Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

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Vance Dax

Humain(e)

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    Vance est né pour être une star, c'est une idole mascu, libertarienne et sigma qui s'étale sur la toile et pille tout ce qu'il peut des richesses du monde à son profit. Et comme le monde ne suffit pas, il s'est tourné vers Seikusu et ses failles. Et s'il peut vous consommer, il trouvera bien un moyen de le faire.
Il est une certitude : l’argent ne tombe pas du ciel. Il faut aller le chercher. Pour cela, on peut travailler, ou investir l’argent qu’on a déjà pour en réclamer plus à la fin. Et c’était là la méthode préférée de Vance, même si ses nombreuses opérations promotionnelles revenaient techniquement à travailler.
De lutteur professionnel à entrepreneur, le Franco-japonais avait porté bien des casquettes, et il continuait d’en porter quantité. Paradoxalement, on le connaissait surtout pour son rôle de coach business et pour le style de vie décadent et dispendieux qu’il mettait en avant en ligne, alors qu’il gagnait bien plus en emprunts et en investissements.

Le gros investissement actuel, celui dont il fallait faire partie, tenait en deux lettres : I.A. La bulle enflait, enflait, et enflait encore, et pesait désormais des milliers de milliards de dollars. C’était la promesse d’un des plus gros krachs boursiers de l’Histoire, mais aussi de reviens rocambolesques pour ceux qui auraient placé leurs œufs à travers tout le poulailler. Et ce n’était pas qu’une histoire d’argent : une fois ce secteur mature, il donnerait lieu à la plus grosse mutation sociale jamais vue, et ceux qui profiteraient seraient les maîtres de ce jeu.

Il est donc logique que des gens venaient de tous horizons pour se mêler à des sommets, conférences et conventions sur le domaine, et la China Hi Tech Fair, se tenant dans l’immense Centre de Conventions et Expositions de Shenzhen, près de Hong Kong,ne faisait pas exception ; loin de là.
Si la Chine était à la traîne, comme pratiquement le monde entier, elle tirait toujours son épingle du jeu. Shenzhen produisait des équipements électroniques à bas prix pour le monde entier depuis des décennies. De ses usines sortaient des millions d’articles officiels, mais aussi de contrefaçons, contrefaçons dont le savoir-faire alimentait ensuite le savoir-faire industriel officiel chinois.
C’était du vol et de la copie, légaux, à une échelle gigantesque. Et il était à la fois incompréhensible et naturel que la logique persiste avec l’IA. Car si personne ne semblait vouloir de grandes IA chinoises, personne ne voulait passer à côté des marges énormes promises non plus.

Alors, le centre était plein à craquer, cette fois. Car, cette année, l’IA et, surtout, les gadgets exploitant des IA étrangères sous licence étaient en tête d’affiche. DeepSeek AI était là avec un gros stand et plusieurs conférences, évidemment, mais des centaines d’exposants montraient de nouveaux jouets, gadgets, jeux vidéo, équipements électroménagers, logiciels, et tant de choses parfois improbables, désormais équipés de réseaux logiques et de fonctions contrôlés par IA.
Les trois quarts de ces articles ne fonctionneraient pas, tout comme les trois quarts de la bulle au moins finiraient par brûler, mais tout le monde s’en fichait. C’était la ruée vers l’or et tout le monde voulait voir les cailloux brillants et poser leurs vilaines pattes dessus.

Seuls ceux qui comprenaient ce petit jeu ne semblaient pas dévorés par une ardente volonté de se jeter sur tout ce qui était présenté. Certains étaient là pour évaluer ce qui durerait et ce qui disparaîtrait dans les semaines à venir.
Parmi eux, Vance avait amené avec lui toute une équipe. Ses gens assistaient aux conférences et questionnaient les exposants pour recueillir un maximum d’informations, que des enquêteurs exploiteraient, ailleurs. Lui-même était surtout présent pour la figuration, et pour peser dans d’éventuelles discussions. Si sa personne faisait débat dans pas mal de pays, des pays comme la Chine, aussi avides que corrompus, lui tendaient volontiers la main. On était loin du Japon, où il considérait sérieusement la situation avant de passer déjà à l’intérieur des eaux territoriales.

Mais, puisque son rôle était surtout d’être vu où il le fallait, Vance avait aussi peu d’investissement concret dans toute l’opération. Évidemment, il l’avait ordonnée et il la pilotait mais, la plupart du temps, il ne faisait rien.
Il avait ainsi pris ses habitudes à la terrasse d’un débit de boissons en mezzanine, où il buvait du café, des smoothies ou des shakers protéinés en observant, en lisant ou en se permettant de mater les jolies femmes passant par là. Certaines exposantes, secrétaires et employées étaient absolument délicieuses, et il considérait sérieusement de convier une, deux, ou trois des filles dont il avait récupérer les contacts à le rejoindre ce soir à l’hôtel.

Mais sa réflexion avait fini par être coupée lorsqu’une brune stupéfiante, aux longs cheveux noirs épais, aux grands yeux bleus, au visage pulpeux, à la taille de guêpe et aux formes bien fermes et généreuses, fit son apparition à son tour. Plus que ses attributs physiques, cependant, il remarquait chez elle une assurance doublée d’une sensualité à fleur de peau, signes d’une femme accomplie et en paix avec sa libido. En somme, il avait face à lui une femme d’une valeur bien supérieure à la mêlée, et ce à tous les niveaux, et son orgueil autant que ses instincts le poussaient à la chasser.
Ainsi, c’est en prétextant un besoin de grand verre d’eau qu’il laissa sa petite table et se fraya un chemin jusqu’au comptoir à nouveau, s’y plaçant à côté de la belle et demandant son verre avant de faire mine de la découvrir, tournant la tête et posant son regard sur elle. Là, il fut étonné, cela dit, de la voir en train de le dévisager, avec une expression typique d’incrédulité mêlée de surprise. Vance connaissait ce regard et il esquissa un léger sourire encourageant.

Etait-il tombé sur une admiratrice ? De la figure de Wonder Vance, ou de Vance l’influenceur ? Il n’en aurait pas tant demandé, mais il prenait volontiers, car la chose l’aiderait assurément à atteindre son objectif.

« Bonjour, lança-t-il, en anglais, de sa grosse voix, Je suis Vance Dax. Et vous êtes ? »

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 1 vendredi 17 octobre 2025, 19:14:19

Une fortune, ça ne s'entretenait pas toute seule. Enfin, si, si l'on embauchait des gens pour gérer le capital et les investissements. Et si la belle veuve connue sous le nom de Catalina Taylor avait effectivement une telle personne -une équipe en fait- elle aimait malgré tout se tenir au courant de ce qui se faisait et elle suivait de près certains investissements en particulier.

Grâce à l'aide de l'Organisation, qui avait remis le nez dans sa vie après la frayeur que leur avait fait l'agent Jack Taylor, elle avait une équipe de petites mains et têtes pensantes pour parcourir le salon sur lequel elle se trouvait actuellement. Sa présence n'était pas requise. Et pourtant, la plantureuse brune avait décidé d'y pointer le bout de son nez. Elle avait réservé une suite dans un hôtel grand luxe pour quelques jours, limousine et chauffeur personnel inclus, et avait pris le premier avion vers Shenzhen.

Contrairement à beaucoup des visiteurs qu'elle voyait, elle prenait son temps pour parcourir le salon, assistant aux conférences les plus prometteuses et généralement paraissant tout à fait détendue. Chaque soir, un compte-rendu de l'équipe lui était envoyé et elle avait le dernier mot quant aux investissements qu'elle souhaitait voir aboutir. Elle ne prétendait pas être une experte, bien entendu, mais grâce aux conseils qu'elle prenait en compte, elle était relativement assurée de faire du profit.

Quittant finalement une conférence à propos de l'IA en tant que gestionnaire de vie -une erreur selon elle- Catalina se dirigea vers un débit de boisson en mezzanine pour y savourer un café bien mérité. Sa commande passée, la veuve s'accouda au comptoir pour attendre qu'on la serve, observant les différentes boissons proposées sur le menu. Un mouvement à ses côtés, indiquant l'arrivée d'un autre client, lui fit tourner la tête pour observer, curieuse.

Elle cilla plusieurs fois, incertaine de bien voir la personne -le géant- qui s'était glissé à ses côtés. Malgré des talons de pourtant quinze centimètres, la trentenaire ne lui arrivait pas à l'épaule. Il avait une carrure imposante et elle n'était pas certaine de pouvoir faire le tour de ses avant-bras avec une seule main. Mais ce qui la choquait le plus, ce qui envoyait son esprit -et son corps- en ébullition, c'était qu'elle connaissait ce visage. Cette carrure. Pour un peu, sa mâchoire s'en serait décroché. A ses côtés se trouvait le célèbre, l'inimitable, Wonder Vance.

