A la poursuite de son amour perdu [PV Franz Nielsen]

Les yeux rougis, le teint pâle, celle qui avait été l’une des plus belles femmes des différents univers connus, n’était plus que l’ombre d’elle-même. Sa beauté était toujours là mais beaucoup plus terne que par le passé. La magie la maintenait dans son état mais elle ne faisait plus forcément attention à elle. Depuis que Kamui, puis Ryuga, l’avait quitté, elle ne trouvait plus le repos. Le seigneur de Meisa lui manquait tellement. Elle n’avait pas su comprendre ou plutôt pas voulu comprendre qu’elle était tombée amoureuse de lui. Elle avait préféré le pouvoir et la magie au détriment de cet amour. Et, depuis son départ, à chaque jour qui passait, elle regrettait son choix mais il était trop tard. Il était partit, dégoûté de tout le mal qu’elle lui avait fait et dégoûté d’elle surtout.

Depuis ce jour funeste où l’homme de sa vie était parti, elle avait changé, beaucoup changée. La magicienne avait compris tout le mal qu’elle avait fait autour d’elle. Elle avait vécu égoïstement, juste pour elle-même, sans tenir compte des autres et elle le payait. La perte de Kamui l’avait crucifié à rebours. Depuis, elle cherchait désespérément à le retrouver mais il possédait des pouvoirs importants, il dissimulait volontairement sa présence et elle se retrouvait à jouer les détectives espérant pouvoir lui mettre la main dessus et tenter de lui demander de lui pardonner et de l’aimer. C’était illusoire, stupide et certainement inutile mais c’était le seul rempart qui la séparait maintenant de la folie. Une simple pichenette risquait de la faire basculer dans les ténèbres.

L’ensorceleuse était venue sur Terre grâce à une source d’énergie qu’elle avait sentie. Elle semblait résiduelle mais cela prouvait que Kamui était passé par là. Peut-être y était-il encore. Depuis plusieurs jours, elle s’était réinstallée dans sa propriété du parc et passait ses journées à arpenter les trottoirs de la ville en espérant sentir sa présence. Habillée tout en noir, elle représentait le deuil personnifié. Tailleur noir, bas noir, escarpins noirs, la mode était celle de la Terre mais la couleur était celle de ses pensées sombres.

La nuit commençait à tomber. Mélisende s’arrêta un instant pour regarder autour d’elle. Elle ne savait pas trop où elle se trouvait. La plupart, elle avançait comme un zombie au travers des rues cherchant une once d’énergie magique. Elle finissait toujours par retrouver une artère principale qui la ramenait vers le centre de ville et de là, vers le parc et son manoir. Une nouvelle fois, la journée n’avait rien donnée. Cette course désespérée était inutile et pourtant, elle ne pouvait s’arrêter. Si sur Terre ça ne donnait rien, elle repartirait sur Terra. Un nouveau coup d’œil sur les bâtiments désaffectés lui apprit qu’elle devait se trouver dans le mauvais quartier de la ville. Ce n’était pas très grave, vu ses pouvoirs, elle ne risquait pas grand-chose. Elle jeta un nouveau regard au ciel où les étoiles commençaient à apparaitre, juste le temps de se demander si le seigneur de Meisa admirait le même ciel, puis elle repartit dans une direction semblant mener à une rue plus grande que celle où elle se trouvait.

Mon petit empire grandit. Après un bar de strip tease en centre ville, et l’achat de plusieurs nouveaux studios, depuis quelques semaines, j’ai ouvert un bordel dans les quartiers sombres de la ville. J’y prostitue des femmes consentantes, et d’autre qui y sont contraintes, soit parce qu’un proche que j’ai incarné leur a demandé de le faire, soit parce que l’un d’eux risque d’en subir les conséquences, si elle ne s’exécute pas. Ainsi, des avocates, des mères de familles, des étudiantes innocentes, me font gagner une petite fortune, sans rien me couter. Seules les plus belles de ses femmes vont travailler à mon bar de strip tease en centre ville, ou après une danse érotique devant tout un par terre de notable de la ville, une séance privée est mise aux enchères, où là, tous les désirs les plus fous de l’acheteur sont comblés. Les prix s’envolent tous les week end, il faut dire que contrairement aux autres bordels ou bar de strip tease du coin, les femmes que j’y fais danser sont de véritables perles, qui en tant normal ne ferai jamais de telles choses.

Mon principal souci est de toujours trouver de la chaire fraiche, une jeune femme, sublime et innocente, qui va avoir le malheur de croiser ma route.

