Je ne lâche pas le gros porc Mortel des yeux. Si il savait sur qui il posait ses yeux, je lui aurais déjà arraché ces derniers, juste pour le plaisir qu'il comprenne qu'une déesse n'était pas une catin Humaine. Finalement, ce sont les doigts fins de Nephtys qui me sortent de ma colère naissante. Je me laisse guider, préférant les oublier ces chiens détestables. Je voue une Haine innommable envers eux, et ma femme le sait. D'ou ce voyage parmi eux, d'ou cette horreur. La vengeance pour son exil, elle m'en veut, et veut ici me montrer ce qu'elle a put subir durant son éloignement. J'enrage, mais je ne peux lui en vouloir a elle... Je l'ai peut être bien mérité. Ce voyage a au moins l'avantage de me faire travailler ma patience. Même si je suis un volcan, Nephtys est capable de faire de moi une foret Calme et tranquille. Un simple geste, une simple caresse, un mots, et me voici redevenue un ange. Pourtant, le démon est toujours en moi, quoi qu'elle fasse, il resurgira. Mais elle a apprit a vivre avec, et c'est pour cela, qu'aucune autre femme ne pourra rivaliser avec la mienne.
Elle m'entraine alors a l'étage, après avoir récupéré la clefs de notre chambre pour la nuit. Les escaliers déjà me laisse attentifs a la suite... Crasseux, pouilleux, les adjectifs ne manquent pas concernant l'environnement dans lequel ma femme a décidée de nous faire passer la nuit. Nous aurions put créer un abri, ou encore forcer une habitation plus... Plaisante. Mais non, encore une fois, elle voulait se mélanger a cette racaille humaine. Alors que je fulmine a nouveau, elle passe le pas de porte de notre bouiboui... Et la, aucunes surprises. Une pièce en piteux état. Un lit simple, bien loin des fabuleuses couches de nos contrées du Nil. Une odeur immonde d'humain traine, et sans compter la vue sur la place, ou grouille tout les mortels, parlant, riant, gloussant même. Je les déteste, et cela ne pourra jamais changer, quoi qu'en fasse ma Douce.
Mais très vite, mon regard est attiré par la cape sombre que tombe ma femme. Mes yeux se perdent dans la contemplation de ce qui fait de Nephtys, la plus belle parmi les Belles… Néfertari avait essayé de lui ressembler, Isis aussi, mais aucunes n’eu la chance incroyable de joindre beauté, et grandeur d’âme.. Les dieux peuvent être sans cœur, sans pitié, nous possédons tous une âme, vouée à divers desseins… Celui de Nephtys à toujours été noble, et Pure. Elle est le parfait opposé de mon être, si douce, si belle. Sa main prend la mienne, me forçant délicieusement a entrer dans ce cloitre dénué de charme. Je me laisse alors tenter, sans hésitation, après tout, comment résister a d’aussi jolies courbes ? Il m’est impossible de lui dire non quant elle agit ainsi, piquant mon coté demandeur, jouant a la perfection de son sex appeal… Son baiser qui suit n’est que merveille, et la porte qui vient se claquer derrière moi me laisse avec un fin sourire aux lèvres. Décidément, même en des lieux si minables et pauvres, Nephtys a le pouvoir de le rendre incroyablement beau.
Je lui rends son baiser, avec la même douceur dont elle a fait preuve, tandis que mes mains partent des siennes, pour remonter le long de ses bras, mes ongles laissant une fine trace sur sa peau bronzée. Je passe alors des doigts taquins sur ses seins nus. Cela fait maintenant deux jours que nous nous sommes retrouvés, mais l’envie est plus vivace que jamais. Croisant nos regards, mon cœur s’enflamme a nouveau, ma poitrine se sert, et je sent monter une chaleur bien connu désormais. Mes mains se font aventurières, passant par de simples frôlement, tandis que nos corps se collent l’un a l’autre comme attiré par des aimants. Je ne la quitte pas du regard, alors que mes doigts filent déjà caresser la douce peau de sa poitrine parfaite. Je glisse, je survole, pour enfin les masser délicieusement, mes index et mes pouces prenant entre leurs tenailles, les bouts durcit qui pointe vers moi, comme pour m’annoncer la suite des événements a venir. J’embrasse son cou, m’en délecte, avant de plonger avec arrogance vers sa poitrine, que ma bouche est désireuse de gouter.
« Rien ne me rend plus heureux que d’être la avec toi, ne plus te quitter, même si pour cela, je dois cohabiter avec la racaille humaine… »
Je ne lui laisse pas le temps de répondre, que déjà mes lèvres prennent d’assaut l’un de ses seins, que j’englobe au maximum, de manière a l’embrasser le plus sensuellement possible. Sa peau a un gout particulier, qui me manque a chaque fois qu’elle n’est pas auprès de moi. Je décide donc de le gouter encore un peu plus, plus longtemps, mes mains partant alors descendre le dernier bout de tissus qui gène la nudité parfaite de ma femme. Mon regard s’embrase d’une lueur gourmande qu’elle connait bien. Je la désir, plus que tout en cet instant, me faisant même oublier ou nous sommes. Sa culotte finit par céder, et tombe au sol, accompagné de mes mains, qui remontent alors vers son intimité, la cajolant tendrement.