A première vue, la Veuve Noire à la retraite n'était pas le genre de femmes à regarder les émissions de catch de la WWE. Elle était, après tout, bien trop sophistiquée pour quelque chose d'aussi plébéien. Et pourtant…

Toute son enfance, la brune a été passionnée par ces émissions. Surtout au moment de l'adolescence et du réveil de ses hormones. Le nombre de fois où elle avait eu des orgasmes en se masturbant en pensant à l'une de ces stars… Mais le visage, le corps, qui revenait le plus souvent n'était autre que son idole d'alors : Wonder Vance. Le voir à présent, en chair et en os (et surtout en muscles), lui rendait les jambes presque flageolantes. Ses prunelles glacées ne pouvait quitter les traits de l'homme, son expression se teintant d'une mixture d'admiration et d'incrédulité. Elle le suivait de loin sur les réseaux, mais plus par nostalgie que réel intérêt. Elle n'était donc pas au courant du moindre détail de ses déplacements. Quelles étaient les chances pour qu'elle se retrouve à ses côtés ainsi ? Infimes.

Il y avait peut-être quelque chose chez elle qui déclenchait ces coïncidences improbables, songea-t-elle en repensant aux chances ridiculement faible de la confusion d’identité par un hôtel entre elle et Jack Taylor. Mais alors là, c’était quand même presque miraculeux.

« Oh, fuck me, exhala-t-elle sans le vouloir d'un ton presque inaudible au milieu du brouhaha quand il se présenta. Wond-Mr Dax, enchantée de faire votre connaissance. Catalina Taylor, à votre service, se présenta-t-elle à haute voix. »

 Une légère rougeur se frayait un chemin sur ses pommettes bien dessinées. Elle avait l'impression de réagir comme une midinette, au concert d'un boys band à la mode, qui rencontre les chanteurs en coulisse. Et qui se fait déglinguer salement dans les loges par ces mêmes chanteurs. Ou peut-être que cette dernière pensée était liée aux trop nombreux fantasmes dans lesquels l'homme avait figuré quand elle avait quinze ans ?

« Si je m'attendais à vous rencontrer dans un tel salon… Murmure-t-elle, le souffle étrangement court. J'étais… Je suis toujours une grande fan de votre carrière sur le ring, explique-t-elle avec un petit rire de gorge. Mais j'imagine que vous devez avoir droit à ce couplet plutôt régulièrement. »

Le serveur arriva à cet instant avec le café de la veuve, et elle s'empressa de sortir son portefeuille pour payer. Ses mains tremblaient légèrement, suffisamment pour qu'elle le fasse tomber au sol alors qu'elle s'apprêtait à le ranger dans le petit sac noir accroché à son épaule.

« Oh non, mais quelle maladroite, se réprimanda-t-elle à mi-voix en se positionnant accroupi pour le ramasser. »

Dans cette position, sa jupe de tailleur collait indécemment à ses courbes. Sa poitrine, collée contre ses genoux, ressortait d'autant plus, engoncée dans le chemisier blanc qu'elle portail sous une veste -cintrée- noire. Fourrant le portefeuille dans son sac avec empressement, la belle se relève alors, la rougeur sur ses joues accentuée.

« Je vous prie de m'excuser, je ne suis pas aussi maladroite en temps normal, s'excusa-t-elle avec une pointe d'embarras dans la voix. »

Pour éviter d'autres catastrophes (comme de renverser son café brûlant contre son chemisier blanc ou, pire, sur l'idole de ses années adolescentes), la trentenaire s'accouda de nouveau au comptoir, les mains serrées autour de la tasse brûlante. Incidemment, cette posture la plaçait dans une nouvelle proximité avec l'athlète très bien conservé pour son âge.
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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Vance Dax

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 2 samedi 18 octobre 2025, 05:10:19

Même si sa carrière américaine avait été courte, une blessure l’arrêtant que sa mémoire puisse contester l’ascension du Hulkster, Vance avait eu une belle carrière de plus de dix ans, dont l’essentiel au Japon. En outre, en restant public et médiatiquement pertinent, il avait fini par rejoindre la WWE occasionnellement pour faire des apparitions, des interventions, et intégrer le Hall of Fame de l’entreprise. Ainsi, son image n’avait jamais tout à fait disparu des mémoires des vrais fans, et même des amateurs relativement jeunes le reconnaissaient encore, son profil et sa carrure marquant et restant en tête au même titre que d’autres monstres comme The Rock.

Ainsi, même une jeune femme comme Catalina pouvait nettement se rappeler de lui et connaître son passif, et avoir développé une fascination au gré d’apparitions en série, Vance venant mettre son grain de sel dans les péripéties du moment pour faciliter une transition. Les plus marquées le suivaient même encore sur les réseaux et étaient donc couramment rappelées à sa personne dans leur quotidien. Et l’homme ne fut donc pas étonné de l’entendre gaffer, manquant de l’appeler par son nom de scène. Il était dommage qu’elle ait marmonné le reste trop bas dans ce milieu bruyant.

« Catalina. C’est magnifique, la complimenta-t-il, et de manière très appropriée. »

Il saisit une main un peu gourde pour la lever vers son visage tandis qu’elle rougissait, mimant un baise-main avant de la redescendre et de la lui rendre, sans lâcher ses grands yeux bleus brillants du regard. La belle semblait à moitié assommée par la rencontre, et plongée brutalement dans des fantasmes qui, relégués à l’impossible de longue date, auraient jailli à la surface sans crier gare. Ça arrivait ; pas toujours, mais ça arrivait. Et le Français savait tirer parti de cet état second.

Déjà, il lui accorda une attention totale, souriant et riant à ses propos, et ne la prenant absolument pas de haut ; bien au contraire.

« Oh ! Je ne fais que rester à la page ! Merci pour votre fidélité, Catalina, rencontrer mes fans est toujours un véritable plaisir. Parfois, c’est encore plus plaisant que d’autres. »

Il lui accorda un clin d’œil discret en la laissant récupérer son café et le payer. Et, lorsque son portefeuille tomba de sa main tremblotante, et qu’elle se baissa pour le récupérer, dos tourné à lui, le mâle ne manqua pas d’admirer les courbes se galbant dans le tissu tendu de son tailleur, le bout de sa langue glissant malgré lui entre ses lèvres avant qu’il la cache en buvant son eau. Même d’ici, il pouvait percevoir la masse lourde de ses seins pressés se distinguer de sa finesse marquée. C’était indécent. Délicieusement indécent.

Quand elle remonta en s’excusant, il secoua la tête en signe d’apaisement et se montra rassurant.

« Ces expositions peuvent être éprouvantes. »

Ainsi, il fit mine de ne pas comprendre pourquoi elle était aussi pantelante, le mettant sur le compte d’une hypothétique fatigue quand il était clair qu’elle avait perdu ses moyens à cause de lui. En soi, son ton laissant entendre qu’il savait la vérité, mais il lui tendait une perche, faussement salvatrice, pour entretenir une image indulgente et accessible envers elle. En parlant d’accessibilité, d’ailleurs, Vance ne comptait pas la laisser refroidir, et il comptait bien battre le fer tant qu’il était chaud.

« Mais permettez que je vous évite d’autres déconvenues aujourd’hui. Je tiens à payer vos prochaines consommations moi-même, déclara-t-il, sans manifestement y poser d’alternative, d’autant plus qu’il y rajouta : J’insiste. »

C’était une proposition assez galante, mais elle impliquait un accord tacite. Il ne lui proposait pas de payer ce café, déjà payé de toute manière. Il ne lui proposait même pas de payer sa prochaine consommation. Non, il lui proposait de la couvrir pour la suite de la journée, au bas mot, et cela impliquait qu’il soit là pour la gâter à partir de maintenant. En somme, il l’invitait à passer le reste de la journée avec lui, ou, plutôt, il annonçait son intention de l’accompagner pour le reste de la journée, au moins.

Leurs regards se croisèrent, et il eut cette expression subtile sur le visage, mélange d’un sourire bienveillant et d’un regard profondément intéressé, les yeux communiquant son désir pour elle derrière le masque poli de politesse, laissant savoir à l’admiratrice émoustillée qu’il nourrissait un appétit clair pour sa personne, et qu’elle pouvait oser y croire, et se laisser y aller, et se lancer, pour que se passe tout ce qu’il pourrait désirer, et qu’elle voulait en secret. Il enfonça même la porte entrouverte en demandant, d’une manière faussement innocente :

« Vous partez, ce soir ? »

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 3 samedi 18 octobre 2025, 15:31:44

La Veuve Noire à la retraite ne semblait toujours pas en croire ses yeux. Elle était face à face avec Wonder Vance ! Elle lui parlait, réellement et pas juste dans sa tête. Il était même compréhensif face à son trouble, sa maladresse, la mettant sur le compte de l’exposition à laquelle ils assistaient. Du moins, ses paroles reflétaient cela. Et ce fut suffisant pour la brunette qui cherchait à se rattraper à ce qu’elle pouvait et ne pas passer pour une fangirl en chaleur. Ce qu’elle était, n’allons pas nous mentir. Mais elle avait une certaine image à entretenir, au moins en public.

