentiment confus d'angoisse stimulait le plaisir qu'elle prenait, et il était un peu tard pour revenir en arrière!
Les gémissements que laissaient échapper Kurumu indiquaient à Amy qu'elle s'y prenait correctement, et elle en ressentit une bouffée de fierté qui la poussa plus que tout autre chose à continuer... elle était toujours dominée par cette volonté de plaire et de faire ce qu'il fallait, même si l'excitation la gagnait peu à peu.
Le traitement buccal qu'elle infligeait au téton de Kurumu fit rire cette dernière, qui se mit à la complimenter sur sa douceur. Amy était aux anges et redoubla sa succion. Ses lèvres épousaient parfaitement la peau froncée de l'aréole. Sa langue s'enroulait sur le bout de chair et ses joues se creusaient pour l'aspirer dans sa bouche.
Quand tout à coup, quelque chose de chaud, un liquide épais, se mit à jaillir sur sa langue, Amy eut un hoquet de surprise et se dégagea dans un petit cri d'étonnement. Un petit geyser de lait sortait des petits pores du téton et aspergea son visage.

"Qu'est-ce que..."

S'exclama Amy, vraiment surprise! Elle n'avait jamais entendu dire que l'on puisse produire du lait sans avoir d'enfants, mais à vrai dire elle n'était pas beaucoup informée sur la question, et peut être que c'était tout à fait normal, elle n'en savait rien!
Encore une fois, elle ne voulait pas passer pour une idiote en posant des questions là dessus à Kurumu.
Le goût du lait, très différent du lait de vache ou de soja qu'elle avait déjà consommé, n'était pas très bon mais pas non plus désagréable. Comme Kurumu lui caressait les cheveux pour l'inciter à continuer, Amy remit sa bouche sur le sein qu'elle recommença à têter. Le flot de lait repris de plus belle, et gênait un peu la jeune fille dans ses caresses. De plus, le goût commençait un peu à l'écoeurer. Elle remplaça alors sa bouche par sa main et entreprit de reprendre ses caresses buccales sur l'autre sein. Cette fois, elle ne le têta pas mais s'amusa à le pincer entre ses dents et à rouler sa langue autour. A voir comme il se dressait entre ses lèvres, ce devait être tout aussi agréable!
Sa main était maintenant poisseuse de lait, qu'elle étalait sur la peau de Kurumu. Le flot était beaucoup moins fort maintenant qu'elle ne têtait plus, et elle trouvait agréable de caresser le sein de son ami avec cette matière qui faisait comme une crème...

Sa langue se fit soudain plus appliquée quand elle sentit la main de Kurumu venir masser ses seins. Elle avait l'impression qu'elle allait exploser de plaisir tant l'excitation montait en flèche en elle. Un brasier incendiait son ventre, son coeur cognait fort dans sa poitrine, Amy avait envie soudain de plus, de bien plus, mais était incapable de savoir exactement de quoi il s'agissait!
Entre ses lèvres qui massaient goulûment le sein de Kurumu, Amy se mit à gémir doucement, comme en écho aux gémissements de sa compagne. Son buste s'avançait maintenant franchement vers cette main pour l'inciter à faire plus...

Quand Kurumu lui demanda si c'était bon, l'appelant "mon coeur", ce qui coula aux oreilles d'Amy comme la plus belle des mélodies, la jeune fille répondit :

"Oui... Kurumu... je n'ai jamais ressenti quelque chose de pareil... je ne savais pas... merci de me faire connaître ça... est ce que ce que l'on fait est... bien?"

La question continuait de la tarauder, même si elle ne faisait rien pour arrêter. En même temps, elle se demandait comment quelque chose d'aussi agréable pouvait être mauvais? Et puis Kurumu était une fille, elle ne pouvait lui prodiguer autre chose que des caresses...

