Rosalie fut tellement surprit par la réaction de don qu'elle lâcha un crie au moment où elle tomba au sol à ce moment une goutte d'eau tomba sur son visage, puis deux, aussitôt son cerveau lui signala la présence d'eau sur sa peau et sur son visage, c'est là que le cerveau se mit à partir dans une série d'analyse bancale n'ayant pour but que de signaler un danger hostile attaquer le corps, l'eau. Pour une personne normale cela semblait juste de l'eau, pour Rosalie c'était pire que la mort, une peur pire que ces cauchemar, une peur sans nom. Elle se mit à gémir et son espri ne resta plus que sur une idée, courir ...courir loin de cette menace, elle partie non pas vers Don mais vers la porte qu'ils avaient quitté précédemment, elle courut comme-ci sa vie en dépendait et percuta violemment la porte, pour finir par tirer et s'engouffrer dans le couloir, immédiatement elle se plia en deux, ayant un souffle roque, on aurait dit une asthmatique en pleine crise.
La jeune femme avait la terrible sensation d'étouffer et elle ne pouvait la pas le faire passer en allant au toilette et se mettre sous un jet d'eau froide, à la place elle continua de courir les vêtement détrempés, toussant de temps à autres pour pouvoir respirer et elle prit la porte de la salle de musique, elle retira sa robe, ces collants ainsi que ces chaussures se trouvant en petite tenue, mais plus sec qu'avec ces fringues, elle essaya en vain de contrôler les tremblement de son corps. Elle saisit une serviette qui n'avait rien à faire là et se sécha le corps de toute humidité, avec rapidité et efficacité, comme on le ferrait pour retirer une truc visqueux sur la peau;
Pour elle la phobie commençait toujours par une fuite puis une fois hors du danger elle entrait dans une état similaire aux animaux, elle tremblait de peur et devenant aussi sauvage qu'eux.
L'espace d'un instant elle cru voir une papillon noire, mais ce n'était que son état qui avait engendré cette illusion.
Elle entendit un bruit et ce mit dans le coin du mur au fond à droite, loin des fenêtres et de toute portes, prête à bondir sur ce surveillant qui lui avait fait une blague de mauvais goût, ongle sortie.
Elle était tendue, tellement même qu'elle en avait mal au bide et que ces muscles demandaient grâce, elle n'était pas très douée en sport, mais sa peur lui donnait la force de se battre face à Don, même si inconsciemment elle savait que cela était équivalent à celui d'une souris se battant contre un gros félin.
Elle commençait légerement à se calmer et grelottait de froid.