Elle ne put empêcher la rougeur de ses joues s’accentuer alors qu’il proposait -non, affirmait- qu’il paierait pour ses prochaines consommations pour lui éviter le trouble de se montrer encore aussi maladroite. Elle voulut protester, mais la fermeté de son ton l’en dissuada. Elle ne ferait que brasser de l’air et passer pour une ingrate. Alors elle lui offrit un sourire radieux, comprenant sans mal l’insinuation qu’il ne comptait pas la laisser seule pour le reste de la journée.

Si elle avait pu penser qu’il ne faisait preuve d’une courtoisie de surface, une amabilité factice qu’il présentait à chaque fan un peu lourdingue qu’il rencontrait, elle s’en trouvait détrompée. Et si ça renforçait la présence de ces fantasmes dans un coin de son esprit, elle n’allait pas le mentionner. Quand ses prunelles claires se plongèrent dans celles de l’homme, et qu’elle y lut cet intérêt qu’elle pouvait voir dans le regard de bon nombres de mâles, son égo en fut conforté. Elle sourit plus largement encore, acceptant finalement qu’elle aurait peut-être -probablement- l’occasion de réaliser ces fantasmes qui avait hanté son adolescence.

« Mmmh, non, pas ce soir. Il n’est pas prévu que je rende ma chambre d’hôtel avant demain soir, au plus tôt. Peut-être pourrais-je vous inviter à boire un verre pour clore la journée ? J’ai cru voir que le personnel de l’hôtel avait fourni le mini-bar avec un assortiment de liqueur provenant du monde entier. »

Elle aussi pouvait lancer des invitations masquées sous le vernis de la civilité. Catalina ne doutait pas qu’ils partagent un verre s’il l’acceptait. Elle ne doutait pas non plus que ce serait loin d’être la seule chose qu’ils partageraient. Rien que d’y penser, la brune en avait l’eau à la bouche. Son regard se permettait de détailler un peu plus ouvertement l’homme, caressant de ses prunelles alléchées les muscles qu’il arborait, la stature de colosse dont il était pourvu.

Le rouge de ses joues ne perdait pas en intensité, mais il avait au moins cessé de se renforcer. Le cœur de l’ancienne tueuse battait toujours aussi vite, cependant, et peut-être pourrait-il le sentir quand l’une de ses mains se détacha de la tasse de café pour venir se poser sur l’un de ses avant-bras.

« Je crois avoir assisté à toutes les conférences qui me paraissaient intéressantes, cela dit.  Je doute qu’il y ait vraiment d’autres stands qui vaillent le détour. Mais peut-être que vous apprécierez malgré tout de vous promener une dernière fois avant de passer à d’autres activités ? J’ai cru entendre qu’il y avait un essai mêlant VR et compagnon virtuel. Je doute que ce soit très passionnant, surtout si c’est pour le grand public, proposa-t-elle. Mais peut-être que ça vaut le coup de jeter un œil, ne serait-ce que pour apprécier toutes les dérives qui pourraient en être tirées. »

Comme par exemple, un scénario destiné aux adultes, avec un compagnon virtuel modelé sur ses personnages pouvant raviver les fantasmes de ses utilisateurs. Le sexe, après tout, était l’un des moteurs du monde avec l’argent et le pouvoir. Tout ce qui existait pouvait être dérivé pour en arriver à ce domaine. La riche veuve n’allait certainement pas se plaindre de ces tendances, avec son appétit de succube.

« Votre compagnie me ravira dans tous les cas, que ce soit à déambuler dans ce salon ou… A faire plus ample connaissance autour d’un verre. »
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Vance Dax

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 4 mardi 04 novembre 2025, 22:30:48

Peut-être Vance avait-il réussi à calmer un peu la jolie brune. En tout cas, si le rouge ne quittait pas son visage, elle s’était ressaisie et avait une attitude plus à son avantage. Elle devait maintenant se sentir plus à l’aise ; d’autant qu’il lui dissimulait à peine les avances qu’il se permettait de lui faire. Sans doute le rouge qui lui restait ne venait-il plus de l’embarras, mais d’une autre émotion, bien différente ?
Le Franco-japonais pouvait bien passer pour un satyre, mais il n’était plus à ça près. Son image publique le figurait au milieu de femmes bien trop jeunes pour lui, selon la bienséance. Et, en privé, il allait bien plus loin avec elles qu’une main sur les reins.

Quant à la beauté en question, elle n’était certainement pas contre son petit jeu, allant jusqu’à l’inviter bien plus ouvertement à l’accompagner à son hôtel ce soir. Elle lui proposait un verre, mais on savait ce que ce genre de perche signifiait. Et, si elle avait dû partir ce soir, il aurait pris la liberté de l’héberger et de la renvoyer chez elle à ses frais demain. Entre eux, l’objectif était assez clair, et partagé.
Il ignorait l’âge de Catalina, et, à vrai dire, il s’en fichait. Elle était belle, très à son goût, et totalement ouverte à ses appels du pied. Il tentait de deviner le genre d’appétit que cette femme digne mais profondément féminine et sensuelle pouvait révéler dans l’intimité, et il la devinait gourmande et libérée.
Un regard glissa sur elle brièvement, avec un sourire à la fois amusé et appréciateur.

« C’est une invitation très généreuse, Catalina. Je ne saurais la refuser, assura-t-il sans s’en départir. Vous savez clairement comment… savourer le moment. »

Une main se posa sur son avant-bras sans rien peser en apparence, mais avec une intensité imperceptible, non pas physique, mais symbolique. Ils ne s’étaient pas encore touchés, et ce petit geste marquait une étape entre eux. Catalina lui laissait savoir qu’elle était disponible pour son propre toucher, et le prétexte trouvé comme alternative à leur départ précoce du salon n’était clairement que cela. Elle-même admettait que le produit n’avait rien de passionnant.
Sans doute avait-elle pourtant déjà investi dedans, tout comme lui, car, si elle parlait bien du dispositif auquel il pensait, l’ère des hommes vissés sur des fauteuils en combinaisons massantes plongés dans leur vie de couple virtuelle avec leur copine IA était au plus à un an de débuter.
Avec un léger souffle du nez, Vance baissa le regard sur sa main avant de poser la sienne dessus, la couvrant entièrement.

« Pensez-moi vieux jeu si vous le voulez, mais je préfère investir dans ces choses plutôt qu’en user. Voyez-vous… Il redressa ses yeux dans les siens, avec intensité. Je préfère largement le réel. »

Si on se trouvait dans une situation où, par moyens, par conditions, par laideur ou par isolation, un tel dispositif pouvait briser la solitude et aider à la masturbation, peut-être était-ce utile. Tout le monde savait, cela dit, que la chose allait prendre des proportions autrement problématiques.
Pour Vance, cela dit, lui qui n’avait pas de mal à s’entourer de belles créatures disponibles et intéressées, quel pouvait bien être l’intérêt ?

Il avait à peine fini ses mots qu’il s’était relevé, mais sans lâcher sa main pour autant. Il l’entraîna ainsi à bas du tabouret avec lui, sans lâcher son regard, tout en glissant sa main sous son bras, l’incitant à s’enrouler autour du biceps épais et à en profiter.

« Allons donc savourer le plaisir des vraies choses, Catalina. Quel est votre hôtel ? »

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 5 mercredi 05 novembre 2025, 19:51:38

« Carpe diem, quam minimum credula postero, cita la brune dans un latin parfait pour les non-initiés. Je profite de toute opportunité pour savourer le moment, effectivement, et au diable les lendemains, sourit-elle. »

Peu à peu, la rougeur de ses joues s’atténuait, ne laissant finalement que la couleur rosée de sa peau. En revanche, plus le temps passait, et plus sa libido perdait les pédales à l’idée de passer un moment -ou plusieurs- en tête-à-tête avec son idole. Un petit rire lui échappa en entendant la suite, après sa proposition de peut-être passer par le stand de VR IA. Elle ne pouvait qu’être absolument d’accord avec lui. Elle aussi préférait investir plutôt que d’utiliser ce genre de choses. Si Vance n’avait aucun mal à s’entourer de jeunes et jolies femmes, l’ancienne Veuve Noire n’était pas en reste. Si elle devait dresser une liste compilant tous les amants qu’elle avait pu avoir, elle n’était même pas certaine d’inclure tout le monde. Hommes ou démons, d’ailleurs, songea-t-elle en réprimant un gloussement.