Kurumu était aux anges, les caresses bucales de sa victime étaient, impréssises certes, attentioné et désireuses de plaire. Visiblement, c'était tout ce qu'elle voulait, plaire a son amie, mais Amy plaisait énormément a la succube, sinon elle ne l'aurait pas attirait ainsi a l'écart des passant et n'aurait pas faumenté de toute piece ce petit jeu pervers auquel elle prenait bien vite gout, c'était délicieusement bon, mais le cri de surprise quand notre magnifique femme aux cheveux bleu allaita sa petite compagne était un bon excitant pour elle. Elle aimait voir son air hagard et ses yeux rond devant ce lait qui n'avait rien a faire dans la poitrine d'une femme de 17 ans, mais elle se mis a sucer ce lait assez concentré et pas franchement bon. Pourtant, malgres le concentré elle continuait a le sucer goulument, jusqu'à équeurement avant de changer de sein. Mais comment faisait elle? c'était pourtant pas un savoir inée chez les humains, maintenant, il fallait croire que si.

Kurumu se mis a caresser alors la poitrine, en lui pinceant tendrement le bout de ses seins avant de les faire rouler entre ses phalange, usant de sa paume pour ecraser et masser cette chair si bienfaitrice. C'était bien plus dur de procurer du plaisir comme ca, elle n'avait que le touché pour se guider et son autre main caressait la nuque et les joues tendres de sa compagnes qui se cresaient agréablement sous les succions de ses levres. Kurumu ne se forceait aps a simuler des couinements ou des gémissements de plaisir, elle prenait vraiment son pied, sa culotte commencait a etre humide et sa mouille coulait a flot hors de son antre qui la brulait déja de désir. Comment passer a la suite? C'était assez dur, elle aimait bien cette petite, elle mettait tou son coeur a la tache pour pouvoir faire plaisir a sa compagne, mais surtout, elle voulait l'impressioner, lui plaire, la rendre fiere de la petite Amy qui se considérait comme un encombrement plus qu'une femme. C'est alors que vint sa question. PARFAIT! C'est pile ce qu'elle voulait.

Bien sur qu'on fait rien de mal, où est le mal a se faire plaisir? Et encore, là c'est rien, je peux te montrer bien plus que ca tu sais....Mais il faut que tu me laisse le droit sur ton corps pour ca, sinon je ne pourrais rien faire mon ange.

En fait elle pouvait la violer comme un rien mais c'était pas ce qu'elle voulait, elle voulait juste qu'elle lui laisse libre acces a son corps. Notre petite sucube se servait pour l'instant de ses pouvoirs de maniere perverse et sournoise, elle avait fait appraitre, au nez et a la barbe de la jeune femme une sorte de lit de mousse, elle la glissa dessus et se posa en dominante avant de venir frotter amoureusement sa jambe contre l'intimité de la jeune femme.

J'ai vraiment chaud....je crois que je vais enlever tout ca...

Elle retira avec lenteur son chemisié, se cabrant de plus en plus devant le regard presque éblouit de son amante de la journée, plus victime de son charme qu'autre chose et fit entement glisser sa jule le long de ses jambes avant de poser les mains de la petite sur ses cuisses

Aide moi a retirer ca, s'il te plait, tu sera un amour....

Amy était maintenant si concentrée sur le plaisir que lui prodiguait Kurumu en s'occupant de ses seins que ses propres gestes sur la poitrine de son amante devenaient presque malhabiles...
Chaque fois que les doigts fins de Kurumu pinçaient ses tétons, Amy sentait son plaisir monter d'un cran, et un éclair lui traversait le bassin.
Entre ses cuisses, une étrange moiteur commençait à imprégner ses chairs, décollant doucement ses lèvres intimes dans une agréable sensation, comme une caresse.
Kurumu continuait à gémir, lui caressant affectueusement le visage...
Amy s'imagina un instant le tableau qu'elles devaient faire toutes les deux et se sentit un peu gênée, honteuse... Pas assez cependant pour arrêter ce qu'elle avait commencé.