Alors que je sors de ma maison close en fin de soirée, je compte me diriger vers les beaux quartiers afin de trouver de nouvelles victimes, vu que le quartier de la toussaint n’est pas réputé pour ces belles jeunes femmes. Enfin… Je le pensais…

Au détour d’une ruelle, je discerne une silhouette fine, à la démarche élégante, qui contraste, avec celles des loubards du coin, des ivrognes, ou encore des filles de joie. Intrigué, je m’approche pour venir croiser sa route, et plus j’avance, et plus je ne peux que constater que c’est une femme superbe aux courbes vertigineuses. Elle ne fait pas attention à moi, et continue sa route, semblant chercher quelque chose. J’en profite pour utilise ma faculté et sonder son esprit, et là, une chose se produit. La même chose qui s’est produite avec Miya, lorsque j’atteins son esprit, un mal de crâne gigantesque m’envahit, comme si cet esprit était fort de milliers d’années, ou protégé par je ne sais quoi. J’ai juste le temps d’avoir accès à quelques informations importantes. Un homme, un amour perdu, l’histoire avec Kamui Meisa. S’en est déjà trop, je ne peux plus supporter la douleur et interrompt mon pouvoir. C’est la deuxième fois que cela m’arrive, je ne sais pas si c’est un effet secondaire lorsque j’utilise trop mon pouvoir, ou bien est ce que cela vient des femmes sur lesquelles je l’utilise.

Quoi qu’il en soit, il faut que j’agisse vite, la jeune femme est entrain de quitter la ruelle, j’ai juste le temps de trier grossièrement les informations que j’ai acquise, puis je change mon corps pour qu’il soit identique à Kamui Meisa. Cette fois-ci, je n’ai pas le temps de mettre au point un plan, je vais devoir improviser. Chevelure noire avec quelques mèches blanches, des yeux bleus et une peau pâle, aussi vrai que nature, si ce n’est les habits, un tee shirt, une veste, et un jean dans le style contemporain japonais.

Décidé à ne pas laisser le poisson filé, j’active mes pas vers elle, et une fois à distance raisonnable, je fais entendre la voix de Kamui, les cordes vocales étant reproduites à l’identique, la voix est exactement la même.

C’est moi que tu cherches Melisende ?

La tête baissée vers le bitume, la belle magicienne avançait, inconsciente de son environnement et de l’homme qui approchait d’elle. La voix retentit soudain à ses oreilles.

« C’est moi que tu cherches Melisende ? »

L’interpellée stoppa net. Cette voix ! Cette voix, elle l’aurait reconnue entre des milliers, des millions d’autres. Etait-ce possible ? Ou était-ce simplement un mirage de son esprit fatigué ? Des fois, elle avait l’impression de l’entendre mais ce n’était que de simples mirages auditifs. L’envie de le retrouver était si forte que l’imagination, pour pouvoir supporter la peine et la douleur, inventait ces chimères.

La sorcière s’arrêta en plein milieu de la ruelle. Elle sentait bien une présence dans son dos, à quelques mètres d’elle. Elle ressentait aussi quelque chose d’étrange, une sorte de magie ou de pouvoir qui émanait de ce corps. Ce pouvait-il que se soit bien lui ? Elle tremblait de tout son corps. Mélisende ne savait pas trop si elle craignait que se soit lui ou, qu’au contraire, que ce ne soit pas lui.

La magicienne mit un long moment à se décider. Le besoin de savoir fut le plus fort. Elle se retourna avec une grande lenteur et ses yeux s’écarquillèrent quand elle le vit. C’était don lui, c’était bien lui, Kamui. Il était là, devant elle en tenue terrienne mais c’était lui. C’était son visage, ses cheveux, son corps qu’elle devinait. Oui, c’était lui. Les larmes affluèrent et se mirent à couler sur ses joues.

« Ka… Kamui ! »

Elle avait si souvent rêvé de ce moment. Tellement rêvée du jour où elle le retrouverait. Elle avait imaginé la scène des dizaines, des centaines de fois. Elle s’était répété les mêmes phrases autant de fois que les scènes imaginées. Et là, alors qu’il était devant elle. Elle ne se rappelait plus de rien.

Doucement, elle fit un pas, puis un autre, tremblante, fébrile. La grande magicienne qu’elle était ne se doutait pas de la supercherie. L’émanation de pouvoir qu’elle sentait était infime par rapport à celle de Kamui mais elle pensait qu’il dissimulait ses pouvoirs cela n’avait donc rien d’étonnant. Et puis, son désir que se soit bien lui, supplantait toutes les règles de prudence. Un nouveau pas, un quatrième, un cinquième, un dernier et elle fut devant lui. Sa main monta jusqu’à la joue du seigneur de Meisa mais s’arrêta avant de la toucher. Elle tremblait tellement. Et puis, finalement, la main alla se poser sur la joue chaude. Lorsqu’elle sentit le contact de la peau, elle s’autorisa à y croire et esquissa un sourire sur son beau visage envahit par les larmes.

« Kamui ! »

Son nom était la seule chose qu’elle pouvait dire à ce moment.