« Nous partageons cette préférence, clairement, approuva-t-elle alors qu’il l’aidait à descendre du tabouret. Pourquoi payer pour obtenir une pâle copie -du moins pour l’instant- de ce que nous pouvons évoquer chez les autres et qu’ils évoquent chez nous ? Non, même si l’investissement est pratiquement garanti d’être rentable, je me contenterais de ce que je peux avoir par mes propres moyens. »

Sa main, si gentiment invitée, vient alors s’enrouler autour du bras masculin. La brunette pousse même le vice à se rapprocher jusqu’à ce que sa poitrine soit en contact avec l’ancien catcheur. Peut-être pouvait-il deviner, à travers l’étoffe qui lui couvrait le buste, qu’il ne la laissait absolument pas de marbre.

« Mmmh, nous pouvons gagner mon hôtel à pied. J’ai réservé une suite au Ritz-Carlton, juste à côté. Si vraiment on prenait notre temps pour avancer, je gage qu’en dix minutes nous y serions, estime-t-elle avec un regard malicieux. »

Etant venue à pied ce matin pour profiter du beau temps, l’américaine avait pu mémoriser la route. Entraînant l’homme à ses côtés avec l’assurance de celle qui sait ce qu’elle fait, Catalina se félicite d’avoir pensé à mettre un ensemble de sous-vêtement coordonné ce matin-là.

« A moins que vous ne préfèreriez une voiture ? Mais je serais prête à parier qu’il faut moins de temps à pied… Ajoute-t-elle d’un ton taquin alors qu’ils descendent progressivement de la mezzanine où se trouvait le débit de boisson. »

De temps à autre, la trentenaire remarquait un regard jaloux qui lui était lancé. Elle avait l’habitude de ce genre d’attitude. Si ce n’était pas pour la compagnie qu’elle avait à l’instant présent, elle était sûre qu’elle aurait reçu quelques regards jaloux quand même. Que ce soit pour sa façon de s’habiller qui évoquait clairement un statut financier plus qu’aisé, ou parce qu’elle attirait les regards masculins sans vraiment le rechercher. Cette fois-ci, cela dit, si elle ne réagissait pas ouvertement face à ces regards, Catalina éprouvait une certaine pointe de satisfaction. Ce n’est pas tous les jours que l’on déambulait au bras de son idole après tout. Elle pouvait bien se permettre un peu de vanité.

« J’espère que ça ne vous fait pas un grand détour pour retourner à votre hôtel… Plus tard ? Si c’est le cas, je suis sûre que personne ne verra d’inconvénient à ce que je vous héberge pour la nuit, souffle-t-elle alors qu’ils sortent enfin de la foule et du centre de convention. »

Nul doute qu’elle partait du principe que, de toute manière, il n’allait certainement pas repartir de sitôt de la suite qu’elle occupait. Pas si elle avait son mot à dire.
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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 6 jeudi 06 novembre 2025, 00:39:17

Si le moindre doute avait pu persister quant aux intentions de la belle Catalina, ces doutes étaient certainement levés pour tout le monde à ce stade. Son enthousiasme à délaisser l’événement pour s’adonner à quoi qu’il puisse bien désormais se produire avec Vance traduisait tout l’engouement qu’elle avait à être en sa présence, et à être le sujet de son indivisible attention.
Quant à sa réponse au sujet de l’opposition entre réel et virtuel, il serait presque redondant d’évoquer le sourire qu’elle tira à l’influenceur-star crapuleux. La manière qu’elle eut de rejeter en bloc tout ce que l’argent pourrait lui apporter à cet instant face à ce qu’elle-même avait obtenu et pouvait obtenir en disait long sur l’appétit qu’elle nourrissait.
Et ce n’était pas plus mal pour elle, autant que pour lui, car, en dépit des effets du temps, Vance restait aussi fougueux qu’un homme dans la fleur de l’âge. Déjà, la sensation de la poitrine pressée contre son bras, et le constat d’une pointe roide perçant lingerie et tissu pour lui témoigner sa sensibilité et son excitation, la mettait bien en appétit lui aussi.

« Au regard de vos arguments, Catalina, attention à ne pas récolter plus que vous pouvez porter. »

L’avertissement malicieux s’accompagna d’un gloussement rauque, plus rauque que d’accoutumée, comme sa voix marquée par la chaleur et la tension du désir.

« Quant à mon heure de départ, j'ai la chance de n'être ni un enfant, ni sénile, ni Cendrillon. Je resterai aussi longtemps que le plaisir me retiendra. »

Sans doute la tension incendiaire régnant entre eux était-elle bien visible. Sans même y faire attention, le Franco-japonais voyait des regards se poser sur eux. Il pouvait y voir des émotions diverses et y deviner des sources variées.
Ceux qui ne les connaissaient pas pouvaient simplement être étonnés de la différence d’âge manifeste entre ces deux adultes aux intentions discrètes, mais manifestes, tandis que d’autres voyaient en eux deux riches écœurants, et le stéréotype du vieux milliardaire promenant sa huitième croqueuse de diamants avant qu’elle devienne trop vieille à son goût et lui soutire à son tour la moitié de ses biens.
Ceux qui reconnaissaient Dax variaient du détachement total, sa réputation le précédant, à un dégoût affirmé, son business de truand, ses connexions nauséabondes et ses opinions méphitiques le précédant aussi comme un fumet rance.

« Prenons ma voiture, trancha-t-il en prenant un chemin apparemment aléatoire, mais bien réfléchi. La célébrité apporte avantages et inconvénients. Surtout quand on est une figure aussi controversée. Faire la une de la presse à scandales demain matin serait notre sort le moins grave si nous traversions seulement une rue en marge d’un tel salon. Nous ne sommes certes pas en Amérique, mais je ne sous-estimerais pas la colère d’un Chinois. »

Il laissait entendre qu’une menace pourrait peser sur eux en pleine rue. En effet, il ne manquait de courriers de haine et de menaces de mort. Il en recevait plus que de courriers de fans. Bien plus. Sa voiture était une solution discrète et sûre pour rejoindre l’hôtel. Elle serait aussi confortable et propice à un rapprochement moins public.

Le chemin qu’il avait pris les conduisait vers le bout du centre des congrès, dépassant porte après porte en se fondant dans la foule, sans manquer pour autant de se faire remarquer sur leur passage. Plusieurs inconnus de tous bords avaient dégainés leurs téléphones pour laisser entendre un clic caractéristique. Pour la discrétion, c’était raté. Mais ils pouvaient encore traverser la rue en paix.
En arrivant au bout de leur pérégrination, Vance avait tiré son téléphone et appelé le dernier numéro, signalant laconiquement à la personne au bout du fil qu’il sortait et raccrochant. Lorsqu’ils arrivèrent à une sortie de secours tout au bout du hall, des agents de sécurité étaient arrivés pour leur ouvrir, et refermer derrière eux, et une grosse berline luxueuse noire les attendait, moteur allumé. L’ancien catcheur ouvrit la portière arrière et fit grimper Catalina, la laissant s’enfoncer au bout de la banquette avant de grimper à son tour, refermant tandis que le véhicule démarrait tranquillement dans un vrombissement sourd.

Une vitre sans tain séparait l’avant de l’arrière, forcément pour l’intimité du propriétaire, et le chauffeur s’engagea dans le bouchon menant à la sortie tandis que le Ritz Cartlon de Shenzhen était, lui, déjà bien visible, juste là, de l’autre côté de la rue. La décision de Vance pouvait sembler excessive, cependant, ils pouvaient déjà voir des individus quitter le hall par la porte principale en balayant les alentours du regard, semblant chercher quelqu’un ou quelque chose. Ils n’auraient clairement pas été tranquilles et là, au moins, personne ne les verrait et ne les ennuierait.

Le colosse occupait largement son côté de la banquette moelleuse et, lorsqu’il pivota pour se tourner vers sa compagnie du soir, tout signe de la dureté présente lors de leur extraction digne d’un commando disparue pour laisser revenir la candeur et le charme précédents, c’était comme s’il se portait à elle sans pourtant s’avancer. Il ne s’était pas attaché, non plus, laissant cela dit entendre qu’il se réservait la possibilité de bouger.

« Bien, Catalina. Cette voiture a un modeste minibar, elle aussi. Voulez-vous commencer à boire dès maintenant ? Ou bien… »

Son sourire s’altéra, la bonhommie changeant en un rictus prédateur et assuré tandis qu’il passait un bras sur les appuie-tête pour glisser le bout de ses doigts dans les cheveux noirs de la belle.

« Préférez-vous une autre dégustation ? »

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 7 jeudi 06 novembre 2025, 18:53:48

Si Catalina pouvait se targuer d’être plutôt observatrice en temps normal, on pouvait cependant lui pardonner de ne pas avoir vu les quelques silhouettes qui les suivaient de loin alors qu'ils se dirigeaient vers la sortie en flirtant gentiment. La présence de Wonder Vance à ses côtés, les regards jaloux ou dégoûtés qu'elle pouvait sentir à mesure qu'ils avançaient et les téléphones qui se levaient subrepticement pour prendre une photo ou une vidéo du couple accaparaient déjà la majorité de son attention.

