Mario, la nuit, au parc [PV]

Mario, de son doux nom asiatique, était en train de marcher tranquillement dans le parc sans trop se soucier de ce pourquoi il y était ou de ce qu’il allait y faire. A vrai dire, la seule véritable raison qui motivait sa présence ici était la présence dudit parc sur la droite imaginaire que ses pas le forçaient à suivre en cet instant. En effet voilà des heures qu’il marchait à présent et c’était sans la moindre interruption et sans le moindre renfort de boisson ou de nourriture qu’il avait accompli cet effort. Un effort qui n’en était pas vraiment un puisque le jeune homme avait l’habitude de ce genre d’activité. Quoi qu’il en soit, alors qu’il marchait de ce pas si régulier dans le parc, il sentit ses sens frémir à plusieurs stimuli.

L’odeur des fleurs, la douceur des rayons de la lune, les bruits de petits animaux qui n’avaient rien de domestiques. L’endroit était plongé dans une quiétude qui n’avait rien à voir avec le silence et qui pourtant avait tout de reposant. Fermant les yeux tout en continuant d’avancer tout droit, il finit par prendre une large inspiration et relâcha chacun de ses muscles en expirant. Un petit sourire aux lèvres il se laissa alors choir, pivotant légèrement alors que ses jambes se pliées pour que bientôt il s’affale sans le moindre heurt sur le dos. Croisant ses bras derrière sa tête, torse nu, il observa un instant les cieux ombrageux qui ne laissaient voir que peu d’étoile mais ne cachaient en rien la magnifique lune qu’on y trouvait. Soupirant d’aise il ferma les yeux. Ses muscles se mirent alors à travailler avec une certaine harmonie. Ainsi son buste se dessina un peu mieux sous les rayons argentés qui tombaient des cieux nocturnes, chaque ombre mettant en exergue le relief de ses abdominaux puissants, de ses bras musclés et de ses pectoraux. Son visage était doux dans ce repos mais toujours marqué par une certaine forme de sagesse mêlée à une volonté d’acier.

Mélisende avait quitté son monde mais de manière totalement temporaire. Elle avait envie de s’amuser et pour cela quel meilleur endroit que la Terre. Les hommes sont si facilement tentables. Un beau corps, une magnifique femme et le tour est joué. Un jeu d’enfant pour la magicienne. Cette dernière avait envi de s’encanailler si on peut dire ça comme ça. Pour une fois, elle ne comptait ramener personne avec elle, pas d’esclave. Elle voulait juste consommer sur place et s’en aller ensuite. Une sorte de fast food sexuel !

Elle franchit le portail qui lui permettait d’arriver dans le parc. Là, elle trouverait bien quelqu’un homme ou femme, sinon elle partirait en direction du quartier de la Toussaint. Là, elle était sûre de trouver de quoi se satisfaire.

La nuit était tombée depuis un moment déjà et l’ombre de la magicienne évoluait entre les arbres pour déboucher sur le parc à proprement parlé. Elle portait sa tenue habituelle ou plutôt sa quasi absence de tenue. Des bandes de tissus noirs transparentes recouvraient, à peine, ses points stratégiques. Elle portait une cape noire par-dessus, histoire de ne pas trop se dévoiler tout de suite.

Elle avançait ombre parmi les ombres à la recherche d’une proie.

(un peu court mais je me rattraperai )

Mario intima un mouvement de rotation à son corps et replia les jambes pour bientôt passer de la position couchée à la position accroupie. Observant les alentours, tentant de découvrir la chose qui avait fait l’étrange bruit qu’il avait entendu un peu plus tôt, il tomba bientôt sur une silhouette. Se redressant, comprenant qu’il s’agissait d’un humanoïde, il s’avança. Le jeune homme observa sans piper mot la splendide silhouette de Mélisende, laquelle disons-le franchement avait les courbes d’une véritable nymphe. Il était torse nu comme à l’accoutumée, donc, et s’approchait d’elle d’un pas simple. Le jeune homme ne se donnait pas de grands airs et ne faisait appel à aucune éloquence, sa stature était régie par un entraînement qui semblait daté de son jour de naissance et son regard portait les traces d’un lourd passé. Cependant l’impression qu’il dégageait n’était pas emprunte de lourdeur, non, il y avait quelque chose d’animal.