Quand la sublime jeune femme se retourne, et croise mon regard, l’émotion est palpable sur son visage. Je vais devoir faire avec les peu de choses que j’ai pu récupérer sur son histoire avec ce Kamui, quitte à soutirer d’autres informations au compte gouttes plus tard, pour étoffer mon plan. Je sais que leur relation à durer longtemps, et était très passionné, mais l’information la plus importante que j’ai pu obtenir, c’est la manière dont elle s’est terminé. Melisende à semble-t-il trahit, d’une manière ou d’une autre, Kamui, je ne sais pas exactement comment, peut être un adultère ? En tout cas, c’est sur cette base que je pourrais établir une emprise sur elle.

Elle s’approche de moi, et après quelques hésitations, elle pose une main tremblante sur ma joue, répétant le nom de son être aimé, maintenant convaincu de l’avoir en face d’elle. J’affiche un air plutôt contrarié, venant saisir son poignet, pour retirer sa main de ma joue.

Melisende…  Tu penses vraiment que c’est juste en disant mon nom, avec un beau regard, que j’oublierai ce que tu m’as fais ?...

Voyons voir comment cette jeune femme va réagir, et jusqu’où elle sera prêt à aller pour récupérer cet homme…

L’attitude froide et glaciale de son ancien amant était plus que compréhensible. Et elle devait bien s’y attendre après tout ce qui s’était passé. Elle laissa retomber sa main le long de son corps. Elle ne bougea cependant pas et resta à cinquante centimètres de lui. Les yeux toujours embués, elle perdit son sourire et son visage redevint triste.

« Non, non… c’est évident et… d’ailleurs je ne m’y attends pas. Je ne suis même pas certaine que tu puisses un jour me pardonner tout le mal que je t’ais fait – elle baissa le tête vers le sol - Je ne mérite sans doute pas ton pardon – elle releva son doux visage vers lui – Néanmoins, j’essaie de conserver l’espoir qu’un jour tu arriveras quand même à moins me haïr. Je te l’ai dit bon nombre de fois mais je ne l’ai jamais vraiment pensé, jusqu’à ce que je te perde, mais je t’aime aujourd’hui, je t’aime plus que tout et je ferais n’importe quoi pour toi, n’importe quoi ! »

Le flot salé inonda de nouveau son visage, ruissela sur ses joues, son menton, son cou. Que pouvait-elle faire ? Que pouvait-elle dire pour le convaincre de sa sincérité ? Elle était prête à tout pour lui.

Gardant un masque fermé sur mon visage, j’écoute attentivement la tirade de Melisende. L’amour ? Combien de fois  ai-je entendu ce mot de la bouche de femmes avant de les ramener à la dure réalité. Je compte bien lui réserver le même sort, et nous verrons jusqu’où va son soit disant amour, ou plutôt combien il peut me faire gagner…

Je lui tourne le dos, alors que des larmes roulent le long de ses joues, puis avançant d’un pas, je prononce quelques mots à son intention.

Si tu dis vrai. Si tu m’aimes réellement. Alors suis-moi, nous verrons bien.

Lorsque je prends la forme de l’être « aimé », les choses sont quelques peu différentes, je pourrais accéder directement aux faveurs de son corps, mais ce serai trop facile, et je n’atteindrai pas le but que je recherche. Dans ce cas là, Melisende bien que s’offrant à moi, penserait satisfaire l’être qu’elle aime, et elle ne penserait donc pas faire quelque chose de mal. Pour la pervertir comme il se doit, il faut que j’utilise son « amour » pour la contraindre à faire des choses qui aillent à l’encontre de ce qu’elle ressent. Quoi de mieux que l’homme qu’elle aime, lui demandant d’en satisfaire d’autre ?

J’arrive devant l’immeuble faisant office de maison close, et bien évidement les gardes que j’ai placé devant la porte ont consigne de ne pas faire entrer n’importe qui. Mais au vue de ma polymorphie, j’ai mis en place une sorte de « mot de passe », qui fait que lorsque je prononce cette phrase, ils savent qu’il s’agit de moi.

Znarf neslein

Tout simplement Franz Nielsen à l’envers, mais pour ceux qui l’entende, ils peuvent penser à une langue étrangère. Je me retourne vers ma proie, et lui fait un signe de tête.

Allez viens.

Je l’emmène directement à l’étage et lui ouvre la porte d’une chambre libre. Les chambres sont plus ou moins luxueuses selon les clients, et là je l’ai emmené dans une chambre intermédiaire. Il y a un grand lit au milieu, une salle de bain avec baignoire et douche, ainsi qu’une particularité très intéressante : Il y a un grand miroir qui donne sur le lit, qui sert en fait à masquer une pièce se trouvant derrière pour filmer ou espionner la scène en toute tranquillité.