Profitant de ce qu'il appelait probablement son chauffeur pour annoncer leur arrivée imminentes aux portes du complexe, la brune sorti également son téléphone et envoya un simple « Je rentre. Accompagnée. » à la personne qui se chargeait de coordonner la petite équipe envoyée sur place pour se renseigner sur les bonnes affaires qui méritaient un investissement. Il n'y avait pas besoin d'en dire plus. Et elle était sûre de ne pas être dérangée une fois à l'hôtel.

Un sourire remercia les agents qui ouvrirent les portes de l'issue de secours pour les laisser passer, et elle rentra ainsi dans la voiture qui les attendaient déjà. Elle s'installa au bout de la banquette, posant son sac contre le sol avant de croiser les jambes et de tourner le buste vers Vance alors qu’il prenait place à son tour.

A présent seule avec lui, la tueuse à la retraite sentait son cœur s'emballer de plus belle. Les paroles de l’homme ne firent rien pour calmer le jeu et elle esquissa un sourire en coin en se rapprochant du colosse. Même si cela lui était déjà arrivé plusieurs fois, la trentenaire ne se lassait pas de ressentir l'adrénaline courir dans ses veines à l'idée de se livrer à des activités pour le moins indécentes à l’arrière d'une voiture.

« Pourquoi ne pas faire les deux ? Étant donné la longueur des bouchons, nous avons amplement le temps de mêler les deux, souffla-t-elle en posant une main sur la cuisse de la célébrité à ses côtés. Je prendrais la même chose que vous, très cher, ainsi qu'un… Aperçu de ce que la soirée nous réserve. »

Si sa voix avait prit une allure sensuelle, ce n'était rien en comparaison de ses prunelles. D'ordinaire d'un bleu aussi clair qu'un glacier, elles s'étaient assombries alors que ses pupilles se dilataient sous l'effet du désir palpable qu'elle exsudait maintenant qu'il n'y avait qu'eux sur cette banquette. Tout en parlant, sa main s'était aventurée jusqu’à ce qui retenait fermé le pantalon de Vance, se débrouillant avec une agilité surprenante -en comparaison avec sa maladresse plus tôt- pour défaire l'obstacle.

Catalina n'était pas timide, ça, c'était certain. Quand elle désirait quelque chose -ou quelqu’un- et qu'elle n'avait aucun doute sur la réussite de ses avances, la brune laissait tomber toute prétention à la décence. Tandis que son autre main déboutonnait les boutons de son chemisier qui retenait sa poitrine prisonnière, offrant au colosse la vision de la chair ferme et pâle soulignée de la dentelle noire, la première était déjà affairée à libérer l’objet de ses convoitises actuelles.

Quand sa seconde main a fini d’exposer son buste bien pourvu, elle vient s’arrimer à l’une des épaules de Vance et Catalina vient faire frôler ses lèvres contre celles de l’homme.

« Si vous saviez le nombre de fois où j’ai rêvé de faire ça, Vance… Susurra la belle avant de se dérober pour venir cueillir entre ses lèvres gourmandes l’extrémité de la virilité enfin libérée. »

Elle ne s’était pas non plus attachée en entrant dans la voiture, et bien lui en a pris. Libre de ses mouvements, l’indécente brune en profite pour goûter à ce qui a hanté ses fantasmes avec un enthousiasme qui peut se ressentir à la manière dont ses lèvres se referment autour du membre masculin, à la façon dont sa langue vient flatter la peau délicate qu’elle peut atteindre. Et si son regard vient parfois se relever, observant les réactions du colosse, sa bouche ne cesse jamais de se familiariser avec l’organe dont elle brûle de découvrir dans son entièreté, dans sa meilleure forme.
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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 8 vendredi 07 novembre 2025, 04:32:56

Si Vance avait été quelque peu sec et sur ses gardes en quittant le salon, sur la défensive, on n’aurait pu justifier de lancer une pierre à Catalina. Peut-être parce qu’elle se trouvait sur un petit nuage, elle avait suivi et souri, et rien ne semblait pouvoir affecter la candeur avec laquelle elle semblait appréhender la suite des événements. Qu’importait, après tout, s’ils se retrouvaient dans un bouchon interminable pour faire les 200m les séparant de la réception du Ritz, puisqu’ils étaient ensemble et qu’ils avaient, finalement, un peu de temps devant eux.

Pour le mâle, ce fut l’occasion de mesurer la température entre eux, et d’estimer l’intérêt que lui portait réellement la belle, tout comme son appétit. Il va sans dire qu’il ne fut pas déçu, son regard suivant ses gestes tandis qu’elle se mettait en action d’une manière si naturelle que son allant aurait probablement intimidé la plupart des hommes suffisamment pour les faire débander immédiatement.
Quant à Vance, s’il ne bandait pas encore comme un taureau, ce n’était pas par défaut d’excitation. S’il était en pleine forme, l’âge imposait toujours certaines choses. Entre l’expérience et la mécanique, il restait impassible dans l’immédiat, sa virilité ne se déployant que paresseusement tandis qu’elle venait la chercher en se dévoilant elle-même.

D’une main plus agile et douce qu’on ne l’aurait pensé, il contribua à exposer le corsage maintenant bien déployé de son chemisier en tirant sur le col, caressant son épaule à son passage, la peau rugueuse laissant frissonner le satin lumineux de la sienne. Il l’admira sans détour, exprimant son appréciation par un sourire et un gloussement rauque derrière ses dents, un soupir d’intérêt, tant de signes, discrets mais explicites, qui encourageaient la brune en mouvement.
Quand elle se porta à lui pour effleurer ses lèvres, il la cueillit aussi d’une main sur le flanc, la large paluche le couvrant pleinement et la tenant fermement malgré la force manifestement minimale mise dans le geste. Il la laissa faire, ne se porta pas à elle pour faire mine de l’embrasser, soutenant son regard et élargissant légèrement son sourire d’un ton coquin en l’entendant souffler son aveu.

« Voyons si la réalité bat la fiction, retourna-t-il, en une référence à leur échange sur la réalité virtuelle. »

Il la regarda se dérober, et descendre, suivant toujours ses yeux, jusqu’à ce qu’elle lâche les siens. Alors, il s’intéressa à l’ensemble, à toute la scène qu’elle lui offrait, et il se mit à l’aise, se plaçant mieux, montant un pied sur la banquette, jambes écartées pour lui laisser la place. Il ne se faisait aucune idée fausse sur la suite du programme et il écarta ses mèches de cheveux rebelles de son visage tandis qu’elle venait cueillir le vît chaud, légèrement palpitant, épais, lourd, mais encore souple en mains, entre ses lèvres pulpeuses.
Il souffla, râla d’un plaisir délivré au contact de la langue humide et du souffle chaud, rassembla ses cheveux à l’arrière de sa tête en un chignon qu’il tint fermé d’une poigne ferme, mais ne la privant pas de sa liberté, sans douleur, et se relâcha progressivement tandis que sous la langue, entre ses lèvres, il durcissait au contraire, grossissait, grandissait, dévoilant la vérité sur le membre sur lequel courait de nombreuses rumeurs. On le disait ramolli et atrophié par les stéroïdes ou, au contraire, plus gros que le plus gros des sexes humains jamais vu. Et s’il était certainement à classer parmi les plus impressionnants, il n’était certainement pas monstrueux. Il était possiblement surprenant et intense à gérer, il fallait probablement à certaines un peu de temps pour s’y faire, mais, s’il remplissait entièrement à coup sûr, il n’avait rien d’impossible, et Catalina le saurait vite tandis qu’elle s’adaptait, sans un mot ni un signe de lutte, pour le garder et le gratifier à sa digne mesure.

Il soutenait ses regards en s’excitant de son contact, de ses caresses, son souffle lourd, plus rapide, plus ample, et, arrivé à un certain point, il lui en fallut plus. Il lui fallait s’impliquer. Agir. Alors, comme il se sentait monter et définitivement raide et parti pour la nuit, il n’y tint plus, et il se pencha sur la belle brune pour l’attraper par la jupe, la soulevant sur la banquette pour l’y reposer sur le côté, un peu recroquevillée, tandis qu’il finissait de remonter le court vêtement à sa taille.
Et, tandis qu’elle reprenait son loisir, il glissa sa main entre ses cuisses qui s’ouvrirent pour lui, caressant son entrejambe avec une intensité calculée, par trop forte, pour ne pas lui faire mal, mais assez appuyée pour les rudes phalanges se fassent sentir et frottent son bouton d’amour à leur passage le long de sa fente encore couverte. Il la sentit mouiller rapidement et s’invita finalement sous la belle pièce de lingerie, qui s’écarta pour lui, un doigt écartant ses lèvres intimes pour la caresser avec une obscénité experte.