A sa question, Kurumu répondit qu'il n'y avait pas de mal à se faire plaisir, confirmant ce qu'elle avait elle même pensé pour se rassurer. Elle lui dit alors qu'elle pouvait lui montrer bien plus que ça... et que pour cela elle devrait lui laisser le droit sur son corps...
Amy n'avait aucune idée de ce qu'elle voulait vraiment entendre par là, et se sentit un peu apeurée par l'emploi de ces mots. Cependant tout son corps tendait déjà vers la satisfaction du plaisir qui montait en elle...

Elle sentit son amie la pousser doucement à s'allonger sur un tapis moelleux de mousse qu'elle n'avait pas remarqué jusque là. C'était doux, agréable, confortable...
Un petit hoquet de surprise la souleva quand elle sentit la jambe de Kurumu s'insinuer entre ses cuisses et venir se frotter contre sa petite culotte. Le plaisir qu'elle ressentit à ce simple contact n'avait rien de commun avec tout ce qu'elle avait pu ressentir jusque là. Tout son corps l'implorait de continuer ce manège...

Kurumu déclara alors qu'elle avait trop chaud, et entreprit de retirer le reste de ses vêtements, de façon si sensuelle qu'Amy la contempla comme hypnotisée. Bientôt il ne lui resta que sa petite culotte qu'elle lui pria de retirer elle-même...

Amy rougit violemment... oserait-elle faire une telle chose? Pourtant elle en avait déjà fait beaucoup jusque là! Elle aurait eu l'air bien idiote et bien ingrate de refuser!
Maladroitement, Amy approcha ses mains du petit bout de tissus. Une grosse tâche sombre et humide en maculait l'entrejambe. Un instant, la gamine se demanda si Kurumu ne s'était pas soulagée dessus? Mais la sensation de sa propre intimité toute humide sous le jeu de jambe de sa compagne lui fit réaliser que sa propre petite culotte risquait de subir le même sort dans peu de temps!
Lentement, elle saisit les élastiques sur les hanches de Kurumu, et commença à tirer vers le bas. Peu à peu, le tissus dévoila peau claire du pubis de la jeune fille, imberbe tout comme elle...
Un instant, l'étoffe resta collée à aux lèvres de sa compagne, puis elle se détacha sous la pression, et le regard d'Amy s'agrandit de nouveau face à sa découverte. C'était la première fois de sa vie qu'elle contemplait le sexe d'une femme d'aussi près! Elle connaissait un peu le sien, encore qu'elle ne s'était jamais attardée à le regarder...

Les lèvres rosées, délicatement ourlées, brillaient d'humidité. Entre elles, une fleur pourpre semblait s'épanouir, dont les pétales se détachaient entre les perles blanches qui suintaient de son vagin. Cela lui fit un peu penser au lait qui était sorti de sa poitrine. Etait-ce la même chose? Et cela avait-il le même goût?
Sans réfléchir à ce qu'elle faisait, Amy ne put s'empêcher de passer doucement le bout de ses doigts sur la peau douce du pubis de Kurumu. Juste en dessous, un petit bourgeon de chair apparaissait au sommet de sa fente. Par curiosité, elle passa ses doigts dessus et sentit tous les muscles du bas ventre de sa compagne se tendre...

"oh, gomen!" S'écria Amy en reportant sa main sur sa bouche. Elle avait cru lui avoir fait mal.

Elle se rappela que sa compagne lui avait demandé de lui laisser utiliser son corps... Amy devinait que Kurumu attendait qu'elle se déshabille aussi. Pour se faire pardonner, pensait-elle, de son geste maladroit, elle entreprit de retirer elle aussi son chemisier. Voulant imiter son amie, elle déboutonna lentement les boutons qui n'avaient pas sauté sous la pression, un peu plus tôt, puis fit glisser le vêment de ses épaules, en regardant Kurumu dans les yeux, guettant sa réaction et son approbation...
Elle entreprit ensuite de faire glisser sa jupe le long de ses jambes, se trémoussant un peu pour parvenir à la retirer sans se relever, et se retrouva enfin en sous vêtements. Elle n'avait pas retiré son soutien gorge, ne sachant pas si elle devait l'enlever ou si Kurumu désirait le faire, comme elle même avait retiré sa petite culotte.