Seuls dans la chambre, je m’approche de Melisende, et passe mes bras autour de sa taille, agissant étrangement avec douceur, comme si j’avais du cœur…

Comment te-croire Melisende… Après ce que tu m’as fait…

Je pose mon front contre le sien, jouer le sentimental me dégoute au plus haut point, mais il le faut si je veux que tout se passe comme je l’ai prévu.

Mais j’ai envie de te croire…

Mes lèvres se collent aux siennes pour l’embrasser avec tendresse, mes mains glissent vers ses fesses dont je m’empare avec désir, avant de repartir à l’assaut de ses formes. Je veux que son corps soit en proie total au désir, parce qu’après….

Kamui semblait totalement insensible à ce qu’elle disait. Elle aurait alors pu partir, quitter cet endroit, le quitter lui pour de bon, mais rien n’y faisait. Une toute petite voix en elle lui disait qu’il y avait encore une chance, que peut-être il finirait par la croire. De toute façon, il n’y avait qu’une seule manière pour se faire, rester. A force d’actes et de mots, il finirait peut-être par reconnaître qu’elle l’aimait sincèrement.

Mélisende le vit lui tourner le dos. Etait-ce trop tard ? Non, il lui dit de le suivre. Alors l’espoir existe vraiment ! Sans rien soupçonnée, trop heureuse de l’avoir retrouvé, elle le suivait sans se rendre compte du piège. Franz la dupait aussi facilement qu’elle avait dupé Kamui. C’était un prêté pour un rendu. La loi du talion s’opérait en ce moment même. Ils avancèrent jusqu’à une bâtisse où deux hommes gardaient l’entrée. Kamui leur dit deux mots et ils le laissèrent entrer. La sorcière ne fit guère attention au décor, la seule chose qu’elle voyait c’était le fantôme de l’homme qu’elle aimait. Ils montèrent des escaliers et il la fit entre, à sa grande surprise, dans une chambre. Rien de très luxueux mais c’était confortable. La seule chose notée par la belle fut l’immense miroir.

Soudain, il se retourne et s’approche d’elle. Mélisende se croit presque dans un rêve alors qu’il dit vouloir la croire. Son cœur bat à tout rompre et ses yeux le supplient de la croire. Il l’embrasse alors avec la même douceur que dans le passé. Elle sent ses mains sur son corps. Il lui avait tant manqué. Elle avait si soif, si faim de lui. Elle lui rend son baiser de manière passionné, jouant avec sa langue alors que ses mains viennent entourer son cou et que son corps se colle contre celui, masculin, de son amour. Ses mains courent sur elle rallument le feu du désir qu’elle avait pour lui. Ses seins se tendent, une boule de chaleur se forme dans son ventre. Elle devient sourde à tout ce qui n’est pas lui. Les larmes coulent alors sur ses joues, heureuse de l’avoir retrouvé.

Je sens ce corps de rêve s’abandonner docilement à moi, je déboutonne la veste de son tailleur, et la laisse tomber à terre pour mieux remette mes mains sur son chemisier, et lui fait subir le même sort. Alors que je dévoile son soutient gorge, je fais en sorte que Melisende soit bien en vue de la vitre, ou mes hommes de mains ont dû rassembler les gros clients du soir. Je descends mes mains vers sa jupe, et comme un vendeur mettant en valeur son produit, je viens plaquer la jeune femme contre le miroir. Ses seins sont comprimés dans leur soutient gorge bien en vue des personnes se trouvant derrière le miroir.

Les premières offres arrivent déjà, alors que je fais glisser la jupe de Melisende le long de ses jambes galbées, offrant à la vue de mes clients ses bas sexy. Je plaque mon bassin contre ses fesses, et je viens murmurer fiévreusement à l’oreille de mon amante.

Attends… Je reviens…

Je m’écarte d’elle, d’abord pour mieux observer ce corps parfaitement mis en valeur par les sous vêtements, puis je sors de la pièce et me dirige vers celle se trouvant derrière le miroir, où les offres sont entrain de s’envoler. Il y a juste 6 clients, mais c’est normal pour une enchère ponctuelle comme celle-ci, il n’y a que les personnes qui ont fait la démarche de venir ce soir. Dans une enchère annoncée à l’avance, où j’attire mes meilleurs clients, il peut y avoir jusqu’à une vingtaine de personne dans la pièce, et là, les prix s’envolent réellement. Je compte bien en préparer une pour ma nouvelle proie, elle va sans doute me faire battre des records.

Le gagnant de l’offre de ce soir, est le fils d’un homme politique influent de Seikusu, un fils à papa dont Melisende n’aurait même pas gratifié d’un regard en temps normal, et qui là, va pouvoir jouir de son corps. En tout cas, ma nouvelle attraction s’annonce prometteuse, l’enchère est montée jusqu’à 700 000 yens, c’est un record pour une séance non préparée comme celle-ci. Il me vient même l’envie de faire payer les autres pour rester regarder la scène, mais je me rétracte, je gagnerai beaucoup plus à ce que mes clients parlent de Melisende autour d’eux.