Car en cet instant, alors qu’il remarquait qu’il s’agissait d’une femme, le jeune homme laissait des flots de testostérone parcourir son corps et au travers de ses pores s’échapper les hormones d’un mâle en rut. Il tentait ainsi de faire appel au plus animal désir de cette belle inconnue. Il avait connu Lili déjà en tant que compagne et pour lui toutes les femmes aimaient à être soumise tout comme elle ! Il défit son pantalon et laissa le tissu ample choir jusqu’au sol où il demeura alors que le jeune combattant avançait d’un pas pour se placer dans la lueur argentée de la lune, son membre fièrement dressé et plus dur que l’acier.

Mélisende avançait sous le halo argenté de la lune et sous le manteau de la nuit. Elle aimait la nuit, c’était alors si simple de faire des rencontres et de s’amuser tout en restant anonyme. Alors qu’elle poursuivait son chemin, elle sentit quelque chose d’étrange. Ce n’était pas une odeur plutôt une sensation, une impression, l’odeur de l’homme.

Elle tourna la tête et l’aperçut, un dieu qui se découpait sur le disque argenté, totalement nu et en rut. Qui était-il donc ? Au fond, elle s’en moquait. Il voulait s’amuser, elle n’allait pas l’en priver. Vu son attitude, il semblait du genre dominant. C’était une chose que la magicienne reconnaissait sans peine. S’il voulait la dominer, pourquoi pas ! Dès l’instant où elle prenait du plaisir, elle s’adaptait à toutes les situations.

Mélisende fit alors semblant de trébucher et de se retrouver au sol alors qu’elle avançait vers lui. Elle se retrouva allongée par terre, sa cape complètement ouverte laissait voir son corps à peine voilé.
 
« Aïe ! Ma cheville ! »

Elle s’assit et se tint la partie mentionnée. Elle n’avait rien, bien sûr, mais cela attirerait probablement le bel éphèbe.

Le jeune homme s’avança à pas rapides, la fluidité féline qui animait ses membres lui donnait l’air d’un guerrier tribal, la lueur de la lune sur sa peau à la couleur d’orient lui offrant un aspect sublimé. La testostérone le faisait légèrement suer et la fine pellicule de liquide corporel qui teintait son buste briller légèrement sous cette lumière argentée, lui donnant un air surnaturel. Sa musculature se courba docilement lorsqu’il s’accroupit à côté de la jeune femme. Observant sa cheville d’un bref coup d’œil, il fronça les sourcils puis les haussa en la regardant droit dans les yeux. Elle n’avait rien, et il avait pensé un instant à ses personnes qui parfois croient souffrir sans que leur corps ne soit en rien mis à mal. La splendide femme quasiment nue n’avait rien au pied, son regard d’expert le lui avait appris en un instant. C’était l’expérience des gens qu’il avait obtenu lors de ses voyages que le jeune homme appris par contre qu’elle ne pensait absolument pas être blessée.

Elle voulait donc l’attiré jusqu’ici. Il pensa un instant à une embuscade mais faisait bien assez confiance à ses sens pour rejeter cette thèse. Il repensa alors à Lili qui avait prétexté ne plus pouvoir marcher. C’était donc ici un peu la même chose, une excuse pour qu’il s’approche. Il hocha la tête à l’attention de l’inconnue, comme s’il lui indiquait qu’il allait tout prendre en main pour l’aider. Elle pouvait bien entendu constater qu’il ne la croyait pas un instant, Mario n’était pas bien fourbe. D’ailleurs son prénom n’évoquait-il pas une certaine naïveté bonne enfant ? Il se mit à califourchon au dessus de la cuisse de la belle, puis posa une main sur son intimité, dégageant les rubans sombres qui la couvrait pour bientôt poser son index et son majeur sur le clitoris de la belle. Contractant brusquement les muscles de son bras, il fit vibrer celui-ci, le mouvement se propageant à ses doigts qui se mirent à caresser – frotter pourrait-on dire – sur l’épicentre des plaisirs féminins. Le jeune homme n’était pas vraiment du genre loquace de toute évidence. Il bascula son poids sur l’une de ses jambes et s’allongea sur le côté, jouxtant la belle inconnue tout en continuant de lui prodiguer ses attentions digitales. De sa main libre il saisit alors la gorge de l’ensorceleuse pour l’obliger à s’allonger convenablement sur le sol et d’un mouvement de jambe il la fit se tourner elle aussi sur le côté, dos à lui. Passant son genou sous sa cuisse, il l’obligea bientôt à écarter les jambes et son membre commença alors à se frayer un chemin dans son petit cul sans que ne cesse de jouer ses doigts.