^Kurumu venait d'offrir un streap tease a sa compagne et s'humectait les levres en regardant le visage de la petite humaine s'ébranler face a ce spectacle des plus délectables. La jeune femme se fit entendre, elle souhaitait que la petite ingénue lui retire sa culotte, évidement elle s'attendait bien a ce que la femme face a elle émette des réticenses, ce qui semblait normal a la vue de son age, or celle ci retira son fin vetement en ayant l'air un peut interloqué a cause de la tache de mouille qui se formait au niveau de ses levres. C'était assez drole, si une personne passait par la, elle aurait un jolie spectacle sous ses yeux, celui d'une tres belle adolescente avoisinant la vingtaine se faire déshabiller par une femme proche de la quinzaine. C'était craquant, surtout que maintenant que Kurumu était nue, elle offrait une vue imprenable a Amy, qui malgré son innocence, ne put se retenir d'aprocher ses doigts de cette zone si sensible dans le corps d'une femme. Enfin, en premier lieux, ses doigts sillonnaient son bassin, faisant frémir la succube de plaisir sous les caresses avant de descendre sur sa perle de plaisir. C'est un réflexe qui fit cambrer Kurumu et gémisr de plaisir, elle avait l'habitude de se faire toucher, mais de cette maniere, c'était bien plus....excitant.

Ne t'excuse pas mon coeur, c'est exactement ce qu'il faut faire, et....hmmm

Il n'en fallait pas beaucoup pour exciter Kurumu, la voir se dévétir avec langueur la rendait folle de désir, lentement, Amy se dénuda. Une fois en sous vetement, un sourire amusé vint sur les levres de la succube qui ne pouvait pas se retenir de mouiller, elle trouvait la vue des plus grandiose, ourtant, ce corps n'avait pas grand chose de particulier, hormis qu'il n'était pas achevé. Elle laissa son rire clair et tendre s'emparer de la quietude des lieux avant de lui embrasser la joue en détachant bien difficilement cette chose horrible qui comprimait les belles poitrines.

Tu triche ma belle, je suis nue et pas toi, laisse moi te retirer tout ca.

Elle descendit, embrassant sa poitrine, jouant quelque peut avec ses tétons, pour lui donner un avant gout de ce qu'elle lui avait fait endurer, le lait en moins. Une fois ses seins mordillé et aspirait dans des bruits de succions délectables pour elles deux, Kurumu laissa un sillon avec sa langue le long de son petit ventre lat, probablement par une allimentation pas tres fournie que par un exercice tres maintenu. Vint le coton, encéré dans les dents de la succube qui lui caressa les levres au travers du tissu avec ses doigts fins alors que son autre main massait ses seins abandonnés de ses levres, elle tira sechement, arrachant ce vetement de sa mouille collante et déja abondante. C'était un sujet a sourrire, si Amy ne savait pas ce qui l'attendait, son corps, lui, il le savait parfaitement. Une fois nue, la belle succube avenca a quettre ates, d'une démarche féline sur sa proie avant de l'embrasser sur son clitoris gorgé de sang, de désir et de mouille. une fois se frisson passé dans le cors de sa compagne, elle continua sa emonté le long de son corps, embrassant goulument sa poitrine au passage. Finalement, elle atteint son objectif, la succube posa un baiser le long du nerf sensitif qui longeait la jugulaire avant de remonter et d'effleurer ses levres dans un premier temps.

Prette a connaitre le vrai plaisir? On ira a ton rythme, pour commencer, des que ca ira mieux, on prendra ma cadence.