Je retourne donc dans la chambre avec l’homme en question, et quand Melisende nous voit, elle à l’instinct de passe un bras sur la naissance de ses seins, et me regarde sans rien comprendre.

Mon cœur je te présente un ami… Un très bon ami.

Je m’approche de mon amante, et la serre doucement dans mes bras, comme pour la rassurer, puis après avoir déposer un baiser sur ses lèvres, je murmure :

Il m’a beaucoup aidé après… Que tu m’ais fait du mal… Sans lui je pense que j’aurais fait une très grosse bêtise, c’est grâce à lui si je suis encore là aujourd’hui… J’aimerai qu’on lui fasse partager notre amour… Si tu m’aimes tu peux comprendre ?

Souvent l’ont dit que les emballages trop beaux cachent les cadeaux les plus mauvais, c’était le cas ici. Mes paroles si douces, sont là pour mieux dissimuler ce qui va se passer. Je prends la main de Melisende, pour l’entrainer vers le lit, je m’assois au rebord, et je la fais s’installer sur mes genoux, sont dos contre mon torse et bien en face de mon client. Avant qu’elle n’ait le temps d’avoir un sursaut de raison, je passe mes mains sur ses cuisses, puis vers l’intérieur de celle-ci pour faire monter le désir en elle. Je remonte l’une d’elle dans son dos pour dégrafer son soutient gorge et libérer sa poitrine aux délicieuses proportions. Le jeune homme affiche déjà une belle bosse dans son pantalon, à la vue de cette poitrine, et tremble d’excitation. Je dépose des baisers humides sur la nuque et le cou de ma proie, alors que mes mains fermes viennent se refermer sur ses seins, je les soupèse, je les malaxe… J’aime ces instants, où je défie le soit disant amour de ces femmes et j’en teste les limites.

Étoffe après étoffe, il l’effeuille avec douceur et rapidité. Il semblait avoir la même faim, la même impatience qu’elle. Pour une fois, la belle magicienne se laisse faire sans se douter une seule seconde de ce qui se trame derrière la vitre contre laquelle son amant passé la plaque. Elle se laisse exhiber, inconsciente de ceux qui bavent devant elle, devant son corps parfait dont la Nature l’avait dotée. Elle gémit en sentant son corps puissant, son bassin, se plaquer contre elle, prometteur de tellement plus.

« Non… Ka… Kamui… »

Cri de protestation alors qu’en pleine passion, il l’abandonne. Était-ce le prix qu’elle devait lui payer ? Il l’amenait au seuil de la passion la plus intense et l’abandonner ensuite. Oui, elle le méritait mais était-ce vraiment la manière de faire de Kamui ? Elle resta alors plantée là, stoïque, attendant, espérant, priant pour son retour.

Les secondes, les minutes s’égrenèrent et l’attente devint insupportable mais la porte s’ouvrit de nouveau, faisant pousser un soupir de soulagement à la jolie brune qui désespérait de voir le seigneur de Meisa revenir. Elle afficha alors un large sourire qui mourut bien vite en voyant un autre homme, à l’aspect immonde, entrer à son tour. Instinctivement, elle chercha à se protéger de ses mains, sachant combien cela était inutile mais parfois son côté humain reprenait le dessus.
 
Le jeune homme immortel vint à sa rencontre et la prit dans ses bras, où elle se blottit, pour la rassurer. Il le présenta comme un ami, un ami très cher, qui l’avait tellement aidé, l’empêchant même de commettre une folie. Mélisende sursauta en entendant une telle chose. Ainsi, il avait pensé au pire à cause d’elle. Elle se cala un peu plus dans ses bras, attristée par une telle nouvelle. Elle accusait difficilement le coup, se sentant horriblement coupable. Peut-être est-ce cette culpabilité qui lui fit accepter sa demande ou tout simplement décida-t-elle d’en faire abstraction pour être avec Kamui, encore une fois.

L’ensorceleuse se laissa conduire au lit et s’assit sur les genoux de son amour, dos à lui, face à ce type qu’elle ne connaissait pas. Ne pouvant supporter sa vue, ses paupières recouvrirent ses yeux de jais, la laissant seule avec son seigneur. Les mains de celui-ci s’emparèrent de ses seins après les avoir débarrassés du surplus de tissu qui les recouvraient. De longs et profonds soupirs s’exhalèrent de la bouche de la dame, montrant l’envie et le plaisir qui s’emparait d’elle. Renversant sa tête en arrière et se cambrant, elle offrait la vue la plus magnifique qui soit à celui qui avait payé pour voir alors que sa nuque était assaillie par les baisers de Kamui.