Comme prévu, le jeune homme vint bien vite voir ce qui lui arrivait. Il l’observa un instant mais la magicienne savait déjà qu’elle ne l’avait pas berné. Le jeune homme savait qu’elle n’avait rien mais elle comprit aussi qu’il avait très envie de sexe comme elle.
 
Sans faire plus cas du lieu ou d’elle, il s’assit sur sa cuisse et alla caresser son entrejambe. En voilà un qui savait ce qu’il voulait ! Cela plaisait à la jeune femme. Elle était un peu pareille. Elle aimait aller droit au but. La main habile écarta le tissu qui masquait son sexe et les doigts partirent à l’assaut de son clitoris.

Bien vite, il sut l’exciter comme il fallait. Le plaisir commença à s’insinuer en elle. La cyprine mouillait son vagin et sa respiration devenait plus rapide. Il bougeait divinement bien ses doigts.

Sans abandonner son petit bouton, il bascula sur le côté et la fit basculer à son tour. Mélisende se retrouva dos à lui et sentit soudain le sexe du jeune homme venir se glisser contre ses fesses. D’un mouvement de genou, il lui fit ouvrir les cuisses. Elle ne se fit pas prier. La magicienne était horriblement excitée par la situation. Son sexe était terriblement humide à présent.

Sans préparation, il commença à la pénétrer par son anus. Elle poussa un léger cri de surprise suivit d’un gémissement de plaisir. D’habitude, les hommes ne commençaient pas par là. Ils préféraient la pénétration vaginale pour débuter. Néanmoins, la belle dame appréciait l’une aussi bien que l’autre et pouvait jouir de ses deux manières d’ailleurs. Elle se laissa donc faire, le laissant prendre en main leur plaisir à tous les deux.

Et bien qu’elle puisse atteindre les hautes sphères du plaisir de par ses deux façons, peut-être n’aurait elle pas à choisir. En effet le jeune homme effectuait à présent de doux mouvements circulaires de ses doigts sur le clitoris de la splendide inconnue. Il bascula une nouvelle fois pour se trouver sur le dos, alors la main qu’il avait sur la gorge de sa partenaire descendit doucement. En une lente danse leste ses doigts évoluèrent dans le val de féminité formé par ses courbes, glissant sur son ventre plat, puis chutant au-delà de la main qui s’éprenait toujours de sa perle de bonheur. Deux doigts aventuriers s’aventurèrent alors dans le monde merveilleux de l’intimité de l’ensorceleuse. Faisant de légers mouvements de ciseaux, ils explorèrent les lieux à la recherche de la moindre sensation, il voulait découvrir ces richesses qu’étaient les cris d’une femme soumise au bonheur du corps. Il voulait avoir le plaisir d’entendre s’élevait une symphonie de gémissements, entrer dans l’extase de la savoir plongée dans l’allégresse.