C'était une maniere de dire a son amie de se préparer a sa maniere avant de clore les préliminaires et de passer au fond des choses. Les levres de la jeune femme revienrent se poser plus fortement sur celles de la ppetite humaine alors qu'une de ses mains caressait son sein et une l'autre tomba sur sa propre intimité, se caressant tendrement, elle lui monre de son grand sourire ce qu'elle se faisait en ce moment meme

Regarde mon coeur, essaye de me faire ce que je fais en ce moment meme, di tu n'y arrive pas, je te montrerais.

sensation humide, nouvelle, langueur dans son corps, ses reins... la sensation venait de ses seins que Kurumu était entrain d'embrasser et de lécher, comme elle même le lui avait fait un peu auparavant. C'était donc ça qu'on ressentait?
Là où la petite brise du sous-bois venait caresser sa peau humidifiée par la salive, elle sentait une douce fraicheur qui ne faisait qu'attiser son feu intérieur. Entre les lèvres de Kurumu, son téton était en proie à un véritable brasier de sensation nouvelles, qui se répercutaient dans tout son corps et coulaient comme une lave en direction de son bas-ventre.
Et puis la fraicheur de la brise remplaça tout à fait la chaleur de la langue, se répandit sur ses seins puis le long de son ventre, là où Kurumu avait tracé un sillon de salive qui se perdait dans son nombril puis s'arrêtait à la lisière de sa petite culotte de coton.
Amy laissa échapper un gémissement plaintif et ferma les yeux pour mieux se concentrer sur le langage de son corps.
Les dents de la jeune fille saisirent adroitement le tissus, tandis que ses doigts éffilés venaient se poser juste sur les lèvres d'Amy, là où le genou de Kurumu avait déjà provoqué des explosions de plaisir qui avaient rendu sa culotte toute collante! Amy gémit encore, renversa sa tête en arrière, alors que la main libre de Kurumu était revenue caresser ses seins tendus de plaisir.

C'est alors que d'une traction sèche de ses dents sur le tissus, elle arracha d'un coup habile la petite culotte d'Amy, qui sentit l'air frais du sous bois caresser sa fente brûlante, comme une langue.
Dans un mouvement inverse à celui qu'elle avait effectué un peu avant, Kurumu commença par poser ses lèvres sur celles de l'intimité d'Amy, précisant son baiser sur le clitoris douloureusement tendu de la petite adolescente. Celle ci ne put retenir un cri accompagné d'un spasme de plaisir incontrôlable, qui colla son bassin contre la bouche de Kurumu.
Au grand regret d'Amy, sa compagne détacha ses lèvres de son clitoris et remonta le long de son ventre vers sa poitrine, qu'elle prit le temps d'embrasser encore. L'instant était très langoureux, et Amy ne put se retenir, tout en gémissant, de caresser les flancs puis les épaules de la jeune fille, tandis que celle ci faisait courir sa langue le long de sa jugulaire, arrachant un soupir à notre jeune lycéenne.
Finalement, leurs lèvres se rejoignirent. Amy n'avait jamais embrassé personne, sans quoi elle aurait rendu son baiser à Kurumu, mais elle ne savait hélas pas exactement ce qu'elle devait faire. Elle était maintenant si troublée d'excitation qu'elle ne savait plus où elle en était...

Kurumu lui demanda alors si elle était prête à connaître le vrai plaisir. Tout son corps tendait vers la poursuite de ces sensations qui naissaient en elle et demandaient à être assouvie. Encore une fois, elle se dit qu'elle n'avait aucune raison d'avoir peur, elle était juste avec une amie, rien de fâcheux ne pouvait lui arriver et sa virginité serait préservée...
Kurumu annonça alors qu'elles iraient d'abord au rythme d'amy avant de passer au sien. Amy ne savait pas bien ce qu'elle voulait dire, mais devinait que son amie prendrait les choses en main et qu'elle ne pourrait plus faire marche arrière.
A ce stade, Amy ne pensait avoir aucune raison de vouloir faire marche arrière!