« Tu m’as tellement manqué mon amour, tellement… »

Le corps de Melisende réagissait merveilleusement bien à mes caresses, je sentais le désir l’emporter sur tout le reste. Je laisse une de mes mains parcourir ses seins, alors que je descends l’autre pour venir la passer sous la culotte de la jeune femme. Son sexe est déjà humide alors que mes doigts commencent à se frotter contre ses lèvres intimes.

Toi aussi tu m’as manqué mon amour… Si tu montrais à notre invité tous tes talents ?...

Le gosse de riche, tout excité devant cette scène, ouvre sa braguette d’une main tremblante, et sort sa verge déjà complètement dressée d’envie. Ca se voit qu’il n’est pas habitué à ce genre de chose, et que son père lui a confié un peu plus d’argent de poche pour lui faire  « découvrir la vie ». Maladroitement il s’approche et vient littéralement écraser son sexe sur le visage de Melisende, ce qui ne peut m’empêcher de lâcher un petit rire.

Doucement tu vas l’étouffer !

Melisende à un mouvement de recul, et sans doute d’écœurement, pour ne pas que cela prenne le pas sur son désir, je commence à faire aller et venir deux doigts dans son vagin, caressant ses parois avec force, alors que je frotte son clitoris avec mon pouce. Après avoir pincé entre mes doigts son téton gauche, je remonte ma main derrière sa nuque, pour repousser son visage contre la verge de mon client.

Allez chérie… Tu n’as pas envie de me décevoir encore une fois ?... Montres lui ce que tu sais faire.

L’ordre est claire, je veux que mon client en ait pour son argent, qu’il soit plus que satisfait pour qu’il en parle autour de lui, et qu’il m’amène d’autre clients potentiels. Surtout qu’à Seikusu il y a une bonne brochette de gosse de riches puceaux qui seraient prêt à débourser leur argent de poche dans mes activités !

Kamui ramena brusquement la sorcière à la réalité et surtout à celui qui les observait. Son regard de jais se fit mauvais. Le type ouvrit sa braguette et en sortit son membre durcit d’excitation devant la scène que le couple lui offrait. L’homme avança et vint coller son membre contre le visage de Mélisende. Celle-ci se recula et chercha à se dégager mais le seigneur de Meisa, ou celui qu’elle prenait pour lui, la joua finement. Les doigts s’enfoncèrent dans son intimité, lui arrachant un cri de plaisir. Elle se mit à haleter. Son corps réclamait son amour, peu importait les conséquences à ce moment. D’une main sur sa nuque, il la poussait vers l’autre.

« Allez chérie… Tu n’as pas envie de me décevoir encore une fois ?... Montres lui ce que tu sais faire »

A ces mots, Mélisende n’hésita plus. Non, elle ne voulait pas le décevoir. Elle l’avait déjà perdue deux fois. La première en le trahissant avec Arthas, la seconde en le trahissant tout court et en refusant de voir les sentiments qu’elle éprouvait vraiment pour lui. Or de question que cela se reproduise une troisième fois.

Sans hésiter, elle attrapa la verge du jeune homme devant elle et se mit à doucement la caresser. Travail préparatoire, qui servait juste de premier contact. Elle massa le membre avec douceur et sensualité. Une technique aussi ancienne que le monde. Puis, la main le dirigea vers la bouche aux lèvres pulpeuses. La langue entra en œuvre et se mit à lécher le gland avant que l’ensemble de la verge ne se retrouve dans la cavité buccale.

Mélisende se mit à aller et venir sur le membre tout en profitant des caresses distribuées par les doigts de Kamui à son sexe et à sa poitrine. Ses longues mains fines allèrent caresser les bourses pleines de « l’ami », augmentant encore plus le désir de ce dernier qui poussait de véritables râles de plaisir à chaque impulsion qu’elle donnait. L’ensorceleuse n’aimait pas ça mais elle le faisait pour lui, pour l’homme de sa vie et surtout pour ne pas le perdre une autre fois.

Melisende semble ne pas vouloir me décevoir, et sans hésiter elle prend en main la verge du gosse de riche, et commence à le masturber, avant d’entreprendre de le lécher et partir sur une fellation experte. L’homme prend son pied comme il ne l’a sans doute jamais pris, de véritables râles de plaisir sortent déjà de sa gorge, alors qu’il vient prendre en main le sein droit de la jeune femme que j’ai laissé libre. J’augmente la vitesse et la force des allers et venus de mes doigts dans son vagin, frottant bien contre sa paroi supérieur, alors que mon pouce continue de jouer avec son clitoris désormais gonflé.

Lorsque Melisende vient jouer avec les bourses de mon client, ce dernier gémit plus fort, de plus en plus fort, jusqu’à un râle plus long et prononcé. Je vois sa main venir appuyer derrière la tête de l’ensorceleuse, et je comprends en entendant les gémissements plaintifs de celle-ci qu’il est déjà entrain de libérer sa semence dans sa bouche.

Gosse de riche : MMMMMMH ! Petite salope avales moi tout ça !