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 9 vendredi 07 novembre 2025, 15:39:05

Trouver une position adéquate pour donner et recevoir du plaisir, dans une voiture, avait toujours été l’un des charmes que la brune trouvait à se livrer à de telles actes. Aussi, quand le colosse entreprit de la faire changer de place, de position, pour avoir un meilleur accès à l’intimité qu’elle cachait encore derrière le tissu souple de sa jupe, derrière la fine barrière de dentelle assortie au soutien-gorge, Catalina se laissa guider docilement. Elle ne délaissait pas pour autant la gourmandise qu’elle sentait enfler et prendre forme entre ses lèvres, sa main fine s’enroulant autour de la base pour la maintenir dans l’angle idéal.

« Je n’ai nul doutes que la réalité surpassera la fiction, en profite-t-elle pour glisser, son souffle chaud caressant la peau humide de sa salive. »

Un nouveau sourire en coin fut adressé à Vance avant qu’elle ne revienne dorloter oralement ce sexe qui était loin d’être un désappointement. Elle avait entendu les rumeurs, bien sûr. Déjà à l’époque, quand il catchait encore, il se disait que vu la carrure du bonhomme, il abusait sûrement de stéroïdes et devait forcément perdre en virilité. Mais, pour la jeune adolescente d’alors, il n’y avait pas moyen que la masculinité son idole en soit réduite à un petit vermisseau. Elle avait aussi entendu les bruits qui parlait de cette trique comme étant monstrueuse, impossible à s’enfiler sans subir de sévères déchirements. Et si dans son imagination ces rumeurs pouvaient parfois avoir une place de choix, elle ne s’attendait pas réellement à ce que ce soit le cas.

Ses lèvres se resserrèrent autour de la chair à présent rigide, caressant chaque veine qui troublait la surface satinée, sa langue venant ensuite comme pour vérifier leur présence. Sa gorge se montra accueillante quand elle y fit buter le gland, témoignant probablement d’une grande maîtrise qui n’est venue qu’à force de pratiquer. L’ancienne tueuse se consacrait entièrement à son œuvre, usant de chaque réaction visible ou ressentie de la part de Vance pour parfaire sa technique, son rythme et la pression de ses joues.

Il n’était pas en reste, d’ailleurs, avec cette nouvelle position. Et il pouvait clairement sentir que ses cajoleries ne laissaient pas la trentenaire indifférente. Le contact de sa main contre sa fleur, des phalanges contre sa perle, ne la laissait pas de marbre. Bientôt, son corps échauffé ne tarda pas à produire le lubrifiant naturel qui permettrait et promettait une chevauchée plus que satisfaisante. Par instants, Catalina fermait les yeux en arquant ses reins comme pour rechercher toujours plus de contact, le sexe viril reposant contre sa langue alors qu’un soupir s’étouffait contre lui.

Son corps, cependant, réclamait plus. Son bassin poussait pour réclamer que cette main large commence à l’investir plus complètement, son être tremblant légèrement dans l’attente de se sentir comblé et agréablement maltraité. Et elle employa plus d’ardeur, un rythme plus prononcé, dans les oscillations de sa tête sur la queue tendue qu’elle se faisait un plaisir d’avaler, d’aspirer. A force de buter contre sa glotte, sa gorge se détendit progressivement et put accueillir plus confortablement l’érection jusqu’à ce que le nez de la veuve puisse s’enfouir dans l’aine de Vance. Jusqu’à ce qu’il puisse ressentir la pression de sa gorge chaude se contracter autour de son gland.

Nul doute qu’avec l’expérience qu’elle avait, Catalina pourrait figurer en starlette de films pornographiques. Ce qui la distinguait toutefois de ces actrices, c’était qu’elle ne faisait pas ça pour gagner sa vie. Elle le faisait par pur plaisir. Par désir de débauche, de sensations orgasmiques. Parce qu’elle aimait les hommes et ne s’en cachait pas. Et avec Vance, la brune mettait tout en œuvre pour qu’il ait un souvenir inoubliables de leurs ébats, plus tard.

Tandis que la voiture avançait à peine dans les bouchons, la trentenaire déployait tout son arsenal buccal pour contenter le colosse, variant la vitesse et la fermeté de ses caresses en fonction des réactions qu’il avait. Et des siennes, alors qu’elle se trémoussait contre la main qui la découvrait.
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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 10 samedi 08 novembre 2025, 05:11:08

Une femme adroitement doigtée avait souvent tôt fait de commencer à perdre le fil de ce qu’elle faisait. Vance aurait simplement pu profiter de la fellation sans rien faire et ne pas risquer de voir Catalina s’arrêter ou perdre en adresse, mais il n’aimait pas rester inactif et recevoir sans rien rendre. Et on le traitait de monstre ! Quoi qu’il en soit, il fut très positivement étonné de constater assez vite que, si elle appréciait manifestement ce qu’il lui faisait, elle n’en défaillait pas pour autant.
Plus encore, elle ne défaillait pas, mais se montrait plus proactive encore, et en demandait encore plus. Il pouvait la sentir presser contre ses doigts, en demande, tandis qu’elle poussait son épais mandrin dans sa gorge avec une facilité déconcertante. Il était plutôt rare qu’une amante y parvienne et il poussa un soupir de satisfaction surpris et un ricanement amusé, pressant sa tête pour l’y garder un instant avant de la laisser se replier.

« La réalité a le mérite de pouvoir nous surprendre. »

Il ne la commanda pas, et la laissa faire, mais il passa une nouvelle barre lui aussi, comme il la sentait mouiller abondamment sous son doigt. Il se retira une seconde de son dessous en dentelle humide, et tira le tissu pour le rouler contre sa cuisse, délivrant sa fente pour y revenir plus librement. Sans la résistance de la lingerie, il pouvait pousser sa main où il le voulait et son doigt, cette fois, glissa dans le creux de son vagin pour s’y glisser lentement.
Il était épais et dur, comme on pouvait s’y attendre des doigts d’un vieux bodybuilder de son gabarit, et il l’écarta d’un doigt comme de deux, s’introduisant progressivement en poussant lentement et par à-coups, pliant ses phalanges pour aller caresser la face intérieure sensible de son clitoris sur son passage ; ce fameux point G que tant semblaient chercher comme le Graal quand une recherche Google leur permettrait d’en apprendre plus sur le sexe féminin que tous leurs ancêtres masculins cumulés.

Il la doigta ainsi, s’enfonçant finalement entièrement en elle et commençant à frotter son renflement dur en allant et venant doucement, tandis qu’elle se faisait une joie honnête de le servir de sa bouche sans jamais se confondre en piaillements désolés le temps d’une pause salutaire. Elle le suçait, le branlait, le pompait, l’enfonçait dans sa gorge, tantôt fougueusement, tantôt langoureusement, ne le laissant pas trouver de repères dans cette avalanche de sensations qu’elle lui prodiguait.
Dans l’habitacle, les bruits montaient. Ceux des succions couvrant sa verge, ceux de la mouille parfois agitée avec plus de vigueur par le mâle entreprenant, mais aussi ceux de leurs râles, de leurs gémissements, et, s’il restait actif et constant, Vance se tassait, se perdait dans la banquette tandis qu’il perdait peu à peu pied avec le réel et tout ce qui pouvait les entourer.

La voiture avait avancé jusqu’à la porte d’où leurs poursuivants discrets étaient sortis, et la plupart étaient encore là, en train d’essayer de regarder par les vitres noires sans tain, téléphones à la main et prêts à filmer et photographier. De l’intérieur, la scène était anxiogène, mais ils étaient en sécurité, et pouvaient bien se croire cernés par des voyeurs pervers s’ils le voulaient.

Peu à peu, Vance, lui, se sentait partir, et sa main se mit à imposer un rythme et une ampleur plus exigeants à la belle brune, qui se retrouvait bien sollicitée en récompense de son savoir-faire et se voyait de plus en plus assaillie d’un côté et pressée de l’autre, tandis que le sexe de Vance palpitait dans sa bouche, prêt à la gratifier du témoignage de son plaisir, alors qu’il la sentait, elle, se serrer progressivement et de plus en plus, prête à jouir à ses caresses.

Catalina Taylor

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 11 samedi 08 novembre 2025, 16:27:19

Si l’habitacle n’était pas insonorisé, le chauffeur devait certainement entendre ce que le couple trafiquait à l’arrière. Des gémissements étouffés de la brune contre le sexe qu’elle avalait presque religieusement aux sons obscènes qui venaient de leurs actes. Si Catalina se souciait d’être vue ou entendue, elle n’aurait jamais engagé leur activités sur ce terrain-là avant d’être à l’abri dans sa suite à l’hôtel.