Les lèvres de sa compagne se scellèrent sur les siennes et sa main revînt caresser son sein, au grand plaisir de la lycéenne qui se mit à onduler du bassin sans s'en apercevoir...

Kurumu lui indiqua ce qu'elle était entrain de se faire avec son autre main, et lui demanda de prendre le relais.
Amy observa un instant, fascinée, les doigts de la jeune femme se perdre entre ses propres lèvres intimes, taquiner son bouton, explorer ses replis, avec une dextérité qui trahissait l'habitude. Amy ne savait pas si elle serait capable d'en faire autant, ni si elle avait vraiment envie de plonger sa main dans ces replis chauds et visqueux... tout son être espérait pourtant sentir les doigts de Kurumu la caresser, et il paraissait normal qu'elle la satisfasse... d'ailleurs Amy avait été élevée pour satisfaire les autres et se rendre utile. Elle désirait à nouveau plus que tout plaire à sa compagne.
Sa main hésitante s'approcha alors de l'intimité de Kurumu. Ses doigts, léger comme des plumes, se posèrent sur ses lèvres, là où la peau était d'une douceur incomparable. Elle remonta du dos de la main, et laissa le bout de ses doigt effleurer à nouveau le bourgeon de chair qu'elle sentit palpiter nerveusement sous la caresse.
Kurumu semblait impatiente et en vouloir plus, Amy plaqua alors toute sa main le long de sa fente, épousant toute sa longueur dans sa paume. Elle sentait le sang battre sous sa main, la pulsation du plaisir qui agitait tous les replis inexplorés.
A l'aveuglette, ne se fiant qu'aux infimes mouvements internes de Kurumu, Amy commença à laisser errer ses doigts entre ses lèvres. Les chauds replis les accueillirent, semblèrent même les engloutir pour les guider là où elle lui donnerait le plus de plaisir.
Son pouce s'était posé sur le clitoris. Amy avait bien remarqué précédemment que c'était ce qui donnait le plus de plaisir à Kurumu, et elle avait été un peu effrayée par la puissance des sensations qu'un seul effleurement pouvait donner. Elle y alla donc doucement, posant le gras de son pouce sur le bourgeon et le faisant tourner dans une caresse lente et appuyée, envoûtante.
Ses doigts continuaient de se perdre entre les replis des grandes et petites lèvres, inexorablement attirés par les muscles vaginaux jusqu'à l'entrée de la grotte humide, qui palpitait, comme si elle était animée de sa vie autonome.
Elle sentit simultanément son index puis son majeur se faire happer par cette grotte étroite et chaude, visqueuse de secrétions. Les mouvements du bassin de Kurumu s'étaient nettement accentué, et accompagnaient ses caresses comme une danse lascive.

L'attention d'Amy était entièrement tournée par ce qu'elle faisait, même si elle voyait moins de choses qu'elles n'en sentaient sous ses doigts.
Ses deux doigts, timidement, commencèrent à entrer dans le conduit béant de la jeune fille, guidés encore une fois par ses spasmes musculaires. La paume de sa main pressait plus fortement sur tout le long des lèvres, les écrasant délicieusement, pendant que son pouce continuait à agacer le clitoris.
Jamais Amy n'aurait pensé ressentir un tel sentiment de bonheur à caresser une fille!

Sans attendre les ordres de Kurumu, Amy décida de reprendre ses caresses buccales sur les seins de sa compagne, pour compléter ce qu'elle lui faisait avec sa main et ses doigts. Sa bouche se referma sur un téton, puis lécha l'autre. Elle les suçait maintenant alternativement, jouant de la langue pour faire rouler le petit bout de chair, pendant que ses doigts allaient et venaient dans le vagin de Kurumu...