Heureusement qu’elle ne peut voir le sourire qui se dessine sur mon visage, alors qu’après avoir mordillé le lobe de son oreille, je murmure à son oreille :

Franz : Je sais que tu raffoles de ça… N’en laisses pas une goutte… Tu m’excites mon amour…

Une fois que mon client à retiré sa verge de la bouche de Melisende, je l’entraine vers le lit, de sorte à ce qu’elle soit allongé sur le dos. Je me déshabille devant elle, puis vient la chevaucher au niveau de son abdomen, ainsi ma verge dressée par le désir, vient se poser entre ses seins ronds. Je la fixe, puis voyant du sperme s’être perdu sur son menton, je passe mon doigt dessus, et le ramène dans sa bouche.

Et si tu faisais du bien à ton homme avec ta magnifique poitrine ?

Cette démarche assurant le spectacle a aussi un autre but : Masquer ce qui se prépare derrière moi. Le gosse de riche vient agripper les jambes de Melisende pour y prendre appui, puis vient la pénétrer d’un coup de rein maladroit, trahissant son inexpérience. Il commence à la pilonner, sa verge allant et venant entre les parois vaginales de l’ensorceleuse, accompagné par ses gémissements de plaisir.

Mélisende appréciait moyennement de faire cette fellation mais le plaisir donné par Kamui l’empêchait de se détourner du sexe de l’autre homme. Cela faisait plusieurs semaines, plusieurs mois, que son corps n’avait pas été sollicité. Or, après cette longue période d’abstinence, il réclamait du plaisir. Le seigneur de Meisa étant retrouvé, la sorcière pouvait se laisser aller.

L’homme poussa un râle plus puissant que les autres et posa sa main contre le crâne de la magicienne qui voulut reculer en sentant les jets de sperme dans sa bouche. Mais il l’en empêcha, la contraignant à avaler pour ne pas étouffer. Penché à son oreille, Kamui li disait de tout avaler et que cela l’excitait. Il ne lui en fallait guère plus, elle avala le sperme et se mit à lécher la verge pour la nettoyer du fluide.

L’immortel l’entraina alors vers le lit, la faisant doucement s’allonger. Il se déshabilla alors. Mélisende lui souriait contemplant ce corps qui lui avait tant manqué. Elle tendit les bras vers lui, lui demandant de la rejoindre, ce qu’il fit. Il se mit alors à cheval sur elle, sa verge entre ses seins. La sorcière soupira de plaisir mais sursauta en sentant que l’autre homme la prenait par les jambes et s’insinuait en elle. Mais c’était trop tard, son corps voulait du plaisir à présent et le membre dur de l’homme lui en donnait.

Elle le sentait maladroit, débutant surement mais elle s’en fichait. Elle en avait besoin. Kamui devant elle attendait qu’elle veuille bien s’occuper de lui à son tour. Agrippant ses seins, elle se mit à les faire caresser le sexe de son homme. Soulevant légèrement sa tête, elle en profita pour donner des coups de langue sur le gland. Tout cela l’excita terriblement. Les vieilles habitudes ont la vie dure. Elle avait passé plus de trois milles à pratiquer le sexe quasiment quotidiennement, c’était une drogue pour elle et là, elle était en état de manque. Elle ne pouvait plus s’arrêter, elle avait besoin d’être apaisée.

Visiblement, Melisende à l’air de prendre beaucoup de plaisir, si bien que la gêne de se faire prendre par un inconnu ne semble pas exister chez elle. Cela pourrait sans doute s’expliquer par son vécu, mais je ne peux malheureusement pas me permettre de sonder à nouveau son esprit si particulier. Je commence à gémir doucement de plaisir en sentant la douceur des seins de Melisende venir presser contre ma verge brulante. Elle incline légèrement la tête pour venir gratifier mon gland de caresses expertes de sa langue, alors que le gosse de riche resserre ses mains sur les cuisses de l’ensorceleuse, les griffant maladroitement, alors qu’il augmente de plus belle le pilonnage de son membre contre son vagin.

Gosse de riche : MMMMH ! Oh petite putain ! Ce que c’est bon !

Je me redresse légèrement pour venir poser mes bourses imberbes contre les lèvres de Melisende, l’invitant à s’en occuper, et une fois satisfait, je viens presser mon gland à l’entrer de sa bouche, et laisse ma hampe glisser à l’intérieur. Je commence un mouvement de bassin pour faire aller et venir ma verge entre ses lèvres, alors que j’entends mon client gémir de plus en plus fort, signe qu’il ne va pas tarder à jouir. Je reviens me placer de sorte à ce que mon sexe retrouve les seins de l’ensorceleuse, et je glisse une main le long de son ventre pour venir frotter le bout de mes doigts contre son clitoris gonflé. J’entame de nouveau un mouvement de bassin, mais cette fois ci pour masturber ma verge entre les seins de Melisende, et j’augmente rapidement le rythme, les baisant littéralement, et lui laissant à peine le temps de lécher mon gland quand celui ressort de l’orifice créé par la pression de sa poitrine.