Mais la brune était aussi gourmande qu’impudique, et tout ce qui l’importait à l’instant présent était de faire perdre pied à Vance, de le sentir se répandre dans sa gorge alors même qu’elle lui arroserait les doigts qui s’employaient avec tant de succès à lui prodiguer un orgasme ravageur. Ses mains, désormais inutiles pour tenir la queue et la guider dans sa gorge, s’occupaient des bourses délaissées, humides avec la salive qui s’écoulait peu à peu de la hampe lubrifiée. Si son bassin ne cessait d’aller à la rencontre de ces doigts qui lui faisait peu à peu perdre son emprise sur la réalité, elle ne cessait jamais de venir le faire buter contre sa gorge.

Sentir parfois la deuxième main de l’ancien catcheur pousser contre sa tête ne la dérangeait pas le moins du monde. Et elle s’empressait d’imiter le mouvement dès lors qu’elle le pouvait, l’accueillant toujours plus loin, plus longtemps, sans donner l’impression de vouloir cesser. La seule manifestation physique de la contrainte de son corps étaient ses yeux qui larmoyaient parfois quand le manque d’air commençait à se faire sentir. Mais ils étaient loin de supplier d’arrêter, implorant au contraire pour en avoir plus.

Bientôt, cependant, elle ne put retenir les tremblements de son corps alors que le plaisir se déversait en elle, explosant de ses reins. Ses chairs intimes se contractèrent plus sérieusement contre les doigts qui les envahissaient, son bassin se bloqua contre cette main large qui l’explorait. Sa gorge se contracta également autour de la queue fichée en elle alors que ses gémissements s’employaient à la faire vibrer. Les yeux fermés comme pour ne pas louper les étoiles qui apparaissaient derrière ses paupières, Catalina verrouilla ses lèvres fermement à la base du sexe de Vance, ses mains se crispant sur ses cuisses après avoir abandonné les joyaux fragiles pour ne pas le blesser. Les joues creusées, comme pour implorer le colosse de venir s’abandonner dans sa bouche, la trentenaire n’était plus vraiment maîtresse de ses mouvements alors que l’orgasme lui bouleversait les sens.
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Vance Dax

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    Vance est né pour être une star, c'est une idole mascu, libertarienne et sigma qui s'étale sur la toile et pille tout ce qu'il peut des richesses du monde à son profit. Et comme le monde ne suffit pas, il s'est tourné vers Seikusu et ses failles. Et s'il peut vous consommer, il trouvera bien un moyen de le faire.

Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 12 jeudi 13 novembre 2025, 05:00:07

La jouissance de Catalina fut clairement extatique. Elle se contracta si bien autour de ses doigts qu’il lui fut impossible de les sortir et, plutôt que d’essayer, il s’amusa à continuer de les agiter tandis qu’elle partait dans une envolée passionnée aux nues, s’agitant tant bien que mal en dépit du serrage intense de la belle. On ne pouvait pas dire d’elle qu’elle possédait un périnée fragile, et le mâle avait déjà hâte de sentir celui-ci se contracter contre sa queue tout à l’heure.

Pour le moment, sa priorité n’était cependant pas là. Car lui aussi était en train de sombrer, et la belle brune ne l’oubliait pas dans son hébétude orgasmique, semblait s’ancrer à son manche de la bouche comme si elle risquait de se noyer sinon, creusant ses joues en le pompant désespérément, se l’enfonçant bien profond dans sa gorge vibrante de gémissements sourds en réclamant qu’il ne la laissa pas seule dans son état second.

Et elle n’eut pas longtemps à attendre. La main dans ses cheveux prit le contrôle, se servant d’elle comme exutoire plus qu’il ne la guidait désormais, la levant et descendant le long de sa bite sans la moindre nuance, dans un rythme purement masturbatoire, commençant à grogner et à souffler rapidement tandis que le corps gonflé palpitait follement sur sa langue.

« T’es une gourmande, alors ? Vas-y, avale-moi tout ça ! »

Vance gémit et râla en se raidissant sur la banquette, la soulevant en poussant bien à fond dans sa gorge tandis que ses palpitations se calmaient, soudain suivies de pulsations puissantes qui la remplirent généreusement en la laissant avaler le tout sans autre possibilité. Il se relâcha, repoussa, et se relâcha encore avant de s’arrêter, sa main la tirant pour lui permettre de libérer son mandrin avant de la laisser retomber sur ses cuisses, la main reposant toujours sur sa tête, mais ouverte et réconfortante.

Assez vite, le Franco-japonais se mit à ricaner joyeusement.

« Tu me permets de recharger, ma beauté ? D’ailleurs, ajouta-t-il en examinant l’extérieur, nous serons bientôt sortis du parking. »

Ce qui voulait dire qu’une fois sur la route, la réception du palace était à moins de cinq minutes. Il soupira d’aise en la libérant et en se calant confortablement, sans faire mine d’être pressé de clore l’affaire ou de se remettre dans un état présentable. Au contraire, il la regardait avec une anticipation évidente, ses yeux semblant plus la voir comme un morceau de viande dont il pouvait jouir que comme une personne, puisqu’il pensait, en cet instant, au sexe, et à tout ce qu’il pourrait encore faire avec elle.

« Ce n’était qu’une… mise en bouche, s’amusa-t-il. J’ai encore des plans scabreux pour toi ; et les forces de les mettre en exécution. »

Catalina Taylor

Humain(e)

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 13 jeudi 13 novembre 2025, 20:38:15

S'il était possible pour l'intrépide veuve de mouiller plus qu'elle ne le faisait déjà, alors Vance aurait certainement du soucis à se faire pour la banquette de sa berline. Le sentir prendre le contrôle de sa tête, investir sa gorge ainsi, la mettait dans tous ses états. Et si la barrière de ses lèvres n'était pas suffisante pour retenir la salive qu'elle ne pouvait avaler, sa gorge se fit au contraire presque hermétique quand il fut question de contrôler les jets brûlant de sperme qui s'écrasaient contre ses parois cannelées.

Catalina déglutissait presque convulsivement, l'étreinte de sa gorge se faisant plus prégnante, pour ne pas en perdre une goutte. Quand, enfin, elle estima avoir fait son possible pour absorber ce que lui offrait si généreusement l'ancien catcheur, quand il se retira d'entre ses lèvres et la laissa reposer sa tête contre ses cuisses musclées, l'indécente brune laissa un tremblant soupir d'extase s'écraser contre le membre encore luisant.

« Si c'est pour en profiter de nouveau tout à l'heure, alors bien entendu. Recharge tout ce que tu peux, susurra-t-elle avec le sourire repu d'une chatte qui avait terminé son bol de crème. »

Le tutoiement s'imposait naturellement après cette expérience des plus intimes.

« Je l'espère bien, répondit-elle ensuite en faisant rouler sa tête contre les cuisses de l'homme, presque alanguie sur la banquette de la voiture. Ou j'aurais été obligée de me contenter de mes fantasmes d'adolescente. Ce qui, tu l'admettras, aurait été des plus regrettable. »

Si elle avait la voix un peu rauque de celle qui s'est égosillé lors d'un orgasme -quand bien même ces gémissements, ces cris, auraient été assourdis par le membre épais qu'elle avait semblé vouloir faire fusionner avec sa gorge- cela n'enlevait rien a8son charme indécent. La jupe retroussée sur les hanches, le tanga emmêlé au niveau de ses genoux et le buste pleinement exposé pour offrir ses courbes d'albâtre aux yeux de son idole, Catalina n'avait plus une allure sophistiquée. Mais elle compensait en assumant pleinement sa lubricité, en jouant de son appétit sans faille pour le sexe et toutes ses dérives.

La trentenaire finit par se relever après un instant à profiter de la vue de Vance et de son sexe encore humide portant la trace de son rouge à lèvre. Elle sourit, caressant d’une main douce l’organe qui reprenait son souffle lui aussi, avant de basculer pour se rasseoir confortablement sur le siège aux côtés du colosse. D’un geste presque anodin, si ce n’était le regard brillant toujours fixé sur son idole, Catalina fit glisser son sous-vêtement trempé contre ses jambes jusqu’à ce qu’il tombe au sol, rejoignant le soutien-gorge délaissé peu après leur entrée dans la voiture. Elle se trémoussa légèrement pour faire redescendre la jupe contre ses cuisses et cacher la vue de sa fleur encore détrempée. Finalement, elle se pencha, écrasant sa poitrine généreuse -dont les tétons ne semblaient pas vouloir redevenir discrets- contre ses genoux, et ramassa le chemisier blanc dont elle se para ensuite, se contentant de fermer quelques boutons pour qu’il tienne en place sans forcément cacher ce qu’il couvrait.

« Il nous faudra vraiment prendre un verre, très cher. Je crains qu’avec l’excitation du moment, tu n’aies oublié de nous faire profiter de ce mini-bar dont tu m’as parlé, taquine-t-elle en venant se lover contre sa forme imposante sans se soucier de remettre de l’ordre dans ses boucles brunes. »

Elle ne prit pas non plus la peine de masquer le khôl qui avait coulé sous ses yeux, ou le rouge à lèvre qui n’était plus aussi pimpant qu’en montant dans la voiture. Elle se contenta de garder une main légère contre le torse de Vance, ses ongles traçant des arabesques contre ses abdominaux et s’aventurant même pour taquiner le sexe toujours offert à sa vue.