Ses mains poursuivaient avec un synchronisme parfait, issu de son don, leurs caresses précises et douces tandis que c’était la violence la plus bestial qui animait son bassin. La queue plus dure que l’acier palpitant au rythme de son poult élargissant avec sauvagerie le petit cul de la belle créature. Ses pieds posaient à plat sur le sol lui assuraient un parfait appui, ses hanches se soulevant du sol en portant la jeune femme à chaque fois qu’il plongeait sa bite jusqu’aux couilles. Ses dents saisirent l’épaule de l’inconnue, la mordant avec bonheur comme pour s’assurer qu’elle était bien réelle alors qu’il continuait de la pénétrer avec une violence que même les animaux ne pouvaient oser. Son corps de combattant était décidément parfait pour ce qui était du sexe brutal et sans grand intellect.

Mélisende gémissait sous les impulsions du bassin du jeune homme. Elle sentait sa verge s’enfonçait brutalement dans son anus, lui procurant de si merveilleuses sensations de plaisirs. Les doigts de Mario n’étaient pas en reste. Ils s’appliquaient à titiller son clitoris risquant ainsi de lui procurer un terrible orgasme.

Soudain, il bascula sur le dos et l’emporta sur lui, enfonçant encore plus sa verge dans son petit trou alors largement dilaté. Les doigts de l’autre main vinrent également se perdre dans le sexe trempé de la magicienne. Les doigts se glissèrent à l’intérieur et se mirent à bouger selon un rythme qui leur était propre.

« Hummm… oh oui !... ahhhh… Encore ! »

Elle prenait un pied terrible à tout ça. Passive, elle se laissait faire. L’ensorceleuse s’occupait juste de son propre plaisir. C’était si bon. Décidément, cet homme était un excellent étalon.

Ses doigts poursuivirent leurs attentions, ils accélérèrent même, sentant la voie élargie par la chaleur et la pénétration facilitée par ce liquide exotique qu’elle déversait comme une source mystique. Elle lui en demandait plus, et il était là pour lui en donner plus ! Aussi sa main accentua ses mouvements alors qu’un troisième doigt la pénétrer, non pas dans le but de tendre ses parois internes qu’il savait particulièrement extensibles du fait de ses expériences multiples avec des créatures "surhumaines" en proportions. Il voulait simplement profiter d’un fait simple et incroyablement plaisant, ses doigts – au contraire d’un membre sexuel – étaient articulés. Aussi se mirent-ils à bouger avec expérience, explorant cette cavité si attrayante aux yeux des hommes, cherchant les points les plus sensibles, lesquels seraient les cibles de l’extrémité de ses appendices digitaux.

Il fallait qu’il fasse confiance à son extrême dextérité s’il voulait avoir la moindre chance de la faire jouir réellement et pas de façon "médiocre". Il sentait chez cette femme un caractère fort, fier, le genre de choses qu’un homme qui a vécu dans la tradition de combat se doit de reconnaître. Elle le prenait sans aucun doute comme un simple objet en cet instant, mais il voulait être plus que ça. Non, il ne voulait pas qu’elle le considère comme une personne, il ne s’en sentait pas la capacité et puis ça ne lui aurait rien apporté. Ce qu’il cherchait c’était son plaisir, sa réelle jouissance, car ce qu’il voulait c’était glorifier le corps pour compenser ce passé qu’avait sa famille. Celui de guerriers qui détruisaient les corps et tuaient. Il aimait trop les corps pour le faire la même chose…

Il voulait amener le bonheur dans les esprits par la satisfaction physique, afin de compenser les sombres idées qui avaient du naître des nombreux morts qui avaient pu être faits avec la science du corps dont il disposait à présent. Encore novice en matière de sexe, il savait se faire le maître des sensations. Les désirs n’étaient pas encore de la partie, mais le plaisir il arrivait à le faire apparaître. Tout en continuant de la sodomiser avec autant de violence qu’un ours et avec la cadence d’un colibri, il faisait montre d’une parfaite maîtrise de son corps. Capacité qui le rendait pourtant insensible à la douleur et au plaisir physique… Mais lui restait le bonheur de l’entendre en demander davantage et de  la sentir toute chaude contre lui, pleine du bonheur de la chair. Ses doigts se mirent à pincer légèrement son clitoris, appuyant pour le compresser contre sa propre peau puisqu’il était bien trop glissant pour qu’il le saisisse réellement. De ses doigts adroits il poursuivait ses attentions digitales… Quant à sa queue, elle était presque en feu du fait de la friction de son petit cul sur sa verge.