Soudain le gosse de riche se cambre, et va marteler son sexe le plus profondément qu’il peut à l’intérieur de l’ensorceleuse et y éjacule, son sperme venant arroser les parois vaginales. Tandis que moi après un nouveau passage de mon membre entre les seins de Melisende, je gémis plus fortement, et me laisse jouir également, mes longs et épais jets de semence venant frapper son visage, son cou, et dégoulinant sur sa poitrine, dans un volume qui est sans égal comparé à celui de l’humain. Je souffle et fixe avec une certaine satisfaction le visage de la jeune femme, souillé par mon foutre, alors que mon client retire son sexe du sien, et se laisse tomber à terre, pour reprendre ses forces. Je m’écarte à mon tour, mais pour mieux venir m’allonger sur le dos contre le lit, puis je prends une main de Melisende et vient la plaquer contre ma verge qui n’a pas encore perdue toute sa vigueur.

Franz : Allez… Ne la laisses pas perdre toute sa dureté, comme ça tu pourras venir chevaucher ton homme ma belle.

A cet instant je suis loin de me douter du très lourd passé de l’ensorceleuse, et pense avec satisfaction pervertir une femme aimante et bien sous tout rapports, je risque d’avoir quelques surprises par la suite, et peut être même des mauvaises…

Mélisende se laisse faire, folle de joie de retrouver l’homme de sa vie, celui qu’elle avait monstrueusement trahi et par deux fois. Elle croyait l’avoir perdu pour toujours quand il avait quitté son île, emmenant avec elle la moitié de son cœur. Il lui avait fallu longtemps pour se rendre compte de cet état de fait. Mais maintenant qu’elle l’avait retrouvé, ils pourraient enfin vivre ensemble, pour toujours.
En amante expérimentée, elle lui donnait tout ce qu’il voulait, lui et son ami. Faire l’amour à plusieurs ne la gênait pas. Elle l’avait fait un nombre incalculable de fois. La sorcière contractait ses parois vaginales pour mieux enserrer le membre de l’ami qui prenait un plaisir immense à la prendre.

Quand à Kamui, il ne semblait pas être en reste. Il s’avança sur elle et lui présenta ses bourses. L’ensorceleuse se mit en devoir de les lécher avant de les gober avec douceur. Ses dents passaient doucement sur la peau sensible de cette partie de son anatomie avant que la langue ne prenne le relais. Passant et repassait avec plaisir et délice comme s’il s’agissait de boules de glace.

Puis la verge de Kamui vint s’avancer dans toute sa bouche, l’obligeant à lui faire une fellation profonde. Le gland allait taper contre le fond de sa gorge. Une autre femme qu’elle aurait pu être dégoûtée ou rendue malade par une telle action mais ce n’était pas le cas. Mélisende avait de nombreuses pratiques à son actif et elle savait fort bien se contrôler et contrôler son corps à la perfection. Elle profita donc avec plaisir de cette fellation avant que la verge ne regagne sa place première, lovée dans le cocon de ses seins.

Elle sursauta et frémit en sentant son clitoris stimulé par les doigts de son amant, la faisant vibrer de délice. Il continua sa stimulation tout en poursuivant ses mouvements de va-et-vient entre ses seins. Elle comprima sa poitrine avec ses mains de manière à totalement englober le membre. Encore quelques mouvements et le type finit par jouir en elle et Kamui ne tarda pas à en faire de même, recouvrant son visage, son cou, sa poitrine de sperme épais. Elle s’en moquait un  peu. Tout ce qu’elle voulait, c’était lui, son amour, son plaisir. Le reste, même sa petite voix intérieure qui lui disait que tout cela n’était qu’une terrible machination, ne comptait pas.

Lorsqu’il l’invita à redonner quelques vigueurs à son pénis, elle ne se fit pas prier, venant le caresser avant de se remettre à le lécher. Il ne mit d’ailleurs guère de temps à revenir dans son état premier. Forte de cette victoire et sans attendre, elle enjamba le corps du jeune homme et vint s’empaler sur le membre tendu, poussant un soupir de plaisir quand il s’immisça en elle. La magicienne se mit à onduler sur lui, prenant un plaisir évident. Ses mouvements étaient rapides, elle n’avait pas encore jouie et il était plus évident que c’était son plaisir qu’elle recherchait. D’ailleurs quelques minutes à peine suffirent pour l’amener à l’orgasme. Le cri qu’elle poussa fut puissant tout comme les spasmes qui la secouèrent. Ses mouvements se ralentirent mais ne s’arrêtèrent pas. Elle n’oubliait pas son amour et comptait bien encore lui donner du plaisir.