Une fois sortie du parking, la voiture prit de la vitesse, le ronronnement de son moteur faisant écho aux élancements de désirs qui vivaient encore dans les reins de l’ancienne tueuse. Ses prunelles claires scrutaient la route, guettant l’entrée du parking de l’hôtel. Impatiente de continuer leurs ébats, la belle laissa à peine le temps à Vance de se rajuster à son tour avant de s’éjecter de la voiture aussi vivement qu’une anguille. Ignorant les regards qui pouvaient les suivre, la belle brune glissa à nouveau un bras sous celui de l’homme tandis qu’elle prenait le chemin des ascenseurs. De son sac, elle tira un badge qu’elle présenta une fois qu’ils furent à l’intérieur de la cabine. Elle n’eut même pas besoin de rentrer l’étage, l’engin se mit en route après avoir scanné la puce présentée.

Arrivés au dernier étage, la jeune femme guida l’ancien catcheur jusqu’à une porte en bois sombre ornée du numéro 286 en lettrine dorée. La clé de la chambre déverrouillant l’entrée, Catalina invita son compagnon à entrer au cœur de son intimité -du moins, celle qu’elle avait en n’étant pas chez elle.

Le petit hall d’entrée menait à une pièce de vie/salon. Le parquet sombre était alors remplacé par un tapis clair et visiblement doux. Le mobilier comprenait une table et un fauteuil pouvant accueillir deux personnes, faisant face à l’entrée et au mini-bar. Sur la droite, le mur était recouvert par un immense vaisselier miroitant. Sur la gauche, délimitant l’espace salon, il y avait deux canapés formant un angle ainsi qu’une petite méridienne qui était dos à la grande baie vitrée donnant sur un jardin magnifique. Un meuble télé et un écran plat ultra-large occupait le mur qui devait cacher la chambre tandis qu’une petite table basse incarnait le centre du salon. Un passage derrière le canapé menait à un petit couloir qui, lui, s’ouvrait sur la chambre. Là, un lit King-size trônait au centre de la pièce, appuyé contre le mur du fond. A droite, une autre baie vitrée tout aussi immense qu’au salon, et deux petits fauteuils. A droite, une ouverture pour accéder à la salle de bain et une dernière baie vitrée donnant vue sur la baignoire aux dimensions titanesques qui trônait dans la salle de bain. Dans la pièce réservée à l’hygiène, une large douche à l’italienne était cachée dans un renfoncement, faisant face à un coin WC plus discret.

Si, dans la chambre, le parquet avait été remplacé par de la moquette tellement agréable pour les pieds nus, et que les murs étaient couverts de draperies ou d’armoires anciennes, il en était tout autre à la salle de bain. C’était un style épuré, blanc, rayonnant. Des miroirs gigantesques, un lustre en cristal et des appliques murales intégrées dans le décor donnaient à la pièce des aspects royaux. Le sol et les murs en marbres donnaient tout de suite le ton.

Après avoir guidé brièvement le colosse au travers des pièces de la suite qu’elle occupait, Catalina l’invita à prendre place sur un canapé pendant qu’elle s’affairait dans le mini-bar. Courbée pour en sortir des bouteilles en même temps qu’elle lisait les noms à haute voix, attendant un mot de Vance pour garder sa boisson favorite sortie, la veuve en profitait pour onduler doucement ses hanches. Elle lui offrait volontairement la vision de ses fesses bombées, rondes et si invitantes. Le temps de la subtilité était bel et bien révolu.
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Vance Dax

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Re : Fangirling Nymphomaniac v. Raging Old Bull -- Vance & Catalina

Réponse 14 jeudi 04 décembre 2025, 06:14:56

Une réalité de la vie de Vance était qu’il était amené à croiser des gens très divers, et des femmes en particulier. Son profil pouvait séduire tout type de créature, de la mieux mise à la plus mal fagotée. Ce qu’il avait appris, cependant, était que les femmes avaient toutes la même bête en elles, et qu’elles finissaient toutes dans les mêmes états. Alors, il ne se concentrait plus depuis longtemps sur les apparences, et il ne s’embarrassait pas d’imaginer quoi que ce soit de spécial pour qui que ce soit. Ce qu’il cherchait, par contre, c’était des femmes capables d’assumer entièrement leur côté animal et de s’y complaire totalement. En cela, Catalina passait pour une prodige, celle-ci ne faisant à aucun moment mine de vouloir se dérober à sa vue ou à la situation, ou à devoir commenter leurs actes, ou s’excuser pour son appétit. Certaines l’auraient fait, de peur d’être considérées comme des salopes, mais elle avait clairement réalisé, elle, que ce n’était pas un mal d’en être une, et que personne ne devrait proférer ce mot hors d’échanges scabreux et à dessein. Elle était femme accomplie, tout simplement.

En tout cas, ils n’avaient plus fière allure. Aucun d’eux. Et si Vance était évidemment moins débraillé que Catalina, les dégâts se cantonnant surtout à sa braguette, son entrejambe, et à la fine couche baveuse de rouge à lèvres qu’il pourrait cacher à l’intérieur de son pantalon une fois fermé, il exposait des signes différents, comme une certaine rougeur au visage, un air légèrement absent, comme flottant, maintenant que le pic de sa jouissance avait fini de le marteler en ne laissant derrière lui qu’un vide et une hébétude parfaitement normaux, mais bien visibles à qui savait regarder.

« Tu ne perds jamais le nord, s’amusa-t-il en riant tandis qu’il se dandinait pour ranger son attirail et refermer sa braguette. On ne dira pas que j’ai été un profiteur. »

Tranquillement, il ouvrit le fameux minibar, sélectionnant une petite bouteille de whisky et une autre de vodka tandis que leur limousine s’insérait sur le parking de l’hôtel, tournant devant la réception pour les déposer devant et déclencher l’apparat classique de ce genre de lieux, avec un voiturier déçu de voir un véhicule avec chauffeur, et un majordome trop mielleux à la porte, qui reçut néanmoins son billet de l’homme. Pas de regards surpris, ou d’airs transis : ces gens recevaient régulièrement du beau monde et, pour ce qui était de leur état, là aussi, ils en voyaient passer d’autres.

Pendant leur petit trajet en ascenseur, il s’était permis de libérer docilement son bras de la prise légère de la brune pour le glisser dans son dos, sa large main gagnant ses reins avant de s’aventurer à ses fesses, comme s’ils étaient deux adolescents indécents cherchant à montrer publiquement leur affirmation sexuelle. En soi, c’est surtout qu’il affirmait ses intentions par rapport à elle. Il revint à ses reins à leur arrivée, marcher étant plus pratique ainsi, et il la suivit sans un mot, notant quand même le numéro 286 avant d’entrer à son invitation.

En parfaite hôtesse, Catalina lui fit faire le tour des lieux, et Vance ne manqua pas de noter tant le luxe de la suite que la quantité d’équipements très arrangeants s’y trouvant. Ils auraient, clairement, l’occasion de s’amuser plus que de raison. Mais ils finirent déjà leur cheminement au salon, Vance laissant ses bouteilles emportées sur la table basse tandis que Catalina s’affairait au minibar, imperturbable malgré son maquillage déjà ruiné et le naturel des courbes plantureuses qui bougeaient de manière peu propices à la concentration dans son tailleur.

D’ailleurs, il n’avait pas tout de suite répondu à sa petite énumération, et il se réveilla soudainement, réalisant l’effet hypnotique que son postérieur dénudé et bien intentionnellement offert à sa vue avait eu sur lui. Ah ! Il se connaissait pourtant bien. Il pouvait jouir dans une bouche, mais il n’était jamais rassasié sans un con. Et s’il pouvait avoir de tout et se resservir, il n’était jamais homme à se dérober non plus. Sa nature le dominait et un sourire entendu passa sur ses lèvres tandis qu’il se relevait du canapé.

« Sers-moi donc un whisky, si tu veux bien. »

Il la laissa faire tout en se dirigeant doucement vers elle, s’avançant à pas de loups vers sa croupe cambrée alors qu’elle s’occupait de préparer leurs verres. Elle pouvait sans doute le voir approcher en reflet, mais elle n’en affecta rien de visible, et il finit par se porter jusqu’à elle, une main à ses hanches, l’autre empoignant une fesse brièvement avant de la claquer fermement, mais sans trop de violence non plus. Son aine vint se coller à sa croupe et le bulbe mollasson de son entrejambe se mettait déjà à témoigner d’une vigueur renouvelée, épaississant et durcissant nettement contre elle tandis qu’il lui soufflait :

« Tu crois qu’on va réussir à le boire, ce verre ? »


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