Mélisende gémissait sous les coups de queue que lui infligeait le jeune homme. La sodomie était souvent considérée comme tabou ou/et douloureuse. Pour la magicienne, ni l’un, ni l’autre n’étaient vraies. Elle prenait toujours beaucoup de plaisir à tout cela surtout qu’il ne se limitait pas à une simple pénétration anale. Il pénétrait aussi son vagin tout en s’occupant de son clitoris. Tous les endroits les plus sensibles de sa personne étaient donc stimulés ou presque. Mais l’homme ne pouvait pas non plus avoir trente-six mains ou doigts. Impossible pour lui de s’occuper en plus de ses seins et de sa bouche, cela faisait un peu trop.

Néanmoins, il s’en sortait vraiment très bien. La chaleur inondait le corps sublime de la belle dame et le plaisir augmentait de façon exponentielle. La sorcière sentait que la jouissance approchait à grand pas. La première jouissance, le premier orgasme libérateur. Nul doute qu’il y en aurait plus d’un cette nuit.

Sa mouille coulait de manière abondante de son antre si bien stimulée. Son jus inondait même l’homme qui la prenait avec force et fougue.

« Fais-moi jouir ! hummmmmmm… j’en ai envie… »

Le jeune homme qui brusquait déjà le pas ne remarqua même pas l’incongruité des propos de sa partenaire. Qu’elle ait envie de jouir ? Il aurait été difficile de penser l’inverse, pourquoi – alors qu’ils étaient en train de s’adonner sans vergogne aux plaisirs de la chair dans un lieu où on aurait pu les surprendre – n’aurait-elle pas voulu jouir ? Pourquoi n’aurait-elle pas eu envie d’atteindre les cieux immaculés d’un plaisir vicié ? La question ne lui vint pas à l’esprit, à vrai dire c’était plus son corps que son intellect qui avait le dessus en cet instant. Pourtant, c’était intérieurement qu’il trouvait du plaisir à ses actes, car son corps ne lui faisait pas parvenir ce bonheur, il fallait qu’il le trouve. Et c’était dans le ton de cette voix qu’il le trouvait, c’était dans la chaleur de cette peau et dans l’abondance de cet incroyable liquide qui s’écoulait avec force de son entrecuisse. C’était le corps de la belle qui lui transmettait l’allégresse, puisqu’il la savait toujours un peu plus proche de la jouissance. Il poursuivit donc ses efforts et si tant est qu’il ne puisse s’occuper des seins et de la bouche de la belle, sans doute celle-ci arriverait-elle a usé de ses propres mains, de ses propres doigts.

Il voulait l’entendre hurler de bonheur, la voir submergée par le plaisir. Il se mit taper du plat de la main sur son clitoris tout en continuant avec dextérité de masser les points les plus sensibles de ses membranes internes. La queue de Mario continuait d’élargir son cul sans la moindre délicatesse, la brûlant presque sous l’effet de la friction. Un premier orgasme oui, mais pas le dernier…

Répondant consciemment ou non à sa demande, il se mit à la sodomiser encore plus fort et bien plus vite. Les doigts agiles poursuivaient leur travail et la magicienne bougeait son bassin afin de mieux ressentir encore les doigts et le membre en elle. Mais sa position ne lui permettait pas de faire un grand nombre de mouvement et ne lui offrait pas non plus une grande amplitude. Ne pouvant faire grand-chose, elle alla quérir ses seins qu’elle se mit à caresser.

Ses doigts se mirent à tirer un peu sur les tétons tendus par l’excitation. Elle poursuivit ses caresses avec une de ses mains mais son autre remonta à sa bouche. Ses lèvres s’emparèrent des deux de ses doigts qu’elle se mit à lécher et à sucer avec force et avec bruit.

Son plaisir devint alors extrême. Toutes ses zones les plus sensibles étaient désormais stimulées. Elle n’allait pas pouvoir freiner son plaisir très longtemps. D’ailleurs, elle n’en avait pas envie.

Quelques minutes de plus suffirent pour la faire jouir. Elle abandonna ses doits pour crier son plaisir à la lune, au parc et à la ville entière. Un cri puissant, violent et guttural, venu de plus profond de son être et qui reflétait tout la puissance de son orgasme.

La cyprine jaillit tel un geyser de son antre trempé, inondant ainsi ses cuisses, ses fesses et l’homme sous elle. Des spasmes violents la secouèrent à l’intérieur ou à l’extérieur d’elle. Cela dura quelques instants, au bout desquelles, la magicienne avait bien du mal à reprendre son souffle et à revenir au monde réel.

Il sentit, non sans un certain bonheur, l’intimité de la belle en train d’enserrer avec force ses doigts alors que brusquement des jets de cyprine s’évadaient de toute part. Il arrêta ses caresses sur son clitoris et sortit les doigts de l’entrecuisse de la belle alors qu’elle venait de hurler. Voilà qui était follement plaisant ! Il la saisit brusquement par les cheveux et la fit violemment basculer, la plaçant au sol sur le ventre. Posant la pointe des pieds sur le sol, plaquant ses mains sur la nuque de la belle pour maintenir son visage et ses seins par terre, il se mit à lui défoncer le cul avec plus de violence encore. Les fesses de l’ensorceleuse allaient rougissantes alors qu’elle n’était pas encore remise de son orgasme, les couilles de Mario claquaient contre ses lèvres intimes, peu à peu éclaboussées par la mouille qui imbibait encore la petite chatte de Mélisende. Il avait beau ne pas prendre de plaisir physique, l’instant était un moment plaisant, réellement plaisant, car il se disait qu’en la dominant ainsi elle jouirait sans doute encore ou tout du moins continuerait à prendre du plaisir. Les mains sur sa nuque, lui enserrant les cheveux, il la tenait présentement à sa merci et l’élargissait brutalement. Elle lui était soumise et il prenait plaisir à s’imaginer le bonheur qu’elle pouvait éprouver à l’être. Le bruit produit par la collision de son bassin contre ses fesses était de plus en plus bruyant alors qu’il accélérait l’allure grâce à cette position plus propice puisqu’il était à présent au dessus d’elle, toujours dans son dos.

Mélisende n’eut guère le temps de profiter de la bienfaisance post-coïtale car l’homme la tira brusquement par les cheveux et la fit basculer sous lui. Ventre et face contre terre, il continuait de la pénétrer avec encore plus de  force. Il n’était alors rien d’autre qu’un animal en rut cherchant inlassablement son plaisir et le sien.

La magicienne sentait chaque coup de reins de manière très intense. Son plaisir ne retomba pas, il ne fit que reprendre de plus belle tout comme ses gémissements qui recommencèrent à se faire entendre dans le parc déserté.

Les mains de son amant s’étaient emparées de sa nuque qu’elles comprimaient. Un léger manque d’air se fit ressentir par l’ensorceleuse mais cela ne faisait que concourir à renforcer encore plus son plaisir.

Le jeune homme relâchait parfois sa prise sur la nuque de la belle afin de ne pas la faire suffoquer en appuyant sur son visage, maintenant celui-ci plaqué contre le sol tandis qu'il la prenait avec toujours tant de violence. Tout ce plaisir qu'il n'avait pas dans l'acte physique, il le retrouvait dans les gémissements qu'elle poussait et il adorait ça ! La prenant avec vigueur, il possédait cette femme en un lieu que la morale n'aurait sut tolérer ! C'était si bon de sentir ce corps si chaud contre lui, non pas du fait de la chaleur en elle-même mais de ce qu'elle représentait : elle prenait du plaisir. Cette splendide inconnue venait de jouir et elle prenait encore du plaisir à présent. Toujours persuadé qu'en dominant il la ferait jouir à nouveau, Mario la saisit par les cheveux et la redressa assez pour pouvoir lui dire à l'oreille sans murmurer :

"Je veux t'entendre hurler, touche-toi pendant que je